Vous êtes sur la page 1sur 24

Thème 34

Management en Pratique
100 Questions en Management

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 180


1 Une entreprise est avant tout une organisation c’est-à-dire :

A. Une somme d’individus ou de groupes


B. Une façon cohérente de structurer son action.
C. Une action individuelle orientée vers un but
D. Une action étroitement liée au mécanisme de financement.

2
La pérennité d’une entreprise repose essentiellement sur :

A. Des investissements soutenus en capital technique.


B. L’acquisition et la rémunération des facteurs de production
C. La transformation et la commercialisation des productions
D. La simplicité de fabrication des produits

3 Le microenvironnement de l’entreprise :

A. Est l’environnement général de l’entreprise


B. Comprend les concurrents et les partenaires directs de l’entreprise
C. Est l’environnement économique, financier et juridique
D. Peut influencer sur l’offre et la demande de l’entreprise

4
Complétez la phrase suivante : ______ est l’organisation et l’optimisation des moyens
disponibles pour atteindre les objectifs.

A. La gestion
B. Le pilotage
C. La direction
D. Le management

5 L’activité d’un manager a pour objectif :

A. Unique de mieux gérer les troubles.


B. De gérer les moyens et diriger les hommes.
C. D’optimiser les dysfonctionnements.
D. De préparer et de prendre la décision.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 181


6 Le management stratégique concerne :

A. La gestion du marché par la stratégie.


B. La gestion des processus interne propres à l’entreprise.
C. Les choix relatifs aux produits ou aux activités et aux marchés.
D. L’organisation des décisions les plus courantes.

7 Selon Herbert Simon, la phase d’intelligence est une phase de :

A. Traitement des informations recueillies.


B. Compréhension de la problématique.
C. Diagnostic du problème.
D. Mise en œuvre d’un processus, qui aboutira à un choix.

8 Les décisions qui structurent les ressources de la firme de manière à lui assurer une
réussite optimale et assurent le développement de ces ressources sont des décisions :

A. Programmés.
B. Stratégiques.
C. Administratives ou tactiques.
D. Opérationnelles.

9 La mission d’une entreprise :

A. Est un choix d’orientation de la longue durée.


B. Est un savoir-faire que l’entreprise possède et qu’elle sait utiliser.
C. Donne la ligne directrice que l’organisation va suivre.
D. Doit être définie après toute décision stratégique.

10 Un objectif de qualité doit être :

A. Sans précision d’horizon temporel.


B. Essentiellement qualitatif.
C. Non qualifiable.
D. Aucune réponse n’est juste.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 182


11 La stratégie permet à l’entreprise et à ses acteurs d’avoir une idée claire et précise sur :

A. Les objectifs à atteindre, pourquoi, comment et avec quels moyens.


B. De l’adhésion des concurrents de l’entreprise.
C. Des parcours alternatifs pour atteindre son objectif primaire.
D. Toutes les réponses sont justes.

12 Limiter le nombre de marchés sur lesquels l’entreprise propose une offre n’est pas du
ressort de :

A. La stratégie générale
B. La stratégie d’activité
C. Management opérationnel
D. Management Stratégique

13
La compétitivité d’une entreprise désigne la capacité à :

A. Créer de la valeur et conserver sa clientèle.


B. Gérer l’incertitude.
C. Discuter avec les partenaires internes et externes
D. Toutes les réponses sont justes

14 Un domaine d’activité stratégique (DAS)

A. Exige la mise en œuvre de compétences spécifiques


B. Permet d’adapter un produit à un groupe de clients
C. Est un lieu de partage de ressources et de savoir-faire
D. Concerne des groupes de clientèles différentes

15 Pour déterminer l’attractivité d’un segment stratégique, le stratège doit mener :

A. Une analyse de l’ensemble des activités de son entreprise


B. Une évaluation des facteurs extérieurs pouvant influencer sa stratégie.
C. Un diagnostic des ressources et compétences de son entreprise
D. Un diagnostic de l’environnement concurrentiel de l’entreprise.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 183


16 Un groupe stratégique correspond au sein d’un secteur donné à l’ensemble des
entreprises :

A. Aux comportements stratégiques similaires.


B. Qui ont la même taille
C. Qui ciblent les mêmes clients
D. Réponses B et C

17 Selon (la théorie des ressources) d’Édith Penrose, la performance de l’entreprise est
liée à :

A. La quantité disponible des ressources


B. La qualité des ressources disponibles
C. L’utilisation que l’on fait d’une ressource
D. La combinaison des ressources disponibles dans l’entreprise

18
Les choix stratégiques de l’entreprise qui ont le plus de chance de succès associent :

A. Opportunité et forces
B. Menaces et faiblesses
C. Opportunité et faiblesses
D. Menaces et forces

19 Les phrases du cycle de vie d’un produit ou une activité qui permettent à l’entreprise
le maintien de l’avantage concurrentiel sont les phases de :

A. Lancement
B. Croissance
C. Maturité
D. Déclin

20 Dans le cadre de la matrice BCG, l’objectif de l’entreprise doit être plutôt de :

A. Maintenir ses activités <vache à lait>


B. D’investir dans ses activités <vache à lait>
C. Abandonner les activités <vedettes>
D. Maintenir sans investissement les activités <poids morts>

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 184


21 La stratégie qui consiste à proposer une offre dont la valeur perçue est comparable à
celles des offres des concurrents mais à un prix plus faible est une stratégie de :

A. Domination des coûts


B. Différenciation
C. Focalisation(ou de concentration)
D. Diversification

22 Se différencier pour une firme consiste à acquérir par rapport à ses concurrents une
caractéristique unique à laquelle :

A. Les clients sont indifférents


B. Les clients attachent une valeur
C. Un service après-vente doit être associé
D. Réponses B et C

23 Selon Michael Porter, une stratégie de domination par les coûts s’obtient grâce à :

A. Un volume de production important


B. Efficience de la main d’œuvre
C. Des facteurs de différenciation de l’offre.
D. L’intuition et créativité de l’entreprise.

24
Si on ne devait retenir qu’une expression relative à la stratégie, on pourrait dire :

A. Business Plan
B. Planification à long terme
C. Avantage compétitif durable
D. Planification stratégique

25 Pour assurer la pérennité de son entreprise et sa réussite sur ses marchés, le stratège
doit :

A. Contraindre ses concurrents à abandonner la lutte


B. Pousser ses concurrents à l’affrontement
C. Vaincre ses concurrents à n’importe quel prix
D. S’adapter à la stratégie des concurrents

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 185


26 Le management stratégique vise à orienter l’activité de l’entreprise sur un horizon :

A. De court terme
B. De moyen terme
C. De long terme

27 Le concept d’intention stratégique conduit à une réflexion sure :

A. Le futur possible de l’entreprise


B. Le futur rêvé de l’entreprise
C. Le futur probable de l’entreprise

28 Le management opérationnel :

A. n’a aucune incidence sur le management stratégique


B. peut exercer une certaine influence sur le management stratégique
C. conditionne le management stratégique

29 Les décisions opérationnelles :

A. sont indépendantes de la stratégie.


B. se prennent en même temps que les décisions stratégiques.
C. doivent être cohérentes avec les orientations stratégiques prédéfinies

30 Les trois dimensions du management opérationnel sont :

A. la dimension organisationnelle, la dimension technique, la dimension


humaine.
B. la dimension organisationnelle, la dimension technique, la dimension
commerciale.
C. la dimension technique, la dimension financière, la dimension hiérarchique.

31 Le management opérationnel :

A. permet l’acquisition de nouvelles ressources.


B. vise à utiliser plus efficacement les ressources existantes.
C. ne concerne pas les ressources de l’entreprise

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 186


32 Le management stratégique peut conduire à :

A. l’acquisition de sites de production à l’étranger.


B. racheter une entreprise concurrente.
C. renégocier les processus d’approvisionnement avec un fournisseur.

33 Le management opérationnel peut conduire l’entreprise à :

A. recentrer son activité sur les quelques produits les plus appréciés par les clients.
B. négocier de nouveaux objectifs avec les commerciaux.
C. entreprendre des actions de communication pour expliquer aux salariés ses
orientations stratégiques

34 Le management stratégique doit tenir compte :

A. des actions de la concurrence.


B. de l’historique et des valeurs de l’entreprise.
C. des convictions politiques et religieuses des salariés

35 Pour assurer la cohérence entre le management stratégique et le management


opérationnel, il est nécessaire :

A. de définir un cadre stratégique particulièrement rigoureux, ambitieux et précis.


B. de rigidifier les pratiques du management opérationnel.
C. De coordonner avec une certaine souplesse le management stratégique et le
management opérationnel.

36 Le management stratégique repose sur :

A. Une analyse de l'ensemble des fonctions de l'entreprise.


B. Une analyse de la firme et de l'environnement de l'entreprise.
C. Une analyse des ressources de l'organisation.
D. Une observation de macro-environnement et microenvironnement de la firme

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 187


37 Laquelle de ces affirmations vous parait la plus logique :

A. La stratégie est l'art de diriger une action.


B. La stratégie est définie par l'action des concurrents de l'entreprise sur le marché.
C. La stratégie définit les parcours alternatifs qui permettent à l'entreprise
d'atteindre les objectifs définis.
D. La stratégie est l'idée philosophique et politique que l'organisation de fait de
son existence.

38
La vision stratégique de l'entreprise définit :

A. Ce qu'est l'état actuel de l’entreprise.


B. Ce qu'est l'état réel de l’entreprise.
C. Ce qu'est l'entreprise et ce qu'elle fait en réalité.
D. Ce qu'est l'état futur souhaité de l'entreprise.

39 La mission d'une entreprise :

A. Doit être définie avant toute décision stratégique.


B. Doit être définie après toute décision stratégique.
C. Garantit le succès de l'entreprise sur ces marchés.
D. Ne varie pas au cours du cycle de vie de l'entreprise.

40 Le processus d'élaboration stratégique :

A. Ne prends pas en compte les objectifs personnels des dirigeants.


B. S'appuie sur l'observation de l'action des concurrents de l'entreprise sur le
marché
C. S'appuie sur des buts clairement définis et opérations qui permettent la
conservation d'avantages concurrentiels
D. Nécessite l'adhésion de toutes les parties prenantes de l'entreprise.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 188


41 La segmentation stratégique est un outil de l'analyse stratégique qui permet de :

A. De définir l'étendue d'une gamme de produit.


B. De dégager des stratégies les plus prometteuses et d’allouer les ressources
adéquates.
C. De découper un marché en groupes homogènes de clients et/ou de
consommateurs.
D. D'identifier les segments de clientèle sur lesquels va porter l'effort commerciale.

42 Un domaine d'activité stratégique (DAS) est :

A. Un regroupement des produits et des services similaires des entreprises


différentes.
B. Un regroupement des entreprises ayant adopte la même stratégie dans un
secteur d'activités.
C. Un groupement d'individus ayant les caractéristiques communes.
D. Aucune de ces réponses.

43 Un segment stratégique :

A. Concerne des groupes de clientèle différents.


B. Exige la mise en œuvre de compétences spécifiques.
C. Favorise l'utilisation de technologie diversifiée.
D. Permet d'adapter un produit à un groupe de clients.

44 Le diagnostic stratégique :

A. Augmente le degré d'incertitude de l'action stratégique dans un avenir incertain.


B. Permet de prévoir l'environnement futur de l'entreprise.
C. Facilite le repérage des facteurs clés de succès dans un secteur.
D. Laisse peu de marges de manœuvre au décideur.

45 L'analyse PESTEL :

A. débouche sur la conception de scénarios d'évolution de l'environnement


B. permet au stratège d'apprécier la capacité stratégique de l'entreprise.
C. mesure uniquement l'influence de la concurrence immédiate des principaux
concurrents sur l'entreprise.
D. est menée sans tenir compte de l'influence des facteurs écologiques.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 189


46 L'attrait potentiel du secteur est déterminé par l'intensité concurrentielle des forces
exercées par cinq grands types d'acteurs économiques ;

A. Plus leur intensité est importante, plus le secteur sera attractif.


B. Plus leur Intensité est Importante ; moins le secteur sera attractif.
C. Plus leur Intensité est importante, plus le secteur attire des investisseurs,
D. Plus leur Intensité est importante, plus les profils soient captés par les firmes en
Présence

47 Selon Michael Poster, construira la chaine de valeur consiste à :

A. Privilégier les activités qui concernent directement la production.


B. Associer les activités de production aux activités de commercialisation.
C. Supprimer les activités qui ne concernent pas directement la production.
D. Analyser les activités qui créent de la valeur.

48 Selon « la théorie des ressources » d'Édith Penrose la performance est liée à :

A. La quantité disponible des ressources.


B. La qualité des ressources disponibles.
C. L'utilisation et l'agencement que l'on fait d'une ressource.
D. Accroissement des actifs et ressources de l'entreprise.

49 Le diagnostic des compétences a pour objectif :

A. d'identifier les compétences fondamentales inutiles.


B. de développes de nouvelles compétences fondamentales en externe.
C. de concentrer les compétences fondamentales dans les services les plus
performants de l'entreprise
D. de juger, améliorer et examiner les opportunités d'acquisition des compétences
fondamentales nécessaires.

50 Un avantage concurrentiel désigne la capacité d'une organisation à obtenir :

A. Durablement de meilleures performances que ses concurrents.


B. Durablement des performances vendues à celles de ses concurrents
C. immédiatement de meilleures performances que ses concurrents.
D. Durablement de meilleures performances que dans son passé

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 190


51 Les phases de croissance et de maturité d'un produit permettent à l'entreprise :

A. D'acquérir un avantage concurrentiel.


B. Le maintien d'un avantage concurrentiel.
C. La disparition de l'avantage concurrentiel.
D. La recherche d'autres avantages concurrentiels,

52 Une activité « dilemme » dans la matrice du BCG

A. est une activité en phase de croissance,


B. est appelé à devenir a vaches à lait
C. est une position acquise que l'on cherche à maintenir durablement
D. correspond á un produit qu'il convient d'abandonner

53 Selon Michael Porter, une stratégie do domination par les couts s'obtient grâce à :

A. un volume de production important.


B. une concurrence, faible.
C. des couts variables faibles.
D. une concurrence forfe.

54 Se différencier pour une firme consiste à acquérir par rapport à ses concurrents :

A. Une caractéristique unique à laquelle les clients sont indifférents.


B. Une caractéristique unique à laquelle les clients attachent une valeur
C. Une caractéristique unique sous-estimer par les clients.
D. Une caractéristique unique défendue par les clients,

55 Laquelle de ces affirmations vous parait la plus logique ?

A. la stratégie de différenciation correspond à la mise sur le marché d'un produit


moins cher que celui des concurrents."
B. La stratégie de domination par les couts permet de pratiquer des prix plus
élevés que la moyenne
C. Un facteur clé de succès (FCS) désigne l'ensemble de compétences et de Savoir
faire de l'entreprise.
D. S'engager dans une nouvelle activité en s'appuyant sur son métier d'origine une
entreprise est une diversification concentrique.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 191


56 Parmi ces objectifs, trouver l’objectif non économique de l’entreprise ?

A. Avoir une certaine productivité


B. Se soucier des préoccupations sociales (procurer un emploi, assurer un revenu,
permettre l'insertion sociale par le travail...)
C. S'assurer un monopole sur un marché

57 La flexibilité d'une entreprise désigne sa capacité à :

A. Changer de clients
B. Embaucher moins de salariés
C. S'adapter à son environnement

58 Pour Mc Gregor, la théorie X correspond à :

A. La vision classique
B. La vision néoclassique
C. La vision systémique

59
Le style participatif est un style qui :

A. Favorise l'innovation et la motivation


B. Repose sur la Supervision, l’évaluation et la sanction
C. Repose sur la prise de décisions efficaces

60
Les expériences réalisées par Mayo et son équipe portent sur :

A. La motivation
B. L’ambiance de travail
C. Les relations informelles

61
Pour Herzberg, le contraire de la satisfaction au travail, c’est :

A. Insatisfaction dans le travail


B. Absence de satisfaction dans le travail
C. Satisfaction dans la vie privée

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 192


62 La planification stratégique, c’est :

A. Une conception d’un plan d’action


B. Une réflexion globale à moyen et long terme
C. Une gestion efficace de l’exploitation

63
L’aptitude du manager à traiter avec les syndicats relève de son rôle :

A. De régulateur
B. De porte-parole
C. De négociateur

64 Selon l’approche systémique, l’organisation est un système

A. Constitué d’éléments indépendants


B. Constitués d’éléments indépendants de son environnement
C. Complexe, constitué d’éléments en interaction et ouvert sur son
environnement
D. Simple, dépendant de son personnel

65 Chez Drucker, DPO signifie :

A. Diriger, prévoir, organiser


B. Direction par objectif
C. Direction, production, objectifs
D. Les trois réponses précédentes sont fausses

66 Les décisions opérationnelles sont des décisions prises par

A. L’encadrement de l’entreprise
B. Les collaborateurs
C. Les collaborateurs et les responsables, et concernent la gestion courante de
l’entreprise
D. La direction générale

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 193


67 Définir la mission, c’est :

A. Savoir ce qui est central, prioritaire et permanent dans le poste occupé par le
manager
B. Une condition nécessaire avant de fixer les objectifs de chacun
C. Savoir qui fait quoi, comment, pourquoi et pour qui dans l’entreprise
D. Les trois réponses précédentes sont exactes

68
Pour rendre possible la division du travail selon Taylor, il faut impérativement :

A. La standardisation des produits


B. La parcellisation des tâches
C. La spécialisation des ouvriers
D. Les trois réponses précédentes sont exactes

69 Le principe de la décentralisation coordonnée a été pensé par :

A. Elton Mayo
B. Alfred Sloan
C. Peter Drucker
D. Les trois réponses précédentes sont fausses

70 L’activité administrative est définie par Fayol par les verbes suivants :

A. Prévoir, organiser, commander, coopérer, vérifier


B. Prédire, organiser, diriger, coordonner, contrôler
C. Prévoir, organiser, commander, coordonner, contrôler
D. Les trois réponses précédentes sont fausses

71 Le premier à donner une définition de l’approche systémique était :

A. Norbert Winer
B. Von Bertalanffy
C. Mintzberg
D. Taylor

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 194


72 Critique de l’école des relations humaines :

A. Marginalisation de l’environnement
B. Excès de l’autorité
C. Trop de contrôle
D. Laisser-faire

73 Une organisation mécanique est :

A. Souple
B. Très formalisée
C. Marquée par une communication fluide
D. Adaptée à un environnement instable

74 La roue de Deming est définie par :

A. Décider –organiser- contrôler


B. Planifier-faire – contrôler-agir
C. Créer – innover- agir – contrôler
D. Prévoir – organiser – commander – contrôler

75 Dans la grille de BLAKE & MOUTON, le 9-1 est un style de comportement :

A. Intégrateur
B. Autoritaire, centré sur la tâche / production
C. Participatif
D. Intermédiaire (prise en compte des besoins psychologiques et résultats

76 Le facteur de contingence étudié par Chandler est :

A. La stratégie
B. La taille
C. La technologie

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 195


77 S'assurer que les opérations d'une entreprise sont rentables est :

A. Un contrôle de la performance du plan.


B. Un contrôle du rendement de l’activité
C. Un contrôle stratégique
D. Les trois réponses précédentes sont justes

78 Pour Maslow, le besoin de sécurité est

A. Ne pas avoir de conflits avec ses collègues


B. Avoir de quoi de nourrir et se loger
C. Avoir un travail et une assurance
D. Etre reconnu comme un salarié compétent

79 La légitimité charismatique d’un manager repose sur :

A. La tradition dans l’entreprise


B. Les procédures de l’entreprise
C. Les qualités personnelles du manager
D. Les trois réponses sont fausses

80 Cochez l’affirmation juste :

A. Plus la décision est importante, plus l'information disponible est insuffisante


B. Plus la décision est importante, plus l'information disponible est suffisante
C. Plus l’information est abondante plus la décision à prendre l’est aussi.
D. Les trois réponses précédentes sont fausses

81 Définir la mission, c’est :

A. Savoir ce qui est central, prioritaire et permanent dans le poste occupé par le
manager
B. Une condition nécessaire avant de fixer les objectifs de chacun
C. Savoir qui fait quoi, comment, pourquoi et pour qui dans l’entreprise
D. Les trois réponses précédentes sont exactes

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 196


82 Si le pouvoir de décision est réparti dans l'entreprise (ou l'organisation), il s'agit de :

A. Centralisation
B. Déconcentration
C. Décentralisation
D. Gestion par exception

83 Le style 9.9 de management selon la grille Blake et Mouton :

A. Le style autoritaire
B. Le style social
C. Le style intégrateur
D. Le laisser-faire

84 Le style autoritaire selon P. Hersey et K.H. Blanchard est un style applicable quand :

A. Le collaborateur est d’un niveau de maturité faible


B. Le collaborateur est d’un niveau de maturité qui varie entre faible et moyenne
C. Le collaborateur est d’un niveau de maturité est élevé

85 La flexibilité d'une entreprise désigne sa capacité à :

A. Avoir une forte rentabilité


B. Changer de clients
C. Embaucher moins de salariés
D. S'adapter à son environnement

86 Selon vous, quels peuvent être les facteurs contextuels favorisant la création
d’entreprise ?

A. Conjoncture économique stable


B. Être motivé pour gagner plus d’argent
C. Créer son propre emploi
D. L’amour du risque, des challenges et défis
E. Marché prêt à accueillir de nouveaux entrants

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 197


87 Selon vous, quels peuvent être les facteurs personnels favorisant la création
d’entreprise ?

A. Conjoncture économique stable


B. Régime fiscal favorable
C. Être motivé pour gagner plus d’argent
D. Être son propre patron

88
Pour un manager l’intérêt de se référer à une éthique entraîne :

A. Une amélioration de l’image de marque de l’entreprise ;


B. Un accroissement des performances de l’entreprise ;
C. Apporter une réponse aux parties prenantes ;
D. Permettre sa croissance et sa pérennité.

89 Les valeurs environnementales empêchent-elles le profit ?

Les valeurs environnementales permettent de :

A. Limiter les émissions de gaz à effet de serre de l’entreprise ;


B. Économiser les ressources comme le papier et l’eau ;
C. Limiter la consommation d’énergie (électricité, chauffage) ;
D. Privilégier les locaux durables ;
E. Tri et recyclage.

90 Les entreprises poursuivent-elles un seul objectif ?

Les objectifs sont nombreux et différents selon où l’on se place (vision des actionnaires,
des salariés, de la société). L’entreprise pour satisfaire ses parties prenantes doit les
concilier mêmes s’ils sont de natures différentes et parfois antagonistes.

A. Objectif de profit et de rentabilité


B. Objectif de contribuer au bonheur de la société
C. Objectif de bonne gouvernance, d’éthique, de partage équitable de la valeur
ajoutée et de reconnaissance (salariés)

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 198


91 Quels sont les résultats attendus par cette démarche d’optimisation ?

Les résultats sont :

A. Réduction des coûts ;


B. Maximiser les marges de profit ;
C. Éliminer les pertes anormales ;
D. Optimiser le temps de la main-d’œuvre ;
E. Formation d’une culture d’entreprise ;
F. Améliorer la productivité, le rendement et la rentabilité.

92 Pourquoi existe-t-il trois types de décisions ?

Il existe trois types de décisions car chacune opère dans des domaines différents, dans une
durée différente et à différents niveaux de hiérarchie :

Décisions stratégiques, ce sont des décisions dont :


A. Effet à moyen terme utilisation efficace du potentiel de l’entreprise. Elles sont
prises par les encadrements supérieurs.
B. Effet à court terme, mise en œuvre quotidienne du potentiel de l’entreprise.
C. Effet à long terme, porte sur le développement de l’entreprise et son avenir.
Elles sont prises par la direction générale.

Décisions tactiques, ce sont des décisions dont :


A. Effet à long terme, porte sur le développement de l’entreprise et son avenir.
Elles sont prises par la direction générale.
B. Effet à court terme, mise en œuvre quotidienne du potentiel de l’entreprise.
C. Effet à moyen terme utilisation efficace du potentiel de l’entreprise. Elles
sont prises par les encadrements supérieurs.

Décisions opérationnelles, ce sont des décisions dont :


A. Effet à long terme, porte sur le développement de l’entreprise et son avenir.
Elles sont prises par la direction générale.
B. Effet à court terme, mise en œuvre quotidienne du potentiel de l’entreprise.
C. Effet à moyen terme utilisation efficace du potentiel de l’entreprise. Elles
sont prises par les encadrements supérieurs.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 199


93 Imaginez un exemple de décision.

Décisions stratégiques :
A. Délocalisation de la production,
B. Lancement d’un nouveau produit.
C. Choix d’un fournisseur.
D. Remplacement d’un salarié absent (malade 1 semaine).

Décisions tactiques :
A. Délocalisation de la production,
B. Lancement d’un nouveau produit.
C. Choix d’un fournisseur.
D. Remplacement d’un salarié absent (malade 1 semaine).
Décisions opérationnelles :
A. Délocalisation de la production,
B. Lancement d’un nouveau produit.
C. Choix d’un fournisseur.
D. Remplacement d’un salarié absent (malade 1 semaine).

94 Pourquoi existe-t-il des styles de direction différents ?

Il existe différents styles de direction car il dépend de nombreux facteurs tels que :

A. La structure de l’entreprise
B. La personnalité et les caractéristiques du dirigeant,
C. La taille de l’entreprise,
D. Les fournisseurs
E. La propriété de l’entreprise,
F. Les actionnaires
G. L’environnement de l’entreprise.
H. L’Etat et les collectivités locales

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 200


95 Repérez les parties prenantes et classez-les en parties prenantes internes et externes.

Parties prenantes internes :


A. Les actionnaires
B. Les dirigeants
C. L’État et collectivités locales
D. Les salariés
E. Les clients
F. Les fournisseurs
G. La société civile
H. Les médias

Parties prenantes externes :


A. Les clients
B. Les fournisseurs
C. La société civile
D. Les actionnaires
E. Les dirigeants
F. Les salariés
G. Les médias
H. L’État et collectivités locales

96 Une même fonction dans une entreprise peut-elle s’occuper de plusieurs DAS à la
fois ?

Les fonctions de l’entreprise :

A. Fonction comptabilité et finance


B. Fonction recherche et développement
C. L’infrastructure de la firme
D. Fonction ressources humaines
E. Le développement technologique
F. Fonction production
G. Fonction achat
H. La GRH
I. Fonction marketing/vente
J. Les approvisionnements
Ces fonctions peuvent être utilisées par les différentes DAS en même temps.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 201


97 Repérez les forces concurrentielles qui influencent l’intensité concurrentielle d’un
secteur d’activité.

Les forces sont :

A. Intensité de la concurrence,
B. Nouveaux entrants,
C. Pouvoir de négociation des clients,
D. Pouvoir de négociations des fournisseurs,
E. Produit de substitution.

98
S’agit-il d’une ressource tangible ou intangible ?

On entend par ressource tout ce qui peut constituer des forces ou des faiblesses pour
l’entreprise.

-Ressources tangibles : ressources physiques, ressources humaines et financières.

-Ressources intangibles : ressources technologiques, marques, nom commercial,


réputation de l’entreprise.

A. Les RH sont des ressources tangibles

B. les RH sont des ressources intangibles

99
Comment Porter divise-t-il les activités de l’entreprise ?

Porter les divise en deux.

Les activités principales :

A. La logistique interne
B. La production
C. La GRH
D. La logistique externe
E. La commercialisation
F. L’infrastructure de la firme
G. Les services
H. Les approvisionnements
I. Le développement technologique
Les activités de soutien :

A. Les approvisionnements
B. Le développement technologique
C. La logistique externe
D. La GRH

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 202


E. La production
F. L’infrastructure de la firme
G. La logistique interne
H. La commercialisation
I. Les services

100 Que permet de comprendre cette classification ?

Cette classification permet de visualiser les activités qui sont créatrices de valeur et celles
qui n’apportent rien et coûtent de l’argent.

La chaîne permet :

A. Identifier les compétences fondamentales ;


B. Choisir les activités à externaliser ;
C. Choisir des axes de diversification ;
D. Déterminer les facteurs clés de succès.

101
Quels sont les avantages et les risques de la spécialisation ?

Avantages :

A. Réduction des coûts grâce aux économies d’échelle ;


B. Simplicité de mise en œuvre ;
C. Véhicule une image de spécialiste, gage de qualité pour les consommateurs ;
D. Parfois permet à l’entreprise d’avoir le monopole et d’acquérir une place de leader
sur le marché.

Inconvénients :

A. L’entreprise ne possède pas d’autres activités pour compenser en cas de crise dans
le secteur ;
B. Perte de flexibilité et de réactivité face à son environnement.

Management de l’Entreprise Illustré : Driss HELMI et Sana QARROUTE 203

Vous aimerez peut-être aussi