Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
Promotion : 15
KZEIBER Hayat
BELAKRIDI Chaima
Lafarge est implanté au Maroc depuis 1928 date à laquelle a été créée la Société Marocaine des Ciments
Lafarge. Premier cimentier marocain, Lafarge Maroc dispose d'une capacité de production supérieure à 6
millions de tonnes et détient environ 40 % de part de marché. Lafarge Maroc possède deux filiales, Lafarge
Bétons et Lafarge Granulats. Son dispositif industriel comprend 4 sites de production : Bouskoura, Meknès,
Tétouan et Tanger. Outre Lafarge Maroc, Le secteur cimentier marocain compte quatre autres cimentiers,
Après, LafargeHolcim Maroc est né de la fusion en 2016 de Lafarge Ciments et Holcim Maroc, donnant
naissance au leader national des matériaux de construction. Cette fusion est la plus importante opération
financière réalisée par la Bourse des valeurs de Casablanca, soit un montant de 9,1 Md Dh.
LafargeHolcim Maroc 6, Route de Mekka Quartier les Crêtes 20150, Casablanca Maroc
www.lafargeholcim.ma
Représentants :
2500 salariés
1. Politique :
Suppression des taxes sur le ciment, l’acier et le sable en discussion : producteurs de matériaux de
construction taxés pas les produits importés.
2. Économique :
Difficile reconstitution des marges --> hausse des matières premières en 2017, des coûts de livraison, de la
demande des matière premières en Chine ...
Les difficultés économiques telles que Covid19 ont un impact sur le volume des ventes et les bénéfices dans
l'industrie du ciment.
En 2019, le secteur cimentier a bénéficié de conditions climatiques favorables au premier trimestre, ce qui a
permis de réaliser une progression exceptionnelle de 8% des ventes. Le reste de l’année a connu une
croissance plus modérée, soit 0,9%. Sur l’ensemble de l’année, la demande nationale de ciment s’est établie
à 13,6MT, en progression de 2,5% par rapport à 2018.
LES USINES LAFARGEHOLCIM MAROC DANS LE TOP 5 DES USINES LES PLUS
PERFORMANTES DU GROUPE
Les usines de Fès et Settat ont été classées dans le Top 5 Monde sur 173 usines du Groupe Lafarge Holcim
à travers le monde. Les usines de Tétouan et d’Oujda ont été classées dans le Top 10 Monde. Au niveau de
la région Middle East Africa, toutes nos usines sont classées dans le Top 10. Ces classements se basent sur
des critères de performances industrielles en matière : d’efficacité de coût de développement durable
Développer l’employabilité L’aide à la création d’emploi est l’un des piliers de la contribution de
LafargeHolcim Maroc au développement économique local. L’emploi direct n’est pas la seule façon d’y
contribuer : LafargeHolcim Maroc organise ou parraine de nombreuses formations pour adultes, allant de
l’acquisition de compétences fondamentales à celles de savoir-faire spécialises. LafargeHolcim Maroc a
également pour ambition d’encourager l’économie locale et de créer des emplois en travaillant avec des
fournisseurs et des prestataires locaux et en développant « l’écosystème » de chacun des sites.
LafargeHolcim Maroc est engagée dans le développement de l’employabilité́ à travers des actions
concrètes : - la préparation et le suivi de plans de développement des compétences, à la fois pour les besoins
propres et ceux des acteurs territoriaux, notamment dans le domaine de la construction pour les besoins
régionaux (maçonnerie, conduite d’engins,...), - le développement des systèmes de tutorat et de parrainage
pour accompagner l’évolution individuelle, - le développement des partenariats avec les écoles techniques et
les lycées professionnels, - la contribution au développement des entrepreneurs et acteurs économiques de
l’écosystème régional, par l’encouragement à la création d’activités génératrices de revenus. 2 300
Bénéficiaires EXEMPLE D
3. Social :
En 2019, sur ses différents sites, LafargeHolcim Maroc a mené de nombreuses actions dans le domaine de la
responsabilité sociale et sociétale. Plus de 110 000 personnes appartenant au cercle communautaire proche
des sites ont ainsi bénéficié d’actions mises en œuvre par les équipes dans l’un des domaines de sa politique
RSE.
CRÉER DE LA VALEUR POUR LES COMMUNAUTÉS LOCALES Le développement de LafargeHolcim Maroc est
lié à celui de ses communautés riveraines et sa réussite dépend de leur prospérité. LafargeHolcim Maroc
s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de responsabilité sociale et sociétale au travers de 4 axes
prioritaires : l’éducation de proximité et la lutte contre l’abandon scolaire, le développement de
l’employabilité, le partage de ses pratiques de sécurité et le soutien à l’accès aux soins pour les
communautés les plus proches et les plus démunies, les actions locales allant dans le sens de l’économie
circulaire. Les actions RSE de LafargeHolcim Maroc s’inscrivent toutes dans une optique de d
enveloppement à long terme et reposent sur des modes de travail harmonisé : un processus de dialogue
de proximité é permanent, avec une information mutuelle sur les projets, au travers des comité de liaison,
r réunissant à intervalles r réguliers des représentants de toutes les parties prenantes locales, une
approche territoriale donnant la priorité́ aux douars les plus proches des sites, puis la commune, des axes
de cold enveloppement prioritaires reposant sur l’analyse de la situation socioéconomique locale, des
moyens matériels et humains et une promotion du volontariat interne faisant de la responsabilité é sociale
et sociétale l’affaire de tous. En 2019, sur ses différents sites, LafargeHolcim Maroc a men é de
nombreuses actions dans le domaine de la responsabilité é sociale et sociétale. Plus de 110 000 personnes
appartenant au cercle communautaire proche des sites ont ainsi bénéficié d’actions mises en œuvre par les
équipes dans l’un des domaines de sa politique RSE. C
Agir en faveur de l’éducation de proximité́ et lutter contre l’abandon scolaire LafargeHolcim Maroc est
particulièrement engagée dans l’éducation de proximité ́ avec un objectif de lutte contre l’abandon scolaire
et notamment celui des filles. Cet engagement se traduit par des actions concrètes : Accompagner
l’évolution des lieux d’apprentissage - au travers d’un dialogue avec les directeurs d’école et les autorités :
- avec une priorité́ pour l’équipement des sanitaires et des cantines, - avec une attention aux équipements
favorisant l’apprentissage (bibliothèques, ordinateurs,...). Faciliter l’accès aux établissements scolaires aux
élèves les plus démunis avec : - une participation aux moyens de transport pour les élèves éloignes, - la
distribution de cartables, de fournitures scolaires et de matériels scolaires pour les écoles les plus proches.
Contribuer à lutter contre l’illettrisme - en milieu scolaire au sein des communautés pour les riverains, - sur
les sites de production pour les sous-traitants. 31 000 Enfants bénéficiaires.
4. Technologique :
Études sur l'incorporation de fibres photovoltaïques, sur l'impression 3D et sur des systèmes constructifs
composites bois-béton.
Remplacement de certains composants par des coproduits issus d'autres industries (laitiers, cendres
volantes...) = bétons moins polluants.
Recarbonations du matériau (réaction chimique de stockage du carbone dans les bétons) --> faible empreinte
carbone.
L’innovation, l’une des clés de développement ». C’est le message martelé par son PDG, Bruno Laffont, lors
d’une présentation de la stratégie du groupe en la matière, ce jeudi 11 avril. Lafarge a consacré l’an dernier
118 millions d’euros à la recherche et plus de 150 brevets ont été déposés entre 2010 et 2012.
« De fournisseur de solutions pour la construction, avec plus de nouveaux produits proposés et plus de
services », explique Bruno Laffont. Cette évolution, présentée comme « structurante » devrait permettre
de dégager un résultat brut d’exploitation (Ebitda) additionnel de 450 millions d’euros entre 2012 et 2015.
À comparer aux 856 millions d’euros d’Ebitda réalisé par l’ensemble du groupe l’an dernier.
L’urbanisation galopante
Cette année, le groupe table sur un supplément de 200 millions d’euros liés à l’innovation, au niveau du
résultat brut d’exploitation, contre 80 millions en 2012. Au total, Lafarge vise une augmentation de ses
ventes de plus d’un milliard d’euros, entre 2012 et 2015, grâce à ces nouvelles offres.
Offrir plus de valeur ajoutée, et dont réaliser plus de marges, est évidemment un moyen pour Lafarge de
compenser l’érosion de ses ventes en Europe et en Amérique du Nord, où il réalise encore 41 % de son
chiffre d’affaires. Les marchés y sont déprimés, avec peu de perspectives de croissance. Pour le numéro un
mondial du béton, c’est aussi une manière de répondre aux défis de l’urbanisation galopante, notamment
dans les pays émergents.
Un béton dépolluant
Des innovations, le groupe en a la pelle, toutes plus originales les unes que les autres. Lafarge espère ainsi
lancer l’an prochain un béton capable de recycler une partie des produits polluants contenus dans les gaz
d’échappement des voitures, même en sous-sol. Un essai grandeur nature sera ainsi effectué dans le
tunnel de la Croix-Rousse, à Lyon. « Le nouveau béton de Lafarge permet de piéger une partie des oxydes
d’azote (NOx), qui est le principal polluant automobile et de les dégrader par réaction chimique en simples
nitrates et nitrites », explique Carlos Espina, directeur de la recherche chez Lafarge.
Mais l’innovation n’est pas seulement une affaire de pays développés. « L’an dernier, on a lancé une
centaine de ciments nouveaux dans les pays émergents », affirme Bruno Lafont. Ainsi Bombay, en Inde,
dans le bidonville de Dharavi, qui compte un million d’habitants, Lafarge a mis au point un béton « à prise
retardée », produit dans une petite usine à deux kilomètres. Conditionné en sac de 15 kg, il a été conçu de
manière à pouvoir être transporté dans un triporteur et secoué sans altérer ses priorités. Résultat, les
habitants peuvent construire des maisons plus décentes et plus solides.
« Le prix est plus élevé, mais le chantier dure moins longtemps. Les gens qui ont, la plupart du temps, créé
un commerce en dessous de leur appartement peuvent l’ouvrir plus vite, rentabilisant ainsi l’opération »,
explique Philippe Mauran, qui a géré le projet et qui a également mis en place un programme de
microfinances. Le groupe a aussi développé dans le pays un procédé de ciment composé de terre végétale,
qui permet de résister aux pluies de la mousson.
5. Écologique :
Nombreuses inondations et tempête durant l’année 2018 : impact positif dans le secteur de l’entretien-
rénovation.
Dans un contexte marocain de stress hydrique, LafargeHolcim Maroc s’inscrit dans une démarche
d’amélioration continue pour trouver des solutions innovantes en matière de gestion de l’eau.
Consciente de l’importance de la réhabilitation des carrières après leur exploitation, LafargeHolcim Maroc
s’engage fermement à remettre en état les sites et carrières en fin d’exploitation afin de leur offrir une
seconde vie.
La politique environnementale de Lafarge Holcim Maroc repose ainsi sur la mise en place, au niveau de
chaque site, d’un Système de Management de l’Environnement (SME). Intégré et certifié ISO 14001 et
9001, ce système permet de renforcer la responsabilité de chaque entité mais également d’évaluer
l’impact environnemental à travers le cycle de vie des produits et solutions. Lafarge Holcim Maroc favorise
en outre le recyclage des déchets dans les procédés de production. Enfin, l’entreprise s’engage à
communiquer ses performances en toute transparence afin de partager et de promouvoir les meilleures
pratiques à adopter dans son secteur d’activité.
Lafarge Holcim Maroc œuvre activement pour faire face aux enjeux de la construction durable en
s’appuyant sur son centre d’innovation, le Smart Construction Lab (SCL), et met au point des produits et
solutions répondant aux enjeux liés à la durabilité des ouvrages, à l’amélioration de l’efficacité énergétique
des bâtiments, à la valorisation des matériaux locaux ou encore à l’utilisation des ciments à faible impact
carbone.
Réaliser des économies d’énergie tout en recyclant les déchets, telle est l’idée développée par Lafarge
Holcim Maroc il y a plus de 15 ans. Afin de privilégier les combustibles alternatifs à la place des
combustibles fossiles générateurs de CO2, Lafarge Holcim Maroc a créé Geocycle en 2007, une plateforme
dédiée au traitement des déchets. Première du genre au Maroc, cette plateforme s’inscrit parfaitement
dans une démarche de développement durable en répondant à des enjeux à la fois environnementaux et
économiques. Basée sur le principe de l’économie circulaire, Geocycle propose aux industriels des
solutions innovantes de traitement et de gestion globale de leurs déchets, limitant ainsi les émissions de
CO2 et autres nuisances significatives pour l’environnement. 218 KT Consommation de combustibles
alternatifs
Afin de réduire le prélèvement de matières premières dans l’environnement, Lafarge Holcim Maroc a
remplacé une partie des matériaux de base par des sous-produits d’autres industries. Les cendres volantes,
sous-produits des centrales thermiques à charbon, possèdent des qualités physiques qui permettent de les
utiliser dans le processus de fabrication du ciment en tant que matière de substitution. Cette pratique
réduit la pollution des sols, des nappes phréatiques et du milieu marin. Elle participe également à
l’économie des ressources naturelles ainsi qu’à la réduction des émissions de CO2
Consciente de l’importance de la réhabilitation des carrières après leur exploitation, Lafarge Holcim Maroc
s’engage fermement à remettre en état les sites et carrières en fin d’exploitation afin de leur offrir une
seconde vie. Avant chaque projet de développement, une étude d’impact environnemental est menée afin
d’identifier les actions susceptibles de préserver les ressources en eau ainsi que la qualité de l’air et du sol.
Au terme de leur période d’exploitation, les sites font tous l’objet de plans de réhabilitation. Ces
réaménagements conduisent Lafarge Holcim Maroc à végétaliser ces sites et replanter massivement des
arbres afin de rétablir l’équilibre écologique. Par ailleurs, afin de participer à la biodiversité végétale et
animale, Lafarge Holcim Maroc a procédé à l’installation de ruches au niveau de ses carrières à Bous Koura,
Meknès et Tanger, ainsi que sur les toits de son siège social.
6. Legal :
Projet de loi pour une économie circulaire : collecte, tri et recyclage des déchets du bâtiment.
Incertitude quant aux réglementations qui seront imposées à l'industrie du ciment à l'avenir.
NOUVELLES NORMES ENTREES EN VIGUEUR AU 1ER JANVIER 2019 Contrat de location - IFRS 16 - La
norme IFRS 16, Contrats de location qui remplace la norme IAS 17, Contrats de location ainsi que les
interprétations s’y rapportant. La nouvelle norme impose la comptabilisation de toutes les locations au
bilan du preneur, sous la forme d’un actif « droit d’usage » en contrepartie d’une dette financière. Le
Groupe a utilisé les mesures de simplification prévues par la norme pour ne pas tenir compte des contrats
de location dont le terme est inférieur à douze mois, ni ceux portant sur un actif de moins de cinquante
mille Dirhams. Les contrats de location du groupe LafargeHolcim portent essentiellement sur des véhicules
de transport et un nombre limité de dépôts et de terrains.
Impôts différés - IAS 12 - Conformément aux dispositions de la norme IAS 12 « Impôts différés », les
provisions pour impôts différés sont constituées selon la méthode du report variable et de la conception
étendue sur les différences temporaires entre les valeurs comptables des actifs et des passifs et leurs
valeurs fiscales. Les impôts différés sont calculés par application de la législation fiscale en vigueur. Les
actifs d’impôts différés ne sont constatés que si leur récupération est probable. La charge d’impôts
courants et différés est comptabilisée au compte de résultat de la période sauf s’ils sont générés par une
transaction ou un événement comptabilisé directement en capitaux propres
TOTAL II (F+G+H+I) 2 579 153 422,08 508 132 132,32 2 071 021 2 545 684 898,64
289,76
TRÉSORERIE
TRÉSORERIE ACTIF 142 448 033,55 2 538 076,34 139 909 957,21 79 919 106,53
Chèques et valeurs à encaisser
Banques, TG et CCP 142 315 146,28 2 538 076,34 139 777 069,94 79 513 134,31
Caisse, régie d'avances et accréditifs 132 887,27 132 887,27 405 972,22
TOTAL III 142 448 033,55 2 538 076,34 139 909 957,21 79 919 106,53
TOTAL GÉNÉRAL I+II+III 29 577 344 527,85 11 599 586 17 977 757 17 963 603
847,49 680,36 148,83
Prime d’émission, de fusion, d’apport 5 162 347 194,49 5 162 347 194,49
Ecarts de réévaluation
Report à nouveau
Total des capitaux propres (A) 9 016 080 788,47 8 945 091 381,63
CAPITAUX PROPRES ASSIMILéS (B) 122 494 068,17 189 846 659,08
Subvention d'investissement
PROVISIONS DURABLES POUR RISQUES ET CHARGES (D) 152 915 513,20 169 778 173,95
Provisions pour risques 29 985 288,30 27 112 950,07
Provisions pour charges 122 930 224,90 142 665 223,88
ECARTS DE CONVERSION-PASSIF (E)
Augmentation des créances immobilisées
AUTRES PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES (G) 148 218 684,21 108 685 372,74
ECARTS DE CONVERSION-PASSIF (Eléments circulants) (H) 1 667 983,79 1 771 958,98
Total II (F+G+H) 1 796 640 940,71 1 656 909 953,95
TRÉSORERIE
TRÉSORERIE-PASSIF 689 626 369,81 801 976 980,22
Crédits d’escompte
Crédits de trésorerie
689 626 369,81 801 976 980,22
Banques (soldes créditeurs)
Total III 689 626 369,81 801 976 980,22
TOTAL GENERAL I+II+III 17 977 757 680,36 17 963 603 148,83
2 3=1+2 4
I PRODUITS D’EXPLOITATION
Ventes de marchandises (en l’état) 2 417 878,05 2 417 878,05 1 721 084,73
Ventes de biens et services produits 7 708 146 658,25 7 708 146 658,25 7 615 057 519,70
Chiffre d’affaires 7 710 564 536,30 7 710 564 536,30 7 616 778 604,43
Reprises d’exploitation: transferts de charges 140 043 991,42 140 043 991,42
81 077
833,85
Total I 7 868 797 727,55 7 868 797 727,55 7 663 776 789,29
II CHARGES D’EXPLOITATION
Achats consommés de matières et fournitures 2 242 176 593,33 2 242 176 593,33 2 353 400 973,80
Autres charges externes 890 217 484,70 890 217 484,70 922 218 576,71
Dotations d’exploitation 987 997 834,00 987 997 834,00 954 284 255,12
Total II 4 808 896 498,87 4 808 896 498,87 4 886 788 050,97
I PRODUITS FINANCIERS
V
Produits de titres de participation et autres titres 9 487 967,92 9 487 967,92 19 000 000,00
immobilisés
Intérêts et autres produits financiers 3 658 466,84 3 658 466,84 6 049 608,82
Reprises financières ; transferts de charges 5 750 000,00 5 750 000,00 3 137 862,08
V CHARGES FINANCIÈRES
Charges d’intérêts 242 758 076,56 242 758 076,56 277 109 284,95
Dotations financières 109 134 669,80 109 134 669,80 120 445 042,77
Total V 355 210 619,05 355 210 619,05 429 400 983,99
Produits des cessions d’immobilisations 23 708 479,06 23 708 479,06 2 938 750,03
Subventions d’équilibre
Autres produits non courants 3 554 451,60 3 554 451,60 13 754 162,79
Reprises non courantes ; transferts de charges 77 107 309,71 77 107 309,71 151 689 161,44
Total VIII 104 370 240,37 104 370 240,37 168 382 074,26
cédées
Subventions accordées
Autres charges non courantes 109 573 704,95 109 573 704,95 193 185 183,73
Dotations non courantes aux amortissements et aux 103 491 195,15 103 491 195,15 15 053 203,94
provisions
Total IX 214 864 208,35 214 864 208,35 216 344 259,64
X RÉSULTAT NON COURANT (VIII-IX) (110 493 967,98) (47 962 185,38)
X RÉSULTAT AVANT IMPÔTS (VII+X) 2 617 136 835,84 2 348 252 812,97
I
X IMPÔTS SUR LES SOCIÉTÉS 1 007 055 694,00 890 120 307,55
II
X TOTAL DES PRODUITS (I + IV + VIII ) 7 996 108 162,11 7 880 786 107,57
I
V
TOTAL DES CHARGES
X 6 386 027 020,27 6 422 653 602,15
V (II + V + IX + XIII)
RÉSULTAT NET
X 1 610 081 141,84 1 458 132 505,42
V (Total des produits-total des charges)
I
Dette de
Éléments du Actif Actif Trésorerie Capitaux Dette de Trésorerie
Passif
retraitement : immobilisé circulant actif propres financement passif
Circulant
(chiffre en KDH)
Cumulé
+11 599 586
d’amortissement
847,49
et de provisions
Ecart de
conversion Actif -1 282 311,47 -1 282 311,47
(Partie Circulante)
Écart de
conversion Passif -1 667 983,79 -1 667 983,79
(Partie Circulante)
Total des
26 673 302,70 2 576 203,127 142 448.0335 20 555 721.32 6 352 915.513 1793 690.645 689 626.3698
redressements
En Pourcentage % :
TN = FDR – BFG
Totaux comptables nets 15 766 826 4 2 210 931 9 138 574 857 6 352 915 2 486 287
33.39 247 513 310
31/12/2019
MONT MONTA
ANT NT
A. ORIGINE DES B. AFFECTATION DES
RESULTATS A AFFECTER RESULTATS
. Réserve légale
. Report à nouveau . Autres réserves 171 127 880,06
31/12/2019
● Dans une vision financière l’entreprise LAFARGE ne dispose pas suffisamment de ressources
financières pour supporter l’intégralité de ses investissements, elle est donc sous-capitalisée car
elle ne peut pas financer l’ensemble de ses opérations courantes.
TN = FDR – BFG
Ratios Rapport N
Ressources 88.47% Les ressources permanent couvrent
Stables l’actif immobilisé de 88.47%, ce
1 Financement Structurel financement peut provenir du CP
Immobilisation ou des Dettes
s
Capitaux 42.22% Cela signifie que LAFARGE n’est
propres pas stable financièrement cad que
2 Autonomie Financière 57.58% sont des ressources par
Total Passif endettements
R Rapport N
a
t
i
o
s
(Clients et CR) HT x 58.68JR Un moyen, c’est un délai
360 S raisonnable, ce qui indique que
1 Délai de paiement des
Chiffre d'affaires l’activité de poste client est un
0 clients TTC peu géré.
Évaluation de risques :
À titre d’exemple, depuis 2009 les activités de Lafarge en Grèce et en Espagne ont été affectées par la
détérioration de l’environnement économique, notamment suite aux mesures de réduction budgétaire mises
en place par les gouvernements en raison de la crise de la dette souveraine dans la zone Euro. Ces deux pays
représentent ensemble environ 2 % du chiffre d’affaires du Groupe en 2014.
Lafarge a préparé des analyses internes de la demande mondiale potentielle portant sur ses produits en vue
de planifier et d’allouer ses ressources. Cette analyse de la demande mondiale portant sur le ciment est
décrite aux Sections 1.3.1 (d) (Les marchés) page 35 et 2.1.2 (Perspectives et prévision d'Ebitda pour 2015)
page 48. Lafarge anticipe en 2015 une croissance de la demande de ciment sur ses marchés comprise entre 2
% et 5 % par rapport à 2014, avec une stabilisation des marchés en Europe à des niveaux bas, une reprise
progressive en Amérique du Nord et la poursuite de la croissance dans la plupart des pays émergents.
L’inflation des coûts devrait se maintenir à un rythme similaire à celui de 2014, ce qui devrait se traduire par
des prix globalement en hausse. Lafarge poursuit sa stratégie d’extraire toute la valeur de ses positions
existantes, notamment à travers ses programmes de réduction.
Les activités de Lafarge sont fortement consommatrices d’énergie (électricité, charbon, coke de pétrole, gaz
naturel et fuel). Or les prix de l’énergie ont varié et peuvent varier encore de façon significative,
essentiellement du fait des conditions de marché et d’autres facteurs hors de contrôle. Dans l'environnement
concurrentiel des marchés de Lafarge, l'évolution des prix de vente suit le rapport entre l'offre et la demande.
La hausse des coûts de l’énergie a en effet été depuis plusieurs années un facteur significatif d’érosion des
marges, en particulier dans les pays émergents où elle s’ajoute à l’inflation structurelle des coûts salariaux
ainsi que des coûts de production et logistiques.
Lafarge porte donc une attention particulière à la répercussion des variations des prix de l'énergie sur les prix
de vente. Il est néanmoins très difficile de fournir des données pertinentes sur le taux de répercussion des
variations des prix de l’énergie sur les prix de vente.
À noter que Lafarge est présent dans des marchés où le prix de l’énergie est réglementé. De plus, la
disponibilité de certaines ressources énergétiques peut évoluer dans certains pays.
Un certain nombre de mesures sont prises en vue de maîtriser les moyens relatifs aux coûts énergétiques,
sans pour autant préjuger de leur pleine efficacité :
Une partie des approvisionnements est contractée à moyen terme. Par ailleurs, la politique de centralisation
des achats au niveau du Groupe permet de mettre en concurrence les fournisseurs afin d’obtenir les
conditions les plus compétitives. Néanmoins, les contrats d’approvisionnement contiennent souvent des
clauses d’indexation, et il n’est pas toujours possible de se protéger des fluctuations des prix énergétiques.
De même, les contrats à prix fixe conclus en période de prix élevés pénalisent l’acheteur lors d’éventuelles
baisses des prix ;
Dans certains cas, Lafarge couvre son exposition au risque de variation des coûts énergétiques par
l’utilisation d’instruments financiers principalement swaps et options, sur des marchés organisés ou de gré à
gré ;
En outre, Lafarge diversifie ses combustibles, notamment en développant le recours à des combustibles
alternatifs comme la biomasse, les huiles usagées, les pneus usés et d’autres matériaux recyclés ou résidus
industriels, ce qui réduit l’exposition aux augmentations de prix des combustibles fossiles et permet de
réduire la facture énergétique.
La disponibilité des matières premières nécessaires (calcaire, gypse, granulats et autres) est un facteur
essentiel pour la pérennité et la rentabilité des activités du Groupe, et constitue un élément clé pris en
considération lors des acquisitions.
La non-obtention, le non-renouvellement ou la perte de ces droits fonciers et miniers (ainsi que de tout autre
permis, droit ou licence nécessaire à la poursuite de nos activités) ou l’expropriation due à des évolutions
législatives, réglementaires ou politiques locales, pourraient avoir un impact négatif sur les résultats ou le
développement des activités.
Lafarge pratique une gestion active des terrains et des sites de production en exploitation ou en attente
d’exploitation, ainsi que des différents permis, droits ou licences s’y rapportant, de façon à sécuriser ses
activités dans le long terme.
Lafarge dispose en général soit de droits de propriété soit de droits d’exploitation à long terme portant sur
les réserves de calcaire, de gypse, de granulats et d’autres matières premières employées par ses activités
industrielles. Ce facteur est pris en compte lors des investissements.
Par ailleurs, Lafarge utilise de plus en plus de matières premières dérivées d’autres processus industriels et
obtenus auprès de fournisseurs extérieurs au Groupe, telles que le gypse synthétique, le laitier ou les cendres
volantes.
Lafarge n’est généralement pas en situation de dépendance vis-à-vis des fournisseurs de ces matières
premières et cherche à sécuriser l’approvisionnement par des contrats à long terme renouvelables et des
accords-cadres apportant une gestion plus sûre de ces approvisionnements. Dans certains pays, des contrats
de courte durée ont néanmoins été conclus.
Si ses fournisseurs actuels étaient amenés à cesser ou réduire la production de ces matières premières,
Lafarge devrait alors assurer son approvisionnement à un coût qui pourrait être plus élevé ou à rechercher
des matières premières de remplacement.
Les marchés dans lesquels Lafarge est présent sont soumis à une concurrence très vive. Cette concurrence,
qu’elle provienne d’acteurs établis sur le marché ou de nouveaux entrants, pourrait faire perdre des parts de
marché, augmenter les coûts ou réduire les prix et les marges, chacune de ces conséquences pouvant
pénaliser l’activité, la situation financière, les résultats opérationnels ou les perspectives du Groupe.
Ce risque est toutefois partiellement compensé par certaines spécificités de nos marchés qui ne se réduisent
pas au seul arbitrage entre prix et volumes.
L’industrie cimentière est caractérisée par sa forte intensité capitalistique, ce qui peut limiter le nombre
d’acteurs potentiels sur certains marchés en raison des lourds investissements nécessaires pour offrir des
produits et services attractifs.
Par ailleurs, les réglementations environnementales contraignantes d’un certain nombre de pays où Lafarge
est présent pour l’obtention de permis d’exploitation constituent une autre spécificité de nos marchés. Les
actions de marketing et d’innovation de Lafarge permettant de développer de nouveaux produits, services et
solutions et constituent des facteurs significatifs de différenciation par rapport aux offres de nos concurrents.
Enfin, l’incidence significative du coût de transport, ou encore la faible obsolescence technique de l’outil
industriel contribuent à la recherche de positions de marché à la fois proches des clients et s’inscrivant dans
la durée.
Les processus industriels de Lafarge sont bien maîtrisés et les produits, ciment, granulats et béton ne sont
d’ordinaire pas considérés comme des matériaux dangereux. Néanmoins les activités de Lafarge sont
naturellement soumises aux lois et règlements relatifs à l’environnement et la sécurité, et à l’interprétation
que peuvent en faire les autorités et juridictions compétentes. Celles-ci imposent des obligations, des
restrictions et des mesures de protection de plus en plus rigoureuses concernant, entre autres, l’utilisation des
terrains et des produits, la réhabilitation, les émissions atmosphériques, le bruit, les déchets et l’eau, la santé
et la sécurité.
Les coûts relatifs au respect de ces lois et règlements pourraient augmenter dans certaines juridictions,
notamment en cas d’adoption de réglementations nouvelles ou plus contraignantes, ou de modification dans
leur interprétation ou condition de leur application.
Par ailleurs, le non-respect de ces réglementations pourrait entraîner des sanctions notamment financières à
l’encontre de Lafarge.
Les risques liés à l’environnement et auxquels Lafarge est exposé peuvent être illustrés par les exemples
suivants concernant l’Allemagne. Ce pays a récemment mis en place une réglementation, qui prendra effet
en 2018, limitant les émissions de NOx à des niveaux très bas qui ne peuvent être atteints sans équipements
spécialisés très coûteux de contrôle de la pollution de l’air.
Un autre exemple, typique de la tendance lourde vers la limitation des émissions d’origine humaine, est la
convention multilatérale Minimata, comportant des obligations légales pour réduire les rejets de mercure
dans l’environnement. Cette convention négociée sous les auspices du PNUD réglemente les émissions de
mercure et l’impact de l’industrie sur l’environnement. Bien que Lafarge s’efforce de mettre au point des
solutions en réponse à ces évolutions, il reste difficile, à ce stade, de prévoir leur impact sur les résultats.
Les standards internes mis en œuvre au niveau du Groupe permettent l’intégration des risques
environnementaux dans le cycle de management et un système de reporting cohérent et unifié a été mis en
place afin de mesurer et contrôler la performance environnementale des activités. Ces procédures ne peuvent
néanmoins fournir une garantie absolue contre ces risques.
Lafarge est implanté mondialement et les sociétés le composant sont tenues au respect des législations et
réglementations nationales et régionales, différentes selon les pays d’implantation. Dans le cadre de ses
différentes activités, Lafarge est, ou est susceptible d’être, impliqué dans de nombreux litiges, procédures
judiciaires, arbitrales et administratives et “actions de groupe”. De nouvelles procédures pourraient être
engagées à l’encontre de sociétés du Groupe à l’avenir.
Lafarge et ses filiales sont ou pourraient être confrontés à diverses plaintes ou demandes relatives à des
acquisitions réalisées au cours des années précédentes, y compris de la part d’actionnaires minoritaires.
À l’occasion des cessions réalisées au cours des années précédentes, Lafarge et ses filiales ont accordé des
garanties d’usage notamment en matière comptable, fiscale, sociale, de qualité produite, de litiges, de
concurrence, et d’environnement.
Lafarge et ses filiales ont reçu et pourraient recevoir encore à l’avenir des demandes de mise en jeu de ces
garanties.
Aspects financiers
Les principaux actifs de Lafarge S.A., société mère du Groupe, consistent en des participations directes ou
indirectes dans ses différentes filiales.
Certaines filiales sont situées dans des pays qui peuvent être soumis à un régime de contrôle des changes
restreignant la distribution de dividendes hors de ces pays.
À notre connaissance, à l’exception de la Corée du Nord, aucun des pays dans lesquels Lafarge est présent
n’interdit les distributions de dividendes.
Par ailleurs, les distributions de dividendes ou transferts d’autres flux provenant des filiales du Groupe
peuvent également être limités en raison de conventions de crédits ou d’engagements divers en vigueur au
niveau des filiales et/ou de contraintes fiscales qui rendraient ces distributions ou transferts difficiles ou
onéreux.
Si les contraintes issues de ces réglementations et engagements limitant les distributions de dividendes
augmentaient de manière significative et simultanément dans un nombre important de pays dans lesquels le
Groupe est présent, sa capacité de distribution de dividendes pourrait être affectée.
RISQUES FINANCIERS
Lafarge est exposé à différents risques de marché qui pourraient impacter négativement sa situation
financière ou sa capacité à faire face à ses engagements financiers. En particulier, la capacité d’accès de
Lafarge aux marchés financiers et bancaires visant à couvrir les besoins de financement ou de refinancement
de sa dette pourrait être affectée par la détérioration des marchés financiers ou la dégradation de sa notation
financière. Au 31 décembre 2014, la dette nette de Lafarge, incluant les options de vente octroyées aux
minoritaires et les instruments dérivés, s’élevait à 9 310 millions d’euros. À la même date, la dette brute
s’élevait à 11 410 millions d’euros, dont 2 045 millions d’euros avait une échéance inférieure à un an. Dans
le cadre d’une stricte discipline financière, Lafarge poursuit des actions visant à améliorer sa structure
financière. Cependant, aucune assurance ne peut être donnée sur la capacité de Lafarge à mettre
effectivement en œuvre ces actions ou sur la nécessité de prendre d’autres mesures.
Risque de liquidité
Lafarge est exposé à un risque de ressources financières insuffisantes à la poursuite de ses activités. Des
politiques visant à limiter l’exposition au risque de liquidité ont été définies. Conformément à ces politiques,
une part importante de l’endettement est à moyen et long terme. De plus, Lafarge a souscrit des lignes de
crédit confirmées auprès de diverses banques, affectées en priorité à la couverture de ses échéances à moins
d’un an et de ses financements à court terme, afin de garantir la disponibilité de liquidités selon ses besoins.
Nous estimons, compte tenu de nos projections financières actuelles, que Lafarge disposera des ressources
financières suffisantes à la poursuite de ses activités, tant à court terme qu’à long terme. L’incapacité à
maintenir un dispositif de liquidité suffisant pourrait avoir un impact négatif sur la situation financière, les
résultats et la capacité de Lafarge à refinancer la dette existante.
RISQUES DE MARCHÉ
Dans cette section, les passifs financiers sont présentés hors options de vente octroyées aux minoritaires.
Risque de change
Lafarge et ses filiales sont exposés à des risques de change en raison notamment des engagements
commerciaux d’achat et de vente conclus dans d’autres monnaies que leur monnaie fonctionnelle.
La politique du Groupe est de couvrir toutes les expositions significatives au risque de change transactionnel
par des instruments dérivés, au plus tard lorsqu’un engagement ferme est connu ou conclu. Ces instruments
dérivés consistent généralement en des contrats à terme et des options de change standard, d’une durée
généralement inférieure à un an. En outre, les flux futurs exprimés en devises étrangères sont
occasionnellement couverts quand ces flux sont hautement probables. Lafarge ne conclut pas de contrats de
change à d’autres fins que de couverture.
Lafarge est exposé à un risque de taux d’intérêt sur ses passifs financiers et ses liquidités. Son exposition à
ce risque peut être sous- divisée en plusieurs catégories de risques, décrites ci-dessous :
Risque de cours pour les éléments d’actif et de passif financiers à taux fixe :
Lorsque par exemple une dette à taux fixe est contractée, il y a un coût d’opportunité en cas de baisse
ultérieure des taux d’intérêt. Les variations de taux d’intérêt ont un impact sur la valeur de marché des
éléments d’actif et de passif à taux fixe, tandis que le produit financier ou la charge financière associés
restent inchangés ;
Risque de flux de trésorerie lié aux éléments d’actif et de passif à taux variable :
Les variations de taux d’intérêt ont peu d’impact sur la valeur de marché des éléments d’actif et de passif à
taux variable, mais influent directement sur les flux de produits ou de charges futurs du Groupe.
Conformément à ses politiques, Lafarge s’efforce de gérer ces deux types de risques, en ayant notamment
recours à des swaps de taux d’intérêt et à des contrats de taux à terme. Le département Trésorerie gère les
financements et la position en matière de taux d’intérêt dans le cadre de la politique définie en termes de
répartition taux fixe – taux variable des passifs financiers.
Toutes les équipes de LafargeHolcim Maroc sont mobilisées pour continuer à servir les
clients dans les meilleures conditions et ainsi limiter les impacts sur la performance
financière. Dans ce contexte difficile pour notre pays, LafargeHolcim Maroc poursuit
sa mission de société citoyenne et responsable en contribuant avec un montant de 500
millions de dirhams au Fonds Spécial de lutte pour la gestion de la pandémie.