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Ministère de l’Enseignement Ministry of Higher Education
Supérieur University of Ngaoundere
Université de Ngaoundéré
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PLAN DE TRAVAIL
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8.6 Torsion de cordon spermatique...............................................................................................7
8.7 Douleur prostatique.................................................................................................................7
8.9 Dysfonctionnement érectile....................................................................................................8
A- Impuissance...........................................................................................................................8
B- Priapisme...............................................................................................................................8
II. SIGNES PHYSIQUES........................................................................................................................8
1. Les constantes...........................................................................................................................8
2. Inspection des urines et bandelette urinaire.............................................................................8
3. Examen des fosses lombaires, des flancs et des hypochondres................................................8
3.1. Palpation et recherche de contact lombaire......................................................................8
3.2. Percussion des fosses lombaires........................................................................................8
4. Recherche du globe vésical........................................................................................................9
4.1. L’inspection........................................................................................................................9
4.2. Palpation hypogastre.........................................................................................................9
4.3. Percussion hypogastrique..................................................................................................9
5. Examen de l’urètre chez la femme............................................................................................9
B- SÉMIOLOGIE DE L’APPAREIL DIGESTIF...............................................................................................9
I. LES SIGNES FONCTIONNELS.........................................................................................................10
1. Douleur abdominale................................................................................................................10
2. Trouble du transit....................................................................................................................12
3. Les Hémorragies digestives......................................................................................................13
4. symptômes œsophagiens............................................................................................................13
4.1. Dysphagie.............................................................................................................................13
4.2. Symptômes de RGO : Pyrosis, régurgitations........................................................................13
5. Troubles de l’appétit....................................................................................................................14
6. Proctologie...............................................................................................................................14
II. SIGNES PHYSIQUES......................................................................................................................14
1. Inspection................................................................................................................................14
1.2. Examen extra-digestif......................................................................................................14
2. Palpation..................................................................................................................................15
3. la percussion................................................................................................................................16
4. Auscultation.............................................................................................................................16
5. Toucher rectal..........................................................................................................................17
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PARTIE A : SÉMIOLOGIE DU SYSTÈME URO-NEPHROLOGIQUE
La néphrologie et l’urologie sont deux disciplines très différentes bien qu’elles ne sont
pas totalement indépendantes et ceux sur quoi elles concourent tous à produire de l’urine.
Ainsi donc, il existe des pathologies qui attaquent le tissu rénal et l’arbre urinaire dont le
spécialiste traitant ce base sur les examens physiques et détecte les signes fonctionnels en
établissant une série d’anamnèse et avec des examens complémentaires à l’appui afin
d’irradier la maladie.
Une miction normale est volontaire, facile, indolore et complète en moins d’une minute.
1.1. Pollakiurie
C’est l’augmentation en fréquence des mictions. On parle de pollakiurie diurne lorsqu’il a
plus de six mictions par jour et de pollakiurie nocturne ou nycturie lorsqu’il y’a plus de deux
mictions nocturnes.
1.4. La polyurie
C’est une augmentation importante de la diuerese qui devient superieur a 3 litres par 24
heures . Elle peut reveler pluisieurs causes :
2.1. Dysurie
C’est une diminution du débit urinaire.
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Début de miction retardée
Jet faible voire miction goutte à goutte
Effort de poussée abdominale
Miction en plusieurs temps
Gouttes retardataires
Sensation de vidange vésicale incomplète
2.4 L’oligo-anurie
- L’oligurie c’est une diminution importante de la diurese qui devient inferieure a 300ml
par 24heures.
- L’anurie c’est toutes les fois que la sonde introduite dans la vessie d’un malade qui n’a
pas uriness depuis quelques heures ne ramene pas l’urine ce qui permet d’eliminer une
retension d’urine.
3. 1 Hématurie
A – définition
C’est la coloration rouge des urines due à la présence des globules rouges. Elle est dite
macroscopique si elle est visible à l’œil nu et microscopique lorsqu’elle n’est pas visible à
l’œil nue mais détecter par des examens complémentaires.
B- Caractéristique
Certaines caractéristiques peuvent orienter l’origine de l’hématurie :
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3.2 Hémoglobinurie
C’est la coloration rouge des urines par présence d’hémoglobine
3. 3 Myoglobinurie
C’est une coloration rouge foncée par présence de myoglobine dans les urines due à une
nécrose musculaire ischémique, traumatique.
3.4 Pyurie
C’est l’aspect troublé des urines par la présence importante de leucocytes altères et souvent
malodorantes.
3.5 Autres
Nous observons entre autres :
4. Uretrorragie
C’est l’extériorisation du sang par l’uretère en dehors des mictions.
5. Hemospermie
C’est la présence du sang dans le sperme traduisant souvent une cause infectieuse (prostatite,
urétrite, épididymite)
6. Écoulement uretreal-blennoragie
C’est l’écoulement liquidien par l’urètre en dehors des mictions. Ce symptôme est très
évocateur d’une MST. Ce liquide a pour caractéristiques : couleur, douleurs associées,
inflammation du méat urétéral. De l’autre part, on parle de blennorragie lorsque l’écoulement
est purulent et jaunâtre évocateur d’urétrite a gonocoque célébrèrent appelé chaude pisse.
7. 1 Fecalurie
C’est la présence des selles dans l’urine
7.2 La pneumaturie
C’est l’expulsion d’air aux cuirs de la miction
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8- Douleurs
8.2 Cystite
Elle s’exprime par deux signes irritatifs :
Ténesme vésical : douleur au niveau sus-pubienne a type de crampe
Brulures mictionnelles
8.5 Orchi-epididymite
C’est une infection de l’épididyme plus ou moins du testicule sur le foyer infectieux urinaire.
La douleur scrotale unilatérale, violente, pulsatile, irradiant selon le trajet du cordon (aine,
fosse iliaque homolatérale avec écoulement urétéral qui fait pense à un signe de Prehn positif
Siege : scrotale
Intensité : brutale, maximale et d’emblée
Type : colique, douleur non continue
Irradiation : ascendante inguinale
Durée : continue
Facteur déclenchant : aucun, signe de Prehn négatif
Signe associe : trouble du transit possible, fébricule
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8.9 Dysfonctionnement érectile
A- Impuissance
C’est l’impossibilité de maintenir une rection durant l’acte sexuel
B- Priapisme
C’est une érection prolongée, douloureuse sans désir sexuel.
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4. Recherche du globe vésical
Le globe vésical est la rétention d’urine dans la vessie. Une distension importante étire les
fibres musculaires et entraine une hypotonie de vessie (vessie arquée) Son diagnostic est
clinique et repose sur les éléments suivants :
4.1. L’inspection
Recherche parfois une voussure sus-pubienne visible en cas de globe volumineux dans la
region hypogastrique.
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système digestif d’où la nécessité de connaitre les signes fonctionnels et physiques du
système digestif.
1. Douleur abdominale
C’est le symptôme le plus fréquent. Afin d’étayer l’étiologie de cette douleur, il est
nécessaire de connaitre les neuf cadrant de l’abdomen par appui avec une série d’anamnèse, il
est plus facile de localiser l’organe touchés. Ainsi, les caractéristiques de la douleur
abdominale sont généralisées comme suit :
Douleurs Ulcéreuses
Siege : épigastrique
Intensité : nulle, à la douleur très intense
Type ++ : crampe, faim, douloureuse
Irradiation : absente
Durée : continue
Rythme : maximal à jeun
Facteur déclenchant : acidité
Facteur calmant : prise des antiacides, au cours du repas
Signe associes : vomissement fréquents
Signe négatif : absente de symptôme de RGO
Douleur biliaire
C’est la mise en tension des voies biliaires, soit de la vésicule biliaire par une lithiase
vésiculaire simple appelé colique hépatique ou cholécystite soit des voies biliaires
intrahépatiques.
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Siege : épigastrique
Intensité ++ : début brutal
Type : broiement
Irradiation : postérieur en hem ceinture
Type++ : broiement
Durée : continue
Rythme : non rythme au cours du repas
Facteur aggravant : décubitus favorisant l’enclenchement du calcul
Facteur calmant décubitus latéral droit
Signe associe : nausée, vomissement, fièvre
Douleur de pancréatite
Elle se traduit par une souffrance du pancréas cause par une inflammation, un cancer.
Siege : épigastrique
Intensité : très forte
Type++ : broiement
Irradiation : typique postérieure dorsale
Durée : continue en heure et en jours
Rythme : lie au repas
Facteurs déclenchant : repas riche en graisse, alcool
Facteur calmant : position chien de fusil
Signe associes : nausée, vomissement, pancréatite aigüe/chronique
Siege : diffuse
Intensité : très favorable
Type : spasme
Irradiation : absente
Durée : bref
Rythme : aucun
Facteur déclenchant : absent
Facteurs calmants : médicament antispasmodiques, vomissement
Signe associe : syndrome de Koenig, vomissement
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Douleurs anales
Nous notons éventuellement de fissure anale et thrombose hémorroïdaire :
Fissure anale
La fissure est favorisée par une constipation terminale. La symptomatologie évocatrice est
appelée syndrome fissulaire.
Thrombose hémorroïdaire
2. Trouble du transit
Comme trouble du transit, nous avons les nausées et vomissent, le syndrome occlusif, la
diarrhée, le syndrome rectal et la constipation.
La nausée ce définit comme étant une envie imminente de vomir. Elle s’accompagne
de manifestations vagale (sueurs, tremblements, hyper salivation)
Le vomissement étant le rejet par la bouche du contenu gastrique.
Ainsi donc, l’on recherchera toujours les complications sévères de vomissement répétés
non liée à la cause à savoir la déshydratation, l’hémorragie digestive inhalation avec
risque d’asphyxie aigue, de pneumopathie ou syndrome de détresse respiratoire appelé
aussi syndrome de de Mendelssohn.
Le syndrome occlusif
La diarrhée
Elle se définit comme étant l’émission des selles trop abondante a plus de 300 g/jrs et/ou
trop fréquentes a plus de 3jrs et/ou de consistance anormale (liquide ou glaireuse).
Existant sous deux formes aigues et chronique, la diarrhée aigüe ce manifeste depuis
moins de 14 jours dont la cause est d’origine virales, bactériennes et essentiellement
parasitaires. La diarrhée aiguë existent sous deux formes a savoirs le syndrome
chloriforme et dysentérique. D’une autre part, la diarrhée chronique est causées
fréquemment par des parasites et les causes non infectieuses prédominent et sont classés
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selon les mécanismes de la mal digestion, la malabsorption, d’une accélération du transit
ou diarrhée motrice.
Syndrome rectal caractérise par une épreinte, un ténesme et par des faux besoins.
Constipation : c’est le ralentissement du transit ou difficultés pour émettre les selles.
Existant sous deux formes, nous avons donc la constipation de progression et la
constipation terminale ou dysphasie ano-rectale.
C’est le rejet du sang par la bouche au cours d’un effort de vomissement. Elle traduit un
saignement situés en amont de l’angle de treizt c’est-à-dire en amont du jéjunum. Il existe
deux fréquente et grand causes de l’hématémèse :
Un malade suspect de cirrhose hépatique caractérisée par une hémorragie liée à une
hypertension portale associée à des dilatations de grosses veines et parfois à des
veinules de la muqueuse gastrique
Un malade sans suspicion de cirrhose dont la cause est l’hémorragie sur l’ulcère
gastrique et duodénal, du syndrome de Mallory Weiss.
C’est l’émission de sang par l’anus et dont l’origine est rectale ou en amont. Une
rectorragie de sang rouge provient habituellement de l’aval de l’angle colique gauche.
Les causes les plus fréquentes sont : des saignements hémorroïdaires, des fissures
anales, tumeur bénignes ou malignes du recto-sigmoïde, l’ulcère gastroduodénal
hémorragique.
4. symptômes œsophagiens
4.1. Dysphagie
C’est une sensation de gêne à la déglutition. Cette gêne survient pendant le passage du bol
alimentaire dans l’œsophage et le cardia. Cette sensation est souvent vécue comme un
blocage ou un accrochage des aliments.
Le pyrosis
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C’est une douleur retro-sternale ascendante a type de brulure qui prend son origine au niveau
de la pointe xiphoïdienne dont la durée est généralement brève.
C’est le retour involontaire du contenue gastrique ou œsophagien dans la bouche sans effort
de vomissement.
5. Troubles de l’appétit
- l’anorexie
Autres
6. Proctologie
Il existe d’autre signe fonctionnel proctologiques, en plus de la douleur anale nous avons
entre autre, le prurit anal et la tuméfaction anale.
On observe également s’il y a une mobilité abdominale respiratoire, une cicatrice qui
témoignent d’intervention chirurgicales, d’une coloration de l’ictère s’il y a une
coloration jaune des téguments par accumulation de bilirubine et d’une mélanodermie. De
plus, nous notons aussi une tuméfaction sous cutanée, d’une circulation veineuse
collatérale abdominale.
Au niveau des lèvres : on observe une érosion fissulaire des commissures labiales
parfois associée à une carence en fer et zinc.
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La langue est normalement humide et rosée, en pathologie elle peut être blanche dite
saburrale, sèche ou rôtie qui est un signe de déshydratation, lisse, brillante et dépaillée
qui nous fais suspectée a une anémie.
En ce qui concerne la conjonctive, elle peut avoir une coloration jaune, être pale faisant
signe d’une anémie.
Pour ce qui est de signe d’insuffisance d’hépatocellulaire, aucun signe n’est spécifique
mais l’association est très évocatrice comme sentir une odeur de pomme vert, la présence
des angiomes stellaires, des ongles blancs et cupuliforme faisant pensée a une
hippocratisme digital, une érythrose palmaire et aussi nous avons la présence des œdèmes
au niveau des membres inferieur.
2. Palpation
Le malade doit être détendu au maximum en décubitus dorsal, cuisse et genoux fléchis et
l’examinateur doit être à droite du patient. La palpation et ce faire avec la face palmaire d’une
ou de deux mains réchauffées en exerçant une pression progressive, cadrant par cadrant en
commençant par des zones non douloureuses.
Recherche également deux éléments les lombes à la recherche des œdèmes prenant des
godets, par des plis cutanés en pinçant la peau entre le pouce et l’index. Si le pli forme ne
disparait pas immédiatement après relâchement d’un pincement, il existe probablement une
déshydratation extracellulaire ou mixte.
L’abdomen normal est souple, depressible (il ne réagit pas à la palpation) et indolore. Les
réactions pariétales sont des phénomènes reflexes avec contraction de la paroi abdominale en
regard d’une zone d’inflammation intra-abdominale, ainsi ces réactions sont entre autres :
1.5 foie
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1.6 la splénomégalie
3. la percussion
3.1 Méthode
Elle se réalise en posant le majeur et l’index bien à plat sur l’abdomen en percutant avec un
doigt en crochet et en parcourant tout l’abdomen cadran par cadrant et ce réalise d’abord en
décubitus dorsal puis en décubitus latéral droit et gauche voire debout. Certaines sonorités
normales doivent être retrouvées comme :
3.2 Pathologie
4. Auscultation
Elle est moins décisive pour orienter les diagnostics. Elle recherche deux éléments a savoirs :
les bruits hydro-aériques et les souffles rectales.
Ce sont des bruits provoqués par le péristaltisme du tube digestif. L’auscultation normale
nécessite une durée longue d’écoute pour percevoir les bruits hydro-aériques.
Leurs absences ne sont pas constantes en cas de syndrome occlusif. Ces derniers sont au
contraire augmentés en cas d’occlusion sur obstacle. Ces bruits disparaissent en cas de
péristaltisme (occlusion fonctionnelle, infarctus mésentérique.)
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4.2. les souffles abdominaux
5. Toucher rectal
A- Indications
C’est un geste clinique essentiel, c’est un examen quasi-systématique devant des symptômes
digestifs et chez les personnes âgées, devant aussi une personne qui présente une douleur
abdominale vague.
B- Réalisations
Le malade doit être en décubitus dorsal ou latéral, jambe fléchies écartées en utilisant l’index
tout en inspectant la marge anal , puis le canal anal, en déplissant progressivement l’orifice
anal en demandant au patient de pousser.
C- Résultats
Marge et canal anal relate une fissure, ulcération, tumeur, prolapsus, une hémorroïde
externe ou interne
Tonicité du sphincter anal : volontaire et lors du reflexe anal a la toux
Sensibilité
Rectum : vacuité ou présence des selles, tumeur perceptible et caractéristique :
contours, consistance
Prostate
Cul-de-sac de Douglas: douleur provoquée, tuméfaction en faveur d’un abcès collecte
ou de nodule tumorale.
CONCLUSION
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En somme nous avons présenté dans notre travail les différents signes fonctionnels et
physiques du système uro-nephrologique et du système digestif. En effet, pour au préalable
maintenir son corps en bonne santé, l’on doit manger pour fournir à son organisme de
l’énergie et éliminer les déchets des aliments. Pour ce faire, pour avoir une ferme conviction
que son organisme est en bon état, il est préférable de se faire examiner afin d’avoir un bilan
de sante normal.
Reference:
fr.m.wikipedia.org
www.visiblebody.com