Dimensionnement Des Installations Électriques

UNIVERSITÉ CHOUAIB DOUKKALI
Ecole Nationale des Sciences Appliquées

EL JADIDA
Dimensionnement des installations électriques

Filière : Génie Energétique et Electrique
(GEE)
ENSA - El Jadida
Présenté par
Younes ABOUELMAHJOUB
Doctorat en Sciences de l’ingénieur à l’ENSIAS –Université Mohammed V de Rabat
Professeur agrégé en Génie Électrique
Etape 2. détermination des sections des conducteurs et câbles
Définitions :
1- Conducteur isolé :
Un conducteur isolé est un ensemble formé
d'une âme conductrice et de son enveloppe
isolante. L'enveloppe isolante est souvent
recouverte d'une coloration soit
monochrome, soit bicolore en fonction des
demandes des clients ou normalisation.
2- Câble unipolaire :
Un câble unipolaire est un conducteur isolé
comportant en plus une ou plusieurs gaines
de protection. Un câble unipolaire est un
câble monopolaire.
Cycle d’ingénieur G2E Novembre 2020

Département STIN ENSAJ
Définitions :
3- Câble multipolaire :
Un câble multipolaire est un ensemble de
conducteurs électriquement distincts et
mécaniquement solidaires, comportant
une gaine de protection commune. Un
câble multipolaire est un câble
multiconducteur.

Définitions :
5- L’âme conductrice:
 Constitution : Elle peut être:
 En Cuivre nu ou revêtu d’une couche métallique.
 En Aluminium ou en alliage d’aluminium nu ou revêtu d’une couche métallique

Définitions :
 Caractéristiques générales :
-Bonne conductibilité : afin de réduire les pertes lors du transport de l’énergie
- Résistance mécanique suffisante : afin d’éviter la rupture des conducteurs sous les
efforts au moment de la pose, la fixation, le serrage
- Bonne souplesse : pour faciliter le passage des conducteurs dans les conduits, respecté
le tracé des canalisations, alimenter les appareils mobiles
-Bonne tenue à la corrosion : due aux agents atmosphériques et aux agents chimiques
- Bonne fiabilité des raccordements

Définitions :
Equivalence Aluminium-Cuivre
L’aluminium est autorisé à partir d’une section de 2,5mm².
Pour une même résistance électrique :
Ce qui ce traduit par le choix d’une section d’âme en aluminium immédiatement supérieure
à celle d’un conducteur en cuivre, dans l’échelonnement normalisé des sections des
conducteurs.

Définitions :
 Classe de souplesse :
L’âme peut être :
Massive : lorsqu'elle est constituée d'un conducteur unique (1a= un seul brin)
Divisée (câblée) : lorsqu'elle est formée de plusieurs brins assemblés en torons (1b=plusieurs
brins). Les brins des âmes câblées sont répartis en couches successives.
La souplesse du conducteur dépend du nombre de brins utilisés pour une même section
conductrice.
Les brins des âmes câblées sont répartis en couches successives.
1ère couche = 1 + 6 = 7 brins
2ème couche = 1 + 6 + 12 = 19 brins
3ème couche = 1 + 6 + 12 + 18 = 37 brins
.
 n( n  1 ) 
nème couche = 1 + 6 + 12 + 18…+ n*6= 1    6
 2 
brins

nème couche = 1 + 6 + 12 + 18…+ n*6= 1   n( n  1 )  6 

brins  2 

Définitions :
 Classe de souplesse :
Elle est classée suivant 6 indices et un symbole la caractérisant est généralement reporté sur
les emballages de conditionnement.
Classe1: un seul conducteur (âme massive)

Classe 2 à 6: plusieurs conducteurs (âme câblée)
Utilisation fixe (ex : conducteurs encastrés dans les murs) type rigide
Contraintes mécaniques sévères (ex : cordon d’alimentation d’un aspirateur) type souple

Définitions :
6- L’enveloppe isolante :
Son rôle est d’isoler les parties actives entre elles dans le but d’éviter les courts-circuits.
Elle est réalisée avec des matériaux dits isolants.
Constitution
Le polychlorure de vinyle ou le polyéthylène (PVC) ;
Le polyéthylène réticulé (PR)
Le caoutchouc butyle vulcanisé (PRC)

Définitions :
6- L’enveloppe isolante :

Définitions :
7- Gaine de protection mécanique :
Les enveloppes isolantes ne sont pas toujours suffisantes pour protéger le
câble des contraintes du milieu extérieur. Ces contraintes sont de plusieurs
types :
Contraintes mécaniques : chocs, traction, torsion, flexion
Contraintes physiques : chaleur, froid, humidité, feu, UV
Contraintes chimiques : corrosion, résistance aux bases et aux
acides

Définitions :
7- Gaine de protection mécanique :
Les armures :
C’est la protection contre les chocs. Les câbles BT 1000V qui possèdent une armure peuvent
être enterrés sans autre protection.les armures sont toujours métalliques ; elles peuvent être
réalisées de différents façon :
les armures en feuillard d’acier ;
les armures en feuillard d’aluminium ;
les armures en fils d’acier galvanisé ;
les écrans et blindages :
Les écrans ou blindages ne sont pas destinés à la protection mécanique mais à la protection
électrique ils doivent :
faire barrière aux champs électrostatiques extérieurs au câbles ;
répartir le champ électrique à l’intérieur du câble (câble MT ou HT à champ radial) ;

Exemple d’un câble

8- Repérage des conducteurs:
Il est réalisé:
- Soit par des couleurs :
● Vert / jaune : conducteur de protection (PE)
● Bleu clair : neutre s’il est distribué
● Toutes les couleurs sauf le vert / jaune , le vert , le jaune et le bleu clair : phase
- Soit par des chiffres

9. Le mode de pose
Le mode de pose est la façon dont une canalisation est installée (encastrée, apparente, aérienne…etc.).
10. Les différents modes de pose
Les différents modes de pose ont été codifiés en 9 classes selon la norme NFC 15-100 :

Conducteurs nus câbles sur chemins câbles sur chemins

ou isolés de câbles non perforés de câbles perforés
câbles sur corbeaux

ou treillis soudés
Câbles fixés au plafond

11. Les modes de pose autorisés

I- Détermination de la section de phase
1ère Etape : (Lettre de sélection)
Déterminer une lettre de sélection qui dépend du conducteur utilisé et du mode de pose.
Les lettres de sélection sont au nombre de cinq :
 Quatre repérées B, C, E et F concernent toutes les situations de pose non enterrées,
 la cinquième D concerne la situation de pose enterrée.
(voir tableau ci-dessous)

2ème Etape : (Facteur de correction K ) : qui caractérise l’influence des différents conditions
d’installation des Conducteurs. Il s’obtient en multipliant les facteurs de correction :
Canalisations non enterrées : K = K1* K2* K3 ( Voir annexe 1 )
Canalisations enterrées : K = K4* K5* K6*K7 ( Voir annexe 2)
3ème Etape : (Courant admissible corrigé ou équivalent IZ’ ) :

En fonction des facteurs correcteurs on peut calculer l’intensité véhiculée par la canalisation
IZ’ = Iz / (K1*K2*K3) (canalisations non enterrées)
IZ’ = Iz / (K4*K5*K6*K7) (canalisations enterrées)
4ème Etape : (Détermination de la section du conducteur) :

En fonction de la valeur de IZ’, du nombre des conducteurs (2ou 3) et de la nature de l’isolant
(PR ou PVC) on se reporte aux tableaux des sections en annexe 3 ou 4 pour trouver la
section du conducteur

Le facteur de correction Ks prend en compte la symétrie :
Généralités :
Conditions à respecter :
Pour la mise en parallèle de câbles unipolaires il faut des câbles de même impédance.
L’article 523.6 de la a norme NFC 15-100 décrit d’ailleurs les conditions à respecter pour
réaliser de telles installations dans les règles de l’art :
- Ils doivent être de même nature,
- Admettant les mêmes intensités admissibles,
- De même section,
- De longueur sensiblement égale,
- Suivre le même cheminement,
- Ne doivent comporter aucune dérivation sur leur parcours.
D’une façon générale, il faut rechercher la meilleure symétrie possible entre les
conducteurs d’une même phase.

D’une façon générale, il faut rechercher la meilleure symétrie possible entre les conducteurs d’une
même phase.
- 2 câbles par phase :
Dans cette disposition, il y aura égalité des impédances entre les câbles d’une même phase s’il y a
symétrie.

- 3 câbles par phase :
On ne peut pas dans ce cas obtenir une configuration symétrique parfaite. Les dispositions ci-
dessous peuvent être retenues
- 4 câbles par phase

Dans le cas de 4 câbles par phase, on obtient une double symétrie avec la disposition ci-dessous.
Cette disposition est applicable dans une galerie technique ou dans un caniveau spécial.
On remarque que les dispositions ci-dessus sont relativement
difficile à réaliser et à maintenir sur un long parcours.

Note 1 : D’autres dispositions sont prévues par la normalisation (disposition avec un
conducteur neutre) :
Dans ce cas, le facteur de symétrie est égal à 1

(selon la norme NF C 15-105 et le nombre de câbles en parallèle)
Ks = 1 pour 2 et 4 câbles par phase avec le respect de la symétrie
Ks = 0,8 pour 2, 3 et 4 câbles par phase si non respect de la symétrie.

Exercice:
Un câble PR triphasé est tiré sur un chemin de câbles perforé jointivement avec 3 autres
circuits constitués :
• D'un câble triphasé (circuit N°1) ;

• De 3 câbles unipolaires (circuit N°2) ;
• De 6 câbles unipolaires (circuit N°3) : ce dernier circuit est constitué de 2 conducteurs par
phase.
Il y aura donc 4 groupements triphasés. La température ambiante est de 40°C. Le câble PR
véhicule 23 ampères par phase.
Déterminer la section des conducteurs de phase du câble PR

Réponse :
La lettre de la méthode de référence est : E, car le mode de pose n°13
Le coefficient K = K1.K2.K3 = 0,7
Car K1 = 1 ( car lettre de sélection E et autres cas)
K2 = 0,77 ( car lettre de sélection E + tablettes horizontales perforées et 4 Circuits)
K3 = 0,91 ( Ta=40°c + isolant PR)
Détermination de la section du câble :
Crt d’emploi IB=23A
On choisira une valeur normalisée de In juste supérieure à 23 A. Deux solutions :
a) Solution disjoncteur : In = 25 A
Courant admissible dans le câble Iz = In =25 A
intensité fictive prenant en compte le coefficient K : I'z = 25/0,7 = 35,71 A
section du câble : en se plaçant sur la ligne correspondant à la lettre de sélection E dans la
colonne PR3, on lit la section nécessaire pour véhiculer 35,7 A soit pour la valeur
immédiatement supérieure rencontrée (42 A) 4 mm² cuivre ou (43 A) 6 mm² aluminium.

Réponse :
b) Solution fusible : In = 25 A
Courant admissible dans le câble on applique le coefficient correspondant

Iz = 1,21 x 25 = 30,25 A car 25A In
intensité fictive prenant en compte le coefficient K : I'z = 30,25/0,7 = 43,21 A
section du câble : en se plaçant sur la ligne correspondant à la lettre E, dans la colonne PR3
ligne 54 A en cuivre ou 59 A en aluminium,
la section est de 6 mm² cuivre ou 10 mm² aluminium

2) Choix de la section du conducteur neutre
a) Le conducteur neutre peut avoir une section inférieure à celle des conducteurs de phase
b) Le conducteur neutre peut avoir la même section que les conducteurs de phase
c) Le conducteur neutre peut avoir une section supérieure à celle des conducteurs de phase
On résume les différents cas dans le tableau ci-dessous :

Exemple 1 : Taux d’harmoniques en courant de rang 3 et multiple de 3 : 0<TH 15 %
Hypothèses :
- Circuit triphasé + neutre
- Courant d’emploi IBphase = 77 A
- Mode de pose : câble multiconducteurs en cuivre isolés au PVC posé un conduit encastré
- Température ambiante : 30 °C
- Protection par fusibles gG
Question :
Déterminer la section du conducteur de phase Sph et la section du conducteur de neutre SN
Correction
a) Facteurs de correction :
Selon le mode de pose indiqué on a une canalisation aérienne alors on doit déterminer les
facteurs de correction :
K1 ; K2 et K3
Selon le mode de pose indiqué on a la lettre de sélection est : B car on a un câble
multiconducteurs dans un conduit encastré
Correction
a) Facteurs de correction :
Selon le mode de pose indiqué on a une canalisation aérienne alors on doit déterminer les
facteurs de correction :
K1 ; K2 et K3
Selon le mode de pose indiqué on a la lettre de sélection est : B car on a un câble
multiconducteurs dans un conduit encastré
- K1 = 1 Car autres cas
- K2 = 1 Car un seul circuit (câble multiconducteurs) est posé seul
- K3 = 1 Car Ta = 30° et nature de l’isolant PVC
- Neutre non chargé Kn = 1 car le taux d’harmoniques en courant de rang 3 et multiple de 3 est : TH
15 %

Alors K= K1×K2×K3×Kn = 1×1×1×1 = 1
b) Protection par fusibles gG

Détermination du courant assigné du fusible :
- In ≥ IB alors In = 80 A > IB = 77 A
c) Calcul du courant admissible Iz :
Iz =1.1×In car In > 25A alors Iz = 1.1×80 = 88A
d) Calcul du courant admissible corrigé I’z :
I’z = Iz / K = 88 A
Le tableau de l’annexe 3 donne : pour la lettre de sélection B, colonne PVC3 , âme en cuivre , une
section de :
Sph = 25 mm² (courant admissible 89A)
Conclusion :
La section du conducteur phase est : Sph = 25 mm²
La section du conducteur neutre est : on a Sph(Cu) >16mm² et on a le taux d’harmonique 0<TH 15 %
alors la section du neutre admis est : SN = Sph/2 = 25/2 = 12 .5mm² d’où la valeur normalisée de la
section du neutre est SN = 16mm²
3) Choix de la Section du conducteur de protection :

Etape 3. détermination de la chute de tension
I. Détermination de la chute de tension:
Un câble électrique possède une certaine impédance Z, toute impédance traversée par un courant I
présente à ses bornes une tension valant : U = Z×I
Le schéma ci-dessous explique pourquoi à cause de ce phénomène, on ne retrouve pas aux bornes du
récepteur la totalité de la tension de départ.
En appliquons la loi des mailles : UG = UR + Z.I + Z.I = UR + 2.Z.I  UR = UG ̶ 2 .Z.I

Application numérique :
Pour alimenter un radiateur de 2300w à partir du réseau 230V monophasé BT de distribution publique,
on utilise un câble 2 ×1.5mm2 de 30 m de longueur et présentant une résistance par fil de Rfil = 0.45Ω ;
le courant absorbé par le radiateur est I = 10A
La chute de tension est : ΔU = 2*0.45*10 = 9V
La tension aux bornes du radiateur est : UR = 230 ̶ 9 = 221V
En pourcentage de la tension de départ, la chute de tension est : ΔU % = ΔU/Un = 9/ 230 = 0,039
soit 3,9%
Attention, en delà d'une certaine valeur on considère que le radiateur ne fonctionne plus correctement
I. Détermination de la chute de tension:
Solution: Le bon fonctionnement d’un récepteur (surtout un moteur) est conditionné par la valeur de
la tension à ses bornes. Il est donc nécessaire de limiter les chutes de tension en ligne par un
dimensionnement correct des câbles d’alimentation.
II. Limite maximale de la chute de tension

La norme NFC 15-100 limite les valeurs de chute de tension admissible selon le type de réseau et la
nature du récepteur.
La norme NF C 15-100 impose que la chute de tension entre l’origine de l’installation BT et tout
récepteur n’excède pas les valeurs du tableau ci-après.
Remarque : Lorsque la chute de tension est supérieure aux

valeurs du tableau ci-dessus, il sera nécessaire d’augmenter
la section de certains circuits jusqu’à ce que l’on arrive
à des valeurs inférieures à ces limites.
II. Limite maximale de la chute de tension
III. Calcul de la chute de tension en ligne en régime permanent :
Calcul par les formules
Les formules usuelles qui permettent de calculer la chute de tension dans un circuit donné par Km de longueur.
Avec IB : courant d’emploi en ampère (A).

L : longueur du câble en (Km)
RL : résistance linéaire d’un conducteur en (Ω / Km)
pour le cuivre
pour l’aluminium
Note : RL est négligeable pour S > 500mm²
XL : réactance linéique d’un conducteur en Ω / Km
Note : XL est négligeable pour S < 50mm²
En l’absence d’autre indication on prendra XL = 0.08Ω / Km
φ : déphasage du courant sur la tension dans le circuit considéré :
Eclairage cosφ =1
Force motrice :
- en démarrage cosφ = 0.35
- en service normale cosφ = 0.8
Un : tension nominale entre phases.
Vn : tension nominale entre phase et neutre.
Calcul à partir d’un tableau simplifié :
Le tableau 3 ci-dessous donne avec une bonne approximation, la chute de tension par Km de câble pour un
courant IB en fonction :
 Du type de récepteur
 Du type de câble monophasé ou triphasé
La chute de tension s’écrit alors :
U (volts) = K . IB . L
K : donné par le tableau,
IB courant d’emploi en ampères,
L : longueur du câble en km.
Exemple d’application :
Un câble triphasé cuivre de 35 mm², 50 m alimente un

moteur 400 V consommant :
- 100 A sous cosφ= 0,8 en régime permanent,
- 500 A (5×In) sous cosφ = 0,35 au démarrage.
La chute de tension à l'origine de la ligne est en

régime normal (consommation totale
distribuée par le tableau : 1000 A) de 10 V entre phases.
Quelle est la chute de tension aux bornes du moteur :
a) en service normal,
b) au démarrage ?

Dimensionnement Des Installations Électriques - 3

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nème couche = 1 + 6 + 12 + 18…+ n*6= 1   n( n  1 )  6 

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Classe1: un seul conducteur (âme massive)

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Conducteurs nus câbles sur chemins câbles sur chemins

câbles sur corbeaux

Câbles fixés au plafond

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3ème Etape : (Courant admissible corrigé ou équivalent IZ’ ) :

4ème Etape : (Détermination de la section du conducteur) :

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- 4 câbles par phase

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Dans ce cas, le facteur de symétrie est égal à 1

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• D'un câble triphasé (circuit N°1) ;

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Courant admissible dans le câble on applique le coefficient correspondant

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Exemple 1 : Taux d’harmoniques en courant de rang 3 et multiple de 3 : 0<TH 15 %

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b) Protection par fusibles gG

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En appliquons la loi des mailles : UG = UR + Z.I + Z.I = UR + 2.Z.I  UR = UG ̶ 2 .Z.I

II. Limite maximale de la chute de tension

Remarque : Lorsque la chute de tension est supérieure aux

Avec IB : courant d’emploi en ampère (A).

Un câble triphasé cuivre de 35 mm², 50 m alimente un

La chute de tension à l'origine de la ligne est en

Quelle est la chute de tension aux bornes du moteur :

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