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Linguistiques
Définir Linguistique ?
La linguistique est la discipline s’intéressant à l’étude du langage au niveau de l’écrit, oral, les aspects
syntaxiques et grammaticaux. Elle est une science humaine basée sur : l’observation, l’expérience et
le résultat; ce résultat n’est pas exact, n’est pas figé mais évolutif. Elle se distingue de la grammaire,
dans la mesure où elle n'est pas prescriptive(ne donne pas des normes) mais descriptive (elle décrit
l’état de l’homme)
I. De Saussure et le structuralisme :
Louis Ferdinand de Saussure de sa jeunesse à l’école des néogrammairiens (grammaire
comparatiste) a fait ses premiers recherches linguistiques sur l’indo européen il a essayé de trouver
le système phonétique de l’indo-européen dans sa mémoire intitulé « mémoire sur le système
vocalique en indo européen » sur le système vocalique en indo européen.
Saussure a utilisé un raisonnement structural a propos d’une étude historique cet ouvrage constitue
le lien entre l’ancien théorie grammaticale historiciste et le nouveau raisonnement structural
Le raisonnement structural a été développé dans l’ouvrage « cours de linguistique générale » la base
de linguistique moderne dans laquelle Saussure va se révolter contre la conception historique des
faits linguistiques et souligner l’aspect structural de la langue Saussure a conçu plusieurs concepts
grâce auquel le structuralisme va naitre
L’association entre le signifiant et signifié est arbitraire c a d : que le signifiant n’a aucune attache
réelle de la réalité par rapport au signifié, mais conventionnelle
Le signifiant est imposé par la communauté linguistique il ne dépend pas de libre choix des individus
pour cela qu’il est conventionnelle
La langue selon Saussure est un système de signes linguistiques qui entretiennent entre eux des
relations d’opposition et de complémentarité sur deux axes :
La langue est découpée en unité segmentale, discret car le quantiniume est linéaire
3. La langue et la parole :
Saussure fait la dichotomie (opposition binaire) entre la langue et la parole :
La langue est un fait social conventionnel, abstrait, collectif alors que la parole est un fait réel
concret individuel et accidentel (dépend de la situation) grâce à cette dichotomie plusieurs branches
de linguistique vont naitre :
Ces linguistes choisiront d’étudier l’aspect synchronique de la langue c a d : ils s’intéresseront à un
état stable de la langue par exemple : étudier le français contemporain
Selon Saussure la langue constitue un élément indépendant et clôt (on n’est pas besoin de l’histoire
de religion de l’histoire de l’idiologie, la sociologie, pour expliquer c’est quoi la langue il suffit à lui-
même) elle est constituée de signe chaque signe à une valeur à l’intérieur de système
La recherche linguistique avant Saussure était fondé seulement sur des théories imposés de façons
aléatoire sans aucune démarche analytique et scientifique on rend compte seulement de la langue
écrite cette étude s’est limité sur la segmentation des unités grammaticales et s’est focalisée sur les
parties de discours d’une manière plus ou moins globale, il s’est attaché à la comparaison avec les
autres langues
la grammaire c’est le travail sur la lettre ( gammaire= gramma = lettre) ; n’est pas récente
Le travail sur la notion de la structure n’est pas récent depuis l’antiquité la linguistique c’est un savoir
ancien et c’est une science moderne même de manière inexacte et aléatoire pas scientifique. En se
fondant sur la langue écrite,
Les études sont focalisées beaucoup plus sur l’écrit que sur l’oral parce qu’on considéré que l’oral
est profane et l’écrit c’est un tri c’est pourquoi les études ont été plus grammaticales que
linguistiques, on a réussi à segmenter à des unités les distinguer des autres unités en catégorie
ordonnés ( les neufs parties de discours) d’où l’apparition de la grammaire comparative qui n’est pas
consacrée étudier la langue pour la langue elle-même mais aussi à établir des correspondances et les
rapports entre les langues et les comparer elle n’est pas un fondée sur une analyse scientifique mais
juste des pré jugements
Les recherches linguistiques étaient plutôt focalisées sur l’écrit et on est essayé de travailler des
discours pour trouver l’origine de langue et les familles de langue et les rattacher plusieurs langue et
ce qui nous intéresse c’est comparer les langues et trouver les liens communs
Ce changement a provoqué une révolution Saussurielle qui est commencée à l’apparition des
structuralismes chez les sociologues les destruces Saussure était le charnière entre l’ancienne école
comparative et l’école de la linguistique moderne
L’idée d’introduire les catégories (noms, verbes…) l’axe paradigmatique/syntagmatique existe déjà
avant on a étudié les structures uniquement pour la comparaison, la structure à l’intérieur de la
langue la langue rien que la langue, la langue c’est une mono clôture : un système clôt qui justifie à
lui-même qui n’est pas besoin d’évoquer l’histoire, la politique, l’idiologie pour décrire une langue.
Le structuralisme chez Saussure, c’est une doctrine, un mouvement, concept qui dit que la langue est
un système formé de plusieurs signes (linéarité) et chaque signes entretiennent des relations
d’équivalence par l’établissement des paradigmes, ou d’oppositions pour établir des classes
différentes : un mot et en équivalence avec les mots qui entrent avec lui dans le même paradigme
mais en opposition avec les mots qui constituent avec lui des syntagmes ce qui va nous pousser à
parler de phonème qui n’a de valeur que par sa relation d’équivalence ou d’opposition avec les
autres phonèmes.
Cette étude est en évolution de la langue et par la langue elle-même n’est pas coppée carrément à
l’histoire et propose une nouvelle démarche sans faire appel à la religion, politique, etc mais
uniquement à travers la langue elle-même puisque f De Saussure nous a parlés de la dichotomie
diachronie synchronie
En linguistique on ne travaille plus que sur l’écrit mais aussi sur l’oral
Les concepts de bases, ce qu’il a introduit – équivalence des positions, signe linguistique,
Conclusion :
Les langues avec Saussure a connu une révolution évolutive qui n’est pas Coppée avec l’histoire grâce
à lui plusieurs écoles vont naitre elle a connu une nouvelle vision dans l’analyse linguistique grâce à
des concepts produits et critiqués et développés par la suite par la linguistique moderne
Cercle linguistique de Prague : commencé à 1926 - 1939 après les travaux de Saussure, (grand
héritier de Saussure) ils ont développé ses concepts et ses idées : Notion de système et notion de
fonction, valeurs
Une vingtaine année après ‘’ cours de linguistique général’’ de Saussure un groupe de linguistes de
l’Europe orientale se réunit dans la ville de Prague leur but était de réfléchir sur la tradition
grammaticale qui régnait à cette époque en Europe et donc Saussure se voulait le précurseur vers les
années 1900- 1913 en effet en octobre 1926 à lieu à l’université Charles de Prague une conférence
sur les uniformisations syntaxiques dans les langues occidentales le thème de cette conférence
présentée par l’allemand Becker était d’analyser les relations étroites et les ressemblances qui
pouvaient exister entre des langues qui n’ont entre elles aucun rapport historique ni étymologique
Cad : selon les historicismes, on compare les langes par rapport aux histoire si elles ont le meme
origine il suffit d’analyser une langue pour dire que toutes les langues fonctionne de la même
manière Saussure a révolté contre cette démarche il a proposé d’étudier la langue pour la langue
elle-même sans se référer à l’histoire ni à l’étymologie Becker va démonter que les langues qui
n’avaient rien en commun ( pas d’histoire pas d’étymologie ) pouvaient avoir le même
fonctionnement le même système et les même structures syntaxiques ainsi on peut expliquer les
phénomènes linguistiques sans recourir au histoire on étudier les langues pour leur système et non
pas pour leur histoire
La conférence de Becker voulait étudier les ressemblances syntaxiques qui existent dans certaines
langues européenne sans se référer aux facteurs historiques à cette époque le public universitaire
était formé à l'école des néo néogrammairien de Leipzig (université de philologie en allemand) qui a
vu le jour au 19eme siècle, l’analyse de fait linguistique selon cette école reposait essentiellement sur
une interprétation diachronique et étymologique de la langue. L’apport fondamental de la
conférence censure (rejette) de remonter à l’histoire pour expliquer les faits linguistiques) cette
vision de fait linguistique il était pour l’époque 1926 révolutionnaire et très osée de prétendre que
l’on pouvait expliquer un fait syntaxique ou lexicologique sans se référer à son origine.
Becker proposait d’analyser le fonctionnement syntaxique de différente langue qui n’avait aucun
rapport historique selon un critère purement fonctionnel.
Certaine langue par exemple qui n’avaient aucun rapport étymologique pouvaient avoir certaines
ressemblances de fonctionnement syntaxique.
La conférence de Becker sera le point de départ d’une série de réunions mensuelle qui vont soutenir
l’école Prague.
Les principaux linguistes qui étaient à la tête de CLP : Jakobson, et surtout Troubetskoï
Jakobson avant d’arriver à Prague avait animé le cercle linguistique de Moscou en 1915
Cad : pour les néogrammairiens tout changement dans la langue est dû à l’histoire et à l’étymologie,
ce qui amène à Saussure et après l’école de Prague à se révolter contre cette démarche historique
Le but premier de chercheurs CLP était de raccorder les points de vues synchroniques et
diachroniques ainsi c’est dans une optique d’explication diachronique que le CLP a commencé ses
recherches il s’agit d’expliquer les raisons logiques qui font que tel mot ou tel catégorie grammaticale
a évolué, notons bien que le point de départ de CLP n’est comme on le dit très souvent, une volonté
d’étudier les phénomènes linguistiques en synchronie mais en contraire le CLP recherche d’abord
une explication de l’évolution diachronique logique et rationnelle
De 1928 – 1939 : le CLP va étudier à Prague une série de travaux publiés en huit volume rédigé en
français, allemand parfois en anglais.
L’arrivé de 2eme guerre, la mort de Troubetskoï, la fuite de Jakobson à Danémarque marquent la fin
d’activité intellectuelle de cercle.
Le CLP a publié également au début de son existence un manifeste dans lequel il résume les principes
théoriques sur lesquels que repose sa conception de la langue.
Le CLP ne s’est pas limité à étudier l’aspect oral de langage mais il a voulu donner une vision générale
de la langue (fonction des phonème dans langage)
Ce manifeste est connu sous le titre ‘’ thèse de CLP’’, les principes idéologie que qui explique la
démarche linguistique de CLP ces thèses résument la pensée collective de groupe, ils sont le
programme linguistique auquel on devait adhérer et dont on devait reconnaitre la validité pour
devenir membre actif de CLP.
Sur ces neuf thèses les trois premières concernent les problèmes de linguistiques générale, les six
dernières thèses concernent les langues slaves
1. La première thèse :
a) Problèmes de méthode
Découlant de la conception de la langue comme système et importance de conception pour
toutes les langues humaines.
- La langue pour CLP est un système fonctionnel mené (doué) de caractère de finalité
- Les moyens utilisés pour une langue ne sont toujours en vue d’une fin ou d’un but
Cad : quelque soit les éléments utilisés par une langue ont une fonction pour atteindre un but
Citation :
Cad : la langue nous offre des moyens pour plusieurs fonction : s’exprimer ( émotion, pensée
poème ) communiquer ( j’attends une réponse feedback ton verbal ou actionnel ) informer
( j’attend pas une réaction)
‘’ on ne peut comprendre aucun fait de langue sans avoir référence au système générale
auquel se fait de langue appartient ‘’
Cad : la notion duel en français : singulier/pluriel en arabe on a trois, en engluais on a deux et pas de
différence entre : tu et vous : ce fait linguistique n’appartient pas au système donc il n’a pas de sens
Chaque élément de la langue n’a du valeur qu’à l’intérieur de système
Le travail linguiste est donc de rendre compte de l’état de langue actuelle (synchronie) qui offre
des matériaux complets sur lequel il va travailler et dont chaque locuteur a le sentiment direct.
Cad : le rôle de linguiste travailler sur des états stables pas en évolution concrètes
compréhensible par le locuteur par son intuition que c’est correcte ne pas travailler sur des
langues artificielles
Le CLP considère la langue comme un système uni et ordonné d’éléments répondant à un but et
une fonction
Le système linguistique d’une langue est entrainé dans un processus de remaniement perpétuel pour
maintenir la fonctionnalité de la langue.
Un élément déterminé dans un ensemble linguistique n’évolue pas au hasard. Le linguiste peut
écarter la notion de l’évolution dans son étude, mais il y aura toujours dans l’étude synchronique
d’une langue la référence à des faits diachroniques. Cependant, Ce qui intéresse le linguiste c’est le
but d’un changement et non pas sa cause.
c) Les familles de langues :
Les méthodes utilisées jusqu’alors par les grammairiens pour étudier les langues se situaient dans
une perceptive génétique (l’origine).Le but était de chercher le patrimoine commun à toutes les
langues.
Le CLP à la suite de Saussure fait apparaitre les lois de structure qui organisent un système
linguistique. On ne cherche plus une famille ancestrale (ancienne, origine) mais on établit une
typologie de toutes les langues, les langues vont être classées par types et non par familles
historiques. La typologie des langues va se faire en deux parties, on distingue les langues à parenté
d’origine c.à.d. les langues qui ont le même ancêtre comme l’italien, Romain, Espagnole et les langue
à parenté acquise ou d’affinité (intercompréhension) comme au niveau syntaxique le Français et
l’Anglais.
Liste des familles :
1- La famille des langues indo-européennes :
Dans cette famille il y a le sanskrit, le latin, le persan, le saxon.
2- La famille des langues sémitiques et arméniennes :
L’arabe, l’amazigh, l’hébreu.
3- La famille des langues finno-ougriennes :
Le finnois, le turc, Le coréen
4- la famille des langues amérindiennes :
sont les langues indigènes d'Amérique, parlées par les différents peuples amérindiens depuis
l'Alaska et le Groenland jusqu'à laTerre de Feu. Les linguistes qui en sont spécialistes sont appelés
américanistes.
2. Deuxième thèse :
C’est la langue considérée sous son aspect phonique
le CLP fait une distinction fondamentale entre le son comme un fait physique (matière) mesurable et
le son comme élément minimale du système fonctionnel par lequel et grâce auquel nous pouvons
communiquer. Le CLP dans cette thèse va étudier les langues sous leur aspect oral. L’intérêt du CLP va
être porté sur une science nouvelle appelée phonologie.
La nouveauté du CLP est d’avoir invitée les linguistes à étudier l’aspect oral de la langue dans un
esprit, dans une optique de système et que les sons ont aussi un système.
Cette seconde thèse est fondamentale dans les acquisitions nouvelles que le CLP a apporté à la
linguistique du 20 siècle. Le CLP établit une distinction nécessaire entre le son et le phonème.
Selon le CLP, le locuteur vise en parlant l’image acoustique (référence) qu’il a auparavant entendu
chez d’autres locuteurs .on ne peut parler sans se référer à ce que les autres disent et à ce que nous
entendons
Ainsi, il y a importance des phénomènes acoustique-moteur (rapport avec le mental) dans l’analyse
linguistique, Cependant ces phénomènes ne sont pas le but d’un linguiste car ce qui l’intéresse c’est
la fonction distinctive des sons.
Le CLP étudie la phonologie synchronique d’une langue :
1- En dressant le répertoire de tous les phonèmes (par le biais des pairs minimaux phonèmes ou
variante).
2- En étudiant les groupements ou en combinant des phonèmes ( voir comment les phonèmes sont
disposés les uns par rapport aux autres).
3- En examinant la fréquence respective des phonèmes et leur charge fonctionnelle.
3. Troisième thèse :
Les différents modes d’une réalisation d’une langue :
Dans cette thèse, le problème étudie est de savoir sous quel aspect la langue se manifeste (devient
concrète).
Il y a trois manifestations possibles :
1- L’oral.
2- L’écrit.
3- Le rituel (geste)
Le CLP cherche les différentes fonctions que la langue peut procéder autrement dit sa variété
d’emploi.
Pour le CLP la langue possède deux fonctions :
1. La fonction de communication : qui est essentiellement tourné vers le signifié (sens) :
Exemple : Les œuvres théorique – la notice des médicaments.
2. La fonction poétique : Le message est tourné vers la forme (son).
exemple : la poésie.
Conclusion :
Le CLP qui est considéré comme le grand héritier de Saussure a permis à la linguistique de
déterminer une zone importante de la recherche en ce qui concerne l’oral. Le plus grand apport du
CLP à la pensée théorique linguistique est la phonologie.
L’exposé le plus complet de la théorie de la phonologie praguoise se trouve dans l’ouvrage
fondamental – PRINCIPES DE PHONOLOGIE- de Troubetskoï qui a analysé plus de deux cents
systèmes phonologiques des langues naturelles.
Le distributionnalisme
Dans l’épistémologie il y a 5 théories d’apprentissage :
1. Théorie transmissible : un maitre (qui détient le savoir) transmit le savoir à un apprenti (qui n’a
pas le droit de discuter de ce que dit le maitre l’erreur est sanctionné et impardonné ( normative)
2. Behaviorisme : (distributionnalisme) expérience de chien par Pavlov (sonne de cloche et le
moment de manger, saliver : stimulus réponse) apprendre par cœur des structures
(emmagasiner des structures) qui m’ont amène à réagir et donner des réponses d’une façon
mécaniques : habitude
J’observe le comportement des unités distinctif d’un corpus d’une langue et je déduis un schéma
je l’applique mécaniquement basée sur la forme peu importe le sens : le stylo mange,
Le savant aveugle (ambigüité)
3. Structuralisme : (approche traditionnelle) apprendre des structures pour pouvoir parler
4. Cognitivisme : (générativisme ) réagit contre ces méthodes traditionnelles ( distributionnalisme)
qui s’appuient sur ce qui est mécaniques mais au contraire à la pensée et à la mentalité et
l’intuition : il considère que le cerveau de l’enfant est vierge et enregistre d’une façon mentale ce
qu’on dit
5. Socioconstructivisme : je construis mon savoir par l’interaction avec les autres, j’apprends en
société (théorie de Chomsky est dépassé car elle est centrée ce sur ce qui est individuelle :
compétence - performance )
A. Définition
Le distributeur est une variante du structuralisme, il a vu le jour au États-Unis vers 1930, les
principaux chercheurs de ce courant sont Bloomfield et Harris. l’analyse distributionnelle définit les
unités linguistiques par les restrictions qui limitent les apparitions à côté de tel ou tel autre unité
cette approche vise à dégager des classes d’éléments elle est fondée sur le libéralisme par
conséquent elle ne considère que les situations concrètes de la langue ( déjà réalisé), celle-ci ( la
langue) est considérée comme un stock d’énoncés matériels dans lequel il s'agit de repérer des
régularités et de construire des classes paradigmatique sans considérer la signification des mots livre
père cahier chat…. , qui figurent dans la même classe paradigmatique celle des noms, de même : le,
un, ce, constituent la classe des déterminants. La démarche distributionnelle est une pure
description.
la notion de classe est fondamentale parce qu'elle est plus aisée de manier des entités formelles
c'est-à-dire : la classe que des mots isolées et c'est pour deux raisons :
B. La méthodologie
La réflexion théorique des distributionnalistes réduite au strict minimum, si le structuralisme
européen s'intéresse à la langue indo-européenne comme depuis longtemps, le distributionnalisme
américain s'intéresse aux langues amérindienne connue et non écrites ce qui réduit la spéculation
théorique.
L’objet d'étude de distributionnaliste, c'est la langue qu’il aborde sous son aspect synchronique des
langues amérindiennes qui n'ont pas une l'histoire écrite.
Les unités d'une langue entre en relation syntagmatique et paradigmatique.
L’analyse de ces deux axes permet au distributionnalisme de dégager les unités minimales par les
processus de la segmentation.
la méthode distributionnelle est notamment décrite par Harris :
1. Partir d'un corpus : homogène, représentatif c'est un échantillon de la langue qui permet
d'analyser un nombre fini d’énoncés pour rendre compte de la totalité de la langue.
2. La segmentation : dans cette étape il s'agit de déterminer les unités permutables et de
constituer des classes paradigmatiques.
3. L'analyse en constituants immédiats : six cahiers, livre….. , ce groupe à l'intérieur d'une même
classe et si cette classe n'accepte pas les mots comme acheter, perdre…, mais que ces derniers
se groupe au sen d’une autre classe cela permet un début de généralisation la classe des mots
sera appeler N et la classe des verbes se appeler V avec ses symboles N, V on peut formuler une
règle susceptible et capable de rendre compte de toutes les phrases de la langue.
Une phrase selon les distributionnalistes est considérée comme une séquence de symboles
catégoriels.N : nom/ V : verbe …. Et la phrase se réecrit
Det + SN + SV en suite on fait l’analyse Immediat ( ce qui est dedans ces catégories )
Echantillon :
J’ai acheté un livre
il vend des cahier
Syntagmatique : N : nom/ V : verbe …. Et la phrase se réécrit Det + SN + SV en suite on fait l’analyse
immédiat (ce qui est dedans ces catégories)
Rupture découpage entre le mécanisme et le mentalisme l’être humain n’apprend pas comme une
machine comme un chien ( des rections suite à un stimulus )mais il a la capacité de réfléchir et de
penser et construire son savoir
L’objet d’études de la grammaire générative n’est pas un corpus fini mais l’infinité des réalisations
possibles elle se base sur l’intuition que le locuteur auditeur natif à de sa propre langue (c’est la
différence entre Saussure et Chomsky : social # individuel (intuition : erreur pardonné)
La performance selon Chomsky est donc individuel et correspond à des règles mentales abstraites
collectives et universelles (dépend de l’intuition de humain quelque soit la langue) la performance
est toujours guidé gouverné par la compétence la première est constituée d’un nombre infini de
réalisation la 2eme est constitué d’un nombre fini de règles l’étude de ce nombre fin ide règles rend
compte de la totalité des productions possibles de langage
3 transformations :
Des règles syntagmatiques engendrent des structures abstraites : les indicateurs syntagmatiques
sous adjacents les règles de transformation convertisse ces structures abstraites en phrase :
Tout le monde ici connait au moins deux langues à la voix passive le sens va changer ce qui a causé
une contrainte chez les générativistes : la voix passive une phrase et la voix active une autre phrase
pour résoudre ce problème on fait appel à la sémantique
Les transformations obligatoires doivent nécessairement être appliqué leur résultat est la phrase
noyau
Les transformations facultatives transforment cette phrase noyau on passive négative interrogative
complexe emphatique …..
Conclusion :
La grammaire générative a connu beaucoup d’évolution très rapide et les rapports entre la
composante syntaxique et la composante sémantiques sont difficilement à déterminer