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letteratura francese 700-800

Letteratura Francese
Alma Mater Studiorum – Università di Bologna
15 pag.

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16/02

Vision de la réalité → vision rhétorique s’exprime la vision classique. Cette forme est proche à l’attitude du
moraliste. Le moraliste observe les moqueurs des personnes (mores). Au XVII siècle l’écriture moraliste est
un type d’écriture qui se trouve entre la philosophie et l’essai.
En revanche le satirique est quelqu’un qui condamne la décadence des moqueurs. Dans la satire il y a
l’indignation de l’auteur, c’est une critique maire de la société et doit faire rire. Le discours se pose de
problème a ressoudre, doit trouver une solution et produire des effets sur le lecteur.
Ville de paris en verse burlesque n’était pas un sujet sérieux. La vie quotidienne n’était pas le sujet de la
poétique lyrique. La modalité codifiée conforme le TOPOI ou conventions. Affinité entre texte de satire il y
a les mêmes lieux communs.
HORACE et JUVENAL sont imité par Boileau. Dans le discours classique et rhétorique sont important les
répétitions et les imitations des auteurs du passé.
A l’intérieur de cette vision de la poésie l’image réel perd sa valeur d’image de la réalité et devient un signe
(ABRASTRACTION).
NO DESCRIPTION de la réalité (ARTIFICIEL).
Les descriptions sont faites à partir d’un répertoire d’images et de discours déjà écrit
TACHE DE BOILEAU est-ce de démontrer que la vie en ville est horrible grâce au discours rhétorique
Prévaut → exception
Attitude des philosophes consiste dans la recherche des choses reliées par exemple Montesquieu nous
montre des expériences faites à Paris par un jeune Persian, à partir de cette décalage M. produit un effet
ironique. Il fournit plusieurs points de vue et produit des effets de « étrangement ». Dans « lettre persans »
M. dénonce les attitudes de la société occidental et surtout celles des Paris.

08/03
Voltaire esprit avec la prose philosophique, qui échappe à la division de genre. La prose permet à la
philosophie une grande liberté, en effet la littérature était limitée par les styles d’écriture (écriture
classiciste).
Montesquieu utilise son roman pour transmettre une idée philosophique à travers la prose, qui était un
instrument d’action. « J’écris pour agir » citer. Voltaire → la prose était considéré comme instrument pour
suivre à la lettre tout ce qu’il était « infame ». Avec cette vision le lecteur peut prendre conscience des
contradictions.
Chapitre XXII
Voltaire utilise des formes satiriques. Dans cette forme il trouve la manière de critiquer la ville de Paris, la
cible est plus sensible. Il décrit la ville à travers le caractère moraliste et la description réel de la ville est
réduit à deux lignes et se concentre sur la satire générale qui se réfère à des caractères pas spécifiés, ils
semblent des masques.

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Introduit l’actrice qui devient un prétexte pour critiquer le système en France que déprécient les acteurs,
selon Voltaire, qui agit comme un philosophe, est un usage reprécable. Il écrit pour rendre meilleur la société,
si la française se rendent compte de leurs erreurs, ils peuvent s’améliorer
Voltaire était très riche, avait compris que la richesse était fondamentale pour être exciteur Independent.
C’est qu’intéresse Voltaire c’est ne pas pas raconter une histoire, mais utiliser cette histoire banale, plain de
lieux communs, pour construire de théories contre les vices de la société.
Thèse critique à la doctrine de l’optimisme.
Candide est naïf et crois que tous ce que l’entour soit bon, cheque fois est étonné. Candide c’est un roman de
formation.
Nouvelle tradition rhétorique.
Mercier → tableaux de Paris : manière diffèrent de la décrire à travers deux façons parallèles
• Descriptions de la réalité telle qu’elle est
• Description conventionnelle rhétorique (Boileau/Voltaire)
Dans le roman « Julie ou la nouvelle Héloïse », Roseau utilise une autre manière de décrire Paris
1761 Rousseau révèle un changement vers le romantisme et introduit la conscience de « moi », expérience
individuelle. La valeur fondamentale se trouve au cœur du conscience, je comme base philosophique
(déisme)
Un autre aspect très important, Rousseau est le seul philosophe qui a affirmé l’importance de la démocratie.
PHILOSOPHE DE LA POLITIQUE, important dans la Révolution
Pédagogie → former le citoyen
« CANDIDE » - VOLTAIRE
L’écriture philosophique chez Voltaire
L’écriture philosophique au XVIIIème siècle pouvait employer tout sorte de forme parce qu’on pouvait
parler de tout et il n’y avait pas d’interdictions. Elle échappe à la division des genres et des styles. La prose
permet à l’écrivain philosophique la plus grande liberté du point de vue formel. La littérature du XVIIIème
siècle était encore limité à des règles. Montesquieu nous a donné un exemple de comment un livret qui a
lieu dans un sérail peut avoir une fonction philosophique. La prose c’est un instrument qui sert à agir. Ses
œuvres philosophiques sont un instrument d’action. La prose doit suivre une lutte polémique contre la
tradition, le Christianisme, les préjugés… Les philosophes refusaient les dogmes de l’Église. Voltaire écrit
pour agir (= mener une action polémique contre l’ « infâme » → tradition). « Polémique » est synonyme de
« guerre ». Il écrit pour conduire une campagne polémique contre l’autorité, la tradition.
Analyse Chapitre XXII
Ce chapitre est bien représentatif de comment Voltaire utilise la tradition. Il trouve la manière de critiquer
moralement la vie parisienne. C’est la différence entre l’écriture philosophique et la tradition. Ici la cible est
plus restreinte. Il reprend des types de « Les Lettres Persanes ». Il nous montre le petit abbé qui est un type
de la vie parisienne. A l’époque on parlait plutôt de « caractère ». C’est la vue sur Paris d’un moraliste. Il se
concentre sur une satire de type moralisateur qui reste toujours à un niveau général sans individualiser les
personnes dont on parle (abbé, actrice en général, pas un individu précis).
La comédie n’est qu’un prétexte pour Voltaire pour critiquer un aspect qu’il a toujours critiqué, c’est-à-dire
le peu de respect que les comédiens recevaient du côté de l’église. Voltaire utilise cette occasion pour
critiquer cet usage (il condamne le geste). L’attitude que Voltaire a est philosophique. Il écrit afin que le
lecteur puisse se rendre compte des contradictions. S’ils prennent conscience de cette drôlerie, alors ils
pourront changer. Il met en scène des types qui sont représentatifs de la société française.

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Folliculaire= faiseur des feuilles (journaliste), un Elie Fréron (il était un journaliste) → C’est une
antonomase.
Pour Voltaire le métier d’écrivain était un travail livre. Il était tellement riche qu’il pouvait emprunter de
l’argent. Il était aussi propriétaire de beaucoup d’industries. Il était un bourgeois. La sécurité économique
était tout pour un écrivain en Angleterre, cependant, en France, un écrivain dépendait d’un mécénat. Voltaire
pensait qu’il était peu digne de gagner la vie en écrivant. Fréron était un journaliste qui vivait de cela, donc
il le méprisait. Un homme livre ne gagne pas en vendant son travail.
Ces pages sont une succession d’images, il n’y a pas d’aventures de sens propre, mais une rencontre continue
de caractères qui révèlent à Candide des aspects de la société. La seule aventure du chapitre, même si banal,
est le fait que Candide sera dupé par l’abbé et par ses complices. Il nous présent un aspect typique sans nous
donner une description réaliste, il veut seulement montrer un topos de la société, c’est-à-dire la passion du
jeu des cartes. Voltaire n’a jamais aimé jouer, il était contraire à cet usage. (Aussi dans Prévost on retrouve
le monde des tripots (= biche) avec un rôle différent). L’anecdote est banale, mais il est utilisé par Voltaire
pour raconter un topos, un lieu commun pour dénoncer des vices, des défauts de la vie sociale. Cet épisode
nous fait bien comprendre comment Voltaire utilisait le genre satirique pour critiquer. Candide est quelqu’un
de naïf. Le roman de Voltaire est de formation (bildungsroman). Lorsque Candide dénonce la dame qui a
organisé le tripot et l’abbé aux exempt (= policiers), il finit en prison. Candide a l’occasion de vérifier que le
Monde est plein d’injustices. Martin est son ami pessimiste qui lui répète que le Monde est fait des gens
méchants. Candide reste surpris et s’étonne de ce qui s’est passé. Le Monde est chaotique.
Une nouvelle tradition rhétorique
Nous avons une nouvelle tradition rhétorique qui nous montre que les philosophes décrivent la réalité
conformément à la règle. A côté nous avons Louis Sébastien Mercier qui écrit à la fin du siècle (1787/8)
une œuvre qui s’appelle « Tableau de Paris » qui nous permet de faire une comparaison de comment il
expose et décrit les mêmes sujets et thèmes déjà traités. La ligne rhétorique (Boileau, Montesquieu,
Voltaire) est la ligne conventionnelle, en opposition à ceci on a une ligne différente (Prévost, Mercier) qui
commence à s’apercevoir de la réalité telle qu’elle est et qui amène au Réalisme de Balzac. La littérature du
XIXème siècle aura comme premier but la description visuelle de la réalité.

JEAN-JACQUES ROUSSEAU
Son œuvre principale est « Julie ou la Nouvelle Eloïse » (1761). Rousseau était plutôt un philosophe qui a
écrit seulement ce texte romanesque ; il était connu pour ses œuvres philosophiques. Il est un auteur qui a
influencé les auteurs préromantiques allemands. Il est né en 1712 et il est meurt en 1788. En 1761 en Europe
on ne parlait encore de Romantisme, mais il révèle un changement dans le goût et dans la sensibilité
européenne et « Julie » en est un exemple. Voltaire comprenait que ceci était le nouveau goût, même s’il le
méprisait. Il y a la comparse du sentimental. Dans « Les Confessions » (autobiographie) il a introduit la
conscience du moi et de l’expérience individuelle. Ici on parle du fondement du sujet. Les valeurs
fondamentales se trouvent au cœur de l’individu. Son déisme se présente comme une religion du cœur.

15/03
J.J. Rousseau: Fantasticherie di un viandante solitario (1776/1778)
Nella seconda metà del ‘700 si muove parte della letteratura che cerca di capire la bellezza della natura.
Nell’arco dei suoi scritti Rousseau scopre la natura e la introduce nella letteratura di fine secolo, ne analizza
l’estetica del paesaggio.
In seguito, ci saranno pubblicazioni di Kant sull’estetica del paesaggio.

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Il paesaggio è un concetto intrinseco nel concetto di natura. In questo periodo i due concetti chiave della
letteratura sono il pittoresco (descrivere alla maniera dei pittori, descrizioni di passeggiate) e il sublime (che
è causa di ansia, patimento e turbamento dell’essere umano). Questi due fattori (sublime e pittoresco)
trasporta il sentimentale in natura, nostalgia della natura come è o come potrebbe essere.
Nella sua opera, Julie o la nouvelle Celosie Rousseau ci dà una descrizione del giardino in cui la natura viene
descritta all’insegna della varietà.
Rousseau attuerà una polemica contro Didero e il suo sistema razionalistico. Rousseau fa fiorire il pensiero
che sarà all’origine del movimento del Romanticismo e del Naturalismo.
Rousseau introduce poi un tema nuovo, il tema della solitudine: il solitario è reputato superiore all’uomo
sociale.
Lo stato naturale deve essere riscoperto attraverso l’intimità.
Rousseau si pone il problema della felicità e di come raggiungerla, analizza poi in seguito la timidezza dei
solitari, che per combattere questo sentimento iniziano a scrivere delle autobiografie. L’autobiografia
comporta la ricerca dell’io; con la ricerca dell’”io autobiografico” si cerca anche la realtà che ci circonda.
Mentre l’autore parla di sé stesso, ricerca la felicità.

Thomas Gainsborough Ritratto


pittoresco

Dragonara 1760 nel dipinto viene rappresentato un giardino, si dà


vastità a spazio naturale a discapito dello spazio umano.

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Wright of Derby. Rappresenta bellezze naturali nella loro grandezza, a discapito della rappresentazione
dell’uomo che si perde nella natura.

Architetti costruiscono false rovine per imitare il lavoro svolto da pittori (imitano la natura che gli circonda).
La natura rappresenta il regno del non umano (DEISMO) immaginario è descritto come il reale, ciò che
descrivo il denso di sentimenti, si descrive realtà interiore. Ideale della Natura solitaria.

Julie o la nouvelle Helosie: Julie descrive la sua ammirazione delle Alpi, concezione rovesciata rispetto al
pensiero dell’epoca che nell’immaginario comune erano un luogo spaventoso. (lettera XXIII). Non tutti
però si rendono conto delle cose sensibili tema della Natura e Amore come stile di Petrarca “enchantement
du paysage”. Nella lettera XI vi è una descrizione del giardino, nella lettera XVII vengono descritte le rocce
e i precipizi.
Passeggiata (natura esterna), tema della contemplazione con gli stessi tormentati sentimenti. Nella 5°
passeggiata i protagonisti si trovano a S. Pierre, descrizione romantica del paesaggio. Mito della
selvatichezza e dei solitari contemplativi.
7° passeggiata il linguaggio cambia e anche l’immaginazione (spiritualità).

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16/03
Texte de tradition rhétorique était bien défini. La grille conceptuelle sert pour le Tableau de Paris.
Balzac et Baudelaire avait lit Mercier, avant d’écrire leurs ouvres, il décrit Paris de deux manières diffèrent,
malgré son intérêt Mercier c’est un écrivant de la ville : c’est le premier qui décrit la ville comme un objet
réel et pas satirique. Il aimait les foules et il les décrite dans le Tableau de Paris.
Mes jambes : il décrit Paris avec ses jambes, il se promenait dans la ville. Livre écrit sur la description de la
ville. Le rôle du poète est comme celui du journaliste. (Physionomie morale)
Physionomie pour la première fois il était étudié par Lavater, il soutenait qu’il y a une relation entre le
caractère moral et aspect physique. La physionomie morale cueille les mœurs de la ville. La physionomie
morale c’était l’écriture moraliste de la ville mais elle se fondait sur une idée réaliste (décrivait le mœurs).
Il y avait une exigence morale dans la ville, critiquer les hommes et la corruption qu’il y avait dans la ville.
Mercier en effet décrit les aspects moins connus de la ville de Paris, mais même s’il décrivait Paris et ses
rues il ne voulait pas écrire une guide touristique ; en revanche il voulait décrire les mœurs et les aspects
moins édifiants. La mœurs de Paris n’étaient pas les mœurs de la France entière.
Cet ouvrage enchaine les descriptions, les scènes, les tableaux tracés par Mercier avec vigueur, nerf, coloris
et parfois un sarcasme sans lesquels rien ne l’aurait distingué d’un guide de la ville de Paris. Mercier regretta
que l’idée qui lui était venue de traduire la physionomie physique et morale de Paris ne soit pas venue avant
lui à quelque esprit observateur dont les investigations eussent été utile à son histoire : « Si, vers la fin de
chaque siècle, un écrivain judicieux avait fait un tableau général de ce qui existait autour de lui ; qu’il eût
dépeint, tels qu’il les a vus, les mœurs et les usages, cette suite formerait aujourd’hui une galerie curieuse
d’objets comparatifs ; nous y trouverions mille particularités que nous ignorons : la morale et la législation
auraient pu y gagner. Mais l’homme dédaigne ordinairement ce qu’il a sous les yeux, il remonte à des siècles
décédés ; il veut deviner des faits inutiles, des usages éteints, sur lesquels il n’aura jamais de résultat
satisfaisant, sans compter l’immensité des discussions oiseuses et stériles où il se perd. »
Mercier affirme n’avoir tenu, dans son Tableau, que le pinceau du peintre, avoir fait la part mince au
philosophe, encore moindre au satirique. Trop passionné pour apporter dans ses jugements la froideur
désintéressée qui se contente de constater, sans admirer ou ne s’indigner jamais, Mercier s’emporte, dans cet
ouvrage, contre une société d’Ancien Régime qui n’en a plus que pour une demi-décennie. D’ailleurs, à
peine l’ouvrage était-il achevé que l’Ancien Régime dont Mercier avait entrepris la description des abus,
croulait et s’abimait dans la Révolution
Les deux premiers volumes paraissent en 1781. La première édition complète a été publiée entre 1782 et
1788.
Le Tableau de Paris, c’est le Paris populaire de la fin du XVIIIe siècle juste avant la Révolution. Cet ouvrage
enchaîne les descriptions, les scènes, les tableaux tracés avec vigueur et parfois sarcasme, ce qui distingue
cet ouvrage d’un cicerone classique. L’auteur mêle descriptions objectives et critiques acerbes des mœurs,

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témoignage engagé, travail d’historien et de sociologue qui s’emporte contre une société d’Ancien Régime
qui va bientôt être balayée.
L’ouvrage début ainsi : « Je vais parler de Paris, non de ses édifices, dès ses monuments, de ses curiosités,
&tc, assez d’autres ont écrit là-dessus. Je parlerai des mœurs publiques & particulières, des idées régnantes,
de la situation actuelle des esprits, de tout ce qui m’a frappé dans cet amas bizarre de coutumes folies ou
raisonnables, mais toujours changeantes. Je parlerai encore de sa grandeur illimitée, de ses richesses
monstrueuses, de son luxe scandaleux. Il pompe, il aspire l’argent & les hommes ; il absorbe & dévore les
autres villes «.

21/03
Mercier appartenait à la III génération après Voltaire l’important c’est qu’il parle d’un sujet qui avant de lui
était traité seulement par la police ou les autorités de la ville- ou par des auteurs qui, au contraire, la décrivait
selon de conventions satiriques.
Mercier dans le Tableau de Paris décrit la réalité d’une manière sérieuse, en suivant la physionomie morale :
analysant donc les aspects sérieux de la ville. Le Tableau de Paris n’appartient pas à au genre de la narrative,

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donc se différence de Voltaire et Montesquieu. Dans la description détaillée de la ville, Mercier décrit les
défauts des gens car il veut corriger l’attitude de la ville et améliorer la situation.
Page 43→ description du Faubourg Saint Marcel, dans la description de ce quartier Mercier le juge. Il
décrit une petite scène dans la rue : débat matrimonial. Mercier décrit des scènes très rapides, il nous offre
seulement des images. Pour cette raison ne s’agit pas de narrative, il n’y a pas des personnages caractérisés.
Avant la Révolution Mercier est convaincu qu’il y a un malaise diffus dans la population.
Les familles n’avaient pas les moyens pour payer les loyers et changeait beaucoup des fois les maisons en
créant de problèmes d’ordre publique. En écrivant ces rapports détaillés et réels, Mercier n’était pas pertinent
parce qu’il ne respecté pas le code du système de genre.
En effet la littérature ne comprenait pas les détails qui décrivait Mercier, la ville pouvait être décrit à travers
les images stéréotypés (satire). Mercier avait introduit un nouvel objet qui prend image (avant de lui ces
arguments était traité par les médecins, la police, les autorités et administrateurs).
Il faudra se souvenir de Mercier quand on lira Balzac, le phénomène qui se produit pendent un entier siècle :
exigence de représenter la réalité (nait avec le Tableau de Paris de Mercier).
Tableau de Paris il y a la description des rues, ce thème sera repris par Baudelaire que représentera aussi le
trait misérable de la rue (1846). Mercier tente d’insérer dans ses ouvres de petits travails.
Mercier dans le Tableau de Paris fait une analyse analytique et il utilise des chapitres séparés, discontinue,
au contraire dans Balzac il y a une tentative de reconduire les aspects que puissent avoir un problème
commun.
Prose s’impose sur la poésie.
Changement de la description des objets pendant les siècles, comme change les discours et la
représentation des objets.

II PARTE
04/04
Mercier essaie de proposer une reforme social à la fin de XVIII siècle. La nouveauté de Mercier c’est la
représentation détaillée de la vie quotidienne (n’est pas pertinente→ jamais a était décrit la ville dans des
essaies, seulement dans la satire). La réalité était connue par un code et un genre humble, la satire qui parfois
était conventionnelle. La réalité n’est pas représentée réellement mais était un signe, conventionnelle. Il a
une intente moraliste, il s’affiche un objectif. Mercier souligne la valeur morale.
Boileau était en train d’écrire un signe.

Manon Lescaut – Prévost (1731)


Dans son roman Prévost relève une attitude diffèrent de son époque (→ il anticipe le réalisme), car la
manière de décrire la réalité n’est pas conventionnelle.
Paris est utilisé comme décor dans cette ouvrage, Prevost cite seulement des lieux de Paris mais il ne la
décrira jamais. Paris sert donc pour créer un fil rouge dans l’œuvre.
Antoine François Prévost, dit d’Exiles, plus connu sous le nom d’abbé Prévost, l'un des écrivains les plus
féconds du XVIIIe siècle, naquit en 1697 à Hesdin, petite ville de l'Artois, où sa famille tenait un rang

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distingué. Envoyé au collège des jésuites pour y faire ses études, il prit d'abord quelque goût pour la vie
religieuse, et commença son noviciat avant l’âge de seize ans. Mais bientôt rebuté par les rigueurs du cloître,
il voulut essayer si la carrière des armes lui offrirait plus de charmes, et quitta l'habit de jésuite pour prendre
celui de volontaire. Ce second choix cependant, aussi inconsidéré que le premier, ne le rendit pas plus
heureux. Il revint chez les jésuites, qui lui pardonnèrent aisément sa faute, et l’accueillirent même avec tant
de bonté, que les douceurs qu'il trouva parmi eux lui tinrent, pendant quelque temps, lieu de de vocation.
Mais l'effervescence de son âge et de son imagination ne lui permirent pas de goûter longtemps cette vie
paisible ; pour la seconde fois il s'enfuit du cloître, alla reprendre son rang à l’armée et se livra pendant
quelques années à toutes les jouissances qui lui étaient offertes. Enfin, un violent amour trahi étant venu
empoisonner ses plaisirs et désenchanter son existence, il se crut de nouveau appelé à l'état religieux et entra
chez les bénédictins de Saint-Maur, où l'étude amortit, pendant quelque temps, ses passions, sans les détruire.
Il eut des succès dans l'enseignement et dans la chaire, et fut associé aux immenses travaux de ses confrères
à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés ; mais l'image du monde et des vains plaisirs qu'il avait goûtés se
reproduisait trop souvent à son imagination pour qu'il pût vivre en paix dans la solitude. Il voulut alors
alléger des chaînes qu'il avait prises volontairement, et, n'ayant pu y parvenir, il s'enfuit en Hollande en 1729,
et s'y fit une ressource de ses talents. Fixé à la Haye, c'est là qu'il publia ses Mémoires d'un homme de
qualité, dont il avait composé les deux premiers volumes pendant son séjour à l'abbaye Saint-Germain-des-
Prés, et le succès qu'obtint cet ouvrage, ne fut pas moins utile à sa bourse qu'à sa réputation. Diverses raisons
l'ayant engagé ensuite à passer à Londres, il y publia successivement : Histoire de M. Cleveland, fils naturel
de Cromwell ; Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, et entreprit en même temps une feuille
périodique intitulée le Pour et le Contre, qui fut très favorablement accueillie du public, et qu'il conduisit
jusqu'au vingtième volume. Les quatre premiers seulement furent composés pendant son séjour en
Angleterre ; car au milieu des jouissances que lui procuraient ses talents et les agréments de sa personne, il
ne tarda pas à sentir qu'il n'est de véritable bonheur qu'au sein de sa patrie, et sollicita la permission de
rentrer en France, où il reparut en 1734 sous l'habit ecclésiastique séculier. Ses travaux littéraires se
multiplièrent avec une incroyable rapidité. Frappé d'une apoplexie soudaine en traversant la forêt de
Chantilly, il fut trouvé sans mouvement au pied d'un arbre et transporté chez le curé le plus voisin, où la
justice fut appelée selon l'usage pour constater l'état du prétendu cadavre. L'officier public agissant alors
avec une précipitation bien déplorable, ordonne sur-le-champ l’autopsie. Au premier coup du scalpel, un cri
déchirant de la victime révèle son existence, et frappe d'effroi les assistants. La main glacée de l'opérateur
s'arrête mais le coup mortel était porté, et l'infortuné ne rouvrit un moment les yeux que pour voir l'horrible
appareil qui l'environnait, et mourut à l'instant même.
Dans sa carrière il a traduit Richardson de l’anglais et il tient le contacte avec une nouvelle forme de
littérature : le roman bourgeois, qui n’existait pas en France (avant le réalisme). Prevost en Angleterre fait la
connaissance d’une culture complétement différente de la française.
Son roman Manon Lescaut (à l’origine appelé Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut) fait
partie d’un un œuvre plus vaste : mémoire d’un homme de qualité (manuelle de Tomes) l’histoire de
Manon Lescaut est dans le tome VII. Avec ce roman il cherche d’introduire en France le roman bourgeois.
Manon Lescaut est une histoire racontée à la première personne (Chevalier des Grieux). Dans la description
de sa vie, des Grieux fait comprendre que l’origine des tous les maux qui tombe sur lui sont causé par Manon
(de manière volontaire ou involontaire). Manon devient un mythe, la figure archétype de la femme fatal qui
séduit les hommes.
Au débout du roman elle a seulement 16 ans, en effet elle représente une image d’innocence, le protagoniste
a 17 ans. Dans l’histoire on mélange la passion et la mort.
Le récit commence d’une manière surprennent dans une hôtellerie (en médias RES).
Manon qui est une jeune fille doit aller dans le couvent. Elle a sur soi une lettre de cachet, que servait à
l’époque pour fermer quelqu’un mais pas de manière officielle.

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Panachant pour le plaisir mais en réalité nous ne savons rien d’elle. Dans l’œuvre n’est pas présent l’image
de la mère qui est toujours une figure positive, il y a seulement celui du père ; Manon et la seule figure
féminine dans le roman.
Les texte se présent comme le raconte que le Chevalier des Grieux fait à l’homme de qualité, le Marquis de
Renoncour.

Structure de l’œuvre :
Prévost = Auteur
Renoncour = Narrateur 1
Chevalier des Grieux = Narrateur 2
Dans la deuxième partie il n’y a pas la figure du narrateur 1. On commence tout de suite avec la narration de
des Grieux.
Avis du lecteur de la « mémoire » : PREFACE FICTIONNEL AUTORIAL fait partie du paratexte
Une coté réclame l’autorité des auteurs classiques : citation en latin du Horace
Exemplum. → Manon devient un exemple de femme dangereuse, la passion qui souvent conduit les jeunes

05/04

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2 éditions de Manon Lescaut, Prévost a changés et corrigés des choses dans la deuxième édition, il a aussi
ajouté une image pour mieux commenter le texte. COMMENTAIRE : jeune homme qui pour choix a choisi
de vivre une vie dans la misère pour suivre ses passions (HISTOIRE MORAL).

« QUANTA LABORAS IN CHARYBDY, DIGNE PUER


MEDIORE FLAMMA » vers classique de Ovide.
Homme et jeune fille presque déshabille, tiré du roman de
Fénelon. Donnait un moral où la vertu ancienne était
valorisée
Le chemin (chrétienne) qui a entrepris par l’homme est un
chemin très dur et difficile.
Représentation allégorique des personnages.
• Tiberge → ami sage du chevalier des Grieux, qui
l’aide toute la fois qu’il a besoin ou qu’il est en crise

L’image faisait partie du paratexte du roman. Le roman présente un recite.

Auteur→ Prévost
Narrateur 1 → M. Renoncour
Narrateur 2 → C. des Grieux

Renoncour (narrateur1) prend la parole au débout du roman et la laisse au Chevalier des Grieux (narrateur 2)
et il la reprend à la fin de la première partie.
Dans la deuxième partie il n’y a pas que la voix du Chevalier (narrateur 2).
Prévost essayait de rendre croyable le roman aux lecteurs.
Les auteurs commencent à rendre ses romans verosimiles et commencent à se préoccuper de la ressemblance
du roman avec la réalité. Ils utilisent la première personne qui devient plus efficace, mais quelqu’un doit le
rendre plus verosimile.
Au débout du roman Prévost décrit une scène de la vie quotidienne, a un tond de la réalité mais il ne s’agit
pas du réalisme.
Les femmes prostitués venait déporter en Louisiane. Parmi le jeunes filles, M. Rénocour remarque une qui
est différente des autres.
Détaille qui fait vraie le raconte → Manon est enchainée par le milieux du corps.
Le premier sentiment que l’auteur nous fait ressentir pour Manon est la pitié. Depuis la description de Manon
entre en scène de Grieux, sentiment compatissant. Dans cette œuvre il y a le jugement des valeurs et des
sentiments ; il n’y aura jamais dans l’histoire la description physique des personnages.
Le recite de des Grieux est une analepse.
Il raconte l’histoire d’une manière pure et avec cette pureté nous présent le personnage de Manon.

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06/04
MANON LESCAUT - PRÉVOST
La structure du roman
La première personne change d’un niveau à l’autre du texte. C’est le narrateur qui change. Le narrateur 2
prendra la parole à la page 151 et sera le seul narrateur. Ce discours est enchainé à l’intérieur d’un autre. Il y
a le problème du point de vue qui fait toute l’originalité du texte. Le texte a mis en place une stratégie à
travers laquelle Manon est vue par les yeux d’un homme aveugle. Lesage et Marivaux sont d’autres écrivains
de l’époque qui utilisent la même technique. Montesquieu avait un certain souci de rendre croyables les
lettres des Persans qui n’ont rien de réaliste. Prévost écrit un texte vraisemblable, c’est pour ça qu’il introduit
des détails de la vie de tous les jours. Les détails quotidiens on le retrouve tout au cours du roman. Ils ne
signifient rien du point de vue narratif, mais ils servent à donner à l’histoire un ton de réalité.
Le Réalisme dramatique
« L’Académie des Jeux » étaient un tripot où on jouait. Il parle de l’Hôtel de Transylvanie connu parce que à
l’époque du règne de Louis XIV un Prince de Pologne y séjournait et avait transformait cet hôtel dans un
tripot parce qu’il avait besoin d’argent. Au moment du récit le Chevalier des Grieux se trouve dans la même

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situation parce qu’il a besoin d’argent et nécessite quelqu’un qui peut tricher les gens. Le lecteur oublie tout
cela parce que l’image que le lecteur a du protagoniste est positive. Pour montrer qu’il est tombé en bas et
pour donner plus d’évidence, il parle d’un endroit réel et historique que le lecteur de l’époque connaissait
bien. Prévost ne fait que nommer l’endroit, il ne le décrit pas. Tout ça à l’époque n’était pas banale. Boileau
nommait des personnages en général par antonomase. La fonction chez Boileau est plus abstraite. Dans
Prévost on trouve des personnages bien identifiés. La fonction du tripot n’indique pas n’importe quel tripot,
mais celui-ci particulier. La présence de l’Hôtel de Transylvanie donne au roman un valeur réel.
Jean Sgard est un spécialiste de Prévost. Il fait une remarque (chapitre 4 « Il Fango e l’oro »). Sgard dit «
Prévost romancier : le réalisme de Prévost n’est pas descriptif : il est tragique. L’auteur ne décrit jamais la
réalité pour elle-même, il en fait un obstacle dramatique […]. Prévost procède en dramaturge ». Son réalisme
ne décrit pas les choses, il simplement nomme ses aspects. C’est réaliste de la manière à travers laquelle il
nomme des choses réelles. Le réalisme balzacien se fonde sur la description. Flaubert disait que l’écrivain
doit faire voir l’objet dont il parle. Le lecteur de Prévost comprend la réalité grâce aux lieux réelles. Le lieu
sert à ajouter quelques détails qui font avancer l’histoire. Le seul fait d’évoquer ses éléments nous permet de
faire un pas en avant dans l’histoire. Prévost scande le chemin vers la perte de dignité de des Grieux à
travers de noms réels. Ces étapes sont scandées grâce à ces noms. Le réalisme est dramatique. Il sert
d’obstacle au bonheur de deux. Il a une valeur dramatique, sert à alimenter l’intérêt du lecteur. Sgard nous dit
que Prévost est un dramaturge. La réalité n’est pas décrite pour elle-même. Le conte est fantastique,
merveilleux, en revanche « Manon Lescaut » est une histoire, c’est-à-dire une nouvelle enracinée dans
l’histoire.
Jusqu’à la fin du siècle le roman typique était plein d’histoires invraisemblables. Il y avait les rencontres au
hasard. Les coïncidences chez Prévost sont dissimulées. Paris devient la capitale du hasard où les gens se
rencontrent au hasard, mais c’est quelque chose de vraisemblable qui arrive. Prévost utilise le hasard
romanesque, mais qui est vraisemblable. La première rencontre des protagonistes se passe par hasard, mais
dans un lieu et dans une situation réelle.
Le lecteur peut repérer tous les endroits du roman et donc reconstruire l’histoire.
Le personnel du roman
Il est choisi de manière à créer des groupes. Les personnages s’opposent comme des forces les unes aux
autres. On peut lire le roman comme une allégorie. L’auteur lui-même a fait publier une vignette au début du
roman qui est un emblème qui avait la fonction de représenter un concept, une idée. L’emblème synthétise le
sens de l’histoire de Manon Lescaut qui aboutit à une autre flamme. C’est la situation de Manon, des Grieux
et Thiberge, qui étudie théologie. Les personnages du roman, qui sont très peux, sont tous fonctionnels à
l’histoires, il n’y a pas des personnages inutiles. Seulement dans la deuxième édition il y a un personnage
ajouté mais qui n’est pas nécessaire. Thiberge est celui qui joue le rôle de l’ami sage. Il devient prêtre et il est
celui qui est toujours prêt à aider concrètement. Ensuite nous avons des figures « de l’autorité » qui sont le
père et le frère ainé de des Grieux. Le père est quelqu’un de connu qui joue le rôle du sur-moi qui sert à
reprocher au chevalier son comportement. Il est bon, gentil, aime son fils. Sera le frère aîné qui va chercher
à Paris le petit frère pour l’amener à la maison.
Toute l’histoire est celle de deux jeunes en fuite à Paris qui seront suivis. Sera le père à séparer les amants
parce que quand la fille se retrouvera emprisonnée, des Grieux fait tout le possible pour la sauver, mais le
père la fait condamner à l’exile et le chevalier la suit. Le père est quelqu’un qui obsède le couple. C’est lui
qui empêche le couple de vivre ensemble, donc c’est une force négative.
Une autre figure est le Lieutenant Général de Police était une fonction réelle, c’est-à-dire le Ministre de
Paris. Paris n’a pas connu des catastrophes telles que celles de Londres.

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18/04
Réalisme est défini d’une manière précise → Balzac
Balzac c’est l’auteur qui a essayé de manière programmatique une approche à la littérature diffèrent → écrire
un tableau de la réalité
Mercier construit un tableau statique.
Balzac dynamise et narrativise le tableau que Mercier avait fait. Paris devienne le protagoniste du récit, il
n’est plus le fond. Paris intervient dans la vie quotidienne, est toujours présente dans l’action.
Ex.
Beau quartier → caractérise les personnages positivement
Mauvais quartier → détermine le caractère de personnage (Prévost est présenté de manière vague, plus précis
dans Balzac.
Balzac a l’exigence de décrire les quartiers mais pour le faire ajoute l’élément de la fantaisie. Balzac est né
au début du siècle. Des le début de sa vie a fait comme banquier, il a tout perdu et il a commencé à écrire
pour payer ses dettes. Il a donc, pour ce motif, une activité littéraire très vaste. Au début il écrit en utilisant
des pseudonymes.
Peau de Chagrin (1831)
Ce travail de Balzac et parfaitement contemporaine au romantisme
Victor Hugo est contemporain de Balzac, mais à une philosophie toute contraire. Dans 1831 Hugo était déjà
très connue. Il publie dans la même année Notre - Dames de Paris. Stendhal aussi écrit dans la même
période.
Dans les années ’20 et ’30 du XIX siècle se développent deux corrects littéraires : le romantisme et le
réalisme. Il y a donc dans cette siècle une coexistence des deux genres qui se développe parallèlement mais
qui ont deux diffèrent approche.
On peut voire dans cette vision la Peau de Chagrin :
• Romantisme : fantaisie
• Réalisme : réalité empirique
Balzac trouve le titre à la fin de l’écriture de son livre → Comédie humaine.
Balzac tente de crée une sorte d’unité dans ses romans. Il écrit plusieurs scènes de la vie quotidienne. Les
personnages reviennent dans plusieurs œuvres, de cette manière crée une sorte de continuité dans ses
romans.
Les romans nous montrent certains moments précis de l’histoire de personnage, dans un roman le personnage
est jeune et dans l’autre est ancien. Idée d’une vie qui passe, présent un cadre général.
Il écrit des scènes de la vie en Provence, de la vie dans Paris et militaire pour permettre de créer un scenario
plus vaste.
Balzac a travers ses contes racontes l’histoire et l’évolution de la société français
1789. Napoléon est battu, sont en charge les aristocrates.
1815. Restauration bourbonique Charles X.
1830. Révolution bourgeoise, s’impose la monarchie constitutionnelle (monarchie est atténué par le
représentants des chambres).

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1842. Comédie humaine de Balzac.

1848. II République est introduite en France. Dans ces années Flaubert écrit ses contes.
En févier il y a la révolution bourgeoise qui s’opposait à l’aristocratie
En juin le front révolutionnaire se divise en 2 : bourgeoises et ouvriers. Les ouvriers demandent un augment
de salaire et meilleures conditions de vie.
1850. Napoléon III, la nièce de Napoléon Bonaparte, devienne empereur du deuxième empire.
La France a une tendance à la guerre civil → coupé en 2 : une part très révolutionnaire et l’autre
traditionaliste.
Dans les romans de Balzac il y a une vision directe de la réalité. Balzac était un homme de l’ancienne
régime, traditionaliste, mais la vision de la réalité dans ses romans il critique la noblesse.
La Peau de Chagrin est un conte philosophique parce que le noyau de l’histoire est l’explication du mystère
de la vie. Apologue s’agissant l’existence. Dans ce conte il y a une coté fantastique chaque fois que le
protagoniste exprime un désir, la peau restresse un peu.

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