CONCLUSION.................................................................................................................................................................................. 10
BIBLIOGRAPHIE........................................................................................................................................................................11
GLOSSAIRE...............................................................................................................................................................................12
ANNEXES............................................................................................................................................................................................... 13
Introduction
Dans le cadre de ma deuxième année de formation d’assistante de service social, j’ai
effectué un stage de six mois au sein d’un Établissement Public de Santé Mentale (EPSM)
afin de préparer le diplôme d’Etat d’Assistante de Service Social. J’ai choisi ce stage afin de
venir découvrir le champ du handicap et plus spécifiquement celui de la santé mentale. Durant
mon stage en complément de mes apports théoriques, j’ai pu comprendre l’importance du
partenariat selon D.ZAY et C. LANDRY qui “résulte d’une entente réciproque entre des
parties (personnes, services, institutions) qui de façon volontaire et égalitaire, partagent un
objectif commun, et le réalisent en utilisant de façon convergente leurs ressources
respectives”1 Il y a différents enjeux en travaillant en partenariat et en réseau notamment
d’assurer la continuité de l’accompagnement, effectuer le relais de situation, d’améliorer la
qualité de l’accompagnement et cela permet également de respecter la loi du 2 janvier 20022.
A travers ce dossier, je vous présenterai dans un premier temps mon site qualifiant,
ensuite je vous exposerai ma situation partenariale et pour conclure, je présenterai les points
essentiels d’un travail en partenariat et la plus-value en tant qu’assistante de service social.
I. Présentation de la structure
1) Historique
J’effectue mon stage au sein d’un EPSM qui a été créé en 1863. Avant cette
appellation, on parlait « d’asile », de « maison de santé » ou encore « d’hôpital
psychiatrique ». L’une des premières lois date de 1838, qui ordonne que les « aliénés » soient
pris en charge au niveau départemental, a participé au développement du nombre de malades
hospitalisés. Autrefois, l’EPSM prenait en charge seulement des femmes. Elles étaient
enfermées et mises dans des pavillons selon leur degré de violence et d’agitation. On
employait des termes comme « fous » ou « débiles ». Il n’y avait pas de mixité et on pensait
que les maladies mentales étaient incurables. On enfermait donc les patients auxquels on
administrait un traitement et ils restaient hospitalisés pour les isoler de la société. Il y avait
très peu de médecins et de personnels soignants. Au fur et à mesure des évolutions des
politiques les équipes sont devenues pluridisciplinaire dans chaque pavillon. C’est seulement
1
ZAY, D. Z., & LANDRY, C. L. (1995). Vol 21. Revue des Sciences de l’éducation.
2
Boissel, A. (2006). Introduction aux lois de 2002 et 2005. La lettre de l'enfance et de l'adolescence, no<(sup> 63), 93-
96. https://doi.org/10.3917/lett.063.96
1
après la deuxième Guerre Mondiale et le circulaire du 15 mars 1960 relatif au programme
d’organisation et d’équipement des Départements en matière de lutte contre les maladies
mentales, qui valoriseront la baisse du nombre d’hospitalisations. En effet, à la suite de la
circulaire, la prise en charge des maladies mentales change, on commencera à parler de mixité
et à créer de nouvelles structures pour diminuer le nombre de places au sein de l’EPSM.
3) Public
Le public que j’accompagne au sein de l’institution est âgé au minimum de 17 ans et 3
mois. Pour toutes personnes ayant des difficultés dans sa santé mental qui ne peuvent pas être
pris en charge par la psychiatrie privée ou le médecin traitant. Les problématiques de santé
mentale peuvent se déclencher pour de nombreuses raisons, antécédant génétiques familiaux,
accident de la vie, addictions, etc... La prise en charge peut se faire de manière temporaire sur
un temps court ou de manière durable. Le handicap psychique est évoqué pour la première
fois le 11 février 2005. Il est toujours en pleine émergence. Nous constatons une hausse de
13,2 % de fréquentation des établissements de l’EPSM en un an, à savoir de 2018 à 2019. Un
suivi a donc été effectué auprès de1901 patients sont des adultes, 52 % des hommes et 49 %
des femmes pour une moyenne d’âge de 46 ans3.
4) Le territoire
Le territoire de l’EPSM dispose d’un secteur de psychiatrie général. En 2018, le
secteur où j’ai effectué mon stage recense 58 000 habitants 4. Il comporte six villes, où les
services de proximité sont peu nombreux. Les transports en commun sont cependant
disponibles et gratuits pour une partie de mon territoire. Le territoire est composé de zone
urbaine et deux communes rurales. Deux communautés des communes sont représentées. Les
conséquences que mon secteur comptabilise différentes villes, est la nécessite d’une
connaissance des politiques des villes en matières sociales notamment pour les aides sociales
facultatives ainsi que les ressources de ces dernières. Le secteur de prise en charge dépend du
lieu de résidence du patient pour permettre une prise en charge dans sa globalité prenant en
compte son environnement et ses ressources autour de son lieu d’habitation.
3
EPSM. (2020). Rapport d’activté.
4
Le territoire − Résultats pour les communes, départements, régions, intercommunalités. . . | Insee.
(2018). INSEE. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1405599?geo=COM-59131
3
5) L’équipe
L'équipe pluridisciplinaire vient s’articuler afin de répondre à une prise en charge
globale. Elle se compose d’infirmières, d’un médecin généraliste, de psychiatres, de
psychologues, de cadres supérieurs de santé, d’assistantes de service social et d’assistantes
médicales. Ils sont soumis à l’article L. 1100 -4 du Code de la santé publique et l’article L.
441-3 du code l’action sociale ce qui permet d’échanger librement sur les situations. L’équipe
travaille de manière pluridisciplinaire avec un partage d’informations sur les patients que l’on
suit. Un outil intranet permet également de laisser les transmissions afin d’accompagner le
patient dans sa globalité en prenant en compte les différents accompagnements des
professionnels.
6) Le service Social
L’assistante de service social a tout d’abord des missions d’accueil, de conseil,
d’orientation ainsi que l’accompagnement global des patients et de leurs familles. Notamment
dans le respect et en appui de son projet thérapeutique. Les domaines d’interventions peuvent
être variés comme : l’accès aux droits, l’insertion professionnelle ainsi que des dispositifs
spécifiques médico-sociale. Les accompagnements sont effectués en évaluant et analysant la
situation psychologique et sociale. Mais également en prenant en compte les retentissements
de la pathologie psychique, également l’environnement social, familial et professionnel de la
personne accompagnée. Elle a aussi pour mission la participation institutionnelle, qui se
traduit par le développement du partenariat et du réseau. Elle participe également aux
réunions du pôles afin d’améliorer le fonctionnement de l’institution.
4
des personnes accompagnées. Elles sont mandatées par le juge pour répondre à une mise sous
protection judicaire. Nous sommes sur un partenariat d’organisation.
La Caisse Primaire d’Assurance Maladie, qui répond aux versements des indemnités,
elle accompagne toutes personnes victimes de maladies ou d’accidents. Enfin, elle fait de la
prévention sur diverses problématiques (bilan de santé, addictions ou encore sensibilisation
autours des maladies). Lors de mon stage je l’ai sollicitée notamment pour le renouvellement
de la complémentaire santé solidaire pour les patients ayant un faible revenu mais également
pour réaliser des demandes d’aides exceptionnelles. J’ai pu échanger avec une référente
partenaire de la CPAM.
Le service social peut coopérer avec une multitude d’acteurs externes : Caisse
d’Allocations Familiale, Maison de la justice et du droit, SPIP Service Pénitentiaire
d'Insertion et de Probation, Services Handi bus, Bailleurs sociaux, Foyer de vie, FAM / MAS,
ESAT, etc…
1) Présentation de la situation
Monsieur est âgé de 54 ans. Divorcé, il vit seul à son domicile. Il bénéficie de
l’Allocation Adulte Handicapé en complément de sa pension d’invalidité. Il est diagnostiqué
bipolaire avec déficience intellectuelle légère. Cette pathologie chronique peut entraîner des
dérèglements de l’humeur. Il est connu du service de psychiatrie depuis de nombreuses
années cependant nous n’avions plus de contact avec Monsieur depuis 2018 où il avait
bénéficié d’une hospitalisation dans un centre de cure psychiatrique. À sa sortie il avait
hébergé une personne chez lui ce qui lui permettait d’être accompagné au quotidien et ainsi
pallier à sa solitude. Le départ de cette personne a entraîné des répercussions sur sa maladie et
a accentué le sentiment d’isolement l’amenant à se retrouver en situation d’incurie. L’ex-
femme de Monsieur qui l’aidait au quotidien a contacté notre service pour nous faire part de
la situation de ce dernier. Elle se disait « épuisée et inquiète » également “qu’elle ne se sentais
plus capable et ne souhaitait plus l’accompagner. Elle préférait garder seulement une relation
amicale avec son ex-mari".
Une infirmière du CMP s’était rendue au domicile du patient pour évaluer son autonomie
dans les actes essentiels de la vie. Durant sa visite elle a pu constater une dégradation de l’état
de santé de Monsieur qui l’impactait dans la gestion de sa vie quotidienne. Il a accepté
l’hospitalisation. Selon son psychiatre, il présentait un fléchissement de l’humeur ayant pour
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répercussions : la tristesse, ralentissement, l’incapacité à gérer et à exécuter son quotidien.
L’hospitalisation ainsi que les visites à domicile ont permis à l’équipe de constater les
difficultés de Monsieur dans la gestion du quotidien où il était ralenti.
Je l’ai rencontré quelques semaines après son admission à sa demande. Celui-ci
m’évoquait avoir conscience de ses difficultés au domicile. Il m’expliquait que “son ex-
femme l’aidait beaucoup mais que celle-ci était fatiguée de la situation”. J’ai reçu Monsieur
en entretien de façon régulière. Lors de ces derniers j’évaluais avec lui ses besoins et les
problématiques engendrées par son handicap. En ce qui concerne l’hygiène et l’habillage
monsieur rencontrait des difficultés à effectuer les tâches seul ce qui constituait un premier
frein à son autonomie au domicile. Les infirmiers devaient changer Monsieur de façon
régulière car il avait un trouble d’incontinence. Monsieur avait besoin d’être supervisé dans
une partie des actes de la vie quotidienne. Concernant l’entretien du logement, il ne
l’effectuait que partiellement. Lors de notre visite j’ai pu apercevoir que le logement était
partiellement entretenu, ainsi Monsieur expliquait que “depuis quelques semaines il ne se
sentait plus capable d’effectuer cette tâche”. De plus il m’évoquait que “son ex-femme lui
achetait des repas tous préparés qu’il essayait de réchauffer au micro-onde". L’élaboration
de la liste de courses, ainsi que la mise en place de ses repas était compliquée pour lui selon
son ex-femme. Concernant les ressources, Monsieur n’était pas dépensier et faisait attention à
son budget. Cependant, son ex-épouse devait le guider dans tous les achats sortants de
l’ordinaire. Monsieur n’avait pas la notion du coût de la vie et était vulnérable lors de ses
achats. Ainsi cette dernière s’occupait de la gestion des courriers. Par exemple, lorsqu'il
recevait une facture, elle devait procéder au règlement. L’ensemble de ces éléments illustrent
les freins que Monsieur avait au domicile et la complexité de vivre seul sans aucun levier pour
venir les compenser. J’ai proposé à Monsieur de mettre en place des aides afin de venir pallier
les répercussions de sa maladie.
2) Choix de la situation
J’ai choisi la situation de Monsieur, car celle-ci m’a permis de comprendre
l’importance du partenariat. Les dispositifs proposés en interne n’auraient pas permis un plan
d’aide personnalisé complet pour Monsieur. De plus, cette situation s’entreprend avec l’aide
des acteurs externes que nous sollicitons régulièrement. Enfin, cette situation s’est présentée
lors d’un événement conjoncturel qui était l’arrêt maladie de ma référente, de ce fait, j’ai été
le pilote de cette situation
6
3) Mise en œuvre de l’accompagnement et analyse des liens de travail
J’ai rencontré Monsieur à différentes reprises. Au fur et à mesure des entretiens j’ai pu
construire avec lui un accompagnement sur trois axes. L’objectif général était la sortie
d’hospitalisation de Monsieur, avec comme objectifs opérationnels qui ont été la mise en
place d’une protection judiciaire, l’autonomie à domicile ainsi que travailler les liens sociaux.
Lors de son hospitalisation Monsieur était renfermé sur lui-même selon les constatations de
l’équipe médical. En entretien il m’évoquait « qu’il n’avait pas de vie sociale et ne sortait
jamais de chez lui ».
Concernant l’autonomie au domicile.
En réunion d’équipe, les infirmières m’informaient que l’autonomie de Monsieur
concernant l’hygiène n’avait pas évoluée positivement depuis son arrivée. Malgré le fait qu’il
était stabilisé dans sa maladie. En réunion d’équipe, et aux vus des contacts que j’avais pu
effectuer et selon les dires de Monsieur. Je lui avais proposé de constituer une demande de
Prestation Compensatrice du Handicap (PCH) pour une demande humaine dans les actes de la
vie quotidienne auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH).
Avec son accord nous l’avons ainsi associé à une demande de PCH d’urgence. J’ai joint
également une note sociale pour effectuer une liaison avec mon partenaire pour qu’il ait une
vision éclairée de la situation. J’ai sollicité à plusieurs reprises ce partenaire car nous sommes
dans un partenariat solidariste. La MDPH est un groupement d’intérêt public et le service
social a pour mission la délégation d’information concernant le dossier MDPH. Nous sommes
en réciprocité dans nos actions. J’ai fait ce choix, de collaborer avec eux car leurs missions
permettent de répondre aux besoins de Monsieur. La mise en place de la PCH est un levier
pour accéder l’autonomie à domicile. Pour compenser les difficultés de Monsieur dans l’aide
au ménage, j’ai contacté un dispositif interne à l’EPSM. Le SAMAD qui permet au patient
d’être guidé dans des tâches quotidiennes comme celle du ménage et/ou des courses en
contrepartie d’un tarif prenant en compte les revenus de la personne accompagnée. Ces taches
ne pouvaient pas être prises en charge par la PCH étant donné le taux d'invalidité de moins de
80 % de Monsieur. À partir de 2023, la PCH évolue pour venir accompagner les personnes en
situation d’handicap dans de nouveaux actes comme l’aide au ménage par exemple. Le
dispositif SAMAD travaille en partenariat relationnel avec l’association des aides à domicile
l’ADAR sauf s’il y a refus de la personne. Après la constitution du dossier avec Monsieur et
l’accord de la responsable du dispositif, j’ai collaboré avec l’Adar afin de planifier un rendez-
vous au domicile de Monsieur. Cette association est sensibilisée aux handicaps psychiques.
Lors de notre rencontre, nous avons échangé sur les difficultés de Monsieur ainsi que ses
7
capacités dans la réalisation des tâches domestiques.
Monsieur m’évoquait des difficultés à effectuer les courses ainsi que la préparation
des repas. Suivant la ville d’habitation du patient, j’ai contacté le Centre Communal d’Action
Sociale (CCAS). Par téléphone, nous nous sommes coordonnées avec la référente d’une
collègue de promotion dont nous partagions les Groupes de Ressources Territoire. Je suppose
que cela a favorisé nos échanges, mon interlocutrice arrivait donc facilement à m’identifier
ainsi que mes missions. Nous avons défini ensemble l’accompagnement que chaque
institution allait effectuer auprès de Monsieur. Nous avons ensuite échangé par mail, pour la
correspondance des documents dont elle avait besoin pour effectuer une demande de portage
de repas ainsi que le dossier d’Aide Sociale. J’ai sollicité le réseau de Monsieur amical avec
son accord et notamment son ex-compagne pour les documents manquants en lien avec la loi
de 2002-2 du 2 janvier 2OO2 qui reconnaît un rôle de la famille auprès de la personne
accompagnée. Le choix de ce partenariat était évident, j’ai repéré le CCAS comme acteur sur
son territoire et c’est le seul à pouvoir répondre aux missions pour lesquelles nous avons
correspondu.
L’institution avait reçu début octobre une invitation à une journée porte ouverte d’un
Groupe d’Entraide Mutuelle (GEM). J’ai répondu présente à cette invitation où j’ai eu
l’occasion d’échanger avec la présidente. Les missions de leur association correspondent
également aux valeurs de l’EPSM. Ils ont pour but de restaurer et de maintenir les liens
sociaux. Ils organisent des activités, repas partagés et sorties culturelles et de loisirs dans un
esprit d’échange et d’aide. Etant donné que Monsieur était isolé à son domicile, je lui ai
proposé d’aller visiter le GEM est proche de son lieu d’habitation. J’ai fait le choix de
présenter le GEM à Monsieur plutôt qu’un dispositif comme des activités en CCAS, car
Monsieur avait très peu confiance en lui et avait peur des autres. Cependant, ce dispositif
faisait aussi partie de son réseau, du fait qu’il avait une connaissance qui y était adhérente.
Cette association répondait parfaitement aux attentes de Monsieur ce qui le rassurait. Le fait
d’avoir pu rencontrer la présidente et visiter les locaux m’a permis de collaborer avec eux.
Notamment d’avoir la connaissance de leur fonctionnement et les démarches à effectuer pour
pouvoir y adhérer. J’ai pu également présenter l’association aux patients que j’accompagnais.
L’action de rencontrer les partenaires locaux donne réellement une plus-value pour la prise en
charge des accompagnements globaux. Monsieur a participé à des activités proposées par leur
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service et m’évoquait lors d’un entretien que cela lui faisait plaisir de pouvoir faire des
rencontres.
Conclusion
Kofi ANNAN, Anciennement secrétaire général des nations unis, qui a reçu un prix
Nobel de la paix en 2001 a dit cette citation : « La seule voie qui offre quelque espoir d'un
avenir meilleur pour toute l'humanité est celle de la coopération et du partenariat. »
Dans l’ensemble de mon dossier, j’ai essayé de mettre en avant le travail en partenariat
qui a été réalisé autour de la situation choisie, au regret de ne pas avoir assez exposer les
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compétences et ressources de Monsieur qui sont également essentielles. Monsieur a
constamment été moteur de son projet et était force de propositions durant son
accompagnement. Le partenariat est primordial dans la profession d’assistante de service
social, afin de réaliser un accompagnement global auprès de la personne concernée sans
oublier de l’inclure afin que celle-ci reste au cœur de son projet et qu’elle soit acteur de celui-
ci.
Bibliographie
ZAY, D. Z., & LANDRY, C. L. (1995). Vol 21. Revue des Sciences de l’éducation.
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000215460/
Marques, A., Daoud, V., Stamatiadis, L. & Chaltiel, P. (2013). La loi du 5 juillet
Vuibert.
sante.gouv.fr/IMG/pdf/deass_arrete_ssaa1812300a_annexes_i_et_ii.pdf
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Documents théoriques
Glossaire
ARS : Agence Régionale de Santé
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Annexes
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