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Chapitre 5 

: Réglementation et normes en vigueur

1. Introduction
L'analyse et la compréhension des problèmes de compatibilité EM et de qualité d’énergie
électrique est implicitement guidée par les normes internationales qui sont aujourd'hui
imposées pour la commercialisation d'un équipement électrique et ou électronique. Le respect
des normes représente pour le constructeur un gage de qualité et de compétitivité de ses
produits. Cette conformité devient alors un véritable argument de vente.
Les perturbations électromagnétiques conduites et rayonnées constituent la problématique
fondamentale de la CEM. Du point de vue qualité de l’énergie électrique (QEE) on s’intéresse
plus des perturbations EM basses fréquences que des perturbations EM hautes fréquences.
Ainsi, les normes CEM sont divisées en deux catégories selon la plage des fréquences
occupées. On distingue ainsi les normes basses fréquences et les normes hautes fréquences.
Chacune d’elles est définie pour un certain nombre d’harmoniques et pour une plage de
fréquences donnée, par des limites en fonction du type d’appareil et éventuellement par des
conditions de fonctionnement.
2. Réglementation, normalisation et vérification CEM 
Afin de favoriser le développement du commerce international, il est apparu nécessaire
d’harmoniser les spécifications requises en matière de CEM dans les différents pays. La
normalisation est l’ensemble des processus qui permettent de donner à des documents de
références le statut de norme et de les publier comme telles. La normalisation comporte deux
phases [23]:
 Une phase technique.
 Une phase de décision par la démonstration de l’existence d’un consensus.
Ainsi, une norme se présente comme une donnée de référence résultant d’un choix collectif
raisonné, en vue de servir de base d’entente pour la solution de problèmes répétitifs. Ce sont
des règles d’art permettant de répondre aux besoins du marché en éliminant les obstacles
techniques. Enfin, la normalisation constitue une base technique à la législation. La
réglementation relative à la CEM a été élaborée à partir de directives européennes précisant
que:
 Les perturbations EM générées doivent être limitées à un niveau permettant aux
appareils de radio, de télécommunication et aux autres appareils de fonctionner
conformément à leur destination.
 Les appareils doivent avoir un niveau d’immunité contre les perturbations EM.
 Les appareils déclarés conformes aux directives européennes portent depuis le 1er
janvier 1996 le marquage CE. Ce marquage peut concerner d’autres domaines que la
CEM, dans ce cas il indique la conformité aux directions concernant ces domaines.
2.1. La directive européenne 89/336/CEE
Depuis le 3 mai 1989, les fabricants de matériel électrique souhaitant distribuer leurs produits
au sein de la communauté européenne doivent appliquer la directive de CEM N° 89/336/CEE.
Cette directive a été proposée afin d’harmoniser les législations des états membres de la
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communauté européenne (CEE) relatives à la CEM. Elle a fait l’objet du décret N° 92- 587 du
26 juin 1992 pour sa transposition au droit français. Son application est obligatoire depuis le
1er janvier 1996. Cette directive s’inscrit dans la lignée de celles publiées par le conseil de la
communauté européenne (CEE) visant à écarter les obstacles commerciaux à l’intérieur de
l’union européenne.
Aujourd’hui, la directive initiale a subi de nombreuses modifications et de nouvelles
directives sont apparues. Maintenant, les produits électriques et électroniques modernes sont
généralement si complexes que plusieurs directives sont applicables. Néanmoins, ces
réglementations suivent toutes les mêmes préceptes à savoir [24], [25]:

 Permettre la libre circulation des produits sur le marché unique européen en fixant des
exigences unifiées de CEM.
 Organiser la maîtrise de l’exploitation de la ressource naturelle que constitue l’espace
EM pour de multiples applications spécifiques.
 Contribuer à l’amélioration de la protection des consommateurs face aux risques qui
peuvent découler de problèmes de CEM.
2.2. Classification des normes CEM européennes
Les normes CEM peuvent être classifiées en deux catégories [19]:
 Les normes harmonisées.
 Les normes de test.
2.2.1. Normes harmonisée
Les normes harmonisées sont les normes de référence publiées par le journal officiel de
l'union européenne. Le respect d'une norme harmonisée assure une présomption de conformité
à la directive CEM. Ces normes sont de trois types [22]:
2.2.1.1. Les normes fondamentales
Les normes fondamentales définissent l'ensemble de la méthode d'essai. Ces normes vont
décrire :
 Les caractéristiques essentielles du système de mesure (forme d'onde, gamme de
tension, gamme de fréquence, temps de mesure, méthode de détection...).
 Souvent, des niveaux typiques d'essai, mais elle ne défini pas le niveau à appliquer à
un produit.
 Le montage d'essai.
 La procédure d'essai.
 L'évaluation des résultats d'essais.

 Les données à reporter dans le rapport d'essai.

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2.2.1.2 Les normes génériques 


Quand aucune norme produit n'existe pour une gamme d'équipement, on peut appliquer les
normes génériques. Les normes génériques vont définir pour un environnement type :
 Les modes génériques de fonctionnement dans lequel un équipement va devoir
fonctionner durant les essais.
 Pour les essais d'immunité, les critères d'aptitudes du produit en fonction du type
d'essai.

 La liste des essais que l'équipement devra subir, en appliquant une norme
fondamentale.

 Les niveaux limites auquel l'équipement devra être conforme.


2.2.1.3. Les normes de produits
Les normes de produits sont des normes qui s’appliquent à une gamme de produit spécifique,
dans un environnement spécifique. Ces normes définissent pour un type d'équipement, placé
dans un environnement type :
 Les modes de fonctionnement particuliers dans lequel l'équipement va devoir
fonctionner durant les essais.
 Pour les essais d'immunité, les critères d'aptitudes du produit en fonction du type
d'essai.
 La liste des essais que l'équipement devra subir, en appliquant dans la plupart des cas
une norme fondamentale.
 Les niveaux limites auquel l'équipement devra être conforme.
2.2.2 Normes de test
Elles précisent les conditions d’essai de matériels spécifiés [22].

2.3. Vérification de la CEM


2.3.1. Application de la réglementation
Lors de l'étude de la CEM d'un nouveau produit, il est essentiel de commencer par
connaitre l'environnement dans lequel ce produit sera placé. La directive CEM est claire dans
ces exigences. Le produit devra ni perturber, ni être perturbé par l'environnement dans lequel
il est censé être situé.
D'après la directive le respect des normes harmonisées démontre le respect des
exigences essentielles. Mais à contrario :
 Beaucoup de normes produits, pourtant figurant toujours comme norme
harmonisé, n'ont pas évoluées depuis plus de dix ans :
 L'environnement EM a par contre vu apparaitre de nouveaux perturbateurs
radios utilisant des fréquences plus élevées qu’auparavant (3G, Wifi...).

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 Les technologies mêmes de certaines gammes de produits ont subi une telle
évolution, que l'application de sa norme dédiée n'est plus adéquat (les
récepteurs TV, les ordinateurs multimédia par exemple).
 L'environnement dans lequel sera placé le produit n'est peut-être pas celui qui a été
pris en compte lors de l'écriture de la norme.
Dans ces cas, l'application de la norme harmonisée n'est pas satisfaisante pour le
respect des exigences essentielles de la directive. Deux possibilités sont donc offertes :
 Appliquer la norme harmonisée en l'état. Cette possibilité apporte :
 Un risque que le produit perturbe ou soit perturbé chez l'utilisateur.
 Un risque que lors d'un contrôle de marché, celui-ci soit interdit à la vente par non-
respect des exigences essentielles de la directive.
 Appliquer un programme d'essai dédié. Dans ce cas, la validation de ce programme
par un organisme notifié est recommandée, mais pas obligatoire. Celui-ci est en
général au courant des projets de norme en cours. Cette possibilité apporte :
 Une assurance que le produit ne perturbera et ne sera pas perturbé chez
l'utilisateur.
 Que la future évolution de la norme produit pourra déjà probablement être
prise en compte. Cela évite pour les produits à longue durée de vie
l'obligation de repasser des essais lors du changement de version de norme.
2.3.2. Approches de la vérification de la CEM
Il existe deux principales approches :
 La simulation numérique : on crée un modèle du système à valider, ainsi qu'un
modèle de l'environnement électromagnétique, et on applique un algorithme
définissant les couplages.
 La simulation analogique, encore appelée essais CEM : on place un exemplaire du
système valider dans un environnement électromagnétique de référence, et on réalise
des mesures, l'ensemble étant habituellement défini dans la réglementation.
Quelle que soit l'approche, il faut trouver un optimum entre des exigences contradictoires :
A. La représentativité :
 l'environnement choisi (ou son modèle) sont ils représentatifs de la réalité ?
Exemples : tester jusqu'à 1 GHz un matériel destiné à être placé dans un
environnement plein de GSM, de bornes WiFi/Airport, voire de radars d'aide à la
conduite de voiture (vers 70 GHz), est-ce représentatif de la réalité ? Modéliser
systématiquement une onde plane, est-ce réaliste ?
 Le matériel testé est-il représentatif de la série ? L'instrumentation permet-elle de
mesurer les grandeurs qui importent réellement ?
 Le modèle ne chipote-t-il pas sur des détails futiles en laissant de côté les
grandeurs réellement fondamentales ?

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Exemple, dans le cas d'une enveloppe mécanique :


 Prise en compte de l'épaisseur du métal, mais pas de la tolérance des fentes entre
constituants au risque de reproduire une antenne patch (état de surface, conduction
superficielle…)
 Capots modélisés à la masse alors qu'ils ne le sont que par une liaison filaire, et
donc inductive.
 Omission des câbles de liaison (traduire par antennes).
B. La reproductibilité (surtout un problème pour les essais, car la simulation numérique
l'ignore purement et simplement) :
 Deux essais successifs d'un même exemplaire donneront-ils le même résultat ?
 Deux exemplaires successifs donneront-ils le même résultat ?
 Deux essais dans des laboratoires différents donneront-ils le même résultat ?
C. L'éthique
 En cas de doute, prend-on la décision du plus simple chemin vers la conformité de
façade pour réduire les coûts, où par assurance technique ?
 L'utilisateur, sera-t-il satisfait de mon produit si dès que son téléphone sonne mon
produit s'éteint ?
3. Objectif de la normalisation
L’objectif des normes ne se limite pas à fixer les niveaux des perturbations désirables et
indésirables en fonction des domaines d’application, mais il va jusqu'à la spécification des
conditions et aux moyens de mesures afin d’assurer des mesures reproductibles et fiables. Il
s’agit de caractériser aussi précisément que possible les conditions de l’environnement de
mesure. Compte tenu de toutes ces normes imposées par la réglementation CEM, nous avons
besoin de mettre en œuvre des moyens de protection efficaces afin de limiter la propagation
de la pollution EM vers le réseau électrique [19].
4. Normes pour les perturbations conduites
4.1. Normes basses fréquences
Ces normes font référence aux limites des émissions basses fréquences (harmoniques) dans le
réseau électrique pour diverses catégories d’appareils. Donc les appareils électriques doivent
respecter les limites en amplitudes des harmoniques bien déterminées. Les normes basses
fréquences ont été établies par des groupes d’experts internationaux, qui représentent les
constructeurs, les utilisateurs de matériels, ainsi que par des représentants de laboratoires
d'essais, des consultants et des universitaires spécialistes du domaine considéré.
Afin de garantir un niveau de qualité de l’énergie satisfaisant en réduisant les effets néfastes
dus aux perturbations sur les réseaux électriques, des normes ont été mises en place. Les deux
principaux organismes qui ont établi de telles normes sont la Commission Électrotechnique

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Internationale (CEI) et l’institution IEEE (« Institute of Electrical and Electronics


Engineers »).
Au niveau international, les normes CEI-1000 définissent les niveaux des courants et des
tensions harmoniques à respecter. Selon la littérature, les équipements électriques sont
classés par catégories en quatre classes (A, B, C et D) à savoir [25] :
 La classe A inclut les équipements triphasés équilibrés, les appareils électroménagers
et les équipements audio.
 La classe B inclut les outils portatifs et les équipements non professionnels de soudure
à arc électrique.
 La classe C inclut les équipements d'éclairage pour une puissance d'entrée active
supérieure à 25W, les équipements d'éclairage à décharge ayant une puissance active
d'entrée inferieure ou égale à 25W.
 La classe D inclut les équipements ayant une puissance active d'entrée inferieur ou
égale à 600W (ordinateurs individuels, moniteurs d'ordinateur individuel et récepteurs
de télévision).
Les normes CEI 1000 définissent les niveaux des courants et des tensions harmoniques à
respecter. Le tableau 5.1 présente la norme CEI-1000-3-2 qui fixe la limitation des courants
injectés dans un réseau public basse tension pour des équipements dont le courant par phase
est inférieur à 16A. Il s’agit là des appareils appartenant au domaine domestique. Aussi, du
fait de leur puissance, les équipements industriels sont exclus du champ d’application de cette
norme [19], [32]..

Tableau 5.1: Limites imposées par la norme CEI 1000-3-2

La norme CEI-1000-3-4 spécifie les limites d’émissions de courants harmoniques des


équipements individuels d'intensité assignée supérieure à 16A et jusqu'à 75A. Ces limites
s'appliquent aux réseaux publics de tensions monophasées et triphasées nominales (voire
tableau 5.2).

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Tableau 5.2: Limites imposées par la norme CEI 1000-3-4

La norme CEI-1000-2-2 fixe les limites de compatibilité pour les perturbations conduites
basses fréquences et la transmission de signaux sur les réseaux de distribution basse tension,
publics et industriels. Le tableau 5.3 présente les niveaux de compatibilité pour les tensions
harmoniques sur les réseaux publics basse tension [33].

Tableau 5.3: Limites imposées par la norme CEI 1000-2-2

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Chapitre 5 : Réglementation et normes en vigueur

La norme CEI 61000-2-4 fixe les limites de compatibilité pour les réseaux industriels et non
publics basse tension et moyenne tension, à l’exclusion des réseaux de navires, des avions et
des installations ferroviaires (Tableau 5.4).

Remarque :
Tableau 5.4: Limites imposées par la norme CEI 1000-2-4
Les classes d'environnement électromagnétique du tableau 4 sont définies comme suit :
 Classe1 (les matériels et les systèmes sensibles) cette classe est s’applique seulement
aux réseaux bas tensions protégées avec des niveaux de compatibilités plus bas que
ceux des réseaux publics.
 Classe 2 (les réseaux industriels), cette classe est applicable aux réseaux internes et au
point de livraison du distributeur. Les niveaux sont les mêmes que ceux des réseaux
publics.
 Classe 3 (les réseaux industriels perturbés), cette classe s’applique seulement aux
réseaux internes et les niveaux sont supérieurs à ceux de la classe 2.
La norme CEI 1000-4-13 précise les essais d’immunité basse fréquence aux harmoniques
et inter-harmoniques incluant les signaux transmis sur le réseau électrique. Le tableau 5.5
indique les taux des harmoniques en tension à utiliser pour vérifier l’immunité des
.appareils pour les matériels et systèmes sensibles et les réseaux industriels

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Tableau 5.5: Taux des harmoniques en tension à imposer pour vérifier l’immunité
des appareils

Pour le contrôle du taux de distorsion harmonique présent sur les réseaux électriques on doit
utiliser la norme IEEE Std 519-2014. Cette norme détermine la procédure pour le contrôle
des harmoniques présents sur le réseau. Elle impose également les limites recommandées de
la pollution harmonique engendrée par les usagers et de la distorsion harmonique totale sur le
réseau électrique.

Les tableaux 5.6 et 5.7 donnent les limites de distorsion de tension pour les fournisseurs
d’énergie électrique ainsi que les limites de distorsion de courant pour les systèmes de
distribution. Les harmoniques pairs sont limités à 25% des limites des harmoniques impairs
définis ci-dessous [33], [35].

Taux de distorsion Taux de distorsion


Niveau de tension
individuel de tension )%( global de tension
)%(
kV 1 ≤ 5 8

kV et ≤69 kV 1.001 ≥ 82 3 5

kV et ≤161 kV 69.001 ≥ 1.5 2.5

kV 161.001≤ 1 1.5
Chapitre 5 : Réglementation et normes en vigueur

Tableau 5.6: Limites de distorsion de tension pour les fournisseurs d’énergie


électrique

I L Distorsion maximale du courant harmonique en pourcent de

I SC n < 11 ≤ 3 n < 17 ≤ 11 n < 23 ≤ 17 n < 35 ≤ 23 n < 50 ≤ 35 TDD

IL

I SC 4 2.0 1.5 0.6 0.3 5.0


20 <
IL

I SC 7 3.5 2.5 1.0 0.5 8.0


50 < < 20
IL

I SC 10 4.5 4.0 1.5 0.7 12.0


100 < < 50
IL

I SC 12 5.5 5.0 2.0 1.0 15.0


100 < < 100
IL
0

I SC 15 7.0 6.0 2.5 1.4 20.0


1000 >
IL
.Courant de court-circuit maximal : I SC
.Courant maximal demandé par la charge (composante fondamentale) :   I L

4.2. Normes hautes fréquences


Dans cette section nous allons présenter les normes spécifiant les niveaux des émissions HF
conduites. Parmi les normes concernées on peut citer : la norme EN61000, la norme EN55011
et la norme EN55022. Ces spécifications sont divisées en deux catégories. La première,

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Chapitre 5 : Réglementation et normes en vigueur

désignée par l'appellation « Classe A », définit le niveau d'émission pour des appareils
destinés au secteur industriel. La seconde est réservée au secteur domestique et hospitalier
(appareils de la classe B). Cette dernière possède un gabarit nettement plus contraignant que
celui consacré aux appareils de la classe A. La figure 5.1 montre respectivement les limites
des émissions conduites imposées par ces normes [22], [25], [26].

MIL-STD-461E

EN  Classe A
Amplitude (dBµV)

VDE0871 Classe A
FCC  Classe A
EN  ClasseVDE0871
B Classe B
FCC  Classe B
150KHz

500KHz

5MHz

10KHz 100KHz 1MHz 10MHz 30MHz


Fréquence (Hz)

Figure 5.1 : Limites relatives aux émissions conduites

5. Normes pour les perturbations rayonnées


La figure 5.2 montrent sous forme de graphe les limites des émissions rayonnées relatives aux
normes FCC, VDE et CISPR pour la « Classe A » et la « Classe B » [25], [26].

CISPR-22 Classe A à 10 mètres


FCC Classe A à 10 mètres

CISPR-22 Classe B à 10 mètres


Amplitude ()

VDE0871/78 Classe B à 10 mètres FCC Classe B à 10 mètres


960MHz
88MHz

216MHz

220MHz

30MHz 100MHz 84 300MHz 1GHz


Fréquence (Hz)
Chapitre 5 : Réglementation et normes en vigueur

Figure 5.2 : Limites relatives aux émissions rayonnées

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