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Remerciemen
A Mr Bala Ali pour les conseils et les soutients qu’il nous à apporté.
enseignants qui ont beaucoup aidé dans notre étude du 1ère année jusqu’a
Choix du thème:
L’ictère est une pathologie évolutive et doit donc être dépisté précocement
s’appliquent essentiellement pour les ictères à bilirubine libre qui sont les
plus fréquents.
Problématique :
Hypothèses :
I) Définition de l’ictère...................................................................................01
II) Epidémiologie.............................................................................................01
III) Anatomie du foie........................................................................................02
IV) Rappel physiologie
1) les différentes types de la bilirubine.......................................................03
2) métabolisme de la bilirubine...................................................................03
3) facteurs affectant le métabolisme de la bilirubine..................................04
V) schéma du métabolisme...................................................................................05
VI) diagnostic positif
VII) l’ictère hémolytique
1) Définition de l’ictère hémolytique chez les n-nés.......................................07
2) Classification de l’ictère hémolytique.........................................................07
VIII) immunologique :
1) incompatibilité sanguines fœto-maternelles................................................07
1-1) incompatibilité Rhesus...........................................................................08
1-2) incompatibilité ABO..............................................................................08
1-3) incompatibilité rare................................................................................08
1-4) autre incompatibilité...............................................................................09
2) constitutionnelles :
- déficit en G6PD...........................................................................................10
- déficit en pyruvate kénase...........................................................................11
- thalassémie.................................................................................................11
- sphérocytose congénitale............................................................................12
IX) non immunologique :......................................................................................12
X) complication des l’ictère néonatale..................................................................13
XI) traitement :......................................................................................................14
XII) traitement curatif :
1) principe.............................................................................................................15
2) photothérapie....................................................................................................16
3) photothérapie intensive.....................................................................................16
4) effets secondaires..............................................................................................16
5) administration de clofibrate..............................................................................16
6) perfusion d’albumine humaine.........................................................................16
7) exanguinotransfusion........................................................................................17
8) autre traitement.................................................................................................18
9) les indications...................................................................................................19
XIII) traitement préventif......................................................................................20
XII) prévention......................................................................................................21
Partie pratique : étude de cas
- Conclusion
- Annexe
- Bibliographie
Introdution
L’etude des ictères hémolytiques chez nouveau-né présente plusieurs pôles
d’intérêt :
congénitales ou aquises.
Rhesus (D), elle est également possible chez le nouveau-né prématuré par
Cette étude est structurée en deux partie :partie théorique et partie pratique
nouveau-né.
précoce.
Dans Le partie pratique exposer les techniques du travail au niveau
d’hopital
1) groupage.
2) Dosage de bilirubine.
II) Epidémiologie:
L’incidence des ictères des nouveau-nés est mal connue en raison des difficultés
de définitions, de la variabilité selon les origines géographiques, des taux
d’allaitement maternel, des groupes sanguins et des sorties précoces. Un taux
d’incidence au Royaume-Uni en 2001 était de 5.5 ictères (bilirubinémie 350
mol/L) pour 1000 naissances vivantes [22]. Au Danemark, en 2000-2001, une
incidence de 25 pour 100 000 naissances était notée pour des ictères sévères au-
delà de 385 mol/L [9]. Aux USA, en 1995-1996, des taux de 20 pour 1000
naissances étaient rapportés pour des bilirubinémies > 350 mol/L , de 1.5 pour
1000 pour des bilirubinémies > 430 mol/L et de 10 pour 100 000 pour des
bilirubinémies > 500 mol/L [15]. En France, cette incidence n’est pas connue
III)Anatomie
Anatomie du foie :
V) Schéma du métabolisme :
Diagnostic étiologique:
→ l’ictère non hémolytique : est exclue de notre question.
→ l’ictère hémolytique
.
VII) L’ictère hémolytique :
1) Définition de l’ictère hémolytique chez les N-Nés:
L’ictère résulte d’une destruction des globules rouges fœtaux par des anticorps
maternels dirigés contre un antigène porté par les hématies fœtale
2) Classification de l’ictère hémolytique:
• Immunologique :
1) infection
2) toxique
3) carence en vitamine
4) Vit K1 synthétique
VIII)Immunologie:
correspondant, ce qui les fragilises .Seuls les anticorps de la classe IgG peuvent
traverser le placenta, au contraire des immunoglobilines IgM et IgA .Les
antigène les plus souvent concernés dans l ‘incompatibilité fœtomaternelle sont
les antigène des système ABO,Rhésus, Kell, Duffy et MNSs .
1-1) Incompatibilité Rhesus :
Bien qu’en régression du fait de sa prévention systématique, elle reste le
prototype de l’incompatibilité sanguine fœto-maternelle . elle survient
lorsqu’une femme Rhésus négatif est porteuse d’un enfant Rhésus positif,donc
possédant l’antigène D.
L ‘immunisation résulte du passage des hématies fœtales dans la circulation de
la mère.
Celle ci produit alors des anticorps anti-D de type IgG ,qui passent la barrière
placentaire et vont se fixer sur les hématies fœtales qui sont détruites.
La femme peut être déjà immunisée lors d’une grossesse antérieur,d’une fausse
couche , voire à l’occasion d’une erreur de transfusion ; dans ce cas les atteintes
fœtales les plus sévère sont observées :mort in utéro, anasarque fœtoplacentaire
ou tableau de grande anémie avec ictère et hépatosplénomégalie à la naissance.
Parfois le tableau est moins dramatique et se limite à un ictère modéré avec
anémie progressive.
Mére :Rhesus négative Fœtus :Rhesus positive
1-2) Incompatibilité ABO :
Elle survient lors qu’un enfant de groupe A ou B nait d’une mère de groupe O,
elle est. liée à l’existence chez celle –ci d’agglutinationes antiA ou antiB .en
générale réexistantes à la grossesse, acquise lors d’infections ou de vaccinations
. IL s’agit d’agglutinines immunes, dites irrégulières différentes des agglutinines
antiA et antiB naturelles qui elles ne passent pas dans la circulation fœtales et
n’entrainent jamais d’hémolyse chez l’enfant.
La maturité tardive des antigène A et B fait qu’il n’y a pas,en règle de
manifestations anténatales. C’est seulement après la naissance que survient un
ictère, parfois précoce et intense,et par fois discret mais avec anémie
progressive.
1-3) Incompatibilités rares :
Elles sont soupçonnées, soit par la recherche systématique d’agglutinationes
pendant la grossesse soit devant un tableau d’ictère hémolytique avec parfois un
coombs positif sans incompatibilité évidente dans les système ABO ou Rhésus
D.Parmi les plus fréquentes, citons les incompatibilités dans les sous-groues anti
c, anti C ,anti e Anti E et dans le groupe Kell
* Incompatibilité Rhésus c :
La plus fréquente après l’incompatibilité Rhésus D, elle se produit chez une
femme CC (pratiquement toujours Rhésus D positif, en raison de la liaison
génétique entre C et D),qui développe des anticorps anti-c,le plus souvent après
transfusion de sang c ou encore à l’occasion d’une grossesse antérieure.
Les conséquences de l’immunisation sur le foetus incompatible son meme que
pour l ‘incompatibilité Rhésus : mort foetales in utéro , anasarque fœto
placentaire,ictère et anémie à la naissance.
Le dépistage en cours de grossesse se fait par l’étude du phénotype maternel et
la recherche d’agglutinines irrégulières .la surveillance et les possibilité
thérapeutiques sont les mèmes que pour une incompatibilité anti-D,il existe
aussi une possibilité de dosage pondéral des agglutinines anti-c. l’attitude
pratique à la naissance est calquée sur celle de l’incompatibilité Rhésus D,
l’exsanguino-transfusion se faisant avec du sang CC. Parfois, l’incompatibilité
n’est encore découverte qu’à l’occasion d’un ictère néonatale.la prévention
repose sur la recherche d’agglutinines anti-c en début de grossesse et
l’utilisation de sang phénocompatible Rhc en cas de transfusion de fillettes et de
femmes en àge de procréer
1-3-2) Incompatibilité Rh E:
La présence d’anticorps anti-E se voit après transfusion de sang E à un sujet ee ;
elle peut exister aussi en l’absence de stimulation antigénique connue.le risque
fœtal est beaucoup moins grand que pour les incompatibilité D et c ,mais elle
peut être source d’anémie secondaire sévère chez le nouveau-né
1-4) Autres incompatibilités :
1-4-1) Incompatibilité dans le système Kell :
L’immunisation dans le système Kell se voit essentiellement après la transfusion
de sang Kell positif à un sujet Kell négatif .elle est peu fréquente puisque 93 par
100 des sujets sont Kell négatif, mais tout aussi grave que l’immunisation anti-c.
La détermination du phénotype foetal est possible par PCR sur les cellules
trophoblastiques ou amniotiques. La bilirubinémies sous-estime la gravité de
l’anémie dans l’incompatibilité fœtomaternelle Kell qui, en plus de
l’hémolyse,entraine une sidération de l’érythropoiese. On aura donc plus
facilement recours à la cordocentèse que dans l’incompatibilité fœtomaternelle
RhD.
1-4-2) Autres immunisations :
Les incompatibilités avec atteinte fœtale dans les systèmes Duffy,MNS et Kidd
sont possibles mais exceptionnelles. Leur dépistage repose sur la recherche
d’agglutinines chez toutes les femmes enceintes. La présence d’anticorps anti-
lewis a ou anti-lewis b ne fait courir aucun risque au foetus ou au nouveau-né.
Certaines incompatibilités fœtomaternelles sont dues à un antigène privé ,
présent uniquement chez un individu et dans sa famille . Elles sont secondaires à
une grossesse sensibilisante antérieure ou à une transfusion de sang du conjoint.
Elles peuvent parfois donner des atteintes fœtales sévères.
2) constitutionnel :
→ Déficit en G6PD :
le déficit congénital en G6PD (glucose-6-phosphatedéshydrogénase ) peut être
cause d’ictère néonatale. On y pensera surtout chez le garçon noir (africain ou
antillais),asiatique ou encore originaire du bassin méditerranéen. L’ictère peut
être précoce ou tardif au 5 ème jour ; il est alors à haut risque d’ictère nucléaire
car il peut être méconnu. La splénomégalie est absente et l’anémie est souvent
peu importante, s’accompagne de réticulocytose. La résistance globulaire est
augmentée une fois sur deux. Le diagnostic est établi par le dosage de l’activité
de la G6PD par spectrophotométrie en ultraviolet.L’hémolyse par déficit en
G6PD doit être facilitée par des facteurs d’environnement (infection, prise
médicamenteuses chez la femme enceinte et l’enfant) et des facteurs génétiques.
→ Déficit en pyruvate kinase :
Est parfois aggravé par la grossesse, ce qui justifie une surveillance attentive des
femmes enceintes. Le risque fœtal est faible dans les formes bien équilibrées.les
nouveau-nés atteints (1 pour 20 000) ont un risque d’ictère néonatal.
→ Thalassémie :
Les défauts de synthèse ou thalassémies consistent en un désordre
quantitatif ,sans anomalie de structure, qui peut porter sur la chaîne α (α-
thalassémie) ou la chaîne β (β-thalassémie).
* α-thalassémie : on connaît quatre gènes responsables de la synthèse de la
chaîne α .dans l’α-thalassémie, un ou plusieurs de ces gènes peuvent manquer.
Dans la forme majeure d’α-thalassémie, où les quartes gènes manquent, il n’y a
aucune synthèse possible d’hémoglobine F ou d ‘hemoglobine adulte. Cette
forme est incompatible avec la vie (anasarque fœtoplacentaire et mort in utero).
Le triple déficit est responsable d’anémie hémolytique congénitale avec
présence d’hémoglobine β4 ou γ4 ; le double déficit se manifeste par une
polyglobulie microcytaire ; le déficit simple est latent, l’α-thalassémie
maternelle ne comporte alors pas de risque particulier pour le nourrisson, en
dehors du risque de transmission de l’anomalie.
* β-thalassémie : La β-thalassémie comporte une forme homozygote, avec un
déficit complet de la chaîne β (maladie de Cooley) se manifeste par une anémie
hémolytique grave nécessitant de nombreuses transfusions et encore responsable
de mort précoce avant trente ans. La maladie de Cooley est ,par sa sévérité,
rarement compatible avec la survenue d’une grossesse, d’autant que la fertilité
est souvent diminuée. Il existe une forme hétérozygote (β-thalassémie mineure)
où les chaînes globiniques β sont présentes mais en quantité diminuées. Les
signes cliniques se résument habituellement à une polyglobulie avec
microcytose plus ou moins marquée et nécessitant une supplémentation en fer et
en acide folique per os. Ces formes hétérozygotes sont sans risque particulier
pour le fœtus et le nouveau-né.
→ Sphérocytose congénitale :
La maladie hémolytique de MinKowski-Chauffard sera évoquée devant un
ictère précoce avec splénomégale modérée et anémie, surtout s’il existe une
sphérocytose. Elle sera affirmée par la résistance globulaire toujours diminuée si
l’on prend comme courbes de référence celles du nouveau-né et non celles de
l’adulte. Un antécédent familial confortera le diagnostic
IX) Non immunologie:
1) D’origine infectieuse :
Il n’est pas inutile de rappeler que l’on doit toujours penser à l’infection devant
un ictère, surtout s’il est à bilirubine mixte. IL est en rapport soit avec une
hépatite, soit avec une hémolyse, les deux processus étant souvent associés. Il
n’est parfois qu’un symptome au cours d’une infection néonatale bactérienne,
virale ou parasitaire; mais en dehors de ce tableau évocateur il faut savoir que:
-une infection urinaire isolée à colibacille peut se révéler par un ictère dès la
période néonatale.
-l’hépatite néonatale à virus B n’apparait qu’après 1ou 2 mois
-le virus des inclusions cytomégaliques peut entrainer un ictère néonatal
d’apparence banale avec anémie et discrète splénomégalie, mais il peut
apparaitre tardivement après transfusion pour anémie secondaire
(incompatibilité Rhesus ou ABO, maladie de Minkowski-Chauffard)
2) toxique :
3) carence en vitamine E :
4)Vit k1 synthétique :
MATERIEL (technique)
• Un appareil de photothérapie
intensive (P.T.I.)
• Lumière bleue
suivante :
Q :180 CC/ kg (ce fait une quantité de sang totale comprise entre 02 à 03 fois
la masse sanguine.
• Les compilations de l’exsanguino-transfusion sont rares à type de :
1- Troubles cardio-vasculaires : troubles du rythme, arrêt rapide de sang,
surcharge volémique, embolie gazeuse.
2- Contamination bactérienne, ou virale.
3- Le rôle de l’exanguino-transfusion dans la survenue de l’entérocolite
nécrosante est discuté.
4- L’hypoglycémie, l’hypocalcémie,l’hypothermie,l’hyperkalémie,l’acidose
métabolique .
• la mortalité est < 1%
8) Autres traitement :
La correction de l’anémie est nécessaire avant toute exanguino-transfusion, si le
taux d’hémoglobine est bas. Les perfusions d’albumine peuvent avoir un intérêt
chez le nouveau-né essentiellementle prématuré.
Les autres thérapeutiques, telles que le phénobarbital, la cholestyramine ne sont
plus utilisées à l’heure actuelle.
9)Les indications :
1) la photothérapie :
l’ictère par l’immaturité hépatique constitue l’indication principale de la
photothérapie peut être mise en œuvre systématiquement à titre préventif
audessous de 1.500g. Cette photothérapie a considérablement réduit le nombre
d’exanguino-transfusion. La maladie de CRIGGLER-NADJJAR et les ictères
par hémolyse constitutionnelle.
Bénéficient toujours de photothérapie, quelle que soit leur
origine,l’exanguinotransfusion sera souvent nécessaire, décidée, en fonction du
taux de bilirubine, du degré de l’anémie et de l’âge de l’enfant.
-en ce qui concerne les incompatibilité fœto-maternelle :
Signalons le rôle non négligeable, si non primordial de la photothérapie au cours
de la maladie hémolytique ABO. Elle doit être d’utilisation systématique après
l’exanguinotransfusion.
L’exanguino-transfusion :
L’indication majeure de l’exsanguino-transfusion est représentée par les
hyperbilirubinémies néonatales liées à une hémolyse (incompatibilité fœto-
maternel Rhésus( C,D, ABO,...etc).
lors d’une incompatibilité fœto-maternel rhésus grave, l’indication peut être très
précoce devant :
-un test de coombs direct positif avec un ou plusieurs critères positifs : cliniques
et hématologiques.
Chez le prématuré, où l’hyperbilirubinémie est quasi constante, la
photothérapie par fibres optiques peut trouver sa place ;mais du fait de la
perméabilité plus grande de la barrière hémato-encéphalique en raison de
l’acidose et de l’anoxie, l’ictère nucléaire peut apparaître pour des taux
relativement bas de bilirubine,et la photothérapie intensive peut être indiquée
dès que la bilirubine totale (µmol) atteint le 1/10e du poids du corps (g).
-L’albumine: en perfusion a comme indication un taux de bilirubine non
conjugée liposoluble égal ou supérieur à 1µg/dl. On utilise en même temps
qu’en démarre la photothérapie.
-le clofibrate peut s’utiliser comme seul traitement, à condition de surveiller la
bilirubinémie, selon les mêmes critères que pour la photothérapie « modérée » .
Pour des taux supérieurs, le clofibrate peut constitue un adjuvant utile à la
photothérapie dont elle raccourcira la durée.
XIII) Traitement préventif:
-la photothérapie ne saurrait constituer une véritable prévention puisqu’elle
n’agit que sur une bilirubine déjà existante. Appliquée très précocement , elle
peut cependant être qualifiée de semi-préventive.
C’est dans une certaine mésure, Ce qui se passe avec les photothérapies
modérées.
-En revanche, le clofibrate peut agir avant l’apparition de l’ictère et donc
constituer une véritable prévention. C’est le cas pour le prématuré ou l’enfant né
à terme quand on sait qu’il fera certainement un ictère (incompatibilité sanguin
O/A et B,antécédents d’ictère dans la fraterie, anoxie,ecchymoses étendues,
hémorragies viscérales).
-l’alimentation des premiers jours joue un rôle important :éviter le jeûne et
apporter une ration calorique et glucosée suffisante empêchent l’apparition
d’ictère.
XIII-Prévention :
A) La prévention par immunoglobiline antiD réduit le risque d’allo-
immunisation Rhésus D négatif. À la suite d’une grossesse d’un foetus Rhésus
positif, la femme enceinte s’immunisé après le passage des hématies foetales
dans la circulation maternel et la formation d’anticorps anti Rhésus D. On dit
que la femme est immunisée ; cette immunisation est prouvée par la recherche
positif des agglutinines irrégulières. Le taux d’anticorps augmente
progressivement lors des grossesses ultérieures à foetus Rhésus D positif, Ce qui
met en danger ces fœtus.
à partir de la deuxième et la troixième grossesse les anticorps maternels de type
IgG traversant la barrière placentaire, se fixent sur les hématies fœtales Rhésus
D positif et entrainent leur destruction ce qui donne soit la mort fœtal par anémie
grave et anasarque fœto-placentaire soit la naissance du nouveau-né prématuré
ou à terme, souffre d’une anémie avec développement rapide d’un ictère dit
hémolytique mettant en absence de traitement , le cerveau du nouveau-né en
danger (encéphalopathie bilirubinémique ) et l’handicap psychomoteur. Donc
toute femme enceinte Rhésus négatif est porteuse d’une grossesse à risque,
nécessitant une surveillance particulière et une prise en charge dès la naissance
du nouveau-né. On peut distinguer deux situation :
1) femme Rh négatif ; père Rh négatif :
Dans ce cas il n’existe aucun risque d’immunisation maternel.
2) Femme Rh négatif; père Rh positif:
-nécessite une surveillance biologique de la grossesse .
-un bilan s’impose pour le nouveau-né à la naissance : groupage, rhésus et test
de coombs direct.
-si le nouveau-né est Rhésus positif :
* il y a un risque d’immunisation maternel et mise en danger des grossesses
ultérieurs. La femme nécessite la prévention par l’injection intra-musculaire
d’immunoglobiline anti-D.
L’accouchement d’un mort né ou avortement avant les 72 heurs qui suivant
l’accouchement (injection systématique d’immunoglobilines anti D) pour
empêcher la réaction primaire de l’allo-immunisation en s’oppossant à la
stimulation antigénique.
Rhésus D par une destruction rapide les hématies fœtales Rhésus D positif qui
aurraient pénétrer dans l’organisme maternel rhésus D négatif.
*l’injection systématique d’immunoglobiline anti-D.
* dans le cas où l’injection d’immunoglobilines anti-D inutile : la femme est
immunisée ou elle présente une incompatibilité dans le système ABO ou dans
les autres sous groupes (c,e...) ou les autre groupe (Kell...). la technique de
l’immunisation contre le RhésusD, elle consiste à injecter systématique à toute
accouchée rhésus D négatif une dose d’immunoglobilines antiD dans les 3 jours
qui suivent chaque accouchement d’un enfant rhésus positif. Cette prévention
doit être également rigouresement appliqué: interruption volontaire ou
invollontaire de la grossesse.
L’injection d’immunoglobiline anti-D s’impose aussi au cours des grossesses ;
où les circonstances de passage transplacentaire d’hématies fœtales est élevé
(amniocentèse, métrorragies, mort inutéro, grossesse extra-utérine).
La dose dépend de la voie d’administration: les anticorps sont apportés sous
forme d’immunoglobilines anti-D utilisables soit exclusivement par voie intra-
musculaire , soit par voie intra-veineuse. La dose standard est de 200 à 300µg
d’anticorps par voie intra-musculaire aux Etat unis( en france :100µg ).tandis
que en Algérie la dose est entre 85-100 µg d ‘anticorps anti D par voie intra-
musculaire ou intra-veineuse dans les 72 heures suivent l’accouchement d’un
enfant Rh positif. Lorsque la voie intra-veineuse est utilisée, la dose peut être
réduite.
Les dose sont fonction de l’importance du passage du sang fœtal à la circulation
maternelle. La posologie peut être augmentée en tenant compte du volume
d’hématies fœtal présente dans la circulation maternelle le lendemain.
B) la prévention répose sur le dépistage systématique chez les mères
présantant la:
1) Rubéole : sérologie systématique au début de grossesse ou encore mieux
avant la grossesse.
-vaccination chez les jeunes filles non immunisées.
2) Syphilis : la syphilis maternelle non traitée expose le fœtus et le nouveau-né
au risque de syphilis congénitale. Le dépistage systématique et le traitement de
la maladie en cours de grossesse en ont considérablement diminué le risque .
3) Toxoplasmose : sérologie à répéter chaque mois chez les femmes non
immunisées qui doivent manger viandes bien cuites ,éviter le contacte des chats.
En cas de séroconversion, traitement par spiramycine est appliqué. Notre
religion nous permet pas d’avorter c’est pour ça n’est pas indiquer pour les
femmes de notre société.
* cette prophylaxie n’à par contre aucune efficacité chez une femme déjâ
immunisée contre l’antigène rhésus D, car elle ne peut ni modifier ni empêcher
la réaction secondaire
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Partie pratique
Notre étude a été faite au niveau de laboratoire CTS (centre de transfusion
sanguin ) et laboratoire de maternité d’Hôpital Bachir Ben Nacèr du secteur
sanitaire de Biskra .
de CTS :
Répartition du personnel par salle ou paillasse .
1) La salle de prélèvement :
donneur de sang → 1 médecin et 2 infermière .
2) La salle de laboratoire :
Paillasse séparation des Paches → 1 laborantin.
Paillasse sérologie → 2 laborantin
Paillasse immuno-hématologie→ 2 laborantin
Paillasse de distribution →1 laborantin
de maternité:
Répartition du personnel par salle :
Salle de hematologie → 2 laborantine
Salle de biochimie → 2 biologiste
II-Groupage :
1)Système ABO :
1-1) Principe :
- ils sont définis par la présence ou la combinaison de deux antigène A et B dans
la membrane érythrocytaire et deux anticorps anti A et anti B dans le sérum ,un
même individu ne peut pas posséder l’antigène et l’anticorps correspondant
-la détermination des groupes ABO peut se faire classiquement par deux
technique:
→L’une qui identifie les antigènes : méthode de BETH – VINCENT.
→L’autre qui identifie les anticorps : méthode de SIMONIN.
1-2) contrôle : nécessaire
- Utilisation simultanée des deux techniques : qui l’une contrôle l’autre.
- Détermination faite en parallèle par deux personnes différentes.
- Délivrance du résultat de groupage définitif après une nouvelle détermination
de groupe effectué sur un deuxième prélèvement de sang.
1-3) Causes d’erreurs : sont nombreuses
- Erreur d’étiquetage des tubes contenant les échantillons de sang .
- Erreur de manipulation.
- Erreur de retranscription sur le document donné au malade.
- Erreur due a des anomalies biologiques: antigène faible, anticorps irrégulières,
mauvaise conservation des échantillons verrerie défectueuse ect
1-4)Technique de BETH-VINCENT :
1-4-1) Prélèvement :
le sang doit être prélever aseptiquement dans un tube avec anticoagulant
(EDTA , CPD) ou par piqure du doigt
ou de lobule de l’oreille.
1-4-2) Principe : cette méthode consiste a rechercher d’antigène inconnu a
l’aide d’anti sérum (sérum test connu).
1-4-3) Technique sur plaque :
1-sur une plaque de faïence blanche déposé trois goutte de sang totale sur une
ranges horizontale espacé de 3 à 4cm.
2- Puis ajouté pour le 1ere goutte : une goutte du sérum test anti A.
Le 2eme goutte : une goutte du sérum test anti B.
Le 3eme goutte : une goutte du sérum test anti AB
3- Mélanger la préparation à l’aide d’un tube hémolyse ou le coin de la lame de
manière a obtenir un cercle de 2-3 cm de diamètre.
4-On incline ensuite la lame en tous sens de façon a faire circuler les gobille
rouge a l’intérieure des gouttes se qui favorise leur rencontre et la formation des
agglutinations.
1-4-4) Lecture :
-S’il y a une agglutination avec les sérums test anti A et anti AB : le sang
examiné est du groupe A.
- S’il y a une agglutination avec les sérums test anti B et anti AB : le sang
examiné est du groupe B.
- S’il y a une agglutination avec les sérums test anti A et anti B et anti AB : le
sang examiné est du groupe AB
- S’il n’ya pas d’agglutination avec les sérums test anti A et B et AB : le sang
examiné est du groupe O.
2) SIMONIN :
2-1) Principe :
la recherche consiste d’un anticorps inconnu a l’aide d’un antigène connu .
2-2) Technique de préparation de réactif :
-de trois suspensions d’hématies tests : hématie A , hématie B , hématie O.
1- prélever sur anticoagulant EDTA de sang connu du groupe A et B et O
chaque groupe sanguin sur un tube.
2- centrifuger les trois tubes.
3- prélever le culot centrifugation par pipette
4- lavage des hématies tests (trois fois).
→Ajouter l’eau physiologie puis agité.
→ Centrifuger 5 min a grande vitesse
→ puis rejeter le surnageant
5- mettre le culot d’hématies en suspension a 5% :
Dans un 50 µl de culôt hématies ajouter 950 µl d’eau physiologique pour chaque
groupe (A,B et O).
6- conserver au réfrigérateur à +4c° dans un tube portant une étiquette (groupe
d’hématies test date de Préparation).
2-3) Technique sur plaque:
1-sur une plaque de faïence blanche déposer 3 grandes gouttes du sérum au du
plasma de sujet tester espacer a 3 a 4 cm .
2-ajouter pour 1ere goutte :une goutte de suspension d’hématies de groupe A
2eme goutte :une goutte de suspension d’hématies de groupe B
3eme goutte :une goutte de suspension d’hématies de groupe O
3-mélanger la préparation par une tube hémolyse ou le coin de la lame.
4-on incline ensuite la lame en tous sens de façon à faire circuler Les sérums ou
les plasma a l’intérieur des gouttes ce qui favorise leur rencontre et la formation
des agglutinats
2-4) Lecture :
- si l’agglutination avec la suspension d’hématies de groupe B : le sang examiné
est de groupe A
- si l’agglutination avec la suspension d’hématies de groupe A : le sang examiné
est de groupe B
- si l’agglutination avec la suspension d’hématies de groupe A et B : le sang
examiné est de groupe O
-si pas d’agglutination : le sang examiner est de groupe AB
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* remarque :
Les deux techniques doivent donné les même résultats .
3) Système RH :
3-1) Principe :
la détermination du groupe RH a consiste a rechercher ses les globules rouge du
système portent ou non
l’antigène D
→Si oui : rhésus positif
Si non : rhésus négatif
3-2) Technique de groupage RH sur lame :
1-mèttre une goutte de sérum anti D
2- mèttre une goutte de réactif contrôle RH sur la même lame ou sur 2eme lame.
3-ajouter 2 goutte d’une suspension de globule rouge a 40-50% dans leur sérum
au plasma, ou dans sérumou plasma a compatible a chacune des gouttes de
sérum anti D ou de réactif contrôle RH .
4-mélanger la préparation par un tube a hémolyse ou le coin de la lame .
5-on incline ensuite la lame en tous sen de façon a faire circuler .
3-3) La lecture :
Reaction Anti-D Controle Rh Resultat
1 + - D positif
2 - - D négatif
3 + + ininterpretable
* Test Du :
1- incuber les tube à 37c° pendant 15 min et centrifuger a 1000 * g(30cec).
2- lavage 3 ou 4 fois en tube sec :
→ Ajouter l’eau physiologie puis agiter .
→ centrifuger 5 min a grande vitesse
→ rejeter le surnageant par pipette
3- ajouter 1 ou 2 gouttes d’anti D IgG ou d’antiglobiline polyvalente et
centrifuger à 1000 xg pendant 30 seconde .
5- lire l’agglutination.
6- si le test est négatif ,ajouter une goutte de suspension de GR sensibilisés par
des IgG ,mélanger et centrifuger ,l’apparition d’une agglutination indiquer que
l’antiglobiline est disponible et que la réaction négatifs n’est pas une réaction
négatif.
4) coombs direct :
4-1) principe :
l’anticorps étant déja sur les globules, il suffit de mettre ces globules en presence
du serum antiglobulinique pour observer l’agglutination.
Le test de coombs direct permet de reconnaitre si les hematies ont fixé des
anticorps incomplets.
4-2)Technique :
1-laver les hematies de malade 3 fois par l’eau physiologique
2-préparer une suspension à 2-5 %
3-mettre dans un tube a hemolyse :
→une goutte de suspension d’hematie (2-5 %)
→une goutte de antiglobine humain
4-centrifuger pendand 3min à 1700 tours/ min
4-3) lecture :
Réaction (+) : présence d’agglutination.
Réaction (-) :absence d’agglutination
5) Coombs indirect :
5-1) Principe :
Les anticorps contenus dans le serum sont fixés dans un premier temps sur
d’hématies-test.
Après fixation des anticorps, les hématies dans un deuxième temps sont
agglutinées par le serum antiglobilinique.
Le test de coombs indirect permet de déceler les anticorps libres dans le serum
en les fixation dans un premier temps de la réaction sur les hématies tests
5-2) Technique :
1-laver les hématies de groupe O positif 3fois avec l’eau physiologie
2-préparer une suspension des hématies lavés (2-5 %)
3-mettre dans un tube à hémolyse :
→ une goutte de suspension (2-5 %)
→ ajouter une goutte du sérum de malade
4- incuber a bain marie à 37°c pendant 45 min
5-laver le mélange ( hématie-sérum ) 3fois avec l’eau physiologie
6-jeter le surnageant et laisser une goutte d’eau physiologie
7-ajouter une goutte d’antiglobine humaine
8-centrifuger à 1700 pendant 3 min
5-3) lecture :
Réaction (+) : presence d’agglutination
Réaction (-) : absence d’agglutination
6) Dosage de bilirubine :
6-1) Principe :
L’acide sulfanique réagit avec le nitrite de sodium, l’acide sulfanique diazoté en
présence de diméthyl sulfaxide (DMSO), la bilirubine totale se couple avec
l’acide sulfanilique diazoté pour donner de l’azo-bilirubine.
En absence de (DMOS) seul la bilirubine directe elle réagit
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6-2) Prélèvement :
Sérum non hémolyse, prélèvement recueillis sur EDTA soit en tube héparine
6-3) Technique :
Méthode de dosage de bilirubine totale :
Echantillon Calibrateur
Blanc Dosage Blanc Dosage
Réactif 2 1,5 ml 1,5 ml 1,5 ml 1,,5 ml
Réactif 3 - 50 µl - 50µl
Echantillon 100 µl 100 µl - -
Calibrateur - - 100 µl 100 µl
Echantillon Calibrateur
Blanc Dosage Blanc Dosage
Réactif 1 1,5 ml 1,5 ml 1,5 ml 1,5 ml
Réactif 3 - 50 µl - 50 µl
Ehantillon 100 µ 100 µl - -
Calibrateur - - 100 µ 100 µ
La réparation de la maladie
Nombre selon l’âge
de malade
[0–3[
[3–6[
[6–9[
[ 9 – 12 [
[ 12 – 15 [
Commentaire :
Nombre
La répartition de lademaladie
malade selon le sexe
♂
♀
Commentaire :
Nous avons noté que l’ictère est plus fréquent chez les nouveau né de sexe
féminin, avec un sexe ratio : 1,4
Tableau 03: le taux moyen de bilirubine totale
9,375
9,375
31,25 [ 0 – 60 [
[ 60 – 120 [
[120 – 180[
46,875 [180-240
240[
[240-300
300[
Commentaire :
Le taux moyen de
Nombre debilirubine
malade directe
[0–3[
[3–6[
[6–9[
[ 9 – 12 [
[ 12 –15 [
Commentaire:
Dans l’intervalle 0-6 mg/l on note que le nombre de malade est supérieur
(34, 375٪), et dans l’intervalle 0-3 mg/l et 12-15 mg/l le même et inferieur
(12, 50٪)
Tableau 04: le taux moyen de bilirubine directe
Bilirubine [ 0-50[ [50- [100- [ 150 - [ 200 - [ 250 - total
indirecte(mg/l) 100[ 150[ 200 [ 250 [ 300 [
Nombre des 01 07 11 08 03 02 32
cas
Poucentage 3,125 21,875 34,375 25 9,37 6,25 100
(٪)
Nombre de malade
Le taux moyen de bilirubine indirecte
[ 0-50[
[50-100[
[100-150[
[ 150 - 200 [
[ 200 -250 [
[ 250 - 300 [
Commentaires :
▪Nous avons noté que l’ictère modéré est présent sur effectif total de 32 :
26 nouveau né (soit 81,25٪)dont le taux moyen de bilirubine totale < 180mg/l
19 nouveau né(soit 59,375)٪ dont le taux moyen de bilirubine indirecte<150mg/l
▪L’ictère grave est présent chez :
6 nouveau né (soit18,75٪)dont le taux moyen de bilirubine totale>180mg/l
13 nouveau né(soit40,625٪) dont le taux moyen de bilirubine indirecte>150mg/l
Ictère Etiologies Nombre des cas ٪
Rh 3,125
Hémolytique ABO 3.125
constitutionnelle 0
Non hémolytique physiologie 90,625
Au lait de mère 3.125
Tableau 06: la Répartition de la maladie selon l’étiologie
Répartition de la maladie
Nombre selon٪l’étiologie
de malade
Rh
Hémolytique
ABO
Hémolytique
constitutionnelle
Non hémolytique
physiologie
Non hémolytique
Au lait de mère
Commentaires :
▪ Nous avons noté que l’ictère hémolytique est moins fréquent par rapport à
l’ictère physiologique qui atteint 90,625٪
▪ Par contre la fréquence de l’ictère hémolytique par incompatibilité ABO et RH
est égale pour les deux (3,125٪)
Evolution Nucléaire Décédés Guérison total
Nombre des 00 03,125 96,875 100
cas ٪
Tableau 07: la Répartition de la maladiee selon l’évolution
Nombre
La répartition de malade
de la maladie ٪
selon l’évolution
Nucléaire
Décédés
Guérison
Commentaires :
▪Nous
Nous avons noté que l’évolution était favorable pour la plupart des malades
avec guérison de 96,875
875٪
▪Aucun cas d’ictère
ère nucléaire n’a été signalé.
▪Par contre 03,125٪ de malades décédés pour autres pathologies associées
Les années prises en comptes dans notre étude portent sur deux années 2009-
2010, les cas enregistrés sont les suivants :
Mois Jan Fév Mar Avr Mai Juin Juil Aout Sep Oct Nov Déc
Nombre 08 04 21 16 21 28 20 15 08 10 10 07
de N-né
Tableau 08 :la fréquence d’ictère chez les N-nés selon les mois de l’année 2009
N-né
30
25
20
15 N-né
10
0
Jan Fév Mar Avr Mai Juin Juil Aout Sep Oct Nov Déc
Fig 12:la fréquence d’ictère chez les N-nés selon les mois de l’année 2009
Commentaire :
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Nous avons noté que la fréquence de l’ictère chez les nouveau né au cours de
l’année 2009 est variable : plus fréquent en Juin, de façon égale en Mars et Mai,
moins fréquent en Fév
Tableau 09:la fréquence d’ictère chez les N-nés selon les mois de l’année 2010
Mois Jan Fév Mar Avr Mai Juin Juil Aout Sep Oct Nov Déc
Nombre 15 24 21 24 18 35 24 50 20 27 08 26
de N-né
N-né
60
50
40
30 N-né
20
10
0
Jan Fév Mar Avr Mai Juin Juil Aout Sep Oct Nov Déc
Fig 13 :la fréquence d’ictère chez le N-né selon les mois de l’année 2010
Commentaire :
Nous avons noté que le nombre des N-nés, mensuellement détectés, ayant un
ictère selon l’intervalle (08,50) correspondant par ordre croissant à (Nov.
,Août)
Conclusion
- L’ictère néonatal reste une maladie fréquente chez le nouveau-né .
excées chez les nouveau-né. Le transport vers le foie est réalisé par
être éliminée dans les selles sous forme de stercobiline et dans les urines
- L’ictère hémolytique :
d’autres causes
nucléaire.
DO : densité optique
GR : globule rouge
GT : glycuronyl-transférase
IgG : Immunoglobuline G
IgM : immunoglobuline M
IgA : immunoglobuline A
PM : poids moléculaire
Rh : rhésus
1) htt:// www.snfge.asso.fr/os-inberne-charcheurs/ob-internes-
etudiants/objectifs/publication 4/111.htm
2) htt:// www.cps.ca/francais/surveillance/pcsp/ressource/ictère nucléaire.htm
3) htt:// www.daneprairie.com
www.Paramedz.com