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Nous voudrions adresser avec plein de respect en reconnaissant tous ceux qui
nous ont aidé à accomplir ce travail dans les meilleures conditions.
In order to improve the working conditions and to increase the production’s rate,
CIBEL decided to automate the supply chain process of production by empty
cans. To achieve its goal, our project aims to automate and supervise the
depalletizer CITEGA of Maquinaria Conservera Tomás Guillén. To realize this
goal we started by the functional analysis of the specifications, then we
modeled the system by GEMMA and GRAFCET.
Vue l’énorme évolution de l’industrie, les entreprises essaient d’améliorer les facteurs de
compétitivité. Cette compétitivité passe par la qualité, la maîtrise des coûts et l’innovation.
L’entreprise donc cherche à progresser sa qualité, simplifier le travail de l’humain, accroître la
productivité, optimiser l’énergie, augmenter la sécurité et économiser ses ressources.
Parmi les moyens qui permettent d’atteindre ces objectifs on trouve le pilotage et la
surveillance des systèmes de l’entreprise en temps réel.
C’est dans ce cadre que s’inscrit notre projet de fin d’année au sein de la société CIBEL, il
consiste à automatiser et superviser la station de dépalettisation des boîtes de conserve vides,
dans le but d’améliorer les performances et la qualité de la production.
Notre projet s’est articulé autour de 5 grands axes, le premier axe concerne l’identification de
la problématique et la méthodologie du travail, le deuxième axe s’intéresse a L’étude du
besoin et l’analyse du cahier des charges, le troisième axe porte sur la Modélisation du
système par GEMMA et élaboration des GRAFCETS en suite le Choix de la technologie et
l’environnement de la programmation du système. Finalement, on passe a l’automatisation et
supervision de la station de dépalettisation des boites vides de conserve sous TIAPORTAL
V14.
La société CIBEL est une société anonyme au capital de 24 488 000 MAD, elle opère
principalement dans deux secteurs d’activité :
Au cours de ces dernières années, elle s’est dotée des nouvelles technologies de pointe afin
d’être à la pointe du progrès et assurer la satisfaction de sa clientèle diversifiée et de plus en
plus exigeante.
La société CIBEL emploie actuellement 200 salariés permanents et environ 700 saisonniers.
Cette société est considérée comme faisant partie des grandes industries de la région et
contribue positivement au développement de la région du sud. [Réf.1]
La fiche technique de la société est représentée sous forme de tableau suivant : [Réf.2]
C.N.S.S. N°2061480.
Fax 0548.20.52.40/20.40.80.
E-mail cibel@iam.net.ma
Années Evénements
CIBEL est présidé par un PDG, sous sa tutelle un directeur de département farine et huile de
poisson, sa direction gère 3 autres départements et chacune a une structure hiérarchique
linéaire.
La figure suivante montre l’organigramme de la société CIBEL : [Réf.2]
Président directeur
général
Directeur
département farine
et huile de poisson
Résponsable Résponsable
hygiène maintenance
Magasinier pièces
de rechange
Résponsable de
fabrication
Magasinier du
produit fini
Stockage et
expédition
Cuisson Cette opération consiste à
Emboitage éliminer les boites
La cuisson est l’une des présentant un défaut, puis
Une fois les poissons sont principales opérations. Elle se empaqueter et étiqueté les
préparés et nettoyés, on traduit par une boites selon le type et la
procède au remplissage, déshydratation partielle de la
destination. Ensuite, les
celui-ci s’effectuera chair, car en provoquant la
boites sont acheminées au
manuellement de façon coagulation des protéines, et
magasin pour les stocker à
uniforme, avec une elle libère une partie de l’eau
de constitution des tissus. la température ambiante.
quantité de produit
appropriée.
Marquage de
fond
Réception Stérilisation
Jutage et
Préparation Sertissage
Emboitage Stockage et
L'alimentation de la chaine de expédition
production par les boites
vides se fait manuellement,
cela induit les pertes et la
déformation d'une quantité Cuisson
importante, ainsi la
diminution de la cadence de
la production.
Afin de limiter le problème montré dans la figure au-dessus, la société CIBEL a pensé
d’automatiser la procédure par une station de dépalettisation des palettes des boites vides.
Au titre de notre projet, nous allons faire l’étude sur la station de dépalettisation des boîtes de
conserve vides, elle consiste à dépiler les palettes pleines afin d'alimenter la chaîne de
production par les boîtes. Cette machine est supposée d’être automatisée.
Le service technique a mis à notre disposition un dépalettiseur « Citega » en acier inox,
construit par l’entreprise « Maquinaria Conservera Tomás Guillén » qui est présenté dans la
figure suivante :
La contrainte rencontrée est le manque de la documentation. C'est pour cela nous avons
élaboré une méthodologie spéciale pour traiter ce genre de problème et de réussir dans notre
but.
Pour être bien organisés, surtout au niveau chronologique, nous avons élaboré un calendrier
prévisionnel sous forme d’un diagramme de GANTT. (Fig.6)
Cela nous permet de bien répartir les tâches du travail et de fixer chacune de ces tâches son
délai de réalisation en tenant en compte les contraintes entre eux.
Durant notre stage, nous avons rencontré des contraintes qui ont affecté sur notre plan. (Fig.7)
D’après le diagramme du GANTT réel, nous pouvons remarquer que les délais prévus sont un
peu respectés.
Conclusion
En général, Notre démarche est constituée d’abord d’une analyse fonctionnelle, afin de définir
davantage la problématique en utilisant des techniques spécifiques dédiées à ce genre de cas.
Ensuite, la modélisation de fonctionnement du système par les Grafcets, en prenant en compte
les différents modes (Automatique, Manuel, Alarmes, Initialisation, …). Enfin, la
programmation de la machine et la conception d’un pupitre interactif qui nous permet de
suivre le flux de données et le pilotage de système dans tous les niveaux (Fonctionnement
normal, Diagnostic, Maintenance, etc…).
La méthode bête à cornes est une méthode mondiale pour la conduite des projets. C’est la
première phase de la conception d’un cahier des charges fonctionnel.
Elle nous permet d'exprimer le besoin sans la considération a priori des solutions, en se basant
sur différentes contraintes de ce projet.
La figure suivante représente le diagramme bête à cornes de la station de dépalettisation.
La société CIBEL a vraiment besoin d’un dépalettiseur des boîtes vides au début de sa chaîne
de production, une étude de l’environnement de ce système après son installation dans l’usine
est nécessaire.
Après l’identification des fonctions principales et contraintes du système, nous les détaillerons
davantage pour savoir les équipements technologiques responsables qui les satisfirent.
Le diagramme de FAST permet d’identifier tous les entrées (capteurs) et sorties (actionneurs)
de la machine et son fonctionnement.
Au vu de l’ensemble de ces méthodes qui viennent d’être exposés, on comprend que la phase
d’analyse fonctionnelle est absolument essentielle pour la bonne compréhension du système.
Après avoir fait l’analyse fonctionnelle on passe à la modélisation du système par GEMMA et
en suite par GRAFCET.
Avant élaborer les grafcets du système. Il est très important de le modéliser par l’approche
graphique qui s’appelle GEMMA (Guide d’étude des modes de marche et d’arrêt). Cet outil
nous permet de décrire les différents modes du système en prenant en compte tous les états
rencontrés lors de son fonctionnement. Effectivement, les modes qui répondent à notre cahier
des charges sont les suivants :
Clef :
Il est nécessaire pour gérer les différents modes de la commande et les structurer. Ce grafcet
peut s’appeler un maître, Parce qu’il impose les autres grafcets quand ils doivent être activé et
la façon de s’arrêter en prenant en compte la sécurité. Le grafcet de conduite est représenté
dans la figure suivante :
Le Grafcet de mode normale du système correspond à dépiler les palettes des boites de
conserve vides.
Le système est complexe, il faut distinguer les différentes procédures pour que l’une ne
coïncide pas avec l’autre lors de fonctionnement.
Les principales procédures sont présentées dans la figure suivant :
Les entrées et les sorties du système sont définit précédemment en utilisant le diagramme de
FAST, cela nous permet à décrire clairement son fonctionnement normal. Le tableau suivant
illustre les éléments de la station de dépalettisation :
Les moteurs 1 et 3 se démarrent pour déplacer la palette jusqu'à ce que le capteur T1 s'active,
c'est à dire jusqu’elle soit bien positionner au niveau d'élévateur.
Ensuite la palette se déplace verticalement (Moteur 2). Dans ce stade, on distingue deux cas:
Quand le vérin atteint sa fin de course, le convoyeur se démarre. Quand le vérin se retourne à
sa position initiale, le convoyeur s'arrête.
- Cas 2 : Après que la pelette soit vide, L'élévateur descend la pellette et le moteur 3 se
démarre pour faire sortir la palette vide hors du système.
Le schéma suivant montre la localisation de chaque moteur dans le système :
Son rôle est de vérifier dans le désordre les différents actionneurs du système, il peut être
utilisé aussi pour la production manuelle.
Le fonctionnement manuel du système est donné dans la figure suivante :
Boutons :
MT1 : TEST déplacement horizontal. MT5 : TEST fonctionnement de Vérin.
MT2 : TEST élévation d’élévateur. MT6 : TEST fonctionnement de convoyeur.
MT4 : TEST descente d’élévateur. BT : Bouton d’arrêt de convoyeur.
Dans ce grafcet, nous testons : Moteur 1 (Système poulie-courroie 1), Moteur 3 + barrière 1
(Système poulie-courroie 2), Moteur 2 (élévateur), Moteur 4 (Vérin) et Moteur 5 + barrière 2
(Convoyeur).
Le rôle de ces grafcets est l’auto-détections des défaillances en temps réel et le déclanchement
des alarmes au raison de les maintenir, cela induit l’augmentation de la durée de vie de la
machine, l’amélioration de sa performance et la minimisation du temps d'indisponibilité.
Les figures suivantes illustrent chaque mode de diagnostic et alarme :
Ce grafcet permet de réinitialiser les actionneurs du système : Arrêter les deux systèmes
poulie-courroie (Moteur 1 et 3), initialiser les deux vérins rotatifs (barrière 1 et 2), retourner le
vérin à son état initial (Moteur 4) et descendre l’élévateur (Moteur 2).
Le GRAFCET d’initialisation est le suivant :
L’arrêt total de la machine se fait par une clique sur le bouton d’arrêt d’urgence, la
désactivation de ce dernier provoque le redémarrage de la machine.
Le GRAFCET d’arrêt d’urgence est le suivant :
Conclusion
Après avoir élaboré le GEMMA et les GRAFCETS du système, le choix de la technologie et
l’environnement de la programmation en termes de la performance, de coût et les contraintes
est nécessaire.
2. Constitution de l’API
L'API est structuré autour d'une unité de calcul ou processeur, d'une alimentation par des
sources de tension alternative (AC) ou continue (DC), et de modules dépendant des besoins de
l'application, tels que : [Réf.4]
Des cartes d'entrées et sorties numériques (TOR) pour des signaux à 2 états ou analogiques
pour des signaux à évolution continue.
• Cartes d'entrées pour brancher des capteurs, boutons poussoirs, etc.
• Cartes de sorties pour brancher des actionneurs, voyants, vannes, etc.
- Des modules de communication obéissant à divers protocoles comme Modbus, Profibus,
Ethernet, RS232, RS-485, AS-i…, pour dialoguer avec d'autres automates, des entrées/sorties
déportées, des supervisions ou autres interfaces homme-machine (IHM).
- Des modules spécifiques aux métiers, tels que comptage rapide, pesage, etc.
- Des modules d'interface pour la commande de mouvement, dits modules Motion, tels que
démarreurs progressifs, variateurs de vitesse, commande d'axes.
- Des modules locaux de dialogue homme-machine tels qu'un pupitre (tactile ou avec clavier),
un terminal de maintenance, reliés à l'automate via un réseau industriel propriétaire ou non et
affichant des messages ou une représentation du procédé.
La figure suivante montre la constitution de l’API :
En contrepartie, ils sont plus chers que des solutions informatiques classiques à base de
microcontrôleurs par exemple, mais restent à l'heure actuelle les seules plateformes
d'exécution considérées comme fiables en milieu industriel (avec les ordinateurs industriels).
Le prix est notamment dépendant du nombre d'entrées/sorties nécessaires, de la mémoire dont
on veut disposer pour réaliser le programme, de la présence ou non de modules métier. De
plus ils nécessitent la maîtrise de langages spécifiques. Ces langages apparaissent toutefois à
beaucoup d'utilisateurs plus accessibles et plus visuels que les langages informatiques
classiques.
- Le temps de cycle : certains automates ont des temps de cycle plus rapides face à d'autres,
ce qui peut être important pour des systèmes nécessitant une certaine réactivité.
- Le critère de renommé : certaines marques d'automates sont plus connues que d'autres ce
qui témoigne de leur qualité de service.
- Le critère de coût : pour de petit projet d'automatisation, il est préférable de choisir des
micro ou mini automates. Le coût se varie selon le projet que nous souhaitons à réaliser.
A part le critère de prix qui fait partie des critères les plus considérés lors du choix d'un
automate, le choix définitif dépendra du cahier des charges, des spécificités techniques du
projet, et aussi sursa disponibilité sur le marché.
Dans notre cas, la société CIBEL dispose d’un Automate Siemens S7-300 du type CPU
315-2 PN/DP, ces caractéristiques sont : Mémoire de travail de 256 ko, 0,01 ms/1000
instructions, interface PROFINET et MPI/DP combiné (maître MPI ou DP ou bien esclave
DP), communication S7 (FB/FC chargeables), contrôleur PROFINET IO, il comporte 1 port,
PROFINET et PROFINET Proxy CBA, protocole de transport TCP/IP, compatible avec les
interfaces homme-machine, configuration multirangée pouvant comporter jusqu'à 32 modules,
cycle équidistant du bus DP et Firmware de version V2.6.
Après le choix de l’API, nous devons également identifier les modules d’entrées et sorties
TOR selon le nombre de variables, ainsi un module d’alimentation, nous avons configurer :
- Un module d’alimentation du type PS 305 5A.
TIA PORTAL (Totally integrated automation portal) est un logiciel conçu par SIEMENS qui
réunit tous les systèmes d'ingénierie pour l'automatisation dans un environnement de
développement unique. C’est le premier logiciel d'automatisation de l'industrie à se satisfaire
d'un seul environnement pour toutes les tâches d'automatisation, cela permet de faire des
économies de temps, d'argent et de travail. Il peut être utilisé à la fois pour : [Réf.6]
- L’ingénierie des automates SIMATIC S7 : la programmation des fonctions technologiques
en utilisant différents langages offerts par ce logiciel, la configuration du réseau entre
automates (Réseaux industriels, identification maitre/esclave …), le diagnostic et la
simulation, …
- La configuration des SIMATIC HMI Panels (Pupitres) ou stations PC pour la surveillance
et le pilotage des systèmes automatisés.
La figure suivante représente les caractéristiques du logiciel TIAPORTAL :
FC sont des blocs de code sans mémoire. Après l’exécution, les dernières valeurs des
variables sont mises à zéro. Par contre, les FB sont des blocs qui mémorisent durablement
leurs valeurs d’entrée et sortie dans des blocs de données d'instance (DB), pour qu'il soit
possible d'y accéder même après leurs exécutions. [Réf.7]
Nous choisissons de programmer en utilisant les FB, afin d’assurer le bon fonctionnement des
Grafcets, surtout le Grafcet d’initialisation (car il nécessite de savoir les états de chaque
actionneur pourles réinitialiser), ainsi pour mémoriser les valeurs de comptage des boîtes et
palettes.
Il s’exécute une seule fois, juste au redémarrage de l’automate. Pourtant, notre intérêt de ce
bloc est de mettre en état initial tous les actionneurs de la machine lorsqu’on redémarre
l’automate. C’est-à-dire, au niveau de notre programme, l’OB100 déclenche le bloc
fonctionnel (FB) d’initialisation dès le démarrage.
Après l’exécution de l’OB100, c’est le traitement de l’OB1 qui démarre.
Compilation et simulation du programme :
Il est le bloc de code de niveau supérieur dans le programme, dans lesquels on peut appeler
d’autres blocs (FB). Il s’exécute cycliquement.
TIAPORTAL V14 offre une cohérence accrue et réduit le risque d'erreur. Des compilateurs
haute performance pour tous les langages de programmation garantissent des temps
d'exécution optimaux.
Une fois notre programme est compilé sans erreur, nous devons le simuler pour la
visualisation du comportement du système vis-à-vis les différents modes de fonctionnement.
Le système de simulation de TIAPORTAL V14 « S7-PLCSIM V14 » offre une aide efficace
au développement de programmes et à leur utilisation en production.
Les 3 figures suivantes montrent les étapes qu’on a suivi pour simuler notre programme :
La société CIBEL se situe dans la zone industrielle d’ANZA Agadir, près de la mer, cette
zone est connue par une ambiante humidité, ce qui induit à l’usure et la dégradation rapide
aux équipements de l’usine. Ainsi, CIBEL possède un nombre important des moteurs et
variateurs de vitesse, ces derniers génèrent des perturbations électromagnétiques puissantes,
cela cause le disfonctionnement des cartes électroniques en général et aussi sur la mal
communication entre les équipements dans un réseau industrielle, pour éviter ces problèmes
nous avons choisis le pupitre SIMATIC panel du famille « COMFORT ».
Ce genre du pupitre est dédié à l’environnement sévère, comme les chambres froides, les
navires, le secteur pétrolier ou gazier, etc. Ils offriront : [Réf.8]
• Une face avant robuste, de grande longévité, et résistante aux ultraviolets.
• Des écrans de 7 et 15 pouces, avec réglage automatique de la luminosité, et permettant une
utilisation dans toutes les conditions d’éclairage.
• Une utilisation quel que soit le lieu ou le secteur, avec une large plage de températures (–
30°C à +60°C), et une humidité relative de 90 % max.
Pour notre projet nous avons choisis le pupitre « TP900 Comfort » du référence SAV2 124-
0JC01-0AX0 V14, ses caractéristiques se voit dans la figure suivante :
2.3.2 Accueil
La vue principale, elle permet d’accéder aux différentes vues : Mode systèmes, régulation
écran et la gestion des utilisateurs. (Fig.37)
Cette vue permet de calibrer l’écran et le nettoyer automatiquement selon l’état d’utilisateur.
Par exemple, si ses mains sont mouillées, ou il porte des gants, l’écran s’adapte
automatiquement. (Fig.38)
Seul l’administrateur a l’accès à cette vue. Par cette option, il crée les comptes d’utilisateurs
qui auront l’accès à cet IHM. (Fig.39)
Cette vue donne la possibilité soit de choisir le mode automatique ou manuel ou bien de
visualiser les données calculées par l’automate et les alarmes. (Fig.40)
Cette vue (Fig.43) permet de visualiser les défauts du système lors de son fonctionnement,
pour que l’opérateur ou technicien responsable agit au bon moment. Le tableau se réagie selon
l’état des grafcets des alarmes et diagnostic, chaque de ces grafcets et lié à un message
d’alerte. Elle affiche aussi la durée de défaillance et donne la possibilité d’archiver les
données.
Cette vue est très importante car elle contribue directement sur la maintenance corrective.
Enfin, nous sommes persuadés que ce stage a tout à fait sa place dans notre
enseignement, et qu'il présente des atouts au niveau technique et au niveau
professionnel.
Référence 1 : www.cibelmaroc.com
Référence 3 : Hugues MarchatLa gestion de projet par étapes Analyse des besoins, Edition
d’organisation EVYROLLES, 2008, p222
Référence 4 : www.wikipedia.com
Référence 5 : www.automatismetech.blogspot.com
Référence 7 : www.Automation-sense.com