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Mathématiques

Première Baccalauréat Professionnel


Métiers de la sécurité
François BINET
Professeur de Maths Sciences

9 mars 2022

F.BINET MATHS - ii Première BAC.PRO.


Table des matières

Comment travailler pour réussir ? v

1 Suites numériques 1
1.1 Définitions générales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.2 Suites arithmétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1.3 Représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2 Résolution graphique d’équations et d’inéquations 3


2.1 Représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2.2 Inéquations et fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2.3 Python . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

3 Du premier au second degré 5


3.1 Équations et fonctions du second degré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
3.2 Résolution d’équations et d’inéquations du second degré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

4 Statistiques à deux variables 9


4.1 Nuage de point . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
4.1.1 Équation de droite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
4.1.2 Nuage de points . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
4.1.3 Point moyen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
4.2 Ajustement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
4.2.1 Interpolation et extrapolation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

5 Fluctuation d’une fréquence selon les échantillons, probabilités 11

6 Approcher une courbe avec des droites 13


6.1 Premier et second degré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
6.1.1 Fonction affine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
6.1.2 Fonction parabolique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
6.2 Sécante et tangente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
6.2.1 Sécante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
6.2.2 Tangente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
6.3 Nombre et fonction dérivée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
6.3.1 Nombre dérivé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
6.3.2 Fonction dérivée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
6.3.3 Équation réduite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
6.3.4 Fonctions dérivées usuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
6.4 Étude des variations d’une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
6.4.1 Fonction dérivée et variations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
6.4.2 Tableau de variations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

7 Géométrie dans l’espace 19


7.0.1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

8 Calculs commerciaux et financiers 21


8.0.1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21

9 Algorithmique et programmation 23

10 Automatismes 25

iii
11 Vocabulaire ensembliste et logique 27

F.BINET MATHS - iv Première BAC.PRO.


Comment travailler pour réussir ?

Apprendre : quelles conditions de travail ?


– Comment doit être la salle de travail ?
Les bruits doivent être limités au maximum :
– pas de fenêtre ouverte,
– pas de chaise qui grince,
– pas de personne qui parle...
– Doit-il y avoir de la musique ?
La musique avec paroles, réduit de moitié la capacité à apprendre. Si vous tenez à mettre de la musique pour cacher un bruit
ou rester éveillé, choisissez une musique instrumentale douce et harmonieuse qui créera une sensation agréable. En cours, une
musique ne peut convenir à l’ensemble des élèves, on restera toujours dans le calme.

Suivre en cours : organisation des prises de notes ?


– Retient-on si on ne dispose pas d’un cours noté ?
Oui mais à très court terme, il faut absolument mettre les informations par écrit !
– Comment noter le cours ?
Il est essentiel que le cours soit propre, clair, structuré et surtout agréable à lire pour faciliter la relecture et rendre le travail
agréable. Plus un cahier est beau plus les sensations produites lors de sa relecture permettront une meilleure mémorisation.
Le cours étant copié en dehors de la classe, il peut être réalisé avec beaucoup de soin. L’idéal serait de le copier trois fois,
mais une seule vous sera demandée.
– Que retient-on du temps passé en classe ?
Généralement on retient :
– 10% de ce que l’on lit.
– 20% de ce qu’on entend.
– 30% de ce qu’on voit.
– 50% de ce qu’on voit et entend.
– 80% de ce qu’on dit.
– 90% de ce qu’on fait.
Écrire c’est voir (30%), recopier UNIQUEMENT un cours du tableau vers le cahier a peu d’intérêt. Participer, refléchir à ce
que l’on écrit, produire ses propres phrases et réflexions dans les activités de classe alors c’est faire (90%). Quand on sait ce
que l’on écrit, on le retient !
Participer activement pour comprendre un cours c’est le retenir à 90% et c’est beaucoup de temps gagné par ailleurs.
– A-t-on une mémoire illimitée ?

– Notre mémoire n’est pas illimitée et trop de données dans une journée noient l’information importante.
– Il est essentiel que les informations nouvelles soient limitées et donc clairement organisées.
– Quand les informations à retenir sont noyées parmi des informations inutiles, il faut occulter ce qui n’a pas d’intérêt. Il
ne faut prendre note que des informations utiles. Il faut structurer les données nouvelles.

Apprendre : les devoirs à la maison


– La leçon, quand et combien de fois pour que ça rentre ?
Pour retenir un cours jusqu’à l’examen (dans un an et demi et même parfois plus) il est nécessaire de mémoriser sur le long
terme. Pour cela il est nécessaire de relire ses cours au moins trois fois.
1. La première fois est la plus importante, elle doit se faire avant la nuit. Il est très important de bien mettre en valeur les
titres et les sous titres de la leçon pour en comprendre la structure (utilisation de couleurs et de surligneurs). On organise
ses documents, on organise ses pensées... on dort mieux !

v
CHAPITRE 0. COMMENT TRAVAILLER POUR RÉUSSIR ?
2. La deuxième fois se fait la veille du cours suivant. On relit un cours qui est déjà propre clair et agréable. On vérifie ses
savoirs par les activités faites.
3. La troisième fois se fait la veille de l’évaluation. On relit ses notes, on refait les activités qui ont posé problème.
– La leçon, quelle méthode pour bien retenir ?
– Quand on lit à haute voix, on ne peut pas réfléchir en même temps.
– Quand on lit une phrase dans sa tête, on ne peut pas faire les intonations, voir la prononciation.
Donc :
– pour apprendre un texte en vu de le réciter ou du vocabulaire d’anglais il faut se le réciter à haute voix plusieurs fois,
– pour apprendre une formule de maths ou de sciences, il vaut mieux la lire plusieurs fois dans sa tête en cherchant le sens
de chaque terme et éventuellement les conditions d’applications et ensuite une fois comprise, se la répéter à haute voix.
Quelques exemples d’utilisation amélioreront l’apprentissage.

Réussir à apprendre, apprendre à réussir.


– Je suis nul dans cette matière, alors comment faire ?

– Il est très important de savoir dans quel état d’esprit vous travaillez. Ceux qui réussissent, se disent qu’ils sont bons et
s’ils ont des difficultés de compréhension, ils savent se mettre au travail jusqu’à ce qu’ils comprennent.
– Si pour vous réussir en cours n’est pas "style" ou que cela fait intello, alors il est nécessaire de vous remotiver. Vous
devez alors réfléchir aux termes "réussir" et "jalousie". Vous êtes l’acteur de votre réussite.

– Je n’aime pas ça, alors comment faire ?


Si vous n’aimez pas, vous ne retiendrez pas et vous aimerez encore moins alors à vous de réagir et d’inverser la machine ! Votre
mémoire se bâtit avec vos émotions, vos émotions se créent avec le monde qui vous entoure. Tout est question de choix, si
vous savez faire abstraction de ce qui est démotivant pour vous concentrez sur le nécessaire. Si vous réussissez à trouver une
once de plaisir dans un monde de brute alors vous pourrez aimer malgré l’insupportable.
– Je travaille mais je n’y arrive pas, comment faire ?
Plusieurs pistes :
– Il faut apprendre à vous connaître par rapport au monde qui interagit avec vous, à vous situer par rapport à votre famille,
vos camarades, vos profs. On est ce que l’on veut être et non ce que l’on nous a dit que l’on était ! !
– Il faut savoir se fixer des objectifs intermédiaires atteignables et se donner les moyens de l’atteindre en y consacrant le
temps nécessaire avec les méthodes vues précédement.
– Il faut auto-évaluer ses performances de manière positive en regardant ses erreurs comme des points corrigeables.
– Il faut utiliser les expériences positives et négatives pour s’améliorer.
– Il faut soutenir sa motivation à travers le temps et les épreuves et toujours aller de l’avant !.

F.BINET MATHS - vi Première BAC.PRO.


Suites numériques
1
Capacités Connaissances
Suites numériques (un ) :
Générer par le calcul ou à l’aide d’un outil numérique,
- notation indicielle du terme de rang n de la suite (un ) ;
les termes de différentes suites.
- un = f (n) où f est une fonction.
Étudier le sens de variation d’une suite donnée par un =
Sens de variation d’une suite numérique.
f (n) dans des cas simples.
Calculer un terme de rang donné d’une suite arithmé-
tique définie par son premier terme et par une relation
Suites arithmétiques :
de récurrence ou par l’expression du terme de rang n.
- définition par la relation un+1 = un + r et la donnée
Réaliser et exploiter une représentation graphique du
du premier terme ;
nuage de points (n; un ) dans le cas où (un ) est une
- expression du terme de rang n en fonction du premier
suite arithmétique.
terme et de la raison ;
Reconnaître les premiers termes d’une suite arithmé-
- lien avec les fonctions affines ;
tique.
- sens de variation.
Déterminer le sens de variation d’une suite arithmétique
à l’aide de sa raison.
Calculer la somme des n premiers termes d’une suite
Somme des n premiers termes d’une suite arithmétique.
arithmétique avec ou sans outils numériques.

1.1 I Définitions générales


Définition 1
Une suite (un ) est un ensemble de nombres appelés termes.

Définition 2
Chaque terme de la suite possède un rang n.
Le premier terme, est le terme de rang 1 on le note u1 .
Le deuxième terme de la suite, est le terme de rang 2, on le note u2 .
..
.
Le nième terme est le terme de rang n et on le note un .

Remarque :
Le rang est toujours un nombre entier positif. Il n’y a pas de terme entre u1 et u2 : u1,5 n’existe pas.

Propriété 1
De manière générale, on peut calculer chaque terme de la suite en fonction de son rang n par une fonction
un = f (n).

Exemple :
Un restaurateur a constaté que son bénéfice correspondait à 10 e au delà du 6ième client soit un = 10(n − 6) pour n > 7.
u7 = 10 , u8 = 20 , u9 = 30 , . . .

Définition 3
Quand un terme d’une suite se calcule à partir du terme précédent, on parle de suite récurrente et l’on
peut écrire un+1 = f (un ).

Remarque :
Dans ce cours, on étudiera uniquement les suites récurrentes les plus simples, à savoir les suites arithmétiques, mais il existe bien
d’autres types de suites.

1
1.2. SUITES ARITHMÉTIQUES CHAPITRE 1. SUITES NUMÉRIQUES

1.2 II Suites arithmétiques


Définition 3
Une suite arithmétique est une suite de nombres tel que chaque terme est obtenu du précédent par
ADDITION d’un nombre constant appelé raison et noté r.

un+1 = un + r

Propriété 2
On peut exprimer un en fonction de n et du premier terme u1 par la relation :

un = u1 + (n − 1) · r

Propriété 3
La somme des n premiers termes, de u1 à un , d’une suite arithmétique vaut :
n
Sn = (u1 + un )
2

1.3 III Représentation graphique


Définition 4
La représentation graphique d’une suite arithmétique est un nuage de points de coordonnées (n; un ) qui
sont alignés.

Propriété 4
La droite passant par les points du nuage d’une suite arithmétique correspond à une fonction affine
f (n) = a · n + b.

Propriété 5
Le coefficient directeur a de la fonction affine f (n) = a · n + b correspond à la raison r de la suite
arithmétique.
Si r est positif, la suite est croissante. Si r est négatif, la suite est décroissante.

Exemple :

un f (n) = 2n − 1

0
0 1 2 3 4 5
n

Les points sont ceux d’une suite de raison r = 2, de termes u1 = 1,u2 = 3,u3 = 5,u4 = 7. Elle est croissante.

F.BINET MATHS - 2 Première BAC.PRO.


Résolution graphique d’équations et d’inéquations
2
Capacités Connaissances
Résoudre graphiquement ou à l’aide d’un outil numé-
Résolution graphique d’équations de la forme f (x) =
rique des équations de la forme
g(x) où f et g sont des fonctions.
f (x) = g(x) où f et g sont des fonctions.
Résoudre graphiquement ou à l’aide d’un outil numé-
Résolution graphique d’inéquations de la forme f (x) >
rique des inéquations de la forme
g(x) où f et g sont des fonctions.
f (x) > g(x) où f et g sont des fonctions.

2.1 I Représentation graphique d’une fonction


Propriété 1
Toute fonction peut être définie sur un intervalle où elle est calculable.

Propriété 2
Toute fonction définie sur un intervalle peut être représentée graphiquement sur cet intervalle.


Exemple : La fonction racine carrée f (x) = x ne peut être calculée que pour des valeurs positives.
Tableau de valeurs :

x 0√ 1√ √ 2 √ 3
f (x) f (0) = 0=0 f (1) = 1=1 f (2) = 2 = 1, 414. . . f (3) = 3 = 1, 732. . .

Représentation graphique :

y
3

0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
x
Propriété 3
Deux fonctions peuvent être représentées sur un même graphique

√ x
Exemple : La fonction racine carrée f (x) = x et la fonction g(x) = .
2

y
g(x)
3
f (x)
2

1
(4; 2)
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
x

√ 4
4 = 2 et = 2 : l’image de 4 est 2 pour les deux fonctions f (4) = 2 et g(4) = 2.
2

3
2.2. INÉQUATIONS ET FONCTIONS CHAPITRE 2. RÉSOLUTION GRAPHIQUE D’ÉQUATIONS ET D’INÉQUATIONS

2.2 II Équations, inéquations et fonctions


Propriété 4
Résoudre graphiquement une inéquation du type f (x) > 0 revient à trouver pour quelle valeur de x, la
représentation graphique de f est au dessus de l’axe des abscisses.

Propriété 5
Résoudre graphiquement une inéquation du type f (x) > g(x) revient à trouver pour quelle valeur de x,
la représentation graphique de f est au dessus de la représentation graphique de g.

Propriété 6
Résoudre graphiquement une équation du type f (x) = g(x) revient à trouver pour quelle valeur de x, la
représentation graphique de f coincide avec la représentation graphique de g.

Remarque : Cela revient généralement à chercher les abscisses des points où les courbes se croisent.

2.3 III Python et sa représentation graphique

1 # import des biblioth è ques


2 import matplotlib . pyplot as plt
3 import numpy as np
4

5 # PROGRAMME PRINCIPAL
6 x = np . linspace (0 , 9 , 91) # 91 valeurs de x entre 0 et 9
7 y = np . sqrt ( x ) # Calcul de la fonction f ( x )= racine carr é e
8 z = x /2 # Calcul de la fonction g ( x )= x /2
9 plt . plot (x , y ) # Trac é de la fonction f
10 plt . plot (x , z ) # Trac é de la fonction g
11 plt . grid () # Trac é du quadrillage
12 plt . show () # Affichage dans la console du graphique obtenu

0
0 2 4 6 8

F.BINET MATHS - 4 Première BAC.PRO.


Du premier au second degré
3
Capacités Connaissances
Visualiser, à partir de la représentation graphique d’une Fonction polynôme de degré 2 à coefficients réels.
fonction polynôme f de degré 2, le nombre possible de Nombre de solutions réelles de l’équation f (x) = 0 où
solution(s) de l’équation f (x) = 0. f est une fonction polynôme de degré 2.
Représentation graphique d’une fonction polynôme de
Donner l’allure de la représentation graphique d’une
degré 2 donnée sous la forme
fonction polynôme de degré 2 donnée sous forme facto-
a(x − x1 )(x − x2 ).
risée. Associer une parabole à une expression algébrique
Éléments caractéristiques : signe de a, sommet, ordon-
de degré 2 donnée.
née à l’origine, axe de symétrie.
Tester si un nombre réel est racine d’un polynôme de
degré 2.
Racine réelle d’un polynôme de degré 2.
Factoriser un polynôme de degré 2 donné dont les ra-
cines réelles sont connues.
Déterminer les racines et le signe d’un polynôme de
degré 2 donné sous forme factorisée.
Racine(s) et signe d’un polynôme de degré 2 donné sous
Déterminer la deuxième solution d’une équation du se-
forme factorisée.
cond degré possédant deux solutions dont une solution
est connue.

3.1 IV Équations et fonctions du second degré


Définition 1
Une équation du second degré est une équation dont la puissance la plus élevée de la variable x est un
carré. Elle pourra s’écrire sous la forme :

ax2 + bx + c = 0

où a,b,c des nombres réels fixés, a 6= 0.

Remarque : Pour être du second degré le nombre réel a ne peut être nul mais par contre b et c peuvent l’être.
Exemples :

5x2 + 3x − 7 = 0 4x2 + 6 = 0 8x2 − 9x = 0


2x2 = x + 10 3 − 6x = 11x2 + 4

Définition 2
Une fonction du second degré peut s’écrire sous la forme :

f (x) = ax2 + bx + c

où a,b,c des nombres réels fixés, a 6= 0.

On a vu dans le cours sur les fonctions la nature et la forme d’une fonction du type f (x) = ax2

Propriété 7
La courbe représentative d’une fonction du type f (x) = ax2 + bx + c (a,b,c des nombres réels, a 6= 0) est
b b2 − 4ac
une parabole dont l’extremum a pour coordonnées (− ; − ).
2a 4a

5
3.1. ÉQUATIONS ET FONCTIONS DU SECOND DEGRÉ CHAPITRE 3. DU PREMIER AU SECOND DEGRÉ
y

2
−4ac maximum
−b 4a
• •

• x
b
− 2a

b
− 2a
• x

2
• •−b −4ac
minimum 4a

Propriété 8
La courbe représentative d’une fonction du type f (x) = ax2 + bx + c (a,b,c des nombres réels, a 6= 0) est
– décroissante puis croissante si a est positif

x b
−∞ − 2a +∞
+∞ +∞

f (x) = a · x2 + bx + c
a > 0
2
−4ac
−b 4a

– croissante puis décroissante si a est négatif

x b
−∞ − 2a +∞
2
− b −4ac
4a

f (x) = a · x2 + bx + c
a < 0

−∞ −∞

F.BINET MATHS - 6 Première BAC.PRO.


CHAPITRE 3. DU PREMIER AU SECOND DEGRÉ
3.2. RÉSOLUTION D’ÉQUATIONS ET D’INÉQUATIONS DU SECOND DEGRÉ

3.2 V Résolution d’équations et d’inéquations du second degré


Définition 3
On appelle racine une valeur de x qui annule l’équation.

La courbe coupe deux fois l’axe des abs- La courbe coupe une fois l’axe des abs- La courbe ne coupe pas l’axe des abs-
cisses. y y
cisses. cisses.
max y y y y

a>0 x1

+

b
− 2a
x2
• x •
b
− 2a
x •
b
− 2a
x

- - - - •
max
+x + a<0 a>0 -
1

-

b
− 2a x2
• x a<0 a>0

min
+ b
− 2a
+ +
min
a<0
• x b •
− 2a
x −∞ x1 x2 +∞ • x
−b
x −∞ +∞
Signe de signe de signe signe de 2a
0 0 x −∞ +∞
ax2 +bx+c a opposé de a a
Signe de signe de signe de
0 Signe de signe de
ax2 +bx+c
x1 et x2 sont les racines de l’équation.
a a
ax2 +bx+c a
b
x1 = − est la racine double de L’équation n’a pas de racine.
2a
l’équation.
Propriété 9
Pour résoudre graphiquement une équation du second degré du type ax2 + bx + c = 0 il faut déterminer
les points où la fonction f (x) = ax2 + bx + c est égale à 0 soit f (x) = 0.
Ce qui est obtenu quand la courbe représentative de la fonction coupe l’axe des abscisses.

Propriété 10
Pour résoudre graphiquement une inéquation du second degré du type ax2 + bx + c > 0 il faut déterminer
les points où la fonction f (x) = ax2 + bx + c est supérieure à 0 soit f (x) > 0.
Ce qui est obtenu quand la courbe représentative de la fonction est au-dessus de l’axe des abscisses.

F.BINET MATHS - 7 Première BAC.PRO.


3.2. RÉSOLUTION D’ÉQUATIONS ET D’INÉQUATIONS DU SECOND DEGRÉ
CHAPITRE 3. DU PREMIER AU SECOND DEGRÉ

F.BINET MATHS - 8 Première BAC.PRO.


Statistiques à deux variables
4
Capacités Connaissances
Représenter graphiquement à l’aide d’outils numériques
Nuage de points associé à une série statistique à deux
un nuage de points associé à une série statistique à deux
variables quantitatives.
variables quantitatives.
Réaliser un ajustement affine, à l’aide des outils numé-
riques.
Déterminer l’équation réduite d’une droite d’ajustement
Ajustement affine par la méthode des moindres carrés.
par la méthode des moindres carrés, à l’aide d’outils
numériques.
Interpoler ou extrapoler des valeurs inconnues.
Déterminer le coefficient de détermination d’une série
statistique à deux variables quantitatives à l’aide d’ou-
Coefficient de détermination R2 .
tils numériques.
Évaluer la pertinence d’un ajustement affine.

4.1 I Nuage de point


 
4.1.1 1 Équation de droite 

– Détermination du coefficient directeur a

3
∆y
a=
2 ∆y ∆x

1
∆x – Détermination de l’ordonnée à l’origine b
On prend un point quelconque de la droite et on relève ses
−3 −2 −1 1 2 3 coordonnées C(xC ; yC ).
On remplace dans l’équation de la droite
−1
yC = a · xC + b
et on obtient
−2 b = yC − a · xC
 
4.1.2 2 Nuage de points 

Définition 1
Un nuage de points constitués de couples (xi ; yi ) est la représentation graphique d’une serie statistique
à deux variables x et y.

 
4.1.3 3 Point moyen 

Définition 2
On appelle point moyen d’une serie statistique, le point G du nuage de points de coordonnées (x; y) où
x est la moyenne des valeurs de x et y la moyenne des valeurs de y.

x1 + x2 + .... + xn y1 + y2 + .... + yn
x= et y =
n n

4.2 II Ajustement
 
1 Droite d’ajustement
 

9
4.2. AJUSTEMENT CHAPITRE 4. STATISTIQUES À DEUX VARIABLES
Propriété 1
Un ajustement affine d’une série statistique est réalisable quand les points d’un nuage sont relativement
alignés et permettent de faire passer une droite au plus près d’eux.

Définition 3
On appelle droite d’ajustement ou droite de régression d’une serie statistique, la droite d’équation
y = ax + b passant au plus près de tous les points du nuage.

 
2 Point moyen
 
Propriété 2
La droite de regression passe par le point moyen du nuage de points.

4.2.1 III Interpolation et extrapolation


 
1 Interpolation
 
Propriété 3
On peut interpoler un point xi de la serie statistique en prenant les coordonnées (xi ; yi ) appartenant à
la droite de régression. L’interpolation est dans l’intervalle des données du nuage de point.

 
2 Extrapolation
 
Propriété 4
L’extrapolation ne se distingue de l’interpolation que par le fait que la donnée (xi ; yi ) obtenue sur la
droite de régression est au dela de l’intervalle des données statistiques.

F.BINET MATHS - 10 Première BAC.PRO.


Fluctuation d’une fréquence selon les échantillons, probabilités
5
Définition 1
On appelle expérience aléatoire, un processus que l’on peut reproduire à l’identique mais dont le résultat
est incertain.

Définition 2
On appelle univers, l’ensemble de toutes les issues possibles d’une expérience aléatoire.

Définition 3
On appelle événement, un ensemble d’issues possibles d’une expérience aléatoire.

L’événement est un sous ensemble de l’univers, ou encore l’univers est l’événement certain.
Définition 4
On appelle événement élémentaire, une issue possible d’une expérience aléatoire.

Définition 5
p(A) : La probabilité d’avoir l’événement A.
p(A ∩ B) : La probabilité d’avoir l’événement A et l’événement B.
p(A ∪ B) : La probabilité d’avoir l’événement A ou l’événement B.
p(A) : La probabilité d’avoir l’événement contraire de A :p(A) = 1 − p(A)
pA (B) : La probabilité d’avoir l’événement B quand l’événement A est réalisé.

Propriété 1
p(A ∪ B) = p(A) + p(B) − p(A ∩ B)
p(A ∪ B ∪ C) = p(A) + p(B) + p(C) − p(A ∩ B) − p(A ∩ C) − p(B ∩ C) + p(A ∩ B ∩ C)
p(A ∩ B) = pA (B) · p(B)

Propriété 2
Si les événements A et B sont indépendants alors pA (B) = p(A)
Les événements A et B sont indépendants si et seulement si p(A ∩ B) = p(A) · p(B)

Définition 6
Si les événements A et B sont incompatibles alors p(A ∩ B) = 0 et dans ce cas p(A ∪ B) = p(A) + p(B)

Définition 7
Les événements sont équiprobables, lorsque les probabilités de tous les événements élémentaires sont
égales.

Propriété 3
p(A)
Événément A

p(B)
Événément B

p(C)
Événément C

p(D)
Événément D

p(E)
La somme des probabilités des événements élémentaires vaut 1. Événément E

p(A) + p(B) + p(C) + p(D) + p(E) = 1

11
CHAPITRE 5. FLUCTUATION D’UNE FRÉQUENCE SELON LES ÉCHANTILLONS, PROBABILITÉS
Propriété 4
p(A)
Événément A
p(C)
Événément C
p(B)
Événément B
p(D)
Événément D
p(E)
La probabilité sur un chemin correspond au produit des probabilités. Événément E

p(B suivi de C) = p(B) · p(C)

Remarque : p(A) + p(B) + p(E) = 1 et p(C) + p(D) = 1


Propriété 5
On peut exprimer une probabilité d’un événement en tenant compte de la réalisation d’un autre événe-
ment antérieur. Ainsi si l’événement B se réalise après l’événement A on peut exprimer des probabilités
conditionnelles. On notera pA (B) la probabilité que l’événement B se réalise si l’événement A s’est
réalisé.

pA (B)
Événément B p(A ∩ B)
p(A)
Événément A
pA (B)
Événément B

pA (B)
Événément B
p(A)
Événément A
pA (B)
Événément B
Propriété 6
En utilisant la notation des probabilités conditionnelles, on peut écrire :
p(A ∩ B)
p(A ∩ B) = p(A) · pA (B) ou encore pA (B) =
p(A)

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Approcher une courbe avec des droites
6
Capacités Connaissances
Construire en un point la tangente à la courbe repré- Sécantes à une courbe passant par un point.
sentative d’une fonction f à l’aide d’outils numériques. Tangente à une courbe en un point.
Déterminer, par une lecture graphique, lorsqu’il existe,
le nombre dérivé d’une fonction f en l’abscisse d’un Nombre dérivé.
point de la courbe représentative de cette fonction.
Construire en un point la tangente à la courbe repré-
sentative d’une fonction f connaissant le nombre dérivé Équation réduite de la tangente à une courbe en un
en ce point. Écrire l’équation réduite de la tangente à point.
une courbe en un point lorsqu’elle existe.
Fonction dérivée d’une fonction dérivable sur un inter-
valle.
Utiliser les formules et les règles de dérivation pour dé- Notation f 0 .
terminer la dérivée d’une fonction polynôme de degré Fonctions dérivées des fonctions affines et carré.
inférieur ou égal à 2. Règles de dérivation : dérivée du produit d’une fonction
dérivable par une constante, dérivée de la somme de
deux fonctions dérivables.
Étudier, sur un intervalle donné, les variations d’une Lien entre signe de la dérivée d’une fonction sur un
fonction à partir du calcul et de l’étude du signe de sa intervalle et sens de variation de cette fonction sur cet
dérivée. Dresser son tableau de variations. intervalle.
Déterminer un extremum d’une fonction sur un inter- Extremum d’une fonction sur un intervalle donné.
valle donné à partir de son sens de variation. Extremum local et extremum global.
Dresser le tableau de variations d’une fonction poly-
Fonction polynôme de degré inférieur ou égal à 2.
nôme de degré inférieur ou égal à 2.
Étudier la fonction inverse : dérivée, variations, repré-
sentation graphique. Fonction inverse.
Dresser son tableau de variations.

6.1 I Fonctions du premier et du second degré

6.1.1 1 Fonction affine

Définition 1
Une fonction affine, est une fonction du premier degré qui peut s’écrire sous la forme

f (x) = ax + b

où :
– a est le coefficient directeur ou pente de la droite,
– b est l’ordonnée à l’origine.

13
6.1. PREMIER ET SECOND DEGRÉ CHAPITRE 6. APPROCHER UNE COURBE AVEC DES DROITES
Propriété 1
Le coefficient directeur d’une fonction affine est :
– positif quand la droite est croissante,

– négatif quand la droite est décroissante.


y y

f (x
)=
,5 −0
x +2 ,5×
x+
,5 × 2, 5
) =0
f (x

coefficient directeur positif coefficient directeur négatif


x x

Propriété 2
On détermine le coefficient directeur d’une fonction affine ainsi que l’ordonnée à l’origine en prenant deux
points quelconques D et E et en calculant :

∆y yE − yD
a= = et b = yD − a × xD
∆x xE − xD
y

yE E

∆y

yD D

x
xD xE

∆x

6.1.2 2 Fonction parabolique

Définition 2
Une fonction parabolique, est une fonction du second degré qui peut s’écrire sous la forme

f (x) = ax2 + bx + c

où la représentation graphique diffère selon la valeur de a


y y

a>0 a<0

x x

f (x) = 0.2 × x2 + 0, 3 × x + 1 f (x) = −0.2 × x2 + 0, 3 × x + 6

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CHAPITRE 6. APPROCHER UNE COURBE AVEC DES DROITES 6.2. SÉCANTE ET TANGENTE

6.2 II Sécante et tangente à une courbe

6.2.1 1 Sécante à une courbe


Propriété 3
Une droite sécante à une courbe en un point D est telle que :
– la droite de type ax + b vérifie yD = axD + b

– la courbe de fonction f vérifie yD = f (xD )

yD •
D

x
xD

Exemple :

f (x) = 0, 5x2
y

g(x) = 0, 5x + 1
2 •
(2; 2)
x
2

f (2) = 0, 5 × 22 = 2 g(2) = 0, 5 × 2 + 1 = 2

6.2.2 2 Tangente à une courbe


Propriété 4
Une droite tangente à une courbe du second degré ne coupe celle-ci qu’en un seul point de même
coordonnées.
y

f (x) = x2 + 2

6 •
(2; 6)

x
2
g(x) = 4x − 2
f (2) = 22 + 2 = 6 g(2) = 4 × 2 − 2 = 6

6.3 III Nombre et fonction dérivée

6.3.1 1 Nombre dérivé


Définition 3
On appelle nombre dérivé en un point d’une courbe, le coefficient directeur de la tangente en ce point.

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6.4. ÉTUDE DES VARIATIONS D’UNE FONCTION CHAPITRE 6. APPROCHER UNE COURBE AVEC DES DROITES

6.3.2 2 Fonction dérivée


Définition 4
On appelle fonction dérivée f 0 , une fonction qui à tout point d’une fonction f associe le coefficient
directeur de la tangente en ce point.
y

x Coefficient directeur f 0 (x)


-4 1,6
E
• y = 0x + 6

0 0
y = 1, 6x + 9, 2 • •
y = −1, 6x + 9, 2 4 -1,6
D F

f (x) = −0.2x2 + 6
x
−4 0 4

6.3.3 3 Équation réduite


Définition 5
La fonction f passant par le point D de coordonnées (xD ; f (xD )) admet comme tangente la droite de
coefficient directeur f 0 (xD ) et d’équation réduite :

y = f 0 (xD )(x − xD ) + f (xD )

6.3.4 4 Fonctions dérivées usuelles


Propriété 5
Fonctions dérivées f 0 des fonctions usuelles :
Fonction f Fonction dérivée f 0
x 7→ f (x) = ax + b x 7→ f 0 (x) = a
x 7→ f (x) = x2 x 7→ f 0 (x) = 2x
1 1
x 7→ f (x) = x 7→ f 0 (x) = − 2
x x
x 7→ g(x) = a · f (x) x 7→ g 0 (x) = a · f 0 (x)
x 7→ h(x) = f (x) + g(x) x 7→ h0 (x) = f 0 (x) + g 0 (x)

Exemples :
– x 7→ f (x) = 3x + 7 donne x 7→ f 0 (x) = 3
– x 7→ f (x) = 4x2 donne x 7→ f 0 (x) = 8x
4 4
– x 7→ f (x) = donne x 7→ f 0 (x) = − 2
x x
– x 7→ g(x) = 4x2 + 3x + 7 donne x 7→ g 0 (x) = 8x + 3

6.4 IV Étude des variations d’une fonction


ATTENTION DANS LA SUITE DU COURS À NE PAS CONFONDRE LA FONCTION f ET SA DÉRIVÉE f 0

 
6.4.1 1 Fonction dérivée et variations 
Propriété 6
La fonction dérivée f 0 de la fonction f est :
– positive (f 0 > 0) quand la fonction f est croissante,

– nulle (f 0 = 0) quand la fonction f est à un extremum (minimum ou maximum),

– négative (f 0 < 0) quand la fonction f est décroissante.

On étudiera donc le signe (positif ou négatif) de la dérivée f 0 pour savoir si la fonction f est croissante ou décroissante.
La fonction f 0 est positive quand sa représentation graphique est au dessus de l’axe des abscisses et négative dans le cas contraire.

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CHAPITRE 6. APPROCHER UNE COURBE AVEC DES DROITES 6.4. ÉTUDE DES VARIATIONS D’UNE FONCTION
 
6.4.2 2 Tableau de variations 
Définition 6
Un tableau de variations est un tableau retraçant grâce au signe de sa dérivée, les variations d’une
fonction.

Exemple :
y

x −5 0 5

f ′ (x) = 2x − 0 +

25 25
f (x) = x2
0

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6.4. ÉTUDE DES VARIATIONS D’UNE FONCTION CHAPITRE 6. APPROCHER UNE COURBE AVEC DES DROITES

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Géométrie dans l’espace
7
Capacités Connaissances
Représenter un solide usuel à l’aide d’un logiciel de géo- Solides usuels : le cube, le pavé droit, la pyramide, le
métrie dynamique ou d’un logiciel métier. cylindre droit, le cône, la boule.
Exploiter une représentation d’un solide usuel ou d’un
solide constitué d’un assemblage de solides usuels.
En utilisant un logiciel de géométrie dynamique ou un
logiciel métier :
- réaliser la section d’un solide usuel par un plan. Section d’un solide par un plan.
- construire la section plane d’un solide passant par des
points donnés.

7.0.1 I
Définition 1

19
CHAPITRE 7. GÉOMÉTRIE DANS L’ESPACE

F.BINET MATHS - 20 Première BAC.PRO.


Calculs commerciaux et financiers
8
Capacités Connaissances
Calculer le montant d’un capital disponible après n pé-
Intérêts simples.
riodes de placement à intérêt simple.
Taux annuel, mensuel, par quinzaine, journalier.
Déterminer un taux.
Calculer un coût total de production, un résultat, un
Coût total de production. Résultat. Coût marginal.
coût marginal.
Calculer un coût moyen unitaire. Coût moyen unitaire.

8.0.1 I
Définition 1

21
CHAPITRE 8. CALCULS COMMERCIAUX ET FINANCIERS

F.BINET MATHS - 22 Première BAC.PRO.


9
Algorithmique et programmation

23
CHAPITRE 9. ALGORITHMIQUE ET PROGRAMMATION

F.BINET MATHS - 24 Première BAC.PRO.


10
Automatismes

25
CHAPITRE 10. AUTOMATISMES

F.BINET MATHS - 26 Première BAC.PRO.


11
Vocabulaire ensembliste et logique

27
CHAPITRE 11. VOCABULAIRE ENSEMBLISTE ET LOGIQUE

F.BINET MATHS - 28 Première BAC.PRO.


Index

ajustement plt.grid(), 4
affine, 9 plt.plot, 4
aléatoire plt.show(), 4
expérience aléatoire, 11 numpy
np.linspace, 4
coefficient directeur, 13 np.sqrt, 4

dérivé racine
fonction, 16 d’une équation, 7
nombre, 15 rang
droite d’une suite, 1
droite d’ajustement, 10 régression, 10
droite de régression, 10 résolution
graphique
équation d’une équation, 4
du second degré, 5 d’une équation du second degré, 7
résolution graphique, 7 d’une inéquation, 4
événement, 11 d’une inéquation du second degré, 7
certain, 11
élémentaire, 11 sécante, 15
équiprobable, 11 suite, 1
incompatible, 11 arithmétique, 2
indépendant, 11 récurrente, 1
expérience somme, 2
aléatoire, 11
extrapolation, 10 tableau
de signe, 7
fonction, 3 de variations, 6, 17
affine, 2, 13 tangente, 15
croissante, 6 équation, 16
décroissante, 6 terme
dérivée d’une suite, 1
signe, 16
parabolique, 5, 14 univers, 11
du second degré, 5

inéquation
du second degré, 7
résolution graphique, 7
interpolation, 10
issue, 11

nuage de points, 2, 9

point
couple de points, 9
point moyen, 9
nuage de points, 9
probabilité, 11
opération sur, 11
python
matplotlib

29

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