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Rapport de stage

Effectue : A la direction provincial des impôts, Meknès

Encadré par : M. MAGHFOUR EL HASSEN

Suivi par : M. FERTAS ABDELAH

Présentée par : OMAYMA MOFID


SOMMAIRE

Remerciement…………………………………………………………………………………..2

Introduction……………………………………………………………………………………..3

PARTIE I : PRESENTATION DE LA DIRECTION GENERAL DES


IMPOTS…………………………………………………………………………………………….. 4

SECTION I : Définition……………………………………………………………………….. 4

SECTION II : missions et organisation……………………………………………… 4

SECTION III: Organigramme …………………………………………………………….8

PARTIE II : CHAMP D’APPLICATION des Droits


D’ENREGISTREMENT………………………………………………………………………… 9

SECTION I: LES DROITS D’ENREGISTREMENT………………………………….. . 9

1-Définition………………………………………………………………………………………. 9

2-EFFETS DE LA FORMALITE DE L’ENREGISTREMENT…………………… …9

3- ACTES ET CONVENTIONS IMPOSABLES : …………………… ……………….10

4- EXONERATION : …………………… …………………… ………………………………12

5-DELAI D’ENREGISTREMENT: …………………… …………………… ………15

SECTION II : BASE IMPOSABLE ET LIQUIDATION et TARIF ………………16

1-Liquidation…………………………………………………………………………………...16

2- LES TARIFS Les droits d’enregistrement……………………………………...19

Conclusion ………………………………………………………………………………………25

1
REMERCIEMENT

Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, je


tiens sincèrement à remercier ceux qui m’ont beaucoup apprit au cours
de mon stage au sein de La DPI Meknès, et même à ceux qui ont eu la
gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable, j'ai l'honneur
de présenter mes profonds remerciements à Monsieur le chef du
Service Provincial des Ressources et du Système d'Information (Mr.
Mohammed LIMAMI). Et mes profonds remerciements à : Mme Asmae
pour avoir accordé de l’importance à nos dossiers. ’’ Mme Kenza
Benchekroun-M. Bachiri Hafid- Mme Naima Azami –M. Khalid Jwihare-
Mme Abassi Fatima-M. Alaoui Moulay Rchid-Mme Mouna Bakri -M. Said
Hriri-Mme Zaydoun Atika-Mme Dehhani Zahra-Mme Ouazzani Chahidi
Hala--M. Khalid El Malki’’. Elle m’est particulièrement agréable
d’exprimer ma gratitude et mes remerciements à Mr. MAGHFOUR
ELHASSAN chef de service. Pour leurs conseils pertinents et
encadrements qui m’ont aidé tout au long de ma formation, et pour les
conseils qu'ils ont pu me prodiguer au cours de mon stage. Sans leurs
collaborations je n’aurais jamais pu passer mon stage dans les
meilleures conditions et je n’aurais jamais pu arriver à l’objectif de mon
stage.

2
Introduction
Ce rapport retrace le déroulement de mon stage d’application au sein de DPI
Meknès (service d'enregistrement), dans laquelle je me suis engagée durant une
période allant 01-02-2019 au 28-02-2019

L'impôt constitue un des prélèvements obligatoires effectué par voie


d’autorité par la puissance publique (l'État et les collectivités territoriales) sur les
ressources des personnes vivant sur son territoire ou y possédant des intérêts.
Sans contrepartie directe pour le contribuable, ce prélèvement est destiné à être
affecté par l'intermédiaire des budgets publics aux services d'utilité générale. Dans
les États démocratiques, le pouvoir de fixer, de lever et d'affecter l'impôt est de la
compétence exclusive du pouvoir législatif. Trois paramètres essentiels permettent
de caractériser un impôt : l'assiette, le taux et les modalités de recouvrement

Dans la mesure où l'impôt est un prélèvement obligatoire, récurrent, et sans


contrepartie, sur une quantité de biens, il a toujours existé, sous une forme ou une
autre, et ce depuis l'existence de l'homme en communauté.

Et Dans la terminologie fiscale, l'enregistrement désigne une formalité


accomplie par un agent public à l'occasion d'un acte ou d'un fait juridique,
notamment de la mutation d'un bien immeuble ou meuble, d'un décès, d'une
instance judiciaire etc. Les droits d'enregistrement désignent les impôts ou taxes
perçus à l'occasion de cette formalité. Cette fiscalité indirecte qui correspondait bien
à l'état d'une société où les fortunes étaient stables et où les gens déménageaient
peu, a perdu de son importance au milieu du XXe siècle.

Le droit d’enregistrement est une formalité à laquelle sont soumis les actes
et conventions soit obligatoirement, soit sur option. Il donne lieu à la perception d’un
impôt dit «droit d’enregistrement ».

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PARTIE I : PRESENTATION DE LA
DIRECTION GENERAL DES IMPOTS

SECTION I : Définition

La direction générale des impôts (DGI) est une direction du Ministre de


l’économie et des finances. Sa principale mission consiste à assurer le
recouvrement et la gestion des recettes fiscales. A ce titre, elle détermine les bases
sur lesquelles sont prélevés les impôts d’Etat (TVA, IS, IR, DROITS
D’ENREGISTREMENT), ainsi que certains impôts locaux gérés pour le compte des
collectivités locales (notamment taxe d’habitation, taxe des services communaux,
taxe professionnelle). Elle est chargé de lutter contre la fraude fiscale, fournir au
gouvernement une expertise fiscale, notamment dans le cadre de l’élaboration des
lois de finances et de la négociation des conventions fiscales avec les Etats
étrangers, et de représenter le Maroc au niveau des instances fiscales
internationales.

SECTION II : missions et organisation

I. Missions :

Asseoir les impôts d’Etat, les recouvrer, veiller à la bonne application de la loi
et gérer pour le compte de collectivités locales l’assiette de certains impôts locaux
tels sont les principales missions de la DGI :

1) Asseoir et recouvrer les impôts d’Etat :

La DGI détermine les bases sur lesquelles sont prélevés :

- Les impôts d’Etat (impôt sur les sociétés, impôt sur le revenu, taxe sur la
valeur ajoutée, droits d’enregistrement et timbre)

- Certains impôts locaux gérés pour le compte des collectivités locales (taxe
d’habitation, taxe des services communaux et taxe professionnelle)

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Les recettes de l’administration fiscales se chargent de l’encaissement des
recettes des impôts, droits et taxes.

S’assurer du respect de la loi fiscale et lutter contre la fraude fiscale :

Le système fiscal marocain est globalement déclaratif. La mission de


contrôle occupe donc une dimension très importante. Le contrôle fiscal s’opère
dans le cadre d’une procédure stricte observant les garanties offertes aux
assujettis. Il a un rôle dissuasif et pédagogique. Il est exercé :

- Sur pièces, dans les locaux des services fiscaux, par les gestionnaires des
dossiers des contribuables qui procèdent à l’examen des déclarations déposées, à
travers le recours aux renseignements et documents qu’ils détiennent.

- Sur place, par les inspecteurs-vérificateurs qui se rendent auprès des


contribuables pour vérifier la sincérité des éléments déclarés, en les rapprochant
des écritures et documents comptables.

Fournir au gouvernement une expertise fiscale notamment dans le cadre de


l’élaboration des lois de finances et de la négociation des conventions de non
double imposition avec les états étrangers :

La DGI est ainsi chargée d’étudier et d’élaborer les projets de textes


législatifs et réglementaires à caractère fiscal. Elle élabore également, en
concertation avec les différents opérateurs avec les différents opérateurs
économiques, les circulaires d’application relatives aux textes fiscaux.
L’administration fiscale étudie en outre les questions d’interprétation des
dispositions fiscales et informe sur les réponses apportées.

2) Objectifs stratégiques :

La DGI s’inscrit dans une stratégie de performance et d’innovation pour


assurer la mobilisation des ressources avec équité et garantir un service de qualité
au citoyen. La vision stratégique de la DGI exprime la détermination des femmes et
des hommes qui la composent, à relever de nouveaux défis. Elle dresse la feuille
de route qui guide leurs priorités et leurs actions Elle consolide leur vocation de
service au citoyen et les recentre sur les impératifs de performance dans la collecte
5
des ressources budgétaires. La vision stratégique de la DGI repose sur quatre
orientations :

Construire une relation de partenariat et de confiance avec le contribuable :

- Faciliter les différentes démarches et procédures liées au contribuable

- Garantir au contribuable ses droits

- Communiquer et favoriser d’adhésion à l’impôt et le civisme fiscale

- Renforcer l’éthique

Devenir une administration numérique:

- Développer et généraliser de télé procédures sécurisées

Renforcer l’action de l’administration en matière de contrôle : - Disposer


d’informations pertinentes fiables et exploitables

- Mettre en place les ressources et outils nécessaires à l’analyse des risques


et au ciblage de la fraude

Développer une parfaite maitrise du métier du recouvrement : - Renforcer les


structures et les ressources dédiées au recouvrement - Optimiser le recouvrement
spontané

- Améliorer le recouvrement forcé

II. Organisation :
1) Organigramme Central:
L’administration centrale comprend cinq Directions :
Direction de la législation, des études et de la coopération
internationale ;
Direction de l'animation du réseau ;
Direction du contrôle ;
Direction de la facilitation, du système d'information et de la stratégie ;
Direction des ressources et de l'audit.

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2) Organisation territoriale:

Au niveau territorial, la DGI est organisée par type et par taille de


contribuable.

Ses services sont spécialisés pour gérer distinctement les dossiers des
particuliers, des professionnels, des personnes morales et des grandes entreprises,
dans le but de fournir un service de proximité adapté à chaque profil. Chaque
contribuable s’adresse ainsi à un interlocuteur unique polyvalent qui traite son
dossier au titre de ses différents impôts.

Globalement, les Directions Régionales, Inter Préfectorales et Préfectorales


sont organisées autour de trois fonctions principales :

L’assiette de l’impôt qui est gérée au niveau des subdivisions d’assiette


spécialisées par type de contribuables ;

Le recouvrement des impôts effectué au niveau des recettes de


l’administration fiscale ;

Le contrôle fiscal accompli par les brigades de vérification. 

La Direction Générale des Impôts s’appuie sur une organisation territoriale


déconcentrée regroupant 9 directions régionales des impôts.

Agadir - Béni Mellal - Casablanca - Fès - Marrakech - - Oujda - - Rabat-


Tanger –Errachidia

Les Directions régionales comprennent: - Un service régional d’assiette - Un


service régional des vérifications - Un service des ressources humaines, de la
formation et des affaires générales - Un service régional de l’inspection des
services.

7
SECTION III: Organigramme:

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PARTIE II : CHAMP D’APPLICATION des
Droits D’ENREGISTREMENT

SECTION I: LES DROITS D’ENREGISTREMENT.

1) Définition :

L’enregistrement est une formalité à laquelle la loi soumet certains actes et


conventions. Il consiste en l’analyse, par l’inspecteur des impôts chargé de
l’enregistrement, des actes et conventions présentés à cette formalité pour en
déterminer la nature juridique et percevoir un impôt dit "droit d’enregistrement.

La formalité de l’enregistrement produit un effet juridique qui consiste à


donner date certaine aux actes et conventions sous seings privés (S.S.P.), par leur
inscription sur un registre dit "registre des entrées »

2) EFFETS DE LA FORMALITE DE L’ENREGISTREMENT

La formalité de l’enregistrement a pour effet de faire acquérir date certaine


aux conventions sous seing privé au moyen de leur inscription sur un registre dit
«registre des entrées» et d’assurer la conservation des actes. Au regard du Trésor,
l’enregistrement fait foi de l’existence de l’acte et de sa date. L’enregistrement doit
être réputé exact jusqu’à preuve du contraire en ce qui concerne la désignation des
parties et l’analyse des clauses de l’acte. Les parties ne peuvent se prévaloir de la
copie de l’enregistrement d’un acte pour exiger son exécution. A l’égard des parties,
l’enregistrement ne constitue ni une preuve complète, ni même, à lui seul, un
commencement de preuve par écrit.

3) ACTES ET CONVENTIONS IMPOSABLES :

Un acte est tout écrit rédigé en vue de former le titre ou la preuve littérale
d’un fait juridique ou d’une convention. Une convention est un accord de volonté de
deux ou plusieurs personnes pour constater un fait juridique, tel qu’un engagement,
un compromis, un contrat, une entente, un pacte, un marché ou un traité. Une
convention peut être écrite ou verbale. Le même article distingue entre :
9
Les actes et conventions obligatoirement soumis à l’enregistrement,
énumérés limitativement ;

Les actes et conventions à enregistrer sur option.

Enregistrement obligatoire : Sont obligatoirement assujettis à la formalité et


aux droits d’enregistrement, alors même qu’à raison du vice de leur forme ils
seraient sans valeur :

- Toutes conventions, écrites ou verbales et quelle que soit la forme de l’acte


qui les constate, sous seing privé ou authentique (notarié, adoulaire, hébraïque,
judiciaire ou extrajudiciaire) portant :

- Mutation entre vifs, à titre gratuit ou onéreux, tels que vente, donation ou
échange :

 D’immeubles, immatriculés ou non immatriculés, ou de droits réels portant


sur de tels immeubles ;

 De propriété, de nue-propriété ou d’usufruit de fonds de commerce ou de


clientèles ;

 cessions de parts dans les groupements d’intérêt économique, de parts et


d’ actions des sociétés non cotées en bourse 262 et d’actions ou de parts dans les
sociétés immobilières ou dans les sociétés à prépondérance immobilière visées,
respectivement, à l’article 3-3° et à l’article 61-II ci-dessus. - bail à rente perpétuelle
de biens immeubles, bail emphytéotique, bail à vie et celui dont la durée est illimitée
;

- cession d’un droit au bail ou du bénéfice d’une promesse de bail portant sur
tout ou partie d’un immeuble, qu’elle soit qualifiée cession de pas de porte,
indemnité de départ ou autrement ;

- bail, cession de bail, sous-location d’immeubles, de droits immobiliers ou de


fonds de commerce. B.

- Tous actes sous seing privé ou authentiques portant :

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- constitution ou mainlevée d’hypothèque, cession ou délégation de créance
hypothécaire. Ces mêmes actes, bien que passés dans un pays étranger, sont
également assujettis lorsqu’ il en est fait usage par les conservateurs de la propriété
foncière et des hypothèques ;

- constitution, augmentation de capital, prorogation ou dissolution de sociétés


ou de groupements d’intérêt économique, ainsi que tous actes modificatifs du
contrat ou des statuts ;

- cession d’actions des sociétés cotées en bourse ;

- partage de biens meubles ou immeubles ;

- antichrèse ou nantissement de biens immeubles et leurs cessions. C.- Les


actes ci-après, constatant des opérations autres que celles visées aux A et B ci-
dessus:

- Les actes authentiques ou sous seing privé établis par les notaires ou
fonctionnaires chargés du notariat, ainsi que les actes sous seing privé dont ces
notaires ou fonctionnaires font usage dans leurs actes authentiques, qu’ils annexent
auxdits actes ou qu’ils reçoivent en dépôt ;

- Les actes d’adoul et de notaires hébraïques portant :

- titres constitutifs de propriété ;

- inventaires après décès ;

- renonciations au droit de chefaâ ou de retrait en cas de vente sefqa -


retraits de réméré ;

- mainlevées d’oppositions en matière immobilière ;

- ventes de meubles ou d’objets mobiliers quelconques ;

- donations de meubles ;

- obligations, reconnaissances de dettes et cessions de créances ;

- procurations, quelle que soit la nature du mandat ;


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- quittances pour achat d’immeubles ;

- Les décisions de justice, les actes judiciaires et extrajudiciaires des


greffiers, ainsi que les sentences arbitrales 264 qui, par leur nature ou en raison de
leur contenu, sont passibles du droit proportionnel d’enregistrement. D- Ventes de
produits forestiers, effectuées en vertu des articles 3 et suivants du dahir du 20 hija
1335 (10 octobre 1917) sur la conservation et l’exploitation des forêts et les ventes
effectuées par les agents des domaines ou des douanes.

- Enregistrement sur option : Les actes autres que ceux visés au I ci-dessus
peuvent être enregistrés sur réquisition des parties à l’acte ou de l’une d’entre elles.

4) EXONERATION :

Sont exonérés des droits d’enregistrement (Article 129 C.G.I)

1 ACTES PRESENTANT UN INTERET PUBLIC :

Ils concernent notamment :

Les acquisitions par les Etats étrangers d'immeubles destinés à


l'installation de leur représentation diplomatique ou consulaire au Maroc ou à
l'habitation du chef de poste, à condition que la réciprocité soit accordée à l'Etat
marocain ;

Les actes et écrits relatifs au recouvrement forcé des créances publiques ;

Les actes et écrits faits en exécution de la loi n° 7-81 relative à


l'expropriation pour cause d’utilité publique.

2- ACTES CONCERNANT LES COLLECTIVITES PUBLIQUES :

Citons particulièrement :

 Les acquisitions de l'Etat, les échanges, les donations et conventions qui


lui profitent, les constitutions de biens Habous, les conventions de toute nature
passées par les Habous avec l'Etat ;

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 Les acquisitions et échanges d'immeubles effectués par les collectivités
locales et destinés à l'enseignement public, à l'assistance et à l'hygiène sociales,
ainsi qu'aux travaux d'urbanisme et aux constructions d'intérêt communal.

3- ACTES PRESENTANT UN INTERET SOCIAL :

Il s’agit notamment :

Des contrats de louage de services ;

Des actes d'acquisition d’immeubles strictement nécessaires à


l'accomplissement de leur objet par les associations à but non lucratif s’occupant de
personnes handicapées ;

Des actes afférents aux opérations de la Société Sala Al Jadida et la Société


Nationale d’ Aménagement Collectif (SONADAC) se rapportant à la réalisation de
logements sociaux destinés au recasement des habitants de l’ancienne médina de
Casablanca ; des actes et mutations établis par certains organismes à but non
lucratif (Entraide Nationale, Croissant rouge….).

Les actes afférents à l’activité et aux opérations : de la Fondation


Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement ; de la Ligue Marocaine pour
la Protection de l’Enfance ;

4- ACTES RELATIFS A L’INVESTISSEMENT :

Ils comprennent : les actes de constitution et d’augmentation de capital des


sociétés installées dans les zones franches d’exportation, des banques et sociétés
holding offshore ;

 Les acquisitions d’immeubles par les entreprises installées dans les zones
franches, les banques et les sociétés holdings offshore ;

 les actes relatifs aux variations du capital et aux modifications des statuts
ou des règlements de gestion des O.P.C.V.M. ;  les actes relatifs à la constitution
des Fonds de placements collectifs en titrisation, à l’ acquisition d’actifs, à
l’émission et à la cession d’obligations et de parts, à la modification des règlements
de gestion et aux autres actes relatifs au fonctionnement desdits fonds
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conformément aux textes réglementaires en vigueur ; ainsi que le rachat postérieur
d’actifs immobilisés dans le cadre de l’opération de titrisation ;

 Les actes relatifs aux variations du capital et aux modifications des statuts
ou des règlements de gestion des OPCR ;

 Les opérations d’apport, ainsi que les prises en charge du passif résultant
de la transformation d’un établissement public en société anonyme ;

 Les actes d’hypothèque consentis en garantie du paiement de la TVA


versée par l’Etat et afférente au logement social, ainsi que la mainlevée délivrée par
le receveur de l’administration fiscale.

 Les actes de constitution et d’augmentation de capital des sociétés ayant


le statut CFC.

les actes de constitution et d’augmentation de capital des sociétés ou des


groupements d’intérêt économique réalisés par apports en numéraire à titre pur et
simple, par incorporation des créances en compte courant d’associés ou par
incorporation de bénéfices ou de réserves ;

Bénéficient également de l'exonération en matière des droits


d'enregistrement, les actes de constitution de capital des sociétés ou des
groupements d'intérêt économique réalisés par apport en nature, à titre pur et
simple, évalués par un commissaire aux apports choisi parmi les personnes
habilitées à exercer les fonctions de commissaire aux comptes, à l'exclusion du
passif affectant ces apports qui demeure assujetti aux droits de mutation à titre
onéreux, selon la nature des biens objet des apports et selon l'importance de
chaque élément dans la totalité des apports faits à la société ou au groupement
d'intérêt économique ;

Les actes portant acquisition de terrains nus destinés à la construction des


établissements hôteliers, sous réserve des conditions prévues à l’article 130-VII
C.G.I

Les cessions, à titre onéreux ou gratuit, de parts dans les groupements


d’intérêt économique, d’actions ou de parts sociales

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dans les sociétés autres que celles visées aux article 3-3° et 61-II ci-dessous
; Par dérogation aux dispositions de l’alinéa précédent, est soumise au droit de
mutation à titre onéreux, selon la nature des biens concernés, la cession par un
associé qui a apporté des biens en nature à un groupement d’intérêt économique
ou à une société, des parts ou actions représentatives des biens précités dans le
délai de quatre (4) années à compter de la date de l’apport desdits biens.

-Les actes et écrits portant transfert à titre gratuit et en pleine propriété des
biens meubles et immeubles « propriété de l'Agence marocaine pour le
développement des investissements, du Centre marocain de la promotion des
exportations et de l'Office des foires et des expositions de Casablanca en faveur de
l'Agence marocaine pour le développement des investissements et des
exportations.

5- ACTES RELATIFS AUX OPERATIONS DE CREDIT :

Il s’agit principalement :

Des actes concernant les opérations effectuées par la Banque Africaine de


Développement, le «Fonds Afrique 50» et la Banque Islamique de Développement
et ses succursales ;

Des actes d'avances sur titres de fonds d'Etat et de valeurs émises par le
Trésor ;

Des actes constatant les opérations de crédit passées entre des


particuliers et des organismes bancaires, ainsi que les opérations de crédit
immobilier conclues entre les particuliers et les sociétés de financement et celles
passées entre les entreprises et leurs salariés ou entre les associations des œuvres
sociales du secteur public, semi-public ou privé et leurs adhérents pour l’acquisition
ou la construction de leur habitation principale.

5) DELAI D’ENREGISTREMENT:

Sont assujettis à l’enregistrement et au paiement des droits dans le délai de


trente (30) jours:

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 À compter de leur date :

- les actes et les conventions obligatoirement assujettis ; - les procès-


verbaux constatant les ventes de produits forestiers et les ventes effectuées par les
agents des domaines ou des douanes ;

- les procès-verbaux d’adjudication d’immeubles, de fonds de commerce ou


d’autres meubles ;

 À compter de la date de réception de la déclaration des parties, pour ce


qui concerne les actes établis par les adouls. DELAI DE 3 MOIS Sont assujettis à
l’enregistrement dans le délai de trois (3) mois :

 À compter de la date du décès du testateur, pour les actes de libéralité


pour cause de mort.

 À compter de leur date pour les ordonnances, jugements et arrêts des


diverses juridictions.

SECTION II : BASE IMPOSABLE ET LIQUIDATION et TARIF

1-Liquidation

Pour la liquidation des droits, la valeur de la propriété, de la nue-propriété, de


l’usufruit et de la jouissance des biens meubles et immeubles et, d’une manière
générale, la base imposable est généralement déterminée comme suit :

 Pour les ventes et autres transmissions à titre onéreux, par le prix exprimé
et les charges qui peuvent s’ajouter au prix. Pour les acquisitions d’immeubles ou
de fonds de commerce dans le cadre d’un contrat de « mourabaha » ou «Ijara
Mountahia Bitamlik», ou « Moucharaka Moutanakissa » 1, par le prix d’acquisition
desdits biens par l’établissement de crédit et organismes assimilés

 Pour les échanges, par l’estimation du bien dont la valeur est la plus
élevée.

1
nouveauté de la loi de finance 2018.
16
 Pour les partages de biens meubles ou immeubles entre copropriétaires,
cohéritiers et coassociés, à quelque titre que ce soit, par le montant de l’actif net à
partager ;

 Pour les mutations entre vifs et à titre gratuit, par l’évaluation souscrite par
les parties de la valeur des biens donnés, sans déduction des charges.

 Pour les titres constitutifs de propriété, par la valeur des immeubles qui en
font l’objet. Chaque immeuble ou chaque parcelle, dont la valeur doit être estimée
distinctement, est désigné avec précision par ses limites, sa superficie, sa nature et
sa situation ;

 Pour les constitutions d’hypothèques ou de nantissements de fonds de


commerce, par le montant de la somme garantie en capital, frais accessoires et
intérêts, dans la limite de deux (2) annuités ;

 Pour les antichrèses et nantissements de biens immeubles, par le prix et


les sommes pour lesquelles ces actes sont faits ;

 Pour le droit d’apport en société, à titre pur et simple, par le montant ou la


valeur de l’apport ;

 Pour les cessions d’actions ou de parts sociales des sociétés ou de parts


des groupements d’intérêt économique, par le montant de la valeur négociée,
déduction faite des versements restant à faire sur les titres non entièrement libérés ;

 Pour les cessions de titres d’obligations des sociétés ou entreprises et de


titres d’obligations des collectivités locales et établissements publics, par le montant
de la valeur négociée ;  Pour les créances à terme, les prorogations de délai de
paiement de ces créances, leurs donations, cessions et transports, les obligations
de sommes et autres actes d’obligations, par le capital exprimé dans l’acte et qui en
fait l’objet ;

 Pour les opérations de crédits, par le montant du crédit ;

 Pour les quittances et tous autres actes de libération, par le total des
sommes ou capitaux dont le débiteur se trouve libéré;

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Pour les constitutions, donations, cessions et transports de rentes
perpétuelles et viagères et de pensions, par le capital constitué et aliéné et, à
défaut de capital exprimé, par un capital égal à vingt (20) fois la rente perpétuelle et
à dix (10) fois la rente viagère ou la pension, quel que soit le prix stipulé pour le
transport ou l’amortissement;

 Pour les cautionnements de sommes, valeurs et objets mobiliers, les


garanties mobilières et indemnités de même nature, par le montant du
cautionnement ou des garanties et indemnités ;

 Pour les louages d’industrie, marchés pour constructions, réparations et


entretiens et tous autres biens meubles susceptibles d’estimation faits entre
particuliers et qui ne contiennent ni vente, ni promesse de livrer des marchandises,
denrées ou autres biens meubles, par le prix exprimé augmenté des charges ou
l’évaluation des objets qui en sont susceptibles ;

 Pour les inventaires après décès, par l’actif brut, à l’exclusion du linge, des
vêtements et des meubles meublant les maisons d’habitation;

 Pour les délivrances de legs, par le montant des sommes ou la valeur des
objets légués ;

 Pour les baux à rentes perpétuelles de biens immeubles, les baux


emphytéotiques et ceux dont la durée est illimitée, par un capital égal à vingt (20)
fois la rente ou le prix annuel, augmenté des charges ;

 Pour les baux à vie d’immeubles, quel que soit le nombre des bénéficiaires
successifs, par un capital égal à dix (10) fois le prix augmenté des charges.

La liquidation des droits d’enregistrement nécessite, au préalable, de


déterminer la nature juridique des actes et conventions obligatoirement 98 soumis à
l’enregistrement et le droit applicable à chacune de ces opérations selon les
engagements et les obligations qui en découlent. Lorsqu’un même acte comporte
plusieurs dispositions, il est nécessaire de faire la distinction entre celles qui sont
dépendantes les unes des autres et celles qui sont indépendantes. EXEMPLE :
Mutation entre vifs à titre gratuit (Donation). La base imposable est constituée par la

18
valeur des biens objet de la donation déclarée par les parties, sans déduction des
charges qui peuvent les grever et qui sont mises à la charge du donataire. Lorsque
la donation porte sur l’usufruit ou sur la nue-propriété des biens, la base imposable
de l’usufruit ou de la nue-propriété desdits biens est fixée à une quotité de la valeur
de la pleine propriété en fonction de l’âge de l’usufruitier, conformément au tableau
ci-après : Age de l’usufruitier Valeur de l’usufruit Valeur de la nue-propriété Moins
de 20 ans révolus Moins de 30 ans révolus Moins de 40 ans révolus Moins de 50
ans révolus Moins de 60 ans révolus Moins de 70 ans révolus Plus de 70 ans
révolus Fraction de la pleine propriété 7/10 6/10 5/10 4/10 3/10 2/10 1/10 Fraction
de la pleine propriété 3/10 4/10 5/10 6/10 7/10 8/10 9/10 1 - A fait donation à son
fils B, âgé de 48 ans, de l’usufruit d’une villa estimée en pleine propriété à
1.000.000 dhs. La fraction de la pleine propriété correspondant à 48 ans est de
………. 4/10 La valeur de l’ usufruit constituant la base imposable est : 1.000.000 x
4/10 =……………………………..400.000 dhs Il est dû : 400.000 *1.5%
=………………………. 6000 dhs 2 - A fait donation à B, âgé de 19 ans de la nue-
propriété d’un appartement estimé à 1.200.000 dhs, étant précisé que B n’a pas de
lien de parenté avec A. 90 La fraction de la pleine propriété correspondant à 19 ans
est 3/10. La fraction de la valeur de la pleine 2 propriété constituant la base
imposable est 1.200.000 x 3/10 = …………………360.000 Il est dû : 360.000 x 4 %
= …………………………. 1440 dhs

2- LES TARIFS

Les droits d’enregistrement sont scindés en droits fixes et droits


proportionnels.

I. DROITS FIXES :

Sont notamment soumises au droit fixe de :

 1.000 DH :

L’acte constatant l’apport du patrimoine professionnel d’une personne


physique à une société effectué entre le 1er janvier et le 31 décembre 2010.

19
 Cette mesure est prorogée pour les apports effectués entre le 1er janvier
2013 et le 31 décembre 2014.

L’acte constatant l’augmentation du capital social, réalisée entre le 1er


janvier 2011 et le 31 décembre 2012, d’une entreprise dont le CA réalisé au titre de
chacun des quatre derniers exercices est inférieur ou égal à 50 millions de dirhams.
Cette mesure est prorogée pour les actes d’augmentation de capital réalisés entre
le 1er janvier et le 31 décembre 2013 inclus.

 200 DH :

Les renonciations à l'exercice du droit de chefaâ ou de sefqa. Il est dû un


droit par copropriétaire renonçant ;

Les testaments, révocations de testaments et tous actes de libéralité qui ne


contiennent que des dispositions soumises à l'événement du décès ;

Les résiliations pures et simples faites dans les 24 heures des actes
résiliés et présentés dans ce délai à l'enregistrement;

Les actes qui ne contiennent que l'exécution, le complément et la


consommation d'actes antérieurement enregistrés ;

Les marchés et traités réputés actes de commerce ;

Les baux et locations, cessions de baux et sous-locations d'immeubles ou


de fonds de commerce ;

Les actes de prorogation ou de dissolution de sociétés ou de GIE qui ne


portent ni obligation, ni libération, ni transmission de biens meubles ou immeubles
entre les associés, les membres des GIE ou autres personnes et qui ne donnent
pas ouverture au droit proportionnel ;

Les actes de constitution sans capital de GIE ;

Les contrats de crédit-bail immobilier relatifs aux locaux à usage


professionnel ou d'habitation, leur résiliation en cours de bail par consentement

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mutuel des parties, ainsi que les cessions de ces locaux au profit des preneurs
figurant dans les contrats susvisés;

 Les actes relatifs aux opérations de crédit réalisées entre les sociétés de
financement et les particuliers ;

 Les actes de constitution et de mainlevée d’hypothèques et de


nantissement sur fonds de commerce ;

 Tous les autres actes innommés qui ne peuvent donner lieu au droit
proportionnel.

Toutefois, est soumise aux droits d’enregistrement au taux prévu à l’article


133-I- F-1° ci-dessus, l’opération de cession du logement aux adhérents à la
coopérative d’habitation qui ne respectent pas l’une des conditions prévues à
l’article 7-I-B ci-dessus.

II. DROITS PROPORTIONNELS :

1%, 1,5%, 3%, 4% ET 6%. Sont principalement soumis au taux de :

6 % :

- les mutations entre vifs, à titre gratuit ou onéreux, d’immeubles ou de droits


réels portant sur de tels immeubles, de propriété, de nue-propriété ou d’usufruit de
fonds de commerce ou de clientèle ;

- les cessions à titre gratuit ou onéreux, d'actions ou de parts sociales des


sociétés immobilières transparentes et des sociétés à prépondérance immobilière
dont les actions ne sont pas côtés en bourse ;

-Les baux à rentes perpétuelles de biens immeubles, les baux


emphytéotiques, ceux à vie et ceux dont la durée est illimitée; - les cessions de droit
au bail ou du bénéfice d'une promesse de bail.

4 % :

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- l'acquisition de locaux construits, par des personnes physiques ou morales
autres que les établissements de crédit, Bank Al-Maghreb, la Caisse de dépôt et de
gestion et les sociétés d'assurances et de réassurances, que ces locaux soient à
usage d’habitation, commercial, professionnel ou administratif ;

- l'acquisition, à titre onéreux, de terrains nus ou comportant des


constructions destinées à être démolies et réservés à la réalisation d'opérations de
lotissement ou de construction de locaux à usage d'habitation, commercial,
professionnel ou administratif, dans un délai de 7 ans à compter de la date
d’acquisition .

3 % :

- les cessions de parts dans les groupements d’intérêt économiques,


d'actions ou de parts sociales dans les sociétés autres que celles dites
transparentes ou à prépondérance immobilière ;

- les adjudications, ventes, reventes, cessions, rétrocessions, marchés et


tous autres actes civils ou judiciaires translatifs de propriété, à titre gratuit ou
onéreux, de biens meubles ;

- les titres constitutifs de propriété d’immeubles ;

- la première vente de logements sociaux et de logements à faible valeur


immobilière.

Ainsi que la première acquisition desdits logements par les établissements


de crédit et organismes assimilés, objet d’opérations commerciales ou financières,
dans le cadre d’un contrat « Mourabaha », « Ijara Mountahia Bitamlik » ou «
Moucharaka Moutanakissa ».

1,5 % :

- les cessions à titre gratuit, d’immeubles ou de droits réels immobiliers, de


fonds de commerce ou de clientèle, de parts dans les GIE, de parts ou d’actions
dans les sociétés immobilières transparentes ou à prépondérance immobilière,
lorsqu’elles interviennent en ligne directe, entre époux ou entre frères et sœurs ;

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- les partages de biens meubles ou immeubles entre copropriétaires,
cohéritiers et coassociés, à quelque titre que ce soit. Toutefois, lorsque le partage
comporte une soulte ou une plus-value, les droits sur ce qui en est l’objet sont
perçus aux taux prévus pour les mutations à titre onéreux, au prorata de la valeur
respective des différents biens compris dans le lot comportant la soulte ou la plus-
value ;

- les antichrèses et nantissements de biens immeubles ;

- les actes portant constitution d'hypothèque ou de nantissement sur un


fonds de commerce, en garantie d'une créance actuelle ou éventuelle ;

- les louages d'industrie, marchés pour constructions, réparations et


entretiens et tous autres biens meubles susceptibles d'estimation faits entre
particuliers et qui ne contiennent ni vente, ni promesse de livrer des marchandises,
denrées ou autres biens meubles.

1%

- les cessions de titres d'obligations dans les sociétés ou entreprises et de


titres d'obligations des collectivités locales et des établissements publics ;

- les cautionnements de sommes, valeurs et objets mobiliers, les garanties


mobilières et les indemnités de même nature ;

- Les constitutions ou augmentations de capital des sociétés ou des GIE


réalisées par apports nouveaux, à titre pur et simple ;

- les marchés de l'Etat dont le prix doit être payé par le Trésor public ;

- les inventaires établis après décès.

Minimum de perception :

Un minimum de 100 DH est perçu pour les actes et mutations passibles des
droits proportionnels. Ce montant est porté à 1.000 DH en ce qui concerne les
actes de constitution et d’augmentation de capital des sociétés et des groupements
d’intérêt économique.

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Les tâches effectuées Durant la période de stage effectué au sein de la
Direction Provinciale Des Impôts. J’avais l'occasion de travailler au bureau
d’enregistrement et timbre. Ceci m'a permis de mieux suivre le déroulement des
travaux dans cette cellule ainsi que d'accomplir et pratiquer plusieurs tâches à
savoir:

 Accueil : Réception des Actes adulaires, Notariés, délivrance des OR

 Enregistrement : ordonnancement des actes authentiques.

 Relance des défaillants : émissions des ORC, délivrance des Mainlevées.

 Archivage : classement des actes authentiques et SSP.

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CONCLUSION
J’ai accompli mon stage au sein de la direction provincial des impôts, qui a
duré d’un mois , j’ai pu nicher des cas pratiques qui ont enrichi mes connaissances
théoriques acquises en formation à l’école, de surcroit, j’ai abordé et approché
toutes les situations réelles du monde du travail et du management d’équipe.

Après mon intégration dans l’équipe, j’ai eu l’opportunité d’effectuer plusieurs


tâches accomplissant et finalisant mon stage.

Chacune de ces tâches, nécessaires au service et au bon déroulement de


l’activité de la DGI, sont inscrites dans la stratégie de celle-ci, notamment dans celle
du bureau d’accueil et de coordination. C’est stage excellent pour ma formation, il
engendre désormais une expérience professionnelle gratifiante et prometteuse pour
mon avenir.

Je juge que cette expérience en entreprise m’a exhibé une bonne préparation
pour ma vie professionnelle future, car elle fut pour moi une expérience féconde et
parfaite qui fortifie mon désir d’exercer mon métier d’avenir.

Enfin, je tiens à formuler mon bonheur d’avoir pu travailler au sein d’une belle
équipe soudée avec esprit de résultat et de performance, aussi dans de bonnes
conditions matérielles et un environnement agréable.

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