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de Données
Model relationnel des donnees
Octobre 2022
Attributs
TIME ’15:00:02.5’.
DÉFINIR UNE RELATION EN
SQL
4.3.3 Simple déclaration de tableaux
Une simple déclaration de tableau utilise le mot clé CREATE
TABLE suivi du nom de la relation et une liste d’attribut séparés
par des virgules et mis entre parenthèses.
Ex: CREATE TABLE Avions(
NumAv CHAR(10),
Description CHAR(30),
VilleArrivee CHAR(100)
);
CREATE TABLE Student (
Matricule CHAR(10),
Nom VARCHAR(255),
genre CHAR(1)
Adresse CHAR(100),
DateNaissance DATE
THEORIES DES BASES DE DONNEES 37
);
DÉFINIR UNE RELATION EN
SQL
4.3.4 Modifier le schémas d’une relation
Pour effacer le schémas d’une relation on
utilise l’instruction “DROP TABLE R”.
Dans ce cas la relation R ne fera plus partie
du schémas de la base de données, et on ne
peut plus accéder à ses tuples. Cette
instruction est utilisée pour effacer
entièrement la relation.
4.4.1 L’algèbre
En général, l’algèbre consiste en
opérateurs et opérandes atomiques.
Ex.: Dans l’algèbre arithmétique,
lesopérandes atomiques sont les
variables x, y etc.
Les opérateurs étant l’addition,
soustraction multiplication et division.
THEORIES DES BASES DE DONNEES 53
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
(x+y)*z
((x+7)/(y-3))+z
THEORIES DES BASES DE DONNEES 54
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
L’algèbre
relationnelle est un
autre exemple d’algèbre. Ses
opérandes atomiques sont:
1. Les variables représentant les
relations
2. Les constantes représentant
les relations finies.
THEORIES DES BASES DE DONNEES 55
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
Age
21
19
Exemple: Soient
les relations P et
Q suivant:
A P.B Q.B C D
A B B C D 1 2 2 5 6
1 2 2 5 6 1 2 4 7 8
3 4 4 7 8 1 2 9 10 11
9 10 11 3 4 2 5 6
3 4 4 7 8
THEORIES DES BASES DE DONNEES 74
3 4 9 10 11
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
La construction du
tuple joint peut être
simulée par la figure ci-
contre.
Les attributs de R et S
peuvent être dans
n’importe quel ordre
Exemple1: Soient
les relations P et Q
suivant:
A B B C D A B C D
1 2 2 5 6 1 2 5 6
3 4 4 7 8 3 4 7 8
9 10 11
Exemple2: Soient les
relations U et V
suivantes:
A B C B C D A B C D
1 2 3 2 3 4 1 2 3 4
6 7 8 2 3 5 1 2 3 5
9 7 8 7 8 10 6 7 8 10
relations U et V
suivantes:
A B C B C D
A U.B U.C V.B V.C D
1 2 3 2 3 4
1 2 3 2 3 4
6 7 8 2 3 5
9 7 8 7 8 10 1 2 3 2 3 5
1 2 3 7 8 10
Si on pose la
condition C: A<D
THEORIES DES BASES DE DONNEES
6 7 8 7
82
8 10
9 7 8 7 8 10
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
Exemple: Soient les
relations U et V
suivantes:
A B C B C D A U.B U.C V.B V.C D
1 2 3 2 3 4 1 2 3 7 8 10
6 7 8 2 3 5
9 7 8 7 8 10
Si on pose la condition
THEORIES DES BASES DE DONNEES 84
C: A<DU.BV.B
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
opérandes.
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES Si on veut
savoir:
Soit la relation Etudiant telle que :
• la matricule,
NumMatr NomPre Age Province Fac • les noms et
15/01216 Ciza Jean 21 Kirundo FSI prénoms
14/02132 Kiyago Paul 19 Rutana FSEA • Age
des étudiants de
15/02323 Karire Monia 19 Bururi IPA
la FSI ayant
15/01234 Kamina Oddy 20 Bujumbura IPA
l'âge inférieur à
14/09087 Haguma Danny 21 Bubanza FSEA 20 ans
15/05643 Uwera Fanny 20 Kirundo IPA
14/08765 Maombi Joy 19 Bujumbura FSI
15/08732 Dushime
THEORIESPeace 18 Bururi
DES BASES DE DONNEES FSI 86
Cette résolution
peut être
représentée sous
forme d’un
arbre :
3 4 9 10 11
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
A B X C D
1 2 2 5 6
1 2 4 7 8
1 2 9 10 11
3 4 2 5 6
3 4 4 7 8
THEORIES DES BASES DE DONNEES 93
3 4 9 10 11
LANGAGE ALGÉBRIQUE DES
REQUÊTES
Exemple:
Considérant l’expression sous forme d’arbre du 4.4.9,
pour la requête : πMatricule, NomPre, Age
(σAge<20)Etudiant∩σFac=‘FSI’Etudiant)
Une sequence possible des taches:
R(t,y,l,i,s)=σAge<20(Etudiant)
S(y,t,l,i,s)=σFac=‘FSI’(Etudiant)
T(y,t,l,i,s)=R∩S
104
107