Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
http://www.marketing-etudiant.fr
Attention
Ce document est un travail d’étudiant,
il n’a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr.
THEME :
Présenté par :
BARNABO NAMPOUKIME DONAM
Année : 2008
LEXIQUE :
1. CADRE JURIDIQUE :
CHAPITRE : 1
III. INTRODUCTION :
(Cas de l’I D H)
1. I DH :
I D H – MICROFINANCE
RESEAU D’INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE ET DES SERVICES FIANCIERS
DECENTRALISES EN MILIEU RURAL ET AUX PME/PMI
CHAPITRE :2
1. ENVIRONNEMENT SOCIOPOLITIQUE :
CLIENTS CONNECTES :
CLIENTS EXTERNES :
CLIENTS INTERNES :
MARCHE CIBLE :
CHAPITRE :3
CHAPITRE : 4
Structure organisationnelle,
Relation avec les bailleurs de fonds,
Relation avec la population,
Relation avec les institutions de l’Etat,
IX. RESUME :
X. BIBLIOGRAPHIE :
LEXIQUE :
Elles sont régies, en tant qu’associations, par la loi du 1er juillet 1901, et sont donc
considérées comme organisations la vie associative privée au sens large,
développant sans but lucratif une activité internationale dont tout ou partie est
consacrée à l’expression de solidarités avec les populations défavorisées. Ainsi, les
ONG se caractérisent essentiellement par l’origine privée de leur constitution, la
nature bénévole de leurs activités et le caractère international de leurs objectifs.
Outre les associations proprement dites, on compte parmi les ONG des
congrégations religieuses, des mutuelles et des coopératives, tous organismes liés à
la notion d ’économie sociale. Les buts qu’ils poursuivent peuvent être d’ordre
économique, social, éducatif, culturel, religieux, etc.
Les associations peuvent intervenir à très court terme dans un contexte d’urgence,
ou bien à plus long terme dans le cadre de projets de développement. Dans ce
dernier cas, elles ont différents domaines d’activité, en fonction de la nature de leurs
projets.
Se traduisent par une attitude de veille et d’alerte concernant les dangers qui
guettent les sociétés du Sud et menacent leur développement, dangers
politiques et écologiques notamment.
• a) dans cet esprit, les ONG de défense des droits de l’homme (Amnesty
international, la Fédération internationale des droits de l’homme, la
• L’éducation au développement
CHAPITRE : 1
III. INTRODUCTION :
Une structure sociale: des personnes qui sont unies sur la base de la
solidarité
I D H – MICROFINANCE
RESEAU D’INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE ET DES SERVICES FIANCIERS
DECENTRALISES EN MILIEU RURAL ET AUX PME/PMI
Agriculture,
Elevage,
Pêche,
Commerce,
Industrie,
Prestation de service.
Formation professionnelle, entreprenariat, brevet de technicien supérieur,
appuis aux initiatives privées.
Domiciliation des salaires.
Ce réseau d'ONG IDH regroupe une soixantaine d'ONG menant des actions dans
tous les secteurs de développement économique et social. Une équipe de 250
cadres volontaires déterminés à oeuvrer pour la réduction de la pauvreté anime les
structures dudit réseau.
Hormis son vaste programme de développement qui s'articule entre autre, autour de
l'éducation, la santé, le développement communautaire, la communication, le réseau
a élaboré un système de collecte d'épargne à travers sa micro finance, pour
contribuer au financement des activités génératrices de revenus pour les populations
cibles.
Les faîtières de I D H :
CHAPITRE : 2
Une participation active et volontaire des IMF aux activités de renforcement des
capacités des IMF et une croissance de la compétence des techniciens.
Le manque d’outils adaptés de gestion dans les IMF et le besoin de les renouveler
(manuel de procédures, gestion du crédit, contrôle interne).
La faiblesse des SIG, le faible nombre d’IMF informatisées avec un système
transactionnel.
L’absence d’un code de déontologie et d’une convention type pour les IMF.
Besoin d’une meilleure compréhension des objectifs d’autofinancement de l’APIM et
besoin de revoir ses sources de revenus pour couvrir ses frais généraux.
L’absence d’un point d’ancrage pour les PTF désirant financer la SNMF.
L’absence d’un mécanisme de suivi de la SNMF.
Le manque de bailleurs de fonds pour la réalisation de la SNMF.
L’intérêt d’offrir des services dans les zones moins couvertes mais à potentiel.
Le développement de la technologie bancaire adaptée au secteur de la
microfinance.
Les efforts qui seront accordés à l’introduction des ajustements amenés par la
révision du cadre légal et réglementaire.
Une mentalité prête à accepter les regroupements et les rattachements à des
faîtières.
Les menaces :
1. ENVIRONNEMENT SOCIOPOLITIQUE :
ii. la Déclaration de
Politique de Promotion de la Femme s’appuyant aussi sur la promotion des activités
génératrices de revenus,
C'est dans ce contexte que la SNMF avait été élaborée et mise en œuvre par
l'adoption d'une démarche concertée des différents acteurs du secteur et ces
conditions sont toujours en vigueur.
Cependant, il faut noter un taux de croissance moins fort au cours des trois dernières
années, surtout pour les dépôts, avec notamment la réduction des points de service,
consécutive à la mise en œuvre du plan de redressement de la FUCEC.
La vision :
La vision de cette stratégie actualisée n’est pas tellement différente de celle de la première
phase, elle insiste davantage sur l’importance de la professionnalisation et de l’efficacité du
secteur tout en conservant les éléments originaux.
L’objectif de développement :
Articulation renforcée entre IMF, Banques et autres partenaires financiers, favorisant l’accès
des IMF aux mécanismes de garanties et aux ressources de refinancement en vue de couvrir
la demande et de réaliser l’intégration de la microfinance dans un secteur financier inclusif.
(vi) des mécanismes financiers (par exemple, un fonds pour l’appui institutionnel, et
un fonds de crédit). Les actions seront entreprises par plusieurs acteurs, y compris le
comité national de micro finance, le gouvernement, l’association professionnelle, le
ministère des finances et la CAS-IMEC, l’autorité de supervision régionale (BCEAO),
la communauté des bailleurs de fonds, et les MFI.
Les résultats attendus du PASNAM, qui devrait se terminer en juin 2008, sont les
suivants :
La progression depuis 2003 est de 105 %, tandis que le taux de réalisation des
objectifs en 2008 est de 70%.
Les crédits en souffrance en juin 2007 sont de 1,9 milliards contre 1,7 milliards en
2003.
Les crédits en souffrance semblent augmenter de 10% sur la période, mais
comparés à l’ensemble du portefeuille, le taux de portefeuille en souffrance est
moindre :
La capitalisation des IMF a connu aussi une progression : les fonds propres sont
passés de 1,7 milliards en 2003 à 3,7 milliards en 2007 avec une progression de
59%.
Données macroéconomiques
J’ai représenté par clients tous ceux qui peuvent être affecté par les activités des
organisations et ceux dont les activités affectent les organisations.
o CLIENTS CONNECTES :
Ce type de clients représente ceux sur qui sans leur disponibilité, il n’ y aurait pas
d’activité des organisations non gouvernementale, ceux dont leur activité font partie
du cycle de réalisation des buts des organisations non gouvernementales.
La Banque Mondiale ;
L’USAID ;
DGCI (Belgique)
L’Union Européenne ;
La FAO ;
L’UNICEF ;
Le FIDA ;
La Coopération Française ;
La Coopération Allemande ;
La Banque Mondiale,
L’UNFPA,
Le CIRD au Bénin,
PLANET FINANCE
CARE INTERNATIONAL
o CLIENTS EXTERNES :
Ceux sont les clients qui représentent une Valeur extrinsèque au réseau APIM,
ceux représentent ceux qui pourraient se présenter en concurrent à part les
acteurs du réseau professionnel de microfinance.
Financial banque,
La BRS, en même temps qu’elle participe aux financements elle offre les mêmes
services qu’une institutions de micro finance aux populations désireuses. Elle
mène disons une activité des grandes surfaces.
o CLIENTS INTERNES :
o MARCHE CIBLE :
Les institutions du réseaux APIM ont pour marché cible : les jeunes entrepreneurs,
les femmes qui représentent la couche la plus touchée économiquement en Afrique
principalement au TOGO avec les femmes Nana Benz, les pauvres, mais aussi les
PME/PMI désirant étendre leurs activités.
CHAPITRE :3
Du début du siècle aux années 1930, la fonction commerciale n’a été que
secondaire sinon inutile .Il y’ a essentiellement 3 cas de figure que nous pouvons
soulignés au cours de cette ère :
• La moyenne entreprise qui était souvent familiale n’était pas orientée vers
l’accroissement des bénéfices net ni de chiffres d’affaires, mais représentait
juste la notoriété et la considération au niveau local. Il suffisait d’avoir de
s’arranger pour que l’entreprise travaille et fasse bonne impression
Ce qui nous suggère un pays à faible coût salarial, un pouvoir d’achat très limité et
un marché de consommation faible. La fonction marketing en cas de concurrence
serait d’optimiser la qualité du produit pour relativement le même prix.
La fonction commerciale naquit donc après les années 1930 et prit de l’ampleur
après la guerre 1940\45. Les revendications syndicalistes et l’évolution sociale
ont amené la base des droits actuels. Ce qui a permit la hausse du coût salarial
qui entraîne la hausse du pouvoir d’achat et installe le marché de consommation.
On assiste à la création de compte or, argent et bronze qui sont gérés avec une
attention particulière.
Pour la recherche de plus de capitale les entreprises sont cotées en bourse ce qui
Les rend plus vulnérables et le marketing communication est devenu un outil
essentiel de finance. L’environnement et la mondialisation de l’économie
conditionnent le processus stratégique de l’entreprise.
CHAPITRE :4
o Approche participative
Pour s'assurer que l'action de sensibilisation a atteint tous les groupes ciblés, il est
aussi utilisé la stratégie porte à porte. Elle reste donc un moyen d'évaluation de
l'approche participative afin identifier les zones non touchées pour initier de nouvelles
rencontres.
Structure organisationnelle,
DERIVES PROBABLES
On pourra aussi noter que la grande majorité des employés des ONG sociales sont
des diplômés de tronc commun, et que les ONG emploient rarement les cadres de
formations spécialisés. Dans la plus part des cas, le personnel des ONG doivent
suivre une formation supplémentaire relative à leur domaine d’opération.
Aussi, l’organisation du secteur est-elle devenue une préoccupation pour l’Etat, les praticiens
et les partenaires au développement qui apportent leur appui technique et financier.
Ce constat est justifié par le fait que ce secteur a été l’objet, depuis au moins cinq années,
d’une attention particulière et qui a conduit à l’élaboration d’un document de Stratégie
Nationale de Micro Finance
Le Ministère de l’Economie et des Finances a créé par arrêté n° 88/MEF/DE du 17 juin 1996
modifié par arrêté n° 269/MFP/SG du 05 octobre 1998, la CAS-IMEC
Le système de communication dans ce secteur d’activité est en réseau basé sur les
nouveaux outils technologique de communication.
Initié par PLANET FINANCE, le Projet Centre de Ressource en Microfinance (PCRM), pour
devenir opérationnel, devrait être renforcé pour devenir le Service de Communication et
d’information de l’APIM-Togo doit suivre le processus suivant :
Le centre de documentation
Le centre de NTIC
Lors des séances de sensibilisation, certains thèmes sont retenus pour faire réfléchir
les membres. Au rang de ses thèmes nous citons :
- Faire prendre conscience aux membres, des risques inhérents à leurs activités ;
Ces études conduisent à connaître le comportement et l'attitude des participants vis-
à-vis de l'épargne et du crédit.
L’IDH s'est distinguée dans les micro finances et dans la lutte contre la pauvreté
pour un développement durable.
Ainsi, les données fournies sont souvent dépassées, incomplètes et ne peuvent ainsi être
utilisées comme des outils d’aide à la décision et à la prise de mesures correctives adéquates
et en temps opportun.
Cette situation découle souvent des facteurs suivants : taille du réseau (FUCEC), faible
niveau d’informatisation (quasiment toutes les structures), absence de logiciel adapté (en
cours de changement).
Gestion de projets,
Comme je l’ai déjà relevé dans les opportunités des IMF la reprise de la coopération
en cette année, et la politique déjà mise en place par le gouvernement ; avec les
concours de présentation de projets. Ce programme à l’avantage de susciter une
culture de l’entreprenariat. Les candidats malheureux à ce programme devront donc
se tourner vers les structures de micro finance existante.
Cas de WAGES avec les femmes de marché et cas de l’IDH avec les jeunes,
formations modulaires aux moins avancé en éducation
Les indicateurs de performances sont des outils privilégiés dans la gestion des IMF
et l’amélioration de la prise de décision. Ils constituent des instruments de diagnostic
et des outils d’aide à la prise de décision pour les dirigeants. Leur analyse dans le
temps permet aux IMF en phase de développement d’avoir des repères de travail et
d’évaluer leur performance ;
Ils constituent un gage de transparence pour les clients, les autorités de surveillance,
les partenaires.
La publication d’un rapport sur les indicateurs harmonisés contribue à renforcer la
confiance dans le secteur en informant le public et les acteurs sur les
dysfonctionnements des institutions.
Rentabilité,
Les meilleurs ratios affichés par rapport aux normes de la BCEAO sont présentés ici
par institution et par ordre de performance.
Ratios de Rentabilité
Ratios de qualité du
Portefeuille
Ratios d'efficacité
NB - Grandes IMF
Les IMF dont l’encours de crédits est supérieur à 1 milliards : FUCEC ; WAGES ;
CECA ; TIMPAC ;
UMECTO ; IDH-MICROFINANCE.
- Moyennes IMF
Les IMF dont l’encours de crédit est compris entre 200 millions et 1 milliards :
AMUPEC
- Petites IMF
Les IMF dont l’encours de crédit est inférieur à 200 millions : MGPCC-DEKAWOWO
IX. RESUME :
PNUD / FENU
PROGRAMME D’APPUI A LA STRATEGIE NATIONALE
DE MICROFINANCE (PASNAM (2005 - 2008)
GRET MICROFINANCE
http://www.marketing-etudiant.fr
Attention
Ce document est un travail d’étudiant,
il n’a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr.