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ISGA Rabat
Master 1
Comptabilité, Contrôle et Audit
Rapport de stage
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REMERCIEMENTS :
- M. KOFFI ARNAUD, Chef du service Comptabilité générale mon maître de stage et son
équipe à savoir :
Pour m’avoir accordé Leur confiance et m’avoir guidé pendant cette période de stage de trois
(03) mois.
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INTRODUCTION
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PREMIERE PARTIE
PRESENTATION
GENERALE ET
ORGANISATION DE LA
NCA Ré
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I. Historique
La Nouvelle Compagnie Africaine de Réassurance (NCA Ré) est une société privée de
Réassurance, créée à Abidjan en République de Côte d’Ivoire le 17 novembre 2012. Elle s’est
dotée d’un capital de 10 909 037 000 F CFA (16 630 700 Euros) réparti comme suit :
Notons que les actionnaires de la NCA Ré sont tous des sociétés ou opérateurs
économiques majoritairement de la zone CIMA (Confédération Interafricaine des Marchés
d’Assurances).
Il est bien de souligner aussi que la Rétrocession de la société est placée auprès de
réassureur internationaux et régionaux, en vue d’allier la renommée au souci de renforcer la
coopération avec les autres réassureurs africains.
A la zone CIMA
A l’Afrique Hors CIMA
Au Moyen Orient
Marché.
1. LOCALISATION DE LA NCA Ré
La nouvelle compagnie de réassurance est située à Abidjan COTE D’IVOIRE dans la
commune de Cocody plus précisément à la rivera abatta (proximité supermarché AB
center)
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2. OBJECTIF DE LA NCA Ré
Dans le but d’être encore plus productive et efficace dans le secteur de la réassurance, la
NCA-Ré s’est fixé un objectif de : poursuivre son développement tant au niveau des pays de
la CIMA que dans le reste de l’Afrique et du Moyen-Orient tout en gardant à l’esprit la
satisfaction des partenaires
La société anonyme est une société anonyme de droit ivoirien et régie par le code des
assurances de la CIMA (Conférence Interafricaine des Marché D’Assurances).
5. MARCHE DE LA NCA Ré
Les activités de la NCA Ré s’étendent sur toute l’Afrique entière et dans le Moyen-Orient.
Elle dispose de responsables chargés de marchés suivants :
Ces différents responsables lui permettent de contrôler les activités dans les différentes zones.
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Les marchés les plus importants en Afrique sont dans les pays suivants : Côte d’ivoire,
Congo, Gabon, Ghana, Liban, Sénégal, Yémen etc.
II. LA REASSURANCE
1. DEFINITION
Compagnies d’assurances. En réalité, il s’agit d’un contrat par lequel une société
Réalisation du risque, une partie des sommes versées au titre des sinistres et
Perçoit en contrepartie une portion des primes originales versées par le ou les assurés.
Le réassureur ne traite en principe qu’avec des assureurs, des courtiers et d’autres réassureurs
c’est pour cette raison que cette activité est souvent méconnue du grand public.
2. HISTORIQUE DE LA REASSURANCE
La réassurance n’est apparue que bien après l’assurance, car, tout naturellement, les premiers
assureurs se limitèrent à donner une garantie à hauteur de leurs propres ressources. Quelques
dates :
-1347 : la première police d’assurance connue est une police maritime, établie à
Gênes.
- 1370 : sur une police maritime couvrant un trajet de l’Italie aux Pays-Bas, la portion de
voyage qui semblait la plus dangereuse est réassurée, l’assureur gardant pour son propre
compte le trajet effectué en Méditerranée.
-1584 : on note, sur un trajet de Marseille à Tripoli, une police maritime avec trois
souscripteurs.
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-1666 : après le Grand Incendie de Londres, apparition des premières assurances terrestres, en
Grande Bretagne.
-1681 : ordonnance maritime de Colbert, ministre de Louis XIV : s’il advient que les
assureurs ou aucun d’eux, après avoir signé en quelque police, se repentent ou aient peur, ou
ne voudraient plus assurer sur tel navire, il sera en leur liberté de faire réassurer par d’autres,
soit en plus grand ou en moindre prix.
-1688 : à Londres, Edward Lloyd ouvre un café qui devient rapidement un lieu de rencontre
pour les armateurs et les gens de mer. En 1696, Edward Lloyd décide de publier un quotidien,
« Lloyd’s News », dont l’objet principal est de recueillir et de publier tous les renseignements
concernant les mouvements des navires. Le café Lloyd’s sert aussi de boîte postale pour les
clients, de salle des ventes pour les navires, et les courtiers trouvent commode de fréquenter
un lieu où se trouvent réunies tant de personnes susceptibles de s’intéresser à l’assurance
maritime. A la mort d’Edward Lloyd
En 1713, le café continue à fonctionner avec succès. Le Lloyd’s List paraît à un rythme
hebdomadaire depuis 1734 (cf. page 46 : comment fonctionnent les Lloyd’s).
-1821 : le 15 décembre est conclu le premier traité de réassurance, entre la Compagnie Royale
d’Assurances, à Paris, et Les Propriétaires Réunis, à Bruxelles. C’est un Excédent de plein et
sa capacité, fort modeste, est de 1 plein.
-1871 : par un acte du Parlement britannique, le Lloyd’s Coffee House devient une
corporation. C’est à dire une entité légale, sous le nom de LLOYD’S.
-1880 : apparition de la première réassurance non proportionnelle, avec calcul d’une prime
spéciale qui n’a plus rien à voir avec la prime originale.
-1891 : une loi anglaise précise qu’un assureur qui émet une police maritime est autorisé à la
réassurer
3. ACTIVITE
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La réassurance, un secteur peu connu consiste pour le Réassureur à prendre des risques
(affaires souscrites par une Compagnie d’Assurance) derrière l’Assureur. C’est un type de
couverture, de sécurité pour la société d’Assurance.
4. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
La réassurance est un concept assez amusant car cela consiste pour une compagnie
d’assurance à s’assurer. L’assurance semble tellement indispensable que même les
compagnies d’assurance ont besoin de s’assurer. En règle générale, il faut dire que les valeurs
en matière d’argent dans les sociétés modernes, ont
« Explosé » et désormais un assureur peut se retrouver à assurer une société pour des
montants exorbitants. La réassurance permet donc aux assurances de pouvoir assurer un
risque pour des montants extrêmes. Comment fonctionne la réassurance ?
L’assureur entre en relation avec un réassureur pour transférer une partie du risque qu’il a
contracté avec un client. Dans ce cas, c’est l’assureur qui doit reverser une prime d’assurance
au réassureur. Cette prime sera elle aussi calculée en fonction du risque. L’assureur devient
alors comme nous un client banal qui doit s’assurer pour garantir un risque qu’il pense ne pas
pouvoir couvrir seul. Le traitement est le même et votre assureur qui est en affaire avec un
réassureur devra procéder de la même manière que lorsque que vous souscrivez un contrat
d’assurance. Votre assureur achète une garantie au réassureur et lui reverse donc une prime
pour lui transférer une partie du risque. Ainsi, si le risque pour lequel votre assureur vous
assure se réalise, il ne devra pas payer en totalité le montant des remboursements. Comme
tout assuré, en cas de sinistre votre assureur va déposer une requête auprès du réassureur pour
se faire rembourser une partie des dégâts. Ainsi le réassureur dédommagera l’assureur qui à
son tour vous remboursera avec d’une part ses propres fonds et d’autre part l’argent du
réassureur. Il faut savoir qu’il existe deux types de réassurance.
a) La réassurance facultative
La compagnie d’assurance cédante procède à la cession alors que le réassureur est la partie
couvrante du risque (en entier ou en partie) qui est couvert par une police d’assurance unique.
Ce cas est assez récurrent dans le domaine industriel qui présente du vrai risque ainsi que les
risques particuliers exigeant un savoir précis pour les risques de technologie de pointe.
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On parle de la réassurance obligatoire une fois que la négociation est opérationnelle sur une
branche d’assurance. Ainsi, la compagnie d’assurance est censée tenu son engagement de
céder l’ensemble des risques faisant partie de ladite branche alors que la compagnie de
réassurance est censée accepter ces risques en les assurant dans le cadre de traité.
2. STRUCTURE DE L’ORGANISATION
La structure d’une organisation définit la manière dont sont répartis les rôles des individus qui
la composent et les moyens mis en place pour assurer les relations entre ces derniers. Elle
résulte de la division du travail et de la nécessaire coordination entre les tâches. Par
conséquent la structure définit de façon formelle pour chaque membre de l’organisation, sa
place dans l’entreprise en fonction des tâches qu’il doit réaliser, son niveau hiérarchique, ses
relations avec les autres membres de l’organisation.
Cette organisation varie considérablement d’une entreprise à l’autre. Les différents services
représentent le socle de toute entreprise. Au sein de la NCA Ré les services sont les suivants :
- Archiviste
- Assistantes de direction
- Contrôleur de risques
- Crédit caution
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- Le service comptabilité générale
- Le service informatique
- Le service production
- Le service recouvrement
- Le service sinistre
- Le service technique
- Le service trésorerie
- Moyens généraux
- Rétrocession
- Souscription vie
- Standard
La direction générale est la mission confiée a celui qui est investi en tant que directeur
général. Le DG appuie les directeurs dans leur mission et elle assure les fonctions
transversales concernant la paie, la comptabilité et les relations sociales. Il contrôle la gestion
et les modalités de prise en charge des personnes accueillies, et il est assisté par une
assistante.
Les missions du DAF et son service consistent à : contrôler la comptabilité de l’entreprise et
la bonne gestion de sa trésorerie, soit valider la rentabilité de l’entreprise. Développer des
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outils d’aide a la prise de décision. Valider la solvabilité, soit sa capacité à rembourser ses
dettes il se fait assister d’une assistance et a plusieurs services qu’elle dirige :
- Le services trésorerie
- Le service comptabilité générale
- Le service recouvrement
- Le service des moyens généraux
- Le service des ressources humaines
DIRECTION TECHNIQUE
Au sein d’une entreprise qui conçoit ses produits mais externalise sa production, le rôle du
directeur technique se concentre sur la conception technique des produits et sur le respect du
cahier des charges (démarche qualité) par les sous-traitants ou partenaires industriels. Le
directeur technique a sous sa direction plusieurs service dont :
- Le service production
- Le service sinistre
DIRECTION MARKETING
La NCA Ré possède aussi d’autres services qui lui donne d’être encore plus efficace :
-Les assurances
-Les formations
SERVICE RECOUVREMENT
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Ce service s’occupe d’encaisser les primes et de payer les primes auprès des clients
(personnes physiques ou morales).
SERVICE SINISTRE
Ce service traite les demandes de remboursement adressées par les cédantes aux réassureurs
sur des sinistres. Lorsqu’une affaire cédée à NCA Ré est affectée par un sinistre, la cédante,
après avoir payé l’assuré saisi le service sinistre de son réassureur pour obtenir le
remboursement de sa quota part. C’est donc un service qui a la charge de réceptionner,
enregistrer, suivre les réclamations de sinistres de la cédante. Il est compétent pour conclure
de la suite à donner au dossier de réclamation des suites des examens voire analyses
techniques appropriés.
SERVICE PRODUCTION
- Suivi de l’affaire ;
SERVICE INFORMATIQUE
- Assister les utilisateurs dans leurs tâches quotidiennes sur l’outil informatique ;
- Effectuer les travaux de développement logiciel pour la gestion des activités de l’entreprise ;
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SERVICE COMPTABILITE
SERVICE TRESORERIE
Ce service se charge :
STANDARD
Ce service se charge d’accueillir et de réceptionner tous ce qui entre dans l’entreprise, reçoit
et émet des appels.
LA RETROCESSION
Ce service se charge de trouver des partenaires qui puissent accepter les risques pour
lesquelles leurs engagements excellent leurs capacités de souscriptions.
MOYENS GENERAUX
Ce service met à la disposition du personnel tout ce dont il a besoin pour exercer les activités
de l’entreprise. Veille à la propriété de l’entreprise et son environnement.
BRANCHE VIE
ARCHIVES
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Le service d’archives se charge de la gestion de l’archivage, c’est-à-dire de la collecte des
documents d’archives, le contrôle de la tenue des archives intermédiaire, le tri, le classement,
rangement au quotidien afin de ne pas succomber à la masse de document archiver.
En ce qui concerne NCA Ré les documents ou dossiers sont classés en deux zones :
DEUXIEME PARTIE :
TRAITEMENT DES
PIECES
COMPTABLES ; CAS
DE LA NCA Ré
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CHAPITRE I : GENERALITE SUR LE TRAITEMENT DES PIECES COMPTABLES
DEFINITON
Les procédures de traitement sont les méthodes et les moyens mis en œuvre par l’entreprise
pour obtenir les livres, comptes et états récapitulatifs. C’est aussi une procédure
d’enregistrement des opérations selon un système comptable donné ; il s’agit de l’imputation,
la saisie et la validation générale faite par le chef d’équipe ou le chef de cellule.
I. PLAN COMPTABLE
Le plan comptable des entreprises de réassurances est régi par le code CIMA contrairement
aux entreprises commerciales régies par l’OHADA ; Le plan comptable contient la liste
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intégrale des comptes comptables devant être utilises en comptabilité. Cela permet
d’enregistrer les opérations comptables en respectant les règles comptables. Cependant, la
NCA Ré a spécifié la liste de ces comptes de sorte que celle-ci puisse refléter la réalité de son
fonctionnement tout en restant conforme aux recommandations du plan CIMA
Ceux-ci sont eux même subdivisés en comptes divisionnaires (3 chiffres) qui à leur tour sont
ventilés en sous comptes (4 chiffres dont le dernier est également numéroté de 0 à 9). Les
chiffres qui codifient les comptes se lisent toujours à partir de la gauche. Les classes du cadre
comptable sont aménagées de manière à séparer :
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-les comptes spéciaux (classe 0)
89. Bilan
Ce plan comptable (plan interne) est imposé à toute entreprise de réassurance selon le code
CIMA.
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CHAPITRE 2 : LE TRAITEMENT DES PIECES COMPTABLES
1. DEFINITION
Les pièces comptables sont des supports qui viennent justifier les opérations comptables. En
principe, toute opération réalisée doit faire l’objet d’un écrit a défaut de passer inaperçues. La
preuve est l’un des principes importants en comptabilité se matérialisant par un document
justificatif dit pièce comptable. La pièce justificative permet de comprendre pourquoi
l’opération a été enregistrée. De ce fait, elle doit comporter les informations les plus
essentielles
Le prix brut ;
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Les adresses du client ou du fournisseur ;
Le numéro de la facture ;
La TVA.
-La facture doit être conforme à la commande, elle entraine pour le client l’obligation de
payer et pour le fournisseur l’obligation de livrer les biens et services.
- Les bons de caisse : Ce sont des pièces comptables qui permettent de déterminer les entrées
et les sorties d’argent c’est-à-dire les recettes et les dépenses
- Les décharges : Ce sont des pièces comptables permettant de connaitre les sorties d’argents
c’est-à-dire les dépenses,
- Les bons de commande : Ce sont des pièces comptables permettant d’acheter (sur
conditions) des articles /marchandises chez un fournisseur, (voir annexe 5)
- Les relevés bancaires : C’est une situation des différents mouvements (nature des
opérations) des comptes que la banque adresse à son client pendant une période donnée. C’est
une pièce très utile à la comptabilité car, non seulement elle sert d’élément justificatif, mais
elle permet aussi d’effectuer des rapprochements bancaires pour pouvoir mieux suivre la
situation financière de l’entreprise.
Le relevé bancaire, comme toutes autres pièces suivent la même procédure administrative
avant le traitement.
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désignation de l’opération, numéro IFU et le montant
Relevé bancaire Titulaire du compte, domiciliation (code banque-agence-numéro de
compte-clé RIB) identification internationale, IBAN Adresse SWIFT
Chèques Date de création, numéro, nom du tireur, montant, signature
Pieces de caisse Date de création, nom du bénéficiaire, numéro, montant
Les pièces comptables subissent un traitement qui comprend plusieurs étapes depuis leur
réception jusqu’à leur classement. Il s’agit de l’imputation, de la saisie, et de la validation
générale faite par le chef d’équipe
L’imputation comptable est un principe de comptabilité qui consiste q enregistrer une écriture
comptable dans la catégorie qui lui est attribuée par le plan comptable général (PLAN CIMA)
Il s’agit d’affecter au compte dans lequel il doit être enregistré. A chaque opération comptable
correspond un compte précis. Cela se fait soit par une fiche d’imputation ou directement sur la
pièce comptable. Elle est faite en conformité avec le plan comptable de la société et par nature
de la charge.
L’achat est un contrat verbal ou écrit entre un fournisseur et son client au cours duquel le
fournisseur décide de vendre la marchandise a son client moyennant un règlement au
comptant ou un règlement a une échéance connue entre les deux parties. Dans ce cas,
l’imputation comptable consistera à débiter le compte de charge par le crédit du compte
fournisseur ou un compte de trésorerie.
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III. PAIEMENT DES FACTURES EN COMPTABILITE
1. DEFINITION
Le paiement se défini comme l’action de payer les factures qui parviennent à l’entreprise.
L’on procède par une demande qui implique la signature du demandeur, du directeur finance
comptabilité et du directeur général.
Il s’agit en fait d’établir une facture qui consiste à débiter le compte de charge par le crédit du
compte fournisseur ou un compte de trésorerie soit par chèque ou en espèces.
Notons que N°EBP est attribué par le logiciel de comptabilité lors de la saisie des pièces
comptables. C’est le numéro qui nous permet de chercher facilement les pièces comptables.
2. MODE DE PAIEMENT
Tout paiement s’effectue lorsque le directeur général lors de la saisie a donné son accord sur
l’état de paiement. Il transmet l’information a l’agent comptable qui a son tour fait appel au
fournisseur par message ou appel téléphonique pour le paiement de sa facture, sa prime etc…
en espèce ou par chèque.
PAIEMENT EN ESPECES
Ce mode de paiement concerne les petits fournisseur, clients ou prestataires c’est-à-dire que le
montant de la facture n’est pas important. Ces fournisseurs viennent se faire payer auprès de
l’agent comptable au bureau en acquittant sur leur facture ou en remplissant une décharge
(pièce de sortie). Il arrive des cas ou des fournisseurs se font payer dans leur bureau par
l’agent comptable ou l’agent de liaison.
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Il est effectué lorsque le montant de la facture du client est élevé. Ce mode de paiement est
généralement effectué au bureau du comptable.
Cette opération se fait lorsque le montant de la facture est important (supérieur à 100 000
FCFA). Aussi dans ce cas de paiement le fournisseur se trouve dans une autre localité (à
l’étranger). Après le paiement l’agent comptable procède à l’enregistrement des pièces
comptables (fiche d’imputation virement).
Cette opération consiste à enregistrer les diverses opérations (achat, virement, caisse…) sur
un logiciel comptable. Ce logiciel donne un numéro d’ordre selon sa situation dans la saisie.
Dans ce journal, on enregistre chaque pièce suivant sa nature en passant par les étapes
suivantes :
- Numéro de la pièce
- Date
- Libellé ou sujet
- Numéro de compte au débit avec le montant
- Numéro du compte au crédit avec le montant
V. LA TRESORERIE
Les disponibilités d’une entreprise correspondent à ses actifs les plus liquides. Font donc
parties de la disponibilité de la NCA Ré, le compte caisse et les soldes disponibles sur ses
comptes bancaires. Analyser la trésorerie consiste à écrire les procédures d’entrée et de sortie
de fonds pour chacun de ces comptes.
1. LA CAISSE
La caisse représente les espèces que l’entreprise possède. La caisse est un compte d’actif qui
enregistre les mouvements des liquidités au cours de l’exercice et ne doit jamais être
créditeur. Le compte caisse représente la valeur des espèces. Il a comme caractéristique de ne
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pas affecter une recette particulière une dépense particulière. C’est le principe d’unité de
caisse.
2. LE RAPPROCHEMENT BANCAIRE
Après l’étape de la saisie des opérations effectuées, les fiches d’imputation et factures
constituent des à présent des pièces justificatives. Elles seront ensuite rangées de façon
chronologique dans les classeurs sur lequel seront marqués des éléments suivants :
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Conclusion
La comptabilité est devenue de nos jours une fonction importante au bon fonctionnement des
entreprises. Principale source d'information fiable et sincère, elle permet aux associés d'avoir
une situation claire du déroulement des activités et de prendre les décisions adéquates pour le
bon fonctionnement de l'entreprise. Tout ceci montre l'importance de la comptabilité dans le
développement des affaires aussi bien à l'intérieur d'un pays qu'au niveau international. Un
stage effectué au sein de l'entreprise NCA Ré et qui a porté sur le traitement des pièces
comptables nous a été très bénéfique. Il nous a permis de nous plonger dans le monde
professionnel et de renforcer nos connaissances en matière de comptabilité.
- effectuer la collecte chronologique des pièces comptables et à les ranger dans des classeurs
en fonction des opérations effectuées ;
- utilisé nos connaissances en comptabilité générale pour les imputations des différentes
pièces, les demandes de paiements et des virements.
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ANNEXES
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Annexe 2 : exemple de bon de caisse
BON DE CAISSE
Remis à M. DJODJONE JEAN CLAUDE
Titulaire de la CNI
La somme de 10 000 FCFA (DIX MILLE FRANCS CFA)
Motif du décaissement REGLEMENT FRAIS TRANSPORT BANQUE BOA
Date 19/08/2021
CAISSIER BENEFICIAIRE
PIECE FIACH0806
FICHE JOURNAL
NATURE
ACHAT
REGLEMENT
D’IMPUTATION DATE OPERATION 23/08/2021
N°EBP
EFFECTUE PAR Renseignements sur l’operateur VALIDE PAR Renseignements sur le responsable
NOM ET PRENOMS NOM ET PRENOMS
ARNAUD KOFFI Gnakoua Fati
FONCTION FONCTION
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COMPTABLE RESPONSABLE FINANCIER
PIECE FIACH0805
FICHE JOURNAL
NATURE
ACHAT
REGLEMENT
D’IMPUTATION DATE OPERATION 23/08/2021
N°EBP
EFFECTUE PAR Renseignements sur l’operateur VALIDE PAR Renseignements sur le responsable
NOM ET PRENOMS NOM ET PRENOMS
ARNAUD KOFFI Gnakoua Fati
FONCTION FONCTION RESPONSABLE FINANCIER
COMPTABLE
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Annexe 4 : exemple de demande de paiement
NUMERO
DEMANDE DE DP0042512803
PAIEMENT DATE
24-08-2021
COMPTABLE FINANCE-COMPTABILITE
VISA DU DEMANDEUR Date et signature du demandeur MONTANT MODE PAIEMENT
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DATE 24-08-2021
NATURE
N°EBP
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Table des matières
REMERCIEMENTS ……………………………………………………………………………………………………………………2
INTRODUCTION........................................................................................................................3
PREMIERE PARTIE …………………………………………………………………………………………………………4
I. Historique.............................................................................................................................5
1- LOCALISATION DE LE NCA RE …………………………………………………………………………………………5
2- OBJECTIF DE LA NCA RE ………………………………………………………………………………………………5
3- LES DIFFERENTES BRANCHES ………………………………………………………………………………………6
4- FORME JURUDIQUE ……………………………………………………………………………………………………6
5- MARCHE DE LA NCA RE …………………………………………………………………………………………………6
II. LA REASSURANCE ………………………………………………………………………………………………………7
1- DEFINITION ………………………………………………………………………………………………………7
2- HISTORIQUE DE LA REASSURANCE …………………………………………………………………………7
3- ACTIVITE ………………………………………………………………………………………………………………8
4- PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT ……………………………………………………………………………9
a) LA REASSURANCE FACULTATIVE ………………………………………………………………………9
b) LA REASSURANCE OBLIGATOIRE ………………………………………………………………………9
III. ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA NCA RE …………………………………………………10
1- LE CONSEIL ……………………………………………………………………………………………………………10
2- STRUCTURE DE L’ORGANISATION …………………………………………………………………………10
3- FONCTIONNEMENT ………………………………………………………………………………………………11
35
CONCLUSION ……………………………………………………………………………………………………………25
ANNEXE ……………………………………………………………………………………………………………………26
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