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Université Sultan Moulay Slimane (USMS)

Ecole Supérieure de Technologie (EST)– Béni Mellal

Diplôme Universitaire de Technologie (DUT)

Filière : Maintenance Industrielle des Systèmes Electromécaniques (MISEM)

Rapport de stage d’initiation


Sous le thème :

Réalisé par : Encadré par :

ELABRADI YOUSSEF Mr. ELGARI RACHID

Entreprise d’accueil : Groupe OCP

Période du stage : Du 03/07/2017 au 02/08/2017

Soutenu le : 14-15/11/2017

Dédicace
Je dédie ce modeste travail spécialement à:

Mon père, qui m’aide et m’encourage dès le début de la période de formation dans
notre chère école.
Mon frére, pour son sacrifie continu et son encouragement.
Tous les formateurs de l’école supérieure de technologie .
Tous les personnels du siège bobinage.
Mes camarades de promotion 2016-2018 dans l’école.

Banne chance à vous tous.

Remerciements

Au terme de ce travail professionnel, je tiens tous particulièrement à remercier mes parents qui ont
apporté leurs aides matériels et moraux, ainsi que la direction de l’OCP.

Mes remerciements s'adressent principalement à Mon maître de stage M. Rachid El gari, pour
m’avoir accordé son confiance et pour toute l'aide qu’il m'a apporté afin de me permettre de mieux
cerner le travail à réaliser tout au long du stage.De même, je remercie Mon responsable à l'atelier de
bobinage M. Idriss

Zidahi, pour son suivi et son soutien au cours de Ce stage.

D’une façon plus générale, je remercie l’ensemble des techniciens de l’atelier bobinage pour l’intérêt
qu’ils m’ont porté tout au long de mon stage, ainsi que pour leur aide et précisions.

A tout le staff administratif de l’école supérieure de la technologie.

Premièrement, je remercie bien le directeur M.ABDELKHALEK OUSSAMA.

Notamment les professeurs de la filière MISEM qui m’ont encouragé à effectuer ce stage,
spécialement Mr. CHIKH, Mr. AIT ELKADI et Mr. OUKHLEF. Merci pour votre soutien et merci d’avoir
été toujours là quand j’avais bien besoin de vous.

Mes remerciements vont également à M.

ELARBAOUI, ma professeure de communication pour m'avoir appris la bonne démarche pour la


réalisation d'un rapport.

Résumé
Sommaire
Dédicace1

Remerciements2

Résumé………………………………………………………………………………….....3liste des
figures…………………………………………………………………………..5

Introduction……………………………………………………………………………...6

Partie I:

Le groupe office chérifien des phosphates7


Organigramme de l’OCP9
Historique du groupe OCP10
Les activités de l’OCP à El Youssoufia13

Partie II:

Atelier rembobinage15

Identification15

Présentation de service électrique de l’OCP17

Partie III:

Le theme du Mon stage17

Quelques définitions utiles18


démontage22
Décarcassage23
nettoyage24
Isolation des encoches………………………………………………24
Confection des bobines25
Bobinage du moteur26
Branchement et soudage27
Banc d’essai…………………………………………………………28
vernissage29

Partie IV:
Les travaux effectués30

La sécurité dans l’ocp Youssoufia30

Conclusion32

Liste des figures :


Figure 1 : organigramme général de l'ocp9

Figure 2 : organigramme du service électrique17

Figure 3 : stator semi-bobiné18

Figure 4 : encoches et deux bobines19

Figure 5 : bobinage a poles alternes Bobinage ondulé progressif :20

Figure 6 : bobinage a poles consequents Mode opératoire:20

Figure 7 : les composants d'un moteur22

Figure 8 : les chignons23

Figure 9 : montage de papier isolant dans les encoches23

Figure 10 : encoches contient l'isolement24

Figure 11 : confection des bobine à l'aide d'une machine bobineuse25

Figure 12 : branchement des bobines26

Figure 13 : formage du chignon26

Figure 14 : branchement et soudage27

Figure 15 : essai champ tournant28

Introduction
Le stage constitue un élément indispensable à notre formation, c’est un contact qui permet à
l’étudient de vivre la réalité du monde industriel avec un accent particulier mis sur le coté social et les
relations humaines.

Toutefois, ce stage m’a permis de tester mes capacités d’analyse et de synthèse, et de faire une
comparaison entre application théorique et application pratique.

Ce que j’ai bénéficié de ce stage :

Réviser, tester et améliorer mes connaissances.


De voir et de vivre la réalité professionnelle.
Etre supervisé et encadré de près.
D’affronter l’aspect pratique des problèmes rencontrés.
Distinguer entre l’aspect théorique et l’aspect pratique pour les travaux effectués au sein d’un
milieu professionnel.

J'ai effectué le stage du 11/12/2022 au 07/01/2023 à la SNTF Constantine.Le sujet traité dans ce
rapport de formation est une étude technique sur sntf et les opérations de maintenance et de
fabrication des pièces les plus importantes pour le processus de transmission. Tout d'abord, je
voudrais présenter dans une première partie une présentation générale de l'entreprise, et dans une
deuxième partie je donnerai un petit détail sur le fonctionnement des appareils au sein de l'entreprise
et leurs rôles. observations et méthodes de protection les plus importantes et une conclusion qui
reflétera mes impressions durant mon stage.

Partie I :

Le groupe office chérifien des phosphates:

Le groupe office chérifien des phosphates est un organisme semi-publique industriel et commercial,
inscrit au registre du commerce, et soumis au même régime fiscal que les entreprises privées, ce
qui lui confère une personnalité civile est une autonomie financière.

Le siège de la direction générale se trouve à Casablanca. Plusieurs entités lui sont soumises:

Secrétariat du directeur général


Direction stratégie et développement (DSD)
Direction de la qualité (DQE)
Direction commerciale (DC)
Direction de la communication et de la coordination des opérations (DCCO)
Direction des ressources humaines (DRH)
Direction recherche et innovations (DRI)
CERPHOS (CR)
Géologie de développement
Capitalization et innovation

Pole mine :
DEG : direction des exploitations minières de Gantour
DEK : direction des exploitations minières de Khouribga
DB : direction de Boucraa
Pole chimie :
CJ : direction du pole chimique de jorf lasfar
DIS : direction des industries chimiques de Safi
Pole finances et support logistique :
Direction financière (DF)
Direction des approvisionnements et marchés (DM)
Direction des systèmes d’information et de l’organisation (DIO)

Organigramme de l’OCP:

Figure 1 : organigramme général de l'ocp

Historique du groupe OCP:

L’OCP a été créé par UN Dahir Chérifien du 07 aout 1920. Une année plus tard, l’exploitation
effective du phosphate commença au gisement d’ouled Abdoun (Khouribga au 1er mars 1921). La
mise en exploitation du gisement de Gantour n’a commencé que 10 ans après, le deuxième centre
d’exploitation minière étant celui de Youssoufia, appelé anciennement « Louis Gentil » en 1931. Ses
premières expéditions ont débutées en 1993.

A partir des années 60, pour répondre au marché international et développer une industrie locale du
phosphate, l’OCP s’est intéressé à la valorisation locale du produit et à sa transformation avant son
exportation.

Ainsi, deux centres de transformation chimique ont vu le jour :

Safi (23/07/1965) : création de MAROC CHIMIE


Jorf lasfar (1986) : création de MAROC PHOSPHATE III et IV

En 1964/1975, l’évolution des activités de l’ocp a conduit à la mise en place d’une structure de
groupe permettant l’intégration complémentaire au sein d’un même ensemble, accompagnée d’une
fusion avec d’autres sociétés dans le même domaine FERTIMA, MARPHOCEAN.

En 1979, L’OCP commence l’exploitation d’une nouvelle zone minière : le centre de ben Guérir.

Désormais, le groupe OCP occupe une place importante tant au niveau national qu’international, et
joue un rôle important sur le plan économique.

Actuellement, le groupe OCP est leader dans son domaine. Au niveau mondial, il est le premier
exportateur de phosphate sous toutes ses formes.

Cette situation fait que le groupe OCP est confronté à un environnement international très
concurrentiel. C’est pourquoi le groupe OCP a déployé des efforts considérables pour consolider sa
position dans le monde.

Principales caractéristiques:

Date de création de L’OCP : 1920


Date de création du groupe OCP : 1975
Statut juridique : organisme public doté de l’autonomie financière
Contrôle: exercé par le conseil administratif qui est présidé par le premier ministre et le ministre
de l’énergie et des mines.
Réserves de phosphate : ¾ des réserves mondiales
Production : phosphate et drivés phosphatés (acide phosphorique, engrais, acide phosphorique
purifié)
Objectif : extraction, traitement, transformation, commercialisation des phosphates et produits
dérivés.

Site de production :

Phosphate : KHOURIBGA, BENGUERIR, TOUSSOUFIA, BOUCRAA, LAAYOUNE.


Dérivés phosphatés : SAFI, JORF LASFAR.
Ports d’embarquement : CASA, JORF LASFAR, SAFI et LAAYOUNE

Effectif en personnel (2004) : 19551 agents dont 850 ingénieurs et assimilés.


Les chiffres clés (2004) :

Phosphates et produits dérivés :


production marchande de phosphate (en millions de tonnes) : 25,37
Taux valorisation en produits dérivés : 52,8%
Parts de marche à l’international :

Phosphate : 38,6%

Acide phosphorique : 44,4%

Engrais : 9,9%

Phosphates sous toutes formes : 27,8%

Résultats :
chiffre d’affaires (en milliards de dirhams) : 19,3
Structure du bilan consolidé (en milliards de dirhams) :
actif immobilisé : 12.7
actif circulant et trésorerie : 19.4
Financement permanent : 27.1
Passif circulant et trésorerie : 5

Part du groupe OCP dans total des exportations marocaines : 16.1% (en valeur)

Part du groupe OCP dans le PIB national : 5% (taux le plus élevé depuis 30 ans)

Implantation:

Le groupe OCP est présent dans 5 zones géographiques du pays (3 zones d’exploitation minière et 2
centres de transformation chimique).

Zone des phosphates Ouled Abdoun appelée « direction des exploitations minières de Khouribga
DEK ». L’exploitation se fait en découverte (exploitation à ciel ouvert), le phosphate est exporté après
traitement ou transformation par les ports de jorf lasfar et de Casablanca.

Zones des phosphates de boucraa, comprenant les centres d’exploitation de boucraa, ainsi que
l’usine de traitement et le port de chargement de laayoune.

Zones des phosphates de bengurir et de Youssoufia appelée « direction des exploitations minières de
Gantour DEG ». L’exploitation se fait en découverte à Bengurir, et en découverte et souterrain à
Youssoufia. Le phosphate est expédié après traitement vers le site de transformation chimique de
Safi.

Le site de transformation chimique de Safi (direction des industries chimiques de Safi).

Le site de transformation chimique de Jorf Lasfar (pole chimique de Jorf Lasfar).


Les acticités de l’OCP à El Youssoufia:

Située à 60 km de Benguérir, à 90 km à l’est de Safi, à 100km de Marrakech et 230 km au sud de


Casablanca, la zone de

Youssoufia constitue la partie occidentale du gisement de

GantOur

. L’exploitation a commencé en 1931 dans la partie nordouest du site et donné naissance au centre
phosphatier deYoussoufia, connu à l’époque sous le nom de Louis Gentil. Les

réserves sont de l’ordre de 10,2 milliards de m3.

Le gisement de phosphate de Youssoufia est constitué de

deux types de minerais. Un phosphate « clair » contenant peu de

matières organiques, dont l’exploitation a commencé en 1931.

Mis en valeur à la fin des années 60, le phosphate « noir » est

,quant à lui, riche en matières organiques.

À Youssoufia, l’exploitation se fait en souterrain à l’aide de

techniques modernes. La méthode d’exploitation utilisée est celle

dite par traçage et dépilage. Les dépilages mécanisés

s’effectuent par longues tailles, les traçages à l’aide de machines

a batteuses chargeuses » (tunneliers). Le potentiel d’extractionavoisine les 1,2 million de tonnes de


phosphate par an.

L’exploitation en souterrain est mécanisée à 100%. Chaque unité

de production est dotée d’une station d’épierrage et de

criblage ainsi que d’une aire de stockage.

Deux types de traitement sont utilisés : le séchage pour lephosphate « clair » et la calcination pour le
phosphate « noir ».

La première opération permet de réduire l’humidité du produit à moins de 2% avant sa


commercialisation. La seconde consiste àfaire subir au minerai brut un traitement thermique (plus de

700°C) pour éliminer les matières organiques qu’il contient. Ce

procédé permet également d’améliorer la qualité du produit. Le

potentiel annuel de traitement est de 7,6 millions de tonnes.

Le site dispos par ailleurs de deux stations de chargement d’OCP trains dont la capacité totale
avoisine les 20 millions de tonnespar an. Le phosphate traité est ainsi acheminé par rail jusqu’à

Safi pour alimenter les usines de fabrication d’engrais et d’acide

phosphorique. Une partie de la production destinée à

l’exportation est expédiée via les

ports minéraliers de Safi, Jorf

Lasfar et Casablanca.Depuis 1998, le Groupe OCP exploite également la mine

de

Bouchane (Recette 6), située à 40 km du site de Youssoufia.L’extraction du phosphate en découverte


est réalisée au moyen

de Bulls. La production est ensuite traitée entièrement à

Youssoufia.

Partie II:

Atelier rebobinage
Ce service s’occupe des vérifications, des réparations et des rebobinages des moteurs
électriques, ainsi que les transformateurs et les postes de soudure.

Identification
Service d’accuiel:

L’atelier de bobinage est géré par un personnel qualifié et digne de la responsabilité.

Cette section s’occupe du bobinage des machines dont les enroulements sont cramés suite à un
défaut d’isolement ou une surcharge.

Cet atelier dispose de plusieurs appareils et bobines (tour) :

1. Autoclave pour imprégnation des moteurs rebobiné (15KW ; 2bar ; réservoir 1100L).
2. Banc d’essai.
3. Palan électrique de manutention.
4. Four de séchage.

Ces appareils et machines rendent la tache facile au bobineur. Ce dernier exécute son travail avec le
minimum d’effort. Les travaux à l’atelier de bobinage sont organisés par les chefs d’équipes et
présidés par un contremaître.

Alors l’atelier bobinage se divisé à deux parties essentielles :

Partie électrique et partie mécanique.

Partie électrique :

Elle s’occupe des travaux suivants :

Bobinage des moteurs à moyenne tension.


Bobinage des moteurs à basse tension.
Bobinage des transformateurs.
Bobinage des postes de soudure.

Partie mécanique :

Elle s’occupe des travaux suivants :

Décarcassage des moteurs.


Démontage et remontage.
Entretien des machines électrique.
Equilibrage des rotors.
Présentation de service électrique :
Le service électrique occupe une place stratégique dans la maintenance des équipements et
installations électriques.

Il se compose de plusieurs sections dont leur objectif et d’assurer :

Acheminement de l’énergie électrique aux utilisateurs depuis le 60 KV jusqu’au poste volant pour
l’exploitation et distribution basse tension (BT).
Surveillance de la bonne marche des installations électriques :
a. Entretien et réparation du matériel électrique défectueux.
b. Distribution du réseau téléphonique.
c. Confection de l’équipement électrique.

Organigramme du service électrique :

Figure 2 : organigramme du service électrique


PARTIE III : Bobinage

 

Figure 3 : stator semi-bobiné

Quelque définirions utiles :


Bobinage :

Un ou plusieurs enroulements disposes par un bobineur sur un appareil ou une machine


électrique.

Encoche :

Une rainure à l’entaille évidemment pratiquée dans les parties métallique, pour y loger les
conducteurs d’un faisceau.

Faisceau :

Un ensemble des conducteurs constituent le rôle de section placé dans une encoche.
Section :

C’est la parie de bobinage que l’on peut parcourir entre deux encoches, chaque section à
deux faisceaux et plusieurs spires.

Spire :

Un ensemble du conducteur d’aller, du conducteur de retour et de liaison.

Bobine :

On appelle bobine un ensemble de deux ou plusieurs sections, chaque bobine à une entrée et
une sortie.

Enroulement :

Un ensemble de bobines faisant partie d’un même circuit dont l’entrée et le sortie sont reliées
à la plaque à bornes de la machine.

Pôles :

UN pole est constitué par plusieurs encoches dont les conducteurs sont traversés par un
courant dirigé dans le même sens.

Pas polaire :

On appelle "pas polaire", l’espace copris entre deux lignes neutres ou entre les axes de deux
pôles consécutif NORD et SUD quelque soit le nombre de pôles que possède la machine.

Figure 4 : encoches et deux bobines

Types de bobinage:

Bobinage imbrique :

On appelle bobinage imbriqué ou bobinage à pôles alternés, lorsqu’il nécessite bobine par
pole et par phase.

Figure 5 : bobinage a poles alternes

Bobinage ondulé progressif :

On appelle ondulé ou bobinage à pôles conséquents, lorsqu’il nécessite une bobine par pair
de pôles et par phase.
Figure 6 : bobinage a poles consequents

Mode opératoire:

En ce qui concerne mes travaux effectués j’ai fait le rembobinage d’un stator du moteur
asynchrone triphasé de 33 HP.

Les caractéristiques du moteur à relevés:


Tension d’alimentation
Puissance nominale
Facteur de puissance
Vitesse de rotation
Fréquence = 50 Hz.
Calcul du bobinage du stator :
Z = 48 encoches
2p = 2*3000/1500 = 4 pôles
N = 48/2q avec q = 48/2P alors : N = 48/4 = 12 Bobines
M = 3 phases.
G = p*m = 2*3 = 6 Groupes
Nombre de bobines par groupe = N/p*m = 12/6 = 2
Nombre de bobines par phase = N/m = 12/3 = 4

Matériels utilises:

Pour un bobineur il faut l’utilise le matériel suivant:

UN maillé et (marteau en bois).


Pince à bec rond.
UN tagot (support en forme v).
Tasse fil.
Une paire de ciseaux.
Pince à bec plat.
Pince universelle.
Pince coupante sur le bout.
Pince coupante sur le coté.
Pince à dénuder.
Règle de 50 cm.
Double mètre.

Les opérations pratiques:

Les moteurs grillés arrivent à l’atelier d’électromécanique pour le démontage des flasques et
rotors. Les stators des moteurs grillés sont transmets à la section de bobinage.

Soit qu’il est grillé, donc il est à rembobinée.


Soit qu’il est humide ou présente un défaut, donc à réparer en le mettant à l’étuve à 120
°C. Cette opération dépend de 14H.
a. Démontage :

Le démontage d’un moteur électrique dépend de savoir tous les composants qui se
composé et leurs fonctions.

Figure 7 : les composants d'un moteur

La gamme de démontage:

1. Démontage de la cache ventilateur et le ventilateur.


2. Démontage du flasque arrière.
3. Démontage du flasque avant.
4. Retirage du rotor.

Remarque :

Durant le démontage il faut bien observer comment le moteur est assemblé.

a. Décarcassage :

Principe:

Le stator est déposé sur une table de fixation pour le Décarcassage. Cette opération consiste
à extraire les faisceaux grillés de leur place.

On commence à couper les chignons (fig.5) de la partie branchement puis on pose le stator au
four détruire la rigidité du vernis, puis on tire les faisceaux du coté non branchement à l’aide
de palan après avoir fixé complètement le stator.

 

Figure 8 : les chignons

Remarque:
Pour les petits moteurs on évite de ne pas les détériorer par le palan pour cela on coupe les
deux parties de chignions et on tire le file à l’aide d’une pince, et on fait sortir complètement le
faisceau par un barreau de fer dimension inférieur à celle de l’encoche en le frappant par un
marteau moins lourd.

a. Nettoyage : (préparation de stator)

Principe:

Dans cette étape on utilise une lame de scie ou une lime qui à la forme de l’encoche pour
enlever les isolants grillés qui restent collé sur les parois inférieures des encoches. On nettoie
aussi les tôles du circuit magnétique. Le lavage se fait à l’aide du gasoil ou de l’essence puis
on souffle avec l’air comprimée pour dégager toutes les impuretés.

 

Figure 9 : montage de papier isolant dans les encoches

a. Isolation des encoches :

Cette opération dépend de:

Mesure la langueur et la largeur d’une encoche.


Coupe l’isolement en fonction des mesures de l’encoche.
Place

 
Figure 10 : encoches contient l'isolement

a. Confection des bobines :

Principe:

Cette opération ce fait à l’aide d’une machine spécial, le machiniste doit respecter les
caractéristiques prises au moment du Décarcassage pour faciliter le travail.

Ceci s’écrit sur les galets réglables ou d’un gabarit ou on peut trouver les caractéristiques et
le type du moteur à rembobinée, chaque marque et type de moteur à son propre gabarit.

 

 
Figure 11 : confection des bobine à l'aide d'une machine bobineuse

a. Bobinage du moteur : (branchement des bobines)

Principe :

Après avoir effectué la confection donc la réalisation des bobines de bobinage prête à la pose,
on commence à loger les faisceaux comme suit:

La mise d’un faisceau dans l’encoche inférieur et on place le capote au dessus de ceci pour
bien l’isoler de toute coté, après avoir placer le premier faisceau inférieur on place le second
en respectant le pas qui est déjà connu par le calcul puis l’autre faisceau d’une autre bobine
du même groupe dans l’autre voisine au premier de la même manière pour l’autre comme la
seconde de la 1er bobine ainsi de suite jusqu’à ce qu’on termine la bobine, puis on saute le
nombre d’encoche par pole et par phase vide (q = 2 dans notre cas), puis en place le 2ème
groupe de même façon que le premier jusqu’on termine le bobinage.

 
Figure 12 : branchement des bobines

Lorsque tous les encoches sont garnies de faisceau, le bobinage est déterminé, il reste de
former le chignon de coté non branchement en place l’isolant entre phase de chaque groupe,
et on frette la coté avec un ruban de jaconas pour le maintien des entre phase.

 

Figure 13 : formage du chignon

Les précautions à prendre pendant le bobinage:

a. IL ne faut pas frapper fortement pour que le fil ne perde pas ces caractéristiques et ne
pas déchirer l’isolant qui est en périphérique du circuit magnétique.
b. Il ne faut pas croiser les fils dans l’encoche, car ils vont occuper une grande surface.
c. Il faut essayer de ne pas utiliser beaucoup de tasse fil, car elle va frotter les fils entre
eux et perdent leurs émaille.
d. Il faut bien former les bobines dès début pour ne pas avoir une difficulté à la fin.
a. Branchement et soudage :

Pour la réalisation du branchement de l’autre côté du stator on doit décaper les entrées et les
sorties des groupes pour enlever l’émail des fils pour assurer une bonne connexion.

 
Figure 14 : branchement et soudage

Après le branchement on doit souder les connections de liaison des bobines, pour cette
opération en utilise le fer à souder ou l’étain.

Autrement pour les moteurs à plusieurs fils, on utilise directement le chalumeau avec une
baguette d’argent.

a. Banc d’essai : (essai à vide de moteur)

Avant d’imprégner le nouveau bobinage d’un moteur, il est recommandé de faire plusieurs
tests puisqu’il est encore temps de faire une réparation.

Avant de brancher l’alimentation, IL faut:

Mesure de l’isolation et la masse par un ohmmètre.


Vérification de la présence de champ tournant à l’intérieur de stator à l’aide d’une bille ou
un roulement. Après l’application d’une tension réduite.
Mesurer le courant qui circule dans les trois phases pour avoir est ce qu’ont équilibrés.

 
Figure 15 : essai champ tournant

a. Vernissage :

Il faut immerger entièrement les bobines, sans la plaque à borne.

Une fois le moteur sorti du bain et égoutté, il sera séché à 130 degrés durant plusieurs heures.

Une fois sorti du four et pendant qu’il est chaud, on retire, au grattoir, l’imprégnation qui se
trouve sur les guides de flasques, de la culasse, dans les trous taraudés et les surfaces où
l’on va faire contact avec la protection de terre.

Les roles de vernissage:

Après le vernissage (dernier étape), on laisse le moteur pour l’égouttage puis on le réchauffe
comme précédemment pour que le vernis se durcisse sur le long du bobinage.

Le rebobinage de chaque moteur électrique s’effectue par des étapes suivantes:

Les travaux effectués


Branchement d’une boite jonction thermo-rétractable à une pompe de 92 KW.
Essai à vide d’une pompe immergé de puissance 90 KW.
Démontage d’une pompe immergé de puissance 92 KW.
Nettoyage d’un moteur électrique de puissance 5,5 KW.
Décarcassage d’un transformateur de puissance 15 KVA.
Les travaux chaudronniers sur le poste de Décarcassage.
Le Décarcassage d’un moteur de puissance 33 HP.
Visite sur l’atelier de haute tension.
Calculer le nombre de spire d’une bobine.
Monter le moteur de 15 KW avec changement des roulements.
Essai de champ tournant de moteur 4 KW.

La sécurité dans l’OCP Youssoufia


a. L’objectif zéro accident est atteignable car tout accident peut être évité.
b. Chaque agent doit être exemplaire dans son comportement face aux dangers. Il doit
remonter toute situation et acte dangereux, incident et accident pour évité leur
reproduction.
c. Ma sécurité et celle de mes collaborateurs sont primordiales. Aucune tache ne doit se
faire au détriment de la sécurité
d. Portez systématiquement les équipements de protection individuelle (EPI) relatif à votre
poste de travail.
e. Ronger votre poste de travail et vérifier la conformité des moyens de protection collective
pour votre sécurité et celle de vos collaborateurs. N’accéder pas à des lieux / installations
inconnus.
f. Assurez-vous que votre activité est couverte par l’un des standards de travail que vous
devriez maitriser avant toute intervention. Assurez-vous que, également, que vous avez
les habilitations nécessaires pour l’utilisation des équipements / outils de protection.
g. Stationner en marche arrière dans les parkings et respecter les signalisations verticales
et horizontales dans les chantiers, installations, usines et ateliers.
h. Respecter la vitesse de roulage indiquée pour chaque secteur.
i. Le téléphone au volant est formellement interdit.
j. Nous devons accompagner nos sous-traitants pour améliorer leur performance sécurité.

Conclusion

Bien qu’il soit de courte durée, ce stage m’a été très rentable et bénéfique dans la mesure où il

m’a permis de confronter le monde du travail et le contact direct avec le domaine industriel et

d’apprendre comment il faut se servir de la théorie acquise dans le domaine pratique.


Sur le plan individuel son intérêt était de savoir s’intégrer et se comporter avec les différents

membres du personnel de l’atelier de rembobinage et réparation électrique et de fixer les

idées sur les relations humaines.

IL m’a permis aussi de savoir le déroulement des travaux dans le secteur de production.

Bobinage des machines électriques (moteurs)


Démontage du moteur

Traitement du stator (vernissage)Confection des bobinesEssai à vide du moteurDécarcassage du


statorRemontage du moteurNettoyage du statorMéthodologie de travail.Maintenance des
moteurs électriques.Préparation stator(Isolation des encoches)Essai du champ tournant(Banc
d’essai)Branchement et soudage des bobinesMise en place des bobines (bobinage du moteur)
Direction Générale Et CommercialeDirection Financière(DF) Direction du Développement(DD) Direction de la

Qualité(DQ)Directeurs chargésDe mission (DMA, DMS, DMT) Secrétariat du DirecteurGénéral Direction Commerciale(DC)

Direction des Ressources Humaines (DRH)Direction des Systèmes d’InformationDirection de la Communication et de la

Coordination et des Opérations (DCCO) Direction des Approvisionnements et Marchés (DAM)Direction Phosphatage (DP)

Direction des Exploitations(DE) Direction de Production Minières de Khouribga (DPMK) Direction des Industries chimiques de Jorf

Lasfar(DIJ) Direction des Industries Chimiques de Safi (DIS) Direction des Exploitations(DE) Direction de Production Minières de

Khouribga (DPMK) Direction des Industries chimiques de Jorf Lasfar(DIJ) Direction des Industries Chimiques de Safi

(DIS)Directeurs chargésDe mission (DMA, DMS, DMT) Secrétariat du DirecteurGénéralDirection Financière(DF) Direction du

Développement(DD) Direction de la Qualité(DQ)Directeurs chargésDe mission (DMA, DMS, DMT) Direction Commerciale(DC)

Direction des Ressources Humaines (DRH)Direction des Systèmes d’InformationDirection de la Communication et de la

Coordination et des Opérations (DCCO) Direction des Approvisionnements et Marchés (DAM)


1.
2.
3.
4.
a.
b.
c.

Ingénieur chef

Bureau d’étudeSecrétariat

Atelier froid et climatisationAtelier H.TAtelier industrielLaboratoireAtelier rebobinagesAtelier B.T


a.

1.
2.
3.
4.

a.

a.
a.

a.

a.
a.
b.
c.
d.
a.

a.

a.

Augmenter l’isolationProtéger le bobinage contre les accidents mécaniquesBobinage devient très dureEliminer les vibrations
a.
b.
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