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Configurer l’image

Le flare : le défaut de flare est causé par une diffusion


parasite de la lumière à l’intérieur de l’objectif plus
précisément quant l’ouverture ou la focale de l’objectif varie.
Le niveau de noir de l’image peut s’élever pour donner un gris
foncé. la correction de flare consiste d’abord pour chaque voie
R V B à évaluer la valeur moyenne du signal vidéo
La correction de flare s’effectue a l’aide d’une mire blanche
comportent en son centre un rectangle en voleurs noirs. en
cadre dans un premier temps se rectangle en longe focale
pou qu’il occupe 90% de l’image afin de régler le niveau de
noir a 0mV, puis on élargit

La compression des blancs ; . La compression des blancs


peut être utile pour atténuer certaines brillances sur un
visage ou pour éviter un écrêtage des détails sur un
vêtement blanc par exemple en extérieure elle permet de
réduire le contraste sur des zones très lumineux.
Sur les caméras brodcastes. Deux réglages sont disponibles
pour adapter la compression à la nature de l’image traitée
Knne (point) est le seuil de compression c'est-à-dire le
niveau à partir duquel la compression entre en action
Knne (slope) permet d’ajuster la valeur de la pente
c'est-à-dire l’efficacité de la compression.

NB

La compression des blancs est utile pour atténuer certaines


brillances sur un visage pour éviter un écrêtage des détails
sur un vêtement blanc par exemple
Les balances de noires : qui consiste à égaliser les niveaux de
noires de chaque voie R V B pour que lorsque l’objectif est
fermé les signaux vidéo primaires soient parfaitement aligné
sur les uns par rapport au autres. le noire de l’image ne
laisse ainsi apparaître aucune couleur dominante

Les balances des blancs : pour but d’adapter l’équilibrage


colorimétrique de la caméra à la température de couleur de
la lumière de la scène Elle nécessite de cadrer au préalable
avec une exposition correcte une surface blanche
uniformément éclairé par la lumière qui sera utilisé lors de
tournage , un circuit ajuste alors automatiquement sur ce
blanc de référence des gains des signaux vidéo de chaque
voie R V B à 700mV donc les réglages des blancs à pour but
d’assurer un étalonnage homogène et juste
Les gains et les
noires individuels : la balance des niveaux des gains
individuels a pour but de modifier légèrement le rendu
colorimétrique de la caméra mais cette fois en fonction de
contenu réel de la scène cadré et de l’angle de prise de vue.
En outre la balance des noires individuelles a pour but
d’obtenir l’équilibrage souhaité et de supprimer d’éventuelles
dominantes colorées dans les basses lumières.
(Très perceptible sur les costumes noires et les cheveux
brunes)
Le gain par bonds : en cas de faible éclairage et si
l’ouverture de diaphragme n’est pas suffisante il faut alors
accroître électroniquement la sensibilité de caméra en
ajoutant de gain à la chaîne de traitement vidéo plusieurs
valeurs entre +3DB et 18DB et 42 (turbo gain) sont
disponible sachant que l’on gagne l’équivalent d’une division
de diaphragme chaque fois qu’on augment le gain de +6Db,
mais le prix à payer étant l’apparition de bruit sur l’image.
La correction gamma: La correction de gamma est malgré tout
nécessaire pour optimiser la visualisation, la perception sur
l'écran : réduire le bruit, optimiser la répartition des bits par
pixels, etc

Correction de gamma

L e
niveau de noire général (master black : Ce réglage détermine
le niveau de contraste de l’image en assombrissant –coller les
noires, au contraire, en éclaircissant décoller les noires –les
bas niveaux lumineux. de manière générale, mieux d’éviter
de coller excessivement les noires, cela ayant pour effet
d’écrêter dans les zones sombres qui disparaissent
définitivement, en revanche une image trop décoller peut
corrigée après coup dans ce cas, aucune information n’est
éliminée

En numérique, le traitement du signal est réalisé sur la base


d'une conversion analogique /numérique en 10 ou 12 bits
(1024 ou 4096 niveaux), selon les caméras.
Les deux principaux formats codés en 4:2:2, le HDCAM et le
DVC pro 100HD, sont sous échantillonnés et compressés.
NOTAS
La faible sensibilité de l’œil humain la couleur qu’à la
luminosité. de prélever deux fois moins d’échantillons de
chrominance que d’échantillons de luminance .dans la norme
définie pour les applications de studio,le rapport entre les
fréquences d’ échantillonnage de Y,R-Y,B-Y est égale à celui
des nombres 4 :2 :2.
La bande passante du signal de luminance est de 5.75MHZ ;
celle des signaux de différence de couleur est 2.75MHz.

Les fréquences d’échantillonnage du signal vidéo

1. La luminance

Fe(Y)=13.5MHz
Cette valeur est égale à 864 fois la fréquence des systèmes à
625 lignes et à 858 fois celle des systèmes à 525 lignes. dans
les deux cas, une ligne active numérique renferme 720
échantillonnage de luminance

2. La chrominance

Fe(Cr)=Fe(Cb)=6.47MHz
C’est valeur est égale) 432 fois de la fréquence des systèmes)
625 lignes et à 429 fois celle des systèmes) 525 lignes.
Sur une ligne, on dénombre donc deux fois d’échantillons de
chrominance que de luminance, soit 360 par ligne active.
Compte tenu des filtres réalisables, les bandes passantes
équivalentes sont de 5.75 MHz pour Y et de 2.75 MHz pour
Cr,Cb  ; elles sont plus élevées que celles fixées des standards
analogiques composites et composantes ( surtout en ce qui
concerne la chrominance).

Les défauts de l’image

Smear : Il se caractérise à l'image par une raie lumineuse


verticale blanche, plus rarement rouge, à l'endroit d'une
source de lumière puissante. Il traduit une pollution des
registres verticaux du CCD en raison de l'excès de lumière ou
de rayons de longueur d'onde élevée. Les CCD IT (Interlign
Transfert) sont les plus sensibles au smear car le
déplacement des charges vers les registres verticaux est
particulièrement lent. Les capteurs CCD les plus utilisés sont
les FIT (Frame Interline Transfert) pour lesquels le défaut est
quasi absent.
- Aliasing : Il se traduit par un moiré fixe ou mobile sur les
zones garnies de détails fins. Il correspond à un défaut
d'échantillonnage des détails fins. Selon le critère de Nyquist,
la fréquence spatiale maximale de l'image doit être inférieure
à la moitié de la fréquence d'échantillonnage. La finesse des
détails de la scène doit être en adéquation avec la structure
des capteurs. L'Aliasing est corrigé par un décalage horizontal
du capteur vert par rapport aux capteurs rouge et bleu
permettant d'accroître artificiellement la résolution de la
luminance et par l'élimination des fréquences spatiales
élevées de la scène au moyen d'un filtre optique passe bas. Si
ces corrections ne suffisent pas, on peut agir dans les menus
sur les fonctions « fine detail », « knee aperture » ou « cross
color » si le caméscope en dispose.
- Effet « moustique » : Bruit sur les transitions d'objets
en mouvement. Il est du à des erreurs de quantification entre
deux pixels voisins. Il se traduit par l'apparition de points
noirs et blancs qui « miroitent » autour de l'objet comme des
moustiques.
- Twitter : Il concerne le mode d'analyse entrelacé. Une
image fortement définie verticalement risque de souffrir de
flicker interligne car les détails présents sur une seule ligne
vont disparaître une trame sur deux.
- Judder : il concerne le mode d'analyse progressif donc le
film et le 24p. Il se caractérise par une trépidation du fond.
- Effet de blocs : Apparition d'une structure carrée sur
une partie de l'image. Ils correspondent aux blocs 8x8 de la
compression M-JPEG (DCT). Ce défaut est lié à un taux de
compression trop élevé.
- Effet de blurring : il se traduit par une réduction des
détails, des contours moins marqués et des trainées. Ce
défaut affecte la totalité de l'image. Il est généralement lié à
une réduction de la bande passante et / ou à un débit trop
faible.
- Effet de Halo : Distorsion se produisant temporairement
sur les contours des objets (bruit dynamique).
-

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