Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Composites
LES ARMATURES COMPOSITE
Yacine
1
Table des Matières
Résumé 4
Introduction 4
Définition 6
Structure et constituant des matériaux composites 6
IV. Normes 21
V. Perspective 22
VI. Conclusion 22
2
Tables des Figures
3
Résumé
La principale pathologie des ouvrages en béton armé est due à la corrosion des armatures en acier et
beaucoup de recherches se sont intéressées à l’utilisation d’armatures insensibles à la corrosion,
comme les aciers inoxydables ou plus récemment des armatures composites à fibres longues et à
matrice organique.
Cet article traite les armatures composites d’un point de vue technique, environnemental. Au plan
technique, les principaux codes de dimensionnement existants sont décrits et utilisés pour
déterminer la quantité d’armatures nécessaire pour chacune des solutions. L’influence de certains
paramètres clés pour le dimensionnement de structures en béton renforcées par armatures
composites est discutée. Pour la comparaison environnementale, trois modèles de poutres en béton,
armées avec les trois types d’armatures, ont été analysés en se limitant à la partie fabrication des
matériaux et transports des matériaux sur site. Les phases de mise en œuvre sur site, de vie en
œuvre et de fin de vie de l’ouvrage ne sont pas prises en compte dans les frontières de l’étude. Ce
travail préliminaire ouvre de nombreuses perspectives pour proposer aux maîtres d’ouvrage des
outils de prise de décision lors de la réalisation de nouvelles structures.
Introduction
Au Canada le quai municipal Marina de New Richmond, qui n’est plus accessible depuis quelque mois
est bel et bien dans un très mauvais état, l’inspection sous-marine dans son rapport déclara que :
« 25 des 132 pieux sont manquants et ont été observés au fond marin et les poutres de béton
armé du tablier du quai présentent de nombreuses zones d’éclatement avec armatures apparentes.
Les barres d’armature visibles sont très corrodées et certaines sont sectionnées. »
Nombreuses recherches menaient ont aboutis à adopter les matériaux composites comme recourir
adéquat a de nombreux phénomes tel que la corrosion, la durabilité, les changements thermiques et
notamment l’augmentations des charges non prédéfinies ; les charges routières à titre d’exemple
toute en permettant un renforcement considérable des structure et ouvrages.
4
I. Phénomène problématique de la corrosion des structures :
Dans des conditions normales, les armatures enrobées d’un béton compact et non fissuré
sont protégées naturellement des risques de corrosion par un phénomène de passivation qui
résulte de la création, à la surface de l’acier, d’une pellicule protectrice Fe2O3CaO, dite de
passivation.
Deux principaux phénomènes peuvent, dans certaines conditions, détruire cette protection
et initier la corrosion des armatures en acier :
5
Définition :
Parmi les premiers composites fabriqués par l'homme on trouve aussi les arcs Mongols (2000
ans av. J-C.) ; Leur âme en bois était contrecollée de tendon au dos et de corne sur sa face
interne, l’introduction des matériaux composites dans l’industrie moderne commença au
début du 19 -ème siècle ; à titre d’exemples :
Les matériaux composites procures des performances non négligeables et surtout dans le
secteur de construction matériaux d’enveloppes (second œuvre) compris et ossatures,
notamment une résistance remarquable au phénomène de corrosion et avantageuses contre
l’attaque des agents chimiques avec une isolation électrique et thermique.
Les études et recherches dans les dernières décennies ont permis au développement des
facteurs clés des matériaux composites comme l’ajustements propriétés mécaniques et des
facteurs de sécurité, des facteurs de rigidité et de la résistance chimique.
Le renfort, ou appeler également armure le plus souvent sous forme fibreuse ou filamentaire, assure
l'essentiel des propriétés mécaniques, quant à la matrice elle joue le rôle de liant afin de protéger le
renfort de l'environnement, de le maintenir dans sa position initiale et d'assurer la transmission des
efforts.
En général, les renforts sont des fibres comme la fibre de verre qui est la plus répandue
ou peut également prendre la forme de particules, le renfort classé selon ça matière
dans 3 catégories principales existante :
7
Figure 6 – Structure d’Armure composite –
b- La Matrice :
Dans un matériau composite, une matrice est une matière servant de liant qui maintient
le renfort et lui transférant les efforts mécaniques
Les matrices, ou résines lorsque sa composition est organique, sont classés selon leur
nature dans 3 catégories principales :
Les CMO ou composites à matrice organique, ce sont les matériaux les plus répandus,
on retrouve notamment les thermoplastiques et les thermodurcissables.
8
Figure 7 – CMO – Figure 8 – CMC – Figure 9 – CMM –
Les CMM ou composites à matrice métallique telle que le carbone ou le carbure de
silicium.
Moulage au contact
Ou Stratification en Procédé entièrement manuel, à
continu température ambiante et sans pression.
(polymérisation à
l'avancement)
9
L'enroulement filamentaire consiste à
Enroulement enrouler des fibres continues imprégnées de
filamentaire ou résine autour d'un mandrin en rotation
bobinage par drapage jouant le rôle d'un moule intérieur.
10
Pultrusion (passage Consiste en l'extrusion de profilés à section
au travers d'une constante et complexe par traction
filière puis continue, avec polymérisation dans un
polymérisation) moule fermé.
La corrosion des armatures en acier constitue la principale cause de dégradation des ouvrages en
béton arme et occasionnes d’importantes dépenses de maintenance et réparation.
Pour pallier ce problème, une solution apparue dans les années 1980 consiste à utiliser des
armatures en matériaux composites insensibles à la corrosion, ces armatures sont des barres de
Polymères Renforcés de Fibres (PRF), dont les plus courantes sont à base de fibres de verre, de
basalte, de carbone ou d’aramide.
Les armatures composites présentent des propriétés physiques assez différentes des armatures
en acier couramment utilisés en béton armé, il n’est donc pas possible de simplement remplacer
l’une par l’autre.
En effet, les armatures composites bien qu’ayant une limite élastique généralement assez élevée
(700 à 1200MPa à comparer aux 500MPa de nos aciers courants), demeurent fragiles (elles
cassent sans présenter de grandes déformations). Cependant les règlements en tiennent compte
en se tenant très éloignés des limites de résistance du matériau. On peut également préciser que
les armatures composites sont bien plus souples que l’acier, il est donc nécessaire de limiter
encore la traction sur ces fibres pour avoir un comportement comparable à un renfort en acier.
11
1- Les fibres des armatures composites :
Fibre de de verre :
La fibre de verre, sous forme de verres creux, verres plats et verres cellulaires, constitues les
principales familles de verre qui se compose d’un filament de verre, formées par procédé de cinq
étapes :
1- Affinage : extension continue du verre en fusion, chauffé à une température de 1500°C
2- Filage par étirement : le verre en fusion se transforme en filament en étant étiré à
grande vitesse ; la filature des filaments s'apparente en fait à la filature textile
classique pour produire un fil. Ce fil de verre se bobine ensuite autour d'une broche.
3- Ensimage : l'étirage et le bobinage n'ont pas suffisamment d'effet pour rassembler
durablement les centaines de filaments en un fil (le verre est trop lisse pour
s'agglomérer). L'ensimage consiste à ajouter un revêtement protecteur pour
permettre l'agglomération des filaments et faciliter l'intégration dans les polymères.
4- Finition : les fils sont ensuite bobinés ou coupés selon les finalités.
5- Séchage (oven drying) : les fils sont finalement séchés à des températures
de 700 à 800 °C.
Le renfort composite en fibre de verre (AKS) est une tige en fibre filamenteuse tissée de verre
(roving) droite ou torsadée, fixée avec une composition spéciale, ce sont généralement des
résines époxy synthétiques. Un autre type est une tige en fibre de verre enroulée avec de la
fibre de carbone, après enroulement, ces ébauches en fibre de verre sont soumises à une
polymérisation, les transformant en une tige monolithique, le renfort en fibre de verre a un
diamètre de 4 à 32 mm, une épaisseur de 4 à 8 mm est conditionnée en bobines, la baie
contient 100 à 150 mètres de barres d'armature. Il est également possible de découper en
usine, lorsque les dimensions sont fournies par le client.
- Faible poids : Vous obtenez une armature composite, qui est 8 fois plus légère que
celle en acier, ce qui réduit le poids total de la structure et la charge sur la fondation
sans perdre en résistance.
12
trop pour l'élagage de tiges métalliques. Lorsque vous renforcez, vous coupez la
barre de la longueur requise et ne joignez pas les fouets en fer 11. Les points les plus
faibles du cadre de renforcement sont les connexions des tiges métalliques ensemble
- Durabilité : La durée de vie des armatures en fibre de verre dans le corps du béton
contrairement à acier est supérieure à 100 années en raison de la résistance élevée
aux produits chimiques et à la corrosion des matériaux composites de renforcement.
- Transparence radioélectrique et propriétés diélectriques : Obtention d’une
augmentation de la transparence radio et une réduction de l'influence des champs
électromagnétiques.
Fibre de de carbone :
La fibre de carbone se compose de fibres extrêmement fines, d'environ 5 à
10 micromètres de diamètre, et est composée principalement d'atomes de carbone, ça
fabrication se déroule sous les étapes suivantes :
13
C=O, -OH … etc.), ces fonctions permettront par la suite une réticulation des
chaînes entre elles.
3- Carbonisation : Sous atmosphère inerte entre 1 000 °C et 1 500 °C conduit au
départ d'une grande partie des éléments H, N, et O, la cyclisation du polymère se
poursuit et on obtient une fibre ayant une structure désordonnée.
4- Graphitisation : On réalise un second traitement thermique à haute température
(plus de 2 000 °C) permettant d'éliminer presque totalement les éléments H, N,
et O, et d'augmenter le caractère graphitique de la fibre et donc ses propriétés
mécaniques.
Fibre de d’aramide :
Les aramides sont généralement préparés par la réaction entre un groupe amine et un
groupe halogénure d'acide carboxylique, les homopolymères AB simples ont la connectivité
[ NH−C 6 H 4 −CO ] n, des polymères aramides bien connus tels que Kevlar , Twaron , Nomex ,
New Star et Teijinconex sont préparés à partir de précurseurs de diamine et de diacide (ou
équivalent).
Les aramides sont divisés en deux types principaux selon l'endroit où les liaisons se fixent aux
anneaux, en numérotant séquentiellement les atomes de carbone autour d'un cycle :
a) Les para-aramides avec des liaisons attachées aux positions 1 et 4.
b) Les méta-aramides avec des liaison aux positions 1 et 3 et deux atomes séparés dans
les méta-aramides.
14
Figure 11 – Para-aramide – Figure 12 – Méta-aramide –
Les aramides partagent un haut degré d'orientation avec d'autres fibres telles que le
polyéthylène à poids moléculaire ultra élevé , une caractéristique qui domine leurs
propriétés par conséquent les inconvénients suivants :
Fibre de Basalte :
La résistance des fibres basalte aux incendies et aux environnements chimiques acides,
restent comme les fibres de verre très sensibles aux alcalins.
15
Armature a fibre de verre Armature a fibre de carbone 2-
Propriétés physiques :
Les densités des barres d'armature s'étalent de 1.67 à 2.04, alors que les masses linéiques
sonde 0.16 à 0.41.
Les résultats montrent que les taux d'absorption des barres vont de 0.315% à 3.533%, les
taux d'absorption des barres sont plus importants dans une solution alcaline que dans l'eau
et ceci est dû à l'agressivité de la solution alcaline par rapport à l'eau, soit à température
élevée, les taux d'absorption sont plus élevés qu'a température ambiante comme on pouvait
s'y attendre.
Propriétés mécaniques :
Essai de traction :
Les résultats en traction sur des barres en fibres de 9,5mm de diamètre montrent que le
comportement des barres est linéaire jusqu'à la rupture, comparativement à l'acier, on
remarque que la résistance en traction des barres en PRF est nettement supérieure :
Matériaux Contrainte Ultime (MPa) Module d’élasticité (GPa)
Acier de construction (12mm ⌀) 550 210
Fibre de verre type ISOROD (9,5mm ⌀) 675 44
Fibre de carbone type ISOROD (9,5mm ⌀) 1209 134
Fibre de verre type C-BAR (9,5mm ⌀) 802 49
Fibre de carbone type C-BAR (9,5mm ⌀) 1419 142
Essai de compression :
L'essai de compression n'est pas très significatif car on sait que le béton travaille très bien
à la compression, les barres ne seront, donne, pas soumise à des sollicitations de
compression.
Essai de flexion :
Le module élastique mesure en flexion semble équivalent au module élastique moyen en
tension dans le cas de la barre d'armature à base de fibres de verre avec une surface
sablée ISOROD.
16
Essai de cisaillement :
L'essai de cisaillement montre une légère variation de résistance des barres en fibres de
verre dépendamment du diamètre de la barre, confirmant ainsi que les fibres
n'interviennent pas beaucoup dans le mécanisme de cisaillement.
Essais environnementaux :
La perte de résistance en traction des barres d'armatures en PRF n'est pas significative
après 3 mois d'exposition dans des solutions chimiques : alcaline simulant le béton et
solution saline simulant l'eau de mer, la durée d'exposition n'a pas affecté les
caractéristiques mécaniques des barres d'armature d'une manière significative dans des
environnements agressifs.
Essai d’arrachement :
L'essai d'arrachement, ainsi la contrainte de cisaillement part d'une valeur maximum, se
situant proche de l'extrémité tendue de la barre, et diminue au fur et à mesure qu'elle
s'éloigne de cette extrémité. Ce comportement est caractéristique d'un comportement
élastique, pour les niveaux de chargement subséquents, on observe un déplacement de
la contrainte d'adhérence maximum vers l'extrémité libre de la barre, ce déplacement est
engendré par la cohésion ou la rupture partielle du béton situe à l'interface béton-barre.
17
Figure 15 – Contrainte de quelque type d’armatures composites commercialisées –
Avantages Inconvénients
18
les étriers, les épingles et autres sur
chantier d’où une préparation préalable
de formes quelconques à l’usine.
Résistance à la corrosion Très forte Très forte Très forte Très forte
19
4- Domaine recommandé d’application en Génie Civile :
Les recherches et étude menait dans le secteur des matériaux composite dans le domaine du
génie civile on aboutit à en déduire une satisfaisante performances en construction et
renforcements des ouvrages que celles de l’acier, voici quelques constructions applicables :
20
Renforcement d’aérodrome Pont maritime
IV. Normes :
Comme dans tout domaine, des normes et des règlementations concernant les armatures
composites ont été établie par de nombreux pays, voici les normes suivies par pays :
Normes au Canada :
- CAN/CSA-S6-06 (2006) Fiber Reinforced Structures, “Canadian Highway Bridge
Design Code” Canadian Standards Association;
- CAN/CSA-S806-02 (R2007) “Design and Construction of Building Components with
Fibre-Reinforced Polymers”.
Normes en Europe :
21
- Eurocrate 1996 « Guide de dimensionnement de structures en béton renforcées par
armatures en PRF »
- IStructE 1999 L’association britannique Institution of Structural Engineers, « guide de
dimensionnement considérant le renforcement par armatures en PRF »
- FIB 2000-2007 Fédération Internationale du Béton « Rapport technique sur les
propriétés d’adhérence des armatures de renfort du béton (fib Bulletin n° 10) ».
- CNR 2006 National Research Council, « Guide de dimensionnement de structures en
béton renforcées par armatures en PRF CNR DT 203/2006 »
Normes en Russie :
- P-16-78 (1978) « Recommandations pour les calculs des structures a base des
armatures en fibre de verre », NIIGB GOSTROIA URSS.
- ТР 013-1-04 (2004) « Recommandations techniques pour l’utilisation des armatures
non métalliques de profilés périodiques dans les structures en béton ».
- GОСТ 31938-2012 (2012) « Armatures composites polymères pour les structures en
béton armé ».
- Standard organisationnel de l’union national de constructeur (2013) L’utilisation
des armatures non métallique dans les structures en béton et géotechniques, NIC «
TUNNELS ET METRO »
Normes Britanniques :
- BS-8110 1997, « British Standard ».
Normes en Japon :
- JSCE 1997 « Japan Society of Civil Engineers »
V. Perspective :
Actuellement, les guides de conception des structures en béton avec des renforts en PRF
suggèrent que les formules prescrites dans les codes traditionnels du BA peuvent être utilisées
pour des PRF en pondérant les résultats à l’aide de facteurs de modification, ces facteurs sont
généralement basés sur la rigidité relative des PRF à l'acier et semblent fournir une corrélation
raisonnable par rapport.
VI. Conclusion :
22
Les renforts en Polymères Renforcés de Fibres (PRF) sont maintenant proposés comme une
solution alternative aux armatures en acier sujettes à la corrosion dans les infrastructures en
béton, et leurs utilisations de PRF peut diminuer les coûts de réhabilitation et éviter le
remplacement des structures endommagées par la corrosion.
Le marché du BTP, laisse les armatures PRF au tapis, pour une raison de vision des hautes
sphères du marché avec une absence de violentait de développement et d’induction de cette
nouvelle technologie ; un matériau révolutionnaire pour l’avenir qui peut être gâcher ou pas.
Références Bibliographiques :
[4] Virginie Périer, Bouguenais Sylvain et Anthony Pruvost « LUNAM Université, IFSTTAR
Bouguenais » comparaison de différentes armatures composites utilisés pour le renforcement du
béton.
[5]. Lionel Gendre. « Matériau composite et structure composite ». Université Paris-Saclay 2011.
[6]. Pinzelli, R. « Fibres aramides pour matériaux composites ». Ed. Techniques de l’Ingénieur, A 3985,
Traite Plastiques et Composites, 1995.
[7]. Luyckx J. « Fibres de carbone ». Ed. Techniques de l’Ingénieur, A 2210 Traité Plastiques et
Composites, 1994.
[8]. Ghobrini Mohammed Tadjeddine et Cheikh Amina. « Mémoire de fin d’étude de master
académique ». Université Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem 2019.
[11]. FIB Bulletin 40. « FRP reinforcement in concrete structures ». International Federation for
Structural Concrete (FIB), Lausanne, Switzerland, 2007-157 p.
[12]. Patrice Hamelin : « Matériaux composites à matrices polymères », article scientifique la chimie
et l’habitat, Université Claude Bernard de Lyon 1.
23
[14]. FMC-composites. « Matériau composite ». Article scientifique. https://www.fmc-
composites.com/materiaux-composites-29/
[17]. Sylvain Châtaigner, Arnauld Rolland, Karim Benzarti et Lamine Dieng. « Caractéristiques
d’armatures en PRF d’aramide utilisées dans la structure en béton armé ». Comptes rendus des JNC
18 – Ecole Centrale de Nantes 2013.
[18]. Sayed Ahmed Firas. « Mise en précontrainte des Bétons Fibrés à Ultra Performance (BFUP) à
l’aide de Polymères Renforcés de Fibres de Carbone (PFRC) » Thèse de doctorat d’Université Paris-
Est.
[19]. Mohamed Billy OULD SIDI. « Caractéristiques physiques et mécaniques de nouvelles barres
d'armature en matériaux composites ». Université de Sherbrooke 2002.
24