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L’INGENIERIE
01 Février 2021
Chapitre 1 : L’environnement de la règle
de droit
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02 février 2021
La règle de droit est GAI cela signifie qu’elle s’applique à toute les
individué d’une société donner sans distinction et de la même manière en
définitive elle ne vise pas les personnes elle-même mais les situations
juridiques dans les quelle elle se trouve Ex article 1591 du code civil : « Le prix
de vente doit être déterminer et designer par les parties » ce texte concerne
toutes les personnes lier par un contrat de vente. Le caractère général abstrait
et impersonnel ressort ici très clairement de la situation fréquente intéresse
toute la population
2- Caractère Modeste
La règle de droit est modeste en ce sens que c’est une simple règle de
conduite social elle a pour but uniquement d’organiser la vie en société et de
Régir les comportements humains par conséquent ce n’est ni une règle de
perfectionnement de l’individu ni une règle de salue. Ce caractère permet de
distinguer la règle de droit des règles morale et religieuse. Tandis que le droit
vise à organiser la société et les relations qui s’établissent entre les personnes
qui la compose, la morale et la religion concernent essentiellement l’individu.
La règle morale tant au perfectionnement de l’individu et a l’épanouissement
de sa conscience
Droit et morale entretiennent des rapports étroits par exemple la norme
qui interdit de tuer est à la fois juridique et moral (et même religieuse).
Toutefois, il convient de bien distinguer ces deux types de règles afin de
rechercher les critères du juridique. Diverses observations peuvent alors être
formuler : une première différence entre la règle de droit et la morale se situe
au niveau de leur source, la règle de droit puise sa source dans l’autorité qui
s’est vu reconnaitre le pouvoir de légiférer. La règle de morale quant à elle
résulte de la révélation divine ou de la conscience individuel ou collective. Le
2eme critère de différentiation du droit et de la morale se trouve au niveau du
contenu des règles, la règle de morale précise se qu’il convient de faire ou de
ne pas faire ceci en référence à une vise fondamental de l’homme. Elle définit
un idéal de conduite tant vis à vie d’autrui que de soit même
La règle de droit par contre est nettement moins exigeante elle assure l’ordre
et la paix et ne se soucie pas de la perfection
Enfin le troisième critère de différentiation du droit et de la morale se situe au
niveau des sanctions, la violation de la règle de la morale reçoit une sanction
intérieure celle de la conscience et celle de la règle de droit est externe et
infliger par l’autorité contraignante exercer par le pouvoir publique
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SECTION 2 : LES BRANCHES DU DROITS
1- Fondement et intérêt
a- Fondement
Cette distinction oppose ce qui relève du domaine priver et ce qui relève de la
vie publique, celle de la cité. Au 18eme siècle, MONTESQUIEU définissais le
droit publique comme « les lois dans le rapport qu’ont ceux qui gouvernent
avec ceux qui sont gouverné »et le droit priver comme « les lois dans le rapport
que tous les citoyents ont entre eux »
b- Intérêt
Il existe au moins deux intérêt a l’opposition entre le droit public et le
droit privé, d’abord les juridictions qui tranche les litiges ne sont pas les mêmes
les litiges entre personne privé sont tranchés par les juridiction judiciaires
exemple le tribunal de grande instance et de première instance en revanche, la
chambre administrative de la cour suprême, les litiges qui relèves du droit
public sont de la compétence des juridiction administrative exemple le tribunal
administratif. Enfin, il existe des mécanismes juridiques propre au droits
publique exemple réquisition expropriation
2- Droit public
Le droit public comprend l’ensemble des règles qui dans un état donner
ont pour objet l’organisation de l’états et des collectivités publiques, la gestion
des rapports de l’état avec les autres états et des rapports de l’état avec les
particuliers. Il se subdivise en plusieurs branches : dans l’ordre international il
comprend le droit le droit international public et les institutions
internationales. Le droit international public organise les rapports des états
entre eux en tant que puissance publique. Les institutions internationales
étudient les grandes organisations internationales.
Dans l’ordre interne, le droit public comprend les matières suivantes : Le
droit constitutionnel et le contentieux constitutionnel, les régimes politiques
(parlementaires, présidentiels) le droit administratif et le contentieux
administratif, le droit électorale, le droit fiscal, les finances publiques etc.
Le droit constitutionnel détermine les règles relatives à la forme de
l’états, a la constitution du gouvernement et des pouvoir publics, a la
dévolution des pouvoirs. Exemples les règles qui commande ou détermine
l’élection du président des députe ou sénateurs relève du droit constitutionnel
Le droit administratif règlemente l’organisation des collectivité publiques
(l’états lui-même, les régions, les département, arrondissement, les
communes). Exemple : droit de la fonction public, règlementation des services
public.
Le droit financier comprend les règles relatives au finances publics, on y
range les finances publiques et la fiscalité. Exemples : les règles relatives à
l’adoption du budget de l’état.
Le droit pénal institut et aménage le droit de punir tel qu’il appartient à
la société et tel qu’il est exercé en son noms par ses organes qualifier dans le
cadre de la procédure pénal a certains égards, le droit pénal a des liens avec le
droit priver car il protège les particuliers dans leurs vies, dans leurs honneurs et
leurs propriétés
3- Le droit privé
Le droit priver est constituer de l’ensembles des règles qui gouvernent
les rapports des particuliers entres eux ou avec l’état qui s’est mis en civil, les
rapports entre les collectivités priver entre elle et avec les particuliers.au
départ, le droit priver n’étais constituer que du droit civil. Sous l’influence des
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mutations social, des portions s’en sont détachés pour former d’autre discipline
du droit privé. Parmi ces nouvelles disciplines, on range le droit commercial, le
droit du travail, le droit de la consommation etc. Dans l’ordre international, les
matières du droit priver sont : le droit du commerce international, le droit
international privé, le droit international du travail.
Dans l’ordre interne, il est constitué du droit civil et des matières qui s’en
sont détaché
Le droit civil a pour objet la règlementation des rapports de droit priver
sur la base de la liberté et de l’égalité des parties. Parmi les disciplines du droit
civil ont cité : le droit des obligation le droit de la famille et du mariage, le droit
des personne le droit des biens, les successions (droit successoral) et libéralité.
Le droit commercial décrit et analyse le statut et les activités des
entreprises industriels et commercial. Exemple droits des actes de commerce
droit des sociétés.
Le droit du travail regroupe les règles relatives au rapport individuels et
collectif née à l’occasion de la relation de travail. Exemple : le droit du contrat
de travail, droit de la grève, droit de la durée de travail.
3- Le droit communautaire
Par droit communautaire on désigne un corps de règles et de solution en
constante expansion, qui s’est développé à la faveur des regroupements des
Etats qui partagent un espace géographique commun ou qui se sont composé
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un espace juridique commun. La droite commune aire est née en Europe à la
faveur de la construction européenne et plus spécialement de la création du
marché commun européen commun par le traité de Rome
Introduction
Les textes sont les sources du droit produites par les corps conspuer de
l’état. Qui sont varier(A) et entre eux il existe une hiérarchie(B)
a- La constitution
Dans la catégorie des textes supra législatif, la constitution est le texte de
base de tout pays, elle contient l’ensemble des règles destine à assurer dans un
pays la dévolution et l’exercices des pouvoirs. Elle indique les différents qui
gouvernent le pays et les rapports entre ces pouvoirs. Elle contient des
principes d’orientation de toute la vie juridique du pays dans tous les domaines
c’est le guide de tous les textes applicables dans le pays. Elle doit être respect
par tous les pouvoir constituer dans le pays, chaque pays souverain a sa
constitution. La constitution camerounaise actuel au sommet de la hiérarchie
des normes interne a été promulgué le 18 janvier 1996.elle contient des
dispositions relatives à l’existence, a la structure et au fonctionnement des
pouvoirs publics. Son préambule proclame l’attachement du peuple
camerounais à des principes et valeurs universelles contenues dans les textes
protecteurs des droits de l’hommes comme la charte des nations unies, la
déclaration universelle des droits de l’hommes du 10 décembre 1948, la charte
africaine des droits de l’homme et des peuples. Toute les lois doivent respecter
la constitution et le conseil constitutionnel est garant du respect par la loi de la
constitution avant sont entré en vigueur (article 86 de la constitution du 18
janvier 1996).
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b- Les traité et accord internationaux
On désigne par trqiit2 et accord internationaux des textes négocié et
adoptés entre les Etats pour régler les questions qui les sont communes. Ces
conventions peuvent être multilatéral ou bilatéral. Les convention multilatéral
sont des textes négocier et adopter entre plusieurs Etats, la plupart des
conventions multilatéral viennes des nation unies et de leurs institutions
spécialisé (exemple DUDH du 10 décembre 1998, le pacte international relatif
au droit civil et politique du 16 décembre 1966, les conventions de l’OIT, le
pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturel du 16
décembre 1966) d’autre sont sous régional(exemple le traité fondateur de
l’OHADA en 1993 à l’ile Maurice, la charte africaine des droit de l’homme et des
peuples de 1981 en
Les convention Bilatéral quant à elles sont des accords conclus entre
deux états. Les traité et accord internationaux occupe une place intermédiaire
entre la constitution a laquelle il ne doivent pas être contraire et les lois interne
qui doivent leur être conformes il, faut signaler que la suprématie conférer au
engagement internationaux ne s’applique pas à l’ordre interne aux dispositions
ayant valeurs constitutionnels.
Les traités et accord internationaux qui concernent le domaine de la loi
ne prennent effet qu’après avoir été approuvé par une lois et ratifier par décret
présidentiel. S’il contienne une close contraire à la constitution, l’autorisation
de ratification ou d’approbation ne peux intervenir qu’après la révision de la
constitution : article 44 de la constitution.
Les traités ou accord internationaux régulièrement approuver et ratifiés
ont dès leur publication une autorité supérieur a celle des lois sous réserve
pour chaque accord ou traité de son application par chaque partie (principe de
la réciprocité). Une des applications du traité est le droit uniforme OHADA qui
résulte des acte uniforme adopté par les Etats membre de l’organisation pour
l’harmonisation en Afrique du droit des affaires. Ces textes se substitue au
droits national et permettent au Etas membres d’avoir une législation
identique : ce qui élimine les conflits des lois dans les domaines harmonisés
2- Les lois
Au sens large, la loi désigne tous texte de portée général, impersonnel et
obligatoire émanent de l’autorité publique. Par autorité publique, il faut
entendre le parlement ou le gouvernement. Ce sens englobe la loi au sens
stricte(a) les ordonnances(b) et les règlements(c).
b- Les ordonnances
Les ordonnances sont des textes de portée générale, impersonnel et
obligatoire pris par le président de la république sur habilitation du parlement
dans les matières qui relèvent du domaine de la loi. Celle-ci entre en vigueur
dès leur publication par le président de la république. Elles sont déposées sur le
bureau de l’assemblé national et du sénat au fin de ratification dans un délai
fixe par la lois d’habilitation elle on valeurs de règlement tant qu’elles n’ont pas
été ratifiés et on valeur de lois une fois ratifiés. Elle demeure en en vigueur tant
que le parlement n’a pas refuser de la ratifié.
c- Les règlements
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C’est un texte de porte général impersonnel et obligatoire manant du
pouvoir exécutif c’est-à-dire du président de la république, du premier
ministre, des membres du gouvernement et des autorités administratives. Dans
cette catégorie, on range les décrets, les arrêtés et les circulaires.
Les décrets sont les textes les plus élevé dans la hiérarchie des
règlements ils sont de la compétence exclusive du président de la république et
du premier ministre (exemple la règle qui fixe le montant du SMIG).
Les arrêtés sont des textes hiérarchiquement inferieures au décrets. Les
arrêtes émanent aussi bien du président de la république, du premier ministre
des ministres des gouverneurs des présidents de conseils régionaux, préfet, des
sous-préfets, des Maires. Les arrêtés facilitent l’application des lois.
Les circulaires sont des textes par lesquels les autorités administratives
donnent des instructions a des fonctionnaires et agents de l’états pour le
fonctionnement du service. Entre ces diffèrent texte juridique il existe une
hiérarchie
Sous-section 2 : La jurisprudence
Sous-section 1 : la coutume
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B- Le rayonnement de la coutume
Sous-section 2 : la doctrine
La doctrine désigne les opinions émissent par les auteurs dans les travaux
juridiques au cour des quel il propose des solutions au problèmes juridique
rencontré dans la société c’est l’œuvre de la production du droit par les
auteurs.
Elle se manifeste par des œuvres qui ont une nature et des formes
variables sa peut être les traité, les ouvrages généraux, les ouvrages spécialisés,
les manuel, les articles, les notes chroniques.
Plusieurs solutions juridiques ont été proposé par les auteur avant d’être
utilisé par la jurisprudence. Exemple : Georges Ripert a construit la théorie de
l’abus du droit.
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Par contre, les conditions d’entré en vigueur des textes varient celons
qu’il s’agit d’un texte international ou d’un texte interne.
Dans l’ordre interne, l’entré en vigueur d’un texte varie celons qu’il s’agit
d’un règlement ou d’une loi au sens stricte. Les règlements qui sont l’œuvre du
pouvoir exécutif entres en vigueur dès l’instant de leur publication et sont
exécutoire par nature.
Par contre, les lois n’entrent pas en vigueur du seul fait qu’elles ont été
voté par le parlement elles doivent respect » des conditions d’entré en vigueur
(sous-section 1), dès qu’elle entre en vigueur, elle acquiert une force
obligatoire (sous-section 2).
Vigueurs de la loi
Une difficulté peut naitre de ce que le texte publié par le journal officiel
ce trouve entaché d’inexactitude auquel cas la pratique prévoit de faire
paraitre un rectificatif dit Erratum (Errata au pluriel). Un rectificatif corrigeant
l’erreur ou l’omission qui affectait le texte publié.
Pour ce qui est de la date d’entrée en vigueur de la lois, il faut noter que
si la publication est une condition d’efficacité des textes soumis à cette
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formalité, cela ne signifie pas que la date de leur entre en vigueurs coïncide
nécessairement avec celle-ci.il en vas autrement en principes, c’est que la
finalité de la publication (permettre aux citoyens de prendre connaissance du
nouveau texte) impose qu’un certain temps s’écoule entre la date ou elle
intervient et celle d’entrer en vigueur de la lois nouvelle.
La difficulté est régler l’orque le texte fixe lui-même la date de son entré
en vigueur qui doit nécessairement être postérieur a celle de la publication.
Exemple : le code de procédure pénal a prévu un délai assez long qui a par la
suite été repoussé pour son entre en vigueur afin de permettre à chacun et en
particulier au juriste qui aurons à l’appliquer le comprendre et d’en prendre la
mesure exacte.
Des lors que la loi est promulguée et publiée, elle devient obligatoire. Elle
s’impose à tous ceux qui sont sur le territoire. Ce caractère obligatoire de la loi
est souligné par la maxime « nul n’est censé oublier la loi » elle signifie que des
lors qu’une loi a été promulgué et publié, une personne se trouvant se trouvant
sue le territoire de l’Etat ne peut invoquer l’ignorance de celle-ci pour se
soustraire à son application cette maxime exprime une présomption de
connaissance de la règle de droit qui pesé sur tous les sujets de droit. Elle vise à
assurer l’application effective de la règle de droit par tous ce qu’elle concerne.
La présomption a pour résultat que nul ne peut échapper à l’application de la
loi sous prétexte de son ignorance de celle-ci. Ainsi entendu, la présomption
est générale : elle vaut pour toute les règles de droit quel que soit leurs
supports formels : lois ou règlements.
Le principe nul n’est censé ignorer la loi qui vise à imposer l’application
effective du relai de droit se situe dans la logique même de l’idée de droit.
Celui-ci ayant pour finalité d’organiser la vie en société. De ce point de vus,
cette fin serait manquée ou au moins compromise si chacun pouvait en ce qui
le concerne privé la lois d’effets en établissant qu’il n’en à Pa eu connaissance.
C’est une exigeante de sécurité publique de prévisibilité et de certitude des
situations juridiques de sur quoi il garantie l’égalité des citoyens devant la loi.
Cette présomption importante apparait finalement comme une règle qui
ne s’applique pas sur des donné réelles car la connaissance de la loi pour
certaines personnes demeure une véritable illusion du fait que très peu de
personne sont au courant de l’existence d’un journal officiels et de manière
général des lois publié. De même la multiplication, la technicité et parfois la
mauvaise rédaction des lois ne les rend pas toujours accessible aux citoyens.
Seul les spécialistes par une étude approfondie des lois, domaines par
domaines accèdent à la connaissance de la loi et des règles de droit en général.
Pour la plupart des citoyens, la présomption de connaissance de la loi est une
véritable fiction.
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Le principe de la force obligatoire de la loi entré en vigueur souligner par
la règle « nul n’est censé ignorer la loi ne vas pas sans nuance comme le
montre la distinction loi imperative et loi supplétive.
Les lois impératives encore dites prohibitives sont celle qui ne peuvent
en aucune façon être écarté par les sujets de droit. Il en est ainsi des lois qui
organise le mariage, le divorce, le repos hebdomadaire, les congés payé en
droit du travail. Les lois impératives sont celle qui sont porteurs des intérêts
essentiels de la société elles sont d’ordre publics c’est-à-dire des conventions
auquel on ne peut déroger. Et si tel est le cas c’est parce qu’elles englobent les
principes et toutes les règles que le législateur juge essentielle pour le bon
ordre de la société et qui de ce fait s’impose au respect de tous.
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enfants adultérins étaient interdites. Depuis ce texte, elle est possible et la
question est de savoir si ce texte s’applique au enfant née à partir de 1981 ou si
ceux née avant 1981 pourrait se voir appliquer le nouveau texte.
Il est posé par l’article 2 du code civil qui dispose la loi ne dispose que
pour l’avenir, elle n’a point d’effet rétroactif » d’après ces faits, la loi ne
s’applique qu’à des faits commis après son entré en vigueur. Ce texte pose un
principe général de non rétroactivité des lois qui empêche qu’une nouvelle loi
s’applique à des faits commis avant sont entré en vigueur. La doctrine justifie
ces principes par un souci de sécurité juridique et de préservation de l’ordre.
Enoncé dans une lois ordinaire (article 2 du code civil), il ne s’impose pas
au législateur qui a toujours la faculté d’y déroger.
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être appliqué par le juge conformément a l’article 2 du code civil » la
jurisprudence a admis qu’il s’agissait d’une règle d’ordre publics qui peut être
invoqué a tout état de la procédure et que les tribunaux doivent appliqué
d’office même si aucun plaideur ne s’en est prévalu. Le moyen tiré de sa
violation peut être soulevé pour la première fois devant la cour suprême qui
peut même le relever d’office.
Ce sont celle qui s’applique au fait commis avant leur entré en vigueur.
On les retrouve tout d’abord en droit pénal. Le principe en cette matière est
que les lois pénales plus douces ont un effet rétractiles lois pénal plus douces
sont celle qui supprime une infraction ou diminue une sanction, elles sont
d’application immédiates. Cette exception se fonde sur une double
considération : d’une ^part l’orque le législateur estime inutile de maintenir
une sanction sévère pour un comportement délictueux déterminé, il n’y a
aucune raison de l’appliquer a des faits antérieurs a la loi nouvelle ; d’autre
part, ce principe vise essentiellement la protection des libertés.
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