LA FESSEE

Paroles et Musique de
d.org"" BRASSENS
Allo Modo 104=J'

xLam rtli7

La veu.re et I'or - phe - lin quoi de plus - mou - vant

Pour en - di - guer ses plèurs pour a -pai sÊ3 maux

Mi7

Un vieux - pain
co d'é - cole é - tant sans en fânts

Je me mis à bla - guer à 90r des bons mots

Mi7

A - ban- don - nant au monde une é-pouse é -pa - tan te

Tous les moy - ens sont bons au mé-de-cin de la

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-
 _É) _

J'al - lai ren - dre site à la dé

Bien - tôt par Ia tu de quel -ques

11T'l

Et puis ne sa - chant plus oir fr -nir ma 301

- rêe
l-a veu - ve se te nait les cô - tes Dieu mer -ci

lÿti.7
our finir
m x
Je lui tins com - pa - gnie dans la cha - pelle dente
Ain- si que des bos - sus tous deux nous ri - - lâmes

A : v€z -vou§ re - mar - r;ué que un beau

+
Pour
finir

MtT La, m

Et ma main ven - ge - resse e3t

6
E

:
E
Mt7 Iam MiT Lo

Et le troi - siè - me coup ne fut qu'u - ne c& - re3Ee.

3. Ma pipe dépassait un peu de mon veston

Aimable elle m'encouragea: bourrez -la donc
Qu'aucun impératif moral ne vous arrête
Si mon pauvre mari détertait le tabac
Maintenant la fumée ne le dérange pas
Mair où diantrg ai- je mic mon porte-cigarettes
4. A minuit d'une voix douce de séraphin
Elle me demanda ri je n'avais par faim
Ça le ferait-il revenir. ajouta-t-elle
De pousser la pietc jusqu'à I'inanition
Qrr" diriez-vous d'une frugale collation
Et nous fîmes un petit souper aux chandeller
5. Regardez s'il ett beau dirait-on point qu'il dort
Ce n'ert certq pas lui gui me donnerait tort
De noyer mon chagrin dans un flot de champagne
Quand nous etmes vide le deuxième magnum
La veuve étqit émue nom d'un petit bonhomme
Et son esprit se mit à battre la campagne
6. Mon Dieu ce que c'est tout de même que de nous
Soupira t-elle en s'as3eyant 3ur mes genoux
Et puis ayant collé sa lèvre 3ur ma lèvre
Me voilà rassurée fit-elle j'avair peur
Qr" 3ous votre moustache en tablier de sapeur
Vous ne cachiez coquettement un bec de lièvre
7. Un tablier de sapeur ma moustache, pensez
Cette comparairon méritait la fessée
Retroussant I'insolente avec nulle tendresse
Conscient d'accornplir somme toute un devoir
Mais en fermant les yeux pour ne par trop en voir
Paf j'abattir lur elle une main vehgeresse
8. Aie vous m'avez fêlé le postérieur en deux
Se plaignit - elle et je baissai le front piteux
Craignant avoir frappé <ie façon trop brutale
Maig i'appris par la ruite et i'"t fus bien content
Q,r" cet état de choses durait depuir longtemps
Menteuse, la fêlure était congénitale

9. Quand ie levai la main pour la deuxième fois

Le cæur n'y était plus j'avais pert{u la foi
Surtout , qu'elle s'était enqüse la bougresse
. Avez - vous remarqué que j'avais un .beau cul 1
Et ma main vengeresse esÉ retombée vaincue / g;,
Et le troisième coup ne fut qu'une )
""r"tte.
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