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Ressources documentaires.

Métiers de l’environnement / Module Eau – Maintenance des


ouvrages hydrauliques

Maintenance des ouvrages hydrauliques

Dr. Abdoul A. Oubeidillah

Table des matières

Introduction ................................................................................................................... 2
SÉQUENCE 1 : Maintenance domestique ................................................................. 3
A. Généralités ................................................................................................................. 3
B. Les fuites .................................................................................................................... 4
C. Quelques installations et leur maintenance........................................................... 4
SÉQUENCE 2 : Performance, maintenance d’un réseau AEP ................................ 6
A. Généralités ................................................................................................................. 6
B. Identification des fuites ............................................................................................ 7
SÉQUENCE 3 : Régulation de la pression de l’eau .................................................. 9
A. Généralités ................................................................................................................. 9
B. Types de pression ..................................................................................................... 9
C. La pression au sein d’un réseau AEP ................................................................... 10
Annexes ....................................................................................................................... 13

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Ressources documentaires. Métiers de l’environnement / Module Eau – Maintenance des
ouvrages hydrauliques

Introduction
Bonjour à toutes et à tous.

Bienvenue dans ce module sur la maintenance des ouvrages. Il est composé de 3 séquences.
Dans la première séquence, nous parlerons de maintenance domestique, qui concerne
notamment la plomberie. La deuxième séquence abordera la question de la performance, en
lien avec la recherche de fuites dans un réseau d’adduction d’eau potable (AEP). Enfin, la
troisième séquence traitera de la régulation de la pression de l’eau au niveau domestique et
au niveau d’un réseau AEP.

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ouvrages hydrauliques

SÉQUENCE 1 : Maintenance domestique


Avec le progrès économique et technologique, la construction d’édifices modernes devient de
plus en plus la norme dans nos communautés, avec des installations d’eau et sanitaires de
plus en plus complexes. Or, ces installations ont besoin de personnel qualifié pour leur
maintenance. Le métier de plombier devient ainsi de plus en plus en demande.

A. Généralités

La plomberie est le métier qui s’intéresse à la circulation de l’eau dans une demeure. En
général, la plomberie fait référence au système ainsi qu'aux fixations matérielles et à tout
l’appareillage utilisé à l'intérieur d'un bâtiment pour fournir de l'eau, éliminer l'eau usée et les
autres déchets liquides. Il comporte aussi un volet dédié au système de ventilation connecté.

Dans ce module, nous allons nous concentrer sur la plomberie sanitaire. Elle permet aux
occupants de bénéficier d’un certain confort et d’une eau propre et saine au bout du robinet.

Le système de plomberie est composé :

• de la fourniture de l’eau, et des tuyaux de distribution à partir du raccordement avec le


réseau d’eau publique ;
• des accessoires, raccords et robinetteries nécessaires pour la fourniture d’eau et aussi
pour la collecte et l’évacuation des eaux usées ;
• du système de drainage sanitaire pour transporter les déchets des installations vers le
système de disposition publique ou privé ;
• et dans certaines circonstances, de la collecte des eaux de pluie vers le système
d’assainissement des eaux de pluie pour réduire les risques d’inondations.
Les problèmes de plomberie les plus courants sont les fuites de tuyau, la basse pression, et
les évacuations bouchées.

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B. Les fuites

La fuite des tuyaux peut être causée par plusieurs facteurs tels que :

• Une pose incorrecte des tuyaux. Des tuyaux mal posés peuvent causer
l’endommagement des raccords et entraîner des fuites.
• La corrosion des tuyaux avec le vieillissement de l’infrastructure peut causer non
seulement des fuites, mais aussi des faibles pressions. Toutefois, ceci ne devrait pas
être un problème pour des nouvelles constructions modernes, car certains matériaux
successibles de subir une corrosion, comme le plomb, ne sont plus utilisés. La
tuyauterie en plastique remplace le plomb et le cuivre.
• Les dommages des joints compromettent l’étanchéité du système et des fuites peuvent
en résulter.
• Une pression d’eau excessive et un coup de bélier peuvent avoir des effets
dévastateurs sur les installations de plomberie. Si l’eau venant du réseau publique
arrive avec une trop haute pression, cela peut engendrer des fuites au niveau des
raccords et la possibilité d’endommagement des tuyaux, surtout si le système est mal
dimensionné.

C. Quelques installations et leur maintenance

Ce tableau indique quelques astuces de maintenance de certaines installations pour éviter ou


réparer les fuites. La première intervention lors de réparation de la plomberie est de fermer la
vanne d’arrivée de l’eau.

La canalisation d’eau est très importante. Il est nécessaire de procéder à un dégorgement et


à un remplacement périodique des joints et colliers.

Un robinet qui goutte est une chose qui arrive souvent. Non seulement cela émet un bruit
gênant, mais cela peut également engendrer des fortes pertes de consommation d’eau allant
jusqu’à 4 litres par heure. Une fuite au niveau des toilettes est encore plus désagréable et
coûteuse en termes de perte/consommation d’eau. Cela peut être un écoulement dans la

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cuvette ou bien dans le réservoir. La fuite dans le réservoir peut être due à un robinet flotteur
endommagé qui n’arrête plus l’eau correctement.

Il est donc important de s’assurer du bon fonctionnement de ses


installations en changeant périodiquement les joints, en assurant
l’entretien des toilettes et de la chasse d’eau, et le remplacement du
flotteur. Si les toilettes sont bouchées, évitez de tirer la chasse une
nouvelle fois car cela risque de déborder. Essayez plutôt d’identifier où
se situe le bouchon qui obstrue le passage. Si possible, retirez l’objet
avec les mains munies de gants montant assez haut ou utiliser une
ventouse évasée conçue pour s’adapter au siphon du tuyau
d’évacuation. Un furet coudé ou un dégorgeoir pourrait être requis. Un
détartrage périodique des appareils sanitaires est aussi nécessaire.

Nous arrivons à la fin de cette séquence 1 portant sur la maintenance domestique et vous
remercions pour votre attention.

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SÉQUENCE 2 : Performance, maintenance d’un réseau AEP


Dans cette séquence, nous allons parler de l’entretien d’un réseau AEP.

A. Généralités

Tout comme les installations domestiques, un réseau AEP a besoin d’une bonne maintenance
pour assurer son bon fonctionnement.

On distingue 3 types d’entretien :

1) L’entretien préventif, qui est un suivi régulier permettant de s’assurer que les structures
et installations d’eau ne tombent pas en panne. Par exemple, pendant les pluies, on peut
s’assurer de fermer les vannes d’entrées de réservoir et protéger les bassins brise-charge
construits pour dissiper la pression, pour que la boue et d’autres impuretés ne rentrent
pas dans le système.
Un entretien périodique des structures du réseau est de mise suivant un calendrier établi.
Le captage des sources doit être revu et maintenu tous les 4 mois ; les réservoirs au moins
une fois par an pour s’occuper de la sédimentation et des bouchons pouvant réduire la
pression ; les chambres à vanne tous les 6 mois ; les bornes fontaines tous les 3 mois ;
et les conduites d’eau tous les 6 mois. Un tableau récapitulatif du calendrier d’entretien
préventif est fourni en annexe comme exemple.

2) L’entretien correctif intervient quand il y a déjà un problème au niveau de la production.


Ceci peut être entrepris en cas de petites fuites ou des petites réparations au niveau des
installations de production pour empêcher qu’un problème ne s’aggrave en créant un
problème beaucoup plus sérieux.
3) L’entretien d’urgence intervient lorsqu’il y a un problème grave empêchant la
fonctionnalité du réseau ou causant l’arrêt total de la distribution d’eau dans une zone ou
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dans tout le réseau. Ça peut être le cas lors d’une rupture de canalisation, lors de la mise
hors service de la pompe, ou lors d’une panne électrique empêchant le pompage au cas
où un groupe électrogène ou des installations solaires sont utilisés. L’occurrence de ce
type d’urgence peut être limitée avec un bon entretien préventif. Ce type d’entretien vise
à rétablir la distribution d’eau au plus vite possible aux usagers.
Il est aussi important d’avoir un cahier de suivi de toutes les interventions de maintenance
faites sur le réseau. Ce cahier permettra d’identifier les faiblesses du réseau, comme les
endroits qui ont souvent besoin de maintenance, pour essayer de chercher une solution
durable.

B. Identification des fuites

Comme on l’a vu avec les installations domestiques, les fuites dans les réseaux AEP sont une
source de pertes financières importantes. Dans certains endroits, avec un réseau vétuste
ajouté à un manque d’entretien, les pertes d’eau dues aux fuites peuvent avoisiner jusqu’à
60% de la production d’eau. Des fuites si importantes causent l’augmentation de la production
pour pouvoir subvenir aux besoins de la communauté. C’est un manque à gagner énorme.
L’identification et la réparation des fuites est donc capitale pour la viabilité économique d’un
système AEP.

Les fuites peuvent être identifiées avec un suivi des relevés de compteurs ou de la
consommation des usagers. Si on signale une augmentation soudaine de la consommation
sans raison apparente, ou si on observe une différence majeure entre le compteur de
production et la consommation, on peut conclure qu’il y a des fuites quelque part dans le
réseau ou des connections non autorisées ou piratage.

La recherche des fuites dans le cas d’un réseau important peut s’avérer être une activité très
fastidieuse, surtout que les conduites sont enterrées au sol, donc non visible. La compagnie
d’eau peut ne pas avoir de ressources humaines à affecter à cette activité. Elle peut donc la
confier à un tierce.
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Il existe plusieurs techniques d’identification des fuites, certaines plus avancées que d’autres.
Une technique « low tech » est d’inviter les usagers à signaler des flaques d’eau
anormales ou des traces persistantes d’humidité au sol le long des installations de
distributions. Ces anomalies peuvent être le signe de fuites.

Une autre technique « low tech » est la fermeture et ouverture progressive des vannes de
branches et des zones. C’est une technique qui est généralement utilisée dans les périodes
de faible consommation, comme la nuit. Deux personnes, une au niveau du compteur en tête
de branche et une autre qui va progressivement fermer les vannes de la branche à l’autre
bout, l’une après l’autre, et ainsi essayer d’identifier et isoler la fuite. Si la vanne de la section
où il y a la fuite est fermée, le compteur de tête verra une baisse du débit. Un fort sifflement
lors de la réouverture de la vanne est une indication que la fuite est en aval de la vanne.

Des méthodes plus sophistiquées existent aussi, comme l’utilisation d’appareils acoustiques
pour identifier les fuites dans une conduite.

C’est sur ces notions de technique d’identification des fuites d’eau que nous achevons cette
séquence 2 sur la performance d’un réseau AEP.

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SÉQUENCE 3 : Régulation de la pression de l’eau


Dans cette séquence, nous allons parler de la pression d’eau dans le réseau d’adduction d’eau
potable.

A. Généralités

La pression est la force qu’exerce l’eau sur les conduites. Elle est mesurée en bars. Elle est
importante pour le bon fonctionnement du système et pour assurer la qualité de l’eau. Un
manque de pression suffisante peut favoriser la propagation des maladies en favorisant
l’entrée de pathogènes dans les conduites de distribution. L’air introduit dans les conduites
dépressurisées peut causer des coups de bélier pouvant entraîner la rupture des canalisations
et des fuites.

B. Types de pression

Une faible pression d’eau peut s’avérer frustrante pour les usagers. Imaginez ouvrir un robinet
ou une douche, et l’eau coule au compte-goutte parce que la pression est faible. Remplir un
réservoir d’un robinet à la maison ou d’une borne-fontaine devient une longue opération. Une
perte de temps.

Pour permettre un usage confortable, l’eau doit arriver avec une pression optimale. Une
pression de 3 bars est considérée comme adéquate pour l’usage domestique. C’est le
fournisseur d’eau qui doit assurer cette pression.

Il est toutefois possible que la pression de l’eau ne soit pas suffisamment adéquate.

Qu’est ce qui peut causer une faible pression dans les conduites ?

• La corrosion des tuyaux cause une dégradation de la matière et a pour effet


d’augmenter les frictions dans les conduites. Une augmentation des frictions du fluide
conduit à une perte de charge. Dans certains cas, la corrosion peut causer le blocage
des écoulements d’eau dans le réseau.

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• Les fuites aussi engendrent une baisse de pression. Donc si la pression baisse
soudainement, cela peut être dû à une fuite ou une canalisation fissurée ou bloquée.
Que faire en cas de faible pression domestique ?

Dans le cas de faible pression, on


peut recourir à un surpresseur pour
augmenter la pression. Le
surpresseur s’installe après le
compteur d’eau de la société de
fourniture d’eau. Il est composé d’une
pompe et d’un réservoir.

Le choix d’un surpresseur dépend :

• du débit de la pompe
• de la pression de la pompe
• de la puissance
• de la hauteur à servir
• du volume du reservoir
Le débit est fonction de la consommation journalière, et le réservoir, tout comme dans un
réseau AEP, permet de ne pas avoir à mettre la pompe en marche chaque fois qu’il y a un
écoulement d’eau.

À noter qu’une haute pression est tout aussi problématique. En plus du fait qu’elle peut détruire
les installations avec la force de l’eau, elle rend le contrôle du débit ingérable. L’eau est
éclaboussée partout à l’ouverture du robinet. Si vous entendez des vibrations ou des bruits
dans les installations sanitaires quand un robinet est ouvert, c’est que la pression est trop
importante.

Que faire en cas de forte pression ?

En cas de forte pression en usage domestique, on peut recourir à un réducteur de pression.


Tout comme le surpresseur, le réducteur de pression s’installe après le compteur de la
compagnie de fourniture d’eau. Certains sont préréglés à un nombre de bars fixe, et d’autres
laissent le choix à l’usager de régler la pression manuellement.

C. La pression au sein d’un réseau AEP

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Pour un réseau AEP, la pression est simplement la différence d’altitude entre la source et
l’usager. C’est pour cela qu’il n’est pas rare de voir des réservoirs ou châteaux placés plus
haut que les autres éléments du réseau, justement pour pouvoir fournir la pression nécessaire
aux usagers.

La pression est mesurée en bars soit 10 mètres correspondant à 1 bar. La perte de charge ou
la réduction de la pression est due à la longueur des conduites et à la friction engendré e par
la rugosité du matériel de fabrication. Elle est estimée en mètres de pression par kilomètres.
C’est-à-dire, la perte en pression par kilomètre de conduite.

Sachant qu’il y a une perte de pression dans les conduites, il est donc nécessaire de choisir
les bonnes conduites avec le bon diamètre.

Dans certaines situations, le réseau se trouve soumis à de fortes pressions à cause de la


différence énorme d’altitude dans la même communauté. Si une partie du réseau de la ville se
trouve à très basses altitude par rapport au réservoir, comme c’est le cas dans des zones
montagneuses, la pression dans les zones les moins élevées peut être dangereuse.

Pour limiter ces hautes pressions, on peut construire des bassins brise charge. Ces bassins
dépressurisent le système et le remettent à la pression atmosphérique, donc remettent le
compteur à 0.

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ouvrages hydrauliques

Armalish, 2016

Exemplne

Pour illustrer le choix du diamètre de tuyau et l’utilisation des tableaux de perte de charges
des tuyaux, travaillons sur un petit exemple.

Supposons qu’on doit fournir de l’eau au robinet d’une borne fontaine à partir d’un réservoir
qui se trouve à 32 mètres d’altitude. L’eau doit arriver à la borne avec un débit de 1,5
litres/seconde et à 13 mètres de pression. Le robinet se trouve 4 kilomètres plus loin à 15
mètres d’altitude. Quel serait le choix du diamètre d’un tuyau en PVC 10 ?

Hauteur du réservoir. : 32 mètres


Hauteur de la borne fontaine : 15 mètres
Débit et pression à la borne fontaine : 1.25 l/s a 13
mètres
Distance du réservoir au robinet : 4 kilomètres

Quel diamètre de tuyau ?

Différence de pression : 32m – 15 = 17 mètres


Perte de charge pour arriver à 13 mètres : 17m – 13m
= 4 mètres
Taux de perte : 4m/4km = 1m/km
Chercher dans le tableau de friction pour un taux de
1m/km et un débit de 1.25 l/s
Tuyau de 90 millimètres
Armalish,2010
2010

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Nous sommes arrivés au terme de notre module sur la maintenance des ouvrages. Saisissez
ces compétences pour réduire les pertes en eau et préserver les ressources hydriques de plus
en plus rares. Ces compétences peuvent également vous servir pour explorer des pistes
d’employabilité autour des enjeux de la maintenance des ouvrages hydrauliques.

Annexes
Voir le calendrier d’entretien préventif à la page suivante.

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ANNEXE 3 - Planning indicatif de l’entretien préventif
Mois
Structure Ce qu’il faut faire 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

-Creuser et couper les racines d’arbres qui poussent vers et sur les
structures en maçonnerie.
Captage de source
-Vérifier les possibilités d'érosion autour des structures et les prévenir
- Débroussailler les herbes autour des structures

- Ouvrir et vérifier régulièrement les chambres, pour enlever les sédiments


qui se sont déposés au fond.
Chambres de surveillance
- Surveiller et nettoyer l’intérieur et l’extérieur des chambres
de captage - Nettoyer et graisser les serrures
- Dégager les racines des tuyaux

- Débroussailler et nettoyer les abords de la structure


-En cas de fuites ou de fissures observées, alerter le CGE et s’assurer que
les réparations sont effectuées rapidement
- Vidange et nettoyage des ouvrages, brossage des parois, désinfection à
Réservoirs : sédimentation,
l'eau de javel pour le réservoir de stockage ( murs et sol); NE PAS utiliser
Stockage , casse
de lessive
pression - Si le réservoir est équipé de robinet flotteur vérifier s'il fonctionne
correctement.
- Lors de la remise en service du réservoir faire des purges sur le réseau
jusqu'à ce que l'eau soit propre.

- Vérifier que les regards de vanne soient dégagés et accessibles


- Vérifier s'il y a des fissures sur les murs.
Chambres à vannes
- Lors du nettoyage du réservoir de stockage : manœuvrer les
vannes d'entrée et sortie ainsi que la vanne de vidange .

- Vérifier le bon état du robinet de puisage; s'il ne ferme pas complètement


prévoir rapidement son remplacement .
Bornes- fontaines,
- Vérifier l'écoulement des eaux à proximité de la borne.
- Nettoyer les abords des bornes- fontaines et les maintenir en parfait état
de propreté

- Vérifier que les conduites soient enterrées notamment après les


périodes de fortes pluies pouvant entrainer le ravinement
Conduites de réseau
- Vérifier l'état des ancrages de conduites en cas détérioration prévenir le
CGE pour une réparation rapide

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Initiative Développement 2011 – Diffusion PRATIQUES http://www.interaide.org/pratiques

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