Bac
Sujets et corrigés
Maths
Sciences Techniques
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EPREUVE DE MATHEMATIQUES
SECTION : SCIENCES TECHNIQUES
SESSION DE CONTRÔLE – JUIN 2008
Exercice 1 ( Q.C.M )
Contenus :
Suites réelles.
Probabilités.
Aptitudes visées :
Corrigé :
1) c)
2) a)
3) b)
Exercice 2
Contenus :
Aptitudes visées :
Reconnaître que deux vecteurs sont colinéaires ou orthogonaux, à partir de leurs affixes.
Corrigé :
( )
On a Aff OA = 3 + i et Aff BC = 2i ( ) ( )
3 + i = 3 + i. D'où OA = BC .
OA = 3 + i = 2 et OB = 3 + i = 2. Donc OA = OB .
Ainsi OACB est un losange.
2) a) ( E ) : z 2 2iz 4 = 0. ' = 3 .
z' = i 3 et z'' = i + 3 .
Ainsi S1 = { 3 + i; 3 +i . }
5
i i
b) 3 + i = 2e 6 et 3 + i = 2e 6
.
3) P( z ) = z 3 4iz 2 8 z + 8i .
3 2
a) P( 2i ) = ( 2i ) 4i (2i ) 8(2i ) + 8i = 8i + 16i 16i + 8i = 0 .
b) P( z ) = ( z 2i )( z 2 + mz + p) P( z ) = z 3 + ( 2i + m) z 2 + ( 2im + p ) z 2ip .
D’où :
2i + m = 4i
m = 2i
2im + p = 8
p= 4
2ip = 8i
Ainsi P( z ) = ( z 2i )( z 2 + 2iz 4) .
c) P( z ) = 0 z 2i = 0 ou z 2 + 2iz 4=0
z = 2i ou z = 3 + i ou z = 3 + i.
{
Ainsi S 2 = 2i; 3 + i; 3 +i }
Exercice 3
Contenus :
Aptitudes visées :
Reconnaître qu’une droite est une asymptote à la courbe représentative d’une fonction du programme.
Déterminer une valeur exacte ou approchée d’une solution d’une équation de la forme f(x) = k , dans le
cas où f est une fonction continue sur un intervalle.
Corrigé :
1
1) lim+ f ( x ) = + lim f ( x ) = lim ln 1+ =0.
x 0 x + x + x
Alors la courbe (C) admet une asymptote d’équation x = 0 et une asymptote d’équation y = 0 au
voisinage de + .
1
x2 1
2) a) f est dérivable sur ]0;+ [ et on a f '( x ) = = .
x +1 x ( x + 1)
x
b) Pour tout x ]0; + [ ; x ( x + 1) > 0 .
Alors pour tout x ]0; + [ ; f ' ( x ) < 0 . D’où le tableau de variation de f.
x 0 +
f’(x)
3)
4) a) f étant continue et strictement décroissante sur ]0;+ [ , alors f réalise une bijection de ]0;+ [
1 1
sur ]0;+ [. Pour tout n *, on a ]0; + [ , alors l’équation f ( x ) = admet une solution
n n
unique dans ]0;+ [ que l’on notera xn.
1
1 1
b) f ( xn ) = ln 1+ = ln e n = .
xn n
xn 1 1
c) lim = lim = lim 1 =1
( )
1
n + n n +
n e 1
n n +
e 1
n
1
n
Exercice 4
Contenus :
Vecteurs de l’espace.
Aptitudes visées :
Exploiter les propriétés du produit vectoriel dans l’espace pour calculer des grandeurs, déterminer
des lieux géométriques et étudier des configurations géométriques.
Corrigé :
3 0 3
1) a) AB 1 ; AD 1 alors AB AD = 12 .
1 4 3
3
b) DC = 1 , alors AB = DC et par suite ABCD est un parallélogramme.
1
Aire (ABCD) = AB AD = 9 2 .
1 3
1 1
2) a) AI = 4 =
3
12 = AB
3
( AD . )
1 3
b) Comme AI et AB AD sont colinéaires, alors la droite (AI) estt perpendiculaire au plan P.
1
De plus AI = AB AD = 3 2 .
3
Alors le plan P est tangent à la sphère S au point A.
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Corrigé :
1
1) a- p (M ) = , p ( C/M ) = 0,8 et p( C/ M ) = 0,75 .
3
b-
1 4
2) a- p ( C M ) = 0,8
3 15
2 15 1
b- p ( C M ) = 0,75 .
3 30 2
4 1 23
c- p ( C ) = p ( C M ) + p ( C M ) + = .
15 2 30
4
p( C M ) 15 8
3) p ( E ) = p ( M/C ) = .
p( C ) 23 23
30
c-
3) Voir figure.
4) a- F est dérivable sur IR et pour tout x IR , F ’ ( x ) = 1 – ex + ( 2 - x )ex = 1+ex - xex = f(x) .
Ainsi F est une primitive de f sur IR .
1 1
b- A = f(x) - x dx ( f(x) - x )dx car d’après 2)a f x x sur ,1
0 0
1
1 1
0 x² F(1) - F(0) - ( e - 1,5 ) u.a .
1 1 1
f(x)dx- xdx = F(x)
0 0
2 0 2
1 1
= e - 1,5 - = ( e - 2 ) u.a
2
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Corrigé :
X (en jours) 4 6 9 14 17 19 22
Y (en kilogrammes) 3,6 3,75 3,80 3,90 4 4,25 4,5
1) a-
à la série X,Y
b- D’après le nuage des points, un ajustement affine de la série double est bien justifié .
2) a- x 13 ; x = 6,324.
b- y = 3,971 ; y = 0,287.
3) a- Le coefficient de corrélation entre X et Y est : r = 0,946.
b- Il ya une très forte corrélation entre x et y.
4) a- Cov (X , Y) = 1,721
b- L’équation de la droite de régression de Y en X est de la forme : y = a x + b
Cov(X,Y) 1, 721
avec a = = 0,04 ; b = y - ax = 3,41
V X 40
D’où une équation de la droite de régression de Y en X est : y = 0,04x + 3,41
5) a- x = 30 alors y = (0,04)(30) + 3,41 = 4,61 .
Une estimation du poids du nourrisson après 30 jours de sa naissance est 4,61 kg.
b- pour y 3,85 kg on obtient 3,85 0, 04x 3, 41 d’où x 11
Ainsi l’âge du nourrisson sachant que son poids est 3,85 kg est égal à 11 jours.
Exercice 4 (6 points )
Contenu : Fonctions numériques d’une variable réelle, suites réelles.
Aptitudes visées : Etudier les variations d’une fonction, déterminer les asymptotes à sa
courbe, étudier la position relative de deux courbes, appliquer l’inégalité des accroissements
finis, étudier la convergence d’une suite réelle définie par une fonction.
Corrigé :
1
Pour tout x IR, f (x) = ln ( 1 + e x ) .
2
1) a- u : x 1 + e-x est dérivable et strictement positive sur IR, alors la fonction x ln(1 + e-x )
est dérivable sur IR, par suite f est dérivable sur IR et on a :
1 -e-x 1 1
Pour tout x IR ; f ' x -x .
2 1+e 2 1 ex
b- tableau de variation de f :
x - +
f ’(x) -
+
f(x)
0
1 1 1
c- Pour tout x IR, f ( x ) = ln(e-x (e x + 1 ))= ( ln(e -x ) + ln(e x + 1 ) )= ( -x + ln(e x + 1 ) )
2 2 2
1 1
d’où f x = - x + ln( 1 + ex )
2 2
1
d- ● lim ( f ( x ) + x ) = lim ( ln( 1 + e x )) = 0 donc la droite est une asymptote oblique à
x 2 x
Cf au voisinage de - .
1
● f ( x ) – ( x ) = ln ( 1 + ex ) et comme 1 + ex 1 pour tout x
2
alors ln ( 1 + ex ) 0 et par suite Cf est au dessus de .
e- Traçage de Cf et .
b) La courbe (C ).
y
-2 -1 0 1 2 3 4 x
(C) -1
-2
-3
3) .
n n
a) An f ( x ) dx (1 x) e x dx
0 0
An 0
n
(1 x)e x dx (1 x )e x n
0
0
n
e x dx (1 n)e n 1
4/2
REPUBLIQUE TUNISIENNE
MINISTERE DE L’EDUCATION
SESSION
EXAMEN DU BACCALAUREAT
SESSION DE JUIN 2011
DE CONTRÔLE
SE CTI O N : SC IE N C ES T EC H NI QU ES
EP R EU V E : M AT H EM AT IQU ES DU RE E : 3 h e ure s CO EF FI CI E NT : 3
Exercice 1 (3 points)
Pour chacune des questions suivantes une seule des trois réponses proposées est exacte.
Le candidat indiquera sur sa copie le numéro et la lettre correspondant à la réponse choisie.
Aucune justification n’est demandée.
Une réponse correcte vaut 0,75 point, une réponse fausse ou l ‘absence de réponse vaut 0 point.
i
2) Le nombre complexe (1 i ) e 4
est égal à :
a) 2 b) 2 c) 2i .
x
3) La fonction f définie sur par f ( x ) ln(1 t 2 ) dt est :
0
1 e t e t
4) L’intégrale dt est égale à :
1 e t e t
a) 2 ln(e e 1 ) b) 0 c) 2 ln(e e 1 ) .
Exercice 2 (5 points)
1 x 1
1) Soit la fonction f définie sur 0, par f (x ) .
2 4x 3
1 1
a) Montrer que f est strictement croissante sur 0, puis déterminer f 0, .
2 2
1
b) Montrer que, pour tout x 0, , f ( x) x 0 .
2
u 0
2) On considère la suite réelle ( un ) définie sur par : 0
u n 1 f (u n ), pour tout n .
1
a) Montrer que pour tout n , 0 un .
2
b) Montrer que la suite ( un ) est croissante.
1/3
Exercice 3 (6points)
L’espace E est rapporté à un repère orthonormé direct (O, i, j, k ) .
On considère les points A(1, 1, 0) , B(1, 0, 1) , C(0, 2, 1) et D(1, 3, 2) . .
1) Montrer que le triangle ABC est rectangle en A .
2) Montrer que le vecteur AD est normal au plan (ABC) .
3) Calculer le volume V du tétraèdre DABC .
4) Soit I , J et K les milieux respectifs de DA , DB et DC .
On considère le plan Q passant par I et parallèle au plan (ABC) .
a) Donner une équation cartésienne du plan Q .
b) Vérifier que J et K appartiennent à Q .
c) On désigne par V ' le volume du tétraèdre DIJK .
Montrer que V = 8 V ' .
Exercice 4 (6 points)
Le plan est rapporté à un repère orthonormé.
La courbe ( ) ci-dessous est celle d’une fonction g définie, continue et dérivable sur 0, .
x 1
2) La fonction g est définie sur 0, par g ( x ) 2 ln( x ) .
x
2/3
c) Tracer la courbe (C f ) .
3/3
EXERCICE 1 : ( 3 points)
1) c 2) a 3) a 4) c
EXERCICE 2 : ( 6 points )
−1 −1
1) a) AB 0 et AC −1 . − 1 −1 = 1 ≠ 0 donc AB et AC ne sont pas colinéaires et par suite A, B et C non
−1 0 0 − 1
alignés don ils déterminent un plan P.
b) A(2 , 1 , 1) et 2 − 1 − 1 = 2 − 2 = 0 donc les coordonnées de A vérifient l’équation x − y − z = 0
B(1 , 1 , 0) et 1 − 1 − 0 = 0 donc les coordonnées de B vérifient l’équation x − y − z = 0
C(1 , 0 , 1) et 1 − 0 − 1 = 0 donc les coordonnées de C vérifient l’équation x − y − z = 0
Ainsi x − y − z = 0 est une équation cartésienne du plan P.
2) a) D(2 , 0 , 0) . 2 − 0 − 0 = 2 ≠ 0 donc D n’appartient pas au plan P donc A, B, C et D ne sont pas coplanaires.
−1 −1 0
( )
Autrement : det AB ; AC ;AD = 0 −1 −1 = − − 1 −1 − 0 × −1 0 − −1 0 = −1 − 1 = −2 ≠ 0
−1 0 −1 0 −1 0 −1 −1 −1
( )
1 1 1
b) V : le volume du tétraèdre ABCD. V = dét AB , AC , AD = × 2 =
6 6 3
3 1 1 3 1 1 1 1 1 3
3) a) I ( , , ) .La sphère ( S ) de rayon R = ID = (2 − )2 + (0 − )2 + (0 − )2 = + + =
2 2 2 2 2 2 4 4 4 2
3 1 1 1 1 1 3
IA = (2 − )2 + (1 − )2 + (1 − )2 = + + = = R donc (S) passe par A.
2 2 2 4 4 4 2
3 1 1 1 1 1 3
IB = (1 − )2 + (1 − )2 + (0 − )2 = + + = = R donc (S) passe par B
2 2 2 4 4 4 2
b) {A,B} ∈ (S) ∩ P et comme A≠B donc P coupe (S) suivant un cercle (C ).
3 1 1 1 1 1 3
c) {A,B} ∈ (S) ∩ P donc {A,B} ∈ (C ) et comme IC = (1 − )2 + (0 − )2 + (1 − )2 = + + = = R donc (S)
2 2 2 4 4 4 2
passe par C, d’où {A,B,C} ∈ (C ) ainsi (C ) est le cercle circonscrit au triangle ABC.
3 1 1 1
4) a) ∆ passe par I ( , , ) et perpendiculaire au plan P donc le normal n −1 au plan P est un vecteur
2 2 2 −1
3
x = 2 + m
1
directeur de ∆ . ∆ : y = − m m ∈ IR
2
1
z = − m
2
3 1 1
b) Ω est le projeté orthogonal de I sur P donc Ω ∈ ∆, par suite Ω + m , − m , − m et Ω ∈ P
2 2 2
On remplace les coordonnées de Ω dans l’équation cartésienne de P on obtient
3 1 1 1 1
+ m − + m − + m = 0 ⇔ + 3m = 0 ⇔ m = −
2 2 2 2 6
4 2 2
Ainsi Ω , ,
3 3 3
c) On vérifie que D est un point de ∆ et comme passe par Ω est perpendiculaire au plan P donc DΩ est la
1
hauteur de ABCD issue de D ainsi V = = aire(ABC) × DΩ
3
D' = SΩ (D) donc D’∈ ∆ et DΩ = D' Ω ainsi D’Ω est la hauteur de ABCD’ issue de D’ ainsi
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1
1 1
V’ = = aire(ABC) × D ' Ω = aire(ABC) × DΩ = V
3 3
4 1
3 = 2 ( 2 + xD ' )
2 1 2 4 4
Autrement : D ' = SΩ (D) ⇔ Ω est le milieu de [DD’] donc 3 = 2 yD ' d’où D ' , ,
3 3 3
2 = 1 z
3 2 D'
4
−1 −1 −
3 1 4 4
−1 −1 − −1 −
1 0 −1 1
( )
1
V’ = det AB ; AC ;AD ' = = −
3
− 0×
3
−
3 = 1 1 + 5 = 1 = V
6 6 3 1 1 1 6 3 3 3
1 0 0 −1
−1 0 3 3 3
3
EXERCICE 3 : ( 5 points )
1) a) f(x) = 2 − x + ln x
f est continue sur [1 , + ∞[ et f(x) ∈ ]−∞ , 1] donc l’équation f(x) = 0 admet au moins une solution α dans
]−∞ , 1[ et comme est strictement croissante donc cette solution est unique.
f(α ) = 0 ⇔ 2 − α + ln α = 0 ⇔ ln α = α − 2
b) f(α ) = 0 d’après le tableau de variation de f on a
f(x) > 0 si x ∈ ]1 , α[
f(x) < 0 si x ∈ ]α , + ∞[
u0 = 1
2) soit la suite ( un )n∈ℕ définie par
un +1 = 2 + ln un ; n ∈ ℕ
a) Montrons par récurrence que pour tout entier naturel n ; 1 ≤ un ≤ α
Pour n = 0 on a u0 = 1 et 1 ≤ 1 ≤ α donc vrai pour n =0
Supposons que pour n > 0, 1 ≤ un ≤ α et démontrons que 1 ≤ un+1 ≤ α
1 ≤ un ≤ α ⇔ ln1 ≤ ln un ≤ ln α
⇔ 2 ≤ 2 + ln un ≤ 2 + ln α
Or ln α = α − 2 d’où 2 ≤ 2 + ln un ≤ 2 + ln α ⇔ 2 ≤ un +1 ≤ α donc vrai pour n+1
D’où pour tout entier naturel n ; 1 ≤ un ≤ α
b) un +1 − un = 2 + lnun − un = f(un ) or 1 ≤ un ≤ α donc f(un ) ≥ 0 d’où ( un )n∈ℕ est croissante.
c) ( un )n∈ℕ est croissante et majorée donc elle converge vers ℓ ∈ [1 , α ] et comme un+1 = g(un )
avec g : x ֏ 2 + ln x , g est continue sur ]0 , + ∞[ donc g est continue en ℓ d’où ℓ est la solution de l’équation
g(x) = x ⇔ 2 + ln x = x ⇔ 2 − x + ln x = 0 ⇔ f(x) = 0 ainsi ℓ = α
EXERCICE 4 : ( 6 points)
1) a) f(0) = 1 ; lim f(x) = 0 (l’axe des abscisses est une asymptote à (C) au voisinage de +∞)
x →+∞
fd' (0) = 0 ( demi-tangente horizontale au oint d’abscisse 0).
b) f est continue et strictement décroissante sur [0 , +∞[ donc f réalise une bijection de [0 , +∞[
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2
3) a) f est définie sur [0 , +∞[ par f(x) = (ax + b)e −2x , a et b deux réels.
f(0) = 1
D’après 1) a) on a :
'
fd (0) = 0
Or f est dérivable sur [0 , +∞[ et f '(x) = ae −2x − 2(ax + b)e −2x = ( −2ax + a − 2b ) e−2x
f(0) = 1
b = 1
b = 1
Donc ⇔ ⇔
'
fd (0) =0 a − 2b = 0
a = 2
D’où pour tout x ∈ [0 , +∞[ , f(x) = (2x + 1)e−2x
β
b) I = ∫ (2x + 1)e−2x dx
0
u(x) = 2x + 1
u '(x) = 2
on pose ⇒
−2x
v '(x) = e
v(x) = − 1 e−2x
2
β β β β
1 1 1
D’après le formule d’intégration par parties : I = − ( 2x + 1) e−2x + ∫ e −2x dx = − ( 2x + 1) e−2x + − e−2x
2 0 0 2 0 2 0
1 1 1 1 1 1
= − ( 2β + 1) e−2β + + − e−2β + = 1 − ( 2β + 1) e −2β − e−2β
2 2 2 2 2 2
1 1 1
= 1 − ( 2β + 1) e −2β − e−2β = 1 − ( 2β + 2 ) e−2β = 1 − ( β + 1) e −2β
2 2 2
1 β β
c) A = ∫ f −1(x) dx = ∫ f(x) dx − β2 = ∫ (2x + 1)e −2x dx − β2 = 1 − β2 − ( β + 1) e −2β u.a
β 0 0
1 β
Autrement : A = ∫ f −1(x) dx = ∫ ( f(x) − β ) dx = 1 − ( β + 1) e −2β − β2 u.a
β 0
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3
Exercice 1
1) 2) 3) 4)
c) a) a) c)
Exercice 2
1/a/ ; .
comme A ∈ P, d = 0 et on trouve P : x- y – z = 0.
2/ D .
1
b/ V= = =
3
; ;
1/4
b/ (S) et P contiennent les points A et B donc ils ne sont ni tangents ni disjoints par suite ils se
coupent suivant un cercle (C)
4/ a/ donc
b/ le centre du cercle est le projeté orthogonal de I sur P c’est Ω.
d’où
; V’= d’où :
Exercice n°3
2/4
1/a/ f est continue et strictement décroissante sur [1,+∞[ donc f réalise une bijection de [1,+∞[
Par suite l’équation f(x) = 0 admet une solution unique α dans ]1,+∞[.
f(α) = 0 غ2−α+Lnα = 0
b/ f est strictement décroissante sur [1,+∞[
x 1 α +∞
f(x) + 0 −
2/
a/ Démonstration par récurrence
* u0 = 1 donc 1 £ u0 £
* Soit n خN , supposons que 1 £ un £
donc ln1 £ ln un £ ln d’où 2 £ 2 + lnun £ 2 + ln
Comme ln = - 2 donc 1 £ un+ 1 £
Ainsi pour tout n خN 1 £ un £
︵
︶
0
ca
u
u
r
f
n n n
︵
︶
Donc g( ) =
︵
︶
Exercice n°4 :
*
b/ * f est continue et strictement décroissante sur [0 ;+∞[ donc f réalise une bijection de [0,+∞[
sur f .
2/
3/4
y
3
0 1 2 3 x
3/ f(x) =
(ax+b) ,x∈
[0,+∞[, a et b ∈ IR
a/ غ غ
Donc, pour tout x خ+éë0,
¥ é,︵
ë f =x ︶︵+
2x e- 2x
1︶
b/ I =
Intégration par parties:
On pose u(x) = 2x+1 ; u’(x) = 2
v’(x) = ; v(x) =
I= =
4/4
c/ = I – β²
5/4
EXERCICE 1 : ( 3 points)
1) a) Vrai b) Vrai
2) a) Faux b) Vrai
EXERCICE 2 : ( 6 points )
θ ∈ [ 0 , 2π[
( )
1) z 2 − (4 + eiθ )z + 2 2 + eiθ = 0
(
∆ = 4+e ) − 4 × 2 ( 2 + e ) = 16 + 8e
iθ 2 iθ iθ
+ ei2θ − 16 − 8eiθ = ei2θ . donc δ = eiθ
4 + eiθ − eiθ 4 + e iθ + e iθ
D’où les solutions sont z1 = = 2 et z 2 = = 2 + eiθ
2 2
{
Sℂ = 2 , 2 + eiθ }
2) z I = 2 et z M = 2 + eiθ .
z M − z I = 2 + eiθ − 2 = eiθ = 1 ⇔ IM = 1 d’où M appartient au cercle (Γ) de centre I et de rayon 1.
3 3
3) a) z A = −i .
2 2
2
1 3
2
3 3 1 3
IA = z A − z I = − i −2 = − −i = − + − = 1 ainsi A est un point de (Γ).
2 2 2 2 2 2
4π
3 3 1 3 i 4π
Autrement : z A = −i = 2− −i = 2+e 3 zA est de la forme z M = 2 + eiθ avec θ =
2 2 2 2 3
Ainsi M est un point de (Γ).
i 3 3
−
1
− i
3 i −
z AI
3 2 2 i z
b) = 2 2 = = d’où AI est imaginaire pur donc AI ⊥ AO ainsi le
z AO
3 3 3 3 3 z AO
− +i − +i
2 2 2 2
triangle OAI est rectangle en A.
c) OAM est rectangle en A donc (AM) ⊥ (AO) et comme (AI) ⊥ (AO) donc (AM) // (AO) et par suite
M∈ (AO) et comme M ∈ (Γ) d’où M est le point diamétralement opposé à A sur (Γ).
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1
zA + zM 3 3
Ainsi = z I ⇔ z M + z A − 2z I = 0 ⇔ 2 + eiθ + − i −4 = 0
2 2 2
1 3 1 3
⇔ − −i + cos θ + i sin θ = 0 ⇔ cos θ + i sin θ = + i
2 2 2 2
1 3 π
Donc cos θ = et sin θ = ; θ ∈ [ 0 , 2π[ D’où θ =
2 2 3
EXERCICE 3 : ( 5 points )
1
1) soit g la fonction définie sur ]0 , + ∞[ par g(x) = 1 − + ln x
x
1 1
a) lim+ g(x) = lim+ 1 − + ln x = −∞ ; lim g(x) = lim 1 − + ln x = +∞
x →0 x →0 x x →+∞ x →+∞ x
1
1 − + ln x
g(x) x 1 1 ln x
b) lim = lim = lim − 2 + = 0 la courbe (C) admet au voisinage de +∞ une
x →+∞ x x →+∞ x x →+∞ x x x
( )
branche infinie parabolique de direction celle de O , i .
1
c) la fonction x ֏ ln x est dérivable sur ]0 , + ∞[ et la fonction x ֏ 1 − est dérivable sur IR* ainsi la
x
1 1 1+ x
fonction g est dérivable sur ]0 , + ∞[ . Pour tout x ∈ ]0 , + ∞[ ; g '(x) = 2 + = 2
x x x
1 1 1+ x
d) Pour tout x ∈ ]0 , + ∞[ ; g '(x) = 2 + = 2 donc g '(x) > 0 et par suite g est strictement
x x x
croissante sur ]0 , + ∞[ .
x 0 +∞
g’ (x) +
+∞
g (x)
−∞
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2
f (x)
−1
a) f est continue est strictement décroissante sur ]0 , 1[ et f ( ]0 , 1[ ) = ]−1 , + ∞[ , 0 ∈ ]−1 , + ∞[
ainsi l’équation f ( x ) = 0 admet une seule solution α sur ]0 , 1[ .
De même f est continue est strictement décroissante sur ]1 , + ∞[ et f ( ]1 , +∞[ ) = ]−1 , + ∞[ ,
0 ∈ ]−1 , + ∞[ ainsi l’équation f ( x ) = 0 admet une seule solution β sur ]1 , + ∞[ .
b) f (0, 2) = 0, 29 et f (0,3) = −0,16 ainsi f (0, 2) × f (0,3) < 0 donc 0, 2 < α < 0,3
f (2, 2) = −0, 05 et f (2, 3) = 0, 08 ainsi f (2, 2) × f (2, 3) < 0 donc 2, 2 < β < 2,3
4) a) voir figure ci-dessus.
1 1
b) f est dérivable sur ]0 , + ∞[ . Pour tout x ∈ ]0 , + ∞[ ; f '(x) = ln x + (x − 1) = 1 − + ln x = g(x)
x x
β 1 β 1 β α β
c) A = ∫ g(x) dx = ∫ g(x) dx + ∫ g(x) dx = ∫ −g(x) dx + ∫ g(x) dx = ∫ g(x) dx + ∫ g(x) dx
α α 1 α 1 1 1
β α β α β
dx = ∫ g(x) dx + ∫ g(x) dx = ∫ f '(x) dx + ∫ f '(x) dx = [ f (x)]1 + [ f (x)]1
α β
d) A = ∫ g(x)
α 1 1 1 1
= f (α) − f (1) + f (β) − f (1) = −2f (1) = 2 u.a
EXERCICE 4 : ( 5 points)
1)
2) a)
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3
xi 1 2 3 4 5 6 7 8 9
zi = lnyi 1,1 1,39 1,61 2,08 2,71 3,22 3,69 4,32 4,91
b) r = 0,99
c) ∆ : z = 0, 49x + 0,34
d) z = 0, 49x + 0, 34 ⇔ ln y = 0, 49x + 0,34 ⇔ y = e0,49x + 0,34 ainsi y = e0,49x e0,34
D’où y = 1, 4e0,49x
e) pour x = 12 on a y = 1, 4e0,49×12 = 500,93
D’où le nombre des pages visitées durant la douzième semaine est 501.
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4
Mathématiques
Sciences Techniques
Corrigé de la session principale Juin 2013
Exercice 1
I) 1) c
Remarque :
Par une lecture graphique on peut déterminer les variations de la fonction f, puis
établir le signe de f '(x) :
Sur , 0 f est strictement décroissante, donc f '(x) 0, pour tout x , 0.
Sur 0, 2 f est strictement croissante, donc f '(x) 0, pour tout x 0, 2.
Sur 0, f est strictement décroissante, donc f '(x) 0, pour tout x 0, .
Seul le graphique en c) correspond au signe de f '(x) , donc la courbe de f ' est celle
donnée en c).
2) a
Remarque :
f '(t) dt f (t) 0 f (2) f (0) 3 ( 1) 4 unité d 'aire.
2
2
L’aire cherchée est égale à
0
II) 1) c 2) a
Remarque :
L’équation (E) est de la forme : z 2 Sz P 0 où S z1 z2 2(1 i) et
P z1z 2 13 2 3 i.
5
i 5
arg(z1 z 2 ) arg(2(1 i)) 2 arg(2e 4 ) 2 2
4
2 3
2 2
z1z 2 13 2 3 i 13 13 12 5.
Exercice 2
L’espace est rapporté à un repère orthonormé direct O,i, j, k .
x 1 2
On a : A (4 , 2 , 2), B (5 , 2 ,3) et C (1 , 1 , 1) et la droite : y 1 ;
z 1 2
(P) est le plan passant par A et perpendiculaire à la droite .
2
1) a) Le vecteur u 1 est un vecteur directeur de la droite et puisque le plan (P) est
2
perpendiculaire à , donc u est un vecteur normal au plan (P).
On a alors (P) : 2x y 2z c 0 .
A (4 , 2 , 2) (P) 8 2 4 c 0
c 14
Ainsi (P): 2 x y 2 z 14 0
b) B (5 , 2 ,3) ; 2 5 (2) 2 3 14 0 d 'où B (P)
C (1 , 1 , 1) ; 2 1 1 2 1 14 9 0 d 'où C (P)
c) En prenant 0 dans les équations paramétriques de on obtient le point C, donc
C .
On remarque que tout point de a son abscisse x est égale à son côte z.
Or x A z A d’où A (4 , 2 , 2) .
2)a) (P): 2 x y 2 z 14 0 .
D (3 , 2 ,3) ; 2 3 2 2 3 14 0 d 'où D (P).
2
CD 1 u , d’où CD est un vecteur normal à (P).
2
(CD) (P)
D (P) d’où le point D est le projeté orthogonal de C sur le plan (P).
C (P)
4 2 8 1
b) On a : BC 3 ; BD 4 ; BC BD 4 et BA 4 .
2 0 10 1
( BC BD ).BA 8 16 10 18 0.
D’où les vecteurs BC, BD et BA ne sont pas coplanaires, par suite les points A, B, C et
D ne sont pas coplanaires.
1 18
c) v ( BC BD ).BA 3 unité de volume.
6 6
1 1
3)a) AB 4 ; AD 0 on a : AB .AD 1 (1) ( 4) 0 11 0.
1 1
D’où les droites (AD) et (AB) sont perpendiculaires.
Par conséquent d d(D;(AB)) AD (3 4) 2 (2 2) 2 (3 2) 2 2.
1 2
b) On a AB 4 ; CD 1
1 2
AB 12 (4) 2 12 18 3 2 et CD 2 2 12 2 2 9 3.
AB d CD 3 2 2 3
3 v.
6 6
Exercice 3
1) a) 2 2i 22 2 2 2i (2i)2 4 8i 4 8i
2
b) z 2 2(1 i)z 6i 0 .
Calculons le discriminant :
2(1 i) 4 1 (6i) 2 2i 24i 8i 24i 32i 4 8i 4 2 2i
2 2 2
δ 2(2 2i)
2(1 i) 2(2 2i) 2(1 i) 2(2 2i)
z1 1 i ; z 2 3 3i.
2 2
2) A, B et C les points d’affixes respectives z A 3 3i , z B 1 i et
zC (1 2 3) (1 2 3)i.
a) z C z A (1 2 3) (1 2 3)i (3 3i) (2 2 3) (2 2 3)i.
z B z A 1 i (3 3i) 4 4i 4(1 i).
zC zA ( 2 2 3) ( 2 2 3)i
zB zA 4(1 i)
(2 2 3) ( 2 2 3)i (1 i)
4(1 i)(1 i)
(2 2 3) ( 2 2 3)i ( 2 2 3) ( 2 2 3)i i
8
1
2 2 3 2 2 3 i( 2 2 3 2 2 3)
8
1 1 3
(4 4 3) i
8 2 2
zC zA 1 3 1 3
On a donc i d 'où z C z A i (z B z A ).
zB zA 2 2 2 2
1 3 i 1 3 1 3
b) i e 3 d 'où i 1 et arg( i ) 2 .
2 2 2 2 2 2 3
1 3 1 3
c) On a z C z A i (z B z A ) d’où z C z A i zB zA
2 2 2 2
Par suite AC AB .
zC zA 1 3
D’autre part on a i .
zB zA 2 2
z zA 1 3
Alors arg C arg i 2 2.
zB zA 2 2 3
z z
Or arg C A (AB , AC) 2 d 'où (AB , AC) 2
zB zA 3
Le triangle ABC est tel que AB AC et (AB , AC) 2 d’où ABC est un triangle
3
équilatéral.
z A z B 3 3i (1 i)
3) a) 1 i zΩ d’ où est le milieu du segment AB .
2 2
b) Placer les points A, B, , C et D.
c) D est le symétrique du point C par rapport à Ω, d’où Ω est le milieu du segment CD .
Les diagonales AB et CD du quadrilatère ACBD se coupent en leur milieu Ω, d’où
ACBD est un parallélogramme. On a aussi BC AC , d’où ACBD est un losange.
DC AB
d) L’aire du losange ACBD est égale à ΩC AB.
2
AB z B z A 4(1 i) 4 2.
ΩC z C z Ω 1 2 3 (1 2 3)i (1 i)
2 3 2 3 i 2 3 1 i 2 3 2 2 6.
ΩC AB 2 6 4 2 8 12 16 3.
Exercice 4
1
x
f la fonction définie sur par f (x) (x 2)e 2 .
1
x
1) a) lim f (x) lim (x 2)e 2
.
x x
1
x
f (x) (x 2)e 2 2 1x
lim lim lim (1 )e 2 .
x x x x x x
D’où la courbe (C) admet une branche parabolique de direction l’axe (O, j) .
1
x
b) lim f (x) lim (x 2)e 2
x x
1 1
x x
lim x e 2
2e 2
x
1
x x
lim 1
2e 2
x x
2
e
1 12 x 1
0, car lim 1 et
2 x e x
lim 2e 2
lim e 0 2
12 x
x x x
2x
e
1 x
2
D’où la droite d’équation y = 0 (l’axe des abscisses) est une asymptote horizontale à la (C)
courbe au voisinage de +∞.
1
x
2) f (x) 0 (x 2)e 0 2
x20
x 2 ; d 'où E(2, 0)
f (0) 2 ; d 'où F(0, 2).
1 1 1
x 1 x 1 x
3)a) f '(x) e 2 (x 2) e 2 xe 2 ; x .
2 2
1
1 x
Le signe de f '(x) est celui de x puisque e 2 0, pour tout x .
2
1
1 2 x
b) f '(x) xe ; x .
2
1 2 x 1 1 2 x 1
1 1 1
x
f ''(x) e x. e (x 2) e 2 ; x .
2 2 2 4
1
1 x
f ''(x) 0 (x 2) e 2 0
4
x20
x 2.
f '' s’annule en 2 en changeant de signe, d’où le point K(2 , f (2)) est un point d’inflexion
4
pour la courbe (C). K(2 , )
e
c) La courbe (C).
2 2
4) On pose I0 e t dt et pour tout n *
; In (t 2) n e t dt .
2 2
2 1
a) I0 e t dt e t
2
e2 e2 e2 .
2 2 e2
2
b) In 1 (t 2)n 1 e t dt.
2
2
2
I n 1 (t 2) n 1 e t (n 1) (t 2) n e t dt
2 2
4n 1
(n 1) I n
e2
4n 1
Ainsi pour tout n , I n 1 (n 1) I n .
e2
4 1 4 5
c) I1 2
I0 e 2 2 2 e 2 2
e e e e
16 16 5 26
I2 2 2I1 2 2(e2 2 ) 2e 2 2 .
e e e e
5) On désigne par (D) le domaine du plan limité par la courbe (C), l’axe des abscisses et les
droites d’équations x 2 et x 2 .
a) Voir figure.
2 2 26
b) π 2
(f (x)) 2 dx π 2
(x 2) 2 e x dx π I 2 π (2e 2
e2
).
Exercice 1 : ( 3 points)
I) 1) c 2) a II- 1) c 2) a
Exercice 2 : ( 6 points )
2
1) a) (P ) ⊥ ∆ donc le vecteur u 1 directeur de ∆ est un vecteur normal à P d’où P : 2x + y + 2z + d = 0
2
Comme A ( 4, 2, 2 ) ∈ ( P ) donc 2 × 4 + 2 + 2 × 2 + d = 0 ⇔ 14 + d = 0 ⇔ d = −14 ainsi ( P ) : 2x + y + 2z − 14 = 0
b) B ( 5, −2,3) donc 2 × 5 + ( −2 ) + 2 × 3 − 14 = 10 − 2 + 6 − 14 = 8 − 8 = 0 d’où B ∈ ( P )
C (1,1,1) donc 2 × 1 + 1 + 2 × 1 − 14 = 2 + 1 + 2 − 14 = −9 ≠ 0 d’où C ∉ ( P )
x = 1 + 2α 1 = 1 + 2α α = 0
c) ∆ : y = 1 + α ; α ∈ IR et C (1,1,1) donc 1 = 1 + α ⇔ α = 0 d’où C ∈ ∆
z = 1 + 2α 1 = 1 + 2α α = 0
3
x = 1 + 2α 4 = 1 + 2α α = 2
∆ : y = 1 + α ; α ∈ IR et A ( 4, 2, 2 ) donc 2 = 1 + α ⇔ α = 1 ce qui est impossible d’où A ∉ ∆
z = 1 + 2α 2 = 1 + 2α 1
α =
2
2) a) D ( 3, 2,3) Pour montrer que D est le projeté orthogonal de C sur (P) il suffit de démontrer que D ∈ ∆
et D ∈ ( P )
x = 1 + 2α 3 = 1 + 2α α = 1
∆ : y = 1 + α ; α ∈ IR et D ( 3, 2,3) donc 2 = 1 + α ⇔ α = 1 ainsi D ∈ ∆
z = 1 + 2α 3 = 1 + 2α α = 1
D ( 3, 2,3) donc 2 × 3 + 2 + 2 × 3 − 14 = 6 + 2 + 6 − 14 = 14 − 14 = 0 d’où D ∈ ( P )
Donc ∆ ⊥ (P ) en D et comme C ∈ ∆ donc D est projeté orthogonal de C sur (P).
b) A, B et D étant des points de (P) et C ∉ ( P ) donc les points A, B , C et D ne sont pas coplanaires.
c) V : le volume du tétraèdre ABCD. Comme D est le projeté orthogonal de C sur (P) donc CD est la hauteur
1 1 1 − 1 − 4
issue de C donc V = AireABD × CD or AireABD = AB ∧ AD et AB −4 ; AD 0 AB ∧ AD −2
3 2 1 1 −4
2
1 1
et CD 1 D’où V = 16 + 4 + 16 × 4 + 1 + 4 = × 6 × 3 = 3
2 6 6
3) a) AB . AD = −1 × 1 + ( −4 ) × 0 + 1 × 1 = −1 + 1 = 0 donc AB ⊥ AD ainsi A est le projeté orthogonal de D sur
(AB) la distance de D à la droite (AB) est d = DA.
AB × d × CD AB × AD × CD 18 × 2 × 3
b) = = =3=V
6 6 6
Exercice 3 : ( 5 points )
1) a) ( 2 + 2i ) = 4 − 4 + 8i = 8i
2
b) z 2 − 2(1 + i)z − 6i = 0
∆ ' = (1 + i ) + 6i = 2i + 6i = 8i = ( 2 + 2i ) donc δ ' = 2 + 2i
2 2
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1
( x + 2) − 2 x
1
f (x)
lim = lim e = +∞ D’où la courbe (C) de f admet une branche infinie parabolique de direction
x →−∞ x x →−∞ x
( )
celle de O, j au voisinage de −∞
1 1 1 1
− x − x − x x − x
b) lim f (x) = lim ( x + 2) e 2 = lim xe 2 + 2e 2 = lim
1
+ 2e 2 = 0 d’où la droite d’équation
x →+∞ x →+∞ x →+∞ x →+∞
( )
ex 2
y = 0 est une asymptote à la courbe (C) de f au voisinage de +∞
( )
2) {E} = (C) ∩ O,i donc E ( x,0 ) et f (x) = 0
1
− x
f (x) = 0 ⇔ ( x + 2 ) e 2 = 0 ⇔ x + 2 = 0 donc x = −2 d’où E ( −2,0 )
{F} = (C) ∩ ( O, j) donc F ( 0, y ) et y = f (0) = 2 d’où F ( 0, 2 )
3) a) La fonction f est définie et dérivable sur IR.
1 1 1 1
− x 1 − x 1 − x 1 − x
Pour tout x ∈ IR, f '(x) = e 2 + ( x + 2 ) × − e 2 = 1 − x − 1 e 2 = − xe 2
2 2 2
1
1 − x 1
f '(x) = 0 ⇔ − xe 2 = 0 ⇔ x = 0. Le signe de f '(x) et celui de − x
2 2
x −∞ 0 +∞
f '(x) + 0 −
2
f (x)
−∞ 0
b) La fonction f ‘ est dérivable sur IR.
1 1 1
1 − x 1 − x 1 1 − x 1 1
Pour tout x ∈ IR, f ''(x) = − e 2 + xe 2 = − + x e 2 . f ''(x) = 0 ⇔ − + x = 0 ⇔ x = 2
2 4 2 4 2 4
x −∞ 2 +∞
f ''(x) + 0 −
4
Donc le point K ( 2,f (2) ) avec f (2) = 4e−1 = est un point d’inflexion de la courbe (C).
e
c)
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3
2 2
−t 1
4) a) I0 = ∫e dt = −e− t = −e−2 + e2 = e2 −
−2 e2
-2
2
n +1 − t
b) I n +1 = ∫ ( t + 2) e dt
-2
u '(x) = ( n + 1) (t + 2)
n +1 n
u(x) = (t + 2)
On pose donc
−t −t
v '(x) = e
v(x) = −e
d’après le formule d’intégration par parties :
2 2 2
n +1 − t
∫ ( t + 2) dt = −(t + 2) n +1 e− t + ( n + 1) ∫ ( t + 2 ) e − t dt
n
I n +1 = e
−2
-2 -2
4n +1 4n +1
2 2
I n +1 = −4n +1 e −2 + ( n + 1) ∫ ( t + 2 ) e− t dt = ( n + 1) ∫ ( t + 2 ) e− t dt − = ( n + 1) In −
n n
2
-2 -2 e e2
4n +1 4 1 4 5
c) I n +1 = ( n + 1) I n − donc I1 = I0 − = e2 − − = e2 −
e2 e2 e2 e2 e2
42 5 16 10 16 26
I 2 = 2I1 − = 2 e2 − − = 2e2 − − = 2e2 −
2
e2 e e 2
e 2
e 2
e 2
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4
Mathématiques
Sciences Techniques
Corrigé de la session de contrôle Juin 2013
Exercice 1
1) (P) : x y z 3 0
A(2 , 1, 0) ; 2 1 0 3 0 ; d 'où A (P).
B(2 , 1, 2) ; 2 (1) (2) 3 0 ; d 'où B (P).
C(0 , 1, 2) ; 0 1 (2) 3 0 ; d 'où C (P).
Ainsi les points A, B et C appartiennent au plan (P).
2) a) M x , y , z (S) x 2 y 2 z 2 – 4x – 2y 4z 5 0
x 2 – 4x y 2 – 2y z 2 4z 5 0
(x 2) 2 4 (y 1) 2 1 (z 2) 2 4 + 5 0
(x 2) 2 (y 1) 2 (z 2) 2 4.
D’où (S) est la sphère de centre I(2, 1, 2) et de rayon R 2.
x 2
D’où un système paramétrique de est : y 1 ;
z 2
x 2 α
y 1 α
b) G x , y , z Δ (P)
z 2 α
x y z 3 0
x 2 α
y 1 α
z 2 α
2 α 1 α (2 α) 3 0
x 2 α
y 1 α
z 2 α
α 2
3
4 1 4
D’où G( , , ).
3 3 3
4 1 4
c) A(2, 1, 0) ; B 2, 1 , 2 ; C 0, 1, 2 et G( , , ).
3 3 3
2 2 4
3 3 3
2 4
; GC
2
GA ; GB
3 3 3
4 2 2
3 3 3
GA GB GC 0 , d’où G est le centre de gravité du triangle ABC.
d) On a ABC est un triangle équilatéral de centre de gravité G et (C) son cercle circonscrit,
d’où le cercle (C) est de centre G et de rayon GA.
2 2 2
2 2 4 24 2
GA 6.
3 3 3 9 3
2
(C) est le cercle de centre G et de rayon 6.
3
Exercice 2
a) x 1 1 x 0
e1 x e0 ; car la fonction x ex est strictement croissante sur .
1 x
e 1
x e1 x x
f (x) x.
0 x 1 1 x 1 0
0 1 x 1
e0 e1 x e1
1 e1 x
x x e1 x
x f (x)
1
u 0
2) (u n ) la suite définie sur par : 2
u n 1 f (u n ) pour tout n
a) Pour montrer que 0 u n 1 , pour tout entier naturel n, on raisonne par récurrence.
1
On a 0 u 0 1, d’où la proposition est vérifiée pour n 0 .
2
Soit n un entier naturel. On suppose que la proposition est vraie pour cet entier n.
On a donc 0 u n 1.
0 u n 1 u n 0 , 1
f (u n ) 0 , 1 ; d 'après le tableau de var iation de f
u n 1 0 , 1
0 u n 1 1
b) On a : 0 u n 1 , pour tout n .
D’après 1) a) 0 u n 1 u n f (u n )
u n u n 1
La suite (u n ) est croissante et majorée donc elle est convergente. Soit l sa limite.
La fonction f est continue sur 0, , la limite l vérifie f (l) l.
f (l) l l e1l l
l(e1l 1) 0
l 0 ou e1l 1
l 0 ou 1 l 0
l 0 ou l 1
Exercice 3
Les résultats du baccalauréat, dans un établissement public donné, sont :
60% des candidats sont admis.
Parmi les candidats admis, 80% ont une moyenne annuelle supérieure ou égale à 10
sur 20.
Parmi les candidats non admis, 70% ont une moyenne annuelle supérieure ou égale à
10 sur 20.
40 4
60% des candidats sont admis, donc 40% ne le sont pas. D’où p(A) = = = 0.4
100 10
Parmi les candidats admis, 80% ont une moyenne annuelle supérieure ou égale à 10 sur
20. D’où la probabilité que la moyenne annuelle du candidat interrogé est supérieure ou
80
égale à 10 sur 20 sachant qu’il est admis au baccalauréat est p(M / A) = = 0.8 .
100
Parmi les candidats non admis, 70% ont une moyenne annuelle supérieure ou égale à 10
sur 20. D’où la probabilité que la moyenne annuelle du candidat interrogé est supérieure
ou égale à 10 sur 20 sachant qu’il n’est pas admis au baccalauréat est
70
p(M / A) = = 0.7 .
100
1
b) p(M / A) 1 p(M / A) 1 0.8 0.2 .
5
2) L’arbre pondéré suivant décrit la situation.
3)a) La probabilité qu’un candidat interrogé soit admis et que sa moyenne annuelle soit
inférieure à 10 sur 20 est donnée par p(M Ç A) = p(A).p(M / A) = 0.6´ 0.2 = 0.12 .
b) p(M) = p(M Ç A) + p(M Ç A)
= p(A).p(M / A) + p(A).p(M / A)
= 0.6´ 0.8 + 0.4´ 0.7
= 0.48 + 0.28
= 0.76
c) La probabilité qu’un candidat interrogé soit admis sachant qu’il a obtenu une moyenne
annuelle supérieure ou égale à 10 est p(A / M) .
p(M Ç A) 0.48 48 12
p(A / M) = = = = . ( p(M Ç A) = p(A).p(M / A) = 0.48) )
p(M) 0.76 76 19
4) On sait que le nombre de candidats de cet établissement est égal à 200.
La probabilité qu’un candidat soit admis et n’ayant pas une moyenne annuelle supérieure
ou égale à 10 est p(M Ç A) = 0.12 .
Le nombre estimé de candidats admis et n’ayant pas une moyenne annuelle supérieure ou
égale à 10 est 200 0.12 24 candidats.
Exercice 4
f '(0) 0, d’où la courbe (C) admet au point d’abscisse 0 une demi-tangente horizontale.
2) lim f (x) lim x 2 2x 2 ln(x) lim x 2 (1 2ln(x)) .
x x x
f (x) x 2x ln(x)
2 2
lim lim lim x 2x ln(x) lim x(1 2ln(x)) .
x x x x x x
f (x)
lim , d’où la courbe (C) admet une branche infinie de direction l’axe (O, j).
x x
Le tableau de variation de f :
4) On a f 0 0 .
si x > 0 ; f (x) 0 x 2 2x 2 ln(x) 0
x 2 (1 2 ln(x)) 0
1 2 ln(x) 0
1
ln(x)
2
1
x e2 e
Les abscisses des points d’intersections de la courbe (C) avec l’axe O,i sont 0 et e.
5) La courbe (C) de f :
1
On pose : u(x) ln(x) u '(x)
x
1
v'(x) x 2 v(x) x 3
3
En appliquant la formule d’intégration par parties on a :
e
e 1 1 e
I x ln(x) dx x 3 ln(x) x 2 dx
2
3 3
e
1 1 1 1
( e)3 ln( e) 3 ln() x 3
3 3 3 3
1 1 1
e e 3 ln() ( e)3 3
6 3 9
1 1 1
3 3 ln() e e
9 3 18
b) ( ) l’aire de la partie du plan limitée par l’axe des abscisses, la courbe (C) et les
e
droites d’équations x et x e . On a ( ) f (x) dx.
e
1
x 2x ln(x) dx
1 1
e e e
f(x) dx = x dx 2I x 3 2I e e 3 2I
2 2 2
3 3 3
1 1 1 1 1 1 1
( ) f (x) dx e e 3 2I e e 3 2 3 3 ln() e e
e
3 3 3 3 9 3 18
5 2 2
( ) 3 3 ln() e e
9 3 9
5 2 2 2
c) lim ( ) lim 3 3 ln() e e e e .
0 0 9 3 9 9
Exercice 1 : ( 5 points)
L’espace est munie d’un repère orthonormé direct ( O,i, j, k ) .
1) (P) : x + y − z − 3 = 0
On a 2 + 1 − 0 − 3 = 3 − 3 = 0 donc A ( 2 , 1 , 0 ) ∈ (P)
On a 2 + ( −1) − ( −2) − 3 = 1 − 1 = 0 donc B ( 2 , − 1 , − 2 ) ∈ (P)
On a 0 + 1 − ( −2) − 3 = 3 − 3 = 0 donc C ( 0 , 1 , − 2 ) ∈ (P)
2) Soit (S) l’ensemble des points M ( x , y , z ) de l’espace tels que : x 2 + y 2 + z 2 − 4x − 2y + 4z + 5 = 0
a) M ( x , y , z ) ∈ (S) ⇔ x 2 + y 2 + z 2 − 4x − 2y + 4z + 5 = 0
⇔ ( x − 2 ) − 4 + ( y − 1) − 1 + ( z + 2 ) − 4 + 5 = 0
2 2 2
⇔ ( x − 2 ) + ( y − 1) + ( z + 2 ) − 5 = 0
2 2 2
⇔ ( x − 2 ) + ( y − 1) + ( z + 2 ) = 5
2 2 2
02 + 12 + ( −2 ) − 4 × 0 − 2 × 1 + 4 × ( −2 ) + 5 = 1 + 4 − 2 − 8 + 5 = 10 − 10 = 0 donc C ( 0 , 1 , − 2 ) ∈ (S)
2
Donc {A , B , C} ∈ (P) ∩ (S) et comme A, B et C sont distincts donc (P) et (S) se coupent suivant le cercle
circonscrit au triangle ABC.
c) AB = ( 2 − 2 )2 + (−1 − 1) 2 + (−2 − 0) 2 = 8 = 2 2 , AC = ( 0 − 2 )2 + (1 − 1) 2 + (−2 − 0)2 = 8=2 2
PREPARER PAR : Mr ABDERRAZEK BERRZIGUE − LYCEE ASSAD IBN ALFOURAT OUED ELLIL
1
2 2 4
3 3 − 3
c) GA
2 − 4 et GC 2 donc GA + GB + GC = 0 d’où G est le centre de gravité de ABC.
, GB
3 3 3
4 − 2 − 2
3 3 3
d) Le centre de cercle (C) est le projeté orthogonal de I sur (P) comme G est un point de le droite ∆ perpendiculaire
au plan (P) et passe par I donc G est le centre de (C).
2 2 2
2 2 4 4 4 16 24 2 6
Le rayon de (C) est GA = + + = + + = =
3 3 3 9 9 9 9 3
Exercice 2 : ( 4 points )
1) a) Soit f la fonction sur [ 0, +∞[ par f (x) = xe1− x
x ≥ 1 ⇔ 1 − x ≤ 0 ⇔ e1− x ≤ e0 ⇔ e1− x ≤ 1 donc xe1− x ≤ x ainsi f (x) ≤ x
De même pour tout 0 ≤ x ≤ 1 ⇔ 0 ≤ 1 − x ≤ 1 ⇔ e0 ≤ e1− x ≤ e1 ⇔ 1 ≤ e1− x ≤ e ainsi x ≤ xe1− x ≤ xe d’où x ≤ f (x)
( )
b) la fonction f est dérivable sur [ 0, +∞[ ; f '(x) = e1− x + x × −e1− x = (1 − x ) e1− x
( )
x = f ( x ) ⇔ x = xe1− x ⇔ x − xe1− x = 0 ⇔ x 1 − e1− x = 0 ⇔ x = 0 ou e1− x = 1 ⇔ x = 0 ou x = 1
PREPARER PAR : Mr ABDERRAZEK BERRZIGUE − LYCEE ASSAD IBN ALFOURAT OUED ELLIL
2
40
p(A) = = 0, 4
100
80
p(M / A) = = 0,8
100
70
p(M / A) = = 0, 7
100
80 20 1
b) p(M / A) = 1 − p(M / A) = 1 − = =
100 100 5
2)
( ) ( )
3) a) p A ∩ M = p M / A × p ( A ) = 0, 2 × 0,6 = 0,12
( )
b) p ( M ) = p ( A ∩ M ) + p A ∩ M = 0, 6 × 0,8 + 0, 4 × 0,7 = 0, 48 + 0, 28 = 0, 76
p(A ∩ M) p (M / A) × p(A) 0, 6 × 0,8 0, 48 12
c) p ( A / M ) = = = = = ≈ 0,63
p(M) p(M) 0,76 0, 76 19
( )
4) on a p A ∩ M = 0,6 × 0, 2 = 0,12 donc 12 % des candidats sont admis et n’ayant pas une moyenne annuelle
12
supérieure ou égale à 10. Le nombre de ces candidats = 200 × = 24
100
Exercice 4 : ( 6 points)
f (x) = x 2 − 2x 2 ln(x)
si x ∈ ]0 , + ∞[
Soit f la fonction définie sur [ 0, +∞[ par
f (0) = 0
1) a) lim + f (x) = lim + x 2 − 2x 2 ln(x) = lim + x 2 − 2 lim + x 2 ln(x) = 0 = f (0) donc f est continue à droite en 0.
x →0 x →0 x →0 x →0
f (x) − f (0) x − 2x ln(x)
2 2
b) lim + = lim + = lim + x − 2x ln(x) = lim + x − 2 lim + x ln(x) = 0 donc f est dérivable à
x →0 x −0 x →0 x x →0 x →0 x →0
droite en 0 et fd' ( 0 ) = 0 ainsi la courbe (C) admet une demi-tangente horizontale en O.
2) lim f (x) = lim x 2 − 2x 2 ln(x) = lim x 2 (1 − 2 ln(x) ) = −∞
x →+∞ x →+∞ x →+∞
f (x)
2
x (1 − 2ln(x) )
lim = lim = lim x (1 − 2ln(x) ) = −∞ donc la courbe (C) admet une branche infinie
x →+∞ x x →+∞ x x →+∞
( )
parabolique de direction celle de O, j au voisinage de +∞ .
2
3) a) f (x) = x − 2x ln(x) 2
si x ∈ ]0 , + ∞[
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3
4)
1
1
Pour x > 0 , f (x) = 0 ⇔ x 2 − 2x 2 ln(x) = 0 ⇔ x 2 (1 − 2ln(x) ) = 0 ⇔ 1 − 2ln(x) = 0 ⇔ ln(x) =⇔ x = e2 = e
2
( )
Et f ( 0 ) = 0 donc Les abscisses des points d’intersections de la courbe (C) avec l’axe O,i sont x = 0 et x = e
5)
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4
e e e e
b) A ( λ ) = ∫ f (x) dx = ∫ x
2
− 2x 2 ln(x) dx = ∫x
2
dx − 2 ∫x
2
ln(x) dx
λ λ λ λ
e
1 1 1 1 1 1 2 2 1
= x 3 − 2 λ3 − λ 3 ln(λ ) + e e = e e − λ3 − λ 3 + λ 3 ln(λ ) − e e
3 λ 9 3 18 3 3 9 3 9
e
1 1 1 1 1 1 2 2 1
= x 3 − 2 λ3 − λ 3 ln(λ ) + e e = e e − λ3 − λ 3 + λ 3 ln(λ ) − e e
3 λ 9 3 18 3 3 9 3 9
2 2 5
= e e + λ 3 ln(λ ) − λ 3 ( ua )
9 3 9
2 2 5 2 2 5 2
c) lim + A ( λ ) = lim + e e + λ 3 ln(λ ) − λ 3 = e e + lim + λ3 ln(λ ) − λ3 = e e
λ→0 λ→0 9 3 9 9 3 λ→0 9 9
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5
Exercice 1
1) 2) 3) 4)
b a c a
1 1
2n ( n 1) 1
1 2n 2 2n 1
1) lim lim lim 1, car lim n 0.
n 3 2n n n 3 n 3 n 2
2 ( n 1) 1
2 2n
n n
e 1 1 1
2) lim un lim lim 1 0, car 0 1 1.
n n
e n
e e
On a donc pour tout réel positif t, p(X t) e0,2 t . D’où p(X 10) e0,210 e2 0,135...
1
4) Y suit une loi binomiale de paramètres n 8 et p .
3
1 2 16 4
L’écart type (Y) 8 .
3 3 9 3
Exercice 2
1 3 1 3
2) Les points A(a) ; B(b) ; E(1) et F( i) où a i et b ( 1 i).
2 2 2
a) Voir figure.
1 3 i
a i e 3 1, . D’où la construction du point A.
2 2 3
1 3 1 3
b) b a ( 1 i) ( i )
2 2 2
1 3 1 3 1 3
i i
2 2 2 2
3 1 1 3
1 i i(i i ) i(i a) i(a i).
2 2 2 2
Ainsi on a : b a i(a i).
ba
c) b a i(a i) i
ai
ba
arg arg(i) 2
a ( i)
(FA, AB) 2
2
(AF, AB) 2
2
(AF, AB) 2
2
(AB, AF) 2
2
D’où le triangle ABF est rectangle en A.
b a i(a i) b a i(a i)
ba i ai
b a a ( i)
AB AF
Exercice 3
2 1 2
1)a) AB 2 ; AC 0 ; AB AC 2 .
0 1 2
A(2, 0, 1) P 2 2 2 0 2 1 c 0
c 6.
P : 2x 2y 2z 6 0
P : x y z 3 0.
a) 22 02 12 5 A(2,0,1) S ; 0 2 22 12 5 B(0,2,1) S .
12 22 02 5 C(1,2,0) S .
b) Le plan P est déterminé par les points A, B et C. La sphère S passe par ces trois
points. D’où l’intersection de la sphère S avec le plan P est le cercle circonscrit au
triangle ABC.
5 5 5
3) D , , . Q le plan passant D et parallèle au plan P.
3 3 3
a) Le plan Q est parallèle au plan P, d’où une équation cartésienne du plan Q est de la
forme x y z c 0.
5 5 5 5 5 5
D
3
, , Q 3 c 0 c 3 . Ainsi Q : x y z 3 0.
3 3 3 3 3
5
3
3 3 5
d(O,Q) 5 le rayon de la sphère. D’où le plan Q est tangent à la
3 3 3
sphère S.
2 2 2
5 5 5 5 5 5
5. D’où le point D appartient à la sphère S.
3 3 3 3 3 3
2 x 2
a) AB AC 2 ; AM y
2 z 1
(AB AC).AM 2(x 2) 2y 2(z 1) 2 x 2 y 2 z 6.
1 1 x y z 3
V (AB AC).AM 2 x 2 y 2 z 6 .
6 6 3
5
c) Soit M(x, y,z) un point du plan Q. On a x y z 3 0.
3
5 5
x yz3 0 xyz 3
3 3
5
3 3
x y z 3 3 5 5
V 1 1.
3 3 3 3
Exercice 4
f(x) x (1 lnx)2 1 ; si x 0
f la fonction définie sur 0, par
f(0) 1
f(x) x (1 ln x)2 1 1
lim lim lim (1 ln x)2 .
x x x x x x
D’où la courbe (C) admet une branche parabolique de direction l’axe (O, j ).
2)a) lim x ln2 x lim ( x lnx)2 lim ( x ln( x )2 )2
x 0 x 0 x 0
lim x 2 x ln x x ln2 x 1
x 0
a) Le signe de f ' est donné par la position de la courbe Γ par rapport à l’axe des
abscisses. On a :
1
x 0 e +∞
e
f 'x + 0 0 +
Le tableau de variation de f :
1 1 1 4
f( ) (1 ln( ))2 1 1
e e e e
b) On remarque que la courbe Γ de f ' admet une tangente horizontale au point
d’abscisse 1. Donc f '' s’annule en 1.
D’après la courbe Γ la fonction f ' est décroissante dans 0, 1 et croissante dans
1, , donc f '' change de signe de part et d’autre de 1.
A l’aire de la partie du plan limitée par la courbe Γ de la fonction dérivée f ' , l’axe des
1
abscisses et les droites d’équations x et x .
e
1 1
1 4
A e f '(x) dx f(x)e f( ) f( ) 1 f( ).
e e
4 4 4
lim A lim 1 f( ) 1 1 ; car limf( ) 1.
0 0 e e e 0
Exercice 1 : ( 3 points)
1
2n n 1
1 2n 2 1
1) b) en effet lim lim
n 3 2 n n n 3
2 n 1
2
n
e 1 e 1
2) a) en effet lim 0 car 0,1
n e e
3) c) en effet p X 10 e 0,210 0,14
1 2 16 4
4) a) en effet Y 8
3 3 9 3
Exercice 2 : ( 5 points )
1) a) (E) : 2z 2 1 i
3 2 z 3 i
2
2 i 1 i 32 i 3 i 2 i 3 2 3 i 0 donc (i) est une solution de (E).
b) soit z1 et z 2 les solutions de (E). on a z1 i et
3 i 3 i 3 i 3 1 1 3
z1z 2 iz 2 z2 i
2 2 2i 2i 2 2 2
i 1 3 i
c) z1 i e 2 et z 2 i cos i sin e 3
2 2 3 3
1 i 3 1 3
2) z A a , zB b 1 i , z E 1 et z F i
2 2
1 i 3 i
a) a e 3
2
1 3 1 i 3 1 3 1 3 1 3 3 1 3 3 3 1
b) b a 1 i i i 1 ii i 1 i
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2
1 3
i a i ia 1 i 1 d’où b a i a i
2 2
ba z zA z
c) b a i a i i B i ainsi AB i donc AB FA ainsi ABF est rectangle en A
a i zA zF
z FA
zB zA z zA
i B 1 AB FA donc ABF est isocèle en A. Par le triangle AFB est rectangle et isocèle
zA zF zA zF
en A
z zA z z A
3) ABF est un triangle rectangle et isocèle en A et B
zA zF
i arg B
z A z F 2 2
2 FA , AB 2
Donc AF , AB 2
2
Proposé par : Mr Abderrazek Berrezig Lycée Assad Ibn Alfourat Oued Ellil
1
Exercice 3 : ( 6 points )
2 1 2
1) a) AB 2 et AC 2 donc AB AC 2
0 1 2
b) AB AC 0 donc AB et AC ne sont pas colinéaires et par suite les points A, B et C non alignés donc ils
2
cteur normal AB AC 2
déterminent un plan P de vecteur
2
2) S : x 2 y 2 z 2 5
Proposé par : Mr Abderrazek Berrezig Lycée Assad Ibn Alfourat Oued Ellil
2
0 0 0 15 15
d(O, Q) 5 donc Q est tangent à S
1 1 1
2 2 2 3
5 5
Montrons que D
5
, , S
3 3 3
5 2 5 2 5 2 5 5 5 15
S : 5 donc D S
3 3 3 3 3 3 3
x y z3 15 3 15 3 15 5
Ainsi V 1 1
3 3 3 3 3
Exercice 4 : ( 6 points )
2
f x x 1 ln x si x 0
Soit f la fonction définie sur 0 , par f 0 1
2
2 f x 1 x 1 ln x 1 2
1) lim f x lim x 1 ln x 1 et lim lim lim 1 ln x
x x x x x
x x x
donc la courbe de f admet au voisinage de , une branche infinie parabolique de direction celle de O, j
2
2) a) lim x ln 2 x lim
x 0 x 0
x ln x 0
x 0 x 0
2
x 0
b) lim f (x) lim x 1 ln x 1 lim x 1 2ln x ln 2 x 1 lim x 2x ln x x ln 2 x 1 1 f (0)
x 0
courbe de f admet une demi-tangent verticale dirigée vers le haut au point d’abscisse 0.
3) a)
1
x 0 e
e
f '(x) + 0 0 +
4
1
f (x) e
1 1
Proposé par : Mr Abderrazek Berrezig Lycée Assad Ibn Alfourat Oued Ellil
3
b) la fonction f’ est dérivable sur 0, de plus la courbe de f’ admet au point B(1,-1) une tangente
horizontale donc f '' 1 0
1
x 1 e
e
f '(x)
-1
f ''(x) + 0
Ainsi le point A (1 ,2 ) est un point d’inflexion de la courbe
4)
1
e 1
1 4
5) A f ' x dx f (x) e f f 1 f
e e
4 4 4
lim A lim 1 f 1 1
0 0 e e e
Proposé par : Mr Abderrazek Berrezig Lycée Assad Ibn Alfourat Oued Ellil
4
REPUBLIQUE TUNISIENNE
MINISTERE DE L’EDUCATION Epreuve : MATHEMATIQUES
EXAMEN DU BACCALAUREAT Durée : 3 H
SESSION DE JUIN 2014 Coefficient : 3
Exercice 1 (3 points)
Pour chacune des questions suivantes, une seule des trois réponses proposées est exacte.
Le candidat indiquera sur sa copie le numéro de la question et la lettre correspondant à la réponse choisie. Aucune
justification n’est demandée.
Une réponse correcte vaut 0.75, une réponse fausse ou l’absence d’une réponse vaut 0 point.
1/1
1) Calculer g(0).
2) Déterminer le signe de g(x), pour x .
II) Soit la fonction f définie sur par : f (x) (x 2)e x x 2 et on désigne par (C)
sa courbe représentative dans un repère orthonormé (O,i, j).
1) a- Calculer lim f (x) .
x
f (x)
b- Montrer que lim . Interpréter graphiquement le résultat.
x x
c- Montrer que la droite : y x 2 est une asymptote à la courbe (C) au
voisinage de ().
d- Étudier la position relative de (C) et .
2) a- Calculer f '(x) et vérifier que pour tout réel x ; f '(x) e x g(x) .
b- Dresser le tableau de variation de f.
3) a- Montrer que O est un point d’inflexion à la courbe (C).
b- Tracer la droite et la courbe (C) dans le repère (O,i, j).
2/2
Exercice 4 ( 5 points)
Pour contrôler la qualité de son produit, une usine de fabrication de machines effectue deux tests.
Le premier test pour vérifier la partie électrique et le deuxième test pour vérifier la partie
mécanique du produit. Les deux tests sont faits indépendamment l’un de l’autre.
On constate que :
81 % des machines n’ont aucun défaut.
10 % des machines ont un défaut électrique.
Parmi les machines ayant un défaut électrique, 30 % ne présentent pas de défaut mécanique.
On note les événements suivants:
E : « la machine présente un défaut électrique »
M : « la machine présente un défaut mécanique »
1) a- Déterminer p(E) et p(E M) .
3/3
Exercice 1
1) 2) 3) 4)
a b b c
1) Le point I appartient au plan (EFB), qui est parallèle au plan (HGC), d’où la distance du
point I au plan (HGC) est la longueur de l’arête du cube. C'est-à-dire la distance du
point I au plan (HGC) est égale à 1.
1
2) S la sphère de centre I et de rayon .
2
1
La distance du point I au plan (EFH) est égale à , rayon de la sphère, donc la sphère
2
est tangente au plan (EFH). Par suite l’intersection de cette sphère avec le plan (EFH)
est un seul point.
Le côté DC du cube est parallèle au côté EF, donc le vecteur DC n’est pas normal
au plan (EFD). D’où FD FE DC.
On peut remarquer que le vecteur FD FE est orthogonal à chacun des deux vecteurs
FD et FE. Graphiquement, on peut voir que le vecteur BF n’est pas orthogonal au
vecteur FD. On peut confirmer cela par le calcul :
BF.FD BF. FG GD BF.FG BF.GD 0 CG.GD 0. Donc FD FE BF.
Ainsi FD FE AH.
Exercice 2
22 2( 2 2 i 2) 2( 2 i 2) 4 2 2 4 2i 2 2 2 2i 2 0.
2 z2 2 2 i 2 z2 2 i 2.
2.z2 2( 2 i 2 ) z2 2 i 2.
a) Voir la figure.
OA z A 2 ; OB zB 2 ; BC zC zB 2 zB zB 2 2
et AC zC z A 2 zB 2 zB 2.
i i
i 8 i
i
i
i
i i
i i
i0
i
i
c) e 8 e 8 e e 8
.e 8
e 8
.e 8
e 8 8
e 8 8
e e 4
1 e 4
.
i
i i
i 8
D’où 1 e 4 e 8 e 8 e .
i
i
i i i
i i
d) zC 2 zB 2 2 e 4 2 1 e 4 2 e 8 e 8 e 8 2 2 cos e 8 4 cos e 8 .
8 8
i 8
e) z C 4cos e 4cos isin 4cos 2
8
cos 4i cos sin .
8 8 8 8 8 8
D’autre part zC 2 zB 2 2 i 2.
Par identification des deux parties réelles on obtient : 4cos 2 2 2.
8
2 2
4 cos2 2 2 cos2
8 8 4
1 4
2 2 2
cos
8
4
1 tan2
8 2 2
4
tan2 1
8 2 2
4 (2 2) 2 2 (2 2 )2 62 2
3 2.
2 2 2 2 (2 2 )(2 2) 2
tan2 3 2 ( 2 1)2 ; d' où tan 2 1 car on sait que tan 0.
8 8 8
Exercice 3
Le tableau de variation de g :
1) g(0) e0 0 1 0.
f(x) (x 2)e x x 2 2 2
b) lim lim lim (1 )e x 1 .
x x x x x x x
f(x)
lim , d’où la courbe (C) de f admet une branche parabolique de direction
x x
l’axe des ordonnées au voisinage de ( ).
c) La droite : y x 2.
f(x) (x 2) (x 2) e x .
lim f(x) (x 2) lim (x 2) e x
x x
lim x e x 2 e x
x
x 1 ex
lim 2 e x lim 2 e x
0 ; car lim .
x e x x e x x x
x
3)a) f '(x) x e x e x 1 ; x .
f ''(x) e x x e x e x x e x ; x .
f '' s’annule en changeant de signe en 0, d’où le point O est un point d’inflexion pour la
courbe (C).
b) Voir la figure.
4) Soit λ un réel strictement supérieur à (-2).
A( ) l’aire de la partie du plan limitée par la courbe (C), la droite Δ et les droites
d’équations x 2 et x .
a) A( ) (f(x) (x 2))dx (x 2)e x dx.
2 2
Exercice 4
p(E M) 0,81
p(M / E) 0,9.
p(E) 0,9
D’après l’énoncé, parmi les machines ayant un défaut électrique, 30% ne présentent
pas de défaut mécanique. Autrement dit, parmi les machines ayant un défaut
70
électrique 70% ont aussi un défaut mécanique. D’où p(E M) 0,7.
100
Par suite p p(E M) p(E) p(M) p(E M) 0,1 0,16 0,7 0,19.
Exercice 2
b) (E) : z2 2( 3 i) z 4i 3 0.
On calcule le discriminant :
2
2 ( 3 i) 4 (4i 3) 4(3 2i 3 1) 16i 3
8 8i 3
(2 3 2i)2
2 ( 3 i) (2 3 2i)
z1 2 3
2
2 ( 3 i) (2 3 2i)
z2 2i
2
S 2 3 ; 2i .
2) Le plan est muni d’un repère orthonormé direct (O,u, v ). A et B les points d’affixes
respectives z A 2 3 et z B 3 3i.
a) Pour montrer que le triangle OAB est isocèle en O, il suffit de vérifier que OA OB.
OA z A 2 3 2 3 ; OB z B 3 3i ( 3) 2 32 12 2 3.
z 3
zB B zB
zB zD 2 2 3 zB
a)
zA zC 2 3 2i 2 3 2i 4 3 i
3 3 3i 3 ( 3 3i)( 3 i)
4 3 i 4 ( 3 i)( 3 i)
3 ( 3 3i)( 3 i) 3 3 3i 3 i 3 3 3 3
i.
4 ( 3 i)( 3 i) 4 4 4
zB zD
Le nombre complexe est un imaginaire pur, donc les vecteurs DB et AC sont
zA zC
orthogonaux. Par suite les droites BD et AC sont perpendiculaires.
zB 3 3 3 3 3 3
b) Aff (AD) z D z A ( 2 3) i2 3 i ( 3 i).
2 2 2 2 2 2
Aff (AC) z C z A 2i (2 3) 2i 2 3 2( 3 i).
3
( 3 i)
Aff (AD) 2 3
On a : .
Aff (AC) 2( 3 i) 4
D’où les vecteurs AC et AC sont colinéaires et par conséquent les points A, D et C sont
alignés.
base hauteur
d) On sait que l’aire d’un triangle est , la hauteur est associée au côté considéré
2
comme base. L’aire du triangle ABC est :
3
2 3 2i z B
base hauteur AC BD z C z A z D z B 2
2 2 2 2
3 3
3 i z B 2 12 6 3 unité d'aire.
2 2
Exercice 3
u0 0
La suite u est définie sur ℕ par : 2
u n 1 2 2 u ; n
n
2 2 (2 2 u n ) u n
u n 1 u n un
2 2 un 2 2 un
2
u2 2 2 un 2 un 2
n .
2 2 un 2 2 un
2
On a u n 2 d 'où 2 2 u n 0 et u n 2 0, par conséquent u n 1 u n 0.
La suite est croissante et elle est majorée, donc elle est convergente.
Soit l la limite de la suite u.
On peut remarquer que la suite u est positive et majorée par 2 , donc
2
On a pour tout n , u n 1 f (u n ), où f est la fonction définie sur 0, 2 par f (x) .
2 2x
La fonction f est continue sur 0, 2 et la suite u converge vers l, donc f (l) l .
2
f (l) l l
2 2 l
l(2 2 l) 2
2l 2 l 2 2 0
l 2 2l 2 2 0
2
l 2 0 l 2.
2 2 un un un
b) Soit n , v n 1 1 1 vn .
2 un 2 un 2 un
n 2 n un un
n 2 (n 1)u n
n 2
un
n 1
n 2
Ainsi u n , pour tout n .
n 1
3) Soit n * , Wn ln(u n ) et Sn W1 W2 ... Wn .
a) Sn W1 W2 ... W
ln(u1 ) ln(u 2 ) ln(u 3 ) ... ln(u n )
2 2 2 3 2 (n 1) 2 n 2
ln( ) ln( ) ln( ) ... ln( ) ln( )
2 3 4 n n 1
2 2 2 3 2 (n 1) 2 n 2
ln ...
2 3 4 n n 1
ln
2 n
n ln 2 ln(n 1) 1 n ln 2 ln(n 1)
n 1
2
1
lnn(1 )
Sn 1 ln(n 1) 1 n
b) lim lim ln 2 lim ln 2
n n n 2 n n 2 n
1
ln(n) ln(1 )
1 n
lim ln 2
n 2 n
1
ln(1 )
1 ln(n) n 1 ln 2.
lim ln 2
n 2 n n 2
Exercice 4
Soit f la fonction définie sur 1, par f (x) 2 x x ln(x 1). Cf sa courbe représentative
dans un repère orthonormé (O,i, j ).
1)a) lim f (x) lim 2 x x ln(x 1) ; car lim ln(x 1) .
x ( 1) x ( 1) x ( 1)
b) lim f (x) lim 2 x x ln(x 1) lim x 2 ln(x 1) , car lim ln(x 1)
x x x x
f (x)
lim lim 2 ln(x 1) .
x x x
1 x
f '(x) 2 ln(x 1) x 2 ln(x 1)
x 1 x 1
2(x 1) x x2
ln(x 1) ln(x 1).
x 1 x 1
b) Le tableau de variation de la fonction f ' dérivée de f est :
c) Le tableau de variation de f :
2 2
3)a) f '() 0 ln( 1) 0 ln( 1) .
1 1
2
f ( ) 2 ln( 1) 2
1
2 ( 1) ( 2) 2 2 2 2 2
2
g( ).
1 1 1
b) Voir figure.
4)a) f (x) 2 x x ln(x 1), x 1, .
f (x) 0 2 x x ln(x 1) 0
x 2 ln(x 1) 0
x 0 ou ln(x 1) 2
x 0 ou x 1 e2
x 0 ou x e2 1.
Les points d’intersection de la courbe Cf et l’axe des abscisses sont O et le point de
coordonnées ( e 2 1 , 0).
b) Voir figure.
x 2 1 x 2 1 (1 x)(1 x) 1 1
5)a) Soit x 1 ; g(x) 1 x .
x 1 x 1 x 1 x 1
1
b) g(x) dx 1 x dx
0 0
x 1
1 1 1 2
x x 2 ln(x 1) 2 ln( 1) 2 .
2 0 2 2 1
c) 0
x ln(1 x) dx ?
1
On pose u(x) ln(1 x) u '(x)
1 x
1
v '(x) x v(x) x 2
2
Par une intégration par parties on a :
1 1 x 2 1 1
0
x ln(1 x) dx x 2 ln(1 x)
2 0 2 0 1 x
dx 2 ln(1 ) g(x) dx.
2 2 0
d) A l’aire de la partie du plan limitée par Cf , l’axe des abscisses et les droites d’équations
x 0 et x .
A f (x) dx 2 x x ln(1 x) dx
0 0
2 x dx x ln(1 x) dx
0 0
1 1
x 2 2 ln(1 ) g(x) dx
0 2 2 0
1 2 1 1 2
2 2 2
2 1 2 2 1
3 1 1 2 1 2
2 2
4 2 2 1 2 1
3 1 1 2
2 ( 2 1)
4 2 2 1
3 ( 1) 2( 1) 2( 2 1)( 2) 3 3 2 4
2
4( 1) 4( 1)
Exercice 2
L’espace est muni d’un repère orthonormé direct. Les points A(4, 0, 0) ; B(0, 4, 0) et C(0, 0, 4).
4 4 16
1)a) AB 4 ; AC 0
AB AC 16 .
0 4 16
P : 16 x 16 y 16 z 48 0. Ainsi P : x y z 4 0.
1 1 1
c) L’aire du triangle ABC est égale à AB AC 162 162 162 3 162 8 3 .
2 2 2
8 4 4
3 3 3
2)a) G( , , ) ; GA ; GB
8
; GC . Il est clair que GA GB GC 0.
4 4 4 4 4
3 3 3 3 3 3
4
4 8
3 3 3
D’où G est le centre de gravité du triangle ABC.
4
3
1
4
b) Le vecteur OG est colinéaire au vecteur n 1 normal au plan P, or le plan P est le
3
1
4
3
plan (ABC). Donc la droite (OG) est perpendiculaire au plan (ABC) en G.
Ainsi OG est la hauteur issue de O du tétraèdre OABC.
1 1 1 1
KI KJ BA CA BA CA AB AC.
2 2 4 4
On peut remarquer que G est aussi le centre de gravité du triangle IJK et que OG est la
hauteur issue de O du tétraèdre OIJK.
1
V (aire du triangle ABC) OG
3
1
4 aire du triangle IJK OG 4 V '
3
1
D 'où V ' V.
4
Exercice 3
Soit f la fonction définie sur ℝ par f (x) (1 x) ex .
1)a) lim f (x) lim (1 x) e x .
x x
f (x) (1 x) e x 1
b) lim lim lim ( 1) e x .
x x x x x x
f (x)
On a lim f (x) et lim , d’où la courbe (C) de la fonction f admet une
x x x
Le tableau de variation de f :
c)
3)a) ex f (x) f '(x) f (x) e x f '(x) f (x) e x x e x f (x) (1 x) e x f (x) f(x) f(x) f (x) .
2
1
b) Soit H la fonction définie sur ℝ par H(x) (3 2x) e 2x .
4
La fonction H est dérivable sur .
1 1
H '(x) (3 2x) 'e 2x (3 2x) 2 e 2x
4 4
1 2x 1
e (3 2x) e 2x
2 2
e x e e x (1 x) e x e x f (x).
2x 2x
0 0
1
1 2
H(x) f (x)
2 0
1 1 2
H(1) f (1) H(0) f (0)
2
2 2
1 3 1
e 2 (e 2 5) unité de volume.
4 4 2 4
Exercice 4
Le plan est muni d’un repère orthonormé direct (O,u, v ). A, B et C les points d’affixes
respectives z A 1 i 3 , z B 3 i et z C z B .
1 3 i
2
1)a) z A 1 i 3 2 i 2e 3 .
2 2
3 1 i
z B 3 i 2 i 2 e 6 .
2 2
7
i i i( ) i
z C z B 2 e 6 2 ei e 6 2 e 6
2e 6
.
2 7
i i i
b) OA z A 2 e 3
2 ; OB z B 2 e 6 2 ; OC z C 2 e 6
2.
2)a) On a zC zB d 'où O est le milieu du segment BC. D’autre part, les points B et C sont sur
le cercle de centre O, donc BC est un diamètre de ce cercle.
A appartient au cercle de diamètre BC d’où BAC est un angle droit et par conséquent le
triangle ABC est rectangle en A.
AB AC
b) L’aire du triangle BAC est égale à .
2
AB z B z A 3 i ( 1 i 3)
3 1 i(1 3) ( 3 1) 2 (1 3) 2 4 2 3 4 2 3 8 2 2
AC z C z A 3 i (1 i 3)
3 1 i(1 3) ( 3 1) 2 (1 3) 2 4 2 3 4 2 3 8 2 2
AB AC 2 2 2 2
L’aire du triangle BAC est égale à 4 unité d'aire.
2 2
Autrement (moins de calcul):
2
On peut remarquer que BOA est un angle droit (une mesure de BOA ), d’où
3 6 2
OA est la hauteur issue de A du triangle ABC.
BC OA 4 2
L’aire du triangle ABC est donc, 4 unité d'aire.
2 2
7
3) M est un point du plan, z M 2 ei , avec , . S l’aire du triangle MBC.
6 6
a) OM z M 2 ei 2, d’où le point M appartient au cercle .
On a M appartient au cercle de diamètre BC , d’où MBC est un triangle rectangle en M.
MB MC z B z M z C z M z z M z B z M
b) S B
2 2 2
2
i 6
2e 2e
i 2 i
4 e 3 4 e 2i
z B z M z B z M z 2B z M
2
i
2 e 2i e 3 .
2 2 2 2
i( )
i( )
i( )
i( )
i( )
i( )
i( )
c) e 6
e
6
e 6
e
6
.e 6
e 6
.e 6
i( ) i( ) i( ) i( ) i
e 6 6
e 6 6
ei2 e 3 .
i
i( ) i( 6 ) i( )
i( )
i( )
i( )
i( )
i( )
d) S 2 e 2i e 3 2 e 6
e e 6
2 e
6
e 6 e 6
2 e 6 e 6
i( ) i( )
D’autre part les nombres complexes e 6
et e 6
sont des conjugués, d’où
i( ) i( ) i( ) i( )
e 6
e 6
2i sin( ). Ainsi S 2 e 6
e 6
2 2i sin( ) 4 sin( ) .
6 6 6
7
4) S 4 sin( ) , , .
6 6 6
S est maximale sin( ) 1
6
7
; , , donc 0,
6 2 6 6 6
2
.
6 2 3
Exercice 1
1)a) A(1, 0, 2) ; B( 2, 1, 1) et C(0, 0, 1).
3 1 1
AB 1 ; AC 0 ; AB AC 0 .
3 1 1
1 1
2) I(1, 1, 1) et J( , 1, ) , ∆ la droite passant par I et perpendiculaire au plan P.
2 2
1 1 1 1
a) P : x z 1 0. J( , 1, ) P, car 1 0.
2 2 2 2
3
2 1
3
IJ 0 ; AB AC 0 on a IJ AB AC.
2
3 1
2
Le vecteur IJ est colinéaire au vecteur AB AC qui est normal au plan P, d’où IJ est
normal au plan P, donc il est un vecteur directeur de la droite ∆.
1 1 1 3
b) d(I, P) R, d’où le plan P coupe la sphère S suivant un cercle (C) de
2 2
2
2 3 9 1 1
rayon r R2 d2 5 5 .
2 2 2 2
3
D’autre part IJ d(I, P), d’où J est le projeté orthogonal du centre I de la sphère S
2
sur le plan P. Par conséquent J est le centre du cercle (C).
1
Ainsi P coupe la sphère suivant le cercle (C) de centre J et de rayon r .
2
2 2 2
a) S : x 1 y 1 z 1 5. N(1 cos θ, 1 sinθ, 3).
2 2 2
1 cos θ 1 1 sinθ 1 3 1 cos2 θ sin2 θ 4 5.
D'où N S.
1 cosθ
c) AB AC 0 ; AN 1 sinθ ; AB AC .AN cosθ 5 5 cosθ.
1 5
b) (E) : z 2 (1 i 3)z 2 2i 3 0
Δ (1 i 3) 2
4 ( 2 2i 3 )
2
1 2i 3 (i 3 ) 8 8i 3
1 2i 3 3 8 8i 3
6 6i 3 (3 i 3 )2 ; δ 3 i 3
1 i 3 3 i 3 1 i 3 3 i 3
z1 2 ; z2 1 i 3.
2 2
S 2, 1 i 3 .
d)
3)a) b 1 i 3 ; c b 1 i 3
c b
c b 2i 3 i 3
2
2 1 3
i .
c b i 3 3
c 1 i 3 1 i 3 3 i 3 3 i 3 3i 3 3 4i 3 i 3
2 2
.
b 2 3 i 3 3 i 3 3 i 3 3 3 12 3
c 2 i 3
Ainsi .
b 2 c b 3
c 2 i 3 c 2 i 3
b) arg arg arg 2π
b 2 c b 3 b 2 c b 3
c 2 π
arg arg 2π
b 2 c b 2
π
AB , OC BC , OA 2π .
2
π
AB , OC 2π , d’où O appartient à la hauteur issue de C du triangle ABC.
2
π
BC , OA 2π , d’où O appartient à la hauteur issue de A du triangle ABC.
2
O est donc l’orthocentre du triangle ABC.
Exercice 3
f(x) (x 1)e1 x
; x IR.
f(x) x 1 1 1 1
b) lim lim e1 x
lim 1 e x
, car lim 0 et lim e1 x
.
x x x x x x x x x
f(x)
lim , d’où la courbe (C) de f admet une branche parabolique de direction l’axe
x x
des ordonnées au voisinage de (-∞).
lim f(x) 0, d’où la courbe (C) admet l’axe des abscisses comme asymptotes au
x
f '(x) (x 1)' e1 x
(x 1)(e1 x )'
e1 x
(x 1)e1 x
x e1 x
; x IR.
b) f '(x) x e1 x
; x IR.
f '(x) 0 x 0.
3)a) f '(x) x e1 x
; x IR.
x '
f ''(x) x e1 e1 x
x e1 x
(x 1)e1 x
; x IR.
f ''(x) 0 (x 1)e1 x
0
x 1 0
x 1
4) La courbe (C).
α
5) Soit α 1; I(α) f(x) dx.
1
α
a) I(α) f(x) dx est l’aire de la partie du plan limitée par la courbe (C), l’axe des abscisses
1
x α x α
f '(x) 2 e1 x e1 x
2 e1
1 1
1 x α α
(x 2)e (α 2)e1 e2 .
1
lim I(α) e2 est l’aire de la partie du plan limitée par la courbe (C), l’axe des abscisses et la
α
droite d’équation x 1.
Exercice 4
1) La courbe (Γ) est celle de la fonction f définie sur 0, par f(x) x ln(1 x 2 ).
On peut remarquer que la courbe de f est au-dessous de l’axe des abscisses, donc
f(x) 0, pour tout x 0, x ln(1 x 2 ) 0, pour tout x 0,
ln(1 x2 ) x, pour tout x 0,
3
U0
2
2) (Un ) :
1
Un 1 ln(1 Un2 ), n IN
2
3
U0 0, d’où l’inégalité est vérifiée pour n 0. .
2
Soit n IN. Supposons que l’inégalité est vraie pour n, c'est-à-dire Un 0.
Montrons que l’inégalité est vraie pour n 1.
Un 0 1 Un2 1
ln 1 Un2 ln(1)
1
ln 1 Un2 0
2
Un 1 0.
D’où l’inégalité est vraie pour n 1.
D’après le principe de raisonnement par récurrence l’inégalité est vraie pour
pour tout n IN. Ainsi Un 0, pour tout n IN.
1 1
ln(1 Un2 ) Un ln(1 Un2 ) Un
2 2
1
Un 1 Un
2
1
Ainsi Un 1 Un ; pour tout n IN.
2
1
c) On a Un 1 Un ; pour tout n IN.
2
1
U1 U0
2
1
U2 U1
2
. .
. . Par itération, multiplication et simplification.
1
Un 1 Un 2
2
1
Un Un 1
2
n
1
Un U0
2
On peut remarquer que cela est possible puisque tous les termes sont strictement
positifs.
n
3 1
D’où on a Un ; pour tout n IN.
2 2
n
3 1
d) D’après ce qui précède on a 0 Un ; pour tout n IN.
2 2
n
3 1
lim 0, d’où limUn 0.
n 2 2 n
a) Sn 1 Sn U0 U1 ... Un Un 1 U0 U1 ... Un Un 1 0.
D'où Sn 1 Sn pour tout n IN.
3
U0
2
3 1
U1
2 2
. .
. . Par itération et addition
n 1
3 1
Un 1
2 2
n
3 1
Un
2 2
n 1 n
3 1 1 1
Sn 1 ...
2 2 2 2
n 1
1
n 1 n 1 n 1 n
1 1 1 2 1 1
D’autre part on a 1 ... 2 1 2
2 2 2 1 2 2
1
2
n 1 n
3 1 1 1
Par suite Sn 1 ...
2 2 2 2
n n
3 1 3 1
2 3
2 2 2 2
n
3 1
Ainsi Sn 3 ; pour tout n IN.
2 2
n n
3 1 3 1
c) On a Sn 3 ; pour tout n IN. Or 3 3, d'où Sn 3 ; pour tout n IN.
2 2 2 2
Exercice 1
Question 1) 2) 3) 4)
Réponse c a a b
1) AB AE 2i 4k 8 i k 8j
2) La droite (BD) est parallèle à la droite (FH) du plan (FHC), d’où elle est parallèle à ce plan.
La droite (BD) est strictement parallèle au plan (FHC) car D n’appartient pas à ce plan
3) BC, AB, EG BC AB .EG
3 j 2 i . EH HG 6 j i . 3j 2i
6k. 3 j 2i 18 k. j 12 k.i 0
4) On peut remarquer que le plan Q n’est autre que le plan (GHD) et que D est le projeté
orthogonal de A sur ce plan, aussi que AD 3. Ainsi l’intersection de la sphère S avec le
plan Q est le cercle de centre D et de rayon 42 32 7.
Exercice 2
4 2i 4 2 3 2 3 2i 0.
b) On a la somme des deux solutions est 1 i(2 3) 2i 1 i 3. D’où l’autre solution est
1 i 3.
1 3 2
zA 1 i 3 ; zB 2i et zI i .
2 2
π π
1 3 i i
a) z A 1 i 3 2 i 2e3 ; zB 2i 2 e 2 .
2 2
1 3 2
c) z A 1 i 3 ; zB 2i et zI i .
2 2
zA zB 1 i 3 2i 1 3 2
i zI. D'où I est lemilieu du segment [AB].
2 2 2 2
d)
3)a) Le triangle AOB est isocèle en O puisque les points A et B sont sur le cercle (C), I est le
milieu du côté [AB], d’où [OI) est la bissectrice de l’angle AOB .
b) OA , OB OA , u u , OB 2kπ ; k
OA , u u , OB 2kπ
π π
2kπ
3 2
π
2kπ ; ; k .
6
c) u , OI u , OA OA , OI 2kπ ; k
π π π
2kπ, OI est la bis sec trice de AOB donc OA , OI 2kπ
3 12 12
5π
2kπ ; k
12
1 3 2
d) On a zI i .
2 2
2 2
1 3 2 1 3 2 1 7 4 3 8 4 3
zI i 2 3.
2 2 2 2 4 4 4
5π
D’autre part arg(zI ) u , OI 2kπ 2kπ ; k .
12
5π
i
D’où zI 2 3 e 12 .
5π
i 1 3 2
4) zI 2 3 e 12 i
2 2
5π 5π 1 3 2
2 3 cos i sin i
12 12 2 2
5π 5π 1 3 2
cos i sin i
12 12 2 2 3 2 2 3
5π 1
cos
12 2 2 3
5π 3 2 2 3
sin
12 2 2 3 2
Exercice 3
f(x) x 2 x ln x si x 0,
Soit f la fonction définie sur 0, par
f(0) 0
f(x) x 2 x ln x
b) lim lim lim 1 2 ln x .
x x x x x
f(x)
lim , d’où la courbe (C) de f admet une branche parabolique de direction l’axe
x x
des ordonnées.
1
c) f( e) e 2 e ln( e) e 2 e e e 0.
2
f(x) x; x 0, x 2 x ln x x ; x 0
2x 2 x ln x 0 ; x 0
2x 1 ln x 0 ; x 0
1 ln x 0
x e
a) g est continue et strictement croissante sur e, , d’où elle réalise une bijection de
b) Voir graphique.
5)a) On peut remarquer que (E') (E) (E1 ) , où (E1) est le symétrique de la partie (E) par
rapport à ∆, forme la partie limitée par le carré de côté e. Si on exprime cette relation par les
aires on obtient :
1
On pose : u(x) lnx u'(x)
x
1 2
v '(x) x v(x) x
2
e e
e 1 2 1 e 1 2 1 2 1 1 2
(x ln x) dx x lnx x dx e ln e e ln e x
e 2 e 2 e 2 2 2 2 e
1 2 1 1 2 1 2
e e (e e) e .
2 4 4 4
e 1 2 1 2 1 2
c) On a A (x ln x) dx e et A ' e2 2 A, d'où A ' e2 e e u.a
e 4 2 2
Le graphique :
Exercice 4
1) On a les évènements suivants :
F « le relevé de notes choisi est celui d’une fille ».
R « le relevé de notes choisi est celui d’un élève admis avec rachat ».
60 6
60% des élèves admis sont des filles, donc p(F) 0,6.
100 10
30 3
30% parmi les filles admises sont rachetées, donc p(R/ F) 0,3.
100 10
45
45% parmi les garçons admis sont rachetés, donc p(R/ F) 0,45.
100
3)a) Soit p la probabilité que le relevé de notes choisi soit d’un garçon admis sans rachat.
b) p(R) p(F).p(R / F) p(F).p(R / F) 0,6 0,3 0,4 0,45 0,18 0,18 0,36.
c) Le relevé de notes choisi est celui d’un élève admis avec rachat, la probabilité que ce
relevé de notes soit celui d’un garçon est
p(F R) p(F).p(R / F) 0,4 0,45 0,18 1
p(F / R) .
p(R) p(R) 0,36 0,36 2
4) On se ramène à un tirage successif et avec remise de 20 relevés. La situation peut se
ramener à une loi binomiale X de paramètre 20 et 0,36.
On a p(X k) Ck20 (0,36)k (0,64)20 k ; k 0, 1, 2,...,20 .
a) p1 la probabilité que deux exactement de ces élèves soient admis avec rachat.
2
p1 p(X 2) C20 (0,36)2 (0,64)18 190 (0,36)2 (0,64)18 .
b) p2 la probabilité qu’au moins un de ces élèves soient admis avec rachat.
p2 p(X 2) 1 p(X 0) 1 0,64)20 .
Exercice 1 :
De quoi s’agit -il ?
* Résolution d’une équation du second degré dans IC
* Recherche d’ensembles de points.
* Complexe et géométrie.
=1-4i
2 2
1) a) 1-2i 2 =1-2×1×2i 2 + 2i 2 2 -4×2=1-4i 2 8 7 4i 2
2
b) Δ =12 -4×1× 2 +i 2 =1-8-4i 2 = -7 -4i 2 = -2i 2 ; S=1-2i 2
z'=
1- 1- 2i 2 = -2 + 2i 2
= -1+i 2
2 2
z"=
-1+ 1- 2i 2 = -2i
= -i 2
2
2 2
S -1+i 2 ; -i 2
zCA zA - zC -i 2 -i 2 -2i 2
2) = = = = 2i 2
zCB z B - z C -1+i 2 -i 2 -1
z CA
Donc i IR CA CB , donc ABC est un triangle rectangle en C, ainsi C AB .
z CB
3) a) z'=
z +1-i 2 z - -1+i 2 z
= BM
=
z +i 2 z- i 2 z AM
z BM
Donc z' iIR iIR BM AM
z AM
Ainsi M [AB]
z BM
b) z' 1 BM 1 =1 MA = MB.
z AM AM
Ainsi M med [AB] = .
1 1 1 1 1 1
2 - + i +1-i 2 2 + +i - 2 i 2 - +i + 2
z E +1-i 2 2 2 2 2 2 2
4) a) z E' = = = = -i
z E +i 2 1 1 1 1 1 1
2 - + i +i 2 2 - +i + 2 2 - +i + 2
2 2 2 2 2 2
b) D’après 3) a) zE’ = -i iIR E’
D’après 3) b) |zE’| = 1 E’ donc E’
* Le deuxième point E1' est le symétrique de E’
z A + z B z E' + z E1'
= ZE' = z A + z B - z E'
2 2 1
1 1
Donc z E' = - 2 - - i Ainsi ζ = E';E1'
1
2 2
Exercice 2 :
De quoi s’agit -il ?
* Produit vectoriel
* Plan défini par trois points non alignés
*Equations (cartésienne et paramétriques) de plans – Positions relatives de 2 plans
* Equation réduite d’une sphère –Position relative d’une sphère et d’un plan
* Intersection de 3 plans.
1 0
1) a) AB 2 et AC 1
0 1
2 1 1 0 1 0
Donc AC AC i- j+ k = 2i - j + k
0 1 0 1 2 1
2
Ainsi AB AC -1
1
2
b) AC AC 1 0 donc AB et AC ne sont pas colinéaires, d’où A, B et C ne sont pas
1
alignés, ainsi A, B et C définissent un plan P.
c) * 2 0 – (-1) + 0 – 1 = 0 donc A P
* 2 1 – 1 + 0 – 1 = 0 donc B P ainsi (AB) = P
* 2 0 – 0 + 1 – 1 = 0 donc C P
Autrement
2
* AB AC -1 est un vecteur normal de P donc P : 2x – y + z + d = 0
1
Or A(0, -1, 0) P sig 2 0 – (-1) + 0 + d = 0 sig d = -1
Ainsi P : 2x – y + z – 1 = 0.
1
2) M Q 1 est un vecteur normal du Q.
-2
2
M P -1 est un vecteur normal du P.
1
1 2
et = -1-2= -3 0, donc M Q et M p ne sont pas colinéaires,
1 -1
ainsi P et Q sont sécantes suivant une droite .
2x - y + z -1= 0
*=PQ:
x + y-2z +1= 0
x =α x = α
2α - y + z -1= 0 α IR y - z = 2α -1(1) α IR
α + y -2z +1= 0 y -2z = -α -1(2)
x = α x = α
y = z + 2d -1 α IR y =5α -1 α IR
z =3α z =3α
4 4 2
0 x +1 + y -0 + z -1 = +12 +12 = > 0
2 2 2
3) a) S : x2 + y2 + z2 + 2x – 2z +
3 3 3
2 6
Ainsi S est une sphère de centre I(-1, 0, 1) et de rayon R =
3 3
PI
b) * d I,P = avec PI = 2×(-1)-0+1-1= -2 et M P = 2 2 +12 +12 = 6
MP
QI
* d I,Q = avec QI = -1+0-2+1= -2 et M Q = 12 12 22 = 6
MP
2
Donc d(I, P) = d(I,Q) = =R
6
Ainsi S est tangente à chacun des plan P et Q.
4) a)
Ainsi Q (IJK)
PQ = Δ
b) On a : P (IJK)
Q (IJK)
donc (IJK)
1
ainsi u 5 est un vecteur directeur de D et aussi est un vecteur normal à (IJK),
3
donc (IJK) : x + 5y + 3z + d = 0
ainsi (IJK) : x + 5y + 3z – 2 = 0
c)
1
α = 5
x +5y +3z -2 = 0
x = α 1
L (IJK) x =
5
L Δ y =5α -1 y=0
z =3α
z = 3
5
1 3
Ainsi L ,0, .
5 5
Exercice 3 :
De quoi s’agit -il ?
Probabilité : Probabilités conditionnelles – Arbre de choix – Probabilités composées –
Probabilités totales – Variable aléatoire – Espérance mathématique.
0,02 D
A
0,98 D
1) a) * p(B) = 1 – p(A) = 1 – 0,4 = 0,6 0,4
2
* p(D / A) = 0,02
100
0,6 0,01 D
* p D / A =1( p(D / A) =1-0,02=0,98
B
0,99 D
1
* p(D / B) = 0,01
100
* p D / B =1-p(D / B) =1-0,01= 0,99
p(AD) 0,02×0, 4
c) p A / D = = 0,571
p(D) 0,01
2) * Le nombre de circuits présentant un défaut est : 1000 p(D) = 10000 0,014 = 140
p D 0,3 + p(D) (-0,5) = 9860 0,3 + 140 (-0,5) = 2888 DT
Autrement :
xi -0,5 0,3
* Ainsi le bénéfice moyen réalise chaque semaine est : 10000 E(X) = 2888 DT
Exercice 4 :
De quoi s’agit -il ?
Fonction logarithme – Théorème des valeurs intermédiaires – Position relative de deux
courbes – Calcul d’aires.
2
g’(x) = -1 - <0
x
x 0 1 +
g’(x) –
g(x)
b) g(1) = -1 + 1 – 2ln1 = 0
x 0 1 +
x 0 1 +
g’(x) + –
g(x) + -
g(x)
0
lim x +ln x = -
x 0
2) a) alors lim f = -
lim x 0
2
0
x 0
x +ln x 1 ln x
b) limf lim 2
lim 2 = 0+0= 0
x x x x x
1 2
1+ .x - 2x x + ln x x 2 + x - 2x 2 - 2x ln x -x 2 + x - 2x ln x
f '(x) =
x
=
x4 x4 x4
x -x +1-2ln x g(x)
= = 3
x4 x
x 0 1 +
f’(x) + -
f(x) 1
- 0
1+ln1
f(1) = 1
12
* f est continue est strictement croissante sur ]0, 1], donc elle réalise une bijection
de ]0, 1] sur ,1 , donc f(x) admet une unique solution ]0, 1]
4)
x +ln x 1 ln x
a) x]0, +[ ; f(x) – h(x) = - = 2
x2 x x
Le signe de f(x) – h(x) est celui de ln x.
x 0 1 +
f(x) – h(x) - +
λ λ
5) a) I λ = f(x) - h(x) dx (ua) = f(x) - h(x) dx
1 1
λ ln x
1 x2
dx
1
Posons u(x) = ln x u’(n) =
x
1 1
V(x) = - V"(x) = 2
x x
1
= =1- 1 ln
1 ln
b) lim I λ lim 1 1
h
Exercice 1 :
● Complexe et géométrie
1) a) (3 + i)2 = 32 + 2 3 i2
= 9 + 6i - 1
= 8 + 6i
b) a = 1 ; b = 1 – 3i ; c = -4 – 3i
= 1 – 2 1 3i + (3i)2 + 16 + 12i
= 1 – 6i – 9 + 16 + 12i
= 8 + 6i = (3 + i)2 donc S = 3 + i
a =1
b-5a = -4-3i a =1
Par identification : b =1-3i
c-5b = -9+12i
c = -4-3i
-5c = 20+15i
Donc P(z) = (z – 5) (z2 + (1 – 3i)z – 4 – 3i)
3) a)
b) z AB = z B -z A = -2 +i -1-2i = -3-i
4) a)
z A -z C 1+ 2i + z B 1+ 2i -2+i -1+3i i i +3
= = = = =i
z D -z C 5+ z B 5-2+i 3+i 3+i
z A -z C z
b) =i, CA =i i IR CA CD (1)
z D -z C z CD
z A -z C z -z z -z
=i alors A C = i A C =1
z D -z C z D -z C z D -z C
AC
1 CA = CD (2)
DC
D’après (1) et (2) ; on conclut que ACD est isocèle rectangle en C.
= |1 – 3i| = 12 32 10
AC DC
A(ABCD) = 2 A(ACD) =
2
2
=AC DC = AC2 = 10 car AC = DC , Ainsi A(ABCD) = 10
Exercice 2:
Produit vectoriel
Plan défini par trois points non alignés
Shère, positions relatives d’une sphère et d’un plan
0 -2 2
1) a) AB 2 et AC 2 donc AB AC 2
-1 0 4
2
b) AB AC 2 0, donc ABet AC ne sont pas colinéaires et par suite les points A, B et C
4
ne sont pas alignés, ainsi ils déterminent un plan P.
-1 -1
2) a) IA 1 et IC 1
-3 3
b) I(0, 1, -3) et P : x + y + 2z – 1 = 0
0 +1+ 2×(-3) -1 -6 6
d(I, P) = = = = 6 < 11
12 +12 + 2 2 6 6
1
11 6 5 et B P et IB 1 d’où IB = 12 +12 + 22 = 6 = d(I,P)
2
donc B est le projeté orthogonal de I sur P, ainsi est de centre le point B.
3) a) S = x2 + y2 + z2 – 2y - 2z – 1 = 0
b) * 12 + 02 + 02 – 2 0 - 2 0 – 1 = 1 – 1 = 0 , donc AS.
* (-1)2 + 22 + 02 – 2 2 - 2 0 – 1 = 1 + 4 – 4 – 1 = 0, donc C S
Autrement :
Soit I(0, 1, ) ; P : x + y + 2z – 1 = 0
0 +1+ 2α -1 2α
d(I , P) = =
2 2 2
1 +1 + 2 6
12+ 2α 2
4) a) rα = R α -d (Iα ,P) = 5 R α -d
2 2 2 2
Iα ,P =5 =5
6
12 + 22 = 30 22 = 18 = 3 ou = -3
b) On a I3 (0,1, 3) I et B est le projeté orthogonal de I sur P, donc B est le centre de (C-3 )
1
soit B'(x,y,z) P D( I 3 (0,1,3); nP 1 )
2
x y 2z 1 0 1
x x 1
On a :
y 1 y 0
z 3 2
z 1
B’(-1,0,1) est le centre de (C3).
c) On vérifiera aisément que AB=B'C et que AB=AB', ainsi ABCB' est un losange
Exercice 3 :
Fonction en exponentielle
Théorème des valeurs intermédiaires(du point fixe)
Théorème des accroissements finis, suites réelles
1) xIR ; f '(x) =
4
5
1-ex
Pour x 0 alors –x 0 d’où e-x e0 = 1 ainsi 1 – e-x 0
2) * xIR+ ; f '(x) =
4
5
1-e-x 0
= 1-e-x - =
4 4 4 4 4 -x 4 4
* x IR + ; f '(x) - - e - - e-x 0 ,
5 5 5 5 5 5 5
3) Soit g(x)=f(x)-x
g(0) = f(0) – 0 =
4
5
0 + e0 =
4
5
X 0 +
g’(x) - -
4
g(x) 5
0
-
4
g est continue et strictement décroissante sur IR+, elle réalise une bijection de IR+ sur - ,
5
4
or 0 - , ; ainsi g(x) = 0 admet dans IR+, une unique solution , c’est à dire
5
1
4) a) Pour n = 0 , U 0 0 (vrai)
2
Pour nIN ; supposons que Un 0 et montrons que Un + 1 0
4
b) f est dérivable IR+, xIR+ ; |f’(x)|
5
4
Alors a, b IR+; |f(b) – f(a)| b -a
5
4 4
Or IR+ et UnIR+, donc |f(Un) – f()| U n -α U n +1 -α U n -α
5 5
0
1 4
c) Pour n = 0 U0 -α = -α 1 (Vrai) car 1,2 < < 1,3
2 5
n n +1
4 4
Pour nIN ; supposons que |Un - | et montrons que |Un + 1 - |
5 5
n
4
On a |Un - |
5
n +1 n +1
4 4 4
Donc |Un + 1 - | Un α , ainsi |Un + 1 - |
5 5 5
n
4
Donc nIN ; |Un - |
5
n n
4 4 4
d) nIN ; |Un - | et lim 0 car -1< <1
5 n
5 5
Ainsi lim U n = α.
n
3ln10
n n
4 4
e) On a |Un - | U n -α 10 =0,001 n
-3
5 5 4
ln( )
5
Donc il suffit de prendre n 31
Exercice 4 :
● Calcul d’aires
f(x)
ainsi lim
x x
f admet une branche parabolique de direction O, j au voisinage de (+).
1
b) limf = lim x +(x -1)e lim x + xe e2x lim x + 2x e 2x -e 2x
x 2x
x x x 2
1
c) lim f(x)- x = lim x +(x -1)e
2x
x lim x -1 e 2x lim 2xe 2x -e 2x = 0
x x x x 2
x - 1 +
f(x) –y - +
x - 0 +
f’’(x) - +
f’(x) 1 +
0
a) f’’ s’annule et change de signe en 0
x - 0 +
f’’(x) + +
f’(x) +
1
-
b) f est continue et strictement croissante sur IR , donc elle réalise une bijection de IR sur f(IR) = IR
f(0,8) -0,19< 0
alors 0,8 < < 0,9
f(0,9) 0,29> 0
c)
x - 0 +
f’(x) + +
f(x) +
-1
-
: y = x asymptote
Branche parabolique de direction O, j
4)
1 1 1
A = f(x) - y dx(ua) = y -f(x) dx -(x -1)e
2x
dx
0 0 0
Car au dessous de sur [0, 1].
Posons U(x) = -(x – 1) U’(x) = -1
1 2x
e V’(x) = e2x.
V(x) =
2
1 1 1
1 2x
1 1 1 2x 1 2x
A = - (x -1)e - - e dx = - (x -1)e - - e
2x
2 0 0 2 2 0 4 0
1
1 1 1 1 1
= - (x -1)e2x + e 2x = 0+ e 2
2 4 0 4 2 4
1 2 3
Ainsi A = e - (ua)
4 4
Exercice 1 :( 5 points)
1) a) e e −e =e −e =e −e
√
e −e =e e −e = 2i sin e = i√2 e ; sin =
b) z − 2i√2 e z − 4e = 4e − 4i√2 e . e − 4e
=4 e −e − 4i√2 e
= 4i√2 e − 4i√2 e =0
D’où z est solution de l’équation(E)
c) z z = −4 e donc z = = −2 e
3) a) z − z = 1 − √3 + i 1 + √3 + √3 − i = 1 + i√3 = z donc BC = OA
d’où OACB est un parallélogramme ; et comme le triangle OAB est isocèle et
rectangle en O, donc OACB est un carré.
1/6
d’où z = 2√2 e
x=α+1
2) ∆: y = 2 ; α∈ℝ
z=α−1
1=α+1 α=0
a) A(1,2, −1) ⇒ 2=2 ⇔ 2 = 2 donc A ∈ ∆
−1 = α − 1 α=0
1
b) n 0 est un vecteur normal à P
1
1
u 0 est un vecteur directeur de ∆. Comme n et u sont colinéaires donc ∆⊥ P
1
3) I (1 + α, 2, α − 1) ∈ ∆
| | | |
a) d(I , P) = √ =
√
= √2|α|
b) d(I , P) > 2√2 ⇔ √2|α| > 2√2 ⇔ |α| > 2 donc :
si α ∈ −∞, −2 ∪ 2, +∞ alors le plan est extérieur à la sphère(S )
Si α = 2 ou α = −2 alors le plan P est tangent à la sphère(S )
Si α ∈ −2,2 alors le plan P est sécant à la sphère(S )
2/6
1) a)
10
9,5
9
8,5
8
7,5
7
6,5
6
5,5
5
0 50 000 100 000 150 000 200 000 250 000 300 000 350 000 400 000
( , )
b) r = = 0,990
3/6
1) ℎ( ) = − 1 + ; ∈ 0, +∞
a) ℎ(1) = 1 − 1 + 1=0
b)
0 1 +∞
ℎ( ) − 0 +
2) ( ) = 1 + ( − 1) ∈ 0, +∞ ;
a) → ( )= → 1 + ( − 1) = +∞.
La courbe( )admet une asymptote vertical d’équation =0
b) → ( )= → 1 + ( − 1) = +∞ et
( ) ( )
→ = → = → + = +∞ . La courbe( )
admet un branche parabolique de direction celle de( , )au voisinage de +∞
( )
3) a) Pour tout ∈ 0, +∞ , ( ) = + = =
b) Pour tout ∈ 0, +∞ le signe de ( ) est celui du signe de ℎ( )
0 1 +∞
( ) − 0 +
( ) +∞ +∞
1
4) a) ( )= ⇔ 1 + ( − 1) =
⇔ − 1 − ( − 1) =0
⇔ ( − 1)(1 − )=0
⇔ = 1 ou =
b) ( )≤ ⇔ ( − 1)(1 − )≥0
0 1
+∞
−1 − 0 + +
1− + + 0 −
( − 1)(1 − ) − 0 + 0 −
D’où ( ) ≤ ⇔ ∈ 1,
4/6
c) Position de ( ) et ∆: =
− ( ) = ( − 1)(1 − )
0 1 +∞
− ( ) − 0 + 0 −
Position de ( ) et ∆ ( )est au dessus de ∆ ( )est au dessous de ∆ ( )est au dessus De ∆
Les points de coordonnées(1,1) et ( , ) sont les points d’intersection de ( ) et ∆
5) Voir Annexe.
( )= ( )=
6) a) ( ) ; On pose : ⇔
( )= ( )=
Donc ( ) = − = − = − + = +
b) = − ( )
= ( − 1) − +
= −x − + + −
= − − +1− − +1
= − +
=0
7) On considère la suite( ) définie sur ℕ par :
= ( )
a) Par récurrence :
Pour =0; = 2 donc 1 ≤ ≤ . Vrai pour =0
Supposons que 1 ≤ ≤ ; pour ≥ 0
Démontrons que 1 ≤ ≤
1≤ ≤ et est croissante sur 1, donc (1) ≤ ( ) ≤ ( )
Ainsi 1 ≤ ≤
Donc pour tout ∈ ℕ ; ∈ 1,
b) − = ( )− or ( ) ≤ ⇔ ∈ 1,
Comme ∈ 1, alors ( ) ≤ ⇔ ≤ , ainsi ( ) est décroissante.
c) La suite( ) est décroissante et minorée par 1
Donc elle converge vers l ∈ 1, e
Comme f est continue sur 1, e donc en l d’où f(l) = l et par suite l = 1 ou l = e
Or (u ) est décroissante et = 2 < donc l = 1
5/6
Feuille Annexe
(C)
5
∆
3
A
0 1 2 e 3 4 5 x
6/6
1. z2 + (2 + i ) z + i = 0
On a Δ = ( 2 + i ) − 4 i = 3 d’où δ =
2
3
−2 − i − 3 3 1 −2 − i + 3 3 1
Donc z ' = = −1 − − i et z '' = = −1 + − i
2 2 2 2 2 2
S^ = {z '; z ''}
2. ( E ) : z 3 + (1 + i ) z 2 − 2z − i = 0
a. On a 13 + (1 + i ) 12 − 2 − i = 0 d’où z0 = 1 est une solution de ( E )
b. On a z 3 + ( 1 + i ) z 2 − 2z − i = ( z − 1 ) ( z 2 + az + b ) = z 3 + z 2 ( a − 1 ) + z ( b − a ) − ib
⎧a − 1 = 1 + i
⎪ ⎧a = 2 + i
Par identification ⎨ b − a = −2 ⇔ ⎨
⎪ −b = −i ⎩ b=i
⎩
donc z 3 + ( 1 + i ) z 2 − 2z − i = ( z − 1 ) ( z 2 + ( 2 + i ) z + + i )
c. On a
⎧ z −1 = 0
z 3 + (1 + i ) z 2 − 2z − i = 0 ⇔ ( z − 1) ( z 2 + ( 2 + i ) z + + i ) = 0 ⇔ ⎨ 2
⎩ z + ( 2 + i ) z + +i = 0
3 1 3 1
⇔ z = 1 ou z ' = −1 − − i ou z ' = −1 + − i
2 2 2 2
3. O
π
3 1 ⎛ π ⎞ ⎛ π⎞ −i
a. On a z A = − i = cos ⎜ − ⎟ + i sin ⎜ − ⎟ = e
6
2 2 ⎝ 6 ⎠ ⎝ 6⎠
5π 7π
3 1 ⎛ 5π ⎞ ⎛ 5π ⎞ −i i
zB = − − i = cos ⎜ − ⎟ + i sin ⎜ − ⎟ = e 6
= e 6
2 2 ⎝ 6 ⎠ ⎝ 6 ⎠
b. On a z A = zB = 1 ⇔ OA = OB = 1 donc A et B appartiennent au cercle de centre
O et de rayon 1
c.
1
On a y A = yB = − et x A > 0
2
et xB < 0 et A et B
appartiennent au cercle de
centre O et de rayon 1
p23
4.
JJG JJG JJG JJG
( ) ( )
a. On a aff CA = z A − zC = z A − 1 = zE = aff OE ⇔ CA = OE et puisque O, A et C non
alignés donc OEAC est un parallélogramme
JJG JJG JJG JJG
( ) ( )
On a aff CB = zB − zC = zB − 1 = zF = aff OF ⇔ CB = OE et puisque O, B et C non
alignés donc OFBC est un parallélogramme
b.
i
5π
⎛ i 712π i
−7π
⎞ iπ
i
−2π
i
−π
c. On a e ⎜e + e ⎟=e +e = −1 + e 6
12 12 12
⎝ ⎠
i
13π
⎛ i 12
π
i
−π
⎞ i
7π
i
12π
i
7π
et e ⎜e + e ⎟ = e + e = e 6 −1
12 12 6 12
⎝ ⎠
3 1 i
7π
i
13π
⎛ i 12
π
i
−π
⎞ i
13π
π
d. On a z ' = −1 − − i = −1 + e 6 = e 12 ⎜ e + e 12
⎟ = 2e 12
cos
2 2 ⎝ ⎠ 12
⎛ π π π ⎞
⎜0 < < donc cos > 0 ⎟
⎝ 12 2 12 ⎠
On a
3 1 i
−π
i
5π
⎛ i 712π i
−7π
⎞ i
5π
7π 7π i 1712π
z ' = −1 + − i = −1 + e 6 = e 12 ⎜ e + e 12
⎟ = 2e 12
cos = −2cos e
2 2 ⎝ ⎠ 12 12
⎛ π 7π π ⎞
⎜ < < π donc cos < 0 ⎟
⎝ 2 12 12 ⎠
3
× 2x
3 x
et pour tout x ∈ [ 0;2] , f ' ( x ) = 4 =
3 2 4 3 2
2 x +1 x +1
4 4
2
⎛ 3 2 ⎞ 3 1 1
b. Soit x ∈ [ 0;2] ,on a x − ⎜⎜ 2
x + 1 ⎟⎟ = x 2 − x 2 − 1 = x 2 − 1 = ( x 2 − 4 ) ≤ 0
⎝ 4 ⎠ 4 4 4
2
⎛ 3 2 ⎞
car ( 0 ≤ x ≤ 2 donc 0 ≤ x ≤ 4 )
3 2
2
donc x ≤ ⎜⎜2
x + 1 ⎟⎟ d’où x ≤ x +1
⎝ 4 ⎠ 4
car x ∈ [ 0;2]
3 2 x
c. Pour tout x ∈ [ 0;2] , 0 ≤ x ≤ x + 1 donc 0 ≤ ≤1
4 3 2
x +1
4
3 x 3 3
d’où 0 ≤ ≤ ainsi 0 ≤ f ' ( x ) ≤
4 3 2 4 4
x +1
4
3
d. On a f est dérivable sur [ 0;2] et pour tout t ∈ [ 0;2] , 0 ≤ f ' ( t ) ≤
donc
4
pour x ∈ [ 0;2] d’après le théorème des inégalités des accroissements
3
finies on a 0 ≤ f ( 2 ) − f ( x ) ≤ (2 − x )
4
3
donc 0 ≤ 2 − f ( x ) ≤ ( 2 − x ) pour tout x ∈ [ 0;2]
4
2.
a. Montrons par récurrence que pour tout n ∈ ` , 0 < un < 2
Pour n = 0 , on a u0 = 1 donc 0 < u0 < 2 vérifiée
Soit n ∈ ` , on suppose que 0 < un < 2 et montrons que 0 < un +1 < 2
On a 0 < un < 2 et puisque f est croissante
donc f ( 0 ) < f ( un ) < f ( 2 ) d’où 0 < 1 < un +1 < 2 donc 0 < un +1 < 2
conclusion : pour tout n ∈ ` , 0 < un < 2
3
b. On a pour tout x ∈ [ 0;2] , 0 ≤ 2 − f ( x ) ≤ ( 2 − x ) et puisque un ∈ [ 0;2]
4
3
pour tout n ∈ ` donc 0 ≤ 2 − f ( un ) ≤ ( 2 − un )
4
3
d’où 0 ≤ 2 − un +1 ≤ ( 2 − un ) pour tout n ∈ `
4
n
⎛3⎞
c. Montrons par récurrence que pour tout n ∈ ` , 0 ≤ 2 − un ≤ ⎜ ⎟
⎝4⎠
p25
Annales BAC Section : Sciences Techniques
250
2018 Session de contrôle Corrigé
0
⎛3⎞
Pour n = 0 , on a 2 − u0 = 2 − 1 = 1 = ⎜ ⎟ , vérifiée
⎝4⎠
n
⎛3⎞
Soit n∈ ` , on suppose que 0 ≤ 2 − un ≤ ⎜ ⎟
⎝4⎠
n +1
⎛3⎞
Montrons que 0 ≤ 2 − un +1 ≤ ⎜ ⎟
⎝4⎠
n n +1
⎛3⎞ 3 ⎛3⎞
On a 0 ≤ 2 − un ≤ ⎜ ⎟ donc 0 ≤ ( 2 − un ) × ≤ ⎜ ⎟
⎝4⎠ 4 ⎝4⎠
n +1
3 ⎛3⎞
et puisque 0 ≤ 2 − un +1 ≤ ( 2 − un ) donc 0 ≤ 2 − un +1 ≤ ⎜ ⎟
4 ⎝4⎠
n
⎛3⎞
Conclusion : pour tout n∈ ` , 0 ≤ 2 − un ≤ ⎜ ⎟
⎝4⎠
n n
⎛3⎞ 3 ⎛3⎞
d. On a lim ⎜ ⎟ = 0 car −1 < < 1 et puisque 0 ≤ 2 − un ≤ ⎜ ⎟ donc
⎝ ⎠
n →+∞ 4 4 ⎝4⎠
lim ( 2 − un ) = 0 ainsi lim un = 2
n →+∞ n →+∞
n n
⎛3⎞ ⎛3⎞
3. Pour tout n∈ ` on a 0 ≤ 2 − un ≤ ⎜ ⎟ donc −2 ≤ −un ≤ ⎜ ⎟ − 2 ainsi
⎝4⎠ ⎝4⎠
n n −1 n −1 kn −1 n −1
⎛3⎞ ⎛3⎞
2 − ⎜ ⎟ ≤ un ≤ 2 par suite
⎝4⎠
∑
k =0
2 − ∑ ⎜ ⎟ ≤ ∑ uk ≤ ∑ 2
k =0 ⎝ 4 ⎠ k =0 k =0
⎛ ⎛3⎞
n
⎞
0 ⎜1−⎜ ⎟ ⎟ ⎛ n
⎞
⎛3⎞
donc 2n − ⎜ ⎟ ⎜ ⎝4⎠ ⎟ ≤ S ≤ 2n d’où 2n − 4 ⎜ 1 − ⎛ 3 ⎞ ⎟ ≤ S ≤ 2n et par
⎜ ⎜ ⎟
⎝ 4 ⎠ ⎜ 1− 3 ⎟ ⎝ 4 ⎠ ⎟⎠
n n
⎜ ⎟ ⎝
⎝ 4 ⎠
4⎛ ⎛3⎞
n
⎞ S ⎛ 4⎛ ⎛ 3 ⎞ ⎞⎞
n
0,02 D
O
0,5 0,98 D
0,2 D
0,5
O
0,8 D
p26
Annales BAC Section : Sciences Techniques
251
2018 Session de contrôle Corrigé
1.
a. On a p ( D ∩ O ) = p ( O ) p ( D / O ) = 0,5 × 0,02 = 0,01
( ) ( ) ( )
b. On a p D ∩ O = p O p D / O = 0,5 × 0,2 = 0,1
( ( ))
4
p(E ) = p D = 0,894
3. X : suit une loi exponentielle de paramètre λ
1
a. La durée de vie moyenne d’une bougies est 40000 donc = 40000 d’où
λ
1
λ= = 2,5.10 −5
40000
b. On a p ( 20000 ≤ X ≤ 40000 ) = e − λ ×20000 − e − λ 40000 = e −0,5 − e −1
c. On a
p ( ( X ≥ 45000 ) ∩ ( X ≥ 40000 ) ) p ( X ≥ 45000 )
p ( ( X ≥ 45000 ) / ( X ≥ 40000 ) ) = =
p ( X ≥ 40000 ) p ( X ≥ 40000 )
e − λ ×45000
= − λ 40000
= e − λ ×5000 = e −0.125 = 0,88
e
f (x) ⎛ 1 − xe1− x ⎞ ⎛1 1− x ⎞
lim = lim ⎜ ⎟ = xlim ⎜ − e ⎟ = −∞
x →−∞ x x →−∞
⎝ x ⎠ ⎝
→−∞ x
⎠
G
Donc la courbe (ζ ) admet une branche parabolique de direction O , j au ( )
voisinage de −∞
⎛ ⎞
⎛ x ⎞ ⎜ e ⎟
b. On a lim f ( x ) = lim (1 − xe 1− x
) = xlim ⎜ 1 − x × e ⎟ = xlim ⎜ 1 − x ⎟ = 1 donc la
x →+∞ x →+∞ →+∞
⎝ e ⎠ →+∞ ⎜ e ⎟
⎜ ⎟
⎝ x ⎠
droite Δ : y = 1 est une asymptote à la courbe (ζ ) au voisinage de +∞
2.
a. f est dérivable sur \ et f ' ( x ) = −e1− x − x ( −e1− x ) = ( x − 1) e1− x
b. f ' ( x ) = 0 ⇔ ( x − 1 ) e1− x = 0 ⇔ x = 1 d’où x −∞ 1 +∞
f '( x ) − 0 +
+∞ 1
f (x)
0
p27
3.
a. On a f ( x ) − 1 = − xe1− x = 0 ⇔ x = 0
x −∞ 0 +∞
f (x) −1 + 0 −
Position (ζ ) au dessus (ζ ) au dessus
relatif de Δ de Δ
de (ζ )
(ζ ) ∩ Δ = {( 0;1)}
et Δ
p28
4.
a. Pour tout x ∈ \ , on a 1 − e1− x − f ' ( x ) = 1 − e1− x − ( x − 1) e1− x = 1 − xe1− x = f ( x )
1 1 1 1
= (α + e 1−α
− f (α ) ) − ( 1 + e − f ( 1 ) ) = α − 3 + ( 1 + α ) e
0 1−α
= h (α )
c.
Pα 0
α0
p29