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Resultat de calcul

I.1 DIEMENSIONNEMENT DES POTEAUX

1.1 EFFORTS SUR LES POTEAUX A L’ELU

RDC :

1erETAGE :
2ème ETAGE :

3ème ETAGE :

1.2 FERRAILLAGE DES POTEAUX

Les poteaux seront vérifiés en RDC et 1er étage puisque les caractéristiques des poteaux sont différents : C40/50
en RDC et C30/37 en étages.

Le dimensionnement du 1er étage reste valable au 2ème et 3ème étage puisque le 1er étage est plus défavorable en
DDC.

 Le poteau le plus sollicité au RDC est P15 il a une charge en tête à l’ELU de 2686kN et en pied de 2703kN.

Ci-dessous Le détail de calcul :


Ferraillage:
Barres principales (HA 500):

 12 f16 l = 3,21 (m)

Armature transversale: (HA 500):

Cadres: 13 f6 l = 1,35 (m)

Epingles 26 f6 l = 0,35 (m)

 Le poteau le plus sollicité 1ER Etage est P20, il a une charge en tête à l’ELU de 2020kN et en pied de

2037kN. Ci-dessous Le détail de calcul :


Ferraillage:
Barres principales (HA 500):

 8 f16 l = 3,21 (m)

Armature transversale: (HA 500):

Cadres: 13 f6 l = 1,35 (m)

Epingles 26 f6 l = 0,35 (m)

I.2 LES VOILES

CARTOGRAPHIE DES SOLICITATIONS

Les cartogtraphies des sollicitations sur les voiles concernent celles du RDC, l’étage le plus défavorable.

• CONTRAINTE A L’ELU
• MOMENTS A L’ELU
5.3.1 FERRAILLAGE DES VOILES

Le ferraillage des voiles sera en HA8 e=20cm en longitudinal et HA 6 e=20cm en transversal. Les zones critiques sont
ferraillées avec des raidisseurs en HA10.

Les résultats des calculs suivant indiquent que les voiles peuvent être considérés comme non armés ou peu
armés.

Vérification du ferraillage minimal des voiles :

Les sections minimales ont été bien respectées conformément à l'EC2.

Suivant l’EC2, les aciers verticaux des voiles minimum est :

Asvmin= 0.002Ac=0.002*20cm*100cm
Asvmin= 4cm²/m.

La section min de ferraillage vertical maintenue est HA8 e=20 en deux face
= 5cm²/m>4cm²/m.
è Ferraillage minimal vertical respecté.

Pour les aciers horizontaux, les aciers minimaux vaut :

As,hmin = max (0.25·As,vmin, 0.001·Ac) As,hmin=2cm²/m

La section de ferraillage horizontal maintenue est HA6 e=20 en deux face = 2.82cm²/m > 2cm²/m.

è Ferraillage minimal horizontal respecté.


II. LES DALLES :
II.1 CARTOGRAPHIES DE FERRAILLAGE
Les résultats obtenus pour le RDC
Le tableau suivant résume, pour chaque niveau, les sections d’aciers maximaux trouvés dans les calculs :

As max (cm²) As max (cm²) As max (cm²) As max (cm²)


Niveau
x+ x- y+ y-
PH RDC 9.82 4.52 10.67 5.16
PH 1ERE ETAGE 9.82 4.52 10.77 5.57
PH 2EME ETAGE 9.82 4.52 10.77 5.57
PH 3EME ETAGE 9.18 4.52 11.20 6.55
EDICULES 4.57 4.57 4.57 4.57

Nous adoptons des HA14 et HA12, respectivement dans la nappe inférieure et supérieure de la dalle espacés de
20cm. Avec des HA14 espacement 20cm utilisés comme renforts dans la nappe supérieure sur les appuis et au
niveau des porte-à-faux.
Ce qui nous donne une section total de :
- En nappe inférieure : As (HA14 e=20cm) = 7.7cm² > 4.57cm²
- En nappe supérieur : As (HA12 e=20cm) + As renfort (HA14 e=20cm) =13.35cm²> 11.20cm²

II.2 VERIFICATION DE LA FLECHE

Dalle PH RDC
Dalle PH 1ER ETAGE

Dalle PH 2EME ETAGE

Dalle PH 3EME ETAGE

Dalle Edicules
III. JUSTIFICATION DE LA DALLE AU DROIT DES GOUJONS :

Le bâtiment est divisé en 2 blocs par un joint de dilatation de 2cm.

La dalle de la partie droite du bâtiment est soutenue par la partie gauche à l’aide des goujons TITAN de
PLAKABETON qui sont dimensionnés pour supporter et transmettre les efforts naissants du fait de
l'empêchement du mouvement relatif entre les 2 blocs. Voir la figure ci-dessous :

PARTIE A GAUCHE PARTIE A DROITE

Cette capacité à transmettre les sollicitations (efforts tranchants), est assurée par l'intermédiaire d'un acier
cylindrique de fort diamètre (goujon de 20 à 40 mm), réalisé en acier inoxydable ou galvanisé à chaud. Ce goujon
est enfilé dans un fourreau d'un côté du joint et noyé directement dans le béton du côté opposé.
Cette disposition permet la libre dilatation du joint. Les efforts acheminés par cet acier sont transmis au béton par un ensemble
d'armatures de béton armé adapté à cette fonction, appelé "renfort TITAN", permettant également un frettage local du béton.

Efforts supportés par les goujons :


La partie de la dalle maintenue à l’aide des goujons a été modélisée avec un appui linéaire pour trouver le nombre
nécessaire de goujons et l’espacement le plus convenable.
Suivant les captures ci-dessus, il y a somme des efforts : le premier concerne la partie à l’intérieur du bâtiment, et la
deuxième concerne la somme des efforts pour le porte-à-faux (parties a et b suivant les captures car le porte à faux
est continu).

Les goujons qui répondent aux besoins de ce bâtiment selon l’avis technique du produit sont ceux de la gamme G-0
avec diamètre de 25mm.

Il est envisagé de mettre en place un goujon chaque 40cm le long du JD suivant le chargement de la dalle.
Les efforts tranchants moyens supportés par un seul goujon :
Permanent : VG=14kN
Exploitation : VQ=8kN
Détermination de la vitesse moyenne :

𝒗𝒎 = 𝒄𝒓(𝒛). 𝒄𝟎(𝒛). 𝒗𝒃

𝑧0,II ∶ 0,05 m (catégorie de terrain II) selon la norme NF EN 1991-1-4

𝑧min: Est la hauteur minimale définie dans le Tableau

𝑧max ∶ Doit être considérée comme étant égale à 200 m

𝑍0 𝑒𝑡 𝑧min ∶ Dépendent de la catégorie de terrain. Les valeurs recommandées sont données


dans Tableau en fonction de cinq catégories de terrain représentatives

Catégorie de terrain 𝒛𝟎[m]𝒛𝒎𝒊𝒏[m]

0Mer ou zone côtière exposée aux vents de mer 0,003 1

ILacs ou zone plate et horizontale à végétation négligeable et libre de


0,01 1
tous obstacles

Zone à végétation basse telle que de l’herbe, avec ou non quelques


obstacles isolés (arbres, bâtiments) séparés les uns des autres d’au moins 0,05 2
20 fois leur hauteur
Zone avec une couverture végétale régulière ou des bâtiments, ou avec
des obstacles isolés séparés d’au plus 20 fois leur hauteur (par exemple 0,3 5
des villages, des zones suburbaines, des forêts permanentes

IV Zone dont au moins 15% de la surface sont recouverts de


1,0 10
bâtiments dont la hauteur moyenne est supérieure à 15m

Les rugosités III et IV concernent approximativement 70% des bâtiments.


 
Pour le calcul du coefficient d’orographie C0(z) :

Les effets de l'orographie peuvent être négligés lorsque la pente moyenne du terrain au vent
est inférieure à 3° Donc on prend C0(z) = 1

Calcul de la pression dynamique de pointe :

ρ = masse volumique de l'air = 1.225 kg/m3


Iv = intensité de turbulence qui dépend du coefficient de turbulence kl dont la valeur recommandée est 1

La pression résultante sur les parois s'obtient par la formule : w = we - wi = (cpe-cpi) x qp.
.
Les pressions intérieures et extérieures doivent être considérées comme agissant simultanément
 
Coefficients de pression intérieurs (effets du vent sur les surfaces intérieures)
 
 
De manière simplifiée, nous pouvons considérer :
Bâtiment en surpression : Cpi = +0.2
Bâtiment en dépression : Cpi = -0.3
Ces valeurs sont recommandées lorsqu'on ne connaît pas la perméabilité des parois du bâtiment (note 2 paragraphe 7.2.9 NF EN 1991-1-4).
Situation accidentelle : Cpi = 0.9 Cpe (au vent) --> en considérant Cpe = 0.8 (face dominante au vent de plus de 10m²) d'où Cpi = 0.72

Coefficients de pression extérieurs (effets du vent sur les surfaces extérieures)


 
 
Les coefficients sont donnés pour des surfaces chargées de 1m² ou inférieur (Cpe,1) et 10m² ou supérieur (Cpe,10).
Pour les surfaces intermédiaires entre 1 et 10m², on peut utiliser une interpolation logarithmique : Cpe,A = Cpe,1 - (Cpe,1 - Cpe,10) x log10 (A)

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