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Département de Mécanique
Université MB Batna 2
3
L'essentiel du cours de MDF, 2019
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Ecoulements irrotationnels
3
●
Malgré que nous avons négligé les effets visqueux dans
l'écoulement idéal, les équations du mouvement (Euler)
obtenues demeurent difficiles à résoudre à cause des termes
non linéaires. Nous allons traiter certains types
d'écoulements dans lesquels les particules de fluide ne
subissent pas de rotation autour d’elles pendant leurs
mouvements. Un tel écoulement est dit irrotationnel ou
potentiel. Avec cette restriction, nous obtiendrons des
équations linéaires qui sont faciles à résoudre. On peut avoir
ce type d'écoulement dans les régions où l'effet de viscosité
est négligeable c-à-d loin des couches limites adjacentes aux
frontières des corps.
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Ecoulements irrotationnels
3
●
Nous considérons un fluide barotrope : r = r(P).
●
Nous allons étudier les propriétés de l'écoulement plan
bidimensionnel particulièrement intéressantes pour :
●
Problème direct: Il consiste à définir le champ de vitesse
correspondant à une géométrie donnée (analyse).
●
Problème inverse: Il consiste à définir la géométrie des
enveloppes correspondant à un champ de vitesse fixé à priori
(conception).
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Circulation du vecteur vitesse
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●
On appelle circulation G du vecteur vitesse q ⃗ le long d'une
~
courbe AB , dont l'abscisse curviligne (ou élément d'arc) ⃗
ds ,
l'intégrale curviligne:
Γ = ∫ ⃗q⋅⃗
ds
~
AB
q⃗ = u i⃗ + v ⃗j+ w ⃗k ⃗
ds = dx i⃗ +dy ⃗j + dz ⃗k
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Potentiel des vitesses
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● Si le champ des vitesses est tel que GAB ne dépend que de la
position des points A et B et non du chemin suivi, on dit que
le champ dérive d'un potentiel. On peut alors écrire :
Γ AB = ϕ B −ϕ A = ∫ dϕ
~
AB
q⃗ = ⃗
∇ϕ = ⃗
grad ϕ
∂ϕ ⃗ ∂ϕ ⃗
q⃗ = ⃗
∇ϕ ⇔ ui + v j =
⃗ ⃗ i + j
∂x ∂y
∂ϕ ∂ϕ
u = et v =
∂x ∂y
∂ϕ ∂ϕ
Γ AB = ∫ ( u dx + v dy ) = ∫ dx + dy = ∫ dϕ
~ ~ ∂x ∂y ~
AB AB AB
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Potentiel des vitesses
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●
Dans un écoulement avec potentiel des vitesses et à un
instant donné, le vecteur vitesse est en tout point
perpendiculaire à la surface équipotentielle ϕ (x , y )=C te , qui
passe par ce point.
●
Les lignes de courant sont orthogonales aux surfaces
équipotentielles. Le sens des lignes de courant est celui des f
croissants.
∂ϕ 1 ∂ϕ
●
En coordonnées cylindriques: ur = et vθ = ∂ θ
∂r r
qv = ψA−ψB [m2/s]
∂ψ ∂ψ
u = et v = −
∂y ∂x
1 ∂ψ ∂ψ
●
En coordonnées cylindriques: ur = et vθ = −
r ∂θ ∂r
●
Les fonctions y et f sont harmoniques et en tout point
orthogonales. 2 2 2 2
∂ ψ ∂ ψ ∂ ϕ ∂ ϕ
2
+ 2
= 0 ; 2
+ 2
= 0
∂x ∂y ∂x ∂y
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Fonction de courant
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●
L'écoulement irrotationnel est décrit par la fonction f et les lignes
de courant par la fonction y.
●
On démontre que :
Δψ Δϕ
q = =
Δn Δs
● y1 et y5 forment la frontière
⃗ 1⃗ 1⃗
Ω = rot ⃗q = ∇∧ ⃗q = 0⃗
2 2
Vorticité
i⃗ ⃗j ⃗k
⃗
Ω =
1 ∂
2 ∂x
u
| ∂
∂y
v
∂
∂z
w
|1
2
1
2
1
= η i⃗ + ζ ⃗j+ ξ ⃗k
2
●
Condition suffisante pour que l’écoulement 2D soit irrotationel :
∂v ∂u
ξ = − = 0
∂x ∂y
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Ecoulement rectiligne plan
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● Soit un écoulement rectiligne plan de vitesse q0 que nous supposerons
uniforme et dirigée selon les x positifs : q0 (u=q0, v=0).
∂ψ
u = = q 0 ⇒ ψ ( x , y ) = q0 y + f (x )
∂y
∂ψ te
v = − = 0 ⇒ f '( x)=0 ⇒ f ( x)=C =C 1
∂x
⇒ ψ (x , y) = q 0 y + C1
∂ϕ
u = = q0 ⇒ ϕ ( x , y ) = q0 x + g( y)
∂x
∂ϕ
v = = 0 ⇒ g '( y)=0 ⇒ g ( y )=Cte =C 2
∂y
⇒ ϕ ( x , y ) = q0 x + C 2
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Ecoulement rectiligne plan
3
●
Le réseau des lignes équipotentielles et des lignes de courant forme donc
un damier :
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Ecoulement autour d’une source
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●
Une ligne source est une ligne droite infinie le long de laquelle on suppose
qu'un fluide incompressible est envoyé radialement à l'extérieur.
● qv est appelée intensité de la ligne source et l'écoulement est distribué
uniformément à une distance r, sur une surface cylindrique dont la
circonférence est 2pr.
q v = 2 π r h⋅ur
qv
⇒ ur = (h=1)
2πr
vθ = 0
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Ecoulement autour d’une source
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∂ϕ qv qv
ur = = ⇒ ϕ (r , θ ) = ln r +f ( θ )
∂r 2 πr 2π
1 ∂ϕ te
vθ = = 0 ⇒ f ' ( θ )=0 ⇒ f ( θ )=C =C 1
r ∂θ
qv
⇒ ϕ (r , θ ) = ln r + C 1
2π
1 ∂ψ qv qv
ur = = ⇒ ψ (r , θ ) = θ + g (r )
r ∂θ 2πr 2π
∂ψ te
vθ = − = 0 ⇒ g '(r )=0 ⇒ g (r )=C =C 2
∂r
qv
⇒ ψ (r , θ ) = θ + C2
2π
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Ecoulement autour d’une source
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qv qv 2 2
ϕ (r , θ ) = ln r + C 1 ⇔ ϕ ( x , y) = ln √ x + y + C 1
2π 2π
qv qv y
ψ (r , θ ) = θ + C2 ⇔ ψ( x , y ) = arctan + C2
2π 2π x
●
Composantes du vecteur vitesse en coordonnées cartésiennes:
∂ϕ qv x ∂ϕ qv y
u = = 2 2
v = = 2 2
∂x 2 π (x + y ) ∂y 2 π (x + y )
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Ecoulement autour d’une source
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●
Les lignes de courant sont donc des rayons issus de la source et les
équipotentielles des tubes concentriques.
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Utilisation de la variable complexe
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●
L'étude des écoulements plans à
potentiel des vitesses est facilité
par l'introduction des fonctions
complexes. A un point M(x,y) on
fait correspondre un affixe
complexe tel que:
z = x +i y = r (cos θ + i sin θ ) = r ei θ
2 2
r = √x + y (module de z )
y
θ = arctan (argument de z )
x
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Utilisation de la variable complexe
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●
De même, la vitesse q au point M
de composantes (u,v) peut être
écrite sous forme vectorielle
complexe:
q = u+ i v = q( cos θ + i sin θ ) = q e i α
●
Conditions de Cauchy-Riemann:
∂ϕ ∂ψ ∂ϕ ∂ψ
= et = −
∂x ∂y ∂y ∂x
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Fonction analytique
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● Dans le cadre de l'étude analytique, on introduit y et f par l'intermédiaire de
la fonction potentiel complexe F(z):
F (z) = ϕ + i ψ
● La fonction F(z) pour laquelle y et f satisfont aux relations de Cauchy-
Riemann est une fonction analytique dont les parties réelle et imaginaire
satisfont l'équation de Laplace.
●
Propriété:
dF
= u − iv
dz
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Ecoulement uniforme
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●
Fonction potentielle complexe : F ( z) = q 0 z
ϕ = q0 x
F ( z) = q 0 ( x +iy) = ϕ + i ψ
∂ϕ ∂ψ
⇒
{ ψ = q0 y
|
u = = = q0
∂x ∂y
⇒ ⃗q
∂ϕ ∂ψ
v = = − = 0 L'opérateur exp(-ia) correspondant
∂y ∂x à une rotation d'angle a
dans le sens trigonométrique
(anti-horaire).
●
Cas général: F ( z) = q 0 z e−i α
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Ecoulement uniforme
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−i α i θ −i α i ( θ− α )
F ( z) = q 0 z e = q0 r e e = q0 r e
F ( z) = q 0 r [cos ( θ −α )+ isin ( θ −α ) ]
∂ϕ
|
u = = q0 cos α
ϕ = q0 ( x cos α + y sin α ) ∂x
⇒
{ ψ = q0 ( y cos α − x sin α )
q⃗
v =
∂ϕ
∂y
= q 0 sin α
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Ecoulement de type source ou puits
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●
Fonction potentielle complexe : F ( z) = ±C 0 ln z
●
Cas d’une source:
F ( z) = C 0 ln z = C 0 ln(r e i θ ) = C 0 ln r + i C 0 θ
2 2
ϕ = C 0 ln r = C 0 ln √ x + y
⇒
{ ψ = C0 θ = C 0 arctan
y
x
Les équipotentielles sont donc
des cercles centrés sur la source (r = Cte)
et les lignes de courant
des droites passant par l'origine (y/x = Cte).
qv
q v = 2 π r⋅u r = C 0 2 π ⇒ C0 =
2π
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Ecoulement de type source ou puits
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∂ϕ 1 ∂ψ C0 qv
|
ur = = = =
∂r r ∂θ r 2 πr
⇒ ⃗q
1 ∂ϕ ∂ψ
vθ = = − = 0
r ∂θ ∂r
●
Cas d’un puits:
F ( z) = −C 0 ln z
●
Cas général:
qv
F ( z) = ± ln ( z −z 0)
2π
(source décentrée)
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Ecoulement tourbillonnaire
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●
Fonction potentielle complexe : F ( z) = ±i C 0 ln z
●
Cas d’une source:
F ( z) = i C 0 ln z = i C 0 ln (r e i θ ) = −C 0 θ + i C 0 ln r
y
⇒
{ ϕ = −C 0 θ = −C 0 arctan
x
ψ = C0 ln r = C 0 ln √ x 2+ y 2
Les lignes de courant sont donc
des cercles centrés sur la source (r = Cte)
et les équipotentielles
des droites passant par l'origine (y/x = Cte).
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Ecoulement tourbillonnaire
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∂ϕ
|
ur = = 0
∂r
⇒ ⃗q
1 ∂ϕ C0
vθ = = −
r ∂ θ r
●
Caractéristiques:
2π
C0
Γ = ∫ ⃗q⋅⃗
ds = ∫ − r (−r d θ )
( ψ) 0
2π
Γ = ∫ C0 d θ = 2 π C0 Cte quelque soit le cercle retenu
0
F (z) = −i Γ ln z
2πr
ϕ = Γ θ ψ = − Γ ln r q = Γ
2π 2π 2πr
● Dans le cas d'un tourbillon décentré, par rapport au centre du repère, de l'affixe z0 :
F (z) = −i Γ ln ( z−z 0 )
2πr
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Superposition d’écoulements élémentaires
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F1 ( z) = ϕ 1 + i ψ1
F ( z) = F1 ( z) + F 2 (z ) = ϕ + i ψ
F 2 ( z) = ϕ 2 + i ψ2
ϕ = ϕ1 + ϕ2 ψ = ψ1 + ψ2
∂ϕ ∂( ϕ1 + ϕ 2) ∂ ϕ1 ∂ ϕ2
|
u = = = + = u 1 + u2
∂x ∂x ∂x ∂x
⇒ ⃗q
∂ψ ∂( ψ1+ ψ 2) ∂ ψ1 ∂ ψ2
v = = = + = v1 + v2
∂y ∂y ∂y ∂y
q⃗ = ⃗
q1 + ⃗
q2
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Superposition d’un écoulement uniforme et
3 d’une source
F1 ( z) = q 0 z ϕ 1 = q0 x ψ1 = q 0 y
qv qv qv
F 2 (z) = ln z ϕ2 = ln r ψ2 = θ
2π 2π 2π
F (z) = F1 ( z) + F 2 ( z ) = ϕ + i ψ
qv 2 2 qv y
ϕ = q0 x + ln √ x + y ψ = q0 y + arctan
2π 2π x
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Superposition d’un écoulement uniforme et
3 d’une source
∂ψ qv x ∂ϕ qv y
u = = q0 + ⋅ 2 2 v = = ⋅ 2 2
∂y 2π x +y ∂y 2π x + y
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Superposition d’un écoulement uniforme et
3 d’une source
●
Ce principe de superposition permet donc de représenter l'écoulement
potentiel autour d'un obstacle (correspondant notamment à ψ =0 ) en
matérialisant la courbe d'équation y = (qv/2 π) ( π - arctan y/x )) ( π) ( π - arctan y/x ) - arctan y/x ) par une
paroi solide infinie. En effet, rien ne change dans la répartition de
vitesse et des lignes de courant autour de ce solide et tout le débit de la
source reste à l'intérieur de cette paroi.
●
On peut, en principe, obtenir n'importe quelle forme d'obstacle
(problème inverse) en disposant dans le plan un nombre suffisant de
sources et de puits.
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Superposition d’une source et d’un puits de
3 même débits
qv
F1 ( z) = ln ( z− z s ) Source centrée à l'affixe zs(0, a)
2π
qv
F 2 (z) = − ln ( z −z p ) Puits centré à l'affixe zp(0, -a)
2π
qv z− z s
F ( z) = F1 ( z) + F 2 ( z ) = ϕ + i ψ = ln ( )
2π z− z p
qv x 2 +( y−a)2 qv −2 a x
ϕ =
2π
ln 2
√
x +( y + a)2
ψ =
2π
arctan 2
x +( y −a)
2
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Superposition d’une source et d’un puits de
3 même débits
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Superposition d’une source et d’un vortex
3 centrés à l’origine
qv qv qv
F1 ( z) = ln z ϕ1 = ln r ψ1 = θ
2π 2π 2π
F 2 (z) = −i Γ ln z ϕ2 = Γ θ ψ2 = − Γ ln r
2πr 2π 2π
F (z) = F1 ( z) + F 2 ( z ) = ϕ + i ψ
qv qv
ϕ = ln r + Γ θ ψ = θ − Γ ln r
2π 2π 2π 2π
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Superposition d’une source et d’un vortex
3 centrés à l’origine
∂ϕ qv
|
ur = =
∂r 2 πr
q⃗
1 ∂ϕ
vθ = = Γ
r ∂θ 2 πr
−2 π ψ
r = exp( )⋅exp ( θ )
Γ tg β
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