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Fonction d'approvisionnement
Cette fonction est chargée de l'achat et du stockage des matières premières. Tous les frais
engagés pour l'achat et le conditionnement de ces matières forment le coût d'achat.
Fonction de production
Cette fonction à la tâche de transformation de matière en produit fini. C'est la fonction qui
distingue l'entreprise industrielle de l'entreprise commerciale.
Fonction de distribution
Cette fonction assure la distribution du produit fini de l'entreprise aux consommateurs. La
distribution du produit se fait à travers des canaux de distribution, un canal est le chemin suivi
par le produit fini de l'entreprise jusqu'aux consommateurs.
1.1.5.2. Fonctions auxiliaires
Ce sont des fonctions d'aide aux fonctions principales, on trouve dans cette catégorie les
fonctions suivantes : administrative ; financière et de sécurité.
Fonction administrative
Cette fonction diffère par nature puisqu'elle s'exerce à tous les échelons et dans tous les
services de l'entreprise. Les attributions qu'elle confère augmente dans le même sens que la
responsabilité hiérarchique.
Fonction financière
Du point de vue de l'organisation, la gestion financière dépend de la sous fonction de la
gestion administrative, pour obtenir la concordance permanente entre la poursuite des
objectifs de production et la disposition des moyens financiers appropriés. D'où FAYOL
conclut que la condition essentielle du succès d'une firme est d'avoir une gestion financière
saine.
Fonction de sécurité
Elle comporte deux aspects, à savoir : la sécurité des personnes et celle des biens. Cette
fonction est à considérer comme responsable de développement de l'esprit de sécurité dans
une entreprise et moyen d'entreprise pour la protection de tous.
1.3. Performance
Toutes stratégies, toutes démarches de progrès visent à accéder à un objectif précis. En
quelques mots, la performance qualifie la manière dont on parvient à atteindre cet objectif. Le
management de performance est donc une approche d’amélioration globale des
comportements et des manières d’agir.
La performance se mesure. C’est ainsi que l’on évalue don progrès, alors l’unité de mesure
impérativement lié à l’objectif poursuivi. Les mesures de temps, des quantités et de coûts ne
sont en rien des mesures universelles, la performance s’exprime impérativement dans une
logique d’amélioration continue.
Retenons que la notion de performance correspond donc à l’atteinte d’objectif ou des résultats
attendus et plus largement à la création de valeur généralement associée à l’accroissement du
profit.
d. Le livre journal
C’est un registre obligatoire, permet à l’entreprise d’enregistrer de manière chronologique les
informations (le nom des comptes, le libellé) au jour le jour et opération par opération ;
autrement dit ; c’est dire la raison de l’opération économique qui les sous-tend (achat de
matières, service) et même le document justificatif (facture numéro…).
* Le livre journal est imposé au comptable car il peut être utilisé comme moyen de et son
délai de conservation est de 10 ans.
* Le livre journal doit être coté (numérotation des pages) et paraphé (signature pour
Authentification) par le greffier du tribunal de commerce ou du tribunal de grande instance
statuant en matière commerciale.
* Les erreurs doivent être corrigées par des écritures de contrepassation : on passe l’écriture
erronée en sens inverse pour l’annuler, puis on passe l’écriture correcte.
e. Le grand livre
Le grand livre constitue une première synthèse de la comptabilité qui regroupe tous les
comptes de l’entreprise. C’est un registre obligatoire alimenté par le report des écritures au
journal, son délai de conservation est de 10ans. Les écritures classées sont classées dans
l’ordre du plan des comptes, il peut être détaillé en autant de grands livres auxiliaires si le
besoin s’en fait sentir (la plupart des entreprises choisissent de disposer d’un grand livre
général, d’un grand livre auxiliaire des clients et d’un grand livre auxiliaire des fournisseurs…
etc.)
f. La balance
La balance est une synthèse du grand livre, ce document reprend tous les comptes de
l’entreprise, il donne pour chaque compte le total de son débit, le total de son crédit et son
solde à la fin de l’exercice. Elle est un moyen de contrôle, la somme des mouvements
débiteurs doit être égale à la somme des mouvements créditeurs, si cette égalité n’est pas
vérifiée, cela signifie qu’il y a eu une erreur dans un ou plusieurs enregistrements (le non-
respect de la partie double, écritures non équilibrées) ou erreur de calcul d’un solde ou de
totalisation. La balance doit être présentée mensuellement.
Schéma : la balance.
g. Le livre d’inventaire
Le livre d’inventaire est un document obligatoire qui regroupe les données d’inventaire et sur
lequel sont enregistrés les documents de synthèse (bilan, annexe), son délai de conservation
est 10 ans.
2.7.2. L’organisation humaine de la structure de la comptabilité
Nous y trouvons les personnages qui ne peuvent pas échapper à une bonne organisation
comptable humaine :
Le chef comptable :
Il conçoit le système comptable et assure la répartition et la coordination des tables à exécuter.
Le comptable :
Il analyse les pièces d’origine et prépare les documents d’imputation et traduit en écriture
toutes les opérations et pièces comptables.
L’aide comptable :
Il enregistre les pièces comptables sur le livre comptable, il collecte et classe les documents
comptables, il établit les balances et contrôle la concordance des journaux et des comptes aux
documents d’origine externe.
L’expert-comptable :
Il s’occupe de feed back, contrôle l’exactitude des écritures et la conformité des procédures.
L’analyste financier :
Son rôle est de faire sur la base des états comptable le diagnostic de santé financière de
l’entreprise.
Le caissier :
Il procède au payement et aux encaissements sur présentation des pièces justificatives.
Le secrétaire :
Il est chargé de l’organisation administrative de la fonction comptable.
2.7.3. L’organisation temporelle
L’organisation temporelle de la comptabilité se distingue en différentes étapes successives :
a. Les travaux quotidiens
Les travaux quotidiens sont relatifs aux opérations réalisées avec les clients et les
fournisseurs. Ils concernent en premier lieu les factures émises et les règlements reçus, et en
second lieu les factures reçues et les règlements émis. Ces quatre opérations constituent
l’essentiel du travail comptable journalier et sont enregistrées informatiquement dans le
journal puis dans le grand-livre à partir de pièces justificatives (facture, bons de commande,
chèques, déclarations, bulletins de paye…) Datées fiables.
Ces travaux constituent l’essentiel du travail comptable journalier et se rattachent
généralement aux éléments suivants :
Collecter les documents de bases (les pièces justificatives) ;
Prévoir l’imputation comptable ;
Effectuer la saisie des écritures à partir des documents de base.
En effet, ces travaux sont relatifs aux opérations réalisées avec les clients et les fournisseurs.
b. Les travaux mensuels
Ces travaux sont relatifs à la comptabilisation et au règlement des salaires et de la TVA, ainsi
qu’à l’établissement de la balance de contrôle.
c. Les travaux annuels
Ces travaux visent à clôturer et à certifier toutes les opérations survenues durant la période de
l’exercice comptable. Ils sont organisés suivant trois temps forts :
Contrôle des comptes ;
Ecriture d’inventaire ;
Elaboration des états financiers.
2.7.4. L’organisation fonctionnelle
Cette organisation comprend deux parties :
- Organisation externe : elle s’intéresse à la structure organique de l’entreprise ;
- Organisation interne : qui s’intéresse à la structure interne du service comptable.
a. L’organisation externe
Elle permet d’assurer la coordination entre, d’une part le service comptable et d’autre part, les
trois principaux services de l’entreprise (le service commercial, le service administratif, le
service technique).
Rapport avec le service technique :
L’organisation comptable dans ce cas se traduit par la mise en place des moyens nécessaires
devant permettre à la comptabilité de saisir les informations quantitatives relatives aux
prélèvement des matières premières et à la fabrication, au stockage des produits fabriqués et
leur sortis, et à la rémunération des machines de production et autres équipements y afférents.
Rapport avec le service administratif :
La comptabilité doit être aussi organisée de manière à permettre la saisie des charges
administratives et des opérations financières.
Rapport avec le service commercial :
Les magasins doivent être groupés en tenant compte des nécessités de distribution active et
économique des matières, de l’emploi méthodique des emplacements et des dispositions du
plan comptable, en :
- Magasin marchandise ;
- Magasin matières à transformer ;
- Magasin matières accessoires ;
- Magasin matières auxiliaires à consommer ;
- Magasin des emballages ;
- Magasin des produits semi-finis ;
- Magasin des produits finis.
Le chef magasinier doit connaitre le plan comptable au même titre que tous les employés de la
comptabilité.
b. L’organisation interne
Cette organisation s’attache à la structure interne des services comptables qui peuvent
comprendre en son sein :
- La comptabilité générale centrale ;
- La comptabilité fournisseurs ;
- La comptabilité clients ;
- La comptabilité magasin ;
- La comptabilité analytique ;
- La facturation ;
- La caisse ;
- La trésorerie ;
La liste n’est pas exhaustive car l’organisation comptable interne dépend de la nature et de la
taille de l’entreprise.
2.8. Le schéma de l’organisation comptable
La représentation du schéma s’effectue en suivant les étapes ci-dessous :
Schéma : organisation comptable
Pièces justificatives
Travaux quotidiens
Livre journal
Grand-livre
Travaux mensuels
Balance
Etats financiers
Bilan ; compte de
Travaux annuels
résultat…
Cette documentation est conservée aussi longtemps qu’est exigée la présentation des états
financiers successifs auxquels elle se rapporte.
Art.20.- Les livres comptables et autres supports doivent être tenus sans blanc ni altération
d’aucune sorte.
Toute correction d’erreur s’effectue exclusivement par inscription en négatif des éléments
erronés ; l’enregistrement exact est ensuite opéré.
Art.21. Les entreprises visées à l’article 13 ci-dessus qui relèvent du Système minimal de
trésorerie tiennent une simple comptabilité de trésorerie dans les
conditions fixées par le Système comptable OHADA. Les états financiers de ces entreprises
ainsi que leurs règles d’établissement font l’objet d’une édition distincte.
Art.22.- Lorsqu’elle repose sur un traitement informatique, l’organisation comptable doit
recourir à des procédures qui permettent de satisfaire aux exigences de régularité et de
sécurité requises en la matière de telle sorte que :
les données relatives à toute opération donnant lieu à enregistrement comptable
comprennent, lors de leur entrée dans le système de traitement comptable, l’indication
de l’origine, du contenu et de l’imputation de ladite opération et puissent être
restituées sur papier ou sous une forme directement intelligible ;
l’irréversibilité des traitements effectués interdise toute suppression, addition ou
modification ultérieure l’enregistrement ; toute donnée entrée doit faire l’objet d’une
validation, afin de garantir le caractère définitif de l’enregistrement comptable
correspondant ; cette procédure de validation doit être mise en œuvre au terme de
chaque période qui ne peut excéder le mois ;
la chronologie des opérations écarte toute possibilité d’insertion intercalaire ou
d’addition ultérieure ; pour figer cette chronologie le système de traitement comptable
doit prévoir une procédure périodique (dite « clôture informatique ») au moins
trimestrielle et mise en œuvre au plus tard à la fin du trimestre qui suit la fin de chaque
période considérée ;
les enregistrements comptables d’une période clôturée soient classés dans l’ordre
chronologique de la date de valeur comptable des opérations auxquelles ils se
rapportent ; toutefois, lorsque la date de valeur comptable correspond à une période
déjà clôturée, l’opération concernée est enregistrée au premier jour de la période non
encore clôturée ; dans ce cas, la date de valeur comptable de l’opération est
mentionnée distinctement ;
la durabilité des données enregistrées offre des conditions de garantie et de
conservation conformes à la réglementation en vigueur. Sera notamment réputée
durable toute transcription indélébile des données qui entraîne une modification
irréversible du support ;
l’organisation comptable garantisse toutes les possibilités d’un contrôle éventuel en
permettant la reconstitution ou la restitution du chemin de révision et en donnant droit
d’accès à la documentation relative aux analyses, à la programmation et aux
procédures des traitements, en vue notamment de procéder aux tests nécessaires à
l’exécution d’un tel contrôle ;
les états périodiques fournis par le système de traitement soient numérotés et datés.
Chaque enregistrement doit s’appuyer sur une pièce justificative établie sur papier ou
sur un support assurant la fiabilité, la conservation et la restitution en clair de son
contenu pendant les délais requis.
Chaque donnée, entrée dans le système de traitement par transmission d’un autre système de
traitement, doit être appuyée d’une pièce justificative probante.
Art.23. Les états financiers annuels sont arrêtés au plus tard dans les quatre mois qui suivent
la date de clôture de l’exercice. La date d’arrêté doit être mentionnée dans toute transmission
des états financiers.
Art.24. Les livres comptables ou les documents qui en tiennent lieu, ainsi que les pièces
justificatives sont conservées pendant dix ans.
2. Intérêt de l’étude
La comptabilité doit suivre des règles définies par la loi, mais aussi être conforme aux principes
comptables. Les informations comptables doivent obligatoirement satisfaire de nombreuses qualités
non seulement pour permettre la bonne gestion d’une entreprise, mais aussi pour être conforme du
point de vue légal. Le premier critère obligatoire de la comptabilité est la comparabilité. Cela signifie
que les informations saisies dans les différents comptes doivent permettre des comparer les données
financières aussi bien dans le temps que dans l’espace. Le second critère et la fiabilité. Il est
évident que pour être fiables, les données financières saisies pour servir d’informations comptables ne
doivent comporter aucune erreur. Les informations comptables doivent non seulement être fiables,
mais doivent aussi être fidèles à la réalité. Il s’agit du troisième critère qui est la sincérité. Cela
suppose que l’enregistrement des différents évènements durant l’exercice comptable doivent permettre
aux différents comptes de représenter leur réalité et leur importance. La tenue de la comptabilité de
l’entreprise doit aussi être faite avec rigueur. La régularité est le quatrième critère. En effet,
les informations financières doivent se conformer aux règles et procédures en vigueur. Les
informations comptables produites doivent aussi être compréhensibles par les lecteurs. Le
cinquième critère est la clarté des informations comptables. En effet, les informations
comptables ne s’adressent pas seulement aux spécialistes de ce domaine. Elles doivent aussi
pouvoir être comprises par un public disposant d’une connaissance raisonnable des
affaires. Enfin, le sixième et dernier critère concerne le coût. En effet, les frais engendrés par
la comptabilité d’une entreprise ne doivent pas être démesurés comparé à la valeur qu’elle
apporte aux dirigeants. En d’autres termes, le coût de la comptabilité d’une entreprise ne doit
pas être supérieure à sa valeur. La comptabilité est notamment encadrée par le Code de
commerce qui rend obligatoire la tenue de comptes annuels sincères et réguliers afin de
donner une image fidèle de la santé financière d’une entreprise et de son patrimoine.
1.
Certaines opérations concernent deux comptes supports risquent d’être enregistrées deux fois,
ce qui peut fausser le résultat comptable. Pour pallier cet inconvénient deux procédés peuvent
être utilisés :
L’utilisation des comptes de virement interne Les comptes de virements internes sont
utilisés lorsqu’une opération concerne deux journaux auxiliaires utilisés dans l’entreprise.
Pour éviter le risque de double enregistrement, il est indiqué l’utilisation des comptes de
virements internes.
L’inscription de l’opération dans un seul journal auxiliaire Cette méthode enlève au
système centralisateur l’un de ses principaux avantages à savoir celui de la rapidité de
l’information et favoriser les erreurs.
1.2.3. Tracé des journaux auxiliaires
Pour trouver le tracé d’un J.A il suffit d’envisager l’article du journal classique résumant la
catégorie d’opérations groupées au journal auxiliaire pour en déduire le tracé de celui-ci. Les
tracés des journaux auxiliaires doivent comporter :
La date ;
Le libellé ;
Les comptes à débiter ;
Les comptes à créditer.
Le journal des opérations diverses peut être tenu selon la même forme que le journal général.
Tableau N°2 : Tableau du journal auxiliaire
Certaines opérations concernent deux comptes supports risquent d’être enregistrées deux fois,
ce qui peut fausser le résultat comptable. Pour pallier cet inconvénient deux procédés peuvent
être utilisés :
L’utilisation des comptes de virement interne Les comptes de virements internes sont
utilisés lorsqu’une opération concerne deux journaux auxiliaires utilisés dans l’entreprise.
Pour éviter le risque de double enregistrement, il est indiqué l’utilisation des comptes de
virements internes.
L’inscription de l’opération dans un seul journal auxiliaire Cette méthode enlève au
système centralisateur l’un de ses principaux avantages à savoir celui de la rapidité de
l’information et favoriser les erreurs.
1.2.3. Tracé des journaux auxiliaires (JA)
Pour trouver le tracé d’un J.A il suffit d’envisager l’article du journal classique résumant la
catégorie d’opérations groupées au journal auxiliaire pour en déduire le tracé de celui-ci. Les
tracés des journaux auxiliaires doivent comporter :
La date ;
Le libellé ;
Les comptes à débiter ;
Les comptes à créditer.
Le journal des opérations diverses peut être tenu selon la même forme que le journal général.
Tableau N°2 : Tracé du journal auxiliaire
Améliorer les
Système informatiser Entreprise ayant assez performance des
de moyens financiers processus de
réalisations des tâches
comptables de l’entité
Libellé de l’opération
Débit Crédit
Tout enregistrement dans ces comptes se fait à partir d’un document (exemples : facture,
chèques, bulletins de salaire, …).et selon le « principe de la partie double » qui doit satisfaire
la relation suivante :
Totaux M1 M2 S1 S2
Total 1 Total 1
Actif circulant Passif circulant
- Stocks - Emprunt
- Créances - provision
- VMP
- Disponibilité
Total 2 Total 2
Trésorerie actif Trésorerie passif
- Titre de placement - dettes fournisseur
- Banque - autres dettes
- Caisse
- CCP
Ecart de Ecart de
conversion-actif conversion-passif
Nous allons présenter la structure dans laquelle nous avons passés le stage avant de rendre
compte de notre expérience en milieu professionnel. La description de l’environnement de
travail sera l’objet de cette partie qui se focalisera sur deux chapitres, lesquelles compteront
deux sections chacune. Le premier met en évidence le contexte de création de la structure
d’accueil avant de faire ressortir ensuite les analyses de nos différentes techniques
d’investigation. Tandis que le second chapitre fait état suggestions mélioratives afin de pallier
aux insuffisances constatées au sein de la société.
ECO GABON SARL est une société opérant dans le domaine des énergies renouvelables. Elle
a été créée le 27 mars 2020 sous l’initiative de deux ingénieurs gabonais Monsieur YEMBA
Jérémie et Monsieur MOULEBE Laince.
1 .1 Situation géographique
2. Organisation et Missions
Cette partie, met l’accent sur les différentes activités de la société ECOGABON, en
invoquant l’organisation de cette structure.
2.1- Organisations
2- Responsable Technique
3- Responsable comptable
Le responsable comptable est chargé de produire mais également de superviser les états
financiers au sein de l’entreprise. Il a la responsabilité de :
- Vérifier la bonne tenue des comptes de l’entreprise
- Faire les devis d’installation des panneaux, projecteurs etc.
-Faire la gestion de la paye - Définir les grilles tarifaires
- Cacheter les factures, les bons de commande et de livraison.
4- Responsable QHSE/RH
Le responsable QHSE (Qualité, Hygiène, Sécurité, Environnement) a pour rôle de prévenir les
risques liés à l'environnement des salariés au sein de l’entreprise. Le responsable QHSE
propose une politique de sécurité selon les normes et la réglementation Hygiène, Sécurité et
Environnement. Il a la responsabilité de :
- Formaliser les procédures nécessaires au fonctionnement de l’organisation
- Etablir des programmes de prévention pour réduire les incidents, les accidents du travail et
les maladies professionnelles
- Assurer la mise en place de la sécurité des salariés, des installations industrielles et des
produits
1. Missions
ECO-Gabon effectue plusieurs missions, mais nous en citerons que cinq (05) principales :
- Maintenance des installations solaires et des équipements solaires et Maintenance des
systèmes solaires et électriques
- Etude photovoltaïques sous PVSYST/ PVGIS6 (c’est un système photovoltaïque. Il permet
de faire le dimensionnement solaire d’une installation solaire.
/ PVGIS : est un logiciel qui permet de connaître les données météorologiques de la zone du
lieu d’installation des panneaux solaires), plan et installation électrique bâtiment
- Fourniture d'équipement solaire (TV solaire, congélateurs solaire, kit solaire etc.)
- Calcul de la tenue métallique des poteaux et calcul de la fondation lampadaire
- Installation solaire autonome du lampadaire, projecteurs solaire et Installation d’une
alimentation sans interruption.
2. Perceptives
- Participer aux projets touchant l’éclairage publique
- S’implanter sur tout le territoire national
- Employer plus de 50 personnes les trois (03) ans à venir
3. partenaires
- Fondation Sylvia Bongo Ondimba (FSBO)
- L’Ecole Normal Supérieur
-L
Notre stage au sein de la société ECO GABON s’est déroulé au service Comptabilité ou nous
avons été affectés tout haut de la période du stage. Au cours de ce stage, nous avons eu
l’opportunité de découvrir les spécificités des métiers sur toutes leurs formes. Ainsi, il
apparait approprié de traiter de manière détaillée les taches générales et spécifiques
réalisées durant cette période .
1. Département comptabilité
* Se charger du recouvrement.
Durant notre stage, la réception de la clientèle est notre charge quotidienne , cela se
caractérise par le renseignement de la clientèle sur les produit et services proposés par
l'entreprise pour répondre aux attentes des clients.
1- / La prospection
La prospection est un processus commercial consistant, pour une entreprise comme ECO
GABON à rechercher des clients potentiels appelés prospects afin d’en faire des clients réels
(fidèles). C’est une étape stratégique dans le processus de développement d’une entreprise
cherchant à accroitre son marché.
En effet dès notre immersion au sein d’ECO GABON, au premier contacte nous avons
effectué de la prospection durant la première journée. Il s’agissait de faire la promotion d’un
nouveau produit mit en place.
Le classement des reçus et factures consiste à ranger les pièces justificatives selon leurs nature
(pièces externe et internes) en fonction de leurs dates d’émissions puis à les disposer par ordre
dans les casiers réservés à cet effet afin de faciliter l’utilisation par le service comptable.
4-/ Analyse des dossiers des clients après la réalisation d’une expertise sur le terrain
Dans cette étape d’analyse, le but est de vérifier que le technicien a bien inscrit les
informations du client et l’ensemble du matériel qu’il a utilisé pour réaliser cette expertise.
On entend par méthode d’investigation, une procédure définie qui permet d’interroger
scientifiquement une centaine réalité. Pour appréhender un phénomène, tout chercheur doit
faire recours aux différentes méthodes existantes, pour les associés au type de recherche
poursuivie et à la nature de l’hypothèse de recherche.
• Observation
On parle d’observation lorsqu’un chercheur va sur le terrain et constate par lui-même les faits.
Il recueille en prenant des notes, en tenant un journal de bord ou en utilisant une technique
d’enregistrement audio ou audiovisuelle. On distingue deux types d’observation :
l’observation libre et l’observation participante.
• Observation libre
Le chercheur qui pratique ce type d’observation se fait le plus petit possible et assiste en
spectateur aux interactions qui ont lieu sur le terrain qu’il a choisi d’étudier. A la limite, le
chercheur peut être invisible : il utilisera alors une caméra cachée ou se fera passer pour
quelqu'un d’autre.
• Observation participante
Elle implique que le chercheur tente de s’intégré au groupe observé tout en avouant ses
intentions de chercheur : on pense par exemple, un étranger qui s’invite dans un autre pays
pour apprendre la langue.
• L’entretien
Selon le dictionnaire Larousse, l’entretien désigne une conversation entre deux ou plusieurs
personnes sur différents sujets.
Cet outil de collecte est plus crédible parmi ceux qui ont précédés du fait qu’au-delà des
limites de l’observation. Il revêt des processus fondamentaux de communication et d’inter
action humain. Il engage deux personnes en vis-à-vis et à ce titre, il peut être considérer
comme un simple questionnaire ou on est dans une relation anonyme. Ainsi, on distingue
deux types d’entretien : l’entretien libre, l’entretien semi-directe et l’entretien directe.
• Entretien libre
Il ne dispose pas d’un cadre prédéfini. Il se passe sur le mode de la conversation mutuelle.
Souvent, il est utilisé pour les récits de vie, lorsque l’on veto retracer des trajectoires de vie
pour comprendre une position ou une situation.
Il net ni entièrement ouvert, ni fermé. En général, le chercheur dispose d’un certain nombre de
thème ou de question guidée, relativement ouverts, sur lesquels il souhaite que l’interlocuteur
réponde. Mais, il ne pose pas forcement toutes les questions notées sous formulaires exacts.
• Entretien direct
• La recherche documentaire
Ensemble des méthodes, procédures et techniques ayant pour objet de trouver les références
bibliographiques de documents pertinents.
Ensemble des méthodes, procédures et techniques ayant pour objet d’extraire d’un document
ou d’un ensemble de document les informations pertinentes.
• Le questionnaire
Le questionnaire est une méthode de recueil d’informations mise en place afin d’expliquer et
de comprendre des faits. Contrairement à l’entretien et l’observation qui sont des méthodes
individuelles ou collectives, le questionnai est une méthode seulement collective. En effet,
c’est la quantité d’éléments collectés qui confère au questionnaire sa validité et qui permet
aux données d’être jugées authentique. Selon les partisans de cette démarche, le fait
d’élaborer un questionnaire permet de ne pas tomber dans le piège de la subjectivité. La
méthode du questionnaire repose sur une démarche mathématique purement rationnelle
(Vilatte, 2007). Nous avons deux types de questionnaires à savoir :
• Questionnaire ouvert
Dans ce type de questionnaire, l’ordre des questions et leurs formulations sont fixés.
Cependant, le participant peut s’exprimer aussi longtemps qu’il le souhait. L’enquêté a la
possibilité de le relancer (Combessie, 2003)
• Questionnaire fermé
• Le questionnaire
C’est le principal outil qui nous a permis de collecter des données sur les méthodes
comptables utilisés au sein du service comptabilité. Il présente une série de questions
formalisées et destinées à obtenir des informations auprès des répondants. Il a été distribué à
une population ciblée qui a constitué l’échantillon de notre travail.
L’ensemble des questions étaient dirigées à l’endroit des acteurs du service comptable,
autrement dit les employés du département comptabilité de personne qui comporte 2
personnes. Le tableau suivants fait ressortir le récapitulatif du questionnaire monté sur le
logiciel sphinx 2000 et dont l’objectif principale était de déceler les maux qui entravent aussi
bien l’organisation interne du service comptable que ceux minent la société de façon générale.
• L’observation participante
De nos jours, l’observation est devenue une technique d’investigation qui consiste à porter
une attention objective sans jugement de valeurs et sans interprétation sur les faits que nous
voulons étudier.
Dans le cadre de notre étude, l’impact de l’organisation interne du service comptable sur la
performance de l’entreprise fait appel à une observation certaine. Il a donc été question pour
nous d’accorder une attention particulière à toutes les activités, les acteurs, les procédés et les
insuffisances qui tournent autour du sujet qui fait l’objet de notre étude au sein d’ECO
GABON en procédant par des prises de notes pour quantifier les informations reçues et
pouvoir les traiter par la suite.
• La recherche documentaire
Ce manuel nous a permis d’avoir une idée claire sur les différentes méthodes de traitement
comptables au sein de l’entreprise ECO GABON.
• La base de données
Nous nous sommes servis du logiciel Excel. Celui-ci nous a permis de réaliser les tableau
d’enregistrement (journal, grand-livre…).
Ce chapitre qui constitue l’ultime de notre travail, fait l’analyse quantitative des données
collectées dans le précédent chapitre (section 1) ainsi que les commentaires nécessaires avant
de mettre en exergue les suggestions ou recommandations (section 2) relatives à notre étude
portée sur l’impact de l’organisation interne du service comptable sur l’entreprise.
Source : nous-mêmes
45
Evolution de l'activité
40
35
30
25
20
15
10
5
0
Janvier Février Mars Avril Mai Juin
Avant Après
Source : nous-mêmes
300
250
200
150
100
50
0
Janvier Février Mars Avril Mai Juin
Avant Après
Source : nous-mêmes
Chart Title
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Janvier Février Mars Avril Mai Juin
Commentaire :
Les trois graphiques représentés dessus fait ressortir l’évolution comparative de l’activité de
l’entreprise pendant une période de 6 mois, les 3 premiers mois l’entreprise fonctionnait sans
une organisation interne au niveau du service comptable tandis que les trois prochain mois
l’organisation est existante.
L’analyse ou matrice SWOT est un outil de stratégie d’entreprise permettant de déterminer les
options offertes dans un domaine d’activité stratégique (DAS). Il vise à préciser les objectifs
de l’entreprise ou du projet ou à identifier les facteurs internes et externes favorables et
défavorables à la réalisation de ces objectifs. SWOT a été décrit comme l’outil prouvé de
l’analyse stratégique1. Les forces et les faiblesses sont souvent d’ordre interne, tandis que les
opportunités et les menaces se concentrent généralement sur l’environnement extérieur. Le
nom est un acronyme pour les quatre paramètres examinés par la technique :
Un diagnostic externe, qui identifie les opportunités et les menaces présentes dans
l’environnement.
Un diagnostic interne, qui identifie les forces et les faiblesses du domaine d’activité
stratégique.
Dans notre cas d’espèce, il convient donc d’appliquer la matrice SWOT au domaine d’activité
stratégique qui n’est entre autre que celui de l’organisation interne du service comptable au
1
sein de la SARL ECO GABON. C’est dans ce sens que nous avons dressés un tableau (page
suivante) afin d’en constater les résultats.
Opportunités
Menaces
- Facilité de reconquête des - Offrir à sa clientèle une
clients sur le marché diversité de service
(Origine environnementale)