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ÉLABORATION DU BUSINESS PLAN DE LA SOCIÉTÉ

ENEGALAISE DE RAFFINAGE

Partie I : Présentation du projet

1.1 Présentation précise du projet :

L’énergie est un élément fondamental, pour le bien être et la


survie de l’individu. De par sa disponibilité dépend la
satisfaction de tous les besoins humains fondamentaux –
l’eau, l’alimentation, la santé, l’éducation. Pour tous les
habitants de la planète, aussi bien dans les pays développés
que dans les pays en voie de développement, sans énergie il
n’y aurait pas d’eau potable, pas d’hôpitaux, pas d’écoles,
pas de logements, pas de moyens de transports...
L’exemple du pétrole en est l’illustration parfaite car il est
devenu, à partir des années 50, la première source
d'énergie dans le monde. Il satisfait plus de 30 % des
besoins énergétiques.
C’est la principale matière première des carburants qui
alimentent les transports (voitures, camions, avions).
C'est aussi une matière première irremplaçable pour
l'industrie de la pétrochimie pour un grand nombre de
produits de la vie quotidienne : matières plastiques,
peintures, colorants, cosmétiques, etc.
Il est d’une importance capitale, comme disait Henry
Kissinger : « Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les
nations »
Maintenant , faudra savoir que le pétrole brut n’est pas
utilisé tel quel, mais transformé en différents produits
finis : carburants, combustibles, matières premières pour
la pétrochimie et autres produits spécifiques (bitume,
huiles lubrifiantes).
C’est l'objectif du raffinage : mettre à la disposition du
consommateur des produits de qualité, dans le respect des
normes précises, notamment environnementales, et aux
quantités requises par le marché. 
Dans les pays en voie de développement comme le Sénégal,
le secteur du raffinage connaît particulièrement d’énormes
difficultés aggravées par l’inadéquation entre les capacités
de production et les besoins de consommation.
C’est pour cette raison que l’on a jugé nécessaire d’initier un
projet portant sur la construction d’une raffinerie, pouvant
ainsi relever le défi de la satisfaction de la demande locale .
Avec la découverte d’importantes ressources pétrolières et
gazières, le Sénégal doit ainsi se diriger vers l’installation
d’une nouvelle raffinerie. Cela s’explique par le fait que la
Société africaine de raffinage (Sar) a atteint ses limites, car
elle ne produit que 1 200 000 tonnes/an face à une demande
nationale estimée à 1 800 000 tonnes/an.
Avec la construction de cette nouvelle raffinerie, on pourrait
ainsi envisager d’exporter notre surplus de production dans
la sous région.
Nous envisageons de lancer cette société le 01 janier 2023,
pour être au top , quand les premiers barils sortiront , ce qui
est prévu pour 2023.
La société sénégalaise de raffinage s’implantera ainsi au
large de la zone industrielle de Dakar avec une superficie de
30 hectares, pouvant ainsi envisager une production de ½
millions de tonnes par année ce qui pourra plus ou moins
participer à la satisfaction de la demande locale estimée à 1,8
millions de tonnes par an.
Face à un pays l’on note quelques pénuries à chaque arrêt
métal de notre principale société de raffinage , notre
compagnie pourra ainsi relayer avec la SAR, pour faire face
à ces difficultés.
Nous avons ainsi prévu de l’appeler, La Société Sénégalaise
de Raffinage (SSDR).

1.2 Le Business Model :

 La clientèle sera ainsi constituée pour la majorité, des


compagnies pétrolières évoluant dans le secteur, on
constate ainsi que la plupart des dépôts pétroliers
présents dans le pays appartiennent notamment à ces
compagnies, ou restent généralement les actionnaires
majoritaires, du coup, elles constituent les cibles
principales.

 Nous opterons ainsi pour un raffinage de qualité, d’ou


notre slogan : Le raffinage de l’expert. Allant même
jusqu'à ajouter des additifs aux produits raffinés à savoir
les carburants, pour permettre ainsi aux automobilistes
de rouler plus et de consommer moins de carburant.

 Une fois raffinés, les produits seront ainsi acheminés


vers les principaux dépôts de stockage, principalement
via des pipelines (oléoducs ou grands canaux servant à
la circulation des produits pétroliers), une fois au dépôt,
les produits pourront ainsi être acheminés vers leurs
lieux de consommation finaux ou intermédiaires.
Partie II : Présentation des
porteurs du projet et des
associés
2.1 : Présentation des porteurs du projet
Actuellement étudiants en management de l’énergie et des
ressource pétrolières, l’idée de création de la société
Sénégalaise de raffinage nous est venu à l’esprit lorsque
nous avons constaté qu’au Sénégal, la demande de produits
pétroliers est souvent supérieure à l’offre que propose les
compagnies pétrolières, et cela s’explique souvent par le fait
que notre compagnie nationale qui est la SAR (Société
Africaine de Raffinage) , ne satisfait pas la demande locale
car sa production est aux alentours d’un million de tonnes
par an.
C’est aussi un vrai challenge, car la construction d’une
raffinerie de pétrole est très complexe, car cela demande
beaucoup de sacrifices comme le respect des normes de
sécurité, la pollution et plusieurs autres situations.
C’est aussi un secteur très fermé du fait de la puissance
constatée des différents majors de l’énergie, et du fait que la
construction d’une raffinerie de pétrole implique des
investissements astronomiques.
Nous pouvons ainsi souligner le fait, cela constitue ou même
représente l’intégralité de la chaine logistique du pétrole du
fait que les barils produits aux différents gisements à l’instar
de celui Sangomar, sont directement acheminés par bateau
ou principalement via pipelines aux différentes raffineries,
une fois à la raffinerie , le pétrole brut subit plusieurs
procédés de transformation, chauffage , distillation et
séparation des différentes produits tels que , le bitume, le
fioul, le gasoil, l’essence , le kérosène , et les différentes gaz.
Ainsi, pour mener à bien ce projet, nos points forts peuvent
être le fait que les principaux promoteurs se forment, et
suivent une formation en management de l’énergie et des
ressources pétrolières, donc ayant comme point en commun,
la passion et l’amour pour ce métier.
Cette création d’une mini raffinerie présente aussi certains
risques telles que la jeunesse des fondateurs, le manque de
compétence, le besoin de financement et un souci
d’emmagasiner nos fonds propres pour mener à bien ce
projet, tout cela peut ainsi se présenter comme nos points
faibles.

2.2 : Présentation des associés


Les principaux membres fondateurs des raffineries sont :
MARAME SOW, PAPA ABDOU KHADRE MBODJ,
ABDOU SALAM DIALLO, MAME BINTA DIEDHIOU,
NAWAL SEYDI, TOTAL ENERGY MARKETING
SENEGAL, LE GROUPE EDK, SAHARA ENERGY ET
ITOC SA.
Les initiateurs du projet suivent tous la même formation en
management de l’énergie des ressources et des ressources
pétrolières à bordeaux management school.
Entant qu’actionnaires dans l’entreprise, ils jouent un rôle
déterminant dans l’entreprise.
- Les apports des associes :
PAPA ABDOU KHADRE MBODJ : l’initiateur du projet ;
il a contribué d’une manière participative en Moyen
financière et matériel.
ABDOU SALAM DIALLO : membre fondateur du projet. Il
a apporté sa participation sur le côté matérielle. Comme les
pièces de rechanges.
MARAME SOW : membre fondatrice du projet. Elle a joué
un rôle remarquable.
Elle a participé sur le côté matériel comme le foncier.
NAWAL SEYDY : membre fondatrice du projet. Elle a
participé sur le côté financier.
Pour trouver des bailleurs, grâce à elle, Ils ont financé le
projet à une hauteur de 80%.
MAME BINTA DIEDHIOU : membre fondatrice du projet.
Elle a participé sur le côté matériel. Des voitures de services
et des machines.
TOTAL ENERGY MARKETING : avec un apport financier
important détenant ainsi 37% du capital.
LE GROUPE EDK : : avec un apport financier important
détenant ainsi 15% du capital.
ITOC SA : avec 10% du capital
LA SOCIÉTÉ SÉNÉGALAISE DE RAFFINAGE : avec
38%.
Nous pouvons ainsi dire que toutes les participants du projet
ont joué un rôle symbolique pour la réussite de ce dernier.
D’une part sur le coté financier et d’autre part sur le coté
matériel.

Partie III : Analyse du marché


3.1 : Le marché et les tendances du marché
L’Afrique est un continent qui possède plusieurs potentiels
avec ses importantes richesses, tant bien au niveau du sous
sol, qu’au niveau du sol et de la mer , sur le plan énergétique
plusieurs pays ont d’importantes réserves de pétrole et de
gaz, et les énergies renouvelables aussi ne sont pas en reste ,
car la position géographique de notre continent est très
stratégique , pour la production de l’énergie photovoltaïque
et éolienne.
Cependant, le problème principal de la plupart des pays du
continent africain demeure la transformation de leur matières
premières.
C’est ainsi que l’on note une importante manque de
raffineries de pétrole dans la plupart des pays producteurs en
Afrique , et même s’il Ya des raffineries dans certains pays ,
l’autre problème qui va se poser reste la satisfaction du
marché local.
Car la demande en produits raffinés est souvent supérieure à
l’offre car la plupart des raffineries produisent souvent des
quantités insuffisantes pour satisfaire la demande locale.
Alors qu’il est bon de savoir que l’Afrique regorge de
pétrole – plus de 8 millions de barils extraits chaque jour en
2015, soit 9,1 % de la production mondiale –, elle en raffine
trop peu : moins de la moitié.
Et ses capacités installées, qui s’établissent à 3,6 millions de
barils par jour (b/j), ne sont utilisées qu’à 60 % ; un taux,
parmi les plus bas du monde, dû à un manque de
maintenance et d’investissements, à l’origine de nombreuses
pannes et d’arrêts imprévus.
Cette situation globale affaiblit considérablement l’or noir
africain sur son propre terrain. « On voit arriver sur les côtes
du continent des produits finis d’Asie et du Golfe.
Dans un pays comme le Sénégal, nous avons une Raffinerie
Née dans les années 1960 dans le sillage des indépendances,
la Société africaine de raffinage [SAR]
La capacité nominale de traitement de brut de la Société
Africaine de Raffinage (SAR) est aujourd’hui de 1 200 000
tonnes/an face à une demande nationale estimée à 1 800 000
tonnes/an.
Toutefois, le niveau de traitement a été limité par des
contraintes structurelles liées à l’âge de la raffinerie, mais
surtout des difficultés conjoncturelles reflétées par les
contraintes de trésorerie pour le financement durable des
cargaisons, le poids de la dette financière et commerciale, le
niveau élevé des créances sur Senelec, les pertes liées à
l’activité commerciale ainsi qu’une situation financière
préoccupante du fait de capitaux propres négatifs.
La capacité nominale de traitement de brut de la Société
Africaine de Raffinage (SAR) est aujourd’hui de 1 200 000
tonnes/an face à une demande nationale estimée à 1 800 000
tonnes/an.
Toutefois, le niveau de traitement a été limité par des
contraintes structurelles liées à l’âge de la raffinerie, mais
surtout des difficultés conjoncturelles reflétées par les
contraintes de trésorerie pour le financement durable des
cargaisons, le poids de la dette financière et commerciale, le
niveau élevé des créances sur Senelec, les pertes liées à
l’activité commerciale ainsi qu’une situation financière
préoccupante du fait de capitaux propres négatifs.
Ainsi il faut préciser que la SAR possède le monopole du
raffinage du pétrole brut , il n’existe pas d’autres raffineries
jusqu’à nos jours.
3.2 L’ANALYSE PESTEL
 Sur le plan politique , force est de reconnaître que l’état
du Sénégal a fait de nombreux efforts pour ainsi
promouvoir le contenu local , dans la partie AVAL du
pétrole et du gaz . Cela est ainsi illustré par le fait que le
Sénégal a entamé avec la loi n° 2019-04 du 01er février
2019, la mise en place d’un dispositif législatif,
réglementaire et institutionnel relatif au contenu local
dans le secteur des hydrocarbures. Cette loi a consacré
la notion de contenu local, défini comme l’ensemble
des initiatives prises en vue de promouvoir :
l’utilisation des biens et services nationaux ; le
développement de la participation de la main d’œuvre,
de la technologie et du capital, nationaux dans toute la
chaine de valeur de l’industrie pétrolière et gazière.
Ses principaux objectifs sont :
- d’augmenter la valeur ajoutée locale et la création
d’emplois locaux dans la chaîne de valeur des industries
pétrolières et gazières grâce à l’utilisation de l’expertise
ainsi que des biens et services locaux ;
- de favoriser le développement d’une main d’œuvre
locale qualifiée et compétitive ;
- de développer les capacités nationales dans la chaine de
valeur de l’industrie pétrolière et gazière par
l’éducation, la formation, le transfert de technologie et
de savoir-faire et la recherche-développement ;
- de favoriser le renforcement de la compétitivité
nationale et internationale des entreprises sénégalaises ;
-  de mettre en place un mécanisme de suivi-évaluation,
transparent et fiable des obligations liées au contenu
local, en adéquation avec les politiques publiques
nationales ;
- de renforcer la participation des populations à la chaine
de valeur des industries pétrolières et gazières.

Tout contractant, sous-traitant, prestataire de services et


fournisseur participant aux activités pétrolières et gazières,
est soumis aux dispositions de la loi 2019-04 du 01er février
2019 relative au contenu local dans le secteur des
hydrocarbures.
En vertu du Code pétrolier de 1998, l’État peut « autoriser
une ou plusieurs personnes physiques ou morales de son
choix, de nationalité sénégalaise ou étrangère, à entreprendre
des opérations pétrolières ». De même, « l’État, directement
ou par l’intermédiaire d’une société d’État, se réserve le
droit de participer à tout ou partie des opérations pétrolières
en s’associant avec les titulaires d’un titre minier
d’hydrocarbures ».

 Sur le plan économique, il est à noter que le secteur du


raffinage du pétrole brut ou du gaz demande des
investissements énormes pour ne pas dire
astronomiques, c’est pour cette raison que l’on note
dans certains pays , plusieurs subventions de l’état, pour
permettre au secteur de maintenir son cap. Le fait que
aussi que le prix du baril soit plus ou moins volatile
peut ainsi se présenter comme un facteur d’influence
assez important. Cela peut ainsi influer sur le
comportement du consommateur final.
Dans un contexte de renchérissement prévisible de
l’énergie au cours des vingt prochaines années, orienter
l’effort d’innovation industrielle et l’offre de biens et
services vers des technologies économes en énergie est
une nécessité. Et si le prix des hydrocarbures grimpent
sans cesse, les consommateurs vont ainsi devoir se
tourner vers les produits de substitution comme les
énergies renouvelables.
 Sur le plan socio culturel, l’augmentation de la
population fait que la demande en carburant ou produits
énergétiques est croissante,
 Sur le plan technologique, il est à noter que pour être
compétitive, il est nécessaire de faire appel aux
nouvelles technologies, car cela permettrait de réduire
les couts d’investissements et de production.
 Sur le plan environnemental, force est de reconnaitre
qu’une usine telle une raffinerie est très polluant , donc
très difficiles de répondre aux normes
environnementaux qu’exige la plupart des organismes
qui travaillent sur le respect de l’environnement.
Les problèmes environnementaux qui peuvent résulter
du raffinage du pétrole rentrent dans les catégories
suivantes :
- Émissions atmosphériques
- Eaux usées
- Matières dangereuses
- Déchets
-Bruit
-Émissions atmosphériques Gaz d’échappement Les gaz
d’échappement et les gaz brûlés (dioxyde de carbone
(CO2), oxydes d’azote (NOX) et monoxyde de carbone
(CO)) émis par le raffinage du pétrole résultent de la
combustion du gaz, du mazout ou du diesel dans les
turbines, les chaudières, les compresseurs et autres.
moteurs servant à la production d’énergie et de chaleur

 Dans le cadre légal, Le Sénégal s’est doté d’un


dispositif juridique rigoureux et performant qui
traverse le temps : il s’agit de la Loi 98-05 du 8
janvier 1998 portant code pétrolier, qui définit
les conditions d’exploration, de développement
et d’exploitation des hydrocarbures. Ladite Loi
n°98-05 du 8 janvier 1998 portant Code pétrolier
et son décret d’application (n°98-810 du 6
octobre 1998) régissent « la prospection, la
recherche, l’exploitation et le transport des
hydrocarbures, ainsi que le régime fiscal de ces
activités ». Un exercice de révision de cette Loi
est en cours.
En vertu du Code pétrolier de 1998, l’État peut «
autoriser une ou plusieurs personnes physiques ou
morales de son choix, de nationalité sénégalaise ou
étrangère, à entreprendre des opérations pétrolières
». De même, « l’État, directement ou par
l’intermédiaire d’une société d’État, se réserve le
droit de participer à tout ou partie des opérations
pétrolières en s’associant avec les titulaires d’un
titre minier d’hydrocarbures ».

3-3 SWOT : Opportunités et menaces


FORCES FAIBLESSES

- Rigueur - Manque d’expérience


- Suivie d’une formation liée au - Recherche permanente de
secteur fonds pour répondre aux
- Dynamisme besoins
- Adaptation directe pour la - Risque à grande échelle de
qualité du pétrole sénégalais banqueroute du fait que ca soit
- Chance de ne pas subir la première raffinerie privée du
l’importance du brut Sénégal, donc aucune
contribution directe de l’état

OPPORTUNITÉS MENANCES

- Développement rapide - Surproduction du au manque


- Gagner de nouveaux part de de confiance des clients
marchés potentiels
- Être un élément de - Absence de trésorerie
substitution en cas de - Fiscalité à notre défaveur du
problème chez le concurrent fait que l’état détient des parts
chez le concurrent

3.4 : La concurrence
Après analyse, on voit que le marché visé n’est pas très
concurrentiel et cela s’explique par le fait que les
investissements sont astronomiques et que la plupart des prix
sont homologués dans ce secteur .
Concurrent potentiel :

NOM SAR (société africaine de raffinage)

Lieu d’implantation Mbao (Sénégal)

Chiffre d’affaire annuel 1 000 000 000$

Résultat net - 1 658 600 $ 

Produits/services proposés gaz butane, essence, kérosène,


gasoil, diesel oil, fuel oïl…..

3.5 : La clientèle
A prés avoir réalisé une enquête auprès de clients potentiels
à l’aide d’un cabinet spécialisé, le profil de nos futurs
clients correspond aux compagnies nationales qui
assurent la distribution finale des produits pétroliers et
surtout les compagnies nationales de droit sénégalais.

Ce qui va leur pousser à acheter nos produits , sera surtout


la qualité et la disponibilité du produit.

Partie IV : Stratégie du lancement


au développement

4.1 Stratégie marketing


4.1.1 Politique de produit

 Grace à nos futures installations performantes, le


pétrole brut subira plusieurs opérations avant sa
commercialisation sous différentes formes (gaz
butane, essence, kérosène, gasoil, diesel oil, fuel
oil).
 Respectant ainsi, les différentes teneurs en produits
chimiques et composés et les différentes normes
internationaux

4.1.2 Politique de prix


Au Sénégal, le prix des produits pétroliers est fixé par
l’état du Sénégal à travers des décrets périodiques du
ministère de l’énergie et la main mise du comité
national des hydrocarbures.

4.1.3 Politique de distribution


la distribution se fera grâce à un réseau de pipelines,
partant de la raffinerie jusqu’aux différents
dépôts .pétroliers.
Donc ca sera un circuit court, quittant le lieu de
production jusqu’au dépôt de stockage.

4.2. L’équipe opérationnelle


Organigramme de l’entreprise ?

Assemblée

Générale

Conseil

D'administration

Gérant

Vice - Gérant

Direction Administration

Et Finance

Direction Production

Direction

Commerce et Marketing

Direction

Technique

Traitement

Distillation

Raffinerie

Laboratoire

Ressources

Humaines
Comp-

tabilité

Caisses

Chauffeurs

Vente

Publicité

Responsable de vente

Magasinier

Logistique

Technicien

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