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Chapitre 0
Notions de base
Critères de Nyquist
Régénération
Egalisation
Xavier LLOP
Transmissions Numériques
Notions de base
I. Introduction :
Une information numérique peut être représentée par des signaux qu’on
peut grouper en deux familles :
1
Pour un signal x(t) déterministe
X(f)
-FR 0 FR f
𝐴𝑚
𝑋 ′ (𝑓) = 𝑇𝐹[𝑥(𝑡) × 𝐴𝑚 cos(𝜔𝑡)] = 𝑋(𝑓) ∗ [𝛿 (𝑓 + 𝑓𝑐) + 𝛿 (𝑓 − 𝑓𝑐)]
2
𝐴𝑚
= [𝑋(𝑓 + 𝑓𝑐) + 𝑋 (𝑓 − 𝑓𝑐) ]
2
X’(f)
Info. num = {di} = suite discrète de symboles rythmée par une horloge de période
T. A chaque symbole (ou moment) est associé un signal élémentaire s i(t) de durée
f
T.
2
Exemple : s(t) est le formant
0 T t
S(t)
0 T 2T 3T 4T 5T 6T t
00 01 00 11 10 00
En 6T, on transporte l’information contenue dans 12 bits (deux fois plus de bits
1
que de symboles) => 𝐷̇ = 2𝐹𝑅 = 2 × = 2 × 𝑀̇ .
𝑇
3
En théorie chaque symbole (ou moment) peut prendre m valeurs. On parle
de transmission m-aire.
m est appelé valence de la transmission numérique.
𝐷̇ = 𝑀̇ 𝑙𝑏(𝑚)
4
Interférences Inter Symboles, critères de Nyquist et égalisation
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
5.3.7 Egaliseur récursif :
15
FORMULAIRE POUR LA THÉORIE DU SIGNAL
Ch
Laboratoire GIPSA, Département Signal et Images (CNRS, INPG, UJF), Grenoble, France
Christian.Jutten@inpg.fr
• cos(α + β) = cos α cos β − sin α sin β, • tri[(t−τ )/T ] : fonction triangle centrée sur τ , d’amplitude
1 et de largeur 2T (l’aire vaut T ),
• cos(α − β) = cos α cos β + sin α sin β.
• δ(t) : distribution de Dirac, satisfaisant δ(t) = 0 pour
1.2. Expression en fonction des angles doubles R +∞
6 0, et −∞ δ(t)dt = 1,
t=
• 2 sin2 α = 1 − cos 2α,
sin(πu)
• sinc(u) = πu : sinus cardinal de u (son aire vaut
• 2 cos2 α = 1 + cos 2α, 1).
• 2 sin α cos α = sin 2α.
2.2. Opérateur de répétition
1.3. Produits de fonctions trigonométriques
• repT (.) : répétition de . avec une période T ,
• 2 sin α sin β = cos(α − β) − cos(α + β),
P+∞
• 2 cos α cos β = cos(α − β) + cos(α + β), • repT (x(t)) = k=−∞ x(t − kT ),
1
2.4. Propriétés de la distribution de Dirac δ(t) 4.5. Développement en séries de Fourier (DSF) dans L2 (t1 , t1 +
R +∞ T)
• x(t0 ) = −∞ x(t)δ(t − t0 )dt
On utilise ψk (t) = exp j2π Tk t .
• x(t) ∗ δ(t) = x(t),
P+∞
• x(t) = k=1 αk exp j2π Tk t ,
• x(t) ∗ δ(t − t0 ) = x(t − t0 ),
R t +T
• λkk = t11 | exp j2π Tk t |2 dt = T ,
• x(t − t1 ) ∗ δ(t − t2 ) = x(t − t1 − t2 ),
R t1 +T
• δ(at) = |a|−1 δ(t). • αk = λ1kk hx, exp j2π Tk t i = 1
T t1
x(t) exp −
j2π Tk t dt.
• d(x, y)2 = kxk2 + kyk2 − 2ℜhx, yi • x(t) = F −1 {X(f )} : transformée de Fourier inverse.
hR i
t
• kxk2 = t12 |x(t)|2 dt , 5.3. Propriétés
• hx, yi =
R t2
x(t)y ∗ (t)dt. • La TF est linéaire : ax(t) + by(t) ⇋ aX(f ) + bY (f )
t1
• La TF conserve la parité.
4.2. Inégalité de Schwartz
• Si la fonction x(t) est réelle (imaginaire, resp.) im-
• |hx, yi|2 ≤ hx, xi.hy, yi, paire, X(f ) est imaginaire (réelle, resp.) impaire.
R 2 R
t t Rt
• t12 x(t)y ∗ (t)dt ≤ t12 |x(t)|2 dt. t12 |y(t)|2 dt.
5.4. Règles de calculs
Soit une fonction x(t), telle que x(t) ⇋ X(f ).
4.3. Orthogonalité de x(t) et y(t)
Rt • x(−t) ⇋ X(−f ) : retournement temporel,
• hx, yi = t12 x(t)y ∗ (t)dt = 0.
• x∗ (t) ⇋ X ∗ (−f ) : complexe conjuguée,
4.4. Développement sur une base orthogonale {ψk (t)}
P+∞ • x(at) ⇋ |a|−1 X(f /a) : effet Doppler,
• x(t) = k=1 αk ψk (t),
• x(t − t0 ) ⇋ X(f ) exp(−j2πf t0 ) : translation tem-
Rt
• αk = λ1kk hx, ψk i = λ1kk t12 x(t)ψk∗ (t)dt, porelle,
Rt
• λkk = hψk , ψk i = kψk k2 = t12 |ψk (t)|2 dt, • x(t) exp(j2πf0 t) ⇋ X(f −f0 ) : translation en fréquence
ou modulation,
Rt P+∞
• t12 |x(t)|2 dt = k=1 |αk |2 λkk . • dn
⇋ (j2πf )n X(f ) : dérivation sur t.
dtn x(t)
2
Soient deux fonctions x(t) et y(t), telles que x(t) ⇋ X(f ) et 5.8.2. Transformées de Fourier
y(t) ⇋ Y (f ), on montre le Théorème de Plancherel :
Les transformées de Fourier de signaux périodiques sont des
• x(t) ∗ y(t) ⇋ X(f )Y (f ), spectres de raies, aux fréquences n/∆, dont l’enveloppe spec-
trale est la transformée de Fourier d’une période du signal di-
• x(t)y(t) ⇋ X(f ) ∗ Y (f ). visée par la période ∆.
P+∞
• X(f ) = n=−∞ Xn δ(f − n/∆), avec Xn défini ci-
5.5. Transformées de Fourier de quelques signaux usuels
dessus,
• rect(t/T ) ⇋ T sinc(f T ) : fonction rectangle, P+∞
• Y (f ) = n=−∞ Yn δ(f − n/∆), avec Yn défini ci-
• tri(t/T ) ⇋ T sinc2 (f T ) : fonction triangle, dessus.
1
• exp(−at)ǫ(t) ⇋ a+j2πf : impulsion exponentielle 5.8.3. Transformées de signaux périodiques usuels
unilatérale,
• cos(2πf0 t) ⇋ 12 [δ(f + f0 ) + δ(f − f0 )] : signal cosi-
2a
• exp(−a|t|) ⇋ a2 +(2πf )2 : impulsion exponentielle nusoïdal,
double,
• sin(2πf0 t) ⇋ 2j [δ(f + f0 ) − δ(f − f0 )] : signal sinu-
2 2
• exp(−πt ) ⇋ exp(−πf ) : impulsion gaussienne, soïdal,
2πf0
• exp(−at) sin(2πf0 t)ǫ(t) ⇋ (a+j2πf )2 +(2πf0 )2 : sinu- • exp(j2πf0 t) ⇋ δ(f − f0 ) : phaseur à la fréquence f0 ,
soïde amortie, P 1
P
• k δ(t−k∆) ⇋ ∆ n δ(f −n/∆) : peigne de Dirac,
a+j2πf0
• exp(−at) cos(2πf0 t)ǫ(t) ⇋ (a+j2πf )2 +(2πf0 )2 : cosi- 1
nusoïde amortie. • δ∆ (t) ⇋ ∆ δ1/∆ (f ) : peigne de Dirac avec les nota-
tions abrégées,
P+∞ P+∞
5.6. Transformées de Fourier de distributions • n=−∞ Xn exp(j2πnt/∆) ⇋ n=−∞ Xn δ(f −n/∆):
1 δ(f ) signal x(t) périodique,
• ǫ(t) ⇋ j2πf + 2 : échelon unité,
P+∞
• Arep∆ {rect(t/θ} ⇋ n=−∞ Xn δ(f −n/∆) avec Xn =
1
• sgn(t) ⇋ : fonction signe, Aθ
∆ sinc(nθ/∆).
jπf
• ǫ(t) ⇋ 12 δ(f ) + 1
j2πf , 6.1.2. Relation entre corrélation et convolution
1
• sgn(t) ⇋ jπf . • Γxy (τ ) = x(τ ) ∗ y ∗ (−τ ).
5.8. Transformées de Fourier de signaux périodiques 6.1.3. Propriétés des fonctions de corrélation
Soient deux signaux x(t) et y(t), périodiques de même péri- • Symétrie hermitienne :
ode ∆.
◦ Γxy (τ ) = Γ∗yx (−τ ),
◦ Γxx (τ ) = Γ∗xx (−τ ),
5.8.1. Développement en séries de Fourier (DSF)
Les signaux étant périodiques, si les conditions de Diriclet • Bornes
sont satisfaites, on peut calculer les DSF de x(t) et y(t) : ◦ Cas général : |Γxy (τ )|2 ≤ Γxx (0)Γyy (0),
P+∞
• x(t) = n=−∞ Xn exp(j2πnt/∆), ◦ Pour x(t) = y(t) : |Γxx (τ )| ≤ Γxx (0),
R +∆/2
avec Xn = [ −∆/2 x(t) exp(−j2πnt/∆)dt]/∆, ◦ Γxx (0) ∈ R est l’énergie du signal.
P+∞ • Dans le cas de signaux réels, la fonction d’autocorrélation
• y(t) = n=−∞ Yn exp(j2πnt/∆),
R +∆/2 est paire et maximale en 0, où Γxx (0) est l’énergie du
avec Yn = [ −∆/2 y(t) exp(−j2πnt/∆)dt]/∆. signal.
3
6.1.4. Densité spectrale d’énergie • Inter-corrélation
R +∞ R +∆/2
• Γxx (τ ) ⇋ Sxx (f ) = −∞ Γxx (τ ) exp(−j2πf τ )dτ , ◦ Γxy (τ ) = 1
∆ x(t)y ∗ (t − τ )dt,
−∆/2
R t0 +∆
• Sxx (f ) = |X(f )|2 : densité spectrale d’énergie, ◦ Γxy (τ ) = 1
∆t0
x(t)y ∗ (t − τ )dt,
R +∞ P+∞
• Γxy (τ ) ⇋ Sxy (f ) = −∞ Γxy (τ ) exp(−j2πf τ )dτ : ◦ Γxy (τ ) = n=−∞ Xn Yn∗ exp(j2πnτ /∆), en util-
densité inter-spectrale d’énergie, isant le DSF de x(t) et y(t).
• Sxy (f ) = X(f )Y (f )∗ ,
6.3.2. Densités spectrale et inter-spectrale de puissance
6.1.5. Relations de Parseval Les densités spectrale et inter-spectrale de puissance sont les
R +∞ R +∞ transformées de Fourier de fonctions périodiques de périodes
• −∞ x(t)y ∗ (t)dt = −∞ X(f )Y ∗ (f )df , ∆. On obtient donc des spectres de raies, aux fréquences
R +∞ R +∞ k/∆, dont l’enveloppe spectrale est la transformée de Fourier
• −∞ |x(t)|2 dt = −∞ |X(f )|2 df , ou, pour le cas τ =
d’une période de la fonction de corrélation divisée par la péri-
0, R +∞ ode ∆.
Γxy (0) = −∞ Sxx (f )df : énergie du signal.
• Densité spectrale
6.1.6. Dérivation de la fonction de corrélation P+∞
◦ Sxx (f ) = n=−∞ |Xn |2 δ(f − n/∆), en util-
dΓxy (τ )
• dτ = Γx′ y (τ ) = −Γxy′ (τ ) isant le DSF de x(t),
1 2
◦ Sxx (f ) = ∆2 |X(f, ∆)| δ1/∆ (f ),
avec
6.2. Signaux à puissance moyenne finie X(f, ∆) = F{x(t, ∆)} = F{rect((t)/∆)x(t)}.
6.2.1. Fonctions de corrélation • Densité inter-spectrale
R +T /2
• Γxx (τ ) = limT →∞ T1 −T /2 x(t)x∗ (t − τ )dt : auto- P+∞ ∗
◦ Sxy (f ) = n=−∞ Xn Yn δ(f − n/∆), en util-
corrélation, isant le DSF de x(t),
R +T /2 1 ∗
• Γxy (τ ) = limT →∞ T1 −T /2 x(t)y ∗ (t − τ )dt : inter- ◦ Sxy (f ) = ∆2 X(f, ∆)Y (f, ∆)δ1/∆ (f ),
avec
corrélation. X(f, ∆) = F{x(t, ∆)} = F{rect((t)/∆)x(t)}
et Y (f, ∆) = F{y(t, ∆)} = F{rect((t)/∆)y(t)}.
6.2.2. Densités spectrale et interspectrale de puissance
6.3.3. Relations de Parseval
• Sxx (f ) = F{Γxx (τ )} : densité spectrale de puissance, R +∞ P+∞
• Px = Γxx (0) = −∞ Sxx (f )df = n=−∞ |Xn |2 .
• Sxy (f ) = F{Γxy (τ )} : densité inter-spectrale de puis-
sance,
7. SIGNAUX ALÉATOIRES
• Sxx (f ) = limT →∞ T1 |X(f, T )|2 , avec
X(f, T ) = F{x(t, T )} = F{rect(t/T )x(t)}. 7.1. Variables aléatoires
7.1.1. Densités de probabilité
6.2.3. Relation de Parseval
R +∞ On note pX (u) la densité d’une variable aléatoire (VA) X.
• Px = Γxx (0) = −∞ Sxx (f ).
• Si X et Y sont deux VA indépendantes, la densité de la
6.3. Signaux périodiques VA Z = X + Y est : pZ (u) = (pX ∗ py )(u),
Soient deux signaux x(t) et y(t), périodiques de même péri- • Si Y = f (X), avec f inversible,
ode ∆. pY (u) = pX (f −1 (u))/|f ′ (f −1 (u))|
4
Moment centré d’ordre k d’une VA continue ou discrète 7.3. Auto-corrélation
R +∞
• µ′k = E[(X − µ1 )k ] = −∞ (u − µ1 )k pX (u)du, On note de façon générale Xi = x(ti ) la VA associée au
processus aléatoire x(t) pour t = ti .
• µ′k = E[(X − µ1 )k ] = − µ1 )k Pr(X = ui ).
P
i (ui
7.3.1. Auto-corrélation statistique
Variance : c’est le moment centré d’ordre 2. On la note
fréquemment σ 2 plutôt que µ′2 . Cas général
R +∞ RR
• σ 2 = µ′2 = E[(X − µ1 )2 ] = −∞ (u − µ1 )2 pX (u)du, • RXX (t1 , t2 ) = E[X1 X2 ] = x1 x2 p(x1 , x2 )dx1 dx2 .
Dans le cas de la somme Z = X + Y de deux variables 7.3.5. Propriétés pour les signaux réels
aléatoires, la densité pZ (u) vaut : Les fonction d’auto-corrélation et d’auto-covariance ont les
R propriétés intéressantes pour des processus aléatoires réels.
• pZ (u) = pXY (x, u − x)dx,
De plus, en τ = 0, on a les relations énergétiques.
R
• pZ (u) = pX (x)pY (u − x)dx = (pX ∗ pY )(u), si X • elles sont paires,
et Y sont des VA indépendantes.
• le maximum est atteint en τ = 0 :
7.2.2. Théorème de la limite centrale
◦ |CXX (τ )| ≤ CXX (0)
Théorème 7.2.1 La distribution statistique d’une somme de ◦ |RXX (τ )| ≤ RXX (0)
n variables aléatoires indépendantes, possédant la même loi 2
◦ CXX (0) = σX ,
tend asymptotiquement vers une distribution gaussienne quelle
2
que soit la distribution des termes individuels. ◦ RXX (0) = σX + µ2X .
5
7.4. Densité spectrale de puissance (DSP) • RXY (τ ) = E[X(t)Y (t − τ )] (cas stationnaire).
Pour un processus aléatoire x(t), on ne peut pas calculer di- et d’inter-covariance :
rectement la transformée de Fourier, puisque x(t) ne peut pas
être décrit. Par conséquent, on ne peut pas calculer directe- • CXY (t1 , t2 ) = E[(X(t1 ) − µX )(Y (t2 ) − µY )]
ment sa DSP. On peut en revanche calculer sa fonction d’auto- = RXY (t1 , t2 ) − E[X(t1 ))E(Y (t2 )] (cas général),
corrélation par une moyenne statistique ou temporelle, et en
déduire sa DSP en appliquant le théorème ci-dessous. • CXY (τ ) = E[(X(t) − µX )(Y (t − τ ) − µY )]
= RXY (τ ) − µX µY (cas stationnaire).
7.4.1. Théorème de Wiener-Kintchine
7.5.2. Coefficient d’inter-corrélation
Le théorème de Wiener-Kintchine établit le lien entre la fonc-
tion d’auto-corrélation et la DSP pour des signaux aléatoires. Le coefficient d’inter-corrélation est défini par :
CXY (τ )
Théorème 7.4.1 La DSP d’un processus aléatoire station- • ρXY (τ ) = σX σY .
naire au sens large est le transformée de Fourier de sa fonc-
tion d’auto-corrélation : 7.5.3. Densité inter-spectrale
Z +∞
La densité inter-spectrale de puissance est la transformée de
SXX (f ) = RXX (τ ) exp(−j2πf τ )dτ.
−∞ Fourier de la fonction d’inter-corrélation :
6
8.3. Relation entrée-sortie entre corrélations 9.2. Opérateur de moyenne temporelle
En conséquence des formules entre DSP, par transformée de • g(t) = rect((t − T /2)/T ),
Fourier inverse, on a pour les auto-corrélations :
• G(f ) = sinc(T f ) exp(−jπf T ),
• RY Y (τ ) = Γgg (τ ) ∗ RXX (τ ) pour des signaux aléa-
• µy = G(0)µX = µX (moyenne),
toires, et
• Γgg (τ ) = tri(τ /T )/T (auto-corrélation).
• ΓY Y (τ ) = Γgg (τ ) ∗ ΓXX (τ ) si les signaux sont er-
godiques, ou certains à puissance moyenne finie ou à
9.3. Opérateur de filtrage passe-bas idéal
énergie finie (attention aux définitions de Γ).
Le filtre causal de largeur de bande B n’étant pas réalisable,
et pour les inter-corrélations : on décale g(t) de t0 .
• RY X (τ ) = g(τ ) ∗ RXX (τ ), pour des signaux aléa- • G(f ) = rect[f /(2B)] exp(−j2πf t0 ),
toires, et avec |G(f )| = rect[f /(2B)] et φ(G(f )) = −2πf t0 ,
• ΓY X (τ ) = g(τ )∗ΓXX (τ ) si les signaux sont ergodiques, • g(t) = 2Bsinc[2B(t − t0 )],
ou certains à puissance moyenne finie ou à énergie finie
(attention aux définitions de Γ). • Γgg (τ ) = 2Bsinc[2Bτ ] (auto-corrélation).
• Γgg (τ ) = δ(τ ) (auto-corrélation). Pour un signal x(t) réel, on a simplement h(t) = k ′ x(t0 − t).