Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
75 au nouveau Système
è
Comptable Financier
Octobre 2008 / p2
Sommaire
g Genèse et organisation
g de l’IASC
g Processus d’élaboration
d élaboration des normes
Octobre 2008 / p3
Modèles économiques avant les années 90
Octobre 2008 / p5
1974 1993 Fin 1995
Publication de la Démarrage par l'UE
Publication de 10
première norme IAS d'un travail de
normes révisées
“Publicité des méthodes comparaison des
comptables” directives européennes
et des normes IAS
Septembre 2002
2004 - 2007
2000 Publication du règlement UE "IFRS
• Poursuite de l'adoption
Approbation de la 2005" imposant aux société
européennes cotées publiant des EF par la CE des normes de
nouvelle structure de l'IASB
ll’IASC
IASC consolidés l'application
pp des IFRS à
partir du 1er janvier 2005 • Révision
é de la
constitution de l'IASCF
Octobre 2008 / p6
Depuis 1973…
g Création de ll’IASC
IASC sous forme de 9 pays fondateurs
fondation par les représentants des
professions comptables de 9 nations
g Objectifs:
g Formuler et publier des normes comptables
acceptables au plan international pour la
préparation
p p des EF
g Promouvoir leur utilisation à l’échelle
mondiale
g Plus généralement travailler pour
harmoniser les pratiques comptables et la
présentation des normes au plan
international
Allemagne, Australie,
All A t li
Canada, Etats-Unis, France,
Japon, Mexique, Pays-Bas et
Royaume uni
Octobre 2008 / p7
Depuis 1973…
g Jusqu’en 1989,
g Recherche d’un
d’ n consensus
consens s entre les grands pays
pa s normalisateurs,
normalisate rs sur
s r la base du
d
plus petit dénominateur commun qui a prévalu dans l’élaboration des normes
g Ap
partir de 1989, un virage
g net est amorcé,
g L’IASC, en concertation avec l’IOSCO, privilégie la recherche d’une réelle
application des normes par les sociétés cotés.
g En 1995,
1995 ll’IASC
IASC et ll’IOSCO
IOSCO vont encore plus loin…
loin
g Signature d’un accord prévoyant la révision accélérée de certaines normes. L’objectif
poursuivi alors était de faire admettre les normes IAS à l’horizon 2000, à l’occasion
de toutes les cotations et émissions internationales.
g Cet objectif a été réaffirmé par ll’IOSCO
IOSCO dans sa conférence de presse du 17 mai
2000.
Octobre 2008 / p8
A partir du 1er avril 2001
Octobre 2008 / p9
Organisation de l’ "IASC Foundation"
g Un souci de professionnalisation
g Un souci d’indépendance
p
g Le SAC, issu des réformes de l’IASC, a un rôle consultatif sur l’agenda des
travaux de l’IASB
l IASB et les projets en cours.
cours
g Ses membres sont des représentants des organismes et des particuliers ayant un
intérêt pour l’information financière internationale.
g A ce jour ll’IFRIC
IFRIC a publié 14 interprétations dont une a été retirée:
IFRIC 1 Variation des passifs existants relatifs au démantèlement, à la remise en
état et similaires
IFRIC
C2 Parts sociales des entités coopératives
p et instruments similaires
IFRIC 14 IAS 19- La limite sur un actif au titre des prestations définies, Exigences de
financement minimum et leur interaction
g Publication dd’un
un projet de norme ou de révision d d’une
une norme appelé
"Exposé-sondage" pour commentaires du public avec dans certains cas
un "basis for conclusion" qui constitue en quelques sorte le résumé des
conclusions du normalisateur mais reprend également ses réflexions et
ses intentions;
Le référentiel IFRS
8 normes
IFRS
13 11
Interprétations Interprétations
Cadre SIC
IFRIC
29 normes
IAS
Octobre 2008 / p23
Classement thématique du référentiel
METIERS
CADRES Normes IFRS
IFRS 1 IFRS 2 IFRS 3 IFRS 4 IFRS 8
N
Normes IAS
IAS 1 IAS 2 IAS 7 IAS 41
SPECIFIQUES Interprétations
IFRIC 1…IFRIC 14 SIC
S C 10…SIC
0 S C 32
Normes
N Normes
N Normes
N
"Cadres" "Spécifiques" "Métiers"
IAS 2
IAS 40 IAS 39 I t
Instruments
t fi
financiers
i : Comptabilisation
C t bili ti ett évaluation
é l ti
IAS 41
IFRIC 13 Programmes de fidélité des clients
…
IFRIC 9 Réévaluation des dérivés incorporés
IFRS 1
IFRS 2
IAS 40 Immeubles de placement
… IFRS 2 Paiement fondé sur des actions
IFRS 8 IFRIC 8 Champp d’application
pp de IFRS 2
…
IFRS 3 Regroupements d’entreprises
SIC 10
Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités
… IFRS 5
abandonnées
SIC 32
IFRIC 1
IFRIC 14
IAS 2
IAS 40
IAS 41
IFRS 1
IAS 26 Comptabilité et rapports financiers des régimes de retraite
IFRS 2 IAS 41 Agriculture
… IFRS 4 Contrats d’assurance
IFRS 8
IFRS 6 Prospection
p et évaluation de ressources minérales
…
SIC 10
SIC 32
IFRIC 1
IFRIC 14
g Accroître la capacité
d’attraction des investisseurs
étrangers
g Conquérir de nouveaux
marchés
g Profiter de la pause marquée
par l’IASB
l IASB
g Se situer par rapport aux
concurrents
g Supprimer les coûts répétitifs
de retraitements et de reporting
• Cadre conceptuel
1ère • Organisation comptable
• Règles de comptabilisation et
partie
ti d’évaluation
• Présentation des états financiers
(58 pages)
partie
(64 pages)
• Définition et composantes
• Présentation des états de synthèse
Présentation
des EF • Présentation de l’annexe
Champ d’application
Définitions
éf
Informations à fournir
Date d’application
Dispositions transitoires
• Approbation par l’IASB
• Bases de conclusions
Annexes • Opinions divergentes
• Guide d
d’application
application
Projets en cours
Révision
Ré i i d de lla norme IAS 32 «Instruments
I t t fi
financiers
i :
Révision de la informations à fournir et présentation». Instruments
norme IAS 32 remboursables au grès du porteur à la juste valeur.
Méthodes
Méth d d’évaluation
d’é l ti Évaluation
É l i lorsl d la
de l comptabilisation
bili i initiale
i ii l
de l’information Document soumis pour discussion.
financière
Consolidation (y
compris Exposé sondage publié en 2006.
2006
les entités ad hoc)
M h
Mohamed
d Neji
N ji Hergli
H li
Actionnaires Clients
Fournisseurs de Employés
Services
Fournisseurs Presse
O
Organismes
i de
d Groupes d’intérêt
Contrôle
Source: Garthner
Concepts fondamentaux
2er Niveau Hypothèses
H thè
Caractéristiques sous jacentes et Eléments
qualitatives conventions des états
Comptables financiers
Les
L'état Etats
L'état de L état de
L'état méthodes
des Rapport Rapports sur Etats sur les
variation comptable et
résultat Flux l'environnement effets
Le des notes de gestion sur la
de valeur des
Bilan capitaux explicatives
Trésor ajoutée changements
propres
erie d prix
de i
VALEUR DE MARCHE
Environnement
VALEUR
COMPTABLE
Towards Performance Audit
REPUTATION
Valeur du
Marché
€
Valeur
Comptable INTELLECTUAL CAP
PHYSICAL ASSETS
Scope IASB
Avant Aujourd’hui
Stratégie
g
Part de marché
Cash-flow
Taille de marché
Qualité et expérience
du management
Bénéfice
Croissance
Rapidité d’innovation
Marges
Brutes Environnement concurrentiel
M
Marges b
brutes
t
Audit IFRS
indépendant
Système Normes
Comptable
p sectorielles
Opinion Standards
Informations de
b
base
Circuits d'information
Analyses internes à l'entreprise Règlements
Analystes Autorités du
Conseil
financiers marché
d'Administration
financier
Management
Contrôleurs &
Analystes Auteurs Normalisateurs
Octobre 2008 / p58
Etats financiers: Composantes &
objectifs
bj tif
Composantes Objectifs
C
Compte
t dde résultat
é lt t
Performance
Tableau de variation financière
des capitaux propres
1. Agrégation 2. Classification
3. Structure 4. Articulation
g les coûts supportés aussi bien pour élaborer et divulguer cette information
détaillée que pour utiliser une telle information.
g La p
prééminence donnée à la divulgation
g d'un p
poste devrait être en rapport
pp
avec la pertinence de ce poste au regard:
g La performance, et
g L'interrelation découle de la p
partie double et du fait q
que les différents états
financiers sont fondés sur les mêmes jugements et méthodes de calcul
pour les différents aspects des éléments qui les composent.
g L'appréciation
pp des résultats d'une p
période dépend
p de la compréhension
p
des principes comptables adoptés par une entreprise pour la prise en
compte, la mesure et la présentation des transactions et événements de la
période. Ces principes doivent être sélectionnés, en s'appuyant sur les
principes comptables admis, de façon à aboutir à des états financiers
fiables, pertinents et comparables.
g Un traitement erroné d'un poste des états financiers ne peut en aucun cas
être rectifié par une mention dans les annexes. Une telle mention ne peut
en elle même être suffisante pour rétablir la pertinence et la fiabilité des
ét t financiers
états fi i d
dans l
leur ensemble.
bl
g Une information présentée dans les annexes doit être impartiale, claire et
exempte de toute ambiguïté.
ambiguïté Quand une information présentée dans le
bilan, le compte de résultat, l’EVCP ou le TFT donne une image incomplète
de la situation financière, de la performance et de la conduite financière de
l'entreprise, l'information nécessaire pour compléter cette image, devrait
être incluse dans les annexes.
annexes
g Présentation:
Non - Tableau: Actifs à gauche, Capitaux propres et passifs à droite
Oui - Actifs dans une page , Capitaux propres et passifs dans une autre
g Présentation comparée
p avec une colonne dédiée aux chiffres correspondants
p
de l’exercice N-1
Rattachement de
Critères de classification Échéance
l’élément au cycle
en éléments
élé t courantst < 12 mois
d’exploitation
(1)
(1)
Récurrent ?
Bénéfice
Bé éfi pour l’exercice
l’ i clos
l
le 31-12-N
+ Produits
- Charges d’exploitation
= Bénéfice d’exploitation Oui
± Eléments
Elé h
hors exploitation
l i i N
Non
= Bénéfice net ?
g Q
Que le résultat p
provenant d'un secteur d'activité abandonné ainsi q
que
les produits et charges des activités abandonnées soient présentés
séparément.
Octobre 2008 / p77
Caractéristiques générales du compte
d résultat
de é lt t S.C.F
SCF
g Unité monétaire: Dinar ou Milliers de Dinars
g Présentation en liste
g Production de l’exercice.
g Consommation de l’exercice.
g Valeur ajoutée.
g Excédent brut d’exploitation.
g Résultat opérationnel.
g Ré lt t fifinancier.
Résultat i
g Résultat ordinaire avant impôts.
g Résultat net des activités ordinaires
g Résultat extraordinaire
g Résultat net de l’exercice
Octobre 2008 / p78
Niveaux de détermination du résultat
Eléments ordinaires
Activités
Autres
abandonnées
Eléments Extraordinaires
Eléments significatifs non récurrents qui diffèrent
sensiblement des autres activités typiques d’une entité.
Caractère p
peu fréquent
q ou non récurrent
Le fait ou l’opération doit être, de par sa nature, et compte tenu de
l’environnement dans lequel l’entité exerce ses activités raisonnablement
peu susceptible de se reproduire dans un avenir prévisible.
Eléments extraordinaires
q
(1) à utiliser uniquement p
pour la p
présentation d’états financiers consolidés
g À l’exception
p des variations des capitaux
p propres
p p résultant de:
g …la
la variation globale des capitaux propres au cours d d’une
une période
représente le montant total des produits et des charges, y compris les
profits et les pertes, générés par les activités de l’entité pendant cette
période, que ces éléments de produits et de charges soient comptabilisés:
g dans le résultat, ou
g directement en tant que variations des capitaux propres.
Produits - Charges
+ +
Gains - Pertes
g a pour résultat que les états financiers fournissent des informations fiables et
plus pertinentes sur les effets des transactions, autres événements ou
conditions sur la situation financière, la performance financière ou les flux de
trésorerie de ll’entité
entité.
g Une erreur d’une période antérieure est une omission ou une inexactitude
des états financiers de ll’entité
entité portant sur une ou plusieurs périodes
antérieures et qui résultent de la non-utilisation ou de l’utilisation abusive
d’informations fiables:
g Parmi ces erreurs figurent les effets d’erreurs de calcul, les erreurs dans
l’application des méthodes comptables, des négligences, des mauvaises
interprétations des faits, et des fraudes.
g La méthode directe,
directe suivant laquelle les principales
catégories d’entrées et de sorties de trésorerie
brutes sont présentées;
p
q
(1) à utiliser uniquement p
pour la p
présentation d’états financiers consolidés
Objectifs
j
g Informer sur les bases retenues pour l'élaboration des états financiers et
sur les
l choix
h i particuliers
ti li d principes
de i i comptables
t bl adoptés
d té afférents
ffé t aux
transactions et événements les plus significatifs ;
g L’annexe des états financiers est présentée dans l'ordre suivant qui
permet aux utilisateurs de comprendre les états financiers et de les
comparer avec ceux d’autres
d’ t entreprises
t i :
Critères
g Deux critères essentiels permettent de déterminer les informations à faire
fi
figurer d
dans l’
l’annexe :
Contenu
g Compléments
p d’information nécessaires à une bonne compréhension
p du
bilan, du compte de résultat, du tableau des flux de trésorerie et de l’état
de variation des capitaux propres,
• La
L source ett lal nature
t principale
i i l des d risques
i ett la
l
rentabilité d’une entité doivent déterminer si son
premier niveau dd’information
information sectorielle est le
secteur d’activité ou le secteur géographique.
géographique.
• La méthode servant à identifier le premier et le
second niveaux d’information sectorielle s’appelle
la sectorisation organisationnelle.
organisationnelle
g . Elle repose
p sur
la manière dont la direction divise l’entreprise en
différents secteurs pour prendre ses décisions
d’exploitation
– Les
L produits
d i sectoriels.
sectoriels
i l . Les
L produits
d i sectoriels
i l
provenant de ventes à des clients externes et ceux
provenant de transactions avec dd’autres
autres secteurs doivent
être présentés séparément
séparément..
– Le résultat sectoriel (avant ajustement pour prise en
compte desd i é ê minoritaires),
intérêts i i i ) en présentanté l
le
résultat des activités poursuivies séparément de celui des
activités abandonnées
abandonnées..
– La valeur comptable totale des actifs sectoriels
– Les ppassifs
f sectoriels
– Le
L total
t t l des
d coûts
ût encourus au cours de d la
l période
é i d pour
l’acquisition d’actifs sectoriels (immobilisations
p
corporelles et incorporelles)
p ) qqu’elle compte p utiliser
durant plusieurs périodes.
périodes.
– Le montant total de charges prises en compte dans le
résultat
é lt t sectoriel
t i l au titre
tit ded l’amortissement
l’ ti t des
d actifs
tif
sectoriels pour la période
– Le montant total des charges importantes sans
contrepartie en trésorerie, prises en compte dans les
charges sectorielles et par conséquent déduites du
résultat
é lt t sectoriel,
t i l autres
t que l’amortissement
l’ ti t
Octobre 2008 / p121
Informations à présenter au premier
niveau d’information sectorielle (suite)
• Une entité doit indiquer, pour chaque secteur à
présenter:
présenter
é t :
– La L quote-
quotet -partt globale
l b l de
d l’entité
l’ tité dans
d l résultat
le é lt t des
d
entreprises associées, des coentreprises ou autres
pparticipations
p mises en équivalence
q si l’essentiel des
activités de ces entreprises associées se situe dans ce seul
secteur..
secteur
– Le
L montant t t cumulé lé des
d participations
ti i ti d
dans l
les
entreprises associées ou coentreprises, si le cumul des
quotes--pparts d’une entité dans le résultat d’entreprises
qquotes p
associées, coentreprises ou autres participations mises
en équivalence est indiquée
Feuille de calcul
Microsoft Office Exce
Secteur A Secteur B Secteur C Secteur D Secteur E Secteur F Secteur G Secteur H Secteur I Secteur J
Eliminations
Montants entre
non affectés secteurs TOTAL
II. INFORMATION SECTORIELLE DE DEUXIEME NIVEAU
(a) Cette ligne n'est pas la somme des cinq lignes précédentes. Selon l'IAS 14, l'entité présentant ses états financiers peut reprendre ici n'importe quelle mesure de performance (telle que le résultat d'exploitation, la marge brute sur ventes ou le résultat net).
Remarque: des secteurs désignés par des numéros concernent toujours des secteurs de premier niveau, tandis que des secteurs désignés par des lettres concernent toujours des secteurs de deuxième niveau. Le nombre
de colonnes à remplir dépend de l'identification de secteurs de chaque entité présentant les états financiers.
Résultat par action
ADP nouvelles:
ll 100.000x60x7,5%x(3/12)
100 000 60 7 5% (3/12) 112 500
112.500
8 266 500
8.266.500
g On ne peutt prétendre
O ét d avoir i conclul des
d opérations
é ti entre
t
apparentées « sans qu’il existe de liens de dépendance »,
puisque la condition obligatoire de concurrence normale
et de libre marché ne peut alors exister.
g Il s’agit
’ it ded toute
t t entreprise
t i présentant
é t t des d états
ét t financiers
fi i
individuels ou consolidés pour ses relations avec les parties liées
décrites au niveau de la norme IAS 24.
g Aucune information à fournir sur les transactions entre parties
liées n'est imposée :
(a) dans les états financiers consolidés, pour les transactions intra-
groupe
(b) dans les états financiers de la mère, lorsqu
lorsqu'ils
ils sont disponibles ou
publiés avec les états financiers consolidés ;
(c) dans les états financiers d'une filiale détenue à 100%, si la société
mère
è est située
i é en Algérie
Al é i et qu'elle
' ll publie
bli des
d états
é fi
financiers
i
consolidés; et
((d)) dans les états ffinanciers des entreprises
p contrôlées ppar l'État,, p
pour
des transactions avec d'autres entreprises contrôlées par l'État.
Octobre 2008 / p147
Quel type
Q yp d’informations
f devrait être ffourni?
g IInformation
f i sur les
l relations
l i entre parties
i liées
lié en cas
d’existence de contrôle, même en l’absence de transactions
conclues entre ces parties.
parties
en proportion (Flux)
g (b) soit le montant soit la proportion des éléments existants
(Soldes); et
g (c) les politiques de fixation des prix.
g Il n'est pas utile de fournir des informations sur les transactions entre
les membres d d'un
un groupe dans les états financiers consolidés car les
états financiers consolidés présentent les informations relatives à la
société mère et aux filiales comme s'il s'agissait d'une seule entreprise
présentant les états financiers.
financiers Les transactions avec des entreprises
associées mises en équivalence ne sont pas éliminées et par
conséquent, imposent une présentation distincte en tant que
t
transactions
ti entre
t parties
ti liées.
lié
g Champ d’application
Ch d’ li i
g L’IAS 24 impose de fournir des informations sur la
rémunération dont bénéficient les principaux dirigeants.
dirigeants
g En effet, une entité doit indiquer la rémunération des
principaux dirigeants,
dirigeants en cumul,
cumul et pour chacune des
catégories suivantes :
(a) avantages à court terme ;
(b) avantages postérieurs à l’emploi ;
(c) autres avantages à long terme ;
(d) les indemnités de fin de contrat de travail ; et
(e) les paiements en actions.
actions
Octobre 2008 / p152
Apport de la norme IAS 24
( é i é en décembre
(révisée dé b 2003)?
g Champ d’application
Ch d’ li i (suite)
( i )
g Les entités contrôlées par l’État tombent dans le champ
d’application des Normes internationales d’information
financière, c’est-à-dire que, si elles ont un but lucratif, de
telles entités ne sont plus exemptées de fournir des
informations sur les transactions réalisées avec d’autres
entités contrôlées par l’État.
g Problématique des informations relatives aux parties liées
g Les discussions relatives au prix des transactions entre
parties liées et aux informations liées ont été supprimées
car l’IAS 24 ne traite pas de l’évaluation des transactions
entre
t parties
ti liées.
lié
Octobre 2008 / p153
Apport de la norme IAS 24
( é i é en décembre
(révisée dé b 2003)?
g Définitions
Défi ii
g La définition de « partie liée » a été étendue par
l’inclusion:
g des parties qui exercent un contrôle conjoint sur
l entité;
l’entité;
g des coentreprises dans lesquelles l’entité est un
coentrepreneur ; et
g des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi au profit
g Définitions
Défi ii ( i )
(suite)
g L’IAS 24 introduit la définition additionnelle des
«membres proches de la famille d’une personne» et précise
que les administrateurs non dirigeants font partie des
dirigeants principaux.
g L’IAS 24 clarifie le fait que deux co-entrepreneurs ne sont
ppas des pparties liées au seul motiff qqu’ils ont le contrôle
conjoint d’une coentreprise.
g IInformations
f i à fournir
f i
g L’IAS 24 clarifie en outre les informations à fournir sur :
g les
l soldes
ld entre parties
i liées,
lié avec indication
i di i des d termes
et autres conditions, y compris l’existence éventuelle de
garanties et la nature de la contrepartie attendue lors du
règlement ;
g les modalités des garanties données ou reçues ;
g IInformations
f i à fournir
f i (suite)
( i )
g L’IAS 24 précise qu’une entité n’indique que les modalités
de transactions entre parties liées sont équivalentes à celles
qui prévalent dans le cas de transactions soumises à des
conditions de concurrence normale que si ces modalités
peuvent être démontrées.
Feuille de calcul
Microsoft Office Exce