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Memoire Expulsion Maroc
Memoire Expulsion Maroc
Encadré par :
Préparé par :
Année universitaire :
2003-2004
Plan:
Introduction
a-Responsabilité du propriétaire .
1-indemnité forfaitaire.
3-Droit de priorité.
C-La fraude au droit du locataire.
§1 : la tentative de conciliation .
§3 : le droit de répontir.
Conclusion.
Introduction générale :
Même si l’heure est à la politique, à l’économie et à l’enseignement,
l’intérêt de l’opinion publique se porte de plus en plus sur les
problèmes liés à la location.
Ainsi, le bail est une figure contractuelle majeure, une des principales
application du louage de choses en matière immobilière. En effet, le
propriétaire de la chose renonce à l’usage de son locale, maison, ferme
ou magasin, au profit d’une somme d’argent, dit loyer, qui est payée
périodiquement. C’est ce qui ressort des dispositions de l’article 627 du
D.O.C.
Néanmoins, le droit de jouissance du preneur, à la déférence du droit
de propriété n’est pas perpétuel. Un jour ou l’autre, Le bailleur peut
restituer son locale.
Néanmoins pour que le locataire faire tout cela, il faut suivre plusieurs
mesures juridiques c’est ce qu’ont appelant<<la procédure
d’expulsion>> Cette dernière constitue la partie la plus difficile dans
notre mémoire et en même temps la plus importante.
L’article 663 de D.O.C impose au locataire le paiement d’un loyer en contre partie de
la jouissance des locaux, le refus de locataire de payer ce loyer- constitue un motif
grave et légitime justifiant aussi son expulsion suite a l’article 11 alinéa 1 de dahir de
1955.
La cour suprême à poser un principe selon le quelle <<le loyer est curable et non pas
portable >> le principe pose énormément de problème quant à la justification de
nom paiement.
Suite a se principe le bailleur doit justifier le nom paiement par l’envoie d’une mise en
demeure l’invitant a payer dans on délais raisonnable. A défaut il doit être expulsé.
Le législateur marocain a ratifie une novelle loi relative aux paiement de loyer, dans
un bute d établir un certain équilibre entre les partie du contrat de bail c’est la loi
64/99.
Il est de bon son de préciser d’abord les conditions et le champ d’application de cette
loi avant d’étudier le renvoi de la mise en demeure.
La loi 64/99 s’applique aussi bien dans le domaine civil que commercial, mais il ne
supplique que dans le cas ou la relation contractuel entre les partie est établie par un
contrat écrit ou par une décision judiciaire final indiquant le mentant de loyer.
A défaut d’un contra écrit les règle de droit commun doivent recevoir application.
Une second observation a noté et que les règles de la loi 64/99 n’est pas obligatoire
c’est à dire que le bailleur est toujours libre de recourir aux règles de la loi 64/99 ou
celle de dahir de 24 mai 1955.
Le législateur, en utilisant le terme le tribunal compétant, dans l’article 2 de loi
64/99, a omit de mettre fin ou conflit de compétence notamment an matière-
commercial entre le tribunal de première instance et le tribunal de commerce, la
solution est toujours jurisprudentiel.
Après avoir préciser ces observation sur la loi 64/99 on peut dire que le bailleur est
toujours libre de recourir a- ces règle pour justifier le non paiement de loyer par le
locataire.
Pour y faire il doit envoyer au locataire une mise en demeure, par l’intermédiaire de
tribunal compétant, en l’occurrence le tribunal de commerce, l’invitant a payer le
loyer échue dans un délais de 15 jour sous peine d’être expulsé.
L’article 3 de la loi 64/99 prévoit que la mise en demeure doit, a peine de nullité,
mentionner :
Le nom de locataire et de bailleur.
L’adresse où le local est situé.
Les mois impayés.
Le montant de payer.
Le montant global.
Un congé de 15 jours.
La mise en demeure valablement envoyer donne ou location un délais de 15 jour
d’exécuté son obligatoire et de payer le loyer ce délais commence a courir le jour de la
motivation de la mise en demeure au locataire.
Par le renvoi de la mise en demeure deux situation se présente, ou bien le locataire
persiste encore en autorisant bailleur de passé a la deuxième étape, demander la
ratification de la mise en demeure et l’injonction de paiement.
L’art 6 de la loi 64/99 prévoit que le président du tribunal compétant ou son substitut
ratifie la mise en demeure et prononce une injonction de paiement, dans un délais de
48 h de sa saisine.
L’injonction de paiement prononcé par le juge doit être exécuté et n’est pas
susceptible d’aucun recours, ni ordinaire, ni extraordinaire.
Par cet articles le législateur vise a assurer, d’une part l’exécution réel de la décision
du juge et d’autre part la rapidité de cette exécution et ce dans un délais de 48 h on la
protégent en même temps de tout recours judiciaire susceptible de retardé ou de sous
pendre sou exécution .
En contre partie l’art 7 de la loi 64/99 dépose que le refus de la ratification de la mise
en demeure n’est également susceptible l’aucun recours et na aucune force
probatoire.
Ou niveau de cette article 7, la doctrine critique le faite que le législateur na pas
déterminer les conditions de refus de la notification de la mise en demeure il est donc
soumis ou pouvoir
Discrétionnaire de juge et n’est pas soumis au contrôle de la cour suprême.
L’article 8 de la dite loi allége de la rigueur de présidente article en prévoyant que le
bailleur dans la notification de la mise en demeure a été refusé peut recourir au règle
de droit commun pour faire expulsé son locataire.
En toute état de cause le renvoi de la mise en demeure constitue un preuve de non
paiement de loyer.
Le refus de locataire de payer le loyer constitue un motifs grave et légitime qui permet
ou bailleur de demander son expulsion suite a l’article 11 alinéa 1 de dahir de 24 mai
1955, après avoir justifier- cette faute par le renvoi d’une mise en demeure.
Mais il arrive que le locataire pour une raison ou autre ne peut pas exécuté son
obligation, pour éviter une conséquence probable, le locataire procède dans la
pratique a envoie au bailleur une lettre dans laquelle il exprime sa volonté de payer
sans procéder réellement ou paiement.
Face à cette handicape la jurisprudence notamment en matière de bail civil considère
que la seule volonté de payer est insuffisante et prononce sont expulsion il on est
ainsi de la cour d’appel de MEKNES dans sont arrêt N°1025 date 3/4/1990ou le
locataire a déclaré qu’il est prêt a payer a condition de recevoir un reçus, et vue que le
locataire na pas réellement procédé au paiement ce qui justifie son expulsion.
Pour éviter son expulsion après avoir reçus la mise en demeure le locataire procède a
payer seulement une partie de sa dette sans pouvoir payer la totalité de loyer.
La plupart de la jurisprudence marocaine assimile l’offre incomplète ou non paiement
et prononce l’expulsion.
Si le point de vue aussi de la cour d’appel de MEKNES qui a déclaré dans sa décision
N° 1940 daté 8/5/1990 que le locataire qui a reçue la mise en demeure de bailleur par
une lettre recommandé, a payer une partie de loyer, deux mois seulement, se qui
justifie son expulsion.
De point de vue juridique la décision de la jurisprudence est sainte, mais il faut
prendre en considération la difficulté temporaire qui peuvent faire face ou locataire,
qui pour sauver son fond de commerce ne peut pas payer la totalité de sa dette,
puisque les affaire ne tourne pas toujours bien notamment dans le domaine de
commerce ce qui nécessite une certain flexibilité dans l’application de cette règle dans
ce cas.
Dans d’autre cas la réponse est où delà de délai déterminé par la loi la jurisprudence
distingue a ce niveau deux cas.
Le cas ou la réponse de locataire est intervenue avant que le bailleur entame l’action
d’expulsion et le cas ou sa réponse est intervenue après avoir entamé l’action
d’expulsion.
Dans le premier cas si le locataire a essayé d’exécuter son obligation même après
l’écoulement de délais de la mise en demeure, mais avant que le bailleur entame
l’action d’expulsion, il manifeste aussi sa bonne fois et évite par cet acte son
expulsion.
Mais si le locataire a retardé de payer jusque au moment ou le locataire a entamé
l’action définitive et demande son expulsion son remords n’est pas suffisant, et même
s’il offre de payer devant le juge son acte est considéré retarde et il doit être expulsé.
En se basent sur l’article 692 al 2 de .D.O.C qui stipule que : <<la résolution a lieu en
faveur de locateur, sans préjudice des dommage, si le cas y échit:
2- s’il la néglige de manière à causer à la chose un dommage notable.
Cette négligence est un motif grave est légitime qui est pour conséquence l’expulsion
du locataire sans indemnité, car c’est une dérogation au principe indiqué par l’article
663 de D.O.C qui oblige au locataire de conserver la chose louée dont des mesures à
prendre très importantes à savoir:
Avertir sans délai le propriétaire de tous les faits qui exigent son intervention,
qu’il s’agisse de réparation urgentes. Propagations urgentes.
De la découverte des défauts imprévus, d’usurpation. Ou de réclamation portant sur
la propriété ou sur un droit réel, de dommages commis par des tiers (article 647de
DOC).
Selon l’article 663 de D.O.C le locataire est tenu de : conserver la chose louée et d’en
user sans excès ni abus, suivant sa destination naturelle ou celle qui lui a été donnée
par le contrat.
L’inexécution de cette obligation constitue un motif grave et légitime qui justifie
l’expulsion sans indemnité de locataire, car ce dernier peut faire face à ce problème
par le fait d’appliquer les conditions expresses et tacites indiquer par le contrat.
Contrairement au cas précèdent, dans ce cas lorsque le texte reste silencieux sur la
manière d’utilisation du local, le locataire doit respecter les modifications naturelle de
local précisé au moment du contrat.
Donc lorsque la modification naturelle ne favorise ou locataire qu’une seule activité
précise, les parties peuvent être conséderés comme consentie tacitement, mais si le
local ne se caractérise pas par des caractères
favorisent l’utilisation de ce dernier de certain activités à l’exception d’autre le
locataire peut dans ce cas exerce une activité conforme à la nature de local, même s’il
choisie une activité déterminée par le contrat au début de bail il a le droit de
changement.
Si les parties se mettent d’accord sur un commerce précise ou une industrie, le
locataire à droit d’ajouter un commerce précise ou une industrie, le locataire à droit
d’ajouter un commerce complémentaire à celle qui à choisie à condition que cette
activité ne cause aucun dommage comme l’indique l’art 669 de DOC qui stipule que :
« Le preneur ne peut céder ou sous–louer la chose pour, un usage différent, ou plus
onéreux, que celui déterminé par la convention ou par la nature de la chose »
Même que cette règle concerne par la cession et la sous location elle est consédiré
comme applicable dans les relations entre le bailleur et le locataire.
Donc si le bailleur est en état d’éviction pour cause seulement que le locataire ajoute
une activité complémentaire qui ne cause aucun dommage, il peut être conséderé
comme un abus de droit, car son éviction n’entraîne aucun effet.
On remarquera toute fois que le changement d’un commerce à l’autre par le locataire
peut mettre fin au fond de commerce qui est constitué pour la première activité, dans
ce cas un danger est apparu sur les droits de locataire.
Ainsi d’autres obligations de locataire doivent être respecté concernant l’utilisation de
local à sa nature comme le cas de non utilisation de local ou son utilisation de
manière à causer un dommage notable à ses voisins.
C- La non utilisation de local ou son utilisation de manière à causer un
dommage à ses voisins:
L’utilisation du local dans la nature auquelle il est destinée s’impose une utilisation
correcte qui ne couse aucun dommage ni bruit à ses voisins, ni exercer des activités
différentes à l’ordre public et aux bonnes moeurses.
Le locataire est aussi obligé dans ce cas d’utiliser le local de manière durable ou
continue, car, le fait de ne pas utiliser le local pendant longtemps donne droit au
bailleur de restituer son local pour l’utiliser et par conséquent il a le droit d’expulser
le locataire sans indemnité grâce à ce motif grave et légitime énoncé par l’article 11, de
dahir de 1955.
Donc comme on déjà dit la non utilisation et autre chose que celle de sa négligence
qui est au contraire de sa protection cette dernière ne signifie pas aussi l’utilisation
dans locale à sa nature auquel il est destiné et dans ce cadre la cour suprême à pris
une décision daté le 8-7-1987 décision 16N° 19634 dossier civil n° 93159 qui dit que :
Le locataire est obligé selon l’article663 de D.O.C de protége la chose louée et de
l’utiliser sans négligence ni abus selon la nature ou par la convention.
Dans ce cas le locateur au lieu de suivre la procédure qui impose un ordre d’ouverture
de local qui ne même dans la plus part des cas à aucune résultat positive par ce que le
locataire peut toujours se défendre de son droit et justifié qu’il n’est pas négliger la
chose louée de manière définitive et que le contrat de travail n’est pas résolu ni par la
justice ni par la convention des parties, peut donc demande la résiliation du contra de
bail conformément aux règles générales de la loi et l’art 962 de D.O.C.
La cession est l’acte par lequel le preneur transmet a un tiers l’ensemble des droit que
le bail lui donne a d’encontre du propriétaire
A l’égard du mutisme du dahir du 24 mai 1955 sur la cession de bail commercial, il est
possible d’affirmer que les règles de droit commun demeurent applicables en la
matière.
D’après ces règles notamment l’art 668 DOC le principe est la licéité du bail sauf
défense conventionnel ou impossibilité matérielle. Le preneur a donc le droit de cédé
son bail a moins que l’interdiction de céder m’ait été exprimé ou ne résulter de la
nature des lieux.
Dans le cas ou elle est stipule dans le contrat la défense de céder s’entend d’une
manière absolue et entra ne celle de céder la jouissance même a titre gratuit.
De même le preneur ne peut cédé le bail pour affecter l’immeuble a un usage différent
ou plus onéreux. Que celui détermine par le contrat ou la nature des lieux.
Mais il peut que le contrat autorise la cession sous réserve de l’accord du propriétaire.
Dans ce cas il a été décidé que le bailleur n’est pas en droit de se prévaloir de cette
clause d’agrément pour s’opposer sans limite à la cession et qu’il est possible de se
faire autoriser judiciairement a passer outre cette clause si ce refus ne s’appuie pas
sur un motif légitime.
Si la cession est régie par les dispositions de DOC. qui on est la cas pour le sous
location.
B- La sous location.
___________________________________
- احمد عاصم الحماية القانونية للكراء التجاري دراسة نظرية تطبيقية للنصوص على ضوء قرارات المجلس األعلى ص
بعدها وما 108 .
-Arrêt N°682 daté le 14/10/78 de la cour suprême.
-arrêt N660 daté 27/10/78 de la cour suprême.
– 126 ص2001 محمد بونبات الجديد في كراء األماكن المعدة للسكنى واالستعمال المهني سلسلة آفاق القانون.
– 130 ص سابق مرجع بونبات محمد.
– 131 ص سابق مرجع بونبات محمد.
– 131 ص سابق مرجع بونبات محمد.
– D juglar. Cours de droit commercial V:18éme édition 1984 mont chestion page
189.
– art 668 de DOC ce le preneur a le droit de sous-louer, et même de céder son bail a
un autre, un tout ou un partie, a moins que la défense de sous louer a de céder n’ait
été exprimer ou ne résulte de la nature de chose. La défense de sous louer doit être
entendue d’une manier absolu, et entraîne celle de sous louer pour partie, ou de
céder la jouissance même à titre gratuit »
– d juglont cours de droit commercial volume1 8éme édition 1984 mon
tchestin .page 200
– ABDERAHMANE CHAOUI ROQAI le bail commercial mémoire de DESA
université MOUHAMED V rabat 1994 p 174.
– ABDERAHMANE CHAOUI ROQAI le bail commercial mémoire de DESA
université MOUHAMED V rabat 1994 p 75
– Ibidem page 75
– Ibidem page 75
– D JUGLONT cours de droit commercial volume 1 8 éme édition 1984 mon
techestin Page 231.
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< Si le locataire constate l’obligation de démolution total ou partielle du locale par ce
que l’autorité administrative déclare qu’il est insalubre et dangereux et que le travail
de propriétaire dans ce dernier constitue un danger pour absence de sécularité donc il
a le droit de refuser le renouvellement du bail pour les deux cas principaux >
Dans une 1ére cas : concerne la situation insalubre et dangereux (§1) et dans une
2éme cas: concerne la reprise par construction, reconstruction ou surévaluation du
local. (§2) nous analyserons successivement les deux cas.
La bailleur peut être exonéré de toute indemnité pour refus de renouvellement « s’il
est établi que l’immeuble doit être totalement ou partiellement démoli comme étant
en état d’insalubrité reconnue par l’autorité administrative, ou s’il est établi qu’il ne
peut plus être occupé sans danger en raison de son état d’insécurité> (article11).
En somme l’acte administratif est indispensable et ne peut être remplacé par une
décision de justice. De même le juge ne peut exercer un contrôle sur l’opportunité ou
le bien fondé de l’arrêté déclarant l’immeuble insalubre, mais uniquement un
contrôle sur sa régularité du point de vue de la forme.
D’une manière générale l’état d’insécurité ne vise pas les immeubles anciens mais de
construction solide et dont la démolition n’est pas urgente.
a- Responsabilité du propriétaire:
Le dahir du 17 janvier 1948 permettait dans son article 21, au locataire de rester dans
les lieux jusqu’au commencement des travaux. Mais cette faculté se conciliait
difficilement avec l’état d’insécurité de l’immeuble.
Le dahir de 24 mai 1955 étant muet sur cette question, la jurisprudence a décidé à
juste titre que l’expulsion du locataire pourra être immédiate dès lors que l’immeuble
menace d’un effondrement imminent.
En raison de l’urgence, le juge des référés est compétant pour ordonner cette
expulsion.
c- La fraude du bailleur:
d- Le droit de priorité:
Le propriétaire peut exercer le droit de reprise dans les deux cas suivants :
2) Lorsqu’il se propose de construire des locaux à usage d’habitation sur tout ou
partie d’un des terrains nus sur lesquels ont été édifiés des constructions à usage
commercial, industriel ou artisanal, à deux conditions:
a– Entreprendre effectivement la construction projetée dans un délai de deux
ans à compter du refus de renouvellement.
b- Exercer la reprise uniquement sur la partie du terrain indispensable à la
construction.
Le propriétaire peut également différé, pendant une durée maximum de deux ans, le
renouvellement du bail, s’il entend surélever l’immeuble sous réserve que cette
surélévation rend nécessaire l’éviction temporaire du locataire.
1- Indemnité forfaitaire:
Le bailleur doit payer au locataire évincé, préalablement à son départ, une indemnité
égale au préjudice subi sans qu’elle puisse excéder;
a– Trois ans de loyer au taux en vigueur au moment de l’éviction lorsqu’il s’agit d’une
reprise soit pour démolis et reconstruire, soit pour construire sur un terrain nu ;
toutefois, dans ce dernier cas, cette indemnité forfaitaire n’est due que si la reprise
des terrains à bâtir entraîne obligatoirement la cessation de l’activité du locataire:
a– Deux ans de loyer aux taux en vigueur au moment de la reprise lorsque le bailleur
diffère le renouvellement pour surélévation.
Le locataire évincé à le droit de rester dans les lieux jusqu’au commencement effectif
des travaux, et ce aux clauses et conditions du bail venu à terme.
3- Droit de priorité:
Signalons que le propriétaire n’est pas légalement obligé de construire des locaux à
usage commercial et ne peut être contraint par le preneur à aménager et à mettre à sa
disposition des locaux semblables à ceux qu’il a quittés.
De même, s’il entend s’établir pour son propre compte, alors même qu’il exercerait un
commerce similaire à celui du locataire évincé, le droit de priorité ne peut lui être
opposable.
b) »Pour bénéficiers du droit de priorité, le locataire, doit en quittant les
lieux, ou, au plus tard, dans les trois mois qui suivent son départ, notifier sa volonté
d’en user au propriétaire » cette notification doit être faite soit dans les formes
prévues par le code de procédure civil, soit par lettre recommandée avec accusé de
réception.
Bien que l’article 13 n’impose pas le respect de ces formalité et de ce délai sous peine
de déchéance, il est sertint que le preneur, qui ne notifie pas dans les formes
prescrites son désir de bénéficier du droit de priorité, perd ce droit puisque le
propriétaire n’est tenu de l’aviser de son intention de lui consentir un nouveau bail
que dans la mesure où il a reçu cette notification.
L’avis de propriétaire, signifié dans les formes prévues par le code de procédure civile
ou par lettre recommandée, doit mentionner que le locataire a un délai de trois mois
pour faire savoir au propriétaire s’il accepte ou non le nouveau bail pour saisir la
juridiction compétente en cas d’accord sur le principe du nouveau bail mais de
désaccord sur ses conditions.
Si le locataire n’agit pas dans ce délai, le propriétaire pourra disposer des locaux.
a- » A défaut d’accord entre les parties sur les conditions du nouveau bail,
celles-ci sont déterminées conformément aux dispositions de l’article 30″.
Cette faculté de faire fixé judiciairement les conditions de nouveau bail nous permet
de préciser la portée du droit de priorité. S’agit il d’une relocation sans égard à ses
conditions ou d’une préférence sur des tiers ayant accepté le bail à des conditions
déterminées.
Un arrêt de la cour d’appel de rabat rendu le 20 novembre 1951 avait admis que les
termes »droit de priorité « ne visaient qu’un droit conditionnel devant dépendre
d’autres éléments et notamment de l’offre de loyer faite par les tiers, motif pris de ce
que le droit de priorité supposait obligatoirement une compétition entre plusieurs
locataire éventuels.
Mais cette critique n’aurait une pleine portée que si l’on considérer que le
propriétaire reste tenu du doit de priorité lorsque l’immeuble reconstruit contient un
local d’une superficie supérieur à celle de l’ancien local.
g) Le locataire qui ferait échec au droit de priorité peut être condamné à payer
au locataire évincé des dommages intérêts ceux ci ne correspondant pas
nécessairement à l’indemnité d’éviction.
Le but recherché est de réparer le dommage causé au locataire par la privation de
l’exercice du droit de priorité .
Par suite, il n’est pas possible d’évaluer, même à titre conservataire. Le montant
éventuel de ces dommages -intérêts tant que la reconstruction n’est pas achevée pour
pouvoir connaître le nature- et la consistance des locaux grevés du droit de priorité.
Au terme de l’article 20, s’il viendrait à être établi à la charge du bailleur qu’il n’a
exercé son droit de reprise que pour faire échec aux droits du locataire, celui-ci aura
droit à une indemnitaire au montant du préjudice subi.
La fraude aux droits du preneur peut résulter notamment des opérations de location
ou de revente, que ces opérations aient un caractère civil ou commercial. Il a été jugé
qu’après une reprise pour démolition, la reconstruction n’est pas une obligation
impérative; et donc si elle n’est pas exécutée, elle ne fait pas présumer la fraude.
Mais la fraude peut résulter, sauf cas de force majeure, soit de refus de
renouvellement du bail dans un délai de 2 ans à compter de l’éviction temporaire
pour surélévation, soit de non commencement effectif des constructions avant
l’expiration de ce même délai à la suite de la reprise de terrains nus pour
construction.
Le locataire sortant est recevable faire évaluer judiciairement le préjudice qu’il subit
au moment de l’éviction.
Cette indemnité lui serait due éventuellement par le bailleur, déduction faite de
l’indemnité forfaitaire déjà versée, s’il venait à établir par la suite la preuve de la
fraude à ses droits.
Toute fois cet article subordonne ce droit a devises condition relative aussi bien au
propriétaire, qu’aux local.
Le bénéficiaire de droit de reprise doit être soit le bailleur lui même soit son conjoint,
ses ascendant ou descendant.
Le bénéficiaire ne doit pas disposé d’un local correspondante a ses besoin normales et
a ceux des membre de sa famille vivent habituellement, ou domicilier avec lui. Le
bailleur ne peut pas demandé l’expulsion de son locataire non seulement lorsque le
bénéficiaire dispose d’une habitation répondant a ces besoin normaux à titre de
locataire .
Après avoir expulsé son locataire, le propriétaire doit occuper personnellement le
locaux dans un délais d’un an a compté de départ de locataire évincé et pendant une
duré minimum de cinq ans, sauf motif légitime.
Quand au local il doit correspondre aux besoins normaux de bailleur, et doit être
adopté a usage d’habitation par de simples travaux d’aménagement.
Le bailleur ne peut invoquer le motif de besoin personnel qui si son acte d’acquisition
a daté de plus de 3 ans avant l’exercice de ce droit.
Cette dernière condition peut ne peut pas être remplie dans le cas ou le dernier
acquisiteur est le conjoint ascendant ou descendant de précèdent propriétaire .
En tout état de cause la reprise d’une partie des lieux n’est autorise que dans la
mesure ou elle ne porte pas atteinte a l’exploitation et a l’habitation du locataire.
Dans ce cas on se demande, si dans le cas ou la reprise partielle n’est pas possible en
raison d’une atteinte a l’exploitation et l’habitation du locataire, le bailleur peut
reprendre la totalité de locaux.
En revanche l’article 16du dahir de24 mai 1955 soumet le droit de reprise pour
habiter a divers condition,( que nous avant déjà cité ), et impose aux bailleur le
payement au profit de locataire évincé d’une indemnité égal au préjudice subi sans
qu’il puisse cependant de passé cinq ans de loyer du taux en vigueur aux moment de
l’éviction .
A précisé que cette indemnité et due au locataire en cas ou le bailleur a satisfait tous
les conditions établies par l’article 16.dans le cas ou l’une de ces condition fait défaut
l’indemnité due aux locataire est l’indemnité d’éviction prévue par l’article 10 du
dahir de1955.
Cette indemnité st égal aux préjudice causé par l’expulsion l’alinéa 3 de l’article
10prévoie cette indemnité sera au moins égal à la valeur du fonds, sauf le cas ou le
bailleur fera la prévue que le préjudice est moindre.
________________________________________
– cf. petit guide des baux commerciaux n°263.mémoire pour le diplôme d’études
supérieurs < le bail commercial >
– Casablanca 27 avril 1964 G.T.M.1964 P.52 ET G.A Rabat 15-5-1959 R.M.D 1962
P739
– le droit de propriété pour louer dans l’immeuble reconstruit -R.M.D 1956P; 390
Le dahir de 24 mai 1955 régissant le bail commercial adopte une procédure complexe qui
nécessite la participation des deux parties aussi bien le bailleur que le locataire qui est tenue a
par courir dans cette procédure.
Le dahir de 24 mai 1955 organise la procédure d’expulsion dans son titre II de îles article 27
a 35. on nuançons ces articles on peut dire qu’il se compose de quatre phase principal qui
commence par la mise en demeure faite par le bailleur passant par la procédure de conciliation
accomplie par le locataire et finissons par l’action de l’article 32, son oublie le droit de
repentir réservé au bailleur.
Avant de passer a l’étude de ces phase de la procédure il convient d’abord de maître un regard
sur le conflit de compétence d’attribution qui a prévalue après la création des tribunaux de
commerce en 12/2/97 antre ces dernier et le tribunaux de premier instant et la solution adopté
par la cour supprime en métier de bail commercial
Certain cour d’appel de commerce ont considéré que c(est les tribunaux de commerce de
commerce qui sons compétente pour trancher ces contestation relative au bail commerciale.
Par ce que les contestation ayant pour objet en élimant de fonds de commence qui est prévue
par l’alinéa première de l’article 5 de loi relative a la création des tribunaux de commerce.
C’est l’exemple de la cour d’appel de commerce de markech qui a annulé une décision de
tribunal de commerce de markech date le 7 aoûte 1998 dans lequel cette dernière a déclaré
son incompétence pour tranché une affaire relative du bail commercial et il a soumis l’affaire
au tribunal de première instance pour traite ce genre d’affaire.
Les conflits relative au, relative aux refus de renouvellement de bail commercial et tous les
conflits ayant pour objet l’un des élément de fonds de commerce qu’il s’agit d’un contrat civil
ou commercial.
Ce courant est défendue par le tribunal de commerce de Casablanca qui a déclaré dans un
arrêt daté 9 novembre 1998 que les conflits entre bailleur et locataire d’un local a usage
commercial n’est pas un conflit qui a pour objet le fonds de commerce, mais un conflit qui a
pour objet un élément isolé de fonds de commerce.
Mais il rentre dans le cadre de conflit entre commercent a l’occasion de l’exercice de leur
activités commercial.
Donc le conflit entre le locataire est le bailleur a pour objet un contrat de bail d’un immeuble
a usage commercial régie par le dahir de 24 mai de1955.est reste soumis au tribunal de droit
commun
Entre ces deux courant un troisième courant a essayés de trouver une solution intermédiaire.
Le troisième courant adopte une solution intermédiaire entre les deux courant présidents
étudier. D’après ce courant la compétence d’attribution en matière de bail commercial
appartient aussi bien au tribunal de commerce qu’au tribunal de première instance.
En d’autre terme les deux juridiction sont compétente pour tranché les conflits relative a
l’application des disposition de dahir de24 mai 1955.et ce selon la nature de chaque partie et
la nature de contrat de bail commercial pour chacun d’eux .
Ainsi lorsque le contrat de bail commercial est conclue entre un bailleur civil et un locataire
commerçant c’est au tribunal de première instance de tranché.
Le conflit qui résulte de ce contrat dans le cas où locataire est demandeur et en l’absence aussi
d’un accord avec l’autre partie, le bailleur, de soumettre la compétence le litige au tribunal de
commerce c’est ce qui résulte d’un arrêt de tribunal de commerce de Casablanca daté le 18
février 1999 <<…attendue qu’il apparaît de disposition de dossier qu’il s’agit d’un
commerçant et vue qu’il n y a aucune accord entre les partie de soumettre la compétence aux
tribunal de première instance Danfa…>>.
Mais dans le cas au le bailleur non commerçant ayant la qualité de demandeur décide de
soumettre l’affaire au tribunal de commerce. Cette juridiction reste compétente même si le
locataire commerçant soulève incompétence de la juridiction.
Et enfin, lorsque le contrat de bail est conclue entre deux commerçant le tribunal compétent,
selon ce courant de la jurisprudence, est le tribunal de commerce vue que l’art 10 de code
commerce considère comme commerciaux les affaires et les actes accomplie par les
commerçants a l’occasion de l’exercice de leur commerce.
Avec la disparité des division de la jurisprudence marocain la coure suprême c’est obligé de
d’adopter une solution définitive
§2- La solution adopter par la cour suprême
La cour suprême dans son article n° 22 48 daté le 14/11/2004 dossier n°00/22 27 a attribuer la
compétence d’attribution en matière bail commercial régit par le dahir de 24 mai 1955 au
tribunaux de commerce il a ainsi adopter le point de vue de tribunal de commerce de
marrakech.
La cour suprême a motivé sa décisions en ce basons seulement sur les disposition de l’article
5 de la loi 5395 qui détermine la compétence tribunal de commerce.
Elle prévoit dans sons arrêt «attendue que l’article 5 de la loi 53 59 a attribuer la compétence
au tribunaux de commerce en matière des conflits relative au fonds de commerce. et vue que
le droit de repentir est soumis a la procédure de renouvellement de contrat de bail d’un
immeuble a usage commercial.
Qui est un élément de fonds de commerce. et vue que l’article 25 de la loi 5395 prévoit que
les disposition de cette lois entre en vigueurs le premier jours de sixième mois de la
publicisation on de décret qui détermine le nombre et les siéges des tribunaux de commerce
qui et publier au bulletin officiel le 06/11/1997.
C’est-à-dire après le entré en vigueur de la loi 5395 et attendue que la cour d’appel qui a
refusé de la demande de demandeur de leur compétence de tribunal de première instance a
déclarer que <la mise en demeure est en voyer par le tribunal de première instance et la
décision d’expulsion et l’indemnité sons prononcer par la même juridiction ce que fait que la
demande d’incompétence n’est pas fondé sur une base légal> fois que ces motif sont illégal
par ce que l’action de repentir est soulever indépendamment après l’entré en vigueur de la loi
53954 ce qui soumis sa décision au la cassation.
La cour suprême en se basant sur l’article 5 de la loi 5395 a considérer que le contrat de bail
commercial est un élément de fonds de commerce donc les conflit qui y sont relative sont
soumis au tribunaux de commerce .cette décision a pour soucie de protéger le fonds de
commerce et ne prend pas ou considération le bailleur qui n’est pas forcement un
commerçant.
________________________________________
– cour d’appel de commence de markech arrêt N° 105 LE 2 OVTOBRE 1990 DOSSIR n)
107/98 publier en ELHADATAL KANONI N° 10 novembre 1998 P 13.
– le tribunal de commerce de Casablanca arrêt daté 9janvier 1998 dossier n°9/98/2003 non
publier.
– Mohamed lfrouji jurisprudence en matière de bail commercial revue droit et pratique
judiciaire N°2 2004 page 143.
– – la cour d’appel de commerce de Casablanca arrêt n° 181/99 daté 18 février 1999 dossier
n° 99/7/134. Non publier
-cour d’appel de commerce de Casablanca arrêt n°262/99. Daté 64 mars 1999 dossier
22/17/99. Non publier.
– Mohamed lfrouji jurisprudence en matière de bail commercial revue droit et pratique
judiciaire N°2 2004 page 143.
– ARTICLE N°2248 le 14/11/2004 dossier commercial n00/2227 publie a la revue le droit et
pratique judiciaire N° 2 2004/ page 113
Le dahir de 24 mai 1955 régissant le bail commercial adopte une procédure complexe
qui nécessite la participation des deux parties aussi bien le bailleur que le locataire
qui est tenue a par courir dans cette procédure.
Le dahir de 24 mai 1955 organise la procédure d’expulsion dans son titre II de îles
article 27 a 35. on nuançons ces articles on peut dire qu’il se compose de quatre
phase principal qui commence par la mise en demeure faite par le bailleur passant
par la procédure de conciliation accomplie par le locataire et finissons par l’action de
l’article 32, son oublie le droit de repentir réservé au bailleur.
Certain cour d’appel de commerce ont considéré que c(est les tribunaux de commerce
de commerce qui sons compétente pour trancher ces contestation relative au bail
commerciale.
Par ce que les contestation ayant pour objet en élimant de fonds de commence qui est
prévue par l’alinéa première de l’article 5 de loi relative a la création des tribunaux de
commerce.
C’est l’exemple de la cour d’appel de commerce de markech qui a annulé une décision
de tribunal de commerce de markech date le 7 aoûte 1998 dans lequel cette dernière
a déclaré son incompétence pour tranché une affaire relative du bail commercial et il
a soumis l’affaire au tribunal de première instance pour traite ce genre d’affaire.
Les conflits relative au, relative aux refus de renouvellement de bail commercial et
tous les conflits ayant pour objet l’un des élément de fonds de commerce qu’il s’agit
d’un contrat civil ou commercial.
Donc le conflit entre le locataire est le bailleur a pour objet un contrat de bail d’un
immeuble a usage commercial régie par le dahir de 24 mai de1955.est reste soumis au
tribunal de droit commun
Entre ces deux courant un troisième courant a essayés de trouver une solution
intermédiaire.
Le troisième courant adopte une solution intermédiaire entre les deux courant
présidents étudier. D’après ce courant la compétence d’attribution en matière de bail
commercial appartient aussi bien au tribunal de commerce qu’au tribunal de
première instance.
En d’autre terme les deux juridiction sont compétente pour tranché les conflits
relative a l’application des disposition de dahir de24 mai 1955.et ce selon la nature de
chaque partie et la nature de contrat de bail commercial pour chacun d’eux .
Ainsi lorsque le contrat de bail commercial est conclue entre un bailleur civil et un
locataire commerçant c’est au tribunal de première instance de tranché.
Le conflit qui résulte de ce contrat dans le cas où locataire est demandeur et en
l’absence aussi d’un accord avec l’autre partie, le bailleur, de soumettre la
compétence le litige au tribunal de commerce c’est ce qui résulte d’un arrêt de
tribunal de commerce de Casablanca daté le 18 février 1999 <<…attendue qu’il
apparaît de disposition de dossier qu’il s’agit d’un commerçant et vue qu’il n y a
aucune accord entre les partie de soumettre la compétence aux tribunal de première
instance Danfa…>>.
Mais dans le cas au le bailleur non commerçant ayant la qualité de demandeur décide
de soumettre l’affaire au tribunal de commerce. Cette juridiction reste compétente
même si le locataire commerçant soulève incompétence de la juridiction.
Et enfin, lorsque le contrat de bail est conclue entre deux commerçant le tribunal
compétent, selon ce courant de la jurisprudence, est le tribunal de commerce vue que
l’art 10 de code commerce considère comme commerciaux les affaires et les actes
accomplie par les commerçants a l’occasion de l’exercice de leur commerce.
Elle prévoit dans sons arrêt «attendue que l’article 5 de la loi 53 59 a attribuer la
compétence au tribunaux de commerce en matière des conflits relative au fonds de
commerce. et vue que le droit de repentir est soumis a la procédure de
renouvellement de contrat de bail d’un immeuble a usage commercial.
Qui est un élément de fonds de commerce. et vue que l’article 25 de la loi 5395 prévoit
que les disposition de cette lois entre en vigueurs le premier jours de sixième mois de
la publicisation on de décret qui détermine le nombre et les siéges des tribunaux de
commerce qui et publier au bulletin officiel le 06/11/1997.
C’est-à-dire après le entré en vigueur de la loi 5395 et attendue que la cour d’appel
qui a refusé de la demande de demandeur de leur compétence de tribunal de
première instance a déclarer que <la mise en demeure est en voyer par le tribunal de
première instance et la décision d’expulsion et l’indemnité sons prononcer par la
même juridiction ce que fait que la demande d’incompétence n’est pas fondé sur une
base légal> fois que ces motif sont illégal par ce que l’action de repentir est soulever
indépendamment après l’entré en vigueur de la loi 53954 ce qui soumis sa décision au
la cassation.
La cour suprême en se basant sur l’article 5 de la loi 5395 a considérer que le contrat
de bail commercial est un élément de fonds de commerce donc les conflit qui y sont
relative sont soumis au tribunaux de commerce .cette décision a pour soucie de
protéger le fonds de commerce et ne prend pas ou considération le bailleur qui n’est
pas forcement un commerçant.
________________________________________
– cour d’appel de commence de markech arrêt N° 105 LE 2 OVTOBRE 1990 DOSSIR
n) 107/98 publier en ELHADATAL KANONI N° 10 novembre 1998 P 13.
– le tribunal de commerce de Casablanca arrêt daté 9janvier 1998 dossier
n°9/98/2003 non publier.
– Mohamed lfrouji jurisprudence en matière de bail commercial revue droit et
pratique judiciaire N°2 2004 page 143.
– – la cour d’appel de commerce de Casablanca arrêt n° 181/99 daté 18 février 1999
dossier n° 99/7/134. Non publier
-cour d’appel de commerce de Casablanca arrêt n°262/99. Daté 64 mars 1999 dossier
22/17/99. Non publier.
– Mohamed lfrouji jurisprudence en matière de bail commercial revue droit et
pratique judiciaire N°2 2004 page 143.
– ARTICLE N°2248 le 14/11/2004 dossier commercial n00/2227 publie a la revue le
droit et pratique judiciaire N° 2 2004/ page 113
La mise en demeure est un acte juridique par le quel le bailleur concerné exprime son refus de
renouvellement du bail, ce refus il peut être définitif et entraîne la fin du contrat, comme il
peut être une expression de volonté de bailleur qui permet au locataire de conclure un nouvel
contrat avec des conditions aussi nouvelles.
Mai ce n’est pas la mise en demeure tout seul qui met fin au contrat, celle-ci ce n »est qu’un
instrument d’expression de la volonté de mettre fin au contrat de bail.
Donc il est considéré comme un commencement de plusieurs mesures procédurales qui
justifie le jugement d’expulsion lorsque le juge est convaincu selon les circonstances du cas
par les motifs évoqués par le bailleur.
Il est nécessaire donc que la mise en demeure doit mentionnée touts les conditions de validité
de l’acte juridique malgré son indication tout les mentions prévus par le dahir de 24 mai 1955
et à cet effet la mise en demeure doit être envoyé par une personne qui aura la qualité de
propriétaire de la chose louée s’il est la partie bailleur ou partout autre personne a acquit le
droit de louée le local au tiers.
S’il y a plusieurs bailleurs la mise en demeure doit mentionner touts les noms de touts les
propriétaire sauf si la mise en demeure est envoyé par procureur parmit ces derniers ou si le
reste des propriétaires se sont mis d’accord sur la mise en demeure envoyé par l’un parmit ils.
Mais malgré la condition de la qualité il doit préciser le local concerné par l’expulsion
lorsqu’il s’agit plusieurs locales loués avec l’indication de la qualité de locataire et son
adresse.
Il est obligatoire donc que la mise en demeure doit être fait par écrit avec l’indication de touts
les mentions de délais et motifs d’expulsion ainsi que l’art 27 de dahir- donc si la mise en
demeure ne contient pas touts ces mentions elle n’entraîne pas la fin du contrat même si le
locataire na pas procédé à la tentative de conciliation grâce à la non-conformité de la mise en
demeure aux dispositions de l’article 6 a cet effet, un arrêt de la cour suprême stipule que <si
la mise en demeure été envoyé par le propriétaire au locataire dans le cadre de dahir de 24 mai
1955 ne contient pas touts les mentions prévus par l’art 6 ainsi que l’innonciation de l’article
27 il ne peut concéder le locataire ou cas où il néglige la procédure de conciliation comme un
occupant sans droit ni titre ».
Il est obligatoire que le renvoi de la mise en demeure doive être fait personnellement et selon
les procédés indiqués par l’article 6 de dahir.
Donc le renvoi ne peut être fait que par une lettre recommandée avec accusé de réception ou
par un huissier de justice conformément aux articles:37-38 et de la procédure civile dans ce
cas il y a un accord de la jurisprudence sur le fait que la mise en demeure correcte doit être
conforme à la procédure annoncée par le dahir de 24 mai 1955 au d’expression sur la volonté
de mettre fin au contrat si ce dernier ne prévoie pas des conditions risilotoires dans ce cas on
peut appliquer l’article 26 de dahir .
L’article 26 précité est indiquer un délais autre que celui de l’article 6.le locataire peut faire
face à l’expulsion par refus de la mise en demeure dans ce cas la preuve incombe ou locataire.
La mise en demeure doit être fait selon les dispositions juridiques s’il est envoyé au locataire
lui-même ou dans sont payé à son épouse ou ces prochains ou son conjoint ou tout autre
personne résident avec lui conformément à l’art 38 de la procédure civile.
La cour suprême prend en considération l’obligation d’indiquer dans le certificat de réception
l’identité de récepteur c’est ce qui ressort dans son arrêt qui stipule que <la réception correct
doit indique sous peine de nullité le nom et prénom de récepteur >
Lorsque le bailleur est obligé de renvoyé au locataire une mise en demeure pour exprimer son
refus de renouvellement, il doit donc le fait conformément à l’article 6 de dahir tel que les
mentions obligatoires surtout d’indication de délais de 6 mois.
Une problématique à été posé concernant le contrat du bail à durée déterminée puisque le
bailleurs est obligé de respecter la date du contrat et de ne pas envoyé la mise en demeure au
moment où le contrat est en cour si la date du contrat est proche de sa fin et le bailleur néglige
le renvoi de la mise en demeure le contrat du bail est continue jusqu’ après la date déterminée.
Aussi il peut être considéré en cour ou plutôt applicable si la mise en demeure a été envoyée
sans indication de délais de 6 mois.
Un jugement est prise en compte par la législation qui stipule que < si le bailleur ne donne pas
au locataire le délais de 6 mois le contrat est en cour après l’expiration de duré déterminée et
que le renvoi pour cassation de jugement est une dérogation aux dispositions de l’article 6
lorsqu’il annonce l’expulsion du locataire cependant, ce dernier occupe le local par un contrat
écrit pendant plus de 2 années, et que le bailleur ne lui donne ce délais > donc la poursuite du
contrat signifie sa mise en application jusqu’après la date limite, et non pas leur
renouvellement.
Ce là signifie que l’hypothèse de renouvellement du contrat de bail ne peut être prise en
considération selon l’article 6 de dahir de 24 mai 1955.
Donc au lieu de renouveler le contrat de bail sa poursuite est devenu une solution possible
jusqu’à ce que la mise en demeure à été faite et que la demande de bailleur d’expulser le
locataire à été accepter selon la procédure de dahir.
Les délais de 6 mois prévu par l’article 6 de dahir à engendrer plusieurs avis doctrinaux et
jurisprudentiels concernant quelle procédure on peut suivre et appliquée lorsque la mise en
demeure ne contient pas ce délai.
Un avis de la doctrine vois que la sanction dans ce cas est la nullité de la mise en demeure par
ce que c’est la loi lui-même qui détermine ce délais et il ne faut pas le déroger, donc si le
bailleur donne au locataire un délais inférieur à 6 mois, ce dernier à le droit de demander le
reste de délais jusqu’à 6 mois.
Par contre, la jurisprudence annonce un autre avis dans lequel il stipule que << il est
nécessaire d’indiquer dans la mise en demeure le délais de 6 mois même si le contrat est à
durée déterminée et que le locataire reçoit la mise en demeure avant la fin de délais de 6 mois
>> .
Selon ce jugement il est insuffisant au bailleur de respecter ce délais par la forme mais il doit
l’indiqué dans la mise en demeure.
Un autre courant doctrinale prévoie que l’article 6 de dahir ne concerne seulement que le
renvoi de la mise en demeure avant 6 mois de la fin du contrat et qu’il n’est pas obligatoire au
bailleur d’indiquer ce délais dans la mise en demeure comme c’est le cas des motifs
d’expulsion qui est obligatoire ainsi que l’innonciation de la article 27 tel quel est .
Ce courant ajoute que la non indication de délais de 6 mois ne peut entraîner la nullité de la
mise en demeure et puisque ce délais est déterminer par le législateur le locataire peut prenne
application soit que le bailleur l’indique ou non dans la mise en demeure.
Selon le contenu cet avis à pour but d’assurer au locataire le plus possible de protection contre
l’expulsion abusive.
Aussi une mise en demeure valable, complète et contienne tout les mentions obligatoire à
pour double objet, d’une part, il permet au locataire de connaître ses droit d’occuper le local
jusqu’à l’expiration de délais prévu par la loi et d’autre part, faire connaître au locataire la
partie judiciaire spécialisée en cas de conflit.
En droit Français conforme au dahir de 24 mai 1955 une caractéristique à été faite entre le cas
de refus de renouvellement du contrat et celui de la rupture du contra de bail.
L’innonciation s’explique par le fait que le bailleur indique dans la mise en demeure les
motifs légitimes pour que le locataire prendre connaissance de cause, nous étudierons donc la
base juridique d’innonciation des motifs ainsi que la procédure juridique décidée en cas de
négligence de cette mention et en cas d’illégalité des motifs évoqués.
L’article 6 de dahir impose au bailleur d’indiquer ou de préciser les motifs d’expulsion et cela
contrairement aux règles générales.
Cette obligation lui-même été considérée comme une limite à la liberté de propriétaire de
restituer son local. Mais cette limite à pour objet la poursuite du rapport contractuel et la
réalisation d’une certaine égalité entre les deux parties contractant.
Par conséquent, l’obligation imposée au bailleur est parmit les motifs juridiques qui permet
d’éviter les mauvaises fois des bailleurs contre les locataires pour cela la négligence de cette
obligation entraîne l’impossibilité de contraindre le locataire par la perte de son droit.
En plus de ça la mention des motifs à pour but principale de donner au locataire la chance
pour prendre les mesures favorables avant la fin du contrat.
La justice à annoncée un jugement à ce coté là qui stipule que << lorsque le législateur
impose cette obligation il a voulu favorisé au locataire de faire décidé lui-même en
connaissance de cause est ce qu’il doit accepté la décision du bailleur ou non ou de demandée
les dommages–intérêts>>
Plusieurs avis doctrinales ont été posé concernant la procédure juridique qu’il faut appliquer
au cas ou le bailleur n’indique pas dans la mise en demeure les motifs d’expulsion, certains
disent que c’est la nullité de la mise en demeure. D’autre dit que le droit de locataire ne peut
être perdu.
• C’est la nullité de la mise en demeure:
En cas de négligence des motifs d’expulsion et selon la décision de la cour d’appel de Rabat,
qui devenu conforme au courant sur lequel prend base les cours française dans son application
de la loi de 30 septembre 1953, et le cas c’est que l’article 5 de cette loi stipule expressément
la nullité de la mise en demeure pour cause de non indication des motifs d’expulsion, en tant
que cette loi décide en plus de ça le renouvellement du contrat de manière tacite après
l’expiration de 2 ans sur le renvoi de la mise en demeure qui est incomplet.
Par contre, la doctrine ne prévoit pas la nullité de la mise en demeure dans le cadre de dahir
de 24 mai 1955 et pour cela le professeur Mr. Ahmed assime voie qu’il faut caractérisé le cas
de la fin du contrat à celle de la résiliation du contrat dans la quelle il faut indiquer les motifs
d’expulsion dans ce second cas la négligence peut entraîner la nullité à l’exception de 1ere
cas. (Ouvrage page 34).
La non perte de droit de locataire est une mesure prise par certain courant judiciaire en cas de
renvoi de la mise en demeure sans motifs d’expulsion, et comme ça un jugement à été prévu
par la législation <<selon l’article 6 le bailleur doit sous peine d’incapacité de preuve la perte
de droit de locataire et conformément à l’article 27 préciser les motifs d’expulsion »( ).
Il prévoit aussi que «l’article 6 de dahir n’oblige pas comme la loi française que la mise en
demeure doit être mentionnée tout les motifs sous peine de nullité. Car la seule sanction en
cas de négligence est celle de l’impossibilité de la perte de droit du locataire comme l’indique
l’article 27 ».
Dans le cas où le motifs d’expulsion n’est pas valable plusieurs procédés peuvent être
appliqués aussi un courant prévoie l’applications de l’article 10 de dahir un autre se contente à
l’application d’obligation de nullité de la mise en en demeure nous analyserons donc
successivement les deux courants :
• L’application de l’article 10 de dahir:
Ceux qui disent par l’application de l’article 10 de dahir de 24 mai 1955 constatent que le
droit de bailleur de restituer son local n’est pas limité puisqu’il est obligé de payer les
dommages intérêts d’expulsion.
Pour cela le bailleur n’est pas obligé de justifie le motifs pour lequel veut mettre fin au contrat
mais il est libre de demander l’expulsion à n’importe qu’il motifs soit légale ou non sauf s’il
refuse de payé les dommages d’expulsion quelque soit total ou partiel il doit donc justifie la
mise en demeure.
Pour conclure il disent que <le droit de refuser le renouvellement est un droit absolu par ce
que le faite de refuser si le paiement des indemnités est un droit limité qui ne peut être accepté
sauf si les motifs évoqués par le bailleur étaient justifiés par exemple le non paiement de
loyer par le locataire> ( ).
A cet effet si le tribunal saisie observe la validité des motifs évoqués par le bailleur il ordonne
l’expulsion avec la réserve de droit de ce dernier, car le paiement est obligatoire mais
partiellement en cas de démolution.
Mais en cas d’invalidité des motifs le tribunal ordonne le paiement des indemnités total avec
la rupture de contrat parallèlement au refus de renouvellement et conformément à l’article 10
de dahir.
Il ressort de cet avis que l’indication des motifs dans la mise en demeure n’est pas obligatoire
grâce à l’obligation de paiement des indemnités au locataire a ce côté un arrêt de la cour
suprême à été rendue qui stipule que :<l’invalidité des motifs n’entraîne que le paiement des
indemnités prévus par la loi> ( )
Le bailleur est obligé de mentionner dans la mise en demeure l’article 27 de dahir de 24 mai
1955- cet article à un rôle très important dans l’information du locataire par les mesures à
prendre en cas de réception de la mise en demeure.
Comme on a déjà dit l’article 27 permet au locataire de connaître ses droits afin de les
protéger. vue cette importance de l’article 27 donc chaque mise en demeure qui ne contient
pas cet article est considérée comme incomplète et négligente de la protection voulue par la
loi à l’encontre des locataires et à ce moment là cet mise en demeure na aucun effet juridique.
La dernier alinéa de l’article 6 de dahir qui dispose que < le bailleur doit, à peine de ne
pouvoir opposer au locataire les forclusion prévue à l’article 27, préciser les motifs du congé
et reproduire les termes de cet article >
Car, il faut noter que l’article 27 doit être indiqué dans la mise en demeure de manière claire
tel quel est donc l’article 27 de dahir stipule que <le locataire qui entend soit contester les
motifs du congé ou du refuse de renouvellement invoqués par le bailleur , soit demandes le
paiement d’une des indemnité prévues au titre III du présent dahir ou qui n’accepte pas les
conditions proposés pour le nouveau bail, doit saisir le président du tribunal de premier
instance de la situation de l’immeuble dans -le délai de trente jours à compter de la réception
du congé ou de la réponse du propriétaire prévue à l’alinéa première de l’article 8.
Passé ce délit et sous réserve des disposition du dernier alinéa de l’article 6 et du deuxième a
alinéa de l’article 8 ci-dessus, il se trouve forclos et il est réputé soit avoir renoncé au
renouvellement ou à l’indemnité d’éviction , soit avoir accepté les condition proposé pour le
nouveau bail>
Alors que le procédure juridique concernant la mise en demeure qui manque l’article 27 à été
posé en décision par plusieurs courants parmit lesquels :
• Un courant constate que la reproduction de l’article 27 dans la mise en demeure est
obligatoire pour que le locataire sera en connaissance de cause et prendre les mesures
favorable à son affaire.
Dans ce cas la cour suprême considère comme nul la mise en demeure qui ne reproduit pas
l’article 27.
• Un autre courant prévoie que <si la bailleur ne reproduit par l’article 27 dans la mise en
demeure donc la sanction dans ce cas se distincte selon que le locataire à suivre la procédure
de conciliation ou non, deux hypothèses sont donc nécessaire d’application :
1ère hypothèse : où le locataire à négliger la procédure de conciliation:
Dans ce cas la section prévue est celle de l’impossibilité de porter preuve centre le locataire
par la perte de son droit conformément au terme employé dans l’article 27.
2éme hypothèse : où le locataire poursuivie la procédure de conciliation même si la mise en
demeure ne reproduit par l’article 27.
Est-ce que le terme employer dans l’article 27 <forclos> signifie que ce dernier set pour but
d’être loin à la nullité de la mise en demeure ?
L’article 27 reste silencieux à cette point mais il engendre des difficultés si le locataire
s’adresse au juge conciliateur même en l’absence de reproduction de l’article 27 car, c’est une
dérogation par ce que le locataire ne subie aucun dommage ici donc il na pas le droit de
pourvoie en cassation pour la nullité de la mise en demeure.
Sur cet effet se base la coure suprême dans sont arrêt qui stipule que < le locataire qui peut
procédés à la mesure de conciliation pendant le délais prévu par la lois perde le droit
d’invoquer l’irrégularité de la mise en demeure pour cause de la non reproduction de l’art 27
de dahir > donc l’avantage de locataire est de ne pas procédé à la procédure de conciliation ou
cas où il reçoit une mise en demeure qui ne contienne pas l’article 27 si non la mise en
demeure peut être conséderé comme valable.
Le locataire au droit donc d’option entre la poursuite de la procédure de conciliation ou non
dans cas il peut avoir la perte de son droit.
Cependant, lorsqu prudence ne prévois pas que l’absence d’indication de l’article 27 dans la
mise en demeure nécessite la nullité surtout si le locataire à essayer d’éviter le problème par le
prise en copte de la procédure de conciliation dans ce cas la cour suprême décide que << si la
mise en demeure envoyée par le propriétaire au locataire dans le cadre de dahir 24 mai 1955
été négligent ou manque les mentions obligatoires prévus par l’articl6 de dahir ainsi qu’il ne
reproduit pas l’article 27 le locataire qu’il ne tenter pas à la procédure de conciliation peut être
considéré comme résident sans droit ni titre >> .
________________________________________
– Mohamed bounbate – le bail commercial entre le dahir de 24 mai 1955 et le code de
commerce 1999
– Abdelouhab ben sid le précédent ouvrage page 50.
– ouvrage de Mohamed Elkaddouri la page 22.
– Arrêt n° 188 daté le 15/3/1978 la revue de justice et de droit /129 page 76.
– arrêt de cour suprême – 442 LE 25/2/1987 DOSSIER CIVIL n- 127 page 79.
– Arrêt N° 303 daté le 4/6/1975 revue de justice et de droit N° 127 page 79.
– Arrêt N° 9 /2/1983 dossier civil N° 7835 revue de justice la ce N°32-1983 page 219
– arrêt de le cour supprime N° 21128 de 24/11/1986 dossier N° 98/134 page 70.
– Elkhoudri lakbir < le des locaux et son expulsion > Casablanca 1982 page 169
– arrêt de 7/12/1965; les arrêt de le cour suprême la chombre civile 2-1962-1965 page 209
public aux ministère de la justice.
– décision de la cour suprême N°246 revue de justice N° 38 la page 8
– Mohamed Elkaddouri ouvrage précédent la page 29
– Décision civile N° 331 de 2/7/1969 la revue de justice de la cour suprême .N°15 la
page :25.
– le tribunal de 1ere instance de Rabat de 14/10/1981 dossier n’est pas publié.
– Ahmed assime la page 27.
-Mohamed Elkaddouri est ouvrage la page 25.
– Rabat le 15/04/1960 la revue des tribunaux marocains 10 novembre 1960 la page 101Med
bounbate <<le bail commercial entre le dahir de 24 mai 1955 et le code de commerce
>>1999.
– décision de la cour d’appel de Rabat daté le 4/03/1960 publier à la revue des tribunaux
marocains daté a 25 novembre 1961 page:105.
– Casablanca le 8 mars 1965 revue des tribunaux marocains le 25 avril 1965 page 44.
Rabat le 15 avril 1960 la même revue de 10/11/1960 page 101.
-Ahmed Assime page 35 ( الحماية القانونية للكراء التجاري ز دراسة نظرية تطبيفية للنصوص على ضوء قرارات
بعدها وما 35 ص األعلى المجلس.
– la cour suprême dossier civil N° 3228 le 30/11/1988 la revue du justice N° 42-43 en 1989
la page 123 et la décision de la cour d’appel de Fès le 21/1/1981.
– MHAMED BOULMAN>OU VRAGE PR2C2DENT LA PAGE 19 .
– Elmoukhtar elattar <ouvrage précédent la page 106.
-l’article 6 dernier alinéa du dahir de 24 mai 1955
– l’art 27 du dahir de 24 mai 1955.
– décision de la cour N° 71 de 2/1/1982 dossier civil 89480 la revue de la justice N° 30 page
26
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La tentative de conciliation et l’action de l’article 32 – Section III:
Après avoir reçus la mise en demeure le locataire ne doit pas resté attendre l’action
de bailleur, mais doit entamé une tentative de conciliation, après l’échec de celle-ci les
partie passe a la troisième étape qui est l’action de l’article 32.
§1 La tentative de conciliation
L’article 27 oblige le locataire qui entend, soit contestes les motifs de congé ou de
refus de renouvellement ou de demander le paiement des indemnités, doit saisir le
président de tribunal dans un délai de 30 jours a compté de la réception du congé ou
de la réponse du propriétaire.
Le régime de la procédure de conciliation se distingue selon que les deux parties ont
comparue ou non.
En cas ou le locataire n’entame pas la tentative de conciliation dans 3 jour qui suivent
la réception de la mise en demeure il perd sont droit de :
1) De demande le renouvellement de bail et les indemnité le cas ou la mise on
demeure prévoit expressément le refus de renouvellement.
2) De contesté des condition de renouvellement an vas ou le bailleur accepte le
renouvellement mais avec d’autre condition le locataire est réputé renoncé au
renouvellement de bail dans le premier cas, et puisque le bail est censé fini par le
renvoie de la mise en demeure le locataire est ou situation d’un occupant sans droit
ni titre et s’expose a d’expulsion ( ).
Le silence de locataire dans le deuxième cas présume son acceptation au condition de
bailleur et contrat de bail est censé renouvelé vue que le bailleur a proposé la
renouvellement mais avec d’autres condition, et le silence de locataire signifie qu’il a
accepté ces condition.
Le bailleur ne peut donc demandé son expulsion. C »est le point de une adopté par la
cour suprême dans un arrêt date le ,3 novembre 1981 dossier civil N°59447 ( ).
Ce pondent cette pérscemption d’acceptation est simple c’est-à-dire qu’il ne s’agit que
d’une présomption simple au profit de locataire, ce qui permet au bailleur de prouvé
le contraire c’est le cas par exemple de locataire qui conteste les condition de bailleur
dans une lettre adresser a ce dernier sons entamé la procédure de conciliation ni
saisire le juge de fond ( ).
De même de locataire négligeant perd son droit de demande l’indemnité de refus de
renouvellement par ce que le bailleur na pas refuser le renouvellement donc il n’a y a
aucune raison de le sanctionner civilement par une indemnité ( ).
En cas de défaillance de bailleur, malgré la convocation adresser par le président de
tribunal de commerce, ce dernier prononce un jugement par défaut de
renouvellement de bail dans des condition qu’il détermine .toute fois le bailleur peut
faire opposition a ce jugement dans les 15 jour de sa notification.
En cas ou le propriétaire se présente mais refuse le renouvellement le juge
conciliateur est tenue de lui demander les motif de son refus et s’il accepte
d’indemniser le locataire et le mentant de cette indemnité.
Et montioner ce ci dans un procès- verbal non susceptible de aucune recoure, sa
mission consiste seulement a concilier ( ).
Chapitre II : la procédure d’expulsion
L’expulsion des locaux à usage commercial
_______________________________________
– M BENNA Amer. »Nécessité d’une révision de la législation marocain » IN AL
MOUHOMATTE N° 3P51.
– ABDE RAHAMANE CHAOUI ROQUI OP. CIT. page 133.
– ABDE RAHAMANE CHAOUI ROQUI OP. CIT. page 134.
– arrêt de la cour suprême daté le 13 Novembre 1981, dossier civile 59447 non
publie.
– la cour suprême a soutenue la discision de la cour d’appel qui a ordonner
l’expulsion de locataire qui n’a pas entamé la procédure de conciliation et qui par
une lettre adressé ou bailleur , a refuser les condition de renouvellement
arrêt de la cour suprême daté le 26 mars 1980 dossier civil N° 76594.non publier
– ‘أحمد عاصم الكراء التجاري واألصل التجاري دراسة تحليل وتطبيق سلسلة دروس المعهد منشورات جمعية تنمية
46 ص 1982 القضائية والدراسات البحوث.
– ‘أحمد عاصم الكراء التجاري واألصل التجاري دراسة تحليل وتطبيق سلسلة دروس المعهد منشورات جمعية تنمية
48 ص 1982 القضائية والدراسات البحوث.
– arrêt de la cour suprême daté le 31/20/1979 dossier civil 71027 non publie
— ‘أحمد عاصم الكراء التجاري واألصل التجاري دراسة تحليل وتطبيق سلسلة دروس المعهد منشورات جمعية تنمية
56 ص 1982 القضائية والدراسات البحوث.
-56 نفس المرجع ص.
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§2 L’action définitif de l’art 32.
Après l’échec de la tentative de conciliation, et c’est le principe dans la pratique
marocain, les partie ou l’une deux est en droit de passer a la troisième étape de la
procédure qui est l’action de l’article 32.
Dans qui est le tribunal compétent pour recevoir cette action ?qui sont ces
compétences?
A- Le tribunal compétent.
§3 Le droit de repentir :
Le législateur a permet au bailleur qui a expulsé son locataire et qui est sanctionné
par des dommages d’intérêt qui ne peut pas supporter, sur tous en cas d’une
indemnité d’éviction égal au fondes de commerce, une dernière chance d’échappé au
paiement de ces indemnité ou contre partie d’accepter le renouvellement de bail avec
les condition de précédent bail ou avec les condition déterminé par le juge dans de
l’article 30.
C’est le droit de repentir qui est prévue par l’alinéa 2 de l’article 32 qui énonce : » le
propriétaire qui a succombé peut dans le lais de 30 jour a compter du jour ou la
décision est devancée définitive il s’agit d’une décision de 1er instance ou la
notification de l’arrêt sil s’agit d’une décision de la cour d’appel, se soustraire au
payement de l’indemnité, à charge pour lui de supporté les frais de l’instance et de
consentir ou renouvellement de bail dans les condition en cas de désaccord, fixé
conformément aux règle de l’article 30.
Ce droit ne peut être exercé que autant que le locataire est une dans les lieux et n’a
pas déjà loué ou acheté un autre local ».
Le bailleur ne peut donc exerce ce droit que dans un délais de 30 jours et a condition
aussi que le locataire est encore dans les lieux et n’a pas déjà louer un autre local.
Le bailleur qui invoque ce droit doit supporter les frais de l’instance.
Conclusion
Nous avons essayer dans ce modeste mémoire faire une évaluation de dahir de
24/03/1955 après plus de quarante ans de son application et c’est un duré suffisante
pour constaté ces lacunes qu’il contienne et de le degré de d’efficacité des procédures
qu’il établie.
Le progrès économique et social qui a connue le Maroc dans tous les années a rendue
b disposition de cette lois incompatible a l’actualité marocain ce que rend sa révision
indispensable.
Dans ce cadre nous proposons certaine modification qui d’après notre étude
paraissent utile:
D’abord l’annulation de la procédure établie par l’article 7 et suivant qui oblige la
locataire dans le cadre de bail a duré détermine a adressé une demande de
renouvellement ou bailleur dans un délais de 6 moi avant l’expiration de contrat de
bail et le bailleur doit répondre a cette demande dans un délais de 3 mois.
De la date de sa réception cette procédure est resté lettre morte presque na jamais été
appliqué par ce que le locataire qui continuera exploitu le local et a payer le loyer
après l’expiration de la duré de bail ne s’adresse jamais la justice pour demandé
renouvellement et plus il a le droit au cas ou il reçut une mise en demeure de bailleur
de s’adressé ou juge conciliateur.
Donc cette procédure na aucun intérêt.
En suite la procédure de conciliation de l’article de l’article 27 et aussi une complexité
inutile par ce que la plupart des conciliations entre le bailleur et le locataire se
passent des tribunaux, en plus que la plupart de locataires ignorant les dispositifs
législative s’adresse après avoir reçu la mise en demeure directement du bailleur ce
qui permet a certain bailleur de mouvais fois d’en profiter pou laisser expirait le
délais de la procédure de conciliation et la perte des droits de locataire.
En fin en remarque que le législateur a prévue dans les articles 13; 14; 15; 16; et 20
plusieurs indemnité en cas expulsion de locataire dans montant est déferont selon le
motif invoqué par le bailleur, alors que on constate que tous ces motifs ou un point
commun qui est l’absence de faute de la part de locataire ainsi nous proposions la
annulation de les article et de se contai té de l’article 10 qui d’absence de la faute de sa
part et de l’article 11 qui prive ou locataire de toute indemnité en cas de faute grave de
sa part, et c’est la solution adopté par le législateur égyptien.
Affermant enfin que une meilleur législation et celle qui prend en considération des
nécessités et des exigence de son environnement et qui Louvre d’une bon volonté de
reconstruction et non pas celle recopier de la législation Française vue que la relative
marocain et loin être semblable a la relative Française.