Collectivité :
Commune de COURMANGOUX
Hôtel de Ville
01370 COURMANGOUX
Tél : 04.74.51.50.31 ; Fax : 09.70.62.79.73
1. PREAMBULE___________________________________________________________________________ 6
4.4 Gestion quotidienne des travaux – mise en place du journal de chantier _____________________ 12
4.16 PROTECTION DES VOIES ET OUVRAGES PUBLICS EMPRUNTES PAR LES TRANSPORTS
DE DEBLAIS ____________________________________________________________________________ 17
Le présent C.C.T.P. est le document de référence technique du marché pour les travaux de
réhabilitation du réseau des eaux usées sur la commune de COURMANGOUX hameau de ROISSIAT.
Le présent cahier des clauses techniques particulières désigné ci-après par le sigle C.C.T.P. fixe, dans
le cadre du cahier des clauses techniques générales désigné ci-après par le sigle C.C.T.G., les
conditions techniques particulières d'exécution, ainsi que les spécifications relatives à la provenance et
la qualité des matériaux.
Il définit les conditions générales de réalisation des travaux. En cas de litige avec l’entreprise, le Maître
d’œuvre s’appuiera sur ce cahier pour toute discussion et sujétions directement liées au chantier
d’exécution.
La récapitulation globale des ouvrages projetés est indiquée chapitre 2 du présent C.C.T.P., sous
réserve de quelques modifications susceptibles d’intervenir lors de chaque piquetage à la demande du
Maître d’ouvrage.
Le présent C.C.T.P. est un document type dont certains articles ne sont pas nécessairement appliqués
dans le cadre de ce chantier. Ils pourront cependant être utilisés en cas de travaux imprévus et/ou
travaux complémentaires.
Les quantitatifs du présent marché sont données à titre indicatif. L’entrepreneur est tenu de vérifier leur
exactitude, s’il néglige de procéder à cette vérification, il demeure responsable des erreurs qui
pourraient se produire et des conséquences de toute nature qu’elles entraîneraient.
Le présent dossier et les plans qui l’accompagnent, concerne les travaux de réhabilitation de collecteurs
du réseau d’eaux usées du hameau de ROISSIAT.
Les travaux s’inscrivent dans le cadre d’un programme d’assainissement initié par la CCPG, suite aux
différentes études antérieures (Schéma Directeur d’Assainissement, passage caméra…..).
L’objet des travaux est le suivant :
• rétablir l'étanchéité des ouvrages existants,
• leur redonner leurs caractéristiques mécaniques et hydrauliques compatibles avec les
sollicitations auxquelles ils sont soumis,
• améliorer l’hydraulicité,
• protéger l’ouvrage contre la corrosion,
• protéger l’ouvrage contre l’abrasion,
Les ouvrages à réhabiliter et leur environnement immédiat sont définis par les documents, plans (y
compris des regards de visite), dossier d'inspection caméra, figurant dans le dossier de consultation et
désignés par le C.C.A.P. comme pièces servant de base au marché.
Les canalisations, après réhabilitation, doivent pouvoir résister aux actions suivantes :
• la pression verticale due aux remblais,
• la pression verticale due aux charges d'exploitation roulantes ou permanentes,
• la pression horizontale due aux remblais et aux charges d'exploitation,
• la pression hydrostatique externe éventuelle (nappe phréatique),
• la pression hydrostatique interne éventuelle (mise en charge du collecteur).
Les approvisionnements sur les chantiers seront effectués par l'entrepreneur aux endroits fixés en
accord avec le maître d’œuvre.
Tous les transports, déchargements, bardages sont à la charge de l'entrepreneur et leurs coûts sont
implicitement inclus dans les prix des fournitures.
Conformément à l’article 23 du C.C.A.G. des marchés de travaux, les composants, produits et procédés
doivent être conformes aux normes françaises homologuées (normes nationales transposant les
normes européennes).
En l’absence de normes européennes, les soumissions conformes à des normes étrangères en vigueur
dans d’autres Etats membres de l’Union européenne seront recevables si le soumissionnaire peut
justifier d’une équivalence entre les spécifications techniques étrangères invoquées et les normes
françaises applicables; il peut notamment se référer à un document attestant une reconnaissance entre
les instituts nationaux de normalisation ou entre les autorités administratives compétentes (circulaire du
5 juillet 1994).
Conformément aux indications données dans le préambule des Recommandations pour la réhabilitation
des réseaux d’assainissement (R.R.R.) de l’A.G.H.T.M., à défaut de norme française homologuée ou de
norme étrangère équivalente, ainsi que de certification associée, priorité est accordée dans l’ordre
préférentiel décroissant suivant :
- aux normes françaises non homologuées
- aux procédés faisant l’objet d’un Avis Technique et aux applicateurs titulaires d’un certificat
CSTBat associé,
- aux procédés et applicateurs ayant fait l’objet d’une expérimentation jugée positivement dans
le cadre d’une procédure « Projet National ».
3.2 DIMENSIONNEMENT
La résistance mécanique résiduelle de l’ouvrage existant est considérée comme nulle. La chemise
devra être structurante et résister aux agressions chimiques.
Les paramètres suivants sont à prendre en compte dans l’étude du dimensionnement mécanique :
- poids volumique moyen des terres : 1800 kN/m³
- poids volumique déjaugé moyen des terres : 11 kN/m³
- module d’élasticité des terres : 5 MPa
- coefficient de pression horizontale des terres (k2) : 0,3
- coefficient de Poisson des terres : 0,30
- hauteur maximale de la nappe phréatique : sans
- hauteur maximale de mise en charge : 1.00 ml
- pression verticale due aux charges d’exploitation roulantes : oui
- nature du convoi réglementaire : Bc - Bt - Br
- pression verticale due aux charges d’exploitation permanentes : 0 kN/m²
- pression verticale due aux charges d’exploitation de chantier : 10 KpA
- hauteur de recouvrement : 1.00 ml
- coefficient de pondération des charges : 1,25
Page 9 sur 31 C.C.T.P
- décentrage maximal : 10
- déboîtement maximal : 10
- déviation angulaire maximale : 10
A la remise de son offre, l'entrepreneur est tenu de fournir au maître d'œuvre une note technique
reprenant les hypothèses définies ci-dessus et faisant apparaître:
1/ Les caractéristiques mécaniques (épaisseur, coefficient de Poisson, module d’élasticité instantané ou
rigidité annulaire spécifique instantanée, coefficient de fluage à long terme, moment résistant garanti à
la flexion, allongement ou ovalisation limite admissible instantané et différé) et le comportement physico-
chimique du matériau constitutif.
2/ Le comportement mécanique de la canalisation réhabilitée, en précisant les éléments essentiels
suivants :
- les efforts repris
- la prise en compte de la forme de l'ouvrage avant réhabilitation
- le vieillissement du matériau
- les coefficients de sécurité utilisés et résultants.
3/ Le débit capable de la canalisation réhabilitée en considérant :
- la réduction de la section
- la modification de l'état de surface (coefficient de rugosité).
Le chemisage continu doit être dimensionné conformément à la méthode décrite en annexe des
Recommandations pour la réhabilitation des réseaux d'assainissement (R.R.R.) de l’A.G.H.T.M., elle-
même établie d’après les Règles de conception et de calcul des ouvrages de l’ancien fascicule 70
(édition de 1992).
Description de l’environnement :
Les travaux sont à réaliser à 90% sous propriétés privées et 10% sous RD.
L’entrepreneur aura à sa charge le nettoyage et la remise en état après son intervention.
L'entrepreneur est réputé avoir vu les lieux et s'être rendu compte de leur situation exacte, de
l'importance et de la nature des travaux à effectuer et de toutes les difficultés et sujétions pouvant
résulter de leur exécution. Les renseignements concernant l'état des lieux en surface comme en sous-
sol qui peuvent être indiqués dans les différentes pièces du présent marché ne constituent que des
éléments d'information qu'il appartiendra à l'entreprise de vérifier et de compléter sous sa
responsabilité.
Des renseignements altimétriques pourront être fournis aux entreprises qui en feront la demande.
Ils ne sont donnés qu'à titre indicatif, il appartiendra à l'entrepreneur d'en vérifier l'exactitude.
L'entrepreneur est réputé par le fait de son engagement, avoir pris connaissance de la nature et de
l'emplacement des travaux, des conditions générales et locales, des conditions particulières d'exécution
des travaux, et notamment des problèmes d'organisation du chantier liés aux dispositions provisoires
relatives à la circulation et à celles relatives au passage en propriétés privées.
Le journal de chantier est exigé. Il sera tenu sur le chantier par un représentant de l'entrepreneur.
Il constitue la pièce de référence pour l’élaboration des situations financières.
1. les opérations administratives relatives à l’exécution et au règlement du marché, telles que notifications
d’ordre de service, visas et approbations des plans d’exécution, etc.
2. les conditions atmosphériques constatées (précipitations, vent, températures, etc...)
3. Les travaux exécutés, leur nature, leur localisation, les quantités réelles exécutées et les contraintes
d'exécution;
4. les apports de matériaux extérieurs avec libellé du nombre de camions, leur poids.
5. les quantités considérées comme aptes à la réutilisation et leur destination finale avec ou sans traitement ;
6. Les horaires de travail, le matériel présent sur le chantier et son utilisation, le matériel en panne, l’effectif
et la qualification du personnel, les cadences et productions réalisées ;
7. Les incidents, arrêts de chantier avec leurs durées et leurs causes, les défauts d’approvisionnement et, plus
généralement tous détails présentant quelques intérêts du point de vue de la qualité des ouvrages, du calcul
des prix de revient et de la durée réelle des travaux ;
8. les travaux dont la rémunération n’est pas prévue dans le bordereau des prix,
9. Les relations éventuelles avec les riverains ;
10. Les observations sur la marche générale du chantier et les prescriptions imposées à l’entrepreneur ;
11. L’établissement et la mise à disposition du Maître d’œuvre des profils en long et des plans d’implantation
à l’avancement du chantier ainsi que la tenue du tableau de mouvement des terres hebdomadaires;
12. les observations ou prescriptions du Maître d’Œuvre ou du coordonnateur sécurité concernant la sécurité,
13. tout incident concernant la sécurité ou tout accident matériel ou corporel.
14. les résultats des essais de contrôle,
Ce journal permettra un suivi précis des plus-values importantes du chantier (indiquée au devis estimatif).
Le journal de chantier sera signé par les représentants de l’entrepreneur et du Maître d’Œuvre.
La rémunération du journal de chantier est réputée incluse dans le prix d’installation de chantier.
L’entrepreneur devra assister à toutes les réunions de coordination entre le Maître d’Œuvre et les entreprises
pouvant être concernées par ces travaux.
Un procès verbal sera réalisé à chaque réunion de chantier.
4.18.1 Normes
L’entrepreneur devra se référer au C.C.T.G., fascicule n°2, terrassements, notamment en ce qui concerne le
décapage, la purge souche, poches d’argile et compactage de fond de fouille..
Dans les sections ouvertes en pelouse, le gazon sera soigneusement découpé en mottes et entreposés de façon à
rendre sa remise en place possible.
Dans les sections ouvertes sous route, trottoirs ou chemins, l'entrepreneur commencera par déposer ou démolir
avec soin les matériaux qui constituent le revêtement ainsi que ceux de la fondation, sans ébranler ni dégrafer les
parties voisines.
Avant l’exécution de tous travaux (tranchées, terrassements en masse ou en puits…), un découpage soigné du
revêtement sera opéré à la scie ou au marteau pneumatique. Si au cours du terrassement ou à la suite du tassement,
l’emprise de la tranchée dépasse la limite de ce découpage, un nouveau découpage sera exécuté
perpendiculairement et parallèlement à l’axe de la tranchée. Ce nouveau découpage sera à la charge de l’entreprise
adjudicataire
Les ouvrages rencontrés lors des fouilles ou terrassements seront conservés ou reconstruit à l’identique, sur
décision du Maître d’Œuvre.
Cette largeur sera majorée à 0,30m par mètre de profondeur au delà de 3,00m.
Dans le cas de la réfection de la tranchée devant recevoir deux canalisations, il est convenu que la largeur est au
maximum celle de la tranchée de plus grand diamètre, augmentée de 50% de celle de la tranchée de plus faible
diamètre.
Lorsque les tranchées doivent recevoir plusieurs canalisations ayant des profils différents imposant l’aménagement
d’une banquette, la largeur de la tranchée de plus grand diamètre est augmentée de 60% de la largeur de la
tranchée correspondant à la canalisation de plus petit diamètre.
Le fond de la tranchée doit être débarrassé de tous corps durs ou gros agglomérats.
En cas de risque d’éboulement, des étaiements seront réalisés et les déblais ne devront pas être déposés trop près
de la fouille.
4.19.2.1 Généralités
L’attention de l’entrepreneur est attirée sur la nécessité d’effectuer les renforcements de boisage et de blindage
pouvant s’avérer nécessaire de manière à éviter tout éboulement et accident conformément aux prescriptions du
code du travail et des décrets en vigueur.
L’entrepreneur devra prendre toutes les dispositions pour évacuer gravitairement les eaux souterraines et,
éventuellement, recourir à des épuisements.
L’entrepreneur ne devra en aucun cas démolir les constructions ou ouvrages rencontrés sur le tracé sans l’ordre
express du Maître d’œuvre. Il devra prendre, pendant les travaux, toutes mesures nécessaires pour protéger et
étayer les canalisations rencontrées dans les fouilles. En cas de détériorations, leur rétablissement dans l’état
primitif restera en tout cas à ses frais et charges.
Dans certains cas particuliers, le Maître d’œuvre pourra prescrire ou sur proposition de l’entrepreneur, agréer
l’exécution manuelle des fouilles.
Cette exécution manuelle sera rémunérée au prix du bordereau joint à cet effet.
Les canalisations souterraines seront, dans la mesure du possible, évitées ou, à défaut, rétablies dans le meilleur
délai après la coupure.
Pour les travaux de fouilles, l’entrepreneur est assujetti aux dispositions générales prévues par les instructions
législatives et réglementaires en vigueur et notamment par le décret 65.48 du 08/01/1965 et les circulaires
d’application (Ministère du Travail) du 29/03/1965 et 06/05/1965.
L’entrepreneur réalisera, selon son initiative, sous sa responsabilité, et à ses frais, les étaiements et blindages qui
lui paraîtront les plus adaptés.
Il ne lui sera pas tenu compte des éboulements qui se produiraient dans les fouilles en général, quelle qu’en soit la
provenance.
Les matériels de blindage et des étaiements ne pourront être abandonnés dans les fouilles qu'après agrément du
Maître d'Œuvre.
L’entrepreneur sera tenu de fournir au Maître d’œuvre tout justificatif des blindages, de leur étaiement et de la
stabilité des parois de fouille.
En conséquence, les fouilles en tranchées seront en partie réalisées, près – ou dans – les fouilles en tranchées et
remblais exécutés antérieurement pour la construction des ouvrages à conserver.
La mise en place d’un blindage efficace est alors indispensable. Le choix du procédé relève de l’entière
responsabilité de l’entreprise. Il pourra, bien entendu, être différent d’un endroit à l’autre pour s’adapter aux
contraintes du site : terrain, branchements, traversée d’autres réseaux…
L'utilisation du minage sera dans tous les cas interdite sur la totalité du linéaire pouvant ou se trouvant à proximité
d'installation électrique aérienne ou enterrée et des habitations.
L'emploi de ce matériel interviendra après terrassement normal. L'entreprise aura à faire constater au maître
d’œuvre l'impossibilité d'effectuer normalement l'exécution des fouilles et donc la nécessité d'employer le B.R.H..
Dans ce cas, l'entreprise aura à fournir la côte par rapport au Terrain naturel où l'emploi du BRH est devenu
nécessaire.
Tout manquement à cette sujétion entraînera de la part du Maître d'Œuvre le refus de plus-value pour
exécution en terrain difficile.
Le règlement final des plus-values pour exécution de tranchée en terrains difficile interviendra après constitution
du recollement et comparaison entre les côtes TN et côte noté dans le journal de chantier.
Pour les tuyaux possédant une armature de conception particulière, se conformer aux consignes spécifiques du
fabricant.
L’entrepreneur devra prendre toutes les précautions nécessaires pour protéger (pendant la nuit et les heures de
fermeture du chantier) les conduites en cours de pose.
4.21.1 Transports
Le matériel de transport de l’entreprise devra être convenablement entretenu.
L’entrepreneur doit exécuter tous les transports et, s’il y a lieu, le chargement de matériaux, etc.… aux endroits qui
lui sont indiqués. Si le transport a fait l’objet d’un ordre de service, l’entrepreneur doit respecter strictement les
jours et heures qui lui ont été fixés.
Le déchargement des matériaux sur la voie publique, chaussée et trottoirs devra être fait de manière à gêner le
moins possible la circulation et à laisser les caniveaux libres. En cas de non observation de ces dispositions
l’entrepreneur sera passible de la pénalité prévue à cet effet.
Sauf indications particulières le choix du mode de transport est laissé à l’entrepreneur.
4.22.5.4 Rugosité
La rugosité géométrique sera appréciée par l’essai de « profondeur au sable » (HS°). Elle devra être supérieure à
0.4 millimètre pour au moins 95% des mesures.
4.22.5.5 Pénalités
1) Au cas où le revêtement fini posséderait une rugosité géométrique inférieure à 0.4 millimètre, mais supérieure à
0.3 Millimètre pour 95% des mesures, il sera appliqué une pénalité de 2,00 Euros H.T. par mètre carré pour
l’ensemble du revêtement.
2) Au cas où la valeur de 0.3 millimètre de rugosité géométrique ne serait pas atteinte pour 95% des mesures, la
réfection totale du revêtement sera exigée.
Les plans de recollement seront établis par un géomètre expert mandaté par le maître d’ouvrage.
L'entrepreneur sera tenu de communiquer et remettre au cabinet de géomètre les informations lui
permettant d’établir les plans de récolement.
En outre, l’entrepreneur devra remettre un Dossier des Ouvrages Exécutés (DOE) comprenant :
• les documents techniques de la gaine de réhabilitation.
• les notices d'entretien des ouvrages
L’entrepreneur doit fournir ces documents au plus tard lorsqu'il demande la réception,
Tous les documents inclus dans le DOE doivent être rédigés en langue française.
Une instruction sera émise en temps opportun par le Maître d'Œuvre définissant les modalités de
constitution et de présentation du DOE.
L'Entreprise enverra trois (5) exemplaires papier + informatique du DOE et PDFà des adresses qui lui
seront communiquées en temps opportun.
Après la pose des colonnes, des ouvrages hydrauliques et réseaux secs de chaque système et avant le comblement
des tranchées en ce qui concerne les réseaux enterrés, l’entrepreneur sera chargé de réaliser un repérage en X, Y, Z
de l'ensemble des prestations réalisées, afin de constituer une base pour le plan de récolement.