Bors Thomas
Marcadier Lucas
Kempf Léo
Sommaire :
1) Equipement à disposition
2) APEF Expérimental
3) APEF Théorique
a. APEF
b. Explications liées aux phases
c. Calculs liés aux conditions de coupe
d. Contrat de phase
e. Démarches de réglage de la machine
4) Vérification des cotes
5) Conclusion
1
Introduction
L’objectif de ce TP était de réaliser une pièce sur un tour parallèle dans le but de
se familiariser avec cette machine. Pour mener à bien l’usinage, nous avons dû
mettre en place un avant-projet de fabrication contenant les différentes phases
et opérations à effectuer. Il était aussi nécessaire de calculer la vitesse de
rotation du tour pour avoir un usinage plus précis.
1) Équipement à disposition
a. Brut Ø 19.95 mm
B5
B 2/3/4
B1
b. Numérotation des surfaces de la pièce finale
3
4 2
9 1
7
8
2
c. Liste des équipements (outils, tour, instruments de
mesure…)
Nous disposions d’un tour parallèle à charioter et à fileter avec des outils sur un
porte-outils.
3
Moyens de contrôle :
- Pied à coulisse
- Micromètre
2) APEF Expérimental
Nous avons présenté ici les étapes effectuées lors de la manipulation. On sait
qu’on peut toujours regrouper les phases et en réduire leur nombre, c’est ce qui
nous allons voir dans la partie, précédente. C’est sur l’APEF théorique que nous
nous baserons pour faire toutes les explications.
4
3) APEF théorique
a. APEF
* Phase 1 :
* Phase 2 :
5
Explications liées aux phases :
PH 10
On commence donc par un dressage du brut B1, afin d’avoir une meilleure
qualité que celle du brut. On utilise ici un outil à charioter et dresser d’un Kr de
75°.
On procède donc ensuite par un chariotage du brut B (234) pour réduire son
diamètre de 19,95 mm à 18mm avec le même outil. On génère alors la surface 4
et le brut B(2-3). D’après les calculs effectués dans la partie suivante pour
garantir une meilleure qualité d’usinage, on doit (ou pas) effectuer 2 passes
d’environ 1mm.
Une fois cette surface réalisée, on s’intéresse au brut b3 qui après usinage
(chariotage de plusieurs passes d’environ 1mm), génère les surfaces 2 et 3
présentées sur le schéma du début. On utilise toujours l’outil à charioter et
dresser.
PH 20
Enfin, on pointe avec un outil à centrer suivit d’un perçage avec un foret
+0,22
Ø10mm, en générant la surface 6. La cote assez large de 10H13 (10−0 ) nous
permet d’utiliser un foret directement sans passer par une étape de finition avec
un alésoir.
6
On termine enfin par le chanfrein intérieur 1x1mm, effectué avec une fraise
conique (90°), générant la surface 9
Pour la mise en position isostatique, une fois la pièce coupée, on est obligé de
faire la MIP sur une surface usinée. Les dernières étapes reposant sur la partie
« tête de vis » de notre pièce, on va donc faire cette fois ci un centrage long sur
la surface 2 suivie d’une ponctuelle théorique sur la surface trois (éliminée par
serrage du mandrin).
Les outils à notre disposition sont des outils carbures, avec une vitesse de coupe
V c = 200 m/min
7
d. Contrat de phase
8
e. Démarches de réglages et conditions de coupe
PH 10
Manipulation
Manipulation
Manipulation
9
Explication liée à la côte
Manipulation
Manipulation
Une fois les usinages nécessaires sur ce côté de la pièce terminés, on s’occupe
du tronçonnage de la pièce pour usiner l’autre côté de la pièce. On remplace
l’outil par un outil pelle. On se place à Z = 60mm (au niveau de la fin de
l’usinage effectuer lors du premier chariotage), pour garder une marge de
sécurité par rapport à la longueur finale de la pièce, sera de 50mm. On fait
translater la table sur X jusqu’à ce que la pièce tombe dans le tour.
PH20
Manipulation
Sans oublier d’enlever le brut restant dans le mandrin, on y place notre pièce, en
serrant sur la surface 2. Idéalement, il faudrait placer la pièce dans un mandrin à
mords doux, afin de ne pas abimer la surface lors du serrage.
On remplace l’outil pelle par l’outil à charioter et à dresser dans le porte pièce.
On souhaite réaliser un dressage de 3mm, la pièce coupée étant de 53mm, pour
obtenir la longueur finale de la pièce, soit 50,15mm. Pour cela, on effectue un
étalonnage. On approche l’outil de la pièce jusqu’à l’apparition du premier copeau
(sur le brut 5), puis on règle Z=0mm sur la console. On recule la table, puis on
se place à Z = 2,85mm et on fait translater la table sur X pour effectuer le
dressage et générer la surface 5.
10
Explication liée à la cote
+0,3
Afin de respecter la cote de 500 , il faut penser à rajouter 0,15mm sur la
longueur afin de se rapprocher le plus possible de la moyenne entre les deux
pires cas. C’est pourquoi on cherche à obtenir une cote de 50,15mm.
Chanfreinage 1×1
Manipulation
Centrage
Manipulation
Perçage
Manipulation
Chanfrein intérieur :
Manipulation
Afin de réaliser le chanfrein intérieur, nous avons utilisé une fraise conique que
nous avons placé dans le mandrin de la perceuse du tour. Nous avons avancé la
fraise conique jusqu’à l’apparition du premier copeau, puis nous avons avancé
d’1mm pour obtenir un chanfrein intérieur qui correspond à la surface 9.
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4) Vérification des côtes
Ø12h9
0
Pour vérifier la côte Ø12h9, qui correspond à un diamètre de 12 , on
−0,043
utilise un micromètre pour mesurer le diamètre de la pièce. On remarque que le
micromètre nous donne une valeur de 11,83mm ce qui ne nous permet pas de
valider la côte.
Ø18h9
12
0
Pour vérifier la côte Ø18h9, qui correspond à un diamètre de 18 , on
−0,052
utilise un micromètre afin de mesurer le diamètre de la pièce. On remarque que
la valeur donnée par le micromètre est de 18,12mm ce qui ne nous permet pas
de valider la côte.
Ø10H13
+0,22
Pour vérifier la côte Ø10H13, qui correspond à un diamètre de 10 , on utilise
0
un pied à coulisse aux vues de la précision de la côte. Le pied à coulisse nous
donne une valeur de 10,17mm ce qui nous permet de valider la côte.
Coaxialisé Ø18h9 Ø12h9
Pour pouvoir vérifier la côte de coaxialisé entre les axes des cylindres de
diamètre Ø18h9 et Ø12h9 on doit utiliser un ordinateur et un appareil de mesure
qui nous permettent, en analysant les surfaces des cylindres, de tracer leurs
axes réels. Une fois cela fait, l’ordinateur et l’appareil de mesure aurait pu voir et
déterminer si oui ou non les 2 axes sont coaxiaux avec un écart de 0,1 et donc
valider ou non la côte. Nous n’avons pas le faire car nous n’avions pas le matériel
nécessaire.
CONCLUSION :
fjsdhijjhqosigfhdlfidhlfijghsldfighsldfkghsldf
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