Société générale
Préparé par :
AAYALE Jihane
1ere Année GE
Période de stage :
17Juillet-17Aout
Remerciements
1- Historique de la SG.
2 –Organisation de la SG.
3—Services et taches réalisées.
4—Produits de la SG.
Conclusion
Introduction
La modernisation du cadre juridique de l’activité bancaire au Maroc est aujourd’hui
au cœur de l’actualité financière de notre pays, puisque deux importants projets
relatifs respectivement à la Loi Bancaire et aux Statuts de Bank Al-Maghrib seront
incessamment présentés au Parlement et devraient être approuvés assez
rapidement, il convient de souligner que le processus qui leur est relatif a été
entamé dès les années 80 et a concerné aussi bien les banques et les
organismes financiers spécialisés que les méthodes d’intervention de la banque
centrale et les conditions de financement de l’économie.
Les réformes introduites progressivement à partir des années 80 visaient à faire
évoluer le système financier dans son ensemble pour accompagner une
économie de plus en plus ouverte et ont été conduites dans le cadre d’un vaste
programme d’ajustement structurel soutenu par le Fonds monétaire international
et la Banque
Mondiale. Ce programme visait à résorber les graves déséquilibres internes et
externes résultant de la politique expansionniste des années 70 à travers
l’assainissement des finances publiques, la libéralisation économique, notamment
des prix et du commerce extérieur et l’introduction de profondes réformes
sectorielles.
Les réformes entamées au début des années 80 visaient déjà à moderniser le
système financier marocain dans son ensemble en s’attaquant progressivement à
ces handicaps et à son archaïsme, en vue de lui permettre de mieux remplir sa
fonction de mobilisation des ressources et d’adapter ses structures et ses modes
de fonctionnement aux exigences de l’ouverture internationale.
Il est vrai que la décennie écoulée a été marquée non seulement par l’apurement
des comptes de banques publiques, mais aussi par le renforcement des
actionnaires étrangers. Espagnols et surtout français. Qui, à l’arrivée, contrôlent la
majorité du capital de leurs filiales locales : Société Générale Marocaine de
Banques pour la SG, Banque Marocaine du Commerce et de l’Industrie (BMCI)
pour PNB Paris- Bas et Crédit du Maroc pour le Crédit Lyonnais. Autres
évolutions significatives : la maîtrise des risques, le développement plus soutenu
de métiers rémunérés non pas par des taux d’intérêt mais plutôt par des
commissions …
Première section : Présentation du secteur bancaire
marocain.
dont la désignation doit être approuvée par la Banque Centrale. Il est confié à ce
corps de métiers deux fonctions :
1. Contrôler les comptes des banques conformément aux dispositions de la loi sur
les sociétés anonymes.
2. s’assurer du respect par les banques des mesures prudentielles ainsi que
l’application du contrôle interne tel que défini par la circulaire de
Bank Al Maghrib.
commissaires aux comptes ne peuvent exercer plus de deux mandats
consécutifs auprès du même établissement et le renouvellement du mandat ne
peut intervenir qu’à l’expiration d’un délai de trois ans.
–majors des établissements de crédits (conseil
d’animation, conseil de surveillance, direction générale ou directoire) ne peuvent
se faire sans l’agrément du gouverneur de Bank Al Maghrib. Toutefois, dernier est
tenu de motiver ses décisions de refus.
ciétés de financement de recevoir du public des
fonds dont le terme ne peut être inférieur à un an, au lieu de deux ans comme
c’est le cas de lors de la loi de 1993.
les
�œuvres d’artistes marocains et de constituer des collections dans ce domaine.
En
1996, cette politique a été renforcée par la création d’un espace d’expositions et
de rencontres artistiques. En 1998, la banque s’est dotée d’une nouvelle structure,
la Fondation ACTUA, dédiée à la promotion des arts visuels, l’organisation
d’expositions et l’édition de catalogues.
participer au développement de la communauté culturelle, sportive, artistique et
caritative à travers la Fondation Wafa Bank. Cette politique se concrétise, entre
autres, par l’achat d’ouvres d’artistes pour les exposer dans l’espace réservé au
rez-de-chaussée du siège de la banque ; l’organisation de plusieurs expositions
telles que "rétrospective de la peinture marocaine", "l’œuvre lino gravée de
Picasso" et "tendances de la peinture contemporaine au Maroc" ; la création de la
biennale de la peinture destinée aux artistes de moins de 35 ans et le partenariat
avec la fédération nationale du Tennis pour aider les jeunes tennismen.
démontrer leur visage social, c’est le cas du Crédit Du Maroc qui a été le principal
pourvoyeur d’une opération caritative. En effet, cette institution a soutenu deux
volets du Programme de lutte contre la cataracte à entrepreneurs et Azrou, qui
s’est déroulée le 18 novembre 2000 et a profité à plus de 250 personnes. C’est le
cas également de la CDG qui a signé un accord de partenariat avec la Fondation
ZAKOURA éducation relatif au programme d’éducation primaire non formelle,
ouvert aux enfants non scolarisés, dans l’objectif de construire cinq écoles en
zone rurale de la région Rabat Salé.
5- Bancassurance au Maroc
a. Principe et éléments de bien fondé de la bancassurance :
La bancassurance consiste en la distribution de produits bancaires et d'assurance
par un même réseau, en l'occurrence bancaire, en vue de la vente croisée de
produits financiers supplémentaires.
Quatre principales stratégies ont été menées de par le monde pour rapprocher la
banque de l'assurance, dont trois observables au Maroc. Il s'agit de: la signature
d'un accord de distribution entre la banque et la compagnie d'assurance: la
banque étant un intermédiaire en assurance. La majorité des banques
marocaines ont opté pour cette forme de partenariat avec les compagnies
d'assurance comme première étape, en raison du stade encore peu développé de
la bancassurance dans notre pays; la signature d'un partenariat avec prise de
participation stratégique entre les deux établissements: c'est une forme de
bancassurance plus engagée, dans laquelle les deux partenaires associent leurs
stratégies pour une synergie plus importante, englobant aussi bien l'activité
banque que celle d'assurance; la création d'une compagnie d'assurance
commune entre les deux parties; et enfin, la mise en place d'une filiale
d'assurance de la banque en question.
Le bien fondé stratégique de la bancassurance s'articule autour de plusieurs
considérations que l'on peut regrouper en deux logiques: une logique d'acteurs et
une logique de facteurs.
Pour l'avenir, la logique d'acteurs sera renforcée par d'autres éléments de bien
fonder qui peuvent être qualifiés de logique des facteurs.
La déréglementation: les engagements du Maroc pour libéraliser son économie,
qu'ils soient concrétisés (nouvelle loi bancaire avec sa prochaine révision) ou en
cours (le projet du nouveau code d'assurance qui a été adopté par le conseil de
gouvernement le 26 avril 2001), aviveront davantage la concurrence sur les
marchés et feront diminuer les coûts des transactions;
Les progrès technologiques: donneront naissance à de nouveaux instruments
financiers qui permettront aux banquiers et assureurs de revoir les positions de
leurs bilans ainsi que la capacité de dégrouper et de regrouper les risques
financiers. Les initiatives, sous forme entre autres de plates-formes commerciales,
peuvent remodeler les chaînes de création de valeur aussi bien des banques que
des sociétés d'assurance de manière à réduire les coûts et à améliorer l'efficacité.
b. La bancassurance au Maroc
Le marché marocain de l'assurance occupe la 46ème position au niveau mondial
et la 2ème place en Afrique.
Il est constitué actuellement de 15 compagnies, après les différentes opérations
de concentration, dont 5 représentent 80% de l'encaissement total de primes.
Au cours de l'exercice 2000, le chiffre d'affaires du secteur des assurances a,
pour la première fois, dépassé la barre de 10 milliards de dirhams. La part de
l'assurance-vie dans ce chiffre d'affaires représente près de 30% contre 21% en
1995. En effet, le total des primes émises par ce secteur a atteint 12.278,94
milliards de dirhams contre
9.557,40 milliards de dirhams un an plus tôt, en hausse de 7,55%, selon les
chiffres encore provisoires de la Direction des Assurances et de la Prévoyance
Sociale
(Ministère des Finances).
La bancassurance, considérée comme technique "assurancielle", est une pratique
qui a vu le jour au Maroc, en fait, depuis plusieurs années. En effet, c'est vers la
moitié des années 70 (1973), avec la convention d'assistance de rapatriement de
corps, destinée initialement aux M.R.E. (Marocains Résidant à l'Etranger) que
cette technique est née. Elle s'est développée, par ailleurs, depuis une dizaine
d'années, avec la vente des produits d'assurances par les banques à travers les
contrats groupe ouverts.
La bancassurance a pu trouver un terrain de développement au Maroc,
notamment à la suite des processus de concentration et de transformation en
cours dans le secteur financier marocain tout entier, comme en témoignent les
fortes participations stratégiques des compagnies d'assurances dans les capitaux
des établissements bancaires.
Aujourd'hui, les résultats réalisés par l'activité bancassurance au Maroc sont
éloquents. La distribution de 10% des produits d'assurances se fait via les
banques pour un chiffre d'affaires qui était de l'ordre de 1 milliard de dirhams en
1999.
La branche vie représente plus de 90% du chiffre d'affaires de l'activité
bancassurance, tandis que plus de 5% du chiffre d'affaires global de la branche
vie du secteur des assurances est issu de la bancassurance.
A fin juin 2001, 11 banques marocaines exercent une activité de bancassurance,
avec environ 1 545 points de vente et un effectif de 21 084 personnes, une force
de vente deux fois supérieure à celle des agents généraux et des courtiers
d'assurance. Dans ce contexte, plusieurs alliances et rapprochements ont vu le
jour dans le but d'exploiter les gisements de la bancassurance.
Un autre élément qui favorise le développement de la bancassurance dans notre
pays est la dimension fiscale. En effet, le rendement net après impôt de
l'assurance vie au Maroc est nettement supérieur à celui des autres produits
financiers, alors que précisément on a observé que le développement de la
bancassurance, à travers le monde, a été très étroitement lié à l'environnement de
l'assurance vie.
La Société Générale Marocaine occupe une place de premier rang parmi les
grandes banques privées du Royaume. Cette position est le fruit d’une
persévérance constante au service des clients et partenaires de la banque, et
d’une synergie renforcée avec le Groupe Société Générale, l’actionnaire de
référence.
C’est ainsi qu’on’ a vu un essor d’une banque et une innovation non négligeable
aux niveaux de ses produits.
Au cours de cette période, la banque a renforcé ses effectifs, revu ses structures
organisationnelles, étendu son réseau, amélioré son système d’information en se
dotant d’importants moyens informatiques, confirmé ses performances
commerciales et conforté sa position dans le système bancaire marocain.
La banque inscrit son avenir dans un projet d'entreprise "l'avenir ensemble", axé
sur l'amélioration continue de ses performances, sur le professionnalisme de ses
ressources humaines, ainsi professionnalisme de ses ressources humaines, ainsi
que sur la volonté de travailler en équipe.
En 2002, c’est tout le groupe Société Générale qui s’affirme dans une démarche
identique à travers le monde. La Société Générale Marocaine de Banques
retrouve dans cet aboutissement et cet élargissement la marque de sa propre
contribution.
En effet, ces trois valeurs résument parfaitement les engagements retenus dans
la charte « L’avenir ensemble ».
2-Organisation de la SG :
L’organigramme général :
Directeur général
Secrétaire de direction de
direction
Service caisse :
La caisse est un service qui ’a un contact permanent avec la clientèle, parmi ses
principales tâches on peut citer :
Le service étranger :
Service qui a pour objectif le traitement des opérations des marocains résidant à
l’étranger pour enfin satisfaire les besoins de ces derniers.
Carte visa :
Carte de retrait et de paiement valable au Maroc. Ses principales
fonctionnalités sont les mêmes que la carte déclic électron, la seule différence
consiste en un retrait d’espèce en 2000dh par période de 7 jours fixes.
Carte dynamique :
Permet d’effectuer des retraits 24h sur 24h et 7jours sur 7 jours auprès de tout
les GAB du réseau de la SGMB.
Le retrait d’espèce
L’édition d’un extrait de compte
Consultation du solde du compte auquel est adossé la carte
Commande d’un chéquier
Carte horizon
Est une carte nationale de retrait et de paiement à débit différée en fin de mois
En plus des fonctionnalités communes avec les autres cartes, elle offre un
service complémentaire qui consiste en une assurance décès accidentel
pouvant atteindre 250000dh.
Sogéphone :
C’et un service à distance, accessible à partir du Maroc ou à l’étranger. les
opérations possibles sont :
SG Maroc-on line :
C’est le service de banque via Internet de la société SGMB. Ce service
permet au client abonnés d’&accéder à leurs comptes et d’effectuer des
opérations bancaires à distance.
Ce service permet de :
Western union :
Permet d’envoyer et de recevoir de l’argent à travers le monde , la société
génerale fait partie des agents western union offrant le service de réception
des fond auprés de 79 agences du réseau.
B. Assurances
Vital protection :
Est un contrat d’assurance de décès de l’assuré, qui permet de protéger
financièrement ces proches par le versement d’un capital d’urgence et de revenus
mensuels servis pendant un an.
Secours plus
Est un contrat d’assistance intervenant en cas de maladie, accident, panne, vol de
véhicule.
Assistance MRE :
Il s’agit aussi d’un contrat d’assistance mis à la disposition des clients marocains
résidents à l’étranger.
Assistance médicale
Assistance juridique à l’étranger
Assistance technique aux véhicules
Assistance en cas de décès
Vital hospitalisation :
Les garanties principales de cette assurance consistent e :
Quiétude :
Offre à l’assuré la couverture de sa carte bancaire, ses papiers personnels et ses
clés en cas de perte de vol ou suite à une agression.
Livret d’épargne :
Est un compte d’épargne rémunérée dont les fonds restent disponibles à tout
moment
Compte à terme :
Dans ce cas le client s’engage à mobiliser les fonds durant une période convenue.
En contrepartie, il perçoit des intérêts en fonction des montants et de la durée de
placement.
Bon de caisse :
Est un placement matérialisé par une reconnaissance de dette de la banque vis-à-
vis de son client et matérialisé par un titre remis au client.
Prévoit la constitution progressive d’une épargne au profit d’un enfant pour arriver
à financer ses études supérieures ou de le doter d’un capital dessiné à lui faciliter
son entrée dans la vie active.
Vital retraite :
Cette offre s’adresse aux particuliers et aux professionnels, permettant la
constitution d’une épargne retraite.
Log épargne :
Permet de constituer progressivement une épargne valorisée après 5ans
d’épargne logépargne donne le droit d’un prêt immobilier.
SG perspectives :
C’est une SUCAV à moyen terme, constitué de valeurs diversifiées (actions,
obligations, liquidités).
SG oblige plus :
C’est une SICAV obligatoire de capitalisation investie dans les produits de taux
moyen et long terme.
SG expansion :
C’est une SICAV actions investie à hauteur minimale de 85% en actions,
permettant à moyen terme une appréciation du capital investi.
SG valeurs :
C’est une SICAV actions investie dans les produits de taux à très court terme et
en liquidités.
SG trésor plus :
C’et une FCP dynamique, de catégorie obligatoire court terme investi dans les
produits de taux avec une prise de risque limité.
C- Prêts :
Convention équilibre :
Est un contrat de facilité de caisse octroyé sur le compte chèque du client. C’est
une solution bien adaptée pour tout client enregistrant des décalages de
trésorerie, surtout en fin de mois.
Crédit flash :
C’est une formule de crédit rapide, pour laquelle aucun justificatif quand à
l’utilisation des fonds n’est exigé.
Crédit résidence :
Est un prêt immobilier qui permet de financer l’achat, la construction, ou
l’extension d’une résidence principale ou secondaire ou l’achat d’un terrain.
Et enfin, voici un tableau récapitulatif des produits de la SGMB ainsi que les
besoins qu’ils comblent :
Troisième section : La qualité d’accueil au sein des
agences.
De nos jours, l'agence est le canal le plus utilisé dans la relation bancaire avec un
principal souci de se repositionner dans cette chaîne de valeur.
C’est ainsi que l’amélioration de la qualité de service au sein des agences est
devenue aujourd’hui inscrite en lettres de feu dans la politique de la banque
SGMB. Car ce sont les leviers de différenciation les plus importants par rapport
aux concurrents.
Dans la qualité de service, il est censé mettre l’accent sur l’ensemble de service
consommés par les clients, que ce soit l’accueil, les opérations à l’international,
les moyens de paiement, les relevés de compte, …..Ce qui expliquera l’initiative
de la SGMB pour l’amélioration de l’ensemble de ces activités, ce qui représente
un chantier sans fin.
C’est pour cela que la SGMB a priorisé l’écoute client, pour identifier les
problèmes récurrents.
Ce projet d’amélioration dans les agences trouve son origine, dans l’écouté de la
clientèle. Son objectif est de produire un service qui corresponde exactement à ce
qu’attend le client. Les principales actions en sont :
La diminution de l’attente devant les guichets par une meilleure
gestion de pointe
L’orientation du client en agence par la signalétique
L’amélioration de l’accueil téléphonique par une meilleure prise en
charge
L’amélioration du traitement des réclamations, notamment dans la
prise en charge et le suivi
Fiche technique
Service en agence
Accueil
Innovation Crédit
I- L’accueil au quotidien :
L’accueil demeure une phase rapide mais capitale pour la suite de la relation.
Entre le client et son banquier, le contact direct est quotidien, c’est pour cela pour
miser sur un contact de qualité, le caissier ainsi que tout le personnel de l’agence
doit s’adapter au client afin de le sécuriser et faciliter l’expression de ses besoins.
Prise de contact :
Cette phase est primordiale, c’est pourquoi le banquier doit être souriant et
mettre le client en confiance et en sécurité.
Ecoute de la demande :
Information :
Orientation :
Le relais :
Mettre son client son client en contact avec son collègue, et faire des
présentations consiste en l’étape de relais.
Conclusion :
Prise de congé :
Pour gérer efficacement cette phase, la banquier doit faire preuve d’une
courtoisie, et avoir le sens de professionnalisme.
Les chargés de clientèle ont pour intérêt l’instauration d’un climat convivial et
une relation de confiance avec le client, étant disponible efficace et
professionnel.
L’accueil au téléphone :
Traitement de réclamations
et enfin il solutionne.
Enfin on dira que l’accueil au sein de l’agence varie selon les situations suivantes :
Dans le domaine des services, la satisfaction du client est plus difficile à évaluer.
Il est donc souvent l’objet de mesure. La satisfaction fait partie des conditions nécessaires
(mais non suffisantes) à la fidélisation, à l’acquisition de nouveaux clients, ou au
développement de la banque.
Cependant, afin de maximiser ce sentiment chez les clients, les actions doivent se mener
à la source. Il est vrai que la qualité des produits et services offerts doit être
irréprochable, mais il est aussi primordial d’organiser un suivi et un contrôle permanent
de la qualité et surtout des comportements qui eux doivent s’adapter avant tout aux
besoins des consommateurs.