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Résumer des 11 nouvelles :

Première nouvelle : La Musique de la pluie de (Silvina OCAMPO)


Octavio Griber joue du piano avec ses pieds.
Avant de jouer du piano il regarda ses pieds puis les pédales, puis ses pieds, puis ses pétales avant de faire
des gammes avec son gros orteil.

Il jouait des œuvre de Debussy, de Ravel, de Fauré, de Chopin, etc…

Le public l’admire.
Il ne joue pas du piano si il n’a pas de papier sous les marteau pour modifier le sons des touches.
Pour lui le piano est considéré comme un humain.

Le maître de maison est un grand pianiste qui lui ne joue pas avec ses pieds.
Il était jaloux de Octavio Griber.
On remarqué qu’il étais jaloux à spa barbe, elle devenait rêche malgré qu’il utilise de la brillantine.

Deuxième nouvelle : La Dernière Leçon de musique de Tch’eng Lien de (Pascal


QUIGNARD)
Tch’eng Lien détruit les instruments de Po Ya (un luth, guitare, etc…). Pour que Po Ya joue de la musique
avec plus de sentiments dans ça façon de jouer de la musique.
En brisant ses instruments Po Ya a changé de voix.

Dans la musique le son n’est pas le fruit.


Chaque objet fait un son différent (ils écoutèrent le bruit du balai qui ôtait la poussière).

Po Ya arrive chez Fong Ying (le réparateur d’instrument), il essaye longuement les guitares est les luths. Il
pris le deuxième luth essayer et pris la quatrièmes guitare essayer.

Quatre mois plus tard Po Ya montre a sont maîtres une petite pièce de musique avec ses nouveaux
instruments.

Tch’eng Lien ne peut plus rien apprendre a Po Ya il l'envoyas donc chez sont propre maître qui s’appelle
Gang Tseu-tch’ouen qui habite dans la mer de l’Est, il pourra faire naître l’émotion dans l'oreille humaine
de Po Ya.

Tch’eng Lien a fait exprès de laisser Po Ya tout seul sur une île pour qu’il puisse améliorer sa musique
avec ses sentiment.
À la fin Po Ya devint le plus grand musicien du monde.

Troisième nouvelle : Où il n’est pas question d’amour de (Nina BERBEROVA)


Les étudiants de Saint-Pétersbourg et de Moscou mais aussi les chaires qui était occupé
par des professeurs en visite. Au théâtre municipal, où ont donné rêves d’amour qui est
une célèbre composition pour piano de Franz Liszt (1811–1008 cents 86) datant de 1850.

Et au théâtre des Variétés où on jouer Sylvia (l’un des grands ballet du répertoire créé à
Paris en 1876).

Un nouveau club ouvrir ses portes. C’était un public triés sur le volet qui était admis pour
les soirées dansantes (Il devait être masqué). Un petit journal fille également son
apparition : les amateurs de la vie élégante. Un studio sucré.

Maria Petrovna alla voir Rêve d’amour et entendre Limansky.


À l’entracte son émotion fait aussi grande qu’elle ne plus articuler un seul mot. Elle se
rendait toujours seul au concert, car elle aimé se concentrer.

Elle jouer du violoncelle quelque chose comme huit heures par jour pour en faire son
métier. Et c’est une enfant qui s’appelle Marie et qui vit en Russie.

Maria Petrovna héberge Timoféev (il était l’un des deux disciples de Bossman qui était le
chef d’orchestre de Limansky). Ils fut la connaissance à la soirée des futuriste.
Il pris l’habitude de l’appeler aussitôt après le dîner vers les huit heures il se m’étais à
parler, ils essayer alors dans le fauteuil elle au piano et parfois elle l’écouter jouer du
piano.

Il ne lui venait pas à l’idée de tomber amoureux, de vouloir la prendre dans ses bras; De
telles idées ne lui venait jamais à l’esprit et pourtant il est mauvais pas passé une seule
soirée sans qu’elle fut présente.

Il se disait qu’elle était parfaitement charmante, car il s’était avéré qu’elle avait cru en lui.
Le jour où il est parti Maria n’avait plus aucun goût même la musique ne la préoccupe pas
comme si tout ce qu’elle possédé, il avait emporté.
Elle s’était détaché de certaines choses, et ce qui se déverser du piano à queue noire lui
était devenu étranger. Elle ne se posait même plus la question de savoir si dans sa vie elle
avait été spolié, ou si c’était elle-même qui avait tout distribué, ou encore si, dès le début,
il n’y avait rien eu du tout.

Quatrième nouvelle : Le Nouvel Ami de ma mère de (Régine DETAMBEL)

On ne sait pas où se passe cette histoire, ni à quelle époque. Les personnages principaux
sont une fille et sa mère. La mère de la petite fille a une nouvelle fois rencontré un
homme, un mélomane et souhaiterait se marier avec lui.
Extrait choisi: « Le nouvel ami de ma mère était un grand mélomane et grand amateur
d'opéra. »
Le nouvel ami de ma mère était un mélomane et grand amateur d’opéra.
Le mélomane s’appeler Pierre, Il avait l’air gentil.
Il ne me couvrait pas de cadeau, ne tentait pas de m’apprivoiser en baissant la voix.
Pierre et sa mère écouter Mistinguett qui était une chanteuse de cabaret est actrice
française très populaire de (1875–1956), Ils disent que Mistinguett n’est pas une
cantatrice

Cinquième nouvelle : 9e et 13e de (Jonathan COE)

Il a du mal à croire qu’il suis resté déjà plus de 18 mois à l’angle de la 9e et la 13e qui
sont des rues parallèles de New York.
C’est le volet roulant du Perky Pig Diner and BBQ, sur le trottoir d’en face qui le réveil.
Peu après commence le barouf du rez-de-chaussée ; on transbahute des meubles, des
camions entre et sortent sous mes fenêtres, et la vibration des moteurs en surrégime est
tellement insistante que même quand il mets son casque et qu’il pousse le volume à fond,
il sent le sol trembler.

La musique que ça fait comme si il y a un piano dans le secteur qui vers le bas du clavier
deux Octave plus grave que le taux du milieu. Maintenez le petit doigt sur la touche,
tendait les autres doigts, allez, temps d’aller bien, de la de l’octave, jusqu’à ce que votre
pouce atteigne le ré. Et puis jouer les deux notes en même temps, et écouter l’écart. Voilà
ce qu’il entend de la 9e.

De la 9e et 13e : la musique de tous les possibles.


Il rencontre une femme qui se nomme Rachel et lui propose qu’elle vienne dormir chez
lui week-end n’avait pas d’endroit où dormir elle lui a dit qu’elle l’avait déjà entendu
jouer et elle lui dit « j’étais là depuis deux heures et… Voilà, quelqu’un qui joue du piano
comme vous et forcément un type bien.» et elle lui dit « J’aime beaucoup vos Dieu.»

L’homme s’appelle David et joue de temps entends au bar comme travail.

Cette nouvelle est une histoire au conditionnel d'un amour potentiel entre un pianiste de
bar new-yorkais et une cliente, l'admiration vouée au cinéaste Billy Wilder.
Sixième nouvelle : Le Musicien envieux de (Dino BUZZATI)

Le compositeur Augusto Gorgia est un homme envié, au sommet de la gloire est dans la
plénitude de son âge. Il se promener un soir seul dans son quartier et il entendit quelqu’un
jouer du piano dans un grand immeuble voisin. Il s’arrêta et écouteurs du coup de la
musique moderne différente de la sienne et celle que composer ses confrères.
Le musicien envieux, un compositeur riche et célèbre voit toutes ses illusions s’écrouler
lorsqu’il découvre qu’une nouvelle musique, géniale et révolutionnaire, est l’œuvre d’un
de ses amis dont la production était jusque-là méprisée.

Septième nouvelle : Le Duel de (Régine DETAMBEL)

Deux garçon se haissaient, ils étaient guitaristes d’un groupe de hard rock. Ils étaient
rivaux.
On ne connait pas leur prenom, il y avait un blond et un brun.
La personne qui parle est un guitariste de jazz dans un cabaret, ils restes amies avec les
autres musiciens.

Ils se voulait diaboliques et avaient une idole en la personne de Niccolo Paganini, il est
mort plus de 120 ans avant leur naissance.
Pour eux il était le meilleur et le plus grand musicien.
La nuit de sa mort il jouer comme un fou, debout, battant la mesure sur le plancher de sa
chambre.

Le blond et le brun avaient étudié sur leurs guitares éléctriques les 16e et 24e Caprices de
Paganini. Un jour, il sûr qu'il les était capable de jouer du Paganini, à la vitesse de
Paganini, avec l'audace de Paganini et son orgueil diabolique.
Il se battait à Manu guitare contre guitare. Il se placer face à face sur la scène, se brancher
sur le même ampli. Ils nous annoncèrent qu'ils allaient jouer le 24e caprice et qui le jouait
jusqu'à ce que l'un d'entre eux soit vainqueur.
L'heure doit s'étirer dangereusement, leurs phalanges en étaient toutes blanches. Puis ils
accélèrent. Le 24e caprice, il l'avait déjà joué 10 fois,16 fois.
Le brun perd et le blond gagne.
Le brun hurlait de douleur et de rage.
On ne sait pas s'il a guéri, s'il a pu se servir de sa main et de son bras. Il en conclut donc
d'une certaine façon, qu'il était mort. Il avait compris que d'une certaine façon, le blond
l'avait tué.

Huitième nouvelle : Un ménage de chanteurs de (Alphonse DAUDET)

On ne joue pas impunément avec le feu. On ne se dit pas 20 fois par mois : « Je t’aime ! »
sur des soupirs de flûte et des tremolos de violon sans finir par se prendre à l’émotion de
sa propre voix.

Elsa et Lohengrin se glissa entre les colonnes blanches du balcon des Capulets, où Roméo
et Juliette s’attardent sous des lueurs d’aude.
Que se passe-t-il quand un chanteur à succès épouse une jeune donzelle et qu'elle se met à
chanter d'abord aussi bien que lui, puis mieux ? Un texte qui peut être inspiré Bradley
Cooper et Lady Gaga…

Neuvième nouvelle : Que ma joie demeure de (Michel TOURNIER)

Le texte évoque l’histoire d’un enfant, musicien prodige, « blond, bleu, pâle,
aristocratique » que la puberté, comme obéissant au nom grotesque de Bidoche, en
décalage total avec le prénom évoquant l’archange Raphaël, métamorphose littéralement
en un adolescent à la « mâchoire prognathe », aux « grosses lunettes qu’une myopie
galopante lui imposait », à « l’expression d’ahurissement buté »

Bidoche accepte, pour gagner un peu d’argent, d’accompagner au piano le chansonnier en


qui il voit bientôt l’image de sa déchéance. Il a le sentiment d’être victime d’une
malédiction, ce qu’il exprime par la personnification de la puberté qui devient, comme
dans les contes en général, « la mauvaise fée Puberté ».

Raphaël Bidoche a l’impression de prostituer l’instrument sacré sur lequel il jouait les
chorals de Bach. C’est éperdu de honte qu’il accède à la gloire comme célèbre clown
musicien, avec son « faciès triste d’anthropoïde hagard, sa gaucherie catastrophique ».

L’adulte ici ne tient pas les promesses de l’enfant qui se rêvait musicien. Il se retrouve
clown, réalité dérisoire en opposition avec l’idéal sublime, même si elle s’accompagne,
dérision suprême qui souligne bien son caractère diabolique, de la célébrité et de l’argent.

C’est en effet un miracle de Noël qui assure la revanche du musicien sublime sur le clown
grotesque : la foule recueillie écoute le choral de Bach joué sur le vieux piano rafistolé du
cirque d’où s’échappait, non les saucissons, boudins, jambons prévus, mais l’archange
Raphaël lui-même qui empêche Raphaël de devenir tout à fait Bidoche.

Dixième nouvelle : Le Chanteur de jazz de (Marc VILLARD)

Renato Adami habite un immeuble modeste dans le quartier espagnol de Naples.


Un 2e étage via Armando Diaz.
Derrière la via Toledo en compagnie de son vieux copain Tommaso qui plaque des
accords sur un antique Yamaha.

Ce sont des musiciens qui joue au Club Nova, situé dans le quartier du Vomero.
Un homme au nom de Montesano demande un service personnel à monsieur Adami.
Renato chante en anglais il chante du jazz.

Montesano lui demande de chanter des chants typiques de la Camorra, la mafianapolitaine


comme (Sangu Chiama Sangu, I Cufurenti, Omerta, etc…).
En refusant de chanter les chants de la Camorra, Renato a signé entre « sa mort ! »
Il se fait virer du club ou il jouait, il passe devant le beurre de club qui est Désiré par
Chiara virgule la maîtresse des lieux remballe Renato. L'homme et la femme se
dévisagent en voyant Renato devant leur club.

Renato est à un mariage et il était témoins de ce mariage.


Depuis 30 min, Renato est collé à une belle blonde qui s'est présenté sous le patronyme de
Andrea.
Ils sont accaparés par un solo interminable et poisseux.
Renato se fait Embarqué par Andréa pour aller faire une balade.
Ils descendent dans la mointeur du soir vers les ruines.

Renato et Andrea s’embrasse et commence à se déshabiller mutuellement.


Un peu après quelqu'un lui dit « Renato je croyais que tu ne chantais pas de chanson
camorristes »
Il répondit quoi ?
Elle lui loge 2 balles dans le coeur et la nièce d’Attilio lui prend sa paire de Berlutin.

Onzième nouvelle : La Machine à jazz de (Richard MATHESON)

Le jazz n'est pas que de la musique, c'est aussi un langage.


Un engage né de la protestation arraché sur la forme d’un ragtime (genre de musque afro-
américain) sanglant aux entrailles de la colère du désespoir.

ce langage peut être une tonalité douce-amère, des instruments à anche où un martèlement
de corde. dans le coeur vibrant des pianos.

Monsieur teint de rose se penche et me balance «  j'ai une machine à déchiffrer le son qui
remontent des accents du jazz aux émotions qui les ont fait naître si dans ma machine je
joue un blues poignant du haut-parleur sort le sentiment humain qui a inspiré le blues et là
traduit dans les langues secrètes du jazz »

joueur et compositeur de jazz afro-américain ou juif : Goodman, Mezzrow, Spanier, et


bien d'autres encore homme ou femme.

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