RAPPORT DES

TRAVAUX PRATIQUES
ELECTRONIQUE DE
PUISSANCE

ENCADRE PAR :
M. EL AKKARY

REALISE PAR :
SOUKAYNA BRAHIMI
HAJAR CEDRATI
AMINE DARBACHI
AMINE OUADDANI

FILIERE : DMSEEA

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Année Universitaire
Travaux Pratiques d’Electronique : 2022-2023
de Puissance
Filière : DMSEEA
 Remerciement
Nous adressons nos sincères remerciements à M. EL AKKARY qui
par ses paroles, sa patience, ses conseils a guidé notre travail et a accepté
de répondre à nos questions durant ce TP.

C’est un plaisir et honneur, nous espérons être à la hauteur de ce

devoir que vous nous avez donné.

Merci pour votre travail acharné

Et aussi nous tenons à remercier toute l’équipe pédagogique de l’Ecole
Supérieure de Technologie de Salé.

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Travaux Pratiques d’Electronique de Puissance
Filière : DMSEEA
 Sommaire
INTRODUCTION GENERALE

TP N°1 : CONVERTISSEUR CC-CC

✓ But
✓ PRINCIPE DU CONVERTISSEUR CC-CC
✓ MANIPULATION
✓ CONCLUSION DU TP1
TP N°2 : CIRCUIT DE COMMANDE DE
CLIGNOTEMENT AC
✓ But
✓ PRINCIPE DU CIRCUIT DE COMMANDE
DE CLIGNOTEMENT AC
✓ Manipulation
✓ CONCLUSION DU TP2

CONCLUSION GENERALE

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Travaux Pratiques d’Electronique de Puissance
Filière : DMSEEA
 INTRODUCTION GENERALE
L’électronique de puissance fait référence à l’ensemble des concepts,
techniques et méthodologies relatifs à la conversion statique de l’électricité.
Ceci est vrai aussi au sein des systèmes embarqués sans fil où la gestion
fine de l’électricité est un enjeu majeur. En terme de puissance,
l’électronique de puissance s’étend sur de très nombreuses décades : la
très basse puissance liée à la récupération d’énergie (µW) ou les flux très
importants d’électricité des réseaux (GW). En terme de spectre fréquentiel,
l’électronique de puissance englobe des signaux allant du continu à
quelques hertz (réseaux électriques) à plusieurs gigahertz (bruit
électromagnétique rayonné). L’électronique de puissance est un domaine
scientifique et technique vaste, en mutation perpétuelle et inscrit au cœur
de l’enjeu sociétal sur la transition énergétique comme celui de la société
numérique.
Dans le cadre de l’étude et réalisation en électronique de puissance,
nous avons réalisé un rapport de travaux pratiques pour étudier
pratiquement des circuits électriques de base, ce qui permet d’approfondir
certaines notions sur la pratique et de développer certaines connaissances.
En premier lieu se familiariser avec l’appareillage de mesure
(multimètre et oscilloscope) en utilisant des circuits, et en deuxième lieu
traiter les composants de puissance.
Notre rapport se compose de deux parties :
❖ Le convertisseur cc-cc
❖ Le circuit de commande de clignotement AC

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 Matériaux mis à disposition

Convertisseur cc-cc

Multimetre

Oscilloscope

Unité d’alimentation: KL-51001

Power Supply Unit

KL-53009 Over / Under-Voltage

Breaker and Flasher Control Experiments

KL-58002 Isolation Transformer

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TP 1 :
CONVERTISSEUR CC-CC

BUT
Le but de ce TP est de présenter les grandes lignes de
la conversion d'une tension continue en une autre
tension continue, de même valeur ou de valeur différente,
de même polarité ou de polarité opposée, d’analyser des
montages permettant de préciser la fonction du
convertisseur cc-cc en utilisant un transformateur et
d’étudier les différents types de tensions continues.

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 ➢ Principe du convertisseur cc-cc :
Le terme "convertisseur" indique que l'on a affaire à un système différent
du régulateur de tension linéaire, qui permet d'abaisser une tension continue
mais pas de l'augmenter. Un convertisseur fonctionne en effet selon le principe
du découpage de la tension d'entrée (tension à convertir), quel que soit le but
recherché (l’abaisser, l'augmenter ou obtenir une tension identique de polarité
inversée).
Un convertisseur DC-DC est un système électrique (dispositif) qui
convertit des sources de courant continu (DC) d'un niveau de tension à un
autre. En d'autres termes, un convertisseur DC-DC prend en entrée une tension
d'entrée continue et délivre une tension continue différente. La tension CC de
sortie peut être supérieure ou inférieure à la tension d'entrée CC. Comme son
nom l'indique, un convertisseur DC-DC ne fonctionne qu'avec des sources de
courant continu (DC) et non avec des sources de courant alternatif (AC).
Un convertisseur DC-DC est également appelé convertisseur de puissance
DC-DC ou régulateur de tension.

Pourquoi est-il nécessaire de convertir de c.c. à c.c. ?

L'alimentation secteur permet de varier des niveaux de tension à l'aide d'un
transformateur. Malheureusement cela ne fonctionne pas avec l'alimentation en
courant continu. Il est parfois nécessaire de convertir la puissance, par exemple
d'une batterie de camion 24 V en 12 V pour alimenter un autoradio. Il est donc
nécessaire d'utiliser un convertisseur pour réduire la puissance et la rendre sûre
pour l'appareil.
Types de convertisseurs c.c.-c.c.
Une grande variété de types sont disponibles pour chaque besoin. Certains
convertisseurs c.c. augmentent la puissance, d'autres la réduisent et certains
peuvent faire les deux. Il est important de connaître les caractéristiques des

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convertisseurs utilisés pour éviter d'endommager l'équipement. Les types de
convertisseurs c.c.-c.c. incluent :
Convertisseurs c.c.-c.c. non isolés : ces appareils n'offrent pas d'isolation
entre l'entrée et la sortie et sont généralement utilisés pour les tensions plus
basses. Par nature, un convertisseur CC en CC ou un régulateur de commutation
est un circuit qui utilise un interrupteur d’alimentation, un inducteur, une diode
et un condensateur pour transférer l’énergie de l’entrée vers la sortie. Ces
éléments peuvent être disposés de différentes manières pour obtenir les
convertisseurs Buck, Boost ou Buck-Boost (inverseurs).
Convertisseurs c.c.-c.c. isolés : dans ces produits, la sortie est isolée de
l'entrée avec des transformateurs internes, pour convertir l'entrée en différentes
tensions de sortie. Ils offrent des propriétés de tension d'isolement plus élevées
et contrairement à la version non isolée, ils ont la possibilité de bloquer le bruit
et les interférences.
Il existe deux types principaux de convertisseurs CC/CC isolants : Flyback
et Forward.
Le type Flyback fonctionne comme un abaisseur-élévateur mais utilise un
transformateur pour stocker l'énergie :

Figure 1 : Topologie fondamentale de convertisseur CC/CC Flyback basé sur le

transformateur.

Dans la topologie Forward, le transformateur est utilisé de manière

traditionnelle pour transférer l'énergie du principal au secondaire lorsque le
commutateur est fermé.

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 ➢ Manipulation :
1. Réaliser une tension continue qui a une amplitude égale a l’amplitude initiale,
mais qui est électriquement séparée de celle-ci :

Figure 2 : Montage

Figure 3 : Réalisation du montage

On place l’interrupteur S1 sur la position MOS et l’interrupteur S2 sur la

position 1 (fréquence 1 à 10KHz) et P1 sur la valeur 50% et P2 sur la valeur max.
La valeur efficace de la tension alternative entre la douille 23 et 24 : 28V.
La tension continue aux extrémités du condensateur : 31V.
On connecte en parallèle au condensateur de 470µF la résistance R de 47Ω.
La tension aux extrémités du condensateur après avoir inséré la charge :
10V.
On connecte une sonde de l’oscilloscope aux extrémités du condensateur.

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 Figure 4 : Courbe de la tension de sortie aux bornes du condensateur en HF

On change la fréquence de commutation (50 à 400Hz).

La valeur efficace de la tension alternative entre la douille 23 et 24 : 17,3V.
La tension continue aux extrémités du condensateur : 18,4V.
La tension aux extrémités du condensateur après avoir inséré la charge :
8,3V.

Figure 5 : Courbe de la tension de sortie aux bornes du condensateur en BF

On observe qu’il y a une ondulation pour les BF (50 à 400Hz)

contrairement aux HF (1 à 10KHz), le signal de sortie est presque continue.
Donc, on conclue que le signal de sortie dépend de la fréquence de
commutation.

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 2. Réaliser une tension continue qui a une amplitude égale à l’amplitude initiale,
mais une polarité opposée et qui est électriquement séparée de celle-ci :

Figure 6 : Montage

Figure 7 : Réalisation du montage

On place l’interrupteur S1 sur la position MOS et l’interrupteur S2 sur la

position 1 (fréquence 1 à 10KHz) et P1 sur la valeur 50% et P2 sur la valeur max.
La valeur efficace de la tension alternative entre la douille 23 et 24 : 28V.
La tension continue aux extrémités du condensateur : -22,6V.
On connecte en parallèle au condensateur de 470µF la résistance R de 47Ω.

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 La tension aux extrémités du condensateur après avoir inséré la charge : -
20,04V.
On connecte une sonde de l’oscilloscope aux extrémités du condensateur.

Figure 8 : Courbe de la tension de sortie aux bornes du condensateur en HF

On change la fréquence de commutation (50 à 400Hz).

La valeur efficace de la tension alternative entre la douille 23 et 24 : 26,5V.
La tension continue aux extrémités du condensateur : -16,16V.
La tension aux extrémités du condensateur après avoir inséré la charge : -
19,7V.

Figure 9 : Courbe de la tension de sortie aux bornes du condensateur en BF

On observe qu’il y a une ondulation pour les BF (50 à 400Hz)

contrairement aux HF (1 à 10KHz), le signal de sortie est presque continue.
Donc, on conclue que le signal de sortie dépend de la fréquence de
commutation.

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Filière : DMSEEA
 3. Réaliser une tension continue qui a une amplitude double par rapport à
l’amplitude initiale et qui est électriquement séparée de celle-ci :

Figure 10 : Montage

Figure 11 : Réalisation du montage

On place l’interrupteur S1 sur la position MOS et l’interrupteur S2 sur la

position 1 (fréquence 1 à 10KHz) et P1 sur la valeur 50% et P2 sur la valeur max.
La valeur efficace de la tension alternative entre la douille 23 et 24 : 56V.
La tension continue aux extrémités du condensateur : 60V.
Dans ce cas, il ne faut pas connecter la résistance de 47Ω en parallèle au
condensateur, car la dissipation de puissance serait excessive.

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 On change la fréquence de commutation (50 à 400Hz).
La valeur efficace de la tension alternative entre la douille 23 et 24 : 45,3V.
La tension continue aux extrémités du condensateur : 55V.
Conclusion :
Ce TP fait référence au sujet de convertisseur cc-cc que nous venons de voir
dans le sens où selon la topologie mise en œuvre, l’on est capable de mesurer la
tension de sortie aux extrémités du condensateur avant et après insertion de la
résistance à l’aide un multimètre, ainsi que de visualiser le signal qui correspond
au condensateur sur un oscilloscope. On conclue que la tension continue permet
d’obtenir :
- Une tension continue ayant la même amplitude.
- Une tension ayant le même signe mais une amplitude diverse.
- Une tension de signe opposé et d’amplitude diverse.

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TP 2 :
CIRCUIT DE COMMANDE
DE CLIGNOTEMENT AC

But
On se propose dans ce TP l’étude du circuit de
commande de clignotement AC pour comprendre les
applications de circuits de contrôle d’alimentation à
TRIAC ainsi que le fonctionnement des circuits
multivibrateurs à transistor et observer les
oscillogrammes des tensions du montage dans
différentes situations.

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 ➢ Principe du circuit de commande de clignotement AC :
La figure suivante montre le circuit de clignotement AC utilisé dans cette
expérimentation.

Figure 12 : Le circuit de clignotement AC

Ce circuit contient deux sections principales : un circuit multivibrateur

astable à transistor et un circuit de commutation à TRIAC. La diode
Zener fournit l'alimentation 12Vdc au circuit multivibrateur astable. Les sorties
de l'astable sont d'ondes carrées complémentaires. Les sorties du multivibrateur
astable commandent deux transistors à émetteur asservi pour le déclenchement
des TRIACS, Les TRIACS sont alternativement amorcés et désamorcés.
Circuit multivibrateur astable à transistor :

Figure 13 : Multivibrateur astable utilisant des transistors

Dans le schéma ci-dessus, nous pouvons trouver deux transistors qui sont
câblés comme un interrupteur. Lorsqu'un transistor est activé, son collecteur et
son émetteur agissent comme un court-circuit. Mais quand il est éteint, ils
agissent comme un circuit ouvert. Ainsi, dans le circuit ci-dessus, lorsqu'un
transistor est à l'état OFF, son collecteur aura la tension Vcc et lorsqu'il est ON,

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Travaux Pratiques d’Electronique de Puissance
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son collecteur sera mis à la terre. Lorsqu'un transistor est activé, l'autre est
désactivé. Le temps d'arrêt du transistor est déterminé par la constante de temps
RC.
Lorsque le circuit est allumé, l'un des transistors sera plus conducteur que
l'autre en raison d'un déséquilibre dans le circuit ou d'une différence dans les
paramètres du transistor. Progressivement, le transistor le plus conducteur sera
conduit à la saturation et le transistor le moins conducteur sera conduit à la
coupure.
Fonctionnement :
Lorsque le circuit est allumé, un transistor sera conduit à saturation (ON)
et l'autre sera conduit à la coupure (OFF). Considérez que Q1 est activé et que
Q2 est désactivé.
Pendant ce temps, le condensateur C2 se charge à Vcc via la résistance R.
Q2 est désactivé en raison de la tension -ive du condensateur de décharge
C1 qui est chargé pendant le cycle précédent. Ainsi, le temps OFF de Q2 est
déterminé par la constante de temps R1C1.

Figure 14 : Fonctionnement du Multivibrateur astable utilisant des transistors

Après une période de temps déterminée par la constante de temps R1C1, le

condensateur C1 se décharge complètement et commence à se charger en sens
inverse à travers R1.

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Travaux Pratiques d’Electronique de Puissance
Filière : DMSEEA
 Lorsque le condensateur C1 se charge à une tension suffisante pour fournir
une tension base-émetteur de 0,7 V au transistor Q2, il s'active et le
condensateur C2 commence à se décharger.

Figure 15 : Fonctionnement du Multivibrateur astable utilisant des transistors

La tension négative du condensateur C2 désactive le transistor Q1 et le

condensateur C1 commence à se charger à partir de Vcc via la résistance R et
l'émetteur de base du transistor Q2. Ainsi le transistor Q2 reste à l'état ON.
Comme dans l'état précédent, lorsque le condensateur C2 se décharge
complètement, il commence à se charger dans la direction opposée à travers R2.
Lorsque la tension aux bornes du condensateur C2 est suffisante pour
allumer le transistor Q1, Q1 s'allume et le condensateur C1 commence à se
décharger.
Ce processus continue et produit des ondes rectangulaires au collecteur de
chaque transistor.
Remarque : Le temps de charge est très inférieur au temps de décharge.
Circuit de commutation à TRIAC :
Le triac est un composant électronique utilisé comme interrupteur
commandé. Il est adapté aux tensions alternatives et peut commander des
moteurs électriques, des variateurs de lumière ou toute autre charge secteur.
Contrairement au thyristor qui ne peut conduire que dans un sens, le triac
peut conduire dans les deux sens. Il est bidirectionnel, alors que le thyristor
est unidirectionnel. Le triac (Triode Alternating Current) se commande aussi à

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l'aide d'une gâchette. On peut le décrire comme deux thyristors montés tête
bêche.

Fonctionnement du triac par "quadrants"

Il existe 4 façons d'amorcer un triac, on peut les représenter par 4
quadrants en fonction des signes des courants de gâchette et d'anode. Ces 4
quadrants sont caractérisés par les signes des potentiels de gâchette et d'anode
2. L'anode 1 est considérée comme référence des potentiels. Si le signe est "+",
le courant "rentre", s'il est "-", il "sort".
On construit ainsi les 4 quadrants suivants :

Quadrants du triac
La sensibilité du triac (courant nécessaire pour l'amorçage) varie selon les
quadrants.
Quadrant 1 : A2+, G+
Quadrant 2 : A2+, G-
Quadrant 3 : A2-, G-
Quadrant 4 : A2-, G+
Même si tous les quadrants sont utilisables, les quadrants 1 et 3 sont les
plus performants : le courant de gâchette nécessaire est le plus faible (10mA
tyiques).

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Travaux Pratiques d’Electronique de Puissance
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 Le quadrant 4 est à éviter si possible. En effet, il faut alors un courant de
gâchette élevé (100mA environ) pour amorcer le triac.Comme un thyristor, la
chute de tension aux bornes d'un triac passant est de 1 à 1,2V environ.
➢ Manipulation :
Nous avons connecté les alimentations 12Vdc et 110VAc des unités
d’alimentation KL-51001 et KL-58002 au module KL-53009.

Figure 16 : Montage

Figure 17 : Réalisation du montage

Et à l'aide d’oscilloscope on a relevé les ondes de tension de transistor VB1,

VB2, VC1 et VC2

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VB1 :

Figure 18 : Courbe de signal VB1 et VC2

VB1 = nb de division x sensibilité verticale

VB1 = 2,2 x 2 = 4,4 V
Et pour la fréquence on a T = 400 ms donc Fb1 = 1/0.4 = 2.5 Hz
VC2 :
En observant le circuit on peut remarquer que VB1 = VC2
Donc VC2 = 4.4 V et Fc2 = 2.5Hz
VB2 :

Figure 19 : Courbe de signal VB2

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 VB2 = nb de division x sensibilité verticale
VB2 = 1 x 5 = 5 V
Et pour la fréquence on a T = 1625 ms donc Fb2 = 1/1.625 = 0.61 Hz
VC1 :

Figure 20 : Courbe de signal VC1

VC1 = nb de division x sensibilité verticale

VC1 = 2.6 x 5 = 13 V
Conclusion :
Dans cette expérience nous avons constaté que l’angle de conduction du
TRIAC apparait à chaque demi-cycle de la source d’alimentation AC. La raison
derrière cela est le fait que durant les demi-cycles (positif et négatif), les actions
de déclenchement se produisent à différents modes.

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 CONCLUSION GENERALE

En conclusion ce rapport nous a permis d’atteindre

nos objectifs pour comprendre et apprendre à maitriser
les notions de base sur les convertisseurs cc-cc, le
fonctionnement du multivibrateur avec un transistor et la
commutation à TRIAC.
Tout au long de ce TP, nous avons été amenés à
concevoir des applications dont les quels nous avons
exposé tous les résultats accompagnés de leurs
interprétations et de donner en fin de compte une
conclusion concernant la validation de fonctionnement
des circuits électriques.
Cependant, l’état et la sensibilité des appareils de
mesures utilisés fait que la fiabilité des mesures peut être
remis en cause.
Ce TP a été très bénéfique, ce travail était l’occasion
d’acquérir certaines connaissances en matière de
l’Electronique de Puissance.

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