Les régimes constitutionnels comparés

Les régimes constitutionnels comparés

résumé pour révision par :
Soufiane SENTISSI

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résumé par Soufiane SENTISSI

La vie politique, acteurs et processus

La relation entre individus/Sté : c’est la mobilisation c’est l’acte d’assembler des troupes et du
matériel afin de préparer un évènement.

La relation entre société /individus : Socialisation, Le processus au cours duquel un individu apprend
à vivre en société durant laquelle il intériorise les normes et les valeurs, et par laquelle il construit
son identité psychologique et sociale.

La relation entre société/Etat : Légitimation : le fait d’accorder de la légitimité à un acte, un

processus, une discipline ou une idéologie = l’Etat a le pouvoir par la légitimité.

La relation entre Etat/Sté : La domination : l’Etat impose son autorité à la société, cette domination
que l’Etat a acquis par la légitimité du pouvoir.

La relation entre individus /Etat : Délégation : Attribution, transmission pour un objet déterminé.

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Soufiane SENTISSI 27/01/2020
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La société c’est le groupe d’individus.

L’Etat c’est le siège de l’autorité.

Selon les partis chacun définit un programme.

Pour qu’il y ait une coordination, il faut un mouvement de négociation.

La négociation dépend de la Force et du Temps

La société fournie l’idéologie de la culture.

- Quels sont les enjeux de ce qu’on a fait (le triangle) ?

L’Etat a besoin des ¾ des ressources.

¼ est négociable. Coefficient des partis -> Politique favorable à son électorat : patronat + les
propriétaires

Dans toute collectivité il y a une diversité.

Q : La société oblige-t-elle les individus à se conformé aux règles ?

Comment fabrique-t-elle essentiellement l’obéissance ?

La société programme les individus à obéir par les valeurs (semblables) :

 Toute société à un ensemble de valeurs et une hiérarchie de valeurs : virilité…

 Ils sont semblables = ils sont ensembles # hors norme

Les individus exercent le pouvoir et influence par le vote.

Processus constitutionnel encourage l’individualisme

Les individus agissent sur les cultures politiques -> système d’attitude, système de conduite

L’Etat veille à la cohésion sociale et favorise d’unité nationale.

Le vote est un moyen d’exercer le pouvoir.

La société : C’est un milieu marqué par les intérêts.

Emanuel KANT (cosmopolitisme) La conscience est nécessaire pour vivre avec les autres.

John LOCKE (Contractualisme) Les individus s’associent volontairement.

Le contrat écrit est une constitution.

Aucune collectivité humaine ne se perpétue d’ordre social.

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Soufiane SENTISSI 27/01/2020
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Le libéralisme
Le libéralisme s’est pas mal connu sous l’angle économique, mais, cette invention remonte au
13eme siècle avec le financement de la guerre en Angleterre par les aristocrates. Ce sont les
événements d'une histoire que les hommes font sans le savoir, où en le sachant.1

« Pas d’impôt sans représentation » fut le slogan sur lequel se fond le système représentatif.

Ceci dit le libéralisme est une doctrine et une pratique politique considéré comme la carte mère des
régimes politiques modernes. Il a pu rendre possible une grande variété de régimes politiques dont
l’Europe est la plus touchée, L’Afrique et L’Asie le sont moins mais sont effet se fait ressentir.

Cette doctrine de philosophie politique vise une liberté et la limitation du pouvoir du souverain, elle
privilégie le concept d'individu. L'individu est cet être philosophique titulaire de droits
imprescriptibles du seul fait de sa naissance comme le droit à la vie et à la sûreté de la personne, la
protection contre l'arbitraire et les droits de penser, de s'exprimer, de s'associer, de se déplacer, de
travailler, de contracter librement et d'entreprendre. Cet individu est doté de raison. L'individu de
raison est le fruit de la pensée libérale qui fonde les deux grandes Révolutions, française et
américaine.2

- Il faut consentir librement -> processus de libéralisation.

- Les traités internationaux sont supérieurs aux normes nationales.
- La séparation comptable entre le budget de l’Etat et le salaire (caisse du souverain séparé
des recettes de capital).
- Les régimes autoritaires se font modernistes.

Le libéralisme rend chaque individu un gardien responsable de l’ordre social, ce qui montre que les
libertés individuelles ne sont pas anarchique mais se sont une force sociale structurante. L’individus
évalue les besoins d’autrui par le principe de réciprocité à partir de ses propres intérêts et besoins et
il n’en résultera qu’un paix sociale.

- Apports du libéralisme :
o Séparation des pouvoirs (Législatif, Exécutif et Judiciaire).
o Séparation des instances (chaque secteur fonctionne avec ses propres règles).
o Séparation des sphères (public et privé sont séparés).
o Séparation des individus (Chacun est responsable de ses actes).
o Reconnaissance de la diversité.

1
Universalis : https://www.universalis.fr/encyclopedie/liberalisme/1-les-origines-du-liberalisme/
2
Les echos, 2 mars 1999 : Qu'est-ce que le libéralisme politique ?

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Régimes politiques
Jusqu'à une époque que l'on peut approximativement fixer aux alentours de la Première
Guerre mondiale la distinction entre la société et l'État, c'est-à-dire entre le social et le politique,
permettait de cerner la notion de régime politique par des contours relativement précis et
spécifiques. Le régime politique d'un État se caractérisait essentiellement par la forme de son
gouvernement. Or, si l'on s'en tenait aujourd'hui à ce critère formel, on ne pourrait guère relever,
entre le régime de l'Union soviétique et celui des États-Unis, que des différences de nuances dans les
modalités d'exercice du pouvoir. Ce qui est essentiel, en revanche, c'est le style que la société doit
au pouvoir. Et parce que ce style dépend de l'aménagement des rapports politiques, il révèle, plus
encore que les formules gouvernementales, l'essence du régime.

Cette observation, qui peut paraître évidente, n'est pas encore pleinement consacrée dans la
terminologie courante. Sous le titre « régime politique », elle ne retient guère que l'organisation des
pouvoirs publics pour les analyser sous l'angle du droit constitutionnel. Ce formalisme s'explique par
le fait que la théorie des régimes politiques a été élaborée dans l'atmosphère du libéralisme où
l'autonomie de la société constituait un principe incontesté. La politique n'en était, au mieux, qu'un
secteur limité, avec ses fins et ses techniques propres.3

Les politologues se sont intéressés à la dynamique des institutions car elles sont
changeantes. L’observation de ces transformations pousse à considérer cette évolution comme un
ensemble de processus.

Un régime politique est un ordre politique, un ordre social et un modèle de société qui
permet la cohabitation entre les citoyens.

Régimes politiques occidentaux

Les régimes politiques occidentaux sont issus du mouvement de libéralisation dont en peut situer
l’origine en Angleterre du 13eme siècle (Magna Carta ou la Grande Charte).

Les caractéristiques du libéralisme : (apport libéral)

1. Le droit de consentir à l’impôt et plus largement à l’obligation civile.

2. La séparation des pouvoirs.
3. Des mécanismes de contrôle.
4. L’Etat est fondé sur une hiérarchie de normes qui garantit les droits de chacun.
5. La distinction entre la sphère publique et la sphère privée.

Gouverner c’est diriger un pays et précéder l’opinion en faisant semblant que ça rime avec
les besoins de la population.

3
Universalis : https://www.universalis.fr/encyclopedie/politique-les-regimes-politiques/

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Les réformes nécessaires doivent être mises en place malgré que l’opinion publique n’est pas
prête ; le gouvernement doit prendre des décisions dans l’immédiat quand il le faut.

- Trois critères d’un bon gouvernant :

o Doit savoir décider.
o Savoir mobiliser des compétences.
o Ecouter la population.

Un bon gouvernant écoute mais ne suit pas ! Il ne peut pas écouter tout le temps l’opinion publique,
elle peut être contre l’intérêt général.

Au Maroc, Le Roi récemment insiste sur un mode de développement qui est basé sur
l’écoute de la population (à travers les besoins de la population => les décisions doivent être prises).

L’art de gouverner c’est l’art de faire vivre ensemble des gens qui ne sont pas prédisposé à le
faire.

Les régimes politiques modernes donnent des régimes démocratiques.

La naissance de la démocratie est faite par la révolution française en 1789 mais ce n’est pas
la première démocratie au monde.

La révolution française est un moment de rupture politique dans le sens où il y a un partage

de temps entre l’avant et l’après révolution.

L’ancien régime est synonyme d’inégalité pour le people et de monarchie absolue.

Cette révolution exprime une nature à la fois politique et philosophique.

La bourgeoisie est révolutionnaire.

Ce qui a basculé entre 1797-1800 ce n’est pas la substance de la société mais ce sont les
principes et les valeurs de la société.

La monarchie absolue de droit divin cède la place au droit de l’homme.

Il faut un ordre politique pour vivre en groupe.

Un ordre politique peut avoir plusieurs formes.

Un régime politique est un modèle de société, c’est un type de société.

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La Démocratie

La démocratie c’est une participation importante pour diriger le gouvernement.

Il y a trois types de démocratie :

- Démocratie représentative.
- Démocratie individuelle.
- Démocratie, égalité de droit.

La démocratie c’est le régime de l’intranquillité.

Selon Govanie : La démocratie c’est la naissance des idéaux.

Amartya Sen :

La démocratie ne se résume pas au respect de la règle de la majorité mais exige aussi et

surtout la protection des droits et libertés des personnes, l’accès universel aux prestations et droits
sociaux. Le droit de prendre part activement aux délibérations publiques ainsi que celui d’accéder à
l’information.

- La démocratie remplit trois fonctions :

o Elle est important dans la mesure où la participation politique fondée sur la liberté
apporte un bien être à tous les citoyens.
o En donnant la liberté de parole et de constatation, elle permet aux individus d’être
entendus par le gouvernement.
o Elle permet aux uns d’apprendre des autres; la formation des valeurs et préférence
est une affaire de délibération collective.

Robert DAHL :

Selon Robert Alan Dahl, les critères de la démocratie sont :

- Election libre.
- Représentant élu.
- Liberté d’expression.
- Autonomie associative.
- Citoyenneté inclusive.

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Soufiane SENTISSI 27/01/2020
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Régime totalitaire :
Apartheid
L’apartheid est un terme afrikaans entré dans le langage en 1950, politique des races conçu et
appliqué par le parti national de l’Afrique du sud 1948, chaque groupe social se développe
séparément du point de vue administratif et territorial.

Au fondement de l’apartheid il y a 4 dogmes :

- Le people Boer à comme les hébreux connu le grand exode (1836- 1840).
- C’est la volonté divine qui guide le destin de la nation afrikaner (C’est dieu qui a voulu la
séparation de races sous la domination des blancs).
- Le rôle de l’Afrique du sud est de défendre la civilisation chrétienne occidentale, la
suprématie blanche en est l’outil.
- Il est nécessaire de préservé la pureté de la race blanche.

Le système lutte contre le métissage est le libéralisme, ce régime s’inspire du régime Nazi.

Numériquement en 1980 il y avait 25 million et demi : Les bantus 66%, les blancs 19%, les métisses
9.7% et les asiatiques 3.1%, l’apparence physique et la renommée sont les critères retenu pour la
classification, une lutte acharné pour se classé métisse et pas noir car il y avait un avantage.

Il est interdit de changé de groupe pour rejoindre les blancs, ce système de classification imposé par
la seule minorité blanche est avant tout conçu à l’encontre des bantus ; Un appareil législatif et
réglementaire très volumineux précise la séparation de chaque communauté et son affectation à un
territoire dans le cadre d’une politique de développement séparé, donc la séparation est aussi
territoriale.

La séparation rigoureuse des races se fond sur le principe de (vivre et laisser vivre séparément).

Dans le domaine politique les non blancs sont exclus de toute participation aux affaires nationales
ou locales. Chaque communauté vie autour et sur elle-même, elle a sa propre organisation politique
et professionnel donc la compétence est strictement limité au affaire du groupe.

Sociologiquement, le mariage mixte est interdit entre blanc et non blanc, depuis 1953 la loi impose
la séparation entre blanc et non blanc dans tous les lieux et domaines ou les contextes sociaux se
manifeste (lieu public, transport et toilette…).

Cet Etat est un Etat de droit car il fonctionne selon des lois, mais si on met la justice sociale en haut
des exigences cela ne tient plus car il n’y a pas de justice sociale.

La séparation est aussi rigoureuse dans le domaine économique et professionnel, Les emplois
qualifiés sont détenu à 80% par les blancs, les grèves sont interdites.

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Soufiane SENTISSI 27/01/2020
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Stalinisme
Entre 1933 et 1945, 14 millions de civils, principalement des femmes, des enfants et des
vieillards, ont été tués par l’Allemagne nazie et l’Union soviétique stalinienne. Tous l’ont été dans un
même territoire, que l’auteur appelle les «terres de sang» et qui s’étend de la Pologne centrale à la
Russie occidentale en passant par l’Ukraine, la Biélorussie et les pays Baltes.4

Plus de la moitié d’entre eux sont morts de faim, du fait de deux des plus grands massacres
de l’histoire : les famines préméditées par Staline, principalement en Ukraine, au début des années
1930, qui ont fait plus de 4 millions de morts, et l’affamement par Hitler de quelque 3 millions et
demi de prisonniers de guerre soviétiques, au début des années 1940. Ils ont précédé l’Holocauste. 5

La famine était terrible et Staline savait exactement quoi faire pour que la situation empire ;
l’Ukraine représenté pour lui une terre magique, pour créer un pays moderne et sa planification et
son concept on conduit au désastre et il a attribué l’échec à ceux qu’il a qualifié de traitres. (De
parents tuèrent leurs enfants pour les manger) ; Staline avait installé un système de visa pour
empêcher la population de quitté ce territoire-là, les paysans qui avait faim ne pouvait pas quitter la
région.

Au terme du premier plan quinquennal nulle ne se trouve en URSS à son lieu ou dans son
statut d’origine. Ce tournant de 1928 marque une révolution et exprime la brutalité et la radicalité
quant au système de valeurs avec le système de valeurs antérieur.

L’individu doit adhérer aux valeurs collectives il s’agit donc d’un mode de légitimation du
système Stalinien, la terreur multiforme qui s’exerce sur le peuple combine des mesures d’urgences
et un légalisme croissant et ce légalisme fait la différence entre le totalitarisme et l’autoritarisme ou
la tyrannie car tout ça passe par la loi. (Le totalitarisme est systématique).

Staline associe droit et terreur, il crée une culture politique de la terreur par les procès et
une légalité qui tend à créer un Etat de droit. Ces deux aspects liés du totalitarisme stalinien assure
la stabilité du système, aucun groupe, pas même la police n’échappe à la terreur ; étendue à tous les
groupes sociaux, menaçant tous les individus, la terreur remplit plusieurs fonctions. Par la menace
générale et indistincte qui pèse sur la société, par son imprévisibilité, par son usage du principe de la
responsabilité collective la terreur a atomisé la société, coupé les individus de tout repère, brisé
toute possibilité de résistance, paradoxe, la purge libère des emplois et favorisé la promotion sociale
renforçant ainsi la fidélité du nouveau bénéficière envers le régime.

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Terres de sang : Timothy Snyder
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Terres de sang : Timothy Snyder

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Stalinisme, mise en place d’une nouvelle culture

La nouvelle culture sociale réside notamment dans la promotion de quelques héros positifs
sur la base du savoir et de la compétence, le slogan de l’époque est (les cadres peuvent tout
résoudre) de la masse émerge les meilleures. Le héros positif du monde travail s’appelle Stakhanov
(Alekseï Grigorievitch Stakhanov).

A partir de 1935 le héros individualisé sortie de la masse est le nouveau symbole de la

société hiérarchisé, ce qu’il réalise est extraordinaire et le célébré permet au régime de dire au reste
de la société que l’inégalité est le produit de sa passivité, du manque de volonté et effort, L’homme
nouveau véhiculé par ces modèles est donc définit par l’idéologie, il en est ainsi dans tous les
domaine.

L’idéologie envahi tous les secteurs, aucune sphère n’échappe à l’idéologie.

Nazisme
BRACHER affirme qu’en ne saurai analyser qualitativement le national-socialisme si on ne
tient pas compte de l’imbrication de la politique extérieur et de la politique intérieur et de
l’idéologie et de la pratique.

Il faut retenir six éléments :

1 Le mot d’ordre principal c’est réconciliation des ouvriers avec l’Etat

2 L’idée de base d’une structure et d’une hiérarchisation raciste de l’humanité constitue
une alternative radicale à l’idée humanitaire, libérale d’une civilisation mondiale.
3 Un darwinisme social, le choix du plus fort de faire l’histoire. La présence des juifs
représenterai des menaces pour le corps social donc se développe l’antisémitisme.
4 La constitution nationale-socialiste de la structure de la société comporte une dimension
culturelle conservatrice et un progressisme économique, industriel.
5 Le maniement des moyens de communication de masse et des rassemblements de
masse
6 Le discours national-socialiste associe une religion politique à l’adoration des sciences
techniques (religion séculière).

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Grand remerciement pour :

KHETTABI Kaoutar
TARKAOUI Fatima-zahra
OUADOUN Ibtissam
Mme BENHIDA

Bonne chance

10 | P a g e
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