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Cours BD Chapitre - SQL de Base
Cours BD Chapitre - SQL de Base
L'ordre CREATE TABLE permet de créer une table en définissant le nom et le type
de chacune des colonnes de la table.
Syntaxe :
Nom_table est le nom que l'on donne à la table ; colonne1, colonne2,.. sont les noms des
colonnes ; type1, type2,.. sont les types des données qui seront contenues dans les colonnes.
Exemple :
On peut donner une valeur par défaut pour une colonne si la colonne n'est pas renseignée.
a. Caractères
c. Dates et heures
Dans la définition d'une table, on peut indiquer des contraintes d'intégrité portant sur une ou
plusieurs colonnes. Les contraintes possibles sont :
La contrainte PRIMARY KEY identifie de façon unique chaque enregistrement d'une table
de base de données. Les clés primaires doivent contenir des valeurs uniques. Une colonne de
clé primaire ne peut pas contenir des valeurs NULL. Chaque table doit avoir une clé primaire,
et chaque table peut avoir qu'une seule clé primaire.
b. Contrainte d'unicité
La contrainte UNIQUE identifie de façon unique chaque enregistrement d'une table de base
de données. Les contraintes UNIQUE et PRIMARY KEY à la fois de fournir une garantie
d'unicité d'une colonne ou un ensemble de colonnes. Une contrainte PRIMARY KEY a
automatiquement une contrainte UNIQUE définie sur elle.
Lorsqu'une liste de colonnes de la table en cours de définition permet de définir la clé primaire
d'une table étrangère, on parle alors de clé étrangère, et on utilise la clause FOREIGN KEY
suivie de la liste de colonnes de la table en cours de définition, séparées par des virgules, entre
parenthèses, puis de la clause REFERENCES suivie du nom de la table étrangère et de la
liste de ses colonnes correspondantes, séparées par des virgules, entre parenthèses.
d. Contrainte CHECK
La contrainte CHECK est utilisée pour limiter la plage de valeurs qui peuvent être placés
dans une colonne.
Exemple :
Vous pouvez être amené à modifier à n’importe quel moment la structure d’une table
créée dans la base de données. Les raisons classiques de modification d’une table sont les
suivantes :
Noter que la liste ci-dessus n’est pas exhaustive. La commande ALTER TABLE permet
aussi de modifier la structure d’une table (changer les spécifications de la clé primaire ou
ajouter une contrainte unique à une colonne).
Table Client
Nom de colonne Type de données
Nom Varchar(20)
Prenom Varchar(20)
adresse Varchar(15)
Nom Varchar(20)
Prenom Varchar(20)
adresse Varchar(15)
sexe Char(1)
Langage de Manipulation des Données est constitué de toutes les instructions qui s’attaquent
aux données même des tables. Nous verrons que SQL propose trois instructions pour
manipuler des données :
L’insertion d’enregistrements : INSERT;
La modification de données : UPDATE ;
La suppression d’enregistrements : DELETE.
Exemple
f. Exemple
L’instruction UPDATE permet la mise à jour des colonnes d’une table. Pour pouvoir modifier
des enregistrements d’une table, il faut que cette dernière soit dans votre base ou que vous
ayez reçu le privilège UPDATE sur la table.
b. Exemple
b. Exemple
Une requête permet de rechercher des données dans une ou plusieurs tables ou vues, à partir
de critères simples ou complexes. Les instructions SELECT peuvent être exécutées dans
l’interface de commande ou au sein d’un programme SQL, PHP, Java, C, etc.
a. Syntaxe
b. Exemple
2.7.2. Alias
Les alias permettent de renommer des colonnes à l’affichage ou des tables dans la requête.
Les alias de colonnes sont utiles pour les calculs.
Pour trier le résultat d’une requête, il faut spécifier la clause d’ordonnancement par ORDER
BY de la manière suivante :
Expression : nom de colonne, fonction SQL, constante, calcul.
ASC ou DESC : tri ascendant ou descendant (par défaut ASC).
Exemple :
Une vue dans une base de données est une synthèse d'une requête d'interrogation de la base.
On peut la voir comme une table virtuelle, définie par une requête.