Vous êtes sur la page 1sur 11

REGIMES POLITIQUES

COMPARES

PLAN
Prises de notes

- Préparé par : . Première partie : La Révolution Française et les régimes


politiques
Soukaina LAKHERIF
I / La différence entre un régime politique et un régime
Sous la supervision du constitutionnel

Monsieur le Professeur ➢ Qu’est ce qui permit aux régimes politiques de continuer ?

Abdellah LABDAOUI ➢ La relation entre le libéralisme et un régime politique

II/ La Révolution Française

. Deuxième partie : L’Etat, grand acteur dans la vie politique

I / L’Etat

➢ Rôle et raisonnement de l’Etat

➢ L’Etat selon Max Weber

II / La vie politique

.Troisième partie : La notion de liberté chez les progressistes et


les conservateurs

I / De la liberté

II / Le clivage gauche-droite

. Quatrième partie : La spécificité des régimes politiques

➢ Les régimes occidentaux

➢ Le Totalitarisme

➢ Le Fascisme

➢ Mouvement de collectivisation

. Dernière partie : Quelques définitions


. Première partie : La Révolution Française et les régimes politiques
I / La différence entre un régime politique et un régime constitutionnel

Régimes constitutionnels Régimes politiques

Se réfèrent aux normes juridiques Se réfèrent à la réalité

Analyse constitutionnelle et Observation, comparaison, explication


réglementaire par un juriste et interprétation des faits par un
politologue
Vérifient si les pratiques politiques sont S’intéressent à l’impact de l’action dans la
conformes à la loi société
Vérifient l’action par rapport à lanorme Consistent à gérer les déséquilibres en
permanence

➢ Qu’est ce qui permit aux régimes politiques de continuer ?


Un régime politique n’est pas qu’un régime politique, c’est aussi un ordre
social, un modèle de société. Tout type de régime politique concerne deux niveaux :
- Celui des gouvernants ou les positions d’autorité, sont distribués selon les
fonctions (pouvoir législatif, exécutif et judicaire).
- Celui des gouvernés, le régime politique définit les droits et les devoirs des
citoyens pourrendre possible et durable le vivreensemble.
C’est la révolution qui a rendu les régimes politiques possibles, parmi ses
causes :
. Une partie de la population était exclue de l’exercice du pouvoir
. Leurs intérêts n’ont pas été pris en compte
. Besoin du changement
. Besoin d’être représenté

➢ La relation entre le libéralisme et un régime politique

Le libéralisme est une matrice des valeurs, des principes et des institutions. Il sépare
les pouvoirs, les instances, les sphères, les individus afin de rendre possible les
régimes politiques modernes.
Il fournit les concepts et les institutions pour un vivre ensemble pacifié.
II/ La Révolution Française

La révolution française est le fruit d’un libéralisme politique, selon lequel un


individu s’attache désormais des droits et il revendique ses libertés.
Pour vivre en collectivité, en communauté, il faut un ordre politique.
L’ordre politique consiste à vivre avec des individus et des groupes d’individus qui
peuvent se détester. C’est donc un ordre social et il s’agit de vivre les uns avec les
autres même quand les intérêts sont contradictoires, voire exclusifs.
La grande divergence est surmontée grâce à l’ordre politique. Cette divergence
d’intérêts peut aboutir de tous contre tous, il y a donc une possibilité de désordre,
voire violence politique. C’est le politique qui convertit la violence en orde politique.
Un ordre politique peut prendre plusieurs formes, (par exemple, un régime politique
accordant plus de liberté, un autre moins de liberté). C’est la diversité des régimes
politiques, et donc un régime politique n’est pas qu’un régime politique c’est un
modèle de société.
- La révolution française est un mouvement de rupture, une ligne de partage du
temps. On assiste à un passage de l’Ancien Régime qui est synonyme de l’inégalité
des hommes et de la monarchie absolue. C’est donc un passage de l’Ancien Régime à
l’Après Ancien Régime qui est le temps de la démocratie. Dès 1789 qu’était apparu
sur le drapeau les Droits de l’Homme et la souveraineté du peuple.
C’est cette rupture qui exprime le plus profondément la nature à la fois
philosophique et politique de la révolution française qui marque.

. Deuxième partie : L’Etat, grand acteur dans la vie politique


I / L’Etat
➢ Rôle et raisonnement de l’Etat

. Avec la diversité des besoins, l’Etat divise la société en secteurs (agriculture,


éducation, santé …), et pour chaque secteur, développe une politique publique.
. L’Etat se diffère du gouvernement ou des partis politiques. Un parti politique peut
prendre des mesures qui s’adressent exclusivement à son électorat, par contre, l’Etat
se préoccupe de tous.
. L’Etat doit être solidaire (manifester cela par des actions)
. Toute collectivité humaine doit s’organiser pour durée, et pour qu’elle dure elle doit
se protéger (rôle de l’Etat)
. Le monde social est fait d’individus souverains mais rationnels, capables de
coordonner leurs actions afin de mieux satisfaire leurs besoins. Cette coopération est
nécessaire pour réaliser un ordre social et la paix civile

➢ L’Etat selon Max Weber


Si nous nous demandons ce qui est de la réalité empirique correspond au concept
d’Etat, nous trouvons une infinité d’actions et d’actes passifs humains, diffus et
discrets, une infinité de relations réglées factuellement et juridiquement, uniques en
leur genre ou récurrentes, le tout maintenu ensemble par une idée, par la croyance à
des normes effectivement en vigueur ou qui devrait l’être, ainsi que par des rapports
de domination entre êtres humains. Cette croyance est en partie un bien idéal
développé par la pensée, en partie elle est ressentie confusément, en partie accepté
passivement et elle est présente avec les nuances les plus variées dans la tête des
individus, lesquelles s’ils avaient réellement une conception très claire de cette idée
comme telle, n’auraient besoin d’une « théorie générale de l’Etat » ce qui vise à la
développer. Le concept scientifique d’Etat quant à lui, quelque soit la façon dont on
le formule, est naturellement toujours une synthèse que nous opérons à des fins de
connaissances déterminées.
II / La vie politique

- L’Etat concentre le pouvoir d’origine individuel


- La société oblige les individus à se conformer aux règles de l’ordre social qui
est ainsi un ordre politique
- Les individus apprennent les règles et valeurs de la société par le moyen de la
socialisation. Ils exercent le pouvoir par l’intermédiaire des représentants qu’ils
désignent par les élections.
- Le processus de socialisation nous permet d’acquérir un certain nombre de
valeurs et de représentations qui permettent d’intégrer un corps social et de
nous sentir membre de ce corps social.
- Les institutions sont des intermédiaires (gouvernement, parlement, conseil
constitutionnel …)
- Les partis traduisent les demandes de la société en programme politique
- À partir de la société, des individus s’associent ensemble (forment des
associations) pour défendre leurs intérêts.
Sous le même angle,
. La société procède par « conditionnement » des individus en les dotant d’une
culture politique et d’une idéologie. Elle nous propose un système d’attitude et de
conduite par la socialisation.
. L’Etat oblige y compris par la puissance les individus à se conformer à l’ordre
social, se faisant l’Etat veille à la cohésion sociale et favorise l’unité nationale. C’est
donc une lutte sans fin que se livre les 3 parties pour accroître leur pouvoir.
. Les institutions comme les associations convertissent des choix exprimés par
les individus en valeurs partagées. Quand ces choix ou demandes se rassemblent, ils
s’organisent, se fédèrent en partis. Ils nourrissent la pluralité des orientations
idéologiques, dans certaines conditions, le débat public libre et contradictoire
s’épanouit. C’est ainsi que les demandes ont une chance d’exister politiquement.
Les négociations entre associations et institutions permettent la réalisation
d’accords nationaux.
Ajoutant que,
Le système de majorité politique assure un niveau de coordination qui sauvegarde
l’unité de l’ensemble.
Quand des désaccords surviennent les protagonistes calculent les coûts et les
bénéfices de la suite à donner. Ces désaccords quand ils prennent une certaine
dimension cela devient un conflit social et atterrit dans l’espace public.
Le conflit social oppose des personnes ou des groupes de personnes dont les
ressources sentent inégales. Les conflits sociaux ne font pas éclater la communauté.
Les tensions font société parce qu’elles sont l’expression des interactions entre
individus et groupe d’individus. C’est la politique qui convertit le désordre en un
ordre politique, un vivre ensemble consentit.
L’ordre politique assure la médiation entre les différences individuelles et les conflits
sociaux.


Seule l’existence d’un ordre politique permet à
chaque individu et à chaque groupe d’accepter
les partenaires qu’il n’a pas choisis

. . .Troisième partie : La notion de liberté chez les progressistes et les


conservateurs

I/ De la liberté
Le mot « liberté » a pris une importance sans précédent durant le XVIII siècle.
Il semble que la considération selon laquelle un bon régime devait assurer la liberté,
qui s’est popularisé durant ce siècle remonte à Thomas Hobbes qui a essayé de
répondre à la question : Quelle forme donner à l’Etat pour préserver le maximum la
liberté individuelle ?
L’apport de la révolution est cette notion de « liberté »
● Les individus produisent la société car ils sont capables de se déterminer (de faire
des choix et les assumer)
● Le but de la révolution est de garantir la liberté individuelle contre l’arbitraire
● La révolution voulait promouvoir la liberté individuelle et elle s’est transformée en
despotisme
● Les luttes politiques du XVIII siècle ont porté sur les libertés (les franchises, les
privilèges des communes, les universités, les communautés …). Libertés comme pure
absence de contrainte et libertés comme activité positive.

II/ Clivage gauche/droite

Gauche Droite
Progressiste Concervatrice

Idéologie internationaliste Idéologie nationaliste

Attentive à approfondir l’apport du Tienne un modèle de la famille et


liberalism et de la démocratie. voulant l’imposer à tout le monde
Protéger les droits et les intérêts de tous.

On observe également :

Un passage d’un système autoritaire à un système libéral


On ne parle pas d’une démocratisation qui désigne le passage d’une situation où la
population est privée des droits de la personne humaine à une restitution à cette
population ces droits. Mais plutôt de libéralisation.
. Le libéralisme dans ce cas, vaut que la vie politique est pluraliste et que les droits de
la personne humaine sont observées.

. Quatrième partie : La spécificité des régimes politiques


➢ Les régimes occidentaux

Ils sont issus des mouvements de libéralisation qui datent du début des XIII et XIV
siècles Anglais.
5 éléments caractérisant les régimes occidentaux :
✓ Le droit de consentir à l’impôt et plus largement à l’obligation civique
✓ La séparation des pouvoirs
✓ Les mécanismes du contrôle
✓ L’Etat de droit fondé sur une hiérarchie des normes où le respect des
procédures garantie les droits de chacun.
✓ La distinction entre la sphère privée et publique
Deux principes des régimes occidentaux :
• Les droits des justiciables doivent être garantis
• Toutes les normes ne se valent pas (l’existence d’une hiérarchie des normes)
Ces régimes ne sont pas perçus par leurs citoyens comme devant changer. Leur
constitution garantie des droits pour le plus grand nombre et œuvre pour des
changements possibles pacifiquement.

➢ Le Totalitarisme

Le terme totalitarisme est construit de l’adjectif « total » et désigne un régime


politique « policier » supprimant les libertés individuelles. L’Etat prétend régler non
seulement la vie publique mais aussi la vie privée des individus. (Le terme qui se
rapproche le plus est la dictature, l’opposant est la démocratie). Il désigne le système
de domination totale.
Du point de vue de l’histoire de l’humanité, le totalitarisme est un régime d’un
nouveau genre. Il est en rupture avec les régimes qui ont revalut jusqu’au XIX siècle.
❖ Distinction entre le totalitarisme et l’autoritarisme
Sigmund Neumann (1904 - 1962), politologue Américain d’origine Allemand
distingue l’autoritarisme du totalitarisme. Tandis que l’autoritarisme est
conservateur, le totalitarisme institutionnalise la révolution
❖ Critères d’identification des systèmes totalitaires selon Carl Friedrich

Une idéologie officielle intéressant tous les aspects de la vie et à laquelle tout le
monde doit adhérer.
Un parti unique de masse.
Monopole des moyens de combats armés aux mains des cadres des partis.
Monopole des moyens de communication de masse.
Contrôle centralisé de l’économie et monopole des moyens de production.
Un pouvoir policier pour combattre l’ennemie à l’intérieur.

❖ Pour comparer le totalitarisme et le fascisme, on peut noter que le terme


fascisme désigne le mouvement fondé en Italie en 1919 par Benito Mussolini.

➢ Le fascisme
Quelques termes qui définissent le fascisme :
• Nationalisme
• Militarisme
• Politique Nataliste
• Volonté de former la jeunesse
• Parti unique
• Admiration vouée au chef

❖ Pour Emilio Gentile, le fascisme est le premier totalitarisme


❖ Pour Raymond Aron, le régime de Mussolini ne fut jamais totalitaire. Et que la
vie culturelle n’a pas été soumise au diktat fasciste. Le monde des idées comme
l’architecture se sont développées selon l’inspiration des artistes
❖ Pierre Milza, souligne qu’un groupe d’intellectuels antifascistes conduit par
Benedetto Croce, fondateur du parti libéral Italien, a publié en 1924 « le
manifeste des intellectuels antifascistes »
Le fascisme marque une rupture avec l’ordre social et avec le principe de la
souveraineté populaire comme source de légitimité du pouvoir. Il est animé par le
rejet d’individualisme libéral. Aujourd’hui, le qualificatif du fasciste est infamant,
déshonorant et plusieurs régimes et idéologies peuvent y être rattachés. Cependant,
le régime de Mussolini représente le cas historique « exemplaire »
Le fascisme occasionne une multitude d’interprétations pensées comme
autoritarisme par les politologues non-marxistes.
❖ Juan Linz distingue les régimes fascistes du style totalitaire et pour lui c’est le
cas d’Italie, ils les distinguent des fascismes d’imitation diffusée.
❖ Stein Rokkan affirme que le fascisme représente une réaction contre la
situation de retard dans la construction d’une identité économique nationale
forte.
On retient que le fascisme égale une hégémonie d’un parti, omniprésence policière,
monopole d’une idéologie et le déni du droit.

Sur les bolcheviques


Les bolcheviks accèdent au pouvoir en octobre 1917, ils n’avaient comme idée sur
l’organisation de pouvoir que les idées de Lénine, fondateur du parti bolchevik a
exprimées dans deux publications : « Thèses d’avril » et « L’Etat et la révolution ».
Ces textes parlent d’abolir l’armée et la police et formulent donc une utopie
politique.
S’il faut caractériser le règne de Lénine, il faut dire que s’il agissait en dictateur il
maintient la discussion au sein du parti. Il tient cependant par-dessus tout à l’unité.
❖ Helen Carrère disait que « Ce principe unitaire impose aux membres du parti
une fidélité absolue, non à leurs idées mais aux décisions de l’équipe dirigeante
ou le dirigeant supérieur suprême »
Lénine a imposé sa version de la Dictature de prolétariat, et en interdisant les autres
partis, est le monolithisme du parti qui s’institut.
Le pouvoir politique mis en place entre 1917 et 1921 va continuer à se renforcer et
particulièrement à partir du 1928 dans quatre directions :
. Une révolution sociale : Staline opère un tournant brutal. Une paysannerie toute
entière arrachée au cadre du village traditionnel, projetée dans les fermes
coopératives ou d’Etat dans les villes, dans les chantiers ou dans les camps.
. Une classe ouvrière qui s’étend rapidement dont une partie va aller dans le sphère
politique ou dans celle de l’encadrement technique.
. Au terme du premier plan quinquennal, nul ne se trouve plus en URSS à son lieu ou
dans son statut d’origine. Ce tourment de 1928 marque une révolution politique
toute autant que sociale, par la brutalité, par le radicalisme de la rupture avec le
système de valeurs antérieures. Cela implique un désarroi social, et affecte
profondément la société dans son rapport avec le pouvoir politique.
« L’éradication de la société existant jusqu’à lors par une mobilité dans l’espace dans
les occupations, dans les statuts est probablement sans précédent dans les sociétés
modernes »
. Par ailleurs le système soviétique crée les instruments et sentiments qui lui
permettent de terroriser la population : Création d’organes spécialisés dès 1917 de ce
qui deviendra le NKVD en 1934. Cet organe est légalement libre du choix des
méthodes de lutte contre-révolutionnaires.
. Plus encore en décembre 1921, Lénine insiste sur la nécessité de définir dans tous
les domaines une légalité révolutionnaire.

➢ Le mouvement de collectivisation
Le mouvement de « collectivisation » est suivi d’une terreur de masse entre 1929 et
1934, d’arrestations et répartition « rationnelle » des détenus, et la purge du parti
concerne plus d’un million de personnes.
En décembre 1934, une loi est adopté « elle prévoit des procédures accélérées et une
exécution immédiate des peines dans les affaires politiques. Elle permet d’étendre à
toute la population soviétique, la notion de crime politique notamment par
l’adoption d’un principe de responsabilité collective. La non dénonciation d’un délit
commis ou prévisible est assimilée au délit lui-même. On étend les responsabilités
pénales aux enfants de plus de 12 ans (...) nul n’est plus à l’abri de la purge en URSS
qu’il soit ennemi du peuple ou tout simplement parent ou relation d’un ennemi du
peuple.
Nulle solidarité sociale ou familiale ne peut résister à la responsabilité collective. »
Ces dispositions légales brisent désormais les derniers liens qui unissaient entre eux
des hommes que la mobilité sociale avait déjà arrachés à leur solidarité et protection
traditionnelle. On y substitut donc la légalité socialiste.
Les années 1930s représente une période de la légalisation de la terreur. Les procès
staliniens représentent une illustration très particulière. Ce sont des « procès-
spectacles» ou « procès-démonstration »
Il s’agit d’avouer avoir commis des fautes, de bénéficier de complicité et d’engager
ainsi une responsabilité collective. L’accusé participe activement à sa condamnation,
l’individu doit adhérer aux valeurs collectives. La terreur multiforme qui s’exerce sur
toute l'URSS durant le règne de Staline combine des mesures d’urgence et un
légalisme croissant, Staline associe droit et terreur. Ces deux aspects liés du
totalitarisme stalinien assurent la stabilité du système, ainsi aucun groupe, pas
même la police n’échappe de la terreur. La terreur rempli plusieurs fonctions, elle
atomise la société, coupe les individus de tous repères et brise toute la possibilité de
résistance.

. Dernière partie : Quelques définitions

Légitimation
- Ce qui rend un régime politique acceptable
- Un processus qui aboutit à l’acquisition de la légitimité durable et à la
propagation dans la société d’un sentiment ou d’une image bénéfique, valorisée
et conforme aux croyances dominantes de la relation du pouvoir. Elle concerne 4
niveaux :
➢ Le droit des uns à contraindre les autres
➢ La légitimation d’une spécialisation du travail politique
➢ La forme prise par la relation gouvernant - gouverné
➢ La légitimité du groupe ou de l’individu qui exerce le pouvoir

Démocratie
. L’exercice du pouvoir à la base d’un contrat.
. Un système qui fait attendre gagner les élections afin d’arriver aux pouvoirs
et l’exercer
. Elle date de la Révolution Française, notamment à travers deux éléments
l’égalité devant la loi et la liberté.

Libéralisme
Séparation des pouvoirs, des instances, des sphères
➢ Instances : Chacun son domaine. Chaque domaine fonctionne selon ses
propres règles.

Modernité
Exercice de la liberté et la continuité de chercher la liberté

Patrimonialisme
Notion forgée par Max Weber, renvoie aux systèmes politiques traditionnels
dans lesquels le gouvernant s’approprie les biens et les personnes constituant
l’administration et les considère comme des biens personnels

La politique est nécessaire pour deux raisons


• La cohésion intérieure
• Les forces extérieures (souveraineté, sécurité …)
Elle délimite les contours de la société qu’elle défend contre les forces extérieures

Vous aimerez peut-être aussi