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CHAPITRE I 

: INTRODUCTION GENERALE

La perte spectaculaire de la biodiversité est observée dans le monde et reconnu comme


étant la conséquence de l’industrialisation de la démographie, les pollutions croissantes, les
prélèvement accrues des ressources naturelles et du changement climatique. La nécessité de
maintenir l’environnement naturel mondiale dans un état de santé suffisant pour l’humanité,
suscite la mise en place des outils de conservation nouveau.
Les milieux marins et côtier ont subi ses dégradations particulièrement fortes mais
n’ont pas bénéficié des mêmes efforts de conservation des milieux terrestres.
La surpêche, l’utilisation d’engin de pêche destructeurs, l’exploitation minières, les
pollutions telluriques sont autant de facteur ayant contribués à cette dégradation. Malgré ces
constats, moins de 1% sont placé sous un régime de protection spécifique à savoir les AMP et
parmi les objectifs fixés en 2012, 5% doivent être atteint.

I. POURQUOI CONSERVER ? POURQUOI LES AMP ?


La conservation se fait souvent sur la base d’un constat de dégradation de
l’environnement et des espèces du milieu (qui le peuple). Et la dégradation constaté est
d’habitude le résultat d’usage excessif que les hommes ont fait de leur environnement. Par
exemple, le raie scie (2012 la dernière fois observée en Afrique de l’ouest) qui a presque
disparu parce que les hommes en pêchaient plus qu’il n’en fallait.
Le pourquoi des AMP n’est rien d’autre que la réponse à la dégradation des objets des
AMP sont variés de la protection de forêt côtière (paysage côtier, mangrove) à la protection
d’une espèce emblématique (Lamentin). Mise en défense des écosystèmes spécifiques.
Actuellement on compte aussi parmi les objectifs possibles de AMP la conservation du
patrimoine culturel et humain de certaine communauté qui peuvent filmer en ultime relation
avec leurs espaces et ses ressources.

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CHAPITRE II : PROBLEMATIQUE DE CONSERVATION DES AMP

I. Pourquoi une AMP ?


L’AMP peut être la représentation à plusieurs problèmes si on se trouve devant une question
de dégradation environnementale importante, le besoin de conserver devient immédiatement
car la nécessité se fait ressentir. Ce contact est généralement fait lorsque l’érosion de la
biodiversité est déjà grave sur plusieurs plan (écologie + socio-économique).
On peut encore espérer restaurer la situation. Une série d’AMP protège les sites divers
éloignées des uns des autres mais supposés complémentaires à l’échelle régionale. Ces
complémentarités sont moins étudiés mais on peut les ressentir concernant les différentes
phases de la vie des animaux (tortues marines, cétacés…).

II. Quelles sont les ressources à conserver et où conserver ?


Il est important de définir clairement le site à conserver, on parle souvent d’une unité de
gestion des RN terme qui implique tous les éléments de l’écosystème nécessaire à une
planification cohérente à la conservation du site. Il est parfois difficile de définir les limites
d’un écosystème ; si on veut que les éléments qui ont impactés sur cet écosystème en face
partie.
Au-delà de la constitution d’une unité écologique devra aussi être cohérente en terme
socio-économique.
Une Unité de Gestion des Ressources Naturelles est un territoire ou un assortiment de
ressources géré en tant qu’écosystème. Pour être cohérent, elle devrait inclure les éléments
écologiques nécessaires pour planifier sa conservation repartir les espèces et bénéfices de
l’entreprise. Une AMP est faite d’une ou plusieurs unités de gestion cohérente.

III. Méthodologie de conservation dans les AMP


La conservation au sein des AMP des éléments sont pris en compte après l’identification
préliminaire d’un site à protéger et l’évaluation de l’opportunité et de la faisabilité d’un
système. Contrairement au concept antérieur, aujourd’hui dans de nombreux pays aucun
projet d’AMP ne peut mener sans que des communautés ou des usagers résidents associés au
périphérique ne soit envisagé sans l’accompagnement d’un processus de consultation de cette
population.
Ces processus très nombreux dans le monde sont nécessaire mais loin d’être suffisant pour se
déclarer en situation de gouvernance partagé. Beaucoup de temps et de moyens humains et

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financiers est indispensable pour faire évoluer un contexte de la simple consultation vers celui
de la gouvernance partage en passant par plusieurs étapes de participation tangible. La GP
permet d’éviter les injustices sociales (découlant d’une mauvaise gestion). Elle permet aussi
de faire usage du savoir et du savoir-faire environnemental.
1. Conditions qui suggèrent la mise en œuvre d’un processus de gestion participative

- Les riverains ont bénéficié des droits coutumier et/ou formel sur le site de ses
ressources.
- Les modes de vie des communautés locales sont fortement influencés par des
décisions sur les Ressources Naturelles du site.
- Les décisions à prendre sont complexe et controversées. Il existe des divergences
sur les sites d’exploitation des espaces et de ses ressources.
- Le système actuel de gestion des ressources naturelles fonctionne mal et n’arrive
pas à satisfaire les besoins des riverains.
- Les parties prenantes clefs veulent collaborer.
- Il y a assez de temps pour négocier.

2. Bénéficie potentiel de la gestion participative


- Le partage effectif des responsabilités entre les parties prenantes diminuent la charge
attribue à chacune d’entre-elle.
- Un accord de projection produit de bénéfices négocie pour toutes les populations.
- Les alliances formés entre les acteurs ce de l’état et les riverains ont tendances à mieux
combattre l’exploitation des ressources par les parties non locales.
Celle-ci présentant souvent le plus grand danger pour la préservation des RN.
- La GP, promeut une gestion plus efficace via la mise en valeur des capacités
diverses et avantage comparatif des différents acteurs (savoir, savoir-faire, ****
proximité aux ressources…).
- La GP réduit les frais d’application et le contrôle des accords, grâce à la puissance
du respect des règles.
- La GP accroît les compétences et gestion des RN de toutes les parties prenantes
qui participent au processus.
- Elle améliore la confiance entre l’agence de l’état et les autres actes sur la base de
leur engagement. Dans le processus de leur volonté d’agir suivant les délais prise
ensemble.

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- Elle promeut un sens de sécurité, de stabilité, de décision facilitant la confiance
dans les investissements et les perspectives de développement à long termes.
- La gestion participative promeut la compréhension et la reconnaissance des points
de vue et de position de toutes les parties prenantes, provenant/minimisant ainsi les
conflits liés à la gestion des ressources.
- Elle promeut aussi la sensibilisation du public pour la conservation et l’intégration
de la conservation et l’usage durable des ressources naturelles dans l’initiative à
caractère social économique et culturel.
- Elle promeut diffusion de la démocratie participative dans la société en général.

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CHAPITRE III. LA RESPONABILITE DE CONSERVATION AU SEIN DES AMP
1-Les parties prenantes
Les parties prenantes doivent toutes être incluses dans le processus de négociation.
Sont généralement un ensemble diversifié d’acteurs ayant des regroupements physiques
comme des personnes morales. Elles peuvent être associées au site / ou des migrants du site
par ses ressources et ses histoires passées. Il existe des parties prenantes qui impacte sur le site
par leur activité (compagnie d’exploitation pétrolière opérant hors du site…).
En général, les parties prenantes ont des intérêts différents voir divergents à propos de
l’affectation du site tout en étant doté du degré de légitimité différent. Ainsi, on a :
- Les groupes concernés qui ont un intérêt ou un mandat direct, pour la gestion des
ressources visées.
- Les groupes avec revendication (droit d’accès / usages au ressources visées).
- Les groupes impactant.
- Les circonstances spéciales.

2. Financement des AMP


L’une des grandes préoccupations de la vitesse d’avancement du processus d’un AMP
est la disponibilité de ressources financière et humaine. Le processus est parfois bien et
nécessite des ressources pour rassembler les infos nécessaires pour planifier, obtenir des
expertises et pour mettre en marche des initiatives de communication sociale pour aider les
populations à s’organiser pour appuyer les réunions, les négociations des accords de
projection, l’élaboration des documents.
Il est bien d’évaluer les besoins en ressources en fonction de la complexité des
initiatives qui se présente et d’identifier les sources de financement ; le tout dans la
perspective de planification à moyen terme, les financements partiels à cours termes ne sont
pas nécessairement utile car le processus doit être fait à long termes.
Tandis que les services de financement peuvent être diverses, la rupture du processus
pour cause de manquement de fond créera des frustration parmi les populations ; pour mettre
en péril la crédibilité et le succès de l’initiative.

3. Le processus de mise en place d’une AMP


-Rassembler les informations et les outils
Elle se fait en travaillant avec les parties prenantes que les choses vont être callées. La partie
prenante et l’équipe de travail communique de manière séparée. Les nombres de l’équipe ne

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prennent pas position sur les gestions techniques. Ils aident juste les parties prenantes à
prendre en charge ce travail elle-même.
Contribué au rassemblement des maximum d’infos sur le site (habita, ressource et
usage fait). Un type d’information clés est constitué de titre reconnus et des revendications
non reconnues de comité résident par rapport au site et à l’usage de ses ressources.
Sur la base des infos en l’équipe de démarrage peut décider d’avoir une « note
technique » qui regroupe d’un côté toutes les informations nécessaires pour l’AMP
description biophysique) y compris ces UGRN identifier de façon préliminaires, avoir la liste
des populations.
-Les critères clés pour la sélection des membres de l’équipe de démarrage.
Il y a :
- La diversité : issus des disciplines et groupes sociaux différents.
- La crédibilité : ils doivent avoir une crédibilité élevée parmi les acteurs et les
membres concernés.
- La motivation personnelle, les membres ont qui ont à cœur l’AMP Une capacité de
communication : savoir écouter, faire passer des messages mais aussi et surtout ils
savent inspirer leur interlocuteurs.

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CHAPITRE IV : LES OUTILS DE CREATION ET GESTION DES AMP
1. La communication sociale

Les négociations qui suivent généralement la phase 2 ne peuvent produire des résultats
satisfaisants et légitimes que s’ils sont mêlés dans un système de communication de savoir
approprié.
L’objectif du système communication sociale, est de partager et discuter. Le plus
possible des connaissances, à propos des valeurs du site présent pour l’AMP, les menaces qui
pèsent sur elles et des biens fondés de sa conservation.
A part ces fonctions de mise à niveau la circulation de l’information, des
sensibilisation et d’engagement d’acteurs dans le processus, la communication locale (sociale)
et la source d’innovation et dynamisme.
-Fonctions de la communication sociale
Elles sont :
- Diffuser l’information à propos de qui a pris l’initiative et de mettre en marche le
processus de l’AMP et pourquoi.
- Susciter la discussion à propos de grandes gestions environnementale économique
et sociale qui concerne le site en considération.
- Rendre les enjeux (visible)
- Amener tout le monde à comprendre les lois et politique qui concernent le site et
ses enjeux.
- Amener tout le monde les opportunités qui se présentent avec le processus de
gouvernance partagée.
- Permettre aux gens de mieux se connaitre.
- Préparer les parties prenantes à la phase de négociable.
- Se rappeler que la communication sociales continue à jouer un rôle essentiel des la
GP mais un rôle.
-Types de communications sociales
- L’information : améliore des connaissances du récepteur.
- La sensibilisation ; améliore les consciences.
- La formation : renfonce les compétents.
- Apprentissage inter active règlementation discussion et action commune.
-Les outils de la communication sociale
La CB est une porte ouverte sur l’observation et la créativité. Ils sont :

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- Utilisation d’un bagage approprié et adapté aux cibles.
- La non-discrimination contre les plus faibles
- L’information doit être vrai, complète et juste.
- Respect de la culture et des normes locales.
- Conscient des implications sociales
- Promotion des échanges (débats, dialogues, discussion)
2. Recherche pour l’Action Participative
La RAP n’est que le prolongement naturel de la communication sociale. L’information et le
savoir sont échanges entre les parties prenantes.
-Les outils de RAP
- *** d’observation des terrains : après les visites de terrain, l’observation directe de
plusieurs phénomènes des interservices avec les personnes rencontrées. On
compile l’information sur un diagramme qui permet aux parties prenantes
d’identifier et d’analyser les différentes étapes que le processus va prendre.
- La cartographie participative des espaces et des ressources qui permet de visualiser
avec un groupe dans son espace ses ressources, ses problèmes et ses atouts et
d’amorces un débat sur les effets saillants.
- La cartographie historique de l’utilisation des terres, la situation sociale sont
représentés sur des cartes qui illustrent un même endroit en des moments
différents.
- L’analyse des tendances l’exercice permet de visualiser l’évolution d’une
ressource ou d’une communauté dans le temps et l’espace et permet de changer des
points de vue, de débattre et de créer une nouvelle information

2. Organisation des parties prenantes


Suite à la centralisation des pouvoirs décisionnelles au sein de l’organisation de l’état, les
sociétés traditionnelles et leur mode de gestion de ressources naturelles ont été déstructurés et
fortement affaibli.
Pour le processus d’organisation des parties prenante, pour qu’elles puissent participer de
façon efficace, plusieurs éléments sont à prendre en compte :
- L’acquisition de capacités spécifique
-

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