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2
CHAPITRE I :
ZOOLOGIQUE
• INTRODUCTION
3
1- Ancienne classification
Les Les
Métazoaires Protozoaires
4
1- Classification ancienne
hétérotrophes.
PROCARYOTES:
EUCARYOTES • BACTERIES
• Cyanobactéries
« CHAMPIGNONS »
ALGUES PROTOZOAIRES Les Archaebactéries
4ème règne
sont également des
protistes,
les virus sont
acellulaires
6
La systématique moderne
8
http://www.univ-brest.fr/esiabscientifique/Mycologie/Classification
Les étapes de l’évolution
Protostomiens
Deutérostomiens
1. Annélides
1. Echinodermes
2. Mollusques
2. Chordés
3. Arthropodes
Les Coelomates
• Invertébrés inférieurs
(Diploblastiques)
•Triploblastiques :
• Acœlomates
• Pseudocœlomates
Protistes eucaryotes
Les protozoaires
Virus Bactéries Protistes eucaryotes
9
la théorie de la récapitulation :
"l'ontogenèse récapitule la
phylogenèse" Haeckel
N : noyau
St : stade
Bl : blastocœle
Arch : archentéron
Blp : blastopore
Ect : ectoderme
End : endoderme
Mes : mesoderme
Cœl : cœlome
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LE SOUS REGNE DES PROTOZOAIRES
- Primitifs, 1 seule cellule, variété infinie de
parasites ou symbiotes.
digestives, etc.).
- On distingue : Les Zooflagellés (Flagellés), les Rhizopodes (les Amibes), les Actinopodes
digestion, etc.).
12
Caractéristiques des métazoaires
Hétérotophes
Spécialisation des cellules et formation des tissus qui forment des organes et
qui s’assemblent en appareils assurant différentes fonctions
13
Conséquences de l’hétérotrophie
Tube digestif
Système
nerveux
14
Zygote (2n)
Segmentation
Gamètes (n)
Fécondation
Blastula
Gastrulation
Gamétogenèse
Organogenèse
Adulte
Développement direct
Gastrula
Développement
embryonnaire Larve
Développement indirect
(ontogenèse) 15
Le Sous-règne des METAZOAIRES
• Bien que les systèmes de classification diffèrent d’un taxonomiste à un autre, tous
reconnaissent une trentaine d’embranchements.
• Les plus importants ; appartiennent à trois groupes : les Invertébrés inférieurs (les
Spongiaires, les Cnidaires, les Cténaires), les Protostomiens (les Plathelminthes,
les Nemathelminthes, les Annélides, les Mollusques, les Arthropodes) et les
Deutérostomiens (les Echinodermes, les Céphalocordés, les Urocordés et les
Vertébrés). Ils se différencient par leurs stades de développement, reflets d’une
complexité croissante.
• Les Invertébrés sont les plus nombreux. Ils apparurent durant le Précambrien pour
se diversifier au Cambrien. Leurs fossiles sont extrêmement rares, probablement à
cause de leurs corps mous qui ne laissant aucune trace.
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Règne Animal
Unicellulaires
Pluricellulaires
Protozoaires
Métazoaires
(Paramécie, Amibes..)
Diploblastiques Triploblastiques
Acœlomates
• On distingue les métazoaires diploblastiques
et les métazoaires triploblastiques.
Pseudocœlomates
Cœlomates
17
18
Les Métazoaires diploblastiques
• Les Spongiaires, Cnidaires et Cténaires, formes les plus primitives des
Métazoaires actuels, sont caractérisés par un arrêt apparent de leur
développement embryonnaire au stade gastrula dont ils conservent, au moins à I
'état larvaire (forme planula), l’allure et l’organisation générale.
Spongiaires
Cnidaires Cténaires
les moins évolués
Symétrie radiaire Symétrie bilatérale
Aucune symétrie
Les Spongiaires
• Longtemps placés avec les Cnidaires dans l’ensemble des Cœlentérés s’en
distinguent par :
• leur symétrie bilatérale, l’absence de cnidoblaste, la présence constante de
cellules spécialisées, aux propriétés adhésives, localisées sur deux tentacules
symétriques plus ou moins ramifiés, les colloblastes (la capture des proies.)
• Leur mésoglée épaisse contient de nombreuses cellules formant un
mésenchyme qui peut être considéré comme l’ébauche d’un troisième
feuillet.
• La condensation peu marquée du système nerveux, la présence quasi
constante d’un statocyste, la localisation de la bouche et des tentacules
annoncent la différenciation d’un axe antéro-postérieur. 21
Les Métazoaires Triploblastiques
Triploblastiques
Triploblastiques
• Les plus primitifs sont les Plathelminthes ou Vers plats qui possèdent un abondant
parenchyme ; leur tube digestif bien individualisé est scindé en portions assurant
des fonctions distinctes mais, comme chez les Diploblastiques, la digestion est
essentiellement intracellulaire. Ils ne possèdent ni système respiratoire ni système
circulatoire.
• de très nombreuses espèces ; des formes libres et des formes parasites dont
les principaux traits morphologiques et anatomiques sont comparables.
Némathelminthes
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Les Coelomates
• Chez eux, les cellules mésodermiques constituent, de part et d’autre
du tube digestif, des massifs cellulaires pairs, symétriques, qui
s’organisent, au moins au cours du développement embryonnaire,
en vésicules closes ou vésicules cœlomiques.
PROTOSTOMIENS
Hyponeuriens DEUTEROSTOMIENS 27
Les Coelomates
• Cette fragmentation ou segmentation du mésoderme (mésomérie) est
accompagnée d’une distribution périodique des masses musculaires (myomérie),
nerveuses (neuromérie), des formations excrétrices (néphromérie) ou génitales ce
qui correspond à une subdivision du corps en unités anatomiques et
fonctionnelles, les métamères qui, extérieurement, concrétisent leur individualité
par des constrictions antérieures et postérieures correspondant aux plans
d’affrontement des cavités cœlomiques successives.
• La coordination de l’activité des métamères successifs est assurée par les centres
nerveux antérieurs. Cette métamérisation est accompagnée par une
condensation, voire même une céphalisation, des éléments nerveux antérieurs,
phénomènes qui atteignent leur apogée chez les Céphalopodes, les Insectes et les
Vertébrés. 28
Les Coelomates
• L’ensemble des organismes triploblastiques coelomates est hétérogène.
• La métamérisation est très nette chez les formes inférieures même à l’état adulte ;
elle s’estompe fréquemment chez les formes supérieures.
30
La parenté phylétique des
protostomiens est confirmée par :
les Achètes 32
Les Protostomiens
33
34
Les Protostomiens (Les Arthropodes )
• Extérieurement, la métamérie n’est généralement bien conservée qu’au niveau
de l’abdomen ainsi qu’en atteste l’organisation de la musculature, du système
nerveux et la répartition des pièces squelettiques.
• La paroi des sacs cœlomiques se dissocie et forme un tissu diffus aux fonctions
variées (corps gras, conjonctif, musculature pariétale, etc.).
35
34
Les Deutérostomiens
• Chez ces organismes le blastopore de la gastrula devient l’anus ou
marque l’emplacement de cet orifice;
35
Les Deutérostomiens 36
37
37
Les Deutérostomiens
• Les Deutérostomiens épineuriens ou Chordés (Tuniciers, Céphalochordés, Vertébrés)
caractérisés par :
2. l’existence d’un axe squelettique dorsal, la chorde, situé entre le tube digestif et le
système nerveux,
38
Les Epineuriens 38
Les chordés
Une ascidie
(Tunicier)
Amphioxus
•Animal marin, benthiques, fouisseurs,5 à 7 •Marins, fixés ou pélagiques,
cm, translucide, pisciforme vivent dans le solitaires ou coloniales
sable calcaire •Corde caudale chez les larves
•leur appareil excréteur est représenté par et, à l’état adulte, uniquement
une touffe de protonéphridies chez les appendiculaires
Les Vertébrés
41
Les Vertébrés
• Le squelette branchial perd sa vocation respiratoire et participe à la formation du
squelette céphalique ventral ou splanchnocrâne ;
• la céphalisation s'accentue ;
• l’oreille, chez les Vertébrés aquatiques, sert surtout d’organe d’équilibration mais
chez les Vertébrés terrestres, elle sert de récepteur d’ondes sonores.
Lampetra fluviatilis 43
Les vertébrés
45
46
Les vertébrés
• Les modalités du développement embryonnaire
Batraciens.
Oiseaux et Mammifères.
46
Rôles des annexes embryonnaires
membrane vitelline
47
Évolution des vertébrés
• L’Ere primaire contient en abondance Poissons puis Batraciens ; l’Ere secondaire est l’ère
des Reptiles ; les Oiseaux et les Mammifères connus dès la fin du Secondaire se
diversifient au cours de l’Ere tertiaire et de l’Ere quaternaire.
48
Colonisation du milieu terrestre par les vertébrés
49
La taxonomie
• Avant toute étude des êtres vivants, il est nécessaire de les classer.
• La classification ou systématique repose sur des lois dont l’étude porte le nom
de Taxonomie.
décrire les organismes vivants et de les regrouper en entités appelées taxons afin de
les identifier, les nommer et les classer via des clés de détermination.
• Elle complète la systématique qui est la science qui organise le classement des
taxons et leurs relations (ces deux sciences sont tellement liées que la différence
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CLASSIFICATION DU REGNE ANIMAL
• L’unité zoologique est l’Espèce ; élément de base de la systématique
• Espèce : est une collection des individus qui se ressemblent entre eux autant
qu’ils ressemblent à leurs parents, 3 couples de critères permettent de reconnaitre
une espèce :
1. critère de similitude morphologique et physiologique,
2. critère de répartition écologique et de distribution,
3. critère d’interfécondité et de stérilité extérieure.
• Selon cette nomenclature, les organismes sont généralement désignés par le nom
de leur genre dont la première lettre est écrite en majuscule, suivi par le nom de
leur espèce en minuscules.
54 53
http://www.vdsciences.com/pages/sciences-biologiques/biologie-animale/zoologie-descriptive/bio-animale-presentation-r-animal.html
Acquis de la phylogénie moléculaire (ARNr 18S)
Cnidaires
Porifères
Métazoaires Lophotrochozoaires
Eumétazoaires Cténaires Protostomiens
Ecdysozoaires
Bilatériens
Echinodermes
Deutérostomiens
Chordés
55
Importance numérique du Règne Animal
Estimations selon Mayr (Beaumont et Cassier 1981)
Protozoaires
1000000 Spongiaires
Cnidaires
900000
Insectes Plathélminthes
800000 Rotifères
700000 Némathelminthes
Annélides
600000 Némathelminthes chélicérates
500000 Crustacés
Insectes
400000
Mollusques
300000 Protozoaires Mollusques Ectoproctes
200000 Echinodermes
Tuniciers
100000 Poissons
0 Amphibiens et Reptiles
1 Oiseaux
Les Vertébrés Mammifères 56