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Ce livre est offert gratuitement aux musulmans et aux non-­

musulmans afin que nul ne puisse évoquer le jour venu sa


méconnaissance de la Véritable et l’Ultime Parole de Dieu
à l’adresse de l’humanité.

© Tous droits de reproduction réservés, sauf pour distribution gratuite sans rien
modifier du texte. Les opinions du livre sont celles de leur(s) auteur(s) et ne re-
flètent pas nécessairement celles du site ou du traducteur. Pour toutes questions,
suggestions, ou erreurs, veuillez nous contacter à l’adresse suivante ou par le
biais de notre site internet : www.islamhouse.com

PUBLIÉ PAR LE BUREAU DE PRÊCHE DE RABWAH (RIYADH)


www.islamhouse.com L’islam à la portée de tous !
Pour tous ceux qui pensent que ceci est faux, vrai-
ment il faut ouvrir les yeux. Je m’explique, la plupart
des hommes de science qui ont fait de grande décou-
vertes sur les vérités islamiques on fini par se conver-
tir à l’islam. Ces personnes ne sont pas bêtes, elles ne
sont pas nées dans l’islam mais dans une autre religion,
voire dans aucune religion. Elles ont été attirées dans
leur vie par la science. Et l’islam invite à la science et à
la réflexion, ce qui est une preuve de véracité, car si une
personne n’invite pas à réfléchir et impose seulement
une religion ou une pratique, alors c’est un diktat qui
use de la force pour se faire respecter. Or, l’usage de la
force est la preuve d’absence d’arguments, n’est-ce pas ?
Alors réfléchissez ! Comment en 622 après J-C un homme
aurait pu prédire que dans la mer il y avait ces deux mers
(mer baltique et mer du nord) qui entrent en collision sans
se mélanger ? Comment un homme pouvait-il prévoir un
fait que l’on découvrira beaucoup plus tard et qui reste à
ce jour un mystère pour tous, si ce n’est l’œuvre de Dieu,
d’un créateur ?
Deuxième argument si je puis dire : le professeur
Maurice Bucaille, grand homme de science, a été appe-
lé pour analyser le corps d’un pharaon retrouvé quasi in-
tacte. Lorsqu’il l’analyse, il en déduit que ce dernier est
mort noyé. À ce moment-là, il avait un assistant musulman
qui lui dit : je le savais déjà que cet homme était mort noyé.
Très étonné et choqué, le professeur se demande com-
ment est-ce que cet assistant aurait pu savoir comment ce
pharaon, que l’on vient de déterrer, était mort noyé. L’as-
sistant s’explique et cite le verset du Coran qui le cite. Le
professeur se renseigne à son tour. Cet homme de science
entre alors dans l’islam, car il se rend compte que ce n’est
que vérité scientifique. Il est l’auteur de nombreux livres
de science qui expliquent l’islam, le judaïsme et le chris-
tianisme (ces trois religions ont le même Dieu, mais l’is-
lam est la dernière. Donc, il faut s’y référer).
Comment donc, vous qui ne cherchez même
pas à comprendre la religion, êtes-vous sûrs que
c’est le Coran qui est l’œuvre d’un homme et que la
science est l’explication seule de tout chose créée ?
S’il vous plaît, renseignez-vous sur la religion, car elle
n’est que vérité, amour et paix ! Renseignez-vous et cher-
chez à comprendre jusqu’au bout ! Les m ­ usulmans aussi…
Renseignez-vous sur votre religion pour renforcer votre foi.
Ne vous fiez pas aux musulmans en tant que modèles de
l’islam, car l’homme commet des erreurs, mais l’islam et
le Coran sont l’œuvre de Dieu et sont l’œuvre de la perfec-
tion.
« Nous leur montrerons Nos signes dans l’univers
et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne
évident que c’est cela (le Coran), la Vérité. » 41:
53
NOS Coordonnées
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RENTS Abandonnés ET POUR LES PERSONNES ÂGÉES SANS
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DANS TOUteS LES LANGUES
« Ceux qui dépensent leur biens dans le sentier
d’Allah ressemblent à un grain d’où naissent
sept épis, à cent grains l’épi, et Allah multiplie la
récompense à qui Il veut ». 2: 261
Muhammad, l’homme le plus
influent de l’Histoire

C’est le témoignage des non-musulmans ;


une réflexion basée sur une bonne méthode
scientifique nous conduira certes à un tel
résultat…
Chers lecteurs, peut-être avez-vous entendu parler de
ce livre intitulé «The 100 : A Ranking of the Most Influential
Persons in History» (Les 100 : classement des personnes
les plus influentes de l’histoire).
Michael H. Hart, l’auteur de ce livre, déclare que «
Certains lecteurs seront peut-être étonnés de me voir pla-
cer Muhammad en tête des personnalités ayant exercé le
plus d’influence en ce monde, et d’autres contesteront
probablement mon choix. Cependant, Muhammad est le
seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les
plans religieux et séculier. Quatorze siècles se sont écou-
lés, l’influence de Muhammad garde toujours son ampleur
car il est le seul chef politique qui ait pu fonder un état
prépondérant aussi bien religieusement que scientifique-
ment, et c’est pour cette raison qu’il a mérité le titre de «
l’homme le plus influent de l’histoire de l’humanité » (It is
this unparalleled combination of secular and religious in-
fluence which I feel entitles Muhammad to be considered
the most influential single figure in human history).
Désintéressé, l’auteur de ce livre avait des règles
scientifiques justifiant son choix de la personnalité la plus
influente de l’histoire aux niveaux politique, militaire et
social ; ce qui veut dire que quiconque considère le pro-
phète de l’islam d’un point de vue scientifique le trouve
le meilleur exemple à suivre par excellence. Au surplus,
quiconque traite l’islam et son prophète de terrorisme et
d’ignorance, est lui-même inculte et abusif !
Le noble prophète, paix et salut sur Lui, est un être
humain comme nous, et se félicite d’être serviteur et mes-
sager de Dieu, et tout cela prouve sa véridicité, car aucun
homme ne vient pas avec un livre sacré, un noble mes-
sage, des idées innovantes et d’excellentes bases d’état…
il s’investit à fond, puis il annonce que rien de tout cela ne
provient de sa propre personne !
Ainsi, ne connaît-on pas de littérateurs, de poètes,
d’inventeurs ou de découvreurs qui ont attribué leurs tra-
vaux à quelqu’un d’autre ! Alors, il en aurait fallu être de
même pour un homme appartenant à une société qui aime
les flatteries… pourquoi donc ? Parce qu’il est le vrai pro-
phète et messager d’Allah, exalté soit-Il.
Le chercheur japonais Michael H. Hart n’est pas mu-
sulman, alors pourquoi déclare-t-il que le prophète, salut
et paix sur Lui, est le chef par excellence qui a réussi aus-
si bien religieusement que scientifiquement ? La réponse
est simple : parce que Muhammad, salut et paix sur Lui,
l’est vraiment !
Maintenant j’aimerais bien savoir s’il y a un grand
homme qui a attribué ses bonnes œuvres à quelqu’un
d’autre ?! Que les sceptiques en méditent bien !
Ce sont les prophètes d’Allah, Muhammad est le der-
nier de ces messagers dont Dieu parlent : « et Dis :
« ô hommes ! Je suis pour vous tous le Messager
d’Allah, à Qui appartient la royauté des cieux et
de la terre. Pas de divinité à part Lui. Il donne la
vie et Il donne la mort. Croyez donc en Allah, en
Son Messager, le Prophète illettré qui croit en
Allah et en Ses paroles. Et suivez-le afin que vous
soyez bien guidés » 7: 158.
QUE CE LIVRE SOIT UN HOMMAGE A LA GLOIRE ÉTER-
NELLE D’ALLAH, LE SEIGNEUR ET LE CRÉATEUR DE L’UNI-
VERS.
C’est Lui qui a fait descendre sur toi le Livre: il
s’y trouve des versets sans équivoque, qui sont
la base du Livre, et d’autres versets qui peuvent
prêter à d’interprétations diverses.

Les gens, donc, qui ont au cœur une inclination


vers l’égarement, mettent l’ accent sur les
versets à équivoque cherchant la dissension
en essayant de leur trouver une interprétation,
alors que nul n’en connaît l’interprétation, à part
Allah. Mais ceux qui sont bien enracinés dans la
science disent: «Nous y croyons: tout est de la
part de notre Seigneur!» Mais, seuls les doués
d’intelligence s’en rappellent. 3: 7.
Le sceau du prophète Muhammad r
Nous ne t’avons envoyé que
Comme Miséricorde pour
L’humanité
Le coran n’est pas un livre scientifique mais plutôt un
guide pour l’humanité
INTRODUCTION

Dès l’aube de la vie humaine sur cette planète,


l’homme a toujours cherché à comprendre la nature, son
propre endroit dans l’arrangement de la création et le but
de la vie elle-même. Dans cette recherche pour la vérité,
qui a duré plusieurs siècles et civilisations diverses, la re-
ligion organisée a formé la vie humaine et a déterminé lar-
gement, le cours de l’histoire.
Tandis que quelques religions ont été basées sur des
livres, réclamés par leurs adhérents être inspirés divine-
ment, d’autres ont compté seulement sur une expérience
humaine.
Le Coran, la source principale de la foi islamique, est
un livre considéré par les Musulmans, avoir une origine
complètement divine. Les musulmans croient également
qu’il contient des conseils pour toute l’humanité.
Par son message d‟universalité, le message du Co-
ran est considéré valable pour toutes les époques, et de-
vrait être approprié à celles-ci. Le Coran passe-t-il cette
épreuve?
Le but de cet ouvrage est de formuler une analyse ob-
jective sur le caractère divin du message Coranique, à la
lumière des découvertes scientifiques établies. Il fut long-
temps, dans l’histoire de la civilisation du monde, quand
les miracles, ou ce qu‟on percevait comme tels, avaient la
priorité sur la raison et la logique. Certes, il
LE CORAN ET LA SCIENCE MODERNE 4 n‟est guère aisé
de définir le mot « miracle »’? Mais nous pouvons suppo-
ser que c‟est un phénomène qui a lieu hors du champs
de nos perceptions courantes « normales » et pour lequel
nous ne possédons aucune explication. Cependant, nous
pouvons établir un distinguo entre miracle et magie : Un
article paru dans le « Times of India »
‘Mumbai, en 1993 a signalé qu‟un saint dénommé
„Baba Pilot‟ a prétendu avoir resté sous l’eau sans in-
terruption dans un réservoir pendant trois jours et nuits
consécutifs. Lorsque les journalistes ont voulu examiner
la base du réservoir d’eau où il a prétendu avoir exécu-
té cet exploit miraculeux, il a refusé de les laisser faire.
Il a justifié son refus en demandant comment on pouvait
examiner l’utérus d’une mère qui donne naissance à un
enfant.
En réalité, le „Baba‟ cachait quelque chose : Il voulait
faire parler de lui. Evidemment, aucune personne raison-
nable ne songerait à qualifier cet exploit de « Miracle ».
Si de tels faux miracles se prétendent d‟ordre divin,
alors M. P.C. Sorecar, le célèbre magicien mondialement
connu pour ses ingénieuses illusions magiques, est le
meilleur home de Dieu. Rien de comparable, dans le Livre
qui s‟impose comme divin et miraculeux, non seulement
par son caractère universel, mais aussi pour le style inédit
et inimitable de son contenu.
Un livre, réclamant une origine divine, prétend en ef-
fet, être un miracle. Une telle réclamation doit être facile-
ment vérifiable dans n’importe quel âge, selon les normes
de cet âge. Les musulmans croient que le Coran est le der-
nier et final règlement de Dieu, le miracle des miracles ré-
vélé comme pitié à l’humanité. Donc allons étudier la vé-
racité de cette croyance.
Résumé de l’histoire du Prophète
Muhammad r

Environ 600 années après le départ du prophète Issa


(Jésus) , comme Allah n’avait envoyé aucun autre Messa-
ger sur terre, les gens étaient plongés dans l’obscurité. Ils
avaient oublié Dieu. Ils avaient oublié les bonnes paroles
prêchées par les Prophètes.
Ils fabriquaient des idoles et les adoraient. Ils ado-
raient aussi les arbres, la mer, le soleil, la lune etc… Ils
consommaient des boissons alcoolisées et s’adonnaient
aux jeux de hasard. Ils enterraient leurs filles vivantes et
brûlaient vives les veuves. Bref, le monde était dans le
plus grand égarement et dans la plus grande perdition.
On avait cessé d’adorer le Dieu Unique. Il était alors
nécessaire qu’un Messager vienne de la part d’Allah pour
guider à nouveau l’humanité vers le chemin de la Vérité.

Sa naissance
C’est alors à la Mecque, que le prophète (que Dieu lui
accorde Sa Grâce et Sa paix), très probablement le lundi
12 du mois de “Rabi’oul Awwal” de l’année de l’éléphant.
Lors de la naissance de Mohammad , plusieurs évé-
nements eurent lieu à travers le monde ; ainsi le palais de
l’empereur perse trembla et un feu qui était allumé depuis
des siècles dans un de leurs temples s’éteignit.

Sa garde
Son père Abdoullah mourut deux mois avant la nais-
sance de Mohammad. Agé alors de 6 ans, après la mort
de sa mère Amina, il fut pris en charge par son grand-père
Abdoul Mouttalib. Mais deux ans, deux mois et dix jours
après la mort de sa mère, Abdoul Mouttalib tomba grave-
ment malade. Il appela alors à son chevet tous ses fils et
décida qu’après sa mort, Mohammad serait confié à l’un
d’eux : Abou Talib.
Abdoul Mouttalib mourut quelques temps plus tard
alors que Mohammad n’avait que 8 ans. Abou Tâlib était
l’oncle de Mohammad. Il avait une famille nombreuse mais
malgré cela il n’hésita pas à recueillir Mohammad.
Pour pouvoir élever sa famille, il allait jusqu’en Syrie
(le Châm) pour faire du commerce.

Un signe
Lorsque Mohammad fut âgé de 12 ans, son oncle
Abou Tâlib décida de faire un voyage vers la Syrie. Le jeune
Mohammad voulut l’accompagner mais Abou Tâlib refusa
à cause des difficultés du voyage. Puis comme il insistait
beaucoup, il accepta de l’emmener avec lui. Ce fut son
premier voyage vers la Syrie.
Ce fut à l’occasion de ce voyage qu’il rencontra un
moine nommé “Bahira” qui reconnut en lui les signes dis-
tinctifs du Prophète qui avait été prédit dans l’évangile et
qui était attendu. Il conseilla à Abou Tâlib de ramener Mo-
hammad rapidement vers Makkah et de bien veiller sur lui.
Mohammad avait cultivé pendant son enfance et sa
jeunesse un certain caractère et une force morale tout à
fait différents des autres. Il avait de bonnes manières. Il
était honnête et loyal. Aussi, les gens de Makkah l’appe-
lait “Al-Amine” (le digne de confiance).

Khadija
Il y avait à la Mecque une femme veuve très riche qui
s’appelait Khadija (qu’Allah l’agrée). Elle faisait du com-
merce à Makkah mais aussi en dehors de l’Arabie, par
l’intermédiaire d’autres personnes. Quand elle apprit que
Mohammad était l’homme le plus honnête de la Mecque,
elle lui proposa de conduire une de ses caravanes com-
merciales vers la Syrie, en échange d’un salaire.
Mohammad accepta sa proposition et accomplit ainsi
son second voyage vers ce pays. Maysara (un serviteur de
Khadija, qui les accompagnait) constata aussi lors de ce
voyage d’autres signes étranges concernant Mohammad.
Elle en fit alors part à Khadija (qu’Allah l’agrée) à son re-
tour.
Khadija (que Dieu l’agrée) était une femme riche et
éduquée. Elle envoya alors une messagère nommée Na-
fiça chez l’oncle de Mohammad pour lui faire part de son
désir d’épouser Muhammad. La demande ayant été accep-
tée, Mohammad, était alors âgé de 25 ans lorsqu’il épousa
Khadija qui pour sa part avait 40 ans.
Elle a vécu plus d’un quart de siècle (plus de 25
ans) avec son époux. Mohammad n’épousa pas d’autres
femmes tant que Khadija était encore en vie. Elle fut sa
meilleure épouse et compagne. De cette union, naquirent
quatre filles et deux fils. Les deux fils s’appelaient Quas-
sim et Tahir. Tous deux moururent en bas âge. Les filles
s’appelaient Zeïnab, Oum Koulçoum, Roquayya et Fâtima.
La révélation
Avant la première révélation, il avait l’habitude de se
rendre dans une grotte au mont “Hirâ” pour méditer. Ce
fut là ; pendant une nuit du mois de Ramadan, à l’âge de
40 ans, que soudainement, Mohammad perçut une pré-
sence, dans le silence de la nuit.
Une voix se fit entendre :
“Lis !” Mohammad était bouleversé. “Je ne
sais pas lire” lorsque la voix répéta l’ordre c’est
comme si la terre s’était mise à trembler : ” Lis !”
– ” Que dois je lire ? ” Puis soudain, il se sentit comme
libéré.
” Lis ! au nom de ton Seigneur qui a créé ! Il a
créé l’Homme d’un caillot de sang. Lis car ton
Seigneur est le Très Généreux. Qui a instruit
l’Homme au moyen du Calame, de la plume. Il lui
a enseigné ce qu’il ne savait pas. ” [ Sourate 96
L’adhérence – Verset 1 à 5 ]
Ce furent les 5 premiers versets du Glorieux Coran,
la voix était celle de Gabriel, l’esprit de Foi et de Vérité,
qui fut envoyé par Dieu au dernier des prophètes. Moham-
mad était envoyé à l’Humanité tout entière, pour guider
les Hommes mais aussi les Djinns vers le chemin de Dieu
Son message
L’aimé d’Allah, comme il fut surnommé, reprocha
aux Mecquois leurs idoles (statues qu’ils prenaient pour
Dieu), les appela à adorer le Créateur Unique et leur récita
les versets du Coran pour les guider dans la bonne voie.
Comme réponse il fit face à la torture et l’oppression.
Lorsque les Mecquois prirent conscience de leur incapa-
cité à lui faire face, il lui offrirent royauté, argent et pou-
voir mais Mohammad (paix et bénédictions) refusa et dit
: ” Même si vous me posez le Soleil sur ma main droite et
la Lune sur ma main gauche, je ne renoncerais pas à mon
Message ”
Ce message de quelques mots mais qui pesait plus
lourd que les cieux et la terre était :
Ô vous les gens ! Dites il n’y a nulle divinité digne
d’adoration sauf Allah et vous réussirez !

Les persécutions
Lentement, un par un, le nombre des musulmans
augmentait, guidés par le prophète bien-aimé. Mais les
musulmans furent l’objet de persécutions dès les pre-
miers temps de l’Islam. On riait et on se moquait d’eux,
et comme si cela ne suffisait pas, les non croyants avaient
même recours à des attaques et à des tortures physiques.
Quelques centaines de musulmans réussirent à quit-
ter la Mecque, abandonnant leur maison, cherchant re-
fuge en Abyssinie voisine, terre chrétienne, et ceux qui
restèrent, subirent des persécutions de plus en plus vio-
lentes. Une nouvelle tactique fut mise en place par les
chefs de la Mecque. Ils contraignirent le prophète et ses
compagnons à vivre dans un endroit isolé de la ville, et
aucune provision ne leur parvenait.

L’aimé d’Allah
Grâce à Dieu, les persécuteurs cessèrent cette pra-
tique inhumaine. Le blocus fut finalement levé et la situa-
tion se modifia quelque peu. Les gens purent à nouveau
observer et écouter le prophète.
C’était un bel homme, de taille moyenne, les cheveux
et la barbe noire, ses paroles étaient toujours pleines de
sagesse et de conseils. La gentillesse et la miséricorde
de Mohammed étaient inégalables. Il accorda une place
d’honneur à la femme, une place dans la société qui était
inimaginable, un honneur en islam, que l’on ne trouvait
nulle part ailleurs.

Le voyage nocturne
Ce fut lors de la dixième année de la révélation que le
prophète Mohammad perdit son oncle Abou Talib, suivit
de la mort de son épouse Khadija, de plus il fut mal traité
par le peuple de Ta’if lorsqu’il vint leur délivrer le message.
Ce fut une année de tristesse pour le prophète. Mais
c’est cette année là que Dieu envoya l’ange Gabriel, pour
l’élévation suprême du corps et de l’esprit, le voyage noc-
turne : Al Isra wal Mi’raj.
Un voile séparait le prophète de son Seigneur et c’est
là que Dieu offrit le plus grand honneur à Mohammad : les
cinq prières quotidiennes, le deuxième pilier de l’Islam.
A la suite de ce voyage miraculeux les incrédules redou-
blèrent de moqueries et de persécutions envers le pro-
phète.

L’hégire
C’est alors qu’une délégation de la ville de Yathrib, si-
tuée à environ 400 Km de la Mecque proposa l’hospitalité
à Mohammad et à sa communauté.
Mohammad accepta après treize années d’appel à
l’Islam, à la Mecque. Il immigra, lui et les “convertis” à
l’Islam, vers Médine, lieu où la religion a pu s’épanouir et
où Mohammad devint le chef de ce nouvel Etat.
C’est ce que l’on a appelé l’Hégire, et qui marque le
commencement du calendrier islamique.

L’autorisation
Beaucoup de gens à Médine, ont constaté les bien-
faits de l’Islam, et se sont “convertis”. Cependant, les
Mecquois étaient toujours déterminés à éliminer la com-
munauté musulmane, et ce fut au cours de la deuxième
année de l’hégire, pendant le mois de Ramadan, après de
nombreuses persécutions que Dieu le Très Haut donna la
permission de se défendre.
“Toute autorisation de se défendre est donnée
à ceux qui ont été attaqués. Parce qu’ils ont été
injustement opprimés. Dieu est Puissant pour les
Secourir.” [ Sourate Le Pèlerinage 22 – Verset 39
]

Les batailles
La première guerre fut appelée la bataille de Badr ; les
Musulmans, (trois fois moins nombreux que les Mecquois
qui étaient au nombre de mille), sont sortis vainqueurs mi-
raculeusement, avec l’aide de Dieu .
Bataille après bataille, les musulmans prouvèrent
qu’ils pouvaient résister à toutes les attaques grâce Dieu
et Médine ne fut plus jamais attaquée. Ce fut au cours de
la sixième année de l’Hégire qu’une trêve fut décrétée
entre Mohammad et les mecquois, c’est ce qu’on appela
“le pacte d’Al-Hudaybiyya”.

La victoire
C’est en 629 ; huitième année de l’Hégire, deux ans
après la trêve dont les termes étaient constamment vio-
lés par les mecquois, que le prophète Mohammad décida
de se rendre à la Mecque avec une armée de dix milles
hommes pour s’emparer de la ville.
Ce fut un miracle, pas une goutte de sang ne fut ver-
sée et le prophète passa la porte de la ville, sur son cha-
meau, la tête baissée, en toute humilité, tandis que tous
ses ennemis le regardaient.
Il pardonna aux plus grands ennemis de l’islam, face
à cette miséricorde, les gens de la Mecque embrassèrent
l’Islam sans contrainte.
Le prophète entra dans l’enceinte de la Ka’aba, où se
trouvaient les trois cent soixante idoles et statues devant
lesquelles les Arabes se prosternaient.
Une par une, sur l’ordre du prophète, les idoles furent
détruites. Le prophète s’installa à Médine qui devint la ca-
pitale du nouveau monde musulman.
Son Heure
Dieu le Très Haut, rappela son prophète à l’âge de 63
ans, il mourut dans sa maison à Médine, ne laissant der-
rière lui que quelques biens, le monde à ses pieds mais
sans un dinar à son nom. Alors que personne ne voulu le
croire, Abou Bakr, le véridique dit ceci :
«A quiconque adorait Mohamed, j’annonce la mort de
Mohamed. Mais à celui qui adore Allah, Le Seigneur est
vivant et ne meurt jamais»
L’esprit de son message demeure aussi clair et vivant
que lorsqu’il fut révélé :
Ô Seigneur, prie sur Muhammad et sur la famille de
Muhammad Ô Seigneur, accorde Tes bénédictions a Mu-
hammad et a la famille de Muhammad . Tu es certes Digne
de louange et de glorification.
Les évidences scientifiques du Coran prouvent clai-
rement son origine divine. Aucune personne ne pourrait
avoir produit un livre, il y a mille quatre cent ans, qui
contiendrait des faits scientifiques profonds, qui furent
découverts des siècles plus tard par des êtres humains.
Le Coran, cependant, n’est pas un livre Scientifique
mais plutôt un livre de «signes». Ces signes invitent
l’homme à réaliser le but de son existence sur la terre, et à
vivre en harmonie avec la nature. Le Coran est vraiment un
message d’Allah, du Créateur de l’univers.
Il contient le même message de l’unicité de Dieu, qui
a été prêché par tous les prophètes, depuis Adam, Moïse,
Jésus jusqu‟à Mohammad (que la paix soit sur eux).
Les preuves évidentes présentées dans cet ouvrage,
ne constituent qu’une infime partie des données cora-
niques à caractère scientifique.
Tout livre qui se réclame d inspirations divine doit
être parfait à tous les niveaux.
LIS (IQRA), premier verset du Coran

Le défi du Coran
La littérature et la poésie ont été, dans toutes les
cultures, les instruments de l‟expression et de la créativi-
té humaine. Le monde était témoin également d’un âge où
la littérature et la poésie ont occupé une position avancée,
semblable à celles dont jouissent de nos jours la science
et la technologie. Les musulmans comme les non-Musul-
mans acceptent que Le Coran soit de la littérature Arabe
par excellence, ou autrement dit, la meilleure littérature
arabe. En effet, le Coran défie l‟humanité dans les versets
suivants :
Si vous avez un doute sur ce que Nous avons
révélé à Notre Serviteur, tâchez donc de produire
une sourate semblable et appelez vos témoins,
(les idoles) que vous adorez en dehors d’Allah,
si vous êtes véridiques. Si vous n’y parvenez
pas et, à coup sûr, vous n’y parviendrez jamais,
parez-vous donc contre le feu qu’alimenteront
les hommes et les pierres, lequel est réservé aux
infidèles. [Le Coran 2:23-24] 1
1 Le Coran 2:23-24 indique Surah ou chapitre numéro
2 et Ayaat ou versets 23 et 24. La même notation est suivie
dans tout le livre. Les références et la traduction du Co-
ran dans la version anglaise originale de ce livret sont de
la traduction du Coran par Abdullah Yusuf Ali, la nouvelle
édition révisée, 1989, édité par Amana Corporation, le Ma-
ryland, les États-Unis
Le défi du Coran, est de produire une simple Surah
(chapitre) comme les Surahs qu’il contient. Le même défi
est répété dans Le Coran à maintes reprises. Le défi de
produire une Surah, dont la beauté, l’éloquence, la pro-
fondeur et la signification seront, au moins, quelque peu
semblables aux Surahs du Coran, reste toujours ouvert.
Un homme raisonnable moderne, cependant, n’ac-
cepterait jamais un écrit religieux qui indique, dans la
meilleure langue poétique, que le monde est plat. Cela
revient au fait que nous vivons dans un âge, où la raison,
la logique et la science humaines ont la supériorité. Peux
sont ceux qui accepteraient la langue extraordinairement
belle du Coran ‘, comme preuve de sa divine origine. N’im-
porte quel écrit prétendant être une révélation divine doit
également être acceptable par force de sa propre raison et
logique.
Selon Albert Einstein, célèbre physicien et lauréat du
prix Nobel, «La Science sans religion est boiteuse. La re-
ligion sans science est aveugle.» Étudions donc Le Coran,
et analysons si Le Coran et la Science moderne sont com-
patibles ou pas?
Le Coran n’est pas un livre de science mais un livre de
‘signes‟, c’est-à-dire des “ayats». Il y a plus de six mille
‘signes’ dans Le Coran dont plus que mille d‟entre eux ont
affaire avec la science.
Nous savons tous que souvent, la Science prend un
‘demi-tour ‘. En ce livre j’ai considéré seulement les faits
scientifiques établis et non pas les hypothèses et les théo-
ries fondées sur des suppositions et non soutenues par
des preuves

La relativité dans le Coran


La conclusion qui découle des découvertes de la
science moderne est que le temps n’est pas un fait absolu,
comme cela est supposé par les matérialistes, mais qu’il
est seulement une perception relative. Ce qui est plus in-
téressant, est que ce fait, qui n’a pas été découvert par la
science jusqu’au 20e siècle, a été transmis, dans le Coran,
à l’Humanité, il y a quatorze siècles. Il y a plusieurs réfé-
rences, dans le Coran, à propos de la relativité du temps.
Dans de nombreux versets du Coran, il est possible
de constater le fait, scientifiquement prouvé, que le temps
est une perception psychologique qui dépend des événe-
ments, de l’environnement et des conditions. Par exemple,
la totalité de la vie d’une personne est d’une très courte
durée, comme cela a été indiqué par le Coran. Allah, le
Très-Haut, a dit (selon la traduction du sens du verset) :
« Le jour où Il vous appellera, vous Lui répondrez
en Le glorifiant. Vous penserez cependant que
vous n’êtes restés [sur Terre] que peu de temps !
» (Coran 17/52)
Allah, le Tout-Puissant, a dit également (selon la tra-
duction du sens du verset) :
« Le jour où Il les rassemblera, ce sera comme
s’ils n’étaient restés [dans leur tombeau] qu’une
heure du jour […] » (Coran 10/45)
Dans certains versets, il est indiqué que les gens per-
çoivent le temps différemment et que parfois, les gens
peuvent percevoir une très courte période de temps comme
étant très longue. La conversation suivante, tenue par des
personnes, au cours de leur jugement dans l’au-delà, est
un bon exemple de la parole d’Allah, le Tout-Puissant, (se-
lon la traduction du sens du verset) :
« Il dira : ‘Combien d’années êtes-vous restés sur
Terre ?’ Ils diront : ‘Nous y sommes demeurés un
jour ou une partie d’un jour. Interroge donc ceux
qui comptent’. Il dira : ‘Vous n’y êtes demeuré
que peu [de temps], si seulement vous saviez.’»
(Coran 23/112-114)
Dans d’autres versets, il est dit que le temps peut
s’écouler à des rythmes différents, dans des contextes dif-
férents, comme dans la parole d’Allah, le Très-Haut, (se-
lon la traduction du sens du verset) :
« Ils te demandent de hâter [l’arrivée] du
châtiment. Jamais Dieu ne manquera à Sa
promesse. Cependant, un jour auprès de ton
Seigneur, équivaut à mille ans de ce que vous
comptez. » (Coran 22/47)
Et aussi dans la parole d’Allah, exalté soit-il, (selon la
traduction du sens du verset) :
« Les Anges ainsi que l’Esprit montent vers Lui en
un jour dont la durée est de cinquante mille ans.
» (Coran 70/4)
Ces versets sont l’expression manifeste de la relati-
vité du temps. Le fait que ce résultat, qui n’a été compris
que récemment, par la science, au cours du 20e siècle, a
été communiqué à l’être humain il y a 1400 ans, par le Co-
ran, est une preuve de la révélation du Coran par Allah, le
Très-Haut, Celui dont le savoir englobe le temps et l’es-
pace, dans leur ensemble.
Dans beaucoup d’autres versets du Coran, la narra-
tion révèle que le temps est une perception. Cela est par-
ticulièrement évident dans les histoires. Par exemple, Al-
lah, exalté soit-il, a gardé les Compagnons de la Caverne
(un groupe de croyants mentionné dans le Coran), dans
un profond sommeil, pendant plus de trois siècles. Quand
ils ont été réveillés, ces gens ont pensé qu’ils étaient res-
tés dans cet état qu’une courte période seulement, mais
ils n’arrivaient pas à savoir combien de temps ils avaient
dormi. Allah, le Tout-Puissant, a dit (selon la traduction du
sens du verset) :
« Nous avons alors assourdi leurs oreilles, dans
la caverne, pendant de nombreuses années.
Ensuite, Nous les avons ressuscités afin de savoir
lequel des deux groupes saurait le mieux calculer
la durée exacte de leur séjour. » (Coran 18/11-12)
Dans un verset ultérieur de ce même chapitre, Allah,
le Tout-Puissant, a dit (selon la traduction du sens du ver-
set) :
« Et c’est ainsi que Nous les ressuscitâmes, afin
qu’ils s’interrogent entre eux. L’un parmi eux dit
: ‘Combien de temps avez-vous demeuré là ?’
Ils dirent : ‘Nous sommes demeurés un jour ou
une partie d’un jour’. D’autres dirent : ‘Votre
Seigneur sait mieux combien [de temps] vous y
avez demeuré’ […] » (Coran 18/19)
La situation évoquée dans le verset, ci-dessous, est
également une preuve que le temps est en réalité une per-
ception psychologique. Allah, le Très-Haut, a dit (selon la
traduction du sens du verset) :
« Ou comme celui qui passait par un village
désert et dévasté [en disant] : ‘Comment Allah va-
t-Il redonner la vie à celui-ci après sa mort ?’ Allah
donc le fit mourir et le garda ainsi pendant cent
ans. Puis, Il le ressuscita en disant : ‘Combien
de temps es-tu demeuré ainsi ?’ Il a répondu : ‘Je
suis resté un jour ou une partie de la journée’.
‘Non !’ dit Allah, tu es resté cent ans. Regarde
donc ta nourriture et ta boisson. Rien ne s’est
gâté, mais regarde ton âne. Et pour faire de toi un
signe pour les gens, et regarde ces ossements,
comment Nous les assemblons et les revêtons
de chair’. Et devant l’évidence, il dit : ‘Je sais
qu’Allah est Omnipotent.’ » (Coran 2/259)
Le verset, ci-dessus, souligne clairement qu’Allah, le
Tout-Puissant, qui a créé le temps, n’est pas confiné par
celui-ci. L’homme, d’autre part, est confiné par le temps
qui est déterminé par Allah, exalté soit-il. Comme dans le
verset, l’être humain est même incapable de savoir com-
bien de temps il est resté endormi. Dans de telles condi-
tions, affirmer que le temps est absolu (comme les ma-
térialistes le font dans leur mentalité tordue), serait très
déraisonnable
Les hommes de science face au coran

Dr. Maurice Bucaille


Né en 1920, fondateur de la chirurgie clinique à l’uni-
versité de Paris , il s’intéresse depuis longtemps aux
études comparatives entreprises dans le domaines des
écritures saintes et des connaissances issues de la science
profane actuelle.
Auteur du célèbre livre ‘la bible, la science et le Co-
ran’ (1976), ses études des livres révélés et sa profonde
connaissance des langues y compris l’Arabe. Lui ont valu
de se faire remarquer en tant que médecin de grand re-
nom. l’académie française et l’académie nationale fran-
çaise de la médecine lui ont d’ailleurs remis un prix et la
médaille d’honneur en récompense de son ouvrage ‘les
momies du Pharaons et l’investissement de la médecine
moderne-’(st.Martins Presse,1990) , il est également
connu pour son brillants travaux :‘ quelle est l’origine de
l’homme’ (éd. Seghers,1988) , ‘moise et pharaon,les hé-
breux en Égypte’,(NTT Médiascope inc,1994) ainsi que‘ré-
flexions sur le Coran’ ( de Maurice Bucaille, éd . Seghers,
1989), écrit avec la collaboration de Mohammed talbi.
Après des études qui ont duré dix ans, précisément
en 1976, le DR. Maurice a focalisé l’attention de l’acadé-
mie française de médecine sur la description coranique
des stades de l’embryologie et a finalement déclaré :
« …notre connaissance de telles révélations nous
pousse à nous demander comment ces informations si
précises ont pu être révélées dans le Coran alors qu’elles
ne furent découvertes qu’à notre époque. » Or, cette
conclusion a jeté le discrédit des dénégateurs du Coran
sur le Prophète Mohammed qu’ils ont considéré comme
imposteur : en effet, Comment se peut-il que cette homme
illettré aurait-il pu être en possession d’un tel degré de
science ?
Peu de science éloigne d’Allah ; beaucoup en rap-
proche. En retrouvant un sens jusque-là caché à certains
versets coraniques qui semblent avoir été destinés à pré-
voir les objections exigeantes de l’esprit scientifique du
XXè siècle, des éminents chercheurs des USA, Canada,
Allemagne, Inde, Japon, Thaïlande, etc. viennent de rap-
peler la pertinence du verset qui fait des savants ceux qui
craignent le plus Allah.
L’ensemble de leurs découvertes montre qu’en effet
non seulement le Coran n’est pas mis en défaut par la science
mais les données scientifiques toutes récentes présentent
de troublantes similitudes avec les énoncés coraniques.
Il n’est pas questions ici de faire du Coran un traité de
sciences exactes. Il s’agit seulement d’identifier des ver-
sets laissés en réserve afin de fournir, le moment venu,
des preuves destinées à convaincre les tenants du posi-
tisme et du scientisme que le Coran ne saurait être l’œuvre
du Prophète Mohammed ; cette exégèse scientifique du
Coran satisfait également les esprits rationalistes séduits
par les raffinements de la science moderne et qui ne pou-
vant éprouver Allah cherchent toujours à Le prouver. Et à
ceux là le Coran dit:
Nous leur montrerons Nos signes dans l’univers
et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne
évident que c’est cela (le Coran), la vérité. Ne
suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute
chose? (Coran 41:53

Professeur Tajata Tajasson


Le professeur Tajata Tajasson est le chef du service
chirurgie et d’embryologie a l’université de de Chong-May
en Thaïlande et actuel doyen de la faculté médecine de la
même université, (éminent personnage).
Lors d’un entretien avec lui sur la question de l’em-
bryologie, il a dit, et a la surprise générale ceci «....et je
suis convaincu que tout ce qui a étai dit dans le coran il y a
1400 ans ne peut être qu’exact et peut être prouve par les
moyens scientifiques, car le Prophète ne savait ni lire ni
écrire, il est donc évident que nous sommes en présence
du Messager venu avec cette vérité qui lui a été commu-
nique par une révélation du créateur, Savant de toute
chose, et ce créateur n’est autre qu’Allah.
C’est pourquoi le moment est venu pour moi de té-
moigner qu’il n’est d’autre Divinité qu’Allah, et que Moha-
med est son Prophète… louange à Allah qui fait de moi un
Musulman.» Finalement, j’aimerais présenter mes félici-
tations pour la très réussie et excellente organisation de
cette conférence.
E. Marshall Johnson

Professeur et président du département d’anatomie


et de développement biologique, il est également direc-
teur de l’institut Daniel Baugh, à l’université Thomas Jef-
ferson, Philadelphie, Pennsylvanie, aux Etats- Unis.
Président fondateur de l’institut de recherches en
tératologie, il est Auteur de plus de 200 publications. Au
cours de la 7 éme conférence de médecine qui s’est tenue
en Arabie Saoudite organisée en 1982, il a commencé à
s’intéresser aux miracles scientifiques tels qu’ils sont
révélés dans le Coran, à l’invitation du comité de spécia-
listes chargés d’interpréter le Coran et les hadiths.
Au début, très septique il a refusé catégoriquement
de reconnaître que certains versets Coraniques ainsi que
des hadiths du prophète Mohammed puisse concorder
avec les découvertes scientifiques actuelles. Seulement,
après une discussion avec le Cheikh Zindani qui il lui en
a apporté les preuves, il a dû confirmer la véracité de ces
propos.
A partit de ce moment , il a commencé à concentrer
ses recherches sur les phases de développement intra –
utérin de l’embryon telles qu’elles sont décrites dans le
coran et en est arrivé aux conclusions suivantes :dévelop-
pement intérieur et extérieur du foetus.
‘…en résumé, le Coran décrit non seulement le déve-
loppement de la forme externe mais aussi les étapes in-
terne du développement de l’embryon, sa création et son
développement, et en précisant en même temps les évé-
nements reconnus par la science contemporaine.
En tant que scientifique, je n’accrédite que ce que je
vois. Or, je dois bien avouer que les stades du développe-
ment du fœtus coïncident très exactement avec la descrip-
tion qui en est fait dans le Coran. Si je devais, en outre, me
transposer dans l’ère mohammadienne, en possession de
mes connaissances actuelles, il me serait totalement im-
possible de décrire les faites scientifiques de façon aussi
exacte que ne le fait le Coran.
Je ne peux donc aller à l’encontre de la thèse selon
laquelle cet homme, nommé Mohammed a puisé ses infor-
mation d’une source…alors je ne vois de contraire qu’une
intervention divine est à l’origine de ses écrits.’
Dr. Keith L. Moore
Dr. Keith L. Moore a été le président de l’association
canadienne des anatomistes , et de l’association améri-
caine des anatomistes clinique qui l’ont honoré en 1994
du prestigieux grand prix J.C.B ainsi que la médaille d’hon-
neur pour ses contributions brillantes dans le domaine de
l’anatomie clinique.
« J’ai travaillé durant trois ans avec le Comité d’em-
bryologie de l’Université du Roi Abdelaziz à Jeddah, et j’ai
apporté ma contribution à l’interprétation des données
recensées des versets Coraniques et dans les hadiths qui
ont trait à la reproduction humaine et au développement
du foetus. Dès le début j’ai été stupéfait de l’exactitude de
ces données écrites au 7éme siècle alors que la science de
l’embryologie n’avait pas encore vu le jour à cette époque
! J’étais passionné également étonné de découvrir la vie
grandiose des scientifiques musulmanes et leurs larges
contributions au développement de la médecine pendant
le 10éme siècle, j’ignorais tout de la religion musulmane
et non plus sur la ferveur contenue dans le Coran et la Sou-
nah. »
Au cours d’une de ses conférences au Caire, DR.
Moore a présenté une recherche et il a conclu :
« Ça été un immense plaisir pour moi d’aider à cla-
rifier les données du Coran à propos du développement
humain. Il est tout à fait évident pour moi que ces informa-
tions proviennent incontestablement d’une source divine
car elles n’ont pu être découvertes que très récemment.
Cela prouve donc que Mohammed est un messager de
Dieu (Allah). »
Le professeur Moore ajouta encore : «…au vu de la
difficulté à expliquer les différentes phases du développe-
ment de l’embryon , nous nous proposons d’élaborer un
nouveau système de classification en utilisant la termino-
logie mentionnés dans le Coran et les hadiths car c’est un
système simple et compréhensif pour présenter la science
de l’embryologie. »
« Les études approfondies du Coran et des hadiths
pendant une période de quatre ans m’ont permet de com-
prendre l’importance du système simple de classification
de l’embryon tel qu’il a été révélé au 7 éme siècle … cette
description telle qu’elle apparaît dans le Coran ne peut pas
être le fruit de recherches scientifiques de cette époque. »
Professeur T.V.N. Persaud
Professeur d’anatomie au département de pédiatrie à
l’université de Manitoba winnipig, Manitoba, Canada. Il a
publié une vingtaine d’ouvrages et une recherche scienti-
fique de plus de 180 pages.
Coauteur du livre intitulé ‘le développement humain’
(5éme édition ; avec keith l.Moore), qui a reçu l’illustre
prix J.C.B, en 1991.
« il me semble que Mohammed était un homme très
simple qui ne savais ni lire ni écrire , car il était illettré…
Nous sommes entrain de parler de 1400 ans passées,
et nous avons devant nous une personne illettrée qui nous
surprend d’autant plus par l’exactitude des faites scienti-
fiques qu’il relate…
Personnellement, je ne peux considérer la précision
de ses données comme relevant d’une pure coïncidence
car il y a beaucoup de précision. Et donc, comme Dr. Moore
je suis obligé d’admettre que de telles révélations sont
d’origine divine. »

Pr.Joe Leigh Simpson


Professeur de gynécologie et d’accouchement à l’uni-
versité de North Western à Chicago aux USA.
Quand il a rencontré le Dr. Zendani, il doutait au
début, quand il lui a parlé du Coran et voulait avoir l’as-
surance qu’il s’agissait bien de textes Coraniques et de
textes de la Sunnah.
Une fois rassuré, il prit connaissance des textes re-
latifs à l’hérédité au cours des 1ères phases lorsqu’il y a
une goutte de sperme, et il constate la précision de la des-
cription et comment le Coran mentionne que l’homme est
créé après la réunion de deux gouttes, mâle et femelle - la
création de l’homme étant décidée après cela et ensuite,
le code génétique étant déterminant des chromosomes.
Les chromosomes comportent des détails sur l’être
humain : couleur des yeux, de la peau, des cheveux, et de
nombreux autres détails sont déterminés ici. L’homme est
donc déterminé auprès de Dieu au stade de l’embryon.
Allah - Exalté soit-Il - dit :
Que périsse l’homme! Qu’il est ingrat! De quoi
[Allah] l’a-t-Il créé? D’une goutte de sperme, Il le
crée et détermine (son destin) [ Sourate 80 : Il
s’est renfrogné (Abasa) verset 17 - 18 - 19 ]
Avant et au cours des 40 premiers jours, tous les or-
ganes de l’embryon sont assemblés et apparaissent même
si cela se fait successivement. Les organes commencent à
se formés proportionnés, et l’embryon apparaît replié sur
lui-même.
Le prophète - que la Paix et le Salut soient sur lui - dit
:« La création de l’homme dans le ventre de sa mère se fait
en 40 jours par la réunion des éléments qui le constituent.
Le professeur SIMSON s’est penché sur le hadith et
sur celui qui dit: « Au terme de 42 nuits, Allah envoie à
l’embryon un Ange qui le façonne.»
Pour procéder à une comparaison entre les deux et
étudier la période qui sépare ces deux phases, il a expri-
mé au cours d’un Congrès scientifique son opinion sur ce
sujet : « A partir de ce beau hadith, il est possible de lire
un calendrier du développement principal de l’embryon
avant 40 jours. Le point a été abordé plusieurs fois dans
les interventions de cette matinée. Il est évident que ce
hadith ne peut être fondé sur des connaissances utilisées
à l’époque. Et il s’agit plutôt de hadiths qui traduisent la
Connaissance Divine.»
Il affirme que la religion peut guider la science avec
succès.
En conséquence, j’estime qu’il n’y a pas de désac-
cord entre la connaissance scientifique et la Révélation. Et
je considère plutôt que la Révélation est venue renforcer
une époque difficile pour les connaissances qui étaient
en vigueur à l’époque. Le Coran est venu plusieurs siècles
avant cela pour appuyer ce qu’on avait dit, et qu’il s’agis-
sait bien de la parole d’Allah.

Pr.Gerald C. Goeringer
Professeur et coordinateur de la médecine embryolo-
gique au département de la cellule biologique à l’école de
la médecine de l’université de Georgetown, Washington
DC, Etats-Unis.
Cheikh Abdelmajid A. Zindani a rencontré le profes-
seur Goeringer et lui a demandé si les différentes étapes
du développement de l’embryon étaient mentionnées
depuis le de l’histoire de l’embryologie ou s’il existait un
texte à ce propos au temps du prophète Mohammed (paix
et bénédiction soient sur lui)? Et quelle est son opinion sur
les termes que le Coran utilise pour décrire les différentes
phases du développement du fœtus? Après de maintes
discussions, le professeur Gerald a rapport au cours de la
8éme conférence médicale saoudienne et a dit :
« …certains versets Coraniques révèlent une connais-
sance très précise et approfondie du développement hu-
main par le biais de l’organogénie. »

Le docteur Alfred Kroener


Le docteur Alfred Kroener est un géologue mondiale-
ment renommé. Il est professeur de géologie et président
du Département de Géologie à l’Institut des Sciences de la
terre de l’Université Johannes Gutenberg à Mainz, en Alle-
magne.
Il a déclaré: « Quand on sait d’où venait Mohammed...
Je crois qu’il est pratiquement impossible qu’il ait pu avoir
connaissance de choses comme l’origine de l’univers,
parce qu’il n’y a que quelques années que les scientifiques
ont découvert, à l’aide de méthodes technologiques très
avancées et compliquées, la vérité à ce sujet «.
Il a aussi dit : « Il y a quatorze siècles, quelqu’un qui
ne connaissait rien à la physique nucléaire ne pouvait, à
mon avis, être en position de découvrir, rien qu’avec sa
raison que, par exemple, la terre et le ciel ont la même ori-
gine.»

Docteur Yoshihide Kozai


Le docteur Yoshihide Kozai est professeur émérite à
l’Université de Tokyo, Japon, et il a déjà été directeur de
l’Observatoire astronomique national à Mitaka, Tokyo, Ja-
pon. Il a déclaré :
«Je suis très impressionné de trouver des informa-
tions astronomiques véridiques dans le Coran. Nous, as-
tronomes modernes, avons concentré nos efforts pour
arriver à comprendre de très petites parties de l’univers.
Parce qu’en utilisant des télescopes, nous ne pouvons voir
que de petites parties du ciel sans avoir une vision géné-
rale de l’univers tout entier. Donc, en lisant le Coran et en
répondant aux questions, je crois que je peux trouver une
nouvelle façon de faire des recherches sur l’univers.
Il lui a été exposé quelques versets coraniques rela-
tifs à la Création Initiale, à la description du ciel. Lorsqu’il
a pris connaissance du sens de ces versets et qu’il a appris
que le Coran avait été révélé il y a 1400 ans, il lui a été de-
mandé de traiter de ces vérités énoncées par ces versets.
Après chacune de ses réponses, il lui a été exposé le texte
Coranique correspondant.
Le professeur Kozai a dit : Ce Coran voit dans tout
l’univers.
Il a été interrogé sur la période que le ciel a connu lors-
qu’il était dans un état autre. « Les preuves se rejoignent
et se multiplient «, a t’il dit, « c’est devenu aujourd’hui vi-
sible puisqu’on voit des étoiles se former à partir de cette
fumée qui est à l’origine de l’univers. Les étoiles lumi-
neuses étaient d’abord de la fumée, et l’univers tout entier
était de la fumée.»
Quand on fit part au professeur du verset qui dit :
De plus, Il se tourna vers le ciel alors qu’il était
fumée et Il Lui dit, ainsi qu’à la Terre, «Venez
de gré ou de force» et ils dirent «Nous venons
obéissants» Sourate 41 : Les versets détaillés
(Fussilat) verset 11.
Certains scientifiques parlant de cette fumée disaient
que le terme de brouillard ne correspondait pas à la des-
cription de cette fumée, le brouillard étant froid, alors que
cette fumée cosmique recèle de la chaleur puis la fumée
exprime un état gazeux, densément obscure, avec en sus-
pension des particules solides et cela est l’état gazeux ini-
tial de l’univers. Avant la formation des étoiles, l’univers
était une masse gazeuse densément obscure et avec des
particules solides en suspension. Cet état se trouvait à
une température élevée, sa qualification de brouillard est
à écarter et la description la plus précise consiste à dire
qu’il s’agit de la fumée.
«Je dis que je suis très impressionné par la décou-
verte de la Vérité dans le Coran».
Professeur Armstrong
l’un des astronautes les plus célèbres aux USA et l’un
des plus grand savant de la NASA. « Je suis sincèrement
très ému de voir comment certaines écritures anciennes
paraissent conforment à l’astrologie moderne».

Pr.William Hay
Un des océanographes les plus célèbres des USA.
Le Dr. Zendani lui a soumit des hadiths et versets trai-
tant de phènomènes marins.
Des questions lui ont ensuite été posées relatives à la
mer de surface et notamment aux limites qui séparent la
mer de surface de la mer des profondeurs.
Il a été également interrogé sur les barrières aqua-
tiques entre les différentes mers (bahr = grande masse
d’eau, océan) et sur les barrières aquatiques entre les
eaux marines et les eaux fluviales.
Il a précisé que les mers salées n’étaient pas telles
qu’elles apparaissaient à l’œil nu : il n’y a pas une seule
mer mais des mers différentes de par leur nature, leur de-
gré de salinité et leur densité.
Il y a des barrières entre les masses marines, chaque
barrière séparant 2 masses marines différentes l’une de
l’autre tant au niveau de la température, la salinité, la den-
sité, les organes vivants, la dissolubilité de l’oxygène.
Ceci fut découvert en 1942 et n’a été rendu possible
qu’à la suite de l’installation par les scientifiques de cen-
taines de stations aquatiques.
Ceci est invisible à l’œil nu, même si l’on a l’impres-
sion de voir une eau bleue dans toute les mers et dans tous
les océans, on est en présence de barrières invisibles que
seules les études et les techniques modernes permettent
de percer.
Les Deux mers confluent l’une vers l’autre sur le point
de se confondre, mais est établie entre elles une barrière,
les deux mers ne pouvant empiéter l’une sur l’autre.
En fait, entre deux mers, il y a une barrière aquatique
inclinée et par cette barrière, les deux eaux des deux mers
passent de l’une vers l’autre mais au cours de ce passage
perdent leurs caractéristiques propres et leurs propriétés
pour prendre celles de la mer où elles viennent de péné-
trer, et c’est dans ce sens qu’aucune mer ne pourra empié-
ter sur l’autre.
Le Pr. Heiye au sujet de ce verset coranique a dit : «Je
trouve très impressionnant qu’il y aie dans les versets du
Coran ce type de données. Je n’ai aucune méthode qui me
permette de connaître les origines mais je sais qu’il est
réellement très impressionnant de rencontrer de telles in-
formations et que le travail se poursuit pour découvrir la
signification de certains paragraphes.
- Donc vous niez qu’il puisse y avoir une origine hu-
maine, quelle serait donc selon vous la source ou l’origine
de telles informations ?
-Je crois que cela ne peut être qu’un Signe venant de
Dieu…

Pr.Durja Rao
(Inde) professeur de géologie marine à l’université du
roi Abdel Aziz de Djeddah.
« Il est difficile de supposer que ce type de connais-
sances existaient à l’époque»
Professeur Saveda
Professeur de la géologie marine au Japon.
Cheikh Zandani lui a posé des questions portant sur
son domaine de spécialisation et l’informa que le Coran
et les hadiths ont déjà parlés de ces phénomènes , l’une
de ses questions était celle reliée aux montagnes, il s’est
demandé si elles sont enracinées dans la terre ?.
« Quel est votre opinion sur ce que vous venez d’en-
tendre dans le Coran et la sounah à propos des secrets
de l’univers que les scientifiques n’ont découvert qu’au-
jourd’hui ? »
Le professeur rétorqua alors : «je pense que cela me
semble très mystérieux et incroyable !. Vraiment je pense
que si ce que vous avez affirmez est vrai, je suis d’accord
avec vous que le livre (le Coran) est réellement un livre re-
marquable, je suis avec.»
LA MER ET LA TERRE FERME: UNE
VÉRITÉ ÉTONNANTE !

Depuis environ 25 ans, les chercheurs ont découvert


une réalité numérique que le Saint Coran a citée avec une
précision prodigieuse, et ce concernant la proportion de
la mer (contenant océan, mer, lac, …) par rapport au conti-
nent (la terre ferme), j’ai reçu plusieurs requêtes m’inter-
rogeant sur la validité du fait. J’ai décidé alors de compter
de nouveau le nombre de fois que les mots « mer » et «La
terre ferme » (ou La terre) sont répétés dans le Coran tout
entier.
Le mot « mer » est cité dans le Coran, au singulier,
dans 32 versets.
Et le mot « terre ferme » est cité au singulier dans 12
versets, en plus d’un autre verset où il est mentionné sous
la forme de « passage à sec » qui veut dire la même chose,
et donc le total est de 13.
Résumons;
Le nombre de versets du Coran dans lesquels le mot «
mer » est cité est de 32.
Le nombre de versets du Coran dans lesquels le mot «
terre ferme » est cité est de 13.
Le nombre total de versets du Saint Coran dans les-
quels les mots « mer » et « terre ferme » sont cités est de :
32+13=45 versets.
LES MERS ET OCEANS OCCUPENT 71 % DE LA SURFACE
DE LA PLANETE TERRE
Et par un simple calcul de proportionnalité de chacun
de ces deux éléments ; si on veut calculer combien repré-
sente le mot « mer » dans la totalité des 45 versets ; on
doit diviser le nombre de répétitions de ce mot (32) sur le
total qui est 45 : Le pourcentage sera comme suit :
32 ÷ 45 = 71 %
Et la proportion des versets contenants le mot « Terre
» (13) par rapport au total des versets (45) on obtient :
13 ÷ 45 = 29 %
Récapitulons ;
On aboutit au résultat suivant : la proportion de la
mer et du continent (la terre ferme) dans le Coran est 71 %
et 29 % successivement.
Et si on visite le site web de l’administration de l’aé-
ronautique nationale et de l’espace (NASA) , on découvre
qu’ils citent les mêmes pourcentages ; 71% pour les mers
et 29% pour les continents (terre ferme).
Cette concordance surprenante, même miraculeuse,
témoigne que Dieu, Le Tout Puissant, a bien éclairci toute
chose dans le Saint Coran, IL dit :
« Et Nous avons fait descendre sur toi le Livre,
comme un exposé explicite de toute chose, ainsi
qu’un guide, une grâce et une bonne annonce
aux Musulmans. » [Les abeilles (An-Nahl) ; verset
89]
LE MYSTÈRE DU CHIFFRE 19 DANS LE
CORAN

En dehors de son aspect littéraire non moins mira-


culeux, le Coran contient un autre miracle ayant trait aux
chiffres et aux lettres. Allah dit :
« Il cerna tout ce qu’ils ont et recensa toute chose
numériquement » 72.28
Le Coran obéit à un système numérique très perfor-
mant prouvant à suffisance son essence divine ; tous ses
versets, ses mots, ses lettres et ses chiffres sont coordon-
nés, connectés, disposés suivant des lois arithmétiques
bien conçues malgré la longue durée de sa révélation.
En révélant le Coran à Son prophète Muhammad -Sur
lui bénédiction et salut de Dieu-, Allah a inséré un secret
dans le texte tendant à le rendre inimitable : les lettres du
Coran, le nombre de ses versets, le nombre de ses sou-
rates, les chiffres qu’il énumère sont tous liés au chiffre 19
ou un multiple de 19.
1) Ce miracle apparaît d’abord dans le verset d’ouver-
ture : « AU NOM DE DIEU LE CLEMENT, LE MISERICORDIEUX.
» Ce verset comprend précisément 19 lettres.
2) Le nombre des sourates composant le Coran est
égal à 114, et la sourate n°114 ‘‘LES HOMMES’’ contient 6
versets. Or, si l’on divise 114 par 6 on obtient 19.
3) La dernière Sourate n° 114 contient 19 mots.
4) Les cinq premiers versets révélés les premiers
contiennent 19 mots.
5) Les 19 mots révélés les premiers sont composés de
76 lettres. Ce chiffre 76 est le produit du nombre de lettres
du verset d’ouverture (Basmala) par le nombre de ses mots
4, à savoir 19 x 4 = 76.
6) La sourate « le caillot de sang » ou « l’adhérence
» située au n°19 de l’ordre inverse, contient elle-même 19
versets et occupe le 19° rang à compter de la dernière Sou-
rate.
7) Cette même sourate ‘‘le caillot de sang’’ comprend
au total 285 lettres. Ce dernier chiffre est composé de
2+8+5=15. Or 285 divisé par 15 = 19.
8) Le Coran entier contient 114 sourates et chaque
sourate est précédée d’un verset d’ouverture (Basmala)
à l’exception de la sourate du ‘‘repentir’’ ou ‘‘désaveu’’
n°9 laquelle n’est pas précédée d’un verset d’ouverture.
Il s’ensuit que le nombre de versets d’ouverture s’élève à
113 et comme ce chiffre n’admet pas la division par 19, le
verset d’ouverture manquant se trouve compensé dans la
sourate ‘‘les fourmis’’, verset n°30 : ‘‘Elle vient de Salo-
mon et elle est Au nom de Dieu le très Miséricordieux, le
Tout Miséricordieux’’. De là se ramène à 114 le nombre de
‘‘Basmala’’ et c’est donc un multiple de 19 : (19 X 6 = 114).
9) La basmala qui manque se trouve à la 19ème sou-
rate à compter inclusivement de celle du ‘‘Repentir’’ où il
fait défaut. Le nombre de mots compris entre les deux bas-
mala de la sourate ‘‘Les Fourmis’’ s’élève à 342, soit (19 x
18).
10) Chacun des mots composant le verset d’ouverture
‘‘Basmala’’ se répète dans le Saint Coran un nombre de
fois égal à 19 ou un multiple de 19. Ainsi le mot ‘‘ISM’’ se
répète exactement 19 fois dans le Coran. Le mot ‘‘ALLAH’’
se répète 2698 fois, soit 19 x 142 Le mot ‘‘RAHMAN’’ se ré-
pète 57 fois, soit 19 x 3 Le mot ‘‘RAHIM’’ se répète 115 fois.
Ce nombre n’est pas un multiple de 19. Nous signalons,
toutefois, que dans le Saint Coran, tous les noms ‘‘RAHIM’’
se rapportent à Dieu, sauf le mot Rahim employé dans
l’avant dernier verset de la sourate du ‘‘Repentir’’ sous
forme de substantif désignant le prophète Muhammad :
‘‘Un prophète parmi vous est venu à vous ; le mal que vous
faites lui pèse ; il est avide de votre bien ; il est bon et mi-
séricordieux envers les croyants’’. Il en résulte que le mot
‘‘RAHIM’’ en tant que nom désignant Dieu ‘‘Gloire à LUI’’
se répète 114 fois dans le Coran, soit 19 x 6. La somme des
facteurs de 19 tirés des mots de la ‘‘Basmala’’ ci-dessus,
soit 1 + 142 + 3 + 6 est égale à 152. Ce dernier chiffre est
composé de 1+5+2 = 8. 152 divisé par 8 = 19.
11) Le chiffre 19 lui-même est cité dans le Coran à la
Sourate ‘‘En couverture’’ Verset 30 – « Ils sont dix-neuf à y
veiller » 74.30. Certains mystiques musulmans ont cru que
ce chiffre se rapporte au temps, lequel comprend les 12
mois de l’année et les 7 jours de la semaine (12 + 7 = 19).
En exégèse, le verset DIX-NEUF s’adresse à ceux qui ont
accusé le Coran de paroles humaines.
12) Le nombre de lettres que contient le Saint Coran
s’élève à 329.156, soit 19 x 17.324 Ce nombre de 329.156
s’écrit dans l’ordre avec les chiffres 1,2,3,5,6,9 sans répé-
tition ; il reste donc de la numération décimale 4 + 7 + 8 =
19.
13) L’expression ‘‘La religion auprès d’Allah est
l’Islam’’, située au début du 19° verset de la Sourate Al
Imrane, est elle-même composée de 19 lettres.
Il est à remarquer que le nombre 19 se compose du
premier et du dernier chiffre de la numération décimale 1
et 9 et qu’en réalité ces deux chiffres situés aux deux ex-
trémités de ladite numération, embrassent tous les autres
chiffres avec lesquels on peut exprimer n’importe quel
nombre, étant entendu que le zéro n’est pas un chiffre. De
ce fait, le chiffre 19 exprime l’innombrable, l’infini, l’Ab-
solu. Aussi, il existe une correspondance entre ces deux
chiffres qui représentent le premier et le dernier avec les
noms d’Allah cités dans la sourate ‘‘Le Fer’’ – ‘‘C’est LUI Le
Premier et aussi le Dernier’’ Cette même sourate est la 57è
de l’ordre croissant et ledit verset ‘‘IL EST LE PREMIER ET
AUSSI LE DERNIER’’ occupe le 3è rang, donc 57 divisé par
3 = 19
Ces deux chiffres qui, de par leur position supérieure
et inférieure, embrassant tous les autres, ne sont-ils pas
le symbole d’un sceau ou d’un scellé pour protéger et ga-
rantir l’intégrité du Saint Coran ? En d’autres termes, ne
représentent-ils pas une garde placée devant et derrière
pour y veiller ? Le nombre 19 est la preuve de l’authenticité
du Coran. C’est pourquoi, Dieu (Gloire à Lui) affirme à ce
propos :
« Ils sont dix-neuf à y veiller. Cependant, Nous
n’en avons fixé le nombre que pour éprouver
les mécréants. Afin que ceux à qui le Livre a
été apporté soient convaincus, et que la foi des
croyants augmente, pour que ceux qui ont reçu
le Livre et les croyants n’aient point de doute. »
74.30-31
14) Nous rappelons que le groupe de versets révélés
en premier, contient 19 mots jusqu’à y compris :
‘‘Il a enseigné à l’homme ce qu’il ne savait pas’’.
Le deuxième groupe de versets révélés immédiate-
ment après, contient 38 mots (19 x 2). Il s’agit des neuf
premiers versets de la sourate ‘‘Le Calame’’ jusqu’au mot
« ils complaisent’’.
Le 3ème groupe de versets révélés en troisième ordre
contient 57 mots (19 x 3) c’est-à-dire l’Ange Gabriel ‘‘Que le
salut de Dieu soit sur lui’’ avait inspiré au Prophète les dix
premiers versets de la sourate ‘‘Dans les draps’’ ou ‘‘Qui
s’est enveloppé’’ jusqu’à ‘‘Et écarte toi d’eux poliment’’.
Le fragment révélé en quatrième lieu englobe les
premiers versets de la sourate ‘‘En couverture’’ jusqu’au
verset évoquant DIX-NEUF lui-même. 15) Sans doute, le se-
cret le plus profond a trait aux lettres initiales d’ouverture
telles que : Alif, Lâm, mim – Kâf, ha, ya, In, Sad – Noun,
etc.
A première vue, le rapport qui existe entre ces ini-
tiales d’ouverture et le chiffre 19 se caractérise par ceci :
La somme des lettres initiales d’ouverture représente
la moitié de l’alphabet de la langue arabe, donc 14. Le
nombre des ouvertures à initiales dissemblables est aussi
égal à 14. Le nombre des sourates ayant des ouvertures
s’élève au total à 29.Or, la somme de ces derniers chiffres
donne : 14 + 14 +29 = 57 donc 19 x 3
Allah ‘‘Gloire à LUI’’ nous a informés dans huit sou-
rates à ouvertures symboliques que ces initiales sont les
signes ou les miracles, du Coran : ‘‘Ayât’’.
Ainsi, dans les sourates : JONAS, JOSEPH, LE TON-
NERRE, AL HIJR, LES POETES, LES FOURMIS, LE RECIT, LOK-
MAN, nous trouvons immédiatement après les initiales
d’ouvertures, l’explication qu’il s’agit de miracles, à sa-
voir :
Alif Lâm Râ. Ce sont les miracles du Livre sage,
s10 v1

Alif Lâm Râ. Ce sont les miracles du Livre évident,


s12 v1

Alif Lâm Mim Râ. Ce sont les miracles du Livre,


s13 v1

Alif Lâm Râ. Ce sont les miracles du Livre et d’une


Lecture évidente, s15 v1

T’â Sin Mim. Ce sont les miracles du Livre évident


s26 v1-2

T’â Sin. Ce sont les miracles du Coran et d’un


Livre évident s27 v1

T’â Sin Mim. Ce sont les miracles du Livre évident,


s28 v1-2

Alif Lâm Mim. Ce sont les miracles du Livre sage,


s31 v2
Jusqu’à l’heure actuelle, la plupart des interprètes et
exégètes du Coran ont traduit le terme ‘‘Ayât’’ par versets,
alors que Dieu nous montre explicitement qu’il s’agit de
miracles ou de signes, comme cela est indiqué à plusieurs
reprises dans le Coran avec la signification de miracles
ou de signes, voir par exemple la sourate 30 ‘‘LES BYZAN-
TINS’’ où l’on trouve des exemples significatifs à propos
du contenu sémantique du mot ‘‘Ayât’’.
Ce terme a effectivement deux significations : versets
et Signes. Mais dans ladite sourate n°30 ainsi que dans
d’autres passages du Coran, le mot ‘‘ayât’’ désigne clai-
rement les miracles ou les signes et non pas les versets,
exemple :
« Parmi Ses Signes : Il vous a créés de poussière,
puis vous voici des hommes dispersés sur la
terre. » s30 v20

« Parmi Ses Signes : Il a créé pour vous, tirées de


vous, des épouses afin que vous reposiez auprès
d’elles, et Il a établi l’amour et la bonté entre
vous. » s30 v21

« Parmi Ses Signes : la création des cieux et de


la terre ; la diversité de vos langues et de vos
couleurs. » s30 v22

« Parmi Ses Signes : votre sommeil la nuit et


le jour ; votre recherche de Sa Grâce. » 30.23 «
Parmi Ses Signes : Il vous montre l’éclair, sujet,
à la fois, de crainte et d’espoir. Il fait descendre
du ciel une eau, grâce à laquelle Il rend la vie à la
terre quand elle est morte. » s30 v24

« Parmi Ses Signes : le ciel et la terre se


maintiennent en place sur Son ordre. Puis
lorsqu’Il vous appellera d’un seul appel, voilà
que vous surgirez de la terre. » s30 v25

« Parmi Ses Signes : Il déchaîne les vents


annonciateurs de bonnes nouvelles, pour vous
faire goûter quelque chose de Sa miséricorde ;
pour que le vaisseau vogue sur Son ordre et que
vous recherchiez Ses bienfaits. » s30 v46
16) La lettre Câf se répète dans la sourate qu’elle dé-
signe (Câf) 57 fois. La lettre Caf est phonétiquement et lit-
téralement composée de 3 lettres. Si on divise 57 par 3, on
obtient 19. Mis à part cette sourate intitulée Câf, il y a une
seule sourate dans le Coran où la lettre
Câf figure parmi les initiales d’ouverture : il s’agit de
la sourate ‘‘la Consultation : Ha Mim Ain Sin Câf ’’. Dans
cette sourate, la lettre Câf se répète également 57 fois, soit
19 x 3. Lorsque nous faisons l’addition des deux nombres
concernant la lettre Câf dans les deux sourates sus-indi-
quées (57 + 57) nous avons un total de 114 et cette somme
représente évidemment le nombre des sourates du Coran.
Il est à noter que la sourate Câf débute comme suit :
‘‘Câf et le Saint Coran’’. Cela sous-entend que cette lettre
Câf représente les 114 sourates qui sont le Coran, tout le
Coran. Les initiales de la sourate 7 (Alif, Lâm, Mim, Sâd)
totalisent dans cette même sourate 5358 lettres, soit 282x
19. Les initiales de la sourate 19 (Kâf, Ha, Ya, Ain, Sâd) se
répètent 798 fois dans la même sourate : le chiffre 798 est
le produit de 42×19. II y a huit sourates (2, 3, 7, 13, 29,
30, 31 et 32) qui ont en commun les mêmes initiales A.L.M
(Alif, Lâm, Mim). Le nombre de ces lettres initiales dans
les huit sourates s’élève à 26.676, soit 1404×19
Il ressort de là que le calcul et la précision avec la-
quelle, chaque verset, chaque mot et chaque lettre ont été
placés, confirme irréfutablement l’origine surhumaine du
Saint Coran et par conséquent l’impuissance totale des
hommes et des Djinns à en produire pareil.
Voici un autre exemple significatif de ce mystère nu-
mérique : dans le verset 13 de la sourate Câf nous lisons :
‘‘Et les Aad et Pharaon et les frères de
Loth’’(Ikhwânu Lûtinn).
La plupart de ceux qui ont lu le Coran savent que les
gens qui ont démenti Loth y sont désignés sous le vocable
‘‘Peuple de Loth’’ (qawmu lûtinn). Par contre, dans la sou-
rate Câf, ils sont exceptionnellement nommés ‘‘frères de
Loth’’ ( ikhwânu lûtinn). Cette variante a-t-elle une signi-
fication ? Eh, oui, parce que l’emploi de ‘‘Peuple de Loth’’
( Qawmu Lûtinn) aurait ajouté un Câf et ramené le total
de cette lettre à 58 si bien que, non seulement la lettre
Câf perdrait le rapport avec le nombre 19, mais aussi, elle
ne correspondrait plus au nombre des sourates du Coran,
c’est-à-dire 114.
Si nous comptons la lettre ‘‘Noun’’ dans la sourate y
correspondant, ‘‘Le Calame’’ ou ‘‘La plume’’, nous trou-
vons que le nombre de cette lettre s’élève à 133, donc 19
x 7, étant précisé que, selon la graphie originale, la lettre
Noun s’écrit ( n w n ) au lieu de ( n ).
Si nous comptons la lettre Sâd dans les trois sourates
où cette lettre figure parmi les initiales symboliques, à sa-
voir : Les limbes (al a’râf n°7) Marie ( n°19) et Sâd(n°38)
nous constatons que le nombre de lettres Sâd s’élève à
152, soit 19 x 8.
Cette règle arithmétique s’applique indiscutablement
à toutes les sourates à ouvertures symboliques de sorte
que le nombre de chaque lettre prise séparément corres-
ponde au chiffre 19 ou à un multiple de 19.
De tels exemples foisonnent dans le Coran en ce sens
que toutes ses lettres sont comptées par rapport au chiffre
19.
Par ailleurs, ce qui est vrai pour les lettres, est vrai
pour les chiffres cités dans le Coran. Cela dit, le texte co-
ranique contient des nombres cités 285 fois, soit : 19 x 15.
Si nous faisons l’addition des nombres exprimés dans
le Coran, nous trouvons un total de 174.591, soit 19 x 9189.
En faisant l’addition des chiffres cités différemment,
non compris ceux qui se répètent identiquement, nous
avons pour résultat 162.146, soit 19 x 8534.
Les doubles emplois, comptés à part, forment à eux
seuls un total de 12.445 donc 19 x 655.
Il est un autre aspect de la précision numérique du
Coran. En ce qui concerne, par exemple, les gens de la
grotte (les sept dormants). Le Coran indique :
« ils demeurèrent dans leur grotte trois cents ans
et en ajoutèrent neuf » s18 v25.
Ces jeunes gens ont vécu à Ephèse, une ville qui se
trouvait dans la partie méridionale de l’Asie Occidentale
; cette région faisait partie de l’empire romain d’Orient.
Cela correspond sur le plan géographique à la Turquie ac-
tuellement. Leur histoire, d’après les historiens chrétiens,
remonte à l’an 251 après J.C. Là, on utilisait le calendrier
solaire.
Dans une année solaire, il y a 365,25 jours. Mais le
Coran est révélé en Arabie dans un peuple qui utilise le ca-
lendrier lunaire. Le mois lunaire moyen est de 29 jours, 12
heures, 44 minutes et 2,8 secondes, c’est dire que dans
une année, il y a 354,36 jours. Le rapport des deux années
serait alors : 365,25/354,36 = 1,03 Si dans le calendrier
solaire on a 300 ans, suivant le calendrier lunaire, on aura
: 300 x 1,03 = 309. La différence serait exactement de 9
ans comme cela est dissocié dans le verset.
Par ailleurs, le verset 18.25 s’exprime d’une manière
telle que notre Seigneur ‘‘Gloire à LUI’’ nous indique im-
plicitement la différence entre les deux cycles du comput
et que leur séjour dans la grotte s’adapte aux deux calen-
driers. Cela s’explique par le fait que Dieu ne dit pas d’em-
blée 309 ans, mais Il précise bien 300 ans et en ajoutèrent
9, ce qui revient à dire logiquement 300 ans par rapport
aux uns et 309 par rapport aux autres.
Ces données correspondent à des réalités scienti-
fiques tangibles, incontestées et incontestables.
Qui détient donc depuis 14 siècles ces informations
scientifiques si précises ?
Qui peut ordonner et disposer dans un ordre numé-
rique minutieusement précis, les mots, les phrases, les
lettres et les chiffres d’un livre sans en bouleverser le
sens, l’harmonie, la cohérence et la rime ?
Quelles sont les possibilités d’écrire un livre par ha-
sard avec une structure numérique aussi complexe ? Les
spécialistes en probabilité ont une réponse à cette ques-
tion : la probabilité d’un événement pareil est de 6.261.024
contre 1.
Cet ordre est alors voulu ; il tient sa structure, son
calcul et son génie de l’essence même de la science, de la
source du savoir qu’est le Tout-Puissant. Il est indéniable
que les sourates, les versets, les mots, les lettres et les
chiffres du Coran sont si bien connectés, disposés et or-
donnés qu’il est absolument impossible à quiconque de
l’imiter même si l’on se fait aider par les machines les plus
perfectionnées du monde.
Une étude récente réalisée par deux chercheurs mu-
sulmans, vérifiée et approuvée par un groupe de savants
responsables d’institutions académiques et juridiques, a
confirmé l’aspect numérique miraculeux du saint Coran. «
Tout le Coran, affirment-ils, est régi par des chiffres miracu-
leux ou (des preuves) appliqués à ses lettres, à ses mots,
à ses versets, à ses Sourates et tout le Coran, de la pre-
mière lettre ‘‘Ba’’ dans Bismi Allahi Arrahmani Arrahimi,
jusqu’à la lettre ‘‘Sin’’ du dernier mot de la Sourate ‘‘An-
nas’’ (les hommes). Ce sont ces chiffres qui déterminent
l’originalité du langage coranique et nous affirmons qu’il
est l’œuvre exclusive de Dieu et que les hommes n’y ont
aucune contribution ni la moindre capacité de l’imiter ».
Les travaux des chercheurs précités ont porté sur plu-
sieurs aspects numériques du Coran, notamment les ra-
cines linguistiques des mots et leur rapport avec le chiffre
19. Ainsi, ont-ils pu dresser la liste ci-après :
Racines du mot al-imane (la foi)=114, al‘ilm
(science)=76, al-umam assabiqa (communautés an-
ciennes)=57, assira (biographie)=95, al-Quraan (Le Co-
ran)=95, al-‘Ibadat (le culte)=38, al-Jihad (Combat)=76,
at-tahara (Pureté)=19, al-isti’aza (méfaits)=76, adab et
akhlaq (discipline et morale)=76, aghdiya wa ahkam (ju-
gements et décisions)=57, al-jinayat (crimes)=19, an-nifaq
(hypocrisie)=19, an-nadhariya al-iqtiçadiya (théorie éco-
nomique)=38, al-hukm fil Islam (le pouvoir en Islam)=38,
al-islah (la réforme)=57, al-mou’amalat (les relations)=38,
al-achriba wal at’ima (boissons et nourritures)=38, al-
libess wa zzina (vêtements et parures)=19, ri’ayat al-ya-
tim (protection de l’orphelin)=19, arrouh (l’esprit)=19,
annafs (l’âme)=19, annasl (la descendance)=19, al-mal (la
richesse)=19,’adab al-qabr (le châtiment de la tombe)=19,
al-kaoun (l’univers)=38, al’amana (loyauté, dépôt)=19,
at-ta’aoun (l’entraide)=19, al-harb (la guerre)=19, azzakât
(l’aumône légale)=19, al-ahouel achakhsiya (statuts per-
sonnels)=133. (Cf. Dr Ibrahim Kamel et Professeur Hanaa
Sid Ahmad : in Bahth Noor al Imane lil Ihkam al’adadi fil
Quraan
Il est absolument impossible de parler ou d’écrire
dans n’importe quelle langue quelque chose de compré-
hensible et surtout en bonne langue et en même temps
coordonner ses phrases, ses mots et ses lettres suivant un
ordre préétabli, même s’il se fait aider par les ordinateurs
les plus sophistiqués du monde.
« Dis : si les hommes et les Djinns se réunissent
pour produire quelque chose de semblable à ce
Coran, ils ne produiraient rien de pareil même
s’ils se soutiennent les uns les autres » s17 v88
De plus, le Coran a été révélé par morceaux pendant
23 ans, cela implique que ce qui a été révélé au début de-
vait tenir compte de ce qui va être révélé par la suite pour
satisfaire l’ordre indiqué, si bien que l’on se demande si Al-
lah n’avait pas dirigé les événements au profit de l’oeuvre
coranique, ce qui prouve une fois de plus que Dieu est
partout dans le temps, que le passé, le présent et le futur
sont pour LUI une actualité permanente, qu’Il connaît en
profondeur les mystères de l’univers et de toutes les créa-
tures dont il est l’UNIQUE CREATEUR.
« Il cerna tout ce qu’ils ont et dénombra toutes
choses numériquement » s72 v28.
« Nous avons tout dénombré dans un livre
explicite » s36 v12.

« Ce livre dont les versets ont été faits avec


perfection et développés de la part d’un Sage,
bien informé » s11 v1.

« Ne méditeront-ils pas le Coran ? S’il émanait


d’un autre que Dieu, ils y auraient trouvé des
contradictions abondantes » s4 v82.

Conclusion
Aucun humain ne possédait ces connaissances à
l’époque de la révélation du Coran, aucun humain à cette
époque ne pouvait prédire des événements qui se réa-
lisent plusieurs siècles plus tard, aucun humain ne peut
produire un texte dont les chiffres, les lettres, les mots
et les phrases obéissent à un ordre numérique aussi pré-
cis. Enfin, le Coran est le seul Livre réunissant autant de
preuves d’authenticité de la Parole divine.
LE VOYAGE DE LA RECHERCHE DE LA
VIE DANS L’ESPACE

« Parmi Ses Preuves est la création des cieux et de


la terre et des êtres vivants qu’Il y a disséminés.
Il a en outre le pouvoir de les réunir quand Il
voudra. »….
Est-ce que le 21ième siècle sera le bon moment pour
que d’autres créatures de l’espace nous rencontrent ? Li-
sons ce que les scientifiques essayent de découvrir et ce
que le Coran nous a révélé depuis 14 siècles…

Une nouvelle information scientifique


A l’occasion de « la semaine populaire de la science
»l’Australie a décidé d’envoyer un message vers l’espace
extérieur. La chaine ABC australienne a annoncé que ce
message va être adressé à la planète « GLC 581d », la pla-
nète qui ressemble le plus à la terre en dehors du système
solaire.
Ils disent que cette planète a été découverte en Avril
2007, elle est 8 fois plus grande que la terre et elle est éloi-
gnée de nous de 20 années lumière.
Ce projet d’envoyer un message dans l’espace a eu
un très grand succès. Plus de 26 000 personnes se sont
bousculé pour entré dans le « Hello From Earth » « bienve-
nue sur terre » pendant des quelques minutes qui ont sui-
vies son inauguration, ce qui a causé son effondrement.
Ceci est notre galaxie dans laquelle nous vivons au
milieu de 100 000 millions de soleils !! ce n’est pas tout,
il y a aussi de la matière obscure, de la fumée galactique,
des trous noirs et des étoiles filantes… les scientifiques
estiment le nombre des planètes de notre galaxie à des
milliers de millions. Regarde ô toi humain combien tu es
petit devant la grandeur du Créateur.
Le chercheur WILSON DA SILVA qui est porte parole
de ce projet dit que malgré le fait que ce message vat être
envoyé à la vitesse de la lumière qui est de 300 000 KM à
la seconde, son voyage va durer 20 ans… ce qui signifie
qu’elle va arriver à sa destination en 2029.
Il indique également qu’il y a des chances que l’on
reçoive une réponse au message terrien. Il ajoute : « c’est
une planète où il y a de l’eau … tout le monde est très im-
patient car c’est la seule planète parmi 358 qui a été dé-
couverte en dehors de notre galaxie qui peut contenir de
la vie. »

Saviez-vous que les Etats-Unis cachent une grande


partie des informations concernant son programme de
recherche de la vie dans l’espace ? Ils ont sans doute un
grand nombre de vérités à ce sujet qu’ils ne permettent
pas de publier. Il est évident que leur parcours dans la re-
cherche de la vie en dehors de notre galaxie et le fait qu’ils
dépensent des milliards n’est pas anodin. Mais c’est le
résultat de plusieurs recherches qui confirme qu’il existe
une vie qui peut être primitive ou avancée. Cette vie existe
en dehors du globe terrestre et les uns et les autres se font
la course pour la découvrir.
Les scientifiques ont découvert des créatures étranges
de toutes sortes qui vivent au fonds des océans. Ce qui
est extraordinaire c’est que ces créatures vivent à proxi-
mité de cratères qui expulsent de la lave embrasée liquide
où l’eau est bouillonnante et où la pression augmente à
des niveaux très élevés qui écraseraient les créatures nor-
males ! Ainsi, l’existence de la vie dans des conditions
aussi difficiles et aussi inimaginables nous amène à pen-
ser à l’existence de la vie sur d’autres planètes même si
l’environnement et les conditions naturelles sont durs et
très difficiles !

Une nouvelle théorie sur l’origine de la vie


Les chercheurs en astrophysique disent dans l’une de
leurs nouvelles théories que des particules qui voguaient
entre de grandes constellations et autour d’elles se sont
peut être transformées en agglomérations structurées
dans lesquelles la vie s’est formée progressivement sous
l’influence des vents solaires.
Une équipe de spécialistes polonais ont mis en évi-
dence dans une expérience en laboratoire que des mo-
lécules biologiques peuvent se former lorsqu’on souffle
sur les particules de l’univers avec une grande quantité
de lumière dotée d’une énergie extraordinaire. D’autres
chercheurs mettent en doute cette théorie qui sous enten-
drait que la vie telle que nous la connaissons est arrivée
sur terre d’un endroit très lointain de l’espace extérieur.

Aucun des scientifiques n’aurait imaginé trouver une


forme de vie dans une grotte à l’intérieure des rochers
volcaniques qui se sont formées depuis des millions d’an-
nées sans lumière ni eau ni oxygène… Personne n’ima-
ginait l’existence de de créatures vivantes dans de telles
conditions. Mais, la réalité c’est que des chercheurs ont
trouvé des formes complexes de vie à l’intérieur de ces ro-
chers. Qu’est ce qui interdirait alors l’existence d’une vie
sur les rochers de la planète Mars par exemple ?

Les scientifiques ont également trouvé des formes


simples et primitives de vie sur les météorites qui touchent
la terre et qui viennent de l’espace. Ils ont découvert après
plusieurs études et analyses que la vie est dispersée et
ancrée à travers l’univers. Elle ne se concentre pas à un
endroit précis.
Observez avec moi cette merveilleuse constellation,
les études indiquent qu’elle contient plus de 100 milliards
d’étoiles ! et parmi elle il y a plusieurs milliards d’étoiles
qui ressemblent au soleil. Il y a des millions d’étoiles qui
tournent autour desquelles tournent des planètes qui res-
semblent à celle de la galaxie solaire ! Si nous supposons
qu’il y a au moins une planète dans lequel la vie serait pos-
sible à l’intérieur de cette constellation et si on faisait un
simple calcul prenant en compte toutes les constellations
de l’univers, nous trouverions que les planètes dans les-
quelles la vie serait possible serait au nombre de plus de
mille millions de planètes… Réfléchissez à ce nombre…
c’est un chiffre qui oblige les scientifiques à reconnaître
l’existence de la vie en dehors de la planète terre.
La NAZA agence de recherches spatiales américaine
a déclaré que ses découvertes les plus récentes attestent
de la présence d’océans d’eaux gelées sous la surface des
anneaux géants de la planète Mars. Des sources proches
de la NAZA indiquent que cette découverte pourrait obli-
ger à envoyer un vaisseau transportant des scientifiques
pour descendre sur la surface de la planète Mars d’ici une
vingtaine d’années.
La poussière universelle qui se pose sur la terre en
provenance d’étoiles et de planètes lointaines est estimée
à plus de 3 000 tonnes par an. Un groupe de chercheurs
d’une université polonaise disent qu’il est probable que
l’origine de la vie dans sa forme primitive ait commencé
dans l’espace extérieur et soit parvenue sur terre sous
forme de poussière galactique et non suite à un choc entre
une autre planète avec la planète terre.
Nous observons, mes chers biens aimés que les cher-
cheurs se concurrencent pour découvrir une autre vie
ailleurs que sur la terre. Ils confirment pour la majorité
d’entre eux que cette vie existe. C’est pour cela qu’ils la
recherchent pour faire la connaissance d’autres créatures
qui vivraient sur d’autres planètes.
Et maintenant

Nous ne pouvons pas passer à côté d’une telle


information sans nous rappeler que le Coran à in-
diquer l’existence de la vie en dehors de la terre
(dans le ciel notamment) et que Dieu à la capacité
de nous réunir avec ces créatures. Dieu le très Haut
dit:
« Parmi Ses Preuves est la création des cieux et de
la terre et des êtres vivants qu’Il y a disséminés.
Il a en outre le pouvoir de les réunir quand Il
voudra. » (La consultation 29).
Ce verset nous donne deux informations :
1. la première confirme l’existence d’autres créatures
en dehors des habitants de la terre. Réfléchissons en-
semble aux paroles du très Haut : « et des êtres vivants
qu’Il y a disséminés. » c’est-à-dire dans l’espace et sur
terre.
2. la deuxième confirme la possibilité de la rencontre
de ces créatures de l’espace avec nous Réfléchissons éga-
lement à ces autres paroles du très Haut : « Il a en outre
le pouvoir de les réunir quand Il voudra. ». C’est qu’Il est
capable de nous réunir.
Il y une information très importante dans le verset
lorsque Dieu dit : « qu’Il y a disséminés » le mot batha (tra-
duit ici par disséminé) indique d’une façon précise la pro-
pagation et la dissémination de la vie entre les planètes,
les étoiles et les constellations. Regardons également la
suite dans laquelle les événements sont cités :
Premièrement :
« Parmi Ses Preuves est la création des cieux et
de la terre »
Les scientifiques nous confirment avec certitude que
l’univers a été créé avant la vie.
Deuxièmement:
« et des êtres vivants qu’Il y a disséminés »
c’est-à-dire que la vie a commencé à se propager sur
terre et dans le ciel par dissémination. A savoir l’envoi
des graines de la vie en direction de la terre et d’autres
mondes. C’est exactement ce confirmes les recherches les
plus récentes.
Mais, chers biens aimés, je voudrais vous mettre en
garde de la dangerosité des théories occidentales qui
contredisent les informations du Coran comme la pré-
tendue théorie de l’évolution, la théorie des hasards ou
la théorie de la sélection naturelle…. Ce en quoi nous
croyons nous c’est que Dieu a disséminé les graines de la
vie, c’est Lui qui a créé l’Homme de terre et que c’est Lui
glorifié soit-Il qui a créé chacun des atomes de cet univers.

Notre question…
Est-ce que ce n’est pas ceci que les chercheurs de nos
jours ? Est ce que ce n’est pas ce qu’ils cherchent à confir-
mer ? Alors d’où Mohammad (paix et salut de Dieu sur lui)
tient il ces informations ? D’où il a tiré cette théorie que les
scientifiques du 21ième cherchent à confirmer ? C’est sans
aucun doute une révélation divine véridique.
Une autre question à ceux qui doutent du message du
prophète Mohammad (paix et salut de Dieu sur lui) : qui
pouvait imaginer au 7ième siècle (au moment de la révéla-
tion du Coran) que la vie existe dans l’espace en dehors de
la terre ? Pourquoi il aurait parlé des choses compliquées
qui parlent de l’espace à une époque où personne ne s’in-
téressait à ces questions là ?
C’est Dieu le très Haut qui a révélé ce Coran et qui ré-
vélé dedans ces vérités sur l’espace, pour qu’elle soit une
preuve de la véracité de l’islam à notre époque actuelle…
Et la promesse divine reste. Dieu le très Haut :
« Nous leur montrerons Nos signes dans l’univers
et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne
évident que c’est cela (le Coran), la Vérité. Ne
suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de
toute-chose ? » (Les versets détaillées).

Il y avait initialement une masse gazeuse avant


la création de des galaxies
Les savants affirmaient cela avant que les galaxies
aient été formées dans l’univers. Au commencement La
matière céleste existait sous forme de matière gazeuse.
En bref, la matière ou les nuages gazeux énormes étaient
présents avant la formation des galaxies. Pour décrire la
matière céleste initiale, le mot ‘fumée ‘est plus approprié
que le gaz. Le verset suivant du Coran se rapporte à cet
état de l’univers par le mot « dhukhan » qui signifie la fu-
mée.
Il S’est ensuite adressé au ciel qui était alors
fumée et lui dit, ainsi qu’à la terre: ‹Venez tous
deux, bon gré, mal gré›. Tous deux dirent: ‹Nous
venons obéissants›. [Le Coran 41:11]
Encore, ce fait est un corollaire au ‘’grand coup ‘et
n’était pas connu des Arabes de l‟époque du prophète
Mohammed .. D‟où alors, pourrait provenir la source de
cette connaissance ?
LA FUMEE COSMIQUE
De nouveaux faits nous sont révélés par les scienti-
fiques sur la fumée cosmique viennent témoigner de l’au-
thenticité du Coran et nous montrent que le mot qu’il a
choisi pour exprimer le début de la création de l’Univers
est scientifiquement exact.
Le miracle parait évident dans cette recherche à tra-
vers un seul mot : le mot « fumée » employé par les sa-
vants et évoqué dans le Saint Coran quand il parle de l›ori-
gine de la création de l›Univers. Malgré les objections des
sceptiques qui donnent comme argument que les scienti-
fiques appellent les nuages denses très répandus parmi
les étoiles : « la poussière ». Mais le terme scientifique,
exact et précis est le mot « fumée ». Cette découverte
prouve encore une fois la précision des termes employés
par le Coran. C’est ce que nous allons démontrer par des
images prises par des microscopes électroniques.
Une photo de ce que les scientifiques pensaient être
une poussière cosmique. Ce nuage s’étend sur des mil-
liards de kilomètres, mais qu’est ce qu’on a découvert
récemment ? Est-ce que le mot (poussière cosmique) est
scientifiquement exacte Pourquoi le Coran n’ emploie t-il
pas le mot « poussière » au lieu du mot « fumée » ?
Le Tout-Puissant dit dans son livre glorieux, parlant
du début de la création de cet Univers et comment le Ciel
était à l’origine formé de fumée que Dieu sépara en sept
cieux. Le Tout-Puissant dit :
« Il S’est ensuite adressé au ciel qui était alors
fumée et lui dit, ainsi qu’à la terre : “Venez tous
deux, bon gré, mal gré”. Tous deux dirent :
“Nous venons obéissants”. Il décréta d’en faire
sept cieux en deux jours et révéla à chaque ciel
sa fonction. Et Nous avons décoré le ciel le plus
proche de lampes [étoiles] et l’avons protégé. Tel
est l’Ordre établi par le Puissant, l’Omniscient. »
11-12: 41
Ce texte regorge de miracles qui se sont confirmés
récemment par les découvertes scientifiques.
Les savants ont toujours cru que l’Univers est rempli de
poussière cosmique. Chaque fois qu’ils découvrent un
nuage ils disent qu’il se compose essentiellement de
particules de poussière. Mais, et suite à l’évolution de la
connaissance de l’Univers, les savants ont pu apporter ces
molécules qu’ils appelaient « poussière cosmique » à la
Terre et l’ont soumise à l’analyse. Résultat ?
Cette photo est celle d’un épais nuage de fumée.
Elle laisse voir clairement les étoiles qui se trouvent à
proximité et qui fonctionnent comme des lampes pour
les scientifiques. Gloire à Dieu ! Même les étoiles sont là
pour nous permettre de mieux voir cette fumée cosmique
et nous amener à s’assurer de la sincérité du Coran.
Maintenant nous reconnaissons et nous comprenons le
sens du verset:
« Votre Seigneur, c’est Allah, qui a crée les cieux et
la terre en six jours, puis S’est établi “istawa” sur
le Trône .Il couvre le jour de la nuit qui poursuit
celui-ci sans arrêt. (Il a créé) le soleil, la lune et
les étoiles, soumis à Son commandement. La
création et le commandement n’appartiennent
qu’à lui. Toute gloire à Allah, Seigneur de
l’Univers ! » 7: 54.

Avion équipé d’appareils pour capturer les particules


de poussière cosmique de la limite de l’atmosphère ve-
nant des petites météorites pour l’analyser dans les labo-
ratoires de la NASA. Contemplez avec moi comment Dieu
nous fait profiter, nous les humains, de ces moyens pour
reconnaître le début de la création. Le Coran s’adresse à
nous les musulmans. Le Tout Puissant dit :
« Dis : “Parcourez la terre et voyez comment Il a
commencé la création. Puis comment Allah crée
la génération ultime. Car Allah est Omnipotent”.
29: 20
Mais, malheureusement ceux qui réagissent ce sont
les non musulmans!
Le savant qui a supervisé cette analyse dans les labo-
ratoires de l’agence spatiale américaine NASA dit : « ces
particules, que nous avons appelé « poussière cosmique »
ne ressemblent absolument pas à la poussière. Si on veut
les décrire de façon précise le meilleur mot qui convient
est le mot « smok » qui veut dire en anglais fumée ! »

Photo du laboratoire qui analyse la poussière cos-


mique The cosmic dust laboratory at the Johnson Space
Center . Elle montre les scientifiques qui ont pris des
atomes de poussière cosmique entrain d’effectuer une
analyse approfondie de celle-ci. Cette poussière a été ra-
massée par l’un des engins spatiaux et montre de façon
claire que ce qu’ils pensaient être une poussière n’a rien
à avoir avec la poussière et que le meilleur mot pour dési-
gner ces particules est le mot « fumée. »

On voit sur cette photo l’appareil pour analyser les


particules de poussière cosmique dans les laboratoires de
l’Université de Washington. Il est le premier appareil au
monde conçu pour étudier l’Univers dans un laboratoire
au lieu du télescope. Ce dispositif a démontré la nature
gazeuse et poussiéreuse de la fumée répandue dans l’Uni-
vers.
Ce qui est étrange c’est que ce mot « fumée » est mis
entre parenthèses, car il est nouveau ! Mais il ne l’est pas
dans le Livre de Dieu, le Tout-Puissant : le Livre des mi-
racles qui nous a parlé il y a quatorze siècles de ce phé-
nomène. Dieu le Tout-Puissant quand il nous a parlé de
ce sujet il a employé un mot précis ; le même mot utilisé
par les scientifiques d’aujourd’hui pour exprimer la réali-
té de cette fumée cosmique. Les scientifiques disent au-
jourd’hui je cite:
« L’explosion d’une supernova (explosions d›étoiles)
qui diffusent de grandes quantités de fumée, nous donne
une réponse à l’un des mystères de l›Univers qui est la
présence de grandes quantités de fumée au début de la
création de l’Univers. » les scientifiques affirment et re-
connaissent que l’Univers à ses débuts était plein de fu-
mée !
«Il S’est ensuite adressé au ciel qui était alors
fumée et lui dit, ainsi qu’à la terre : “Venez tous
deux, bon gré, mal gré”. Tous deux dirent : “Nous
venons obéissants”.

L’une des grandes découvertes de l’astronomie ac-


tuelle est que la propagation de la fumée cosmique se fait
en grandes quantités dans l’Univers. Cette fumée consti-
tue un voile à la lumière de la plupart des étoiles. Elle re-
couvre la surface des planètes et ces nuages géants de
fumée peuvent même former des étoiles et des galaxies.
La fumée est donc un élément fondamental et important
pour bâtir l’Univers. Les scientifiques affirment que cette
fumée était présente depuis les débuts de la création de
l’Univers
Les savants occidentaux ont longtemps parlé de
«nuages de poussière» dispersés dans cet Univers éten-
du. Mais ce n’est que récemment qu’ils ont commencé à
reconnaître que cette appellation n’est pas exacte scienti-
fiquement, et que le mot «fumée» est plus précis, dit-on,
après avoir découvert la fumée qui se dégage des explo-
sions des étoiles Smoking Supernovae
La poussière cosmique est composée de fines parti-
cules solides baignant dans l’espace entre les étoiles. Elle
ne ressemble pas à la poussière que nous voyons dans les
maisons, mais plutôt à la fumée de cigarettes. L’existence
de cette «fumée» cosmique autour d’étoiles émergents
les aide à se former. Elle est aussi la pierre angulaire dans
la formation des planètes.
Considérons maintenant quelques-unes des photos
qui représentent des particules de cette « fumée cosmique
» que ce soit celles prises par les lentilles du télescope
spatial Hubble, ou celles analysées au microscope élec-
tronique dans les laboratoires.
Molécules de fumées telles qu’elles apparaissent au
microscope électronique.
On observe qu’elles se composent d’un grand nombre
de petites particules qui sont très proches de particules
de la fumée de cigarette. Cette photo a été prise sur le sol
d’une météorite lors de sa chute sur la Terre. Elle est la
première image des particules de poussière cosmique.
On constate que son diamètre est de 3 micro- mètres. Elle
peut atteindre jusqu’à 50 micros –mètre). Elle est compo-
sée principalement de carbone et de silicone. Ces derniers
sont les composants sous-jacents de la fumée que nous
connaissons.
Cette fumée est produite par des explosions d’étoiles.
Elle peut être aussi due à la grande explosion cosmique du
début de la création de l’Univers. Les scientifiques affir-
ment que le volume des nuages de fumée peut être supé-
rieur à la taille des étoiles dans l’univers ! Ces nuages sont
en mouvement constant et il y a une forte probabilité que
cette fumée cosmique se rapproche de nos têtes !
Cela signifie que les scientifiques n’excluent pas la
possibilité qu’un nuage de fumée s’approche de la terre
et pénètre même l’atmosphère ! Ce qu’est extraordinaire
c’est que le Coran nous a informé de cet événement. L’un
des signes de la fin de ce monde est la révélation de cette
fumée ! Dieu donnera alors aux gens le temps parce qu’ils
se tourneront vers Lui. Le Tout-Puissant dit :
« Eh bien, attends le jour où le ciel apportera une
fumée visible. Qui couvrira les gens. Ce sera un
châtiment douloureux. “Seigneur, éloigne de
nous le châtiment. Car [à présent] nous croyons“.
D›où leur vient cette prise de conscience alors
qu›un Messager explicite leur est déjà venu,
Puis ils s›en détournèrent en disant : “C›est un
homme instruit [par d›autres], un possédé”. Nous
dissiperons le châtiment pour peu de temps; car
vous récidiverez. » 44: 10-15.
Cette image représente l’explosion d’une
étoile dans notre galaxie. Ces explosions dif-
fusent d’énormes quantités de cette fumée
cosmique éjectées loin des étoiles bien sûr. Cette photo
est prise grâce aux rayons infrarouges parce que la fumée
ne se voit pas en raison de la grande distance qui la sépare
de nous. La fumée provenant des explosions d’étoiles se
répand en grandes quantités dans l’Univers qui nous en-
toure.
Chers frères j’ai mis exprès dans cet article un grand
nombre de photos et j’ai rapporté littéralement les pa-
roles des scientifiques dans cette recherche afin que les
faits que nous présentons soient des certitudes incontes-
tables.
Si on demande aujourd’hui à n’importe quel savant
dans la NASA : comment il préfère appeler ces nuages «
fumée » ou « poussière », il dira tout de suite « fumée »
parce que c’est le mot qui reflète fidèlement la réalité de
ces nuages.
Notre question à tous ceux qui restent sceptiques : le
mot fumée n’est il pas le mot employé par le Coran, précé-
dant ainsi les savants de la NASA de quatorze siècles ??!
Références:
1- Smoking Supernovae, Science Daily, Jul. 24, 2003.
2- Astronomy Picture of the Day, NASA, 21/9/2007.
3- G. Jeffrey Taylor, A New Type of Stardust, Hawai’i
Institute of Geophysics and Planetology, Hawaii Univer-
sity. 29/8/2003.
4- Messenger, S., Keller, L. P., Stadermann, F. J., Wal-
ker, R. M., and Zinner, E. (2003) Samples of stars beyond
the solar system: silicate grains in interplanetary dust.
Science, vol. 300, p. 105-108.
5- Nittler, L. R. (2003) Presolar stardust in meteorites:
recent advances and scientific frontiers. Earth and Plane-
tary Science Letters, vol. 209, p. 259-273.
6- E Papantonopoulos, The Physics of the Early Uni-
verse, Springer,2005.
7- Matts Roos, Introduction to Cosmology, John Wiley
and Sons, 2003.
8- Michael Rowan-Robinson, Cosmology, Oxford Uni-
versity Press, 1996.
La concordance entre le Coran et les
sciences modernes

La cosmologie est la branche de l’astronomie qui


étudie l’origine, la structure et l’évolution de l’Univers
dans son ensemble. A travers l’histoire, la science et la
religion ont essayé d’expliquer l’univers mais leurs ex-
plications ont souvent été contradictoires l’une par rap-
port à l’autre. La cosmologie moderne, qui applique des
rapports mathématiques particuliers et des théories
scientifiques pour essayer de trouver une explication,
est essentiellement un produit du 20ème siècle. La re-
cherche cosmologique contemporaine est basée sur
une description mathématique de l’univers, développée
dans les années 1900, par Albert Einstein dans le cadre
de ses théories de la relativité restreinte ou générale.
Ces théories exigent des connaissances mathématiques
très sophistiquées, pour être parfaitement comprises.
Elles concernent essentiellement les lois du mouvement
dans des conditions de célérité importante approchant la
vitesse de la lumière (relativité restreinte), et l’impact de
champs gravitationnels importants (relativité générale),
appliqués pour expliquer les phénomènes cosmologiques.
Ce qui est étonnant et démontre l’universalité de l’Islam,
est que plusieurs résultats scientifiques de la cosmologie
moderne, et ce d’après plusieurs scientifiques, semblent
avoir été mentionnés dans le Noble Coran, révélé par Al-
lah, exalté soit-Il, au Prophète Mohammad r depuis plus
de 1400 ans.
Parmi ces résultats scientifiques :
a. la théorie du Big Bang sur la création de l’Univers
b. l’expansion de l’Univers
c. la relativité du temps.

La théorie du Big Bang et l’unité de la création


La plupart des cosmologistes contemporains ont
accepté la théorie du Big Bang pour expliquer la nais-
sance de l’Univers. Cette théorie stipule que l’Univers,
a débuté à partir d’un point unique (ou ‘entité unique),
dense et chaud. Et à partir de ce point s’est formée ce
qu’on appelle souvent ‘la soupe cosmique’, en réfé-
rence à l’échange constant entre la matière et l’énergie
sans aucune séparation entre les étoiles et les planètes,
ou les cieux et la terre, tels que nous les connaissons.
Le Noble Coran montre une très grande concordance avec
cette théorie, Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) :
« Ceux qui ont mécru, n’ont-ils pas vu que les
cieux et la terre formaient une masse compacte?
Ensuite Nous les avons séparés et fait de l’eau
toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas?”
(Coran 21/30)
Ce verset décrit de manière précise l’unité initiale de
toute la création et la division ultérieure de l’Univers sous
la forme que l’on connaît aujourd’hui. Abd Allah Youssof
Ali, dans ses notes attachées à sa traduction anglaise de
la 21ième sourate du Coran, souligne que plus l’Homme
acquiert de connaissances du monde matériel qui l’en-
toure, plus il développe sa perception de l’unité primor-
diale du cosmos. A titre d’exemple, il cite la découverte
de la relation directe entre les mesures de l’activité des
tâches solaires et les changements dans le champ ma-
gnétique terrestre. Nous pouvons trouver de nombreux
autres exemples dans la vie quotidienne, dont l’influence
de la lune sur les marées et sur le cycle menstruel des
femmes, ou encore l’influence du champ magnétique ter-
restre sur la migration des oiseaux, les forces gravitation-
nelles et centrifuges qui permettent au système solaire
d’être harmonieusement uni, empêchant la dérive des
planètes ou leur écrasement les unes contre les autres.
Essentiellement, l’unité de la création continue à exister,
non pas sous la forme d’une entité unique, mais à travers
les différentes relations qui permettent aux différents élé-
ments de la création de maintenir leur lien avec ‘l’unicité’
initiale de l’Univers.

L’expansion et la structure de l’Univers


Le Coran mentionne l’expansion continue de l’Uni-
vers, (sens du verset)
«Le ciel, Nous l’avons construit par Notre
puissance: et Nous l’étendons [constamment]
dans l’immensité.» 51:47
L’Américain, Edwin Hubble avait découvert que, plus
une galaxie est éloignée de la Terre, plus sa vitesse d’éloi-
gnement est grande. En effet, il a découvert que le mouve-
ment d’une galaxie est proportionnel à sa distance. Ce qui
signifie que si une galaxie est dix fois plus loin par rapport
à une autre galaxie, sa vitesse d’éloignement est dix fois
plus grande.
En se basant sur cette découverte et sur d’autres ob-
servations, les scientifiques sont arrivés à la conclusion
que l’Univers est en expansion continue. De plus Dr. Haruk
Nurbaki, dans son livre ‘les versets du Coran et les réalités
de la science’, mentionne que le Coran a également suggé-
ré une structure de l’Univers qui correspond aux résultats
scientifiques modernes. Le Coran cite (sens du verset) :
« Allah, Celui qui a créé sept cieux superposés…»
67/3
Dr. Nurbaki met en corrélation la référence aux ‘sept
cieux’ et la description des régions cosmiques donnée par
les scientifiques contemporains. Il affirme que, lorsqu’on
regarde l’espace à partir de la Terre, on est entouré par
sept champs magnétiques qui s’étendent à travers l’es-
pace infini. Ces champs consistent en :
1. Le domaine spatial qui englobe la Terre et le sys-
tème solaire
2. Le domaine spatial de la galaxie de la Terre, la voie
lactée
3. Le domaine spatial occupé par un ‘groupe local’ de
galaxies comprenant la voie lactée
4. Le champ magnétique central de l’Univers, repré-
senté par un groupement d’amas de galaxies
5. 
La bande de quasars qui sert de « laboratoire
d’éclosion d’étoiles »
6. Le domaine de l’Univers en expansion, représenté
par les galaxies les plus éloignées
7. Le champ de l’espace le plus éloigné représentant
l’infini.
La relativité du temps
Dans un article intitulé ‘Une nouvelle méthode cora-
nique pour la détermination de la valeur de la célérité C’,
Dr. Mansour Hassab-Elnaby affirme que le Coran a établi un
système de référence spatio-temporel qui démontre la re-
lativité du temps et la constance de la vitesse de la lumière
(représentée par ‘C’ dans les notations scientifiques). Al-
bert Einstein avait utilisé ces concepts pour démontrer ses
célèbres « équations de champ », qui fournissent une ex-
plication mathématique de l’interaction qui existe entre la
matière, l’énergie, l’espace et le temps dans l’Univers. La
base de l’article de Dr. Hassan-Elnaby est le verset cora-
nique (sens du verset) :
«Du ciel à la terre, Il administre l’affaire, laquelle
ensuite monte vers Lui en un jour équivalent à
mille ans de votre calcul. » 32:5.
Par conséquent, le Coran suggère que le temps n’est
pas absolu dans l’Univers, une telle découverte n’a été
faite que vers le début du 20ème siècle. Selon Dr. Has-
sab-Elnaby, le verset susmentionné, fait référence un ‘sys-
tème cosmique’ d’une célérité extrêmement élevée, qui
permet de parcourir, en un jour, la distance que la lune
parcourt autour de la Terre pendant une période de mille
ans. Et l’utilisation du calendrier lunaire dans la détermi-
nation du temps sur Terre est mentionnée dans le verset
(sens du verset) :
«C’est Lui ‘Allah’ qui a fait […] de la lune une
lumière, et Il en a déterminé les phases afin que
vous sachiez le nombre des années et le calcul
(du temps) […]» 10:5.
Ainsi, Dr. Hassab-Elnaby a utilisé la relation mathé-
matique mentionnée dans ce verset, –une journée d’un
point de vue cosmique est égale à 1000 années d’un point
de vue terrestre-, ainsi que des données scientifiques sur
les mouvements de la Terre et de la Lune, pour calculer
la vitesse qui fournit la relation entre les deux systèmes
d’estimation du temps. Il a signalé que la vitesse qui en
résulte est 299 792,458 kilomètres par seconde, qui est
exactement, et à la virgule près, égale à la vitesse de la
lumière enregistrée par l’Institut national des mesures et
de la technologie des Etats-Unis.

Le Coran en tant que part de l’ordre Universel


La corrélation existant entre les découvertes scienti-
fiques, pendant le dernier siècle, et le Coran, met en évi-
dence l’importance de la préservation des paroles écrites,
chose soulignée par l’Islam car il rapproche espace et
temps, et fournit des éléments d’inspiration et de vérifi-
cation pour ceux qui n’ont pas connu le Prophète Moham-
med r et ses Compagnons, qu’Allah soit satisfait d’eux.
Elle a également poussé certains scientifiques à étudier,
de manière plus approfondie, le Coran.
Dr. Maurice Bucaille, membre de l’Académie Fran-
çaise des Sciences, et auteur de l’ouvrage La Bible, le Co-
ran et la Science, déclare : « … Comment en être étonné
lorsqu’on sait que, pour l’Islam, la religion et la science
ont toujours été considérées comme deux sœurs jumelles
et qu’aujourd’hui, alors que la science connaît un tel pro-
grès, elles continuent à être associées […] De nos jours, les
progrès accomplis grâce aux connaissances scientifiques
sont utilisés dans l’interprétation de certains passages du
Coran, incompris ou mal interprétés jusqu’alors, consti-
tuent l’apogée de cette confrontation entre les Ecritures et
la science. De plus, à une époque où pour de nombreuses
personnes, la vérité scientifique a asséné un coup fatal
aux croyances religieuses, ce sont précisément les décou-
vertes scientifiques, suite à un examen objectif de la Révé-
lation Islamique, qui ont permis de mettre en évidence le
caractère surnaturel de certains aspects de la Révélation.»
L’Islam encourage l’Homme dans sa recherche du sa-
voir pour que, d’une part, il puisse améliorer sa perception
de l’ordre cosmique, et d’autre part, pour développer ses
capacités, afin de mener à bien son rôle de vicaire d’Al-
lah, Exalté soit-Il, sur Terre. Le Coran semble donner une
attention particulière à l’observation des cieux dans cette
quête du savoir. Il dit (sens du verset) :
«Et Nous avons fait du ciel un toit protégé. Et
cependant ils se détournent de ses merveilles.»
21: 32
Ainsi, des preuves importantes semblent voir le jour
dans le monde moderne, prouvant que le Coran renferme
des révélations qui transcendent l’espace et le temps,
pour faire partie de l’ordre cosmique, pour guider l’huma-
nité et renforcer les liens entre la religion et la science.

CRÉATION DE L’UNIVERS: LE BIG BANG


La création de l’univers est expliquée par les astro-
physiciens par un phénomène largement accepté, popu-
lairement connu sous le nom de ‘Big Bang’ ou ‘grand coup
‘. Ce phénomène est soutenu par des données résultantes
des observation et expériences recueillies par des astro-
nomes et des astrophysiciens pendant des décennies. Se-
lon le ‘Big Bang’ ou ‘grand coup, l’univers entier était au
commencement une grande masse (Nébuleuse primaire).
Et puis, il y aurait alors un ‘Big Bang’ ou ‘grand coup
(séparation secondaire) qui a eu comme conséquence la
formation des galaxies. Celles-ci alors se sont divisées
pour former les étoiles, les planètes, le soleil, la lune,
etc... L’origine de l’univers était unique et la probabilité
que celle-ci aurait été produite par ‘chance ‘est zéro. Le
Coran contient le verset suivant concernant l‟origine de
l‟univers:
Ceux qui ont mécru, n’ont-ils pas vu que les
cieux et la terre formaient une masse compacte?
Ensuite Nous les avons séparés et fait de l’eau
toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas ?
21:30.
La congruence saisissante entre le verset du Coran et
le ‘grand coup ‘est indéniable ! Comment un livre, qui a
paru, la première fois dans les déserts de l’Arabie, il y a
1400 ans, pourrait-il contenir cette vérité scientifique pro-
fonde ?

LA PRÉSENCE DE LA MATIÈRE INTERSTELLAIRE

Dans le passé, on avait affirmé que l’espace hors des


systèmes astronomiques organisés été du vide. Les astro-
physiciens ont plus tard découvert la présence de ponts
de matière dans cet espace interstellaire. Ces ponts de
matière s’appellent le plasma, et se composent de gaz
complètement ionisé contenant un nombre égal d’élec-
trons libres et d‟ions positifs.
Le plasma, est parfois dénommé: le quatrième état
de la matière (en plus des trois états connus de la matière,
à savoir. Les états Solides, liquides et gazeux). Le Coran
mentionne la présence de ce matériel interstellaire dans
le verset suivant:
‘’C’est Lui qui, en six jours, a créé les cieux, la
terre et tout ce qui existe entre eux.’’25:59.
Il serait ridicule de suggérer que la présence du ma-
tériel galactique interstellaire était connue il y a 1400 ans.
L’EXPANSION DE L’UNIVERS

En 1925, Edwin Hubble, astronome américain, a établit


par observation que l’ensemble des galaxies s’éloignent
les unes des autres, ce qui implique L’EXPANSION DE
L’UNIVERS. L’expansion de l’univers est maintenant un fait
scientifique établi. Voici ce que Le Coran indique à propos
de la nature de l’univers :
Le ciel, Nous l’avons construit par Notre
puissance: et Nous lui faisons subir une
expansion (constamment). 51:47.
Le mot arabe ‘Mu’si’oon ‘est correctement traduit
comme « faire subir une expansion ‘, et il se réfère à la
création de l‟expansif vaste univers.
Stephen Hawkin, en son livre, « a brief history of time
», indique que «la découverte de L’expansivité de l’uni-
vers était l’une des grandes révolutions intellectuelles du
20ème siècle». Le Coran a mentionné l’expansion de l’uni-
vers, avant même que l’homme ait appris à construire un
télescope !
Certains peuvent dire que la présence des faits astro-
nomiques dans Le Coran n’est pas étonnante puisque les
Arabes étaient avancés dans le domaine de l’astronomie.
Il est vrai que les arabes on excellé dans le domaine de
l’astronomie, mais n‟empêche que Le Coran a été révélé
des siècles avant que les Arabes aient excellé en astrono-
mie.
D’ailleurs, plusieurs faits scientifiques susmention-
nés concernant l’astronomie, tel que l’origine de l’univers
par un Big Bang, n’ont pas été connus aux Arabes même
au sommet de leur avancement scientifique.
Les faits scientifiques mentionnés dans Le Coran ne
sont donc pas dus à l’avancement des Arabes dans l’as-
tronomie. En effet, l’inverse est vrai ; Les Arabes se sont
avancé dans l’astronomie parce que l’astronomie occupe
une place dans le Coran ».

Expansion de l’Univers et le Prix Nobel


En 2011, le Prix Nobel a été donné à des savants pour
avoir contribuer à la découverte de l’expansion de l’Uni-
vers. Au fait, les savants confirment que l’Univers s’élargit
rapidement et continuellement.
Gloire à Allah Qui a désigné cette découverte depuis
14 siècles au Coran. Il (le Très-Haut) dit:»
Le ciel, Nous l’avons construit par Notre
puissance: et Nous l’étendons [constamment]
dans l’immensité». (Sourate Adh-Dhâriyat «Qui
éparpillent», V.47).
L’existence de particules subatomiques

Des les anciens temps, une théorie bien connue sous


le nom de ‘la théorie d’Atomisme‟ était largement accep-
tée. Originellement, les Grecs, ont proposé cette théorie,
en particulier par un homme appelé Democritus, qui a
vécu il y a environ 23 siècles.
Democritus et les personnes qui sont venus après lui,
ont supposé que la plus petite unité de la matière était
l’atome. Les Arabes croyaient la même chose. Le mot arabe
‘Zarra ‘signifié communément un atome.
Récemment, la science moderne a découvert qu›il
était possible de même diviser un atome. Que l›atome
peut être divisé est un développement du 20ème siècle.
Quatorze siècles plus tôt, ce concept aurait apparut peu
commun même à un Arabe. Pour lui « Zarra » était la limite,
laquelle on ne pourrait pas dépasser.
Cependant, Le verset Coranique suivant, refuse de
reconnaître cette limite :
Les mécréants disent: «l’heure ne nous viendra
pas». Dis: «Par mon Seigneur! Très certainement,
elle vous viendra. (Mon Seigneur) le connaisseur
de l’inconnaissable. Rien ne Lui échappe fût-il du
poids d’un atome dans les cieux, comme sur la
terre. Et rien n’existe de plus petit ni de plus grand,
qui ne soit inscrit dans un Livre perspicace. 34:3
Ce verset se rapporte à l’Omniscience de Dieu, sa
connaissance de toutes les choses, cachées ou appa-
rentes. Il va alors plus loin et indique que Dieu se rend
compte de tout, y compris ce qui est plus petit ou plus
grand que l’atome. Ainsi le verset prouve clairement qu’il
est possible à quelque chose de plus petit que l’atome
d’exister, un fait découvert très récemment par la science
moderne.
On trouvera un verset semblable au verset précédent
dans Le Coran dans 10:61

Les orbites
Les versets du Coran évoquant le Soleil et la Lune sou-
lignent que chacun se déplace dans une certaine orbite.
C’est Lui qui a créé la nuit et le jour, le Soleil et la
Lune, - chacun vogue dans une orbite. 21: 33
Un autre verset mentionne également que le Soleil
n’est pas statique mais se déplace dans une certaine or-
bite:
Et le Soleil court vers un lieu de séjour qui lui
est propre: telle est la détermination du Tout-
Puissant, de l’Omniscient. 36: 38
Ces faits, rapportés par le Coran, ont été découverts
à notre époque par l’observation astronomique. Selon
les calculs des experts en astronomie, le Soleil voyage à
la vitesse extraordinaire de 720.000 kilomètres à l’heure
en direction de l’étoile Véga, dans une orbite particulière
appelée l’apex solaire. Cela signifie que le Soleil parcourt
environ 17.280.000 kilomètres par jour. Les planètes et les
satellites de son système gravitationnel parcourent aussi
la même distance. De plus, toutes les étoiles de l’Univers
effectuent le même genre de déplacement organisé.
On retrouve dans le Coran que l’Univers tout entier
est traversé de chemins et d’orbites
Par le ciel aux voies parfaitement tracées!
(Sourate adh-Dhâriyât, 7)
Il existe dans l’Univers environ 200 milliards de ga-
laxies, dont chacune comporte près de 200 milliards
d’étoiles. La plupart de ces étoiles ont des planètes et la
plupart de ces planètes ont des satellites. Tous ces corps
célestes se déplacent dans des orbites calculées avec
la plus grande précision. Depuis des millions d’années,
chacun d’eux «vogue», comme de nombreuses comètes,
dans sa propre orbite, en parfaite harmonie avec tous les
autres.
Dans l’Univers, les orbites n’appartiennent pas uni-
quement aux corps célestes. Les galaxies voyagent égale-
ment à des vitesses immenses dans des orbites calculées
et planifiées. Au cours de ces mouvements, aucun corps
céleste ne croise le chemin d’un autre, ou n’entre en colli-
sion avec un autre. On a même observé que certaines ga-
laxies se traversent mutuellement sans jamais que leurs
composants ne se touchent.
À l’époque où le Coran a été révélé, l’humanité ne pos-
sédait évidemment pas de télescopes ni des techniques
d›observation de pointe que nous avons aujourd’hui, tech-
niques qui permettent d’observer l’Espace sur des millions
de kilomètres. Elle n’avait pas non plus la connaissance
moderne de la physique ou de l’astronomie.
C’est pourquoi, à l’époque, il était impossible de dé-
terminer scientifiquement que l’Espace est plein de «voies
parfaitement tracées» comme l’affirme le verset. Cepen-
dant, le Coran en fait explicitement mention, car il est la
parole de Dieu

L’énormité de l’univers

Les scientifiques disent : on pensait auparavant que


l’univers est petit et limité , mais il s’est avéré récemment
que l’univers est beaucoup plus grand qu’on ne l’imagine
, et chaque fois que les chercheurs pensent arriver au bord
de l’univers, ils découvrent de nouvelles étoiles leur fai-
sant croire que l’univers est si grand et large de manière
incommensurable ! Gloire à ALLAH, le Coran a souligné
cette vérité universelle, ALLAH dit :
«La création des cieux et de la terre est quelque
chose de plus grand que la création des gens.
Mais la plupart des gens ne savent pas.» 40: 57.
La voûte protégée

Dans le Coran, Dieu attire notre attention sur un attri-


but très intéressant du ciel:
Nous avons fait du ciel une voûte protégée,
et pourtant ils se détournent de Nos signes.
(Sourate al-Anbiyâ’, 32)
Cet attribut du ciel a été prouvé par la recherche scien-
tifique effectuée au 20ème siècle.
L’atmosphère entourant la Terre tient une place fon-
damentale pour la continuité de la vie: détruisant de nom-
breux météores, grands et petits, lorsqu’ils approchent de
la Terre, elle nous protège de grands maux
De plus, l’atmosphère filtre les rayons lumineux pro-
venant de l’Espace qui sont nuisibles pour les êtres vi-
vants. Il est intéressant de noter qu’elle ne laisse passer
que les rayons inoffensifs et utiles - la lumière visible, l’ul-
traviolet proche et les ondes radio. Tout ce rayonnement
est essentiel pour la vie. Les rayons ultraviolets proches,
que l’atmosphère ne laisse que partiellement passer, sont
très importants pour la photosynthèse des plantes et pour
la survie de tous les êtres vivants. La majeure partie des
rayons ultraviolets intenses émis par le Soleil sont filtrés
par la couche d’ozone de l’atmosphère, et seule une partie
restreinte -et essentielle- du spectre ultraviolet parvient
jusqu’à la Terre.
La fonction protectrice de l’atmosphère ne s’arrête
pas là. Elle protège aussi la Terre du froid glacial de l’Es-
pace, dont la température est d’environ -270°.
Outre l’atmosphère, la ceinture de Van Allen, une
couche issue du champ magnétique terrestre, sert égale-
ment de bouclier contre le rayonnement nuisible qui me-
nace notre planète. Ce rayonnement, qui est constamment
émis par le Soleil et les autres étoiles, est mortel pour les
êtres vivants. Si la ceinture de Van Allen n’existait pas, les
énormes éruptions d’énergie que connaît fréquemment le
Soleil détruiraient toute vie sur Terre.
Dr. Hugh Ross explique l’importance des ceintures de
Van Allen pour notre survie:
«La Terre est la plus dense des planètes du système
solaire. Ce grand noyau composé de nickel et de fer exerce
un grand champ magnétique.
Ce champ magnétique forme la couche protectrice
de radiation de Van Allen. Cette couche protège la Terre
contre des bombardements de radiation.
Sans cette couche, il n’y aurait pas de vie sur Terre. La
seule autre planète qui a un champ magnétique et qui est
formé de zones rocheuses est Mercure. Mais la force de
ce champ magnétique est 100 fois moins importante que
celle de la Terre. La couche protectrice de radiation de Van
Allen est particulière à la Terre.»
On a calculé que l’énergie transmise dans une seule
de ces éruptions équivalait à 100 milliards de bombes ato-
miques équivalentes à celle de Hiroshima.
Cinquante-huit heures après l’éruption, on a observé
que les aiguilles magnétiques des boussoles effectuaient
des mouvements inhabituels et à 250 kilomètres au-des-
sus de l’atmosphère terrestre, la température s’est brus-
quement élevée à 2.500°.
Bref, c’est un système parfait qui fonctionne au-des-
sus de la Terre. Il entoure notre monde et le protège des
menaces extérieures.
Les scientifiques ne l’ont appris que récemment,
pourtant, il y a bien des siècles, le Coran nous informait
déjà que l’atmosphère du monde fonctionne comme un
bouclier protecteur.

Le réglage minutieux de l’univers


Celui qui a créé sept cieux superposés sans que
tu voies de disproportion en la création du Tout
Miséricordieux. Ramène [sur elle] le regard. Y
vois-tu une brèche quelconque ? Puis retourne
ton regard par deux fois : le regard te reviendra
humilié et frustré. (Coran, 67 : 3-4)
N’avez-vous pas vu comment Allah a créé sept
cieux superposés ? (Coran, 71 : 15) Celui à qui
appartient la royauté des cieux et de la terre, qui
ne S’est point attribué d’enfant, qui n’a point
d’associé en Sa royauté et qui a créé toute chose
en lui donnant ses justes proportions. (Coran, 25
: 2)
La philosophie matérialiste vit le jour en déclarant
que tous les systèmes dans la nature ainsi que l’Univers
étaient telles des machines autonomes, que l’ordre par-
fait et l’équilibre en eux étaient le fruit du hasard.
Cependant, de nos jours, le caractère erroné du ma-
térialisme et du darwinisme, et de ses soi-disant fonde-
ments rationnels, a été scientifiquement démontré. (Voir
Le mensonge de l’évolution, Harun Yahya, Editions Essa-
lam, Paris, 2002) Les découvertes scientifiques du 20ème
siècle qui se succédèrent rapidement, dans le domaine de
l’astrophysique et de la biologie ont prouvé que la vie et
l’Univers ont été créés. Alors que les thèses du darwinisme
s’effondraient, la théorie du Big Bang montrait que l’Uni-
vers avait été créé à partir du néant. Les découvertes ont
révélé qu’il y avait eu une grande conception et un réglage
parfait dans le monde matériel et cela a définitivement
démontré la nature infondée des déclarations du matéria-
lisme.
Etant donné les exigences requises pour l’émergence
de la vie, nous réalisons que seule la Terre en remplit les
conditions. Pour qu’il y ait un environnement propice à la
vie, d’innombrables conditions doivent rentrer en ligne
de compte d’une manière simultanée et continue. Il y a
quelques centaines de milliards de galaxies, chacune
avec en moyenne une centaine de milliards d’étoiles.
Dans toutes les galaxies il doit y avoir autant de planètes
que d’étoiles.9 Face à un nombre aussi impressionnant,
l’on peut mieux cerner la portée de la formation d’un en-
vironnement aussi exceptionnel sur Terre. Depuis la force
de l’explosion du Big Bang aux valeurs physiques des
atomes, les niveaux des quatre forces de base des proces-
sus chimiques des étoiles, du type de lumière émis par
le Soleil jusqu’au niveau de viscosité de l’eau, de la dis-
tance de la Lune à la Terre jusqu’au niveau des gaz dans
l’atmosphère, de la distance de la Terre au Soleil à l’angle
d’inclinaison de son orbite, de la vitesse à laquelle la Terre
tourne autour de son axe aux fonctions des océans et des
montagnes sur Terre, le moindre détail est conçu d’une
manière idéale pour notre vie.
Aujourd’hui, les scientifiques appellent cette élabo-
ration extraordinaire le «principe d’entropie» et «le ré-
glage minutieux» : ces concepts résument que la matière
de l’Univers, est jusqu’au plus petit détail, soigneusement
arrangée pour rendre possible la vie humaine et que l’Uni-
vers n’est par conséquent pas un amas de matière arran-
gée de manière fortuite, sans but et incontrôlée. L’atten-
tion est attirée dans les versets ci-dessus sur la mesure et
l’harmonie dans la création d’Allah. Le mot taqdîr, signi-
fiant «concevoir, mesurer, créer par mesure» est employé
dans les versets coraniques, par exemple le verset 2 de la
sourate al-Furqan. Le mot tibaaq voulant dire «en harmo-
nie», est utilisé dans le verset 3 de la sourate al-Mulk et le
verset 15 de la sourate Nuh (Noé).
De plus, Allah révèle dans la sourate al-Mulk, en uti-
lisant le mot tafaawout, signifiant «désaccord, violation,
non-conformité, désordre, opposé», que ceux qui re-
cherchent le manque d’harmonie ne parviendront pas à
le trouver. Le terme «réglage minutieux» qui commença à
être utilisé à la fin du 20ème siècle, représente cette véri-
té révélée dans les versets coraniques. Durant le dernier
quart du siècle dernier, un grand nombre de scientifiques,
d’intellectuels et d’écrivains ont montré que l’Univers
n’était pas une suite de coïncidences. Bien au contraire,
sa conception et l’ordre qui y règne sont extraordinaires et
tout convient, dans ses moindres détails à la vie humaine.
(Voir La création de l’Univers, Harun Yahya, Al-Attique
Publishers, Canada, 2001).
De nombreuses caractéristiques de l’Univers
montrent clairement qu’il a été spécialement créé pour fa-
voriser la vie. Le physicien Karl Giberson exprime ce fait en
ces termes :
Dans les années 60, certains physiciens se sont ren-
dus compte suite à leurs observations, que l’Univers avait
été minutieusement réglé de manière à permettre l’exis-
tence de l’humanité.10 L’astrophysicien britannique, le
Professeur George F. Ellis se réfère à cette minutieuse
harmonie en ces termes : Un étonnant réglage existe dans
les lois qui rendent cette complexité possible. Imaginer la
complexité de ce qui a été accompli rend difficile l’absence
d’utilisation du terme «miraculeux» sans prendre position
par rapport au «statut» ontologique du terme.11

LE SOLEIL TOURNE
Pendant longtemps, les philosophes et les savants
européens ont cru que la terre était immobile au centre
de l’univers et que chaque autre corps y compris le soleil
se déplaçait autour d’elle. Dans l’ouest, ce concept gé-
ocentrique de l’univers était prédominant au le temps de
Ptolémée au deuxième siècle avant Christ.
En 1512, Nicholas Copernicus présenta sa théorie hé-
liocentrique du mouvement planétaire, qui a affirmé que
le soleil est immobile au centre du système solaire avec
les planètes tournant autour de lui. En 1609, le savant Al-
lemand Yohannus Keppler a édité « l’Astronomia Nova » où
il concluait que non seulement les planètes se déplacent
dans des orbites elliptiques autour du soleil, mais aussi,
ils tournent sur leurs axes en vitesses irrégulières. D‟après
cette connaissance, il est devenu possible aux savants eu-
ropéens d‟expliquer correctement plusieurs mécanismes
du système solaire y compris la séquence de nuit et du
jour. Après ces découvertes, on croyait que le soleil était
stationnaire et ne tournait pas sur son axe comme la terre.
Je me souviens avoir étudié cette erreur dans les livres
de géographie pendant mes études scolaires. Considérez
le verset Coranique suivant: Et c’est Lui qui a créé la nuit et
le jour, le soleil et la lune, chacun voguant dans une orbite.
‘’Et c’est Lui qui a créé la nuit et le jour, le soleil et la lune,
chacun (des corps célestes) voguant « Yasbahoon » dans
une orbite en son propre mouvement.’’ [Le Coran 21:33]
Le mot arabe utilisé dans le verset ci-dessus est ‘Yas-
bahoon’. Le mot ‘Yasbahoon’ est dérivé du mot ‘Sabaha’.
Ce mot comprend l’idée du mouvement qui vient de n’im-
porte quel corps mobile. Si vous employez le mot pour un
homme sur la terre, il ne signifierait pas qu‟il roule mais
plutôt qu‟il marche ou qu‟il court. Si vous employez le mot
pour un homme dans l’eau il ne signifierait pas qu’il flotte
mais plutôt qu’il nage.
De même, si vous employez le mot ‘Yasbah ‘pour un
corps céleste tel que le soleil, il ne signifierait pas seu-
lement qu’il vole dans l’espace, mais signifierait aussi sa
rotation pendant son mouvement dans l’espace. Il est in-
corporé dans la plupart des livres scolaires le fait que le
soleil tourne autour de son axe.
La rotation du soleil autour de son propre axe peut
être démontré à l’aide d’un équipement qui projette
l’image du soleil sur le dessus d‟une table LE CORAN ET
LA SCIENCE MODERNE 14 de sorte que vous puissiez exa-
miner l’image du soleil sans être aveuglé. On notera que
le soleil a des taches qui accomplissent un mouvement
circulaire une fois tous les 25 jours c‟est-à-dire le soleil
prend approximativement 25 jours pour tourner autour de
son axe. En fait, le soleil voyage dans l’espace à approxi-
mativement 150 milles par seconde, et prend environ 200
millions d’années pour accomplir une révolution autour
du centre de notre galaxie de la Voie lactée. ‘’Le soleil ne
peut rattraper la lune, ni la nuit ne peut devancer le jour;
et chacun vogue dans sa propre orbite (selon la loi).
Ce verset mentionne un fait essentiel découvert par
l‟astronomie moderne, c‟est-à-dire l’existence d‟orbites
indépendantes du soleil et de la lune, et leur voyage dans
l’espace par leurs propres mouvements. L’endroit fixe
‘vers où le soleil voyage, portant avec lui le système so-
laire a été déterminé exactement d‟après l’astronomie
moderne. Cet endroit a été dénommé : l’apex solaire ; en
effet, le système solaire se déplace dans l’espace vers un
point situé dans la constellation d‟Hercule (l‟alpha Lyrae)
dont l’endroit exact est fermement établi. La lune tourne
autour de son axe dans la même durée qu’il prend pour
tourner autour de la terre.
Elle prend approximativement 29½ jours pour accom-
plir une rotation. On ne peut cacher notre stupéfaction de-
vant la précision et l‟exactitude scientifique de certains
versets Coraniques, d‟où alors s‟impose la question : «
Quelle est la source des connaissances contenues dans le
Coran ?»

LE SOLEIL S’ÉTEINDRA APRÈS UNE CERTAINE


PÉRIODE
La lumière du soleil est due à un processus chimique
sur sa surface qui avait eu lieu sans interruption pendant
les derniers cinq milliards d‟années. Il est fort probable
que le soleil s‟éteigne un jour. Achevant ainsi sa course, il
entraînera l’extinction de toute vie sur terre. Le Coran in-
dique en ce qui Concerne l‟impermanence de l’existence
du soleil:
«Et le soleil court vers un gîte ‘mustaqar ‘qui lui
est assigné; telle est la détermination du Tout
Puissant, de l’Omniscient.»
Le mot arabe utilisé ici est ‘mustaqar ‘, qui signifie
un endroit ou une période qui sont déterminés. Ainsi Le
Coran indique que le soleil va vers un endroit déterminé,
et fera cela jusqu’à une période pré déterminée – ce qui
signifie qu’il s’éteindra un jour.
LES COUCHES ATMOSPHÉRIQUES

C’est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la
terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en
fit sept cieux. Et Il est Omniscient. (Coran, 2 : 29)

Il S’est ensuite adressé au ciel qui était alors


fumée... (Coran, 41 : 11) ll décréta d’en faire sept
cieux en deux jours et révéla à chaque ciel sa
fonction. (Coran, 41 : 12)
Le mot «cieux», présent dans de nombreux versets
du Coran, est employé pour désigner le ciel ainsi que
l’Univers tout entier. On comprend alors que le ciel, ou
l’atmosphère, est constitué de sept couches. Nous sa-
vons aujourd’hui, que l’atmosphère est constituée de
sept couches superposées.20 Fondées sur des critères de
composition chimique ou de température, les définitions
déterminées ont permis d’établir que l’atmosphère de la
Terre est constituée de 7 couches.
L’atmosphère ne laisse passer que les rayons so-
laires requis pour la vie sur Terre. Par exemple, les rayons
ultraviolets n’atteignent que partiellement notre planète.
C’est la fourchette la plus appropriée pour permettre aux
plantes d’effectuer la photosynthèse et en définitive de
permettre aux êtres vivants de survivre.
Le modèle d’atmosphère utilisé pour estimer les
conditions météorologiques pendant 48 heures, confirme
aussi que l’atmosphère est constituée de 7 couches. Selon
les définitions de la géologie moderne, les sept couches
atmosphériques sont décrites ainsi :
1. Troposphère
2. Stratosphère
3. Mésosphère
4. Thermosphère
5. Exosphère
6. Ionosphère
7. Magnétosphère
Le Coran dit :
«Il les détermina en sept cieux et révéla à chaque
ciel sa fonction.» (Coran, 41 12)
En d’autres mots, Allah nous explique qu’Il a assigné
à chaque ciel sa propre fonction.
Et effectivement, comme nous le verrons dans les
chapitres suivants, chacune de ces couches a un rôle vi-
tal pour le bienfait de l’humanité et de celui de tous les
êtres vivants sur Terre. Chaque couche possède une fonc-
tion particulière, depuis la formation de la pluie jusqu’à
la prévention des rayons nocifs, du reflet des ondes radio
à la préservation contre l’effet néfaste des météores. Les
versets ci-dessous nous informent de l’apparition de ces
sept couches de l’atmosphère :
N’avez-vous pas vu comment Allah a créé sept
cieux superposés ? (Coran, 71 : 15)

Celui qui a créé sept cieux superposés… (Coran,


67 : 3)
Le mot en arabe tibaaq dans ces versets, traduit en
français par «couches» signifie «couche, couverture ou
enveloppe appropriée de quelque chose», et met l’accent
sur le fait que la couche supérieure est très appropriée
pour la couche inférieure. Le mot est utilisé ici aussi au
pluriel : «couches». Les sept cieux en couches, tels que
décrits dans ce verset, sont sans aucun doute l’expression
la plus parfaite pour décrire l’atmosphère.
C’est un grand miracle que ces vérités, qui n’auraient
absolument pas pu être découvertes sans la technologie
du 20ème siècle, aient été explicitement énoncées dans
le Coran voici 1.400 ans.

LE PARFAIT EQUILIBRE DANS L’UNIVERS


Le Tout puissant Allah dit dans le livre Saint :
« Celui qui a créé sept cieux superposés sans que
tu voies de disproportion en la création du Tout
Miséricordieux. Ramène [sur elle] le regard. Y
vois-tu une brèche quelconque ? Puis, retourne
ton regard à deux fois : le regard te reviendra
humilié et frustré. » (Coran, 67 : 3-4).
Les astronautes et les scientifiques stipulent que
notre univers est constitué de plusieurs milliards d’étoiles
et de galaxies qui circulent dans un parfait équilibre à tra-
vers les différentes voies tracées pour elles. Ces éléments
qui ont pour nom Etoiles, planètes et satellites gravitent
non seulement autour de leurs propres axes mais aussi
tous ensembles autour des systèmes dont ils font tous
partie intégrante. Malgré la diversité et l’immensité des
particules de l’univers, il est improbable, voire impos-
sible d’observer des collisions susceptible de perturber
cet équilibre. Il s’agit là d’une finesse et d’un réglage in-
croyable relevant d’une main divine, d’un être puissant.
Ce miracle devrait nous donner tous à réfléchir.
Les spécialistes estiment que la vitesse à laquelle ce
système se déplace est telle qu’elle dépasse les limites
de la raison. Ils utilisent souvent le terme d’année lumière
comme élément de mesure. Plus les systèmes de l’Uni-
vers sont grands, et plus leur vitesse de déplacement est
grande.
Par exemple, des études menées par les experts de
l’espace démontrent que la vitesse orbitale du Système
Solaire autour du centre de la galaxie, est de 720.000
km/h. La Voie Lactée, avec ses 200 milliards d’étoiles ou
plus, se déplace à 950.000 km/h.
Sans l’ombre d’un doute, un risque élevé de collisions
dans un système aussi complexe et aussi rapide existe.
Pourtant rien de cela n’arrive et nous continuons à vivre
en totale sécurité.
Tout cela parce que l’Univers fonctionne grâce à
l’équilibre parfait mis en place par le Créateur suprême.
C’est la raison pour laquelle le verset stipule qu’il n’y
a aucune « disproportion » dans le système.
Cette énième affirmation scientifique ne constitue
qu’une goutte parmi les multiples découvertes qui confir-
ment le contenu du Livre Saint.
Pulsars: étoiles pulsantes

Par le ciel et par Attariq ! Et qui te dira ce qu’est


Attariq ? C’est l’astre qui perce (les ténèbres).
(Coran, 86 : 1-3)
Le mot tariq, nom de la sourate 86, vient de la racine
du mot tarq dont le sens premier est «frapper suffisam-
ment fort pour produire un son», ou «donner un coup». En
gardant à l’esprit les significations possibles du mot tels
«frapper», ou «frapper fort», cette sourate veut peutêtre
attirer notre attention sur un fait scientifique important.
Avant d’analyser cette information, jetons un coup d’œil
sur les autres mots employés dans ce verset pour décrire
ces étoiles. Le terme attariq dans le verset ci-dessus dé-
signe une étoile qui perce la nuit, qui perce les ténèbres,
qui apparaît la nuit, étoile vive, perçant et poursuivant son
chemin, battant, frappant. De plus, le terme wa attire l’at-
tention sur les éléments par lesquels Dieu jure, le ciel et
attariq. Les recherches menées par Jocelyn Bell Burnell, à
l’Université de Cambridge en 1967 ont permis l’identifica-
tion d’un signal radio régulier. Jusque-là, on ne savait pas
qu’un corps céleste pouvait générer une pulsation régu-
lière ou un battement similaire à celui du cœur.
Cependant en 1967, les astronomes ont déclaré que,
en tournant autour de son propre axe, la matière se den-
sifie dans le noyau, et l’étoile génère ainsi un champ ma-
gnétique plus puissant au niveau des pôles, découvrit que
la révolution rapide des étoiles à neutrons était à l’origine
de ces signaux. Ces étoiles à neutrons, découvertes ré-
cemment, sont appelées «pulsars». Ces étoiles, qui de-
viennent des pulsars suite à l’explosion de supernovae,
ont une très grande masse, et sont les corps célestes les
plus brillants et les plus rapides de l’Univers.
Certains pulsars tournent sur eux-mêmes 600 fois
par seconde.51 Le mot «pulsar» vient du verbe «pulse» en
anglais. Selon le dictionnaire American Heritage, il signi-
fie palpiter, battre. Le dictionnaire Encarta le définit ainsi
: «émettre des battements rythmiques, avancer ou battre
à un rythme fort et régulier.» Et là encore selon le diction-
naire Encarta aussi, le verbe «pulsate», qui vient de la
même racine, signifie se dilater et se contracter avec un
battement fort et régulier.
A la suite de cette découverte, on réalisa que ce phé-
nomène décrit dans le Coran comme attariq émettant des
battements, recelait une grande similitude avec les étoiles
à neutrons appelées pulsars. Les étoiles à neutrons se for-
ment lorsque le noyau des étoiles géantes s’effondre sous
leur propre poids. La matière hautement comprimée et
dense ayant l’aspect d’une sphère à rotation rapide, piège
et comprime la quasi totalité de la masse de l’étoile ain-
si que son champ magnétique. Il a été démontré que le
champ magnétique puissant généré par ces étoiles à neu-
trons à rotation rapide, émet des ondes radios puissantes
détectables depuis la Terre.
Dans le troisième verset de la sourate at-Tariq, le
terme al-najmou al-thaaqibou signifie étoile perçante,
poursuivant son chemin, perforant indique qu’attariq est
une étoile brillante qui perce l’obscurité. Le concept du
terme adraaka dans le verset «Et qui te dira ce qu’est At-
tariq ?» se réfère à notre compréhension. Les pulsars, qui
se forment suite à la compression d’étoiles mesurant plu-
sieurs fois la taille du Soleil, sont parmi les corps célestes
qui sont difficiles à saisir.
La question dans ce verset insiste sur la difficulté
à cerner cette étoile pulsante dont l’intensité est un tril-
lion de fois plus élevée que celle de la Terre. Ils rappor-
tèrent qu’un corps évoluant à une telle vitesse et ayant un
tel champ magnétique, émet des ondes radios très puis-
santes, de forme conique, lors de chaque période de ré-
volution. Peu après, comme nous l’avons vu, les étoiles
décrites comme attariq dans le Coran présentent une si-
militude avec les pulsars décrits au 20ème siècle, et nous
révèlent un autre miracle scientifique du Coran.
Les pulsars sont les vestiges d’étoiles en fin de vie
ou de supernovae qui émettent des «impulsions» ou flux
d’énergie constant et ont une vitesse de rotation incroya-
blement élevée.
On pense qu’il y a plus de 500 pulsars dans la Voie
Lactée, la galaxie à laquelle notre Terre appartient.

L’étoile Sirius
Lorsque certains concepts mentionnés dans le Coran
sont étudiés à la lumière des découvertes scientifiques du
21ème siècle, nous nous trouvons face à d’autres miracles
scientifiques. L’un de ces miracles est l’étoile Sirius, men-
tionnée dans la sourate an-Najm, verset 49 :
Et c’est Lui qui est le Seigneur de Sirius. (Coran,
53 : 49)
Le fait que le mot arabe chi’râ, l’équivalent de l’étoile
Sirius, apparaît seulement dans la sourate an-Najm, ver-
set 49, et signifie «étoile» est particulièrement frappant.
Tenant compte de l’irrégularité dans le mouvement
de Sirius, l’étoile la plus brillante du ciel, étant considéré
comme le point de départ, les scientifiques ont découvert
qu’il s’agissait d’une étoile double. Sirius est en effet un
couple d’étoiles, Sirius A et Sirius B.
La plus grande des deux, Sirius A, est aussi la plus
proche de la Terre et la plus brillante étoile visible à l’œil
nu. Quant à Sirius B, elle ne peut être observée sans té-
lescope. Chacune des étoiles du couple Sirius décrit une
ellipse autour d’un centre de gravité commun.
La période orbitale de Sirius A & B autour de leur
centre de gravité commun est de 49,9 ans. Cette donnée
scientifique est aujourd’hui communément acceptée par
les départements d’astronomie des Universités de Har-
vard, d’Ottawa et de Leicester.52 Cette information est
ainsi rapportée par différentes sources : Sirius, l’étoile la
plus brillante, est en fait une étoile double… Son orbite
dure 49,9 ans.
Comme nous le savons, les étoiles Sirius A et Sirius B
orbitent autour d’elles-mêmes tous les 49,9 ans. Le point
qui requiert notre attention est la forme en arc de l’orbite
des deux étoiles. Cependant, ce fait scientifique, dont
l’exactitude n’a été établie qu’à la fin du 20ème siècle, a
été miraculeusement indiqué dans le Coran, il y a 1.400
ans. Lorsque les versets 49 et 9 de la sourate an-Najm
sont lus ensemble, le miracle devient apparent:
Et c’est Lui qui est le Seigneur de Sirius. (Coran,
53 : 49)

à une distance de deux portées d’arc – ou moins


encore. (Coran, 53 : 9)
Cette description dans le verset 9 de la sourate an-
Najm décrirait également comment ces deux étoiles s’ap-
prochent l’une de l’autre dans leurs orbites. (Dieu est le
plus Savant) Ce fait scientifique que personne ne pouvait
connaître à l’époque de la révélation du Coran prouve une
fois de plus qu’il est la parole de Dieu Tout-Puissant.
L’étoile Sirius apparaît dans la sourate an-Najm (si-
gnifiant «étoile»). Les étoiles doubles formant Sirius or-
bitent autour d’elles-mêmes sous forme d’ellipses une
fois tous les 49,9 ans. Ce phénomène astronomique est
indiqué dans la sourate anNajm aux versets 9 et 49.
Jusqu’en 1862, où l’astronome Alvan Graham Clark
découvrit que Sirius était en fait une étoile double. Sirius
possède un compagnon : Sirius B, une étoile moins mas-
sive et dix mille fois moins lumineuse, totalement invisible
à l’œil nu et seulement visible avec les plus puissants des
télescopes modernes. Les deux étoiles orbitent autour de
leur centre de gravité et ce sont les oscillations de Sirius
autour de ce point qui ont permis de découvrir son compa-
gnon. Sirius B est une naine blanche. On peut voir un tel
objet stellaire comme le résidu incandescent d’une étoile
qui aurait brûlé tout son combustible nucléaire. Sirius B
est une étoile qui se meurt… La voilà l’étoile à son déclin !
Si Dieu jure par cette étoile, ce n’est pas sans raison. Il est
le Seigneur de Sirius, Il est le Seigneur de ce qui est écla-
tant et de ce qui est caché, Il est le Seigneur du visible et
de l’invisible. Il est le Tout-Puissant, l’Omniscient. Rassé-
réné, le croyant peut reprendre tranquillement sa lecture
au début de la sourate :
« [J’en jure] par l’étoile à son déclin. Votre
compagnon ne s’est pas égaré et n’a pas été
induit en erreur. Il ne dit rien sous l’effet de la
passion. Ce n’est rien d’autre qu’une révélation
révélée que lui a enseignée un être d’une force
prodigieuse, doué d’une grande sagacité, qui
se manifesta à lui sous sa forme réelle alors
qu’il se trouvait à l’horizon supérieur. Puis il se
rapprocha et demeura suspendu, à une distance
de deux portées d’arc ou moins encore. Il révéla
ainsi à Son serviteur ce qu’Il révéla.» 53: 1-10
Ces versets ainsi que les suivants se rapportent à
l’épisode de l’ascension nocturne, où le Prophète avait
été transporté jusqu’à Jérusalem, puis au-delà du sep-
tième ciel pour y recevoir le commandement divin des cinq
prières quotidiennes. Le récit de cet épisode avait semé
le trouble même parmi les compagnons du Prophète. Re-
gardez ! Admirez comment Dieu nous prend par la main !
Vous croyez au miracle de l’étoile ? Alors vous devez croire
au miracle de l’ascension nocturne. Vous devez croire que
le Coran est une révélation révélée. On ne peut pas en
prendre une partie et en rejeter l’autre. Il forme un tout,
solidement imbriqué. C’est une révélation du Seigneur de
l’univers, une révélation du Seigneur de Sirius.

LA RONDEUR DE LA TERRE
Il a créé les cieux et la terre en toute vérité. Il
enroule la nuit sur le jour et enroule le jour sur la
nuit… (Sourate az-Zumar, 5)
Dans les temps anciens, les gens croyaient que la
terre était plate. Pendant des siècles, les hommes avaient
peur aller trop loin, craignant de tomber au bord.
Francis Drake était le premier a démontré que la terre
est sphérique quand il a navigué autour d’elle en 1597.
Considérez le verset suivant du Coran concernant l’alter-
nance entre jour et nuit :
N’as-tu pas vu qu’Allah fait pénétrer la nuit dans
le jour et qu’il fait pénétrer le jour dans la nuit …
[Le Coran 31:29]
La pénétration (ou fusionnement) ici signifie que la
nuit change lentement et graduellement en jour et vice
versa.
Ce phénomène ne peut avoir lieu que si la terre est
sphérique. Si la terre était plate, il y aurait eu un change-
ment soudain de nuit au jour et de jour à la nuit.
Le verset suivant fait référence également à la forme
sphérique de la terre Il a créé les cieux et la terre en toute
vérité.
Il enroule la nuit sur le jour et enroule le jour sur
la nuit [Le Coran 39:5]
Le mot arabe utilisé ici est « Kawwara » qui signifie
„chevaucher‟ ou „lover‟,de la même manière qu‟un tur-
ban est enroulée autour de la tête. Le chevauchement de
jour et nuit peut avoir lieu que si la terre est sphérique.
La terre n’est pas exactement ronde comme une
boule, mais elle est geo-sphérique, c’est-à-dire, aplatie
aux pôles. Le verset suivant contient une description de la
forme de la terre :
Et quant à la terre, après cela, Il l’a étendue [Le
Coran 79:30]
Le mot arabe pour étendre ici est « dahaha » qui signi-
fie un œuf d‟autruche. La forme d’un un œuf d‟autruche
ressemble à la forme geo-sphérique de la terre.
Ainsi Le Coran décrit correctement la forme de la terre,
bien que la notion répandue quand Le Coran fut révélé,
était que la terre est plate.

La couche de la terre
Une information au sujet de la Terre et apportée par le
Coran, est sa similarité au ciel composé de sept couches :
C’est Dieu qui a créé sept cieux et autant de terres.
Entre eux [Son] commandement descend, afin que
vous sachiez que Dieu est en vérité Omnipotent
et que Dieu a embrassé toutes choses de [Son]
savoir. (Coran, 65 : 12)
On sait, en effet, aujourd’hui que l’atmosphère ter-
restre est constituée de différentes couches superposées.
De plus, ces couches sont précisément au nombre de sep-
td comme le décrit le Coran. Elles sont décrites ainsi par
les scientifiques :
1. Lithosphère (croûte océanique)
2. Lithosphère (croûte terrestre)
3. Asthénosphère
4. Manteau supérieur
5. Manteau inférieur
6. Noyau externe
7. Noyau interne
Le mot lithosphère dérive du grec lithos, signifiant
«pierre», et constituant la strate supérieure de l’écorce
terrestre. Elle est plutôt mince en comparaison avec les
autres strates. La lithosphère en dessous des océans est
encore plus fine, et constitue une région à activité volca-
nique. Son épaisseur moyenne est de 80 km. Elle est plus
froide et plus dure que les autres couches, et par consé-
quent forme l’enveloppe de la Terre.
Sous la lithosphère se trouve la strate appelée asthé-
nosphère, terme dérivant du mot grec asthenes signifiant
«faible». Cette couche est plus fine que la lithosphère et
est en mouvement constant étant donné sacomposition
visqueuse. Elle est formée de substances chaudes et se-
mi-solides, capables de fondre lorsque exposées à de trop
fortes températures et pression au cours des périodes
géologiques. On pense que la lithosphère, de structure
solide, flotte ou se déplace sur une asthénosphère en
mouvement lent.24 Sous ces strates, il existe une couche
de très forte température et d’une épaisseur d’environ
2.900 km, composée de roches semisolides, appelée le
manteau de la Terre.
Cette couche contient plus de fer, de magnésium et
de calcium que la croûte, et est aussi plus chaude et plus
dense, car la température et la densité régnant au centre
de la Terre augmentent avec la profondeur. Au centre de
la Terre se trouve le noyau, approximativement deux fois
plus dense que le manteau terrestre. A l’origine de cette
densité élevée est la teneur en métaux (alliage de fer et de
nickel) beaucoup plus importante que la composition en
roches. Le noyau est composé de deux parties.
Une couche de métal liquide épaisse de 2.200 km,
appelée noyau externe et le noyau interne à composition
solide épais de 1.250 km.
Le noyau externe liquide est à l’origine du champ ma-
gnétique terrestre durant la rotation de la Terre. La concor-
dance de ces données relatives au ciel et aux couches ter-
restres, identifiées seulement par la technologie du 20ème
siècle, est sans aucun doute un autre miracle scientifique
du Coran.

LES MONTAGNES SONT COMME DES PIQUETS


En géologie, le phénomène de pliage “folding” est un
fait récemment découvert. Le pliage “folding” est respon-
sable de la formation des gammes de montagne. La croûte
terrestre, sur laquelle nous vivons, est comme une coquille
solide, alors que les couches plus profondes sont chaudes
et liquides, et sont ainsi peu propices à toutes formes de
vie. On sait également que la stabilité des montagnes est
liée au phénomène de pliage “folding”, parce que c’était
les plis qui devaient fournir des bases pour les reliefs qui
constituent les montagnes.
Les géologues nous disent que le rayon de la terre est
d‟environ 3.750 milles et la croûte sur laquelle nous vi-
vons est très mince, variant entre 1 et 30 milles. Etant don-
né que la croûte sur laquelle nous vivons est très mince, il
y a une grande possibilité de secousses. Les montagnes
agissent comme des piquets ou des chevilles de tentes
qui tiennent la croûte terrestre et lui donnent sa stabilité.
Le Coran contient exactement une telle description dans le
verset suivant :
N’avons-nous pas fait de la terre une couche? et
(placé) les montagnes comme des piquets? [Le
Coran 78:6 -7]
Le mot ‘awtad ‘signifie des piquets ou des chevilles
(comme ceux employés pour dresser une tente) ; ils sont
les bases profondes des plis géologiques.
Un livre appelé « Earth » ou « Terre » est considéré
comme un manuel de référence de base sur la géologie
dans beaucoup d’universités dans le monde.
Un des auteurs de ce livre est Frank Press, qui était
le président de l’académie des Sciences aux Etats-Unis et
était le conseiller Scientifique de l’ex Président des Etats-
Unis Jimmy Carter. Dans son livre il décrit la montagne
comme un piquet et la montagne elle-même comme une
petite partie d‟un tout, dont la racine est profondément
implantée dans la terre1 . Selon Dr. Press, les montagnes
jouent un rôle important dans la stabilisation de la croûte
terrestre.
Le Coran mentionne clairement la fonction des mon-
tagnes, qui empêchent la terre de trembler :
Nous avons placé des montagnes fermes dans
la terre, afin qu’elle ne s’ébranle pas en les
(entraînant). [Le Coran 21:31]
Les descriptions coraniques sont donc en accord par-
fait avec des données géologiques modernes.
LES MONTAGNES ONT ÉTÉ FERMEMENT FIXÉES

La surface de la terre est divisée en plusieurs plaques


rigides d‟environ 100 kilomètres d’épaisseur. Ces plaques
flottent sur une région partiellement fondue appelée
l’aésthenosphère. La formation des montagnes se pro-
duit dans la limite des plaques. La croûte terrestre est
de 5 kilomètres d’épaisseur au-dessous des océans, en-
viron 35 kilomètres d’épaisseur au-dessous des surfaces
continentales plates et presque 80 kilomètres d’épaisseur
au-dessous des grandes gammes de montagnes. Ce sont
les bases fortes sur lesquelles les montagnes se tiennent.
Le Coran parle également des bases fortes des montagnes
dans le verset suivant :
et quant aux montagnes, Il les a ancrées [Le Coran
79:32]
Les montagnes en mouvement

Dans un verset, nous apprenons que les montagnes


ne sont pas immobiles comme elles semblent l’être, mais
sont constamment en mouvement.
Et tu verras les montagnes, que tu croyais figées,
passer comme des nuages. (Coran, 27 : 88)
Ce déplacement des montagnes est causé par le mou-
vement de l’écorce terrestre sur laquelle elles sont fixées.
L’écorce terrestre flotte en quelque sorte sur le manteau,
qui est plus dense. C’est au début du 20ème siècle que,
pour la première fois, un savant allemand du nom d’Al-
fred Wegener a avancé l’hypothèse que les continents for-
maient initialement un seul bloc, puis dérivèrent sur dif-
férentes directions et s’écartèrent les uns des autres. Ce
n’est que dans les années 1980, 50 ans après la mort de
Wegener, que les géologues ont compris qu’il avait raison.
Comme Wegener l’avait indiqué dans un article rédigé
en 1915, les continents étaient liés 500 millions d’années
auparavant : la large masse continentale, appelée Pan-
gée, était située au Pôle Sud. La Pangée s’est fragmentée
en deux il y a approximativement 180 millions d’années.
Chaque morceau dériva vers une direction différente.
L’un, Gondwana, incluait l’Afrique, l’Australie, l’Antarc-
tique et l’Inde; l’autre, L’Eurasie, l’Europe, l’Amérique du
Nord et l’Asie, sauf l’Inde. Pendant les 150 millions d’an-
nées qui suivirent cette séparation, Gondwana et Laurasie
se sont divisés en de plus petites parties. Ces continents
qui ont émergé suite à la fragmentation de la Pangée se
sont constamment déplacés à la surface de la Terre de
quelques centimètres par an, changeant au fur et à me-
sure les proportions de la mer et des continents. Décou-
vert grâce aux recherches géologiques effectuées au dé-
but du 20ème siècle, ce mouvement de l’écorce terrestre
est expliqué par les scientifiques comme suit :
L’écorce et la partie supérieure du manteau, sur une
épaisseur d’environ 100 km, sont divisées en segments
appelés plaques. Il y a six plaques principales, et plu-
sieurs petites. Selon la théorie appelée «la tectonique des
plaques», ces plaques se déplacent sur la Terre, en empor-
tant avec elles les continents et les fonds océaniques. La
dérive des continents atteint 1 à 5 cm par an. A mesure que
se poursuit le déplacement des plaques, une lente modi-
fication de la géographie de la Terre se produit. Chaque
année, par exemple, l’Océan Atlantique s’élargit légère-
ment.
Un point important doit être souligné : dans un ver-
set du Coran, Dieu décrit le mouvement des montagnes
comme une dérive. Aujourd’hui, la science moderne uti-
lise l’expression «dérive des continents» pour décrire ce
mouvement. La dérive des continents est un phénomène
qui n’aurait pu être observé à l’époque de la révélation du
Coran, et Dieu a clairement indiqué comment il fallait le
comprendre :
«Et tu verras les montagnes, que tu croyais
figées»
Il a ensuite décrit une réalité, indiquant que les mon-
tagnes passaient comme des nuages.
Tel que décrit, le Coran attire clairement notre atten-
tion sur les mouvements des couches auxquelles les mon-
tagnes sont fixées. C’est sans aucun doute un des miracles
coraniques, que ce fait scientifique, qui a été récemment
découvert par la science, ait été évoqué dans le Coran au
7ème siècle, lorsque la conception de la nature de l’Uni-
vers était basée sur la superstition et les mythes.
C’est encore une preuve évidente que le Coran est la
parole de Dieu.

Perte de terres aux extrémités


Ne voient-ils pas que Nous frappons la terre et
que Nous la réduisons [graduellement] de tous
côtés? 13 : 41)

Ne voient-ils pas que Nous venons à la terre que


Nous réduisons de tous côtés ? 21 : 44
La Terre est bombardée par des protons, des électrons
et des particules alpha provenant du Soleil. Ces vents so-
laires sont suffisamment puissants pour séparer l’atmos-
phère de la Terre. Cependant, il faudrait cinq fois plus de
temps que la durée de vie du Soleil, à la vitesse actuelle de
disparition des terres, pour venir à bout de l’atmosphère.
En effet, grâce au puissant champ magnétique formé
par la magnétosphère dans l’atmosphère, la Terre, dans
une certaine mesure, est protégée de cette importante
érosion. La perte d’ions-oxygène, d’hélium et d’hydro-
gène, dispersés à travers l’ionosphère dans les profon-
deurs de l’espace, est de dimension beaucoup plus petite
que la vaste couche d’air environnant la Terre. Cependant,
même ainsi, la quantité qui s’échappe dans l’espace est
de taille significative.
Grâce à la navette spatiale de la NASA, (National Ae-
ronautics and Space Administration) les chercheurs ont
obtenu une preuve concrète que les explosions d’énergie
dans le Soleil font que l’oxygène et les autres gaz se dis-
persent dans l’espace depuis la couche externe de l’at-
mosphère terrestre. Les scientifiques ont noté pour la pre-
mière fois les 24 et 25 septembre 1998 que la Terre subit
une perte de matière à partir de ses couches externes.34
Cependant, le verset ci-dessus fait peut-être également
référence à la perte de terres sur un autre plan.
Aujourd’hui, les glaciers situés dans les pôles sont
en train de fondre et le niveau des océans est en train de
s’élever. La quantité croissante du niveau de l’eau couvre
de ce fait encore plus de terres.
Comme les zones côtières sont de plus en plus cou-
vertes par la mer (constamment immergées), la superficie
totale de terres non immergées se réduit. L’expression
dans le verset «et que Nous la réduisons [graduellement]
de tous côtés» fait probablement référence au fait que les
zones côtières seraient couvertes par les eaux. Un article
du New York Times sur ce sujet dit : Durant le siècle dernier,
la température moyenne de la surface du globe a augmen-
té d’1 degré Fahrenheit, et le taux de réchauffement s’est
accéléré pendant le dernier quart de siècle.
C’est une valeur significative… De précédentes
études effectuées à l’aide d’observations faites par satel-
lite et avec l’appui de sous-marins semblent établir une
tendance au réchauffement dans la région nord polaire et
augmente la possibilité d’une fonte de la calotte glaciaire.
Des scientifiques de l’Institut Goddard Space Science,
un centre de recherche de la NASA situé à Manhattan, ont
comparé les données d’un sous-marin enregistrées dans
les années 50 et 60 avec les observations effectuées dans
les années 90 et ont démontré que la couverture glaciaire
dans tout le bassin arctique avait diminué de 45%. Les
images satellites ont révélé que l’étendue de la couverture
glaciaire avait rétréci d’une manière spectaculaire durant
ces dernières années.
Les découvertes faites vers la fin du 20ème siècle
nous aident à comprendre la sagesse de la sourate ar-
Ra’d, verset 41 et celle de la sourate al-Anbiya’, verset 44.
Cette perte aux extrémités, comme nous l’a révélé Dieu
dans le Coran, peut être comprise à la lumière d’un autre
fait scientifique. Le fait que la Terre, qui effectue sa rota-
tion autour de son propre axe, a une forme géoïde, est un
fait scientifique qui n’a été accepté que durant les siècles
passés
La recherche a révélé que le diamètre équatorial de la
Terre s’étend sous l’effet de la force qui découle de sa ro-
tation, et qu’il se comprime à ses extrémités, c’est-à-dire
aux pôles. De plus, étant donné que la Terre est constam-
ment en rotation, ce changement continue à avoir lieu. En
effet, le terme nanqousou dans la sourate ar-Ra’d, verset
41, traduit par «réduire», montre que ce processus d’éro-
sion est toujours en cours. C’est la force de gravité qui a
donné aux corps célestes tels que la Terre leur forme sphé-
rique. Cependant, la forme n’est pas tout à fait sphérique,
elle s’aplatit quelque peu aux pôles et grossit à l’équa-
teur. Selon les chiffres de la NASA, le rayon de la Terre est
de 6.378,1 km à l’équateur mais de seulement 6.356,8 km
d’un pôle à l’autre.37 La différence est de 0,3%. Ce modèle
de la forme de la Terre a été suggéré par Isaac Newton en
1687. Ce fait, révélé par le Coran, a été révélé il y a 1.400
ans, c’est encore un autre de ses miracles scientifiques.
La recherche a révélé que la Terre ne cesse de voir son
périmètre enfler au niveau de l’équateur.
Création de l’être humain à partir d’argile

Dans le Coran, Dieu révèle que la création de l’être


humain est un miracle. Le premier être humain a été créé
par Dieu qui lui a donné la forme d’un être humain à partir
d’argile et lui a insufflé Son souffle
Quand ton Seigneur dit aux anges : «Je vais créer
d’argile un être humain. Quand Je l’aurai bien
formé et lui aurai insufflé de Mon Esprit, jetez-
vous devant lui, prosternés.» (Coran, 38 : 71-72)
Demande-leur s’ils sont plus difficiles à créer que
ceux que Nous avons créés ? Car Nous les avons
créés de boue collante. (Coran, 37 : 11)
Lorsque nous examinons aujourd’hui le corps hu-
main, nous réalisons que de nombreux éléments présents
dans la terre sont aussi présents dans le corps humain.
Les tissus vivants sont composés à 95% de carbone, d’hy-
drogène, d’oxygène, d’azote, de phosphore et de soufre
etc. soit un total de 26 éléments.95 Dans un autre verset
du Coran, Dieu dit :
Nous avons certes créé l’homme d’un extrait
d’argile. (Coran, 23 : 12)
Le mot arabe soulala traduit par «extrait» dans ce
verset, signifie «exemple représentatif, essence». Comme
nous l’avons vu, l’information révélée dans le Coran il y
a 1.400 ans de cela, confirme ce que la science moderne
nous dit, c’est-à-dire que les éléments employés pour la
création de l’homme sont les mêmes que ceux trouvés
dans le sol.
La cellule, l’œuf fécondé, se divise ensuite et se multi-
plie grâce au programme intégré dans l’ADN. Les tissus et
les organes commencent à se former : c’est le début d’un
être humain. La coordination de cette structure complexe
est rendue possible grâce à la molécule d’ADN. C’est une
molécule constituée d’atomes de carbone, de phosphore,
d’azote, d’hydrogène et d’oxygène. Le volume d’informa-
tion contenu dans l’ADN est d’une taille prodigieuse. Une
seule molécule d’ADN humain renferme assez d’informa-
tion pour remplir une encyclopédie d’un million de pages
ou pour en remplir environ 1.000 volumes. Cela revient à
dire que le noyau de chaque cellule contient assez d’in-
formations pour remplir une encyclopédie d’un million de
pages ; ces informations permettent le contrôle de toutes
les fonctions du corps humain sans exception.
A titre comparatif, l’Encyclopédie Britannica compo-
sée de 23 volumes, l’une des plus importantes sources
d’information au monde, ne possède que 25.000 pages
Et pourtant, une molécule située dans le noyau, lui-même
beaucoup plus petit que la cellule microscopique qui
l’abrite, contient une banque de données 40 fois plus im-
portante en volume que la plus grande encyclopédie au
monde ! Ce qui revient à dire qu’il s’agit d’une immense
encyclopédie en 1.000 volumes, unique et n’ayant pas
d’équivalent dans le monde. C’est un miracle de concep-
tion et de création à l’intérieur de notre organisme, pour
lequel les évolutionnistes et les matérialistes ne peuvent
avancer aucune réponse, aucune explication.
En songeant au fait que le structure de l’ADN n’a été
découverte qu’en 1953 par Francis Crick, il est véritable-
ment surprenant que le Coran parle d’un «programme gé-
nétique» à une époque, où comme nous l’avons déjà dit,
les connaissances humaines étaient vraiment limitées.
Jusqu’à la fin du 19ème siècle, les généticiens étaient in-
capables de cerner cet aspect, et ces faits remarquables
vont encore une fois, dans le sens du Coran et du caractère
irréfutable de sa nature divine.
Dans le Coran, Dieu parle des différents stades du dé-
veloppement embryonnaire humain:
“Nous avons certes créé l’homme d’un extrait
d’argile, puis Nous en fîmes une goutte de
sperme dans un reposoir solide. Ensuite, Nous
avons fait du sperme une alaqah (sangsue, chose
suspendue, caillot de sang), et de la alaqah
Nous avons créé une moudghah (substance
mâchée)...” 23: 12-14
Littéralement, le mot arabe alaqah a trois sens:
(1) une sangsue
(2) une chose suspendue
(3) un caillot de sang
Si nous comparons une sangsue à un embryon à
l’étape de la alaqah, nous découvrons des similarités entre
les deux, comme nous pouvons le voir sur l’illustration. De
plus, l’embryon qui est à cette étape de son développe-
ment se nourrit du sang de la mère, comme la sangsue se
nourrit du sang de ceux sur qui elle se fixe.

Dessins illustrant les similarités, au niveau de l’appa-


rence, entre une sangsue et un embryon humain au stade
appelé alaqah.
(Le dessin de la sangsue est tiré de l’ouvrage Human
Development as Described in the Quran and Sunnah [Le
développement humain tel que décrit dans le Coran et la
Sounnah], Moore et al., p. 37, adapté de Integrated Prin-
ciples of Zoology [Principes généraux de zoologie], Hick-
man et al.. Le dessin de l’embryon est tiré de The Deve-
loping Human [L’humain en développement], Moore et
Persaud, 5e édition., p. 73.)
Le deuxième sens du mot alaqah est “une chose sus-
pendue”. C’est ce que nous pouvons voir sur les illustra-
tions 2 et 3: l’embryon en suspension dans l’utérus de la
mère, au stade de la alaqah.
Nous pouvons voir ici la suspension de l’embryon
dans l’utérus de la mère, au stade de la alaqah. (The De-
veloping Human [L’humain en développement], Moore et
Persaud, 5e édition., p. 66.)

Sur cette photomicrographie, nous pouvons voir la


suspension d’un embryon (B) au stade de la alaqah (âgé
d’environ 15 jours) dans l’utérus de la mère. La grandeur
réelle de l’embryon est d’environ 0,6 mm. (The Developing
Human [L’humain en développement], Moore, 3e édition.,
p. 66, adapté de Histology [Histologie], Leeson et Leeson.)
Le troisième sens du mot alaqah est “caillot de sang”.
L’apparence externe de l’embryon et de ses sacs au stade
de la alaqah est très similaire à celle d’un caillot de sang.
Cela est dû à la présence de quantités de sang relative-
ment élevées dans l’embryon au cours de ce stade.
Aussi, durant ce stade, le sang contenu dans l’em-
bryon ne commence pas à circuler avant la fin de la troi-
sième semaine.[4] Donc, l’embryon, à ce stade, est comme
un caillot de sang.

Système cardio-vasculaire rudimentaire d’un em-


bryon au stade de la alaqah. L’apparence externe de l’em-
bryon et de ses sacs est similaire à celle d’un caillot de
sang; cela est dû à la présence de grandes quantités de
sang dans l’embryon. (The Developing Human [L’humain
en développement], Moore, 5e édition., p. 65.)
Ainsi, les trois sens du mot alaqah correspondent
exactement aux descriptions de l’embryon au stade de la
alaqah.
Le stade suivant, mentionné dans le verset, est le
stade de la moudghah. Le mot arabe moudghah signi-
fie “substance mâchée”. Si quelqu’un mâchait un mor-
ceau de gomme à mâcher et le comparait à un embryon
au stade de la moudghah, il verrait que l’embryon, à ce
stade, prend l’apparence d’une substance mâchée. Cette
ressemblance est dûe aux somites sur le dos de l’embryon
qui ressemblent, en quelque sorte, à des traces de dents
dans une substance mâchée.
Photographie d’un embryon au stade appelé
moudghah (âgé de 28 jours). L’embryon, à ce stade, prend
l’apparence d’une substance mâchée à cause des somites
situés sur le dos qui ressemblent à des traces de dents
dans une substance mâchée. La grandeur réelle de l’em-
bryon est de 4 mm. (The Developing Human [L’humain en
développement], Moore et Persaud, 5e édition., p. 82, du
Professeur Hideo Nishimura de l’Université de Kyoto, à
Kyoto (Japon).)

Homme créé d’une giclée d’eau sortie d’entre


les lombes et les côtes

Que l’homme considère donc de quoi il a été créé.


Il a été créé d’une giclée d’eau sortie d’entre les
lombes et les côtes [Le Coran 86:5-7]
Aux étapes embryonnaires, les organes de repro-
duction du mâle et la femelle, c‟est-à-dire les testicules
et les ovaires, commencent leur développement près du
rein exactement entre la colonne spinale et la onzième et
douzième côte. Apres cela, ils descendent ; les gonades
femelles (les ovaires) s’arrêtent dans la cavité du bassin
tandis que les gonades masculines (testicules) continuent
leur descente avant la naissance pour rejoindre le scro-
tum par le canal inguinal. Même pour l‟adulte, après la
descente de l’organe génital, ces organes reçoivent leur
approvisionnement de nerf et de sang de l’aorte abdomi-
nale, qui est la partie entre l’épine dorsale (colonne spi-
nale) et les côtes. Même le drainage lymphatique et le re-
tour veineux vont au même secteur.
Êtres humains créés de nutfah (quantité minu-
tieuse de liquide)
Il est mentionné pas moins d’onze fois dans le Coran
que l’être humain est créé de ‘’Nutfah’’, qui signifie une
quantité minutieuse de liquide ou un filet de liquide qui
reste après avoir vidé une tasse. Ceci est mentionné dans
plusieurs versets du Coran y compris les versets 22:5 et
23:13 .
Récemment, la Science a confirmé qu‟un seul sperme
sur une moyenne de trois millions est requis pour fertili-
ser l’ovule. Ceci signifie que c‟est seulement 1/trois mil-
lionième ou 0.00003% de la quantité de spermes qui sont
émis est requise pour la fertilisation.
Les êtres humains sont créés d’une sulala
(quintessence de liquides)

Puis Il tira sa descendance d’une quintessence


de liquides. [Le Coran 32:8]
Le mot arabe “sulâlah” signifie la quintessence ou la
meilleure partie d’une totalité. Nous savons maintenant
qu‟un seul spermatozoïde de plusieurs millions produits
par l’homme qui pénètre dans l’ovule est requis pour la
fertilisation.
Ce seul spermatozoïde de plusieurs millions, est dé-
signé dans Le Coran comme “Sulâlah”. Sulâlah signifie
également l’extraction douce à partir d’un fluide. Le fluide
se rapporte aux fluides germinaux mâle et femelles conte-
nant les gamètes. L’ovule et le sperme sont tous deux dou-
cement extraits à partir de leurs environnements en cours
de la fertilisation.

La création des êtres humains à partir d’eau

Dieu a créé tous les êtres vivants à partir de l’eau.


Certains d’entre eux rampent sur leurs ventres
; certains marchent sur deux pattes, et d’autres
sur quatre. Dieu crée ce qu’Il veut et Dieu est
puissant sur toute chose. (Coran, 24 : 45)

Ceux qui ont mécru, n’ont-ils pas vu que les


cieux et la terre formaient une masse compacte
? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l’eau
toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas ?
(Coran, 21 : 30)
Et c’est Lui qui de l’eau a créé une espèce
humaine qu’Il unit par les liens de la parenté et de
l’alliance. Et ton Seigneur demeure omnipotent.
(Coran, 25 : 54
Lorsque nous lisons les versets qui concernent la
création des êtres humains et des êtres vivants, nous y
découvrons l’évidence d’un miracle. L’un de ces miracles
est la création d’êtres vivants à partir de l’eau. Il n’a été
possible aux êtres humains de découvrir cela, comme l’ex-
prime clairement le Coran, que des centaines d’années
plus tard, grâce à l’invention du microscope.
Cette phrase «l’eau est le principal composant de
toute matière organique. 50 à 90% du poids d’un être vi-
vant consiste en eau» apparaît régulièrement dans les en-
cyclopédies.
De plus, 80% du cytoplasme (élément cellulaire fon-
damental de tout organisme vivant) de la cellule d’un
animal type, est décrit comme étant de l’eau dans les ou-
vrages de biologie.
L’analyse du cytoplasme et sa composition ont été
exposés dans les ouvrages scientifiques des centaines
d’années après la révélation du Coran.
Il est donc tout à fait impossible qu’un tel fait, accep-
té seulement maintenant par la communauté scientifique,
ait pu être connu à l’époque où le Coran a été révélé. Et
pourtant, le Coran a attiré l’attention dessus il y a 1.400
ans.
Toute forme de vie a besoin d’eau pour survivre. Par
conséquent, les animaux vivant dans des régions arides,
ont été dotés de mécanismes permettant de protéger leur
métabolisme de la perte d’eau et d’assurer un bénéfice
maximal de l’utilisation de l’eau. S’il y a perte d’eau par le
corps pour n’importe quelle raison, et si cette perte n’est
pas contrôlée, la mort s’ensuivra en quelques jours.
Le célèbre scientifique du 17ème siècle, Jan Baptista
van Helmont découvrit en 1640 que l’eau contenue dans le
sol est l’élément le plus important pour le développement
des plantes.
LA GÉNÉTIQUE

Le sexe d’un foetus est déterminé par la nature du


sperme et non pas de l’ovule. Le sexe de l’enfant, femelle
ou mâle, dépend de la 23ème paire de chromosomes est
XX ou XY respectivement.
Premièrement, la détermination du sexe se produit
dans la fertilisation et dépend du type de chromosome
de sexe dans le sperme qui fertilise un ovule. Si c’est un
sperme porteur X qui fertilise l’ovule, le foetus est une fe-
melle et si c’est un sperme porteur Y, le foetus est donc un
mâle.
et que c’est Lui qui a créé les deux éléments de
couple, le mâle et la femelle, d’une goutte de
sperme quand elle est éjaculée [Le Coran 53:45-
46]
Le mot arabe ‘Nutfatin ‘signifie que une quantité mi-
nutieuse de liquide tandis que ‘Tumnah ‘signifie éjaculé
ou planté. Par conséquent ‘Nutfatin‟ se rapporte spécifi-
quement au sperme parce qu’il est éjaculé.
Le Coran indique:
N’était-il pas une goutte de sperme éjaculé? Et
ensuite une adhérence Puis (Allah) l’a créée et
formée harmonieusement; puis en a fait alors les
deux éléments de couple: le mâle et la femelle?
[Le Coran 75:37-39]
Ici encore, il est mentionné qu’une petite quantité
(une goutte) de sperme (indiqué par le mot ‘nutfatam-mi-
mmani) qui vient de l’homme est responsable du sexe du
foetus.
Les belles-mères dans le sous-continent indien, pré-
fèrent généralement avoir des petits-enfants mâles et
blâment souvent leurs belles-filles si l’enfant n’est pas
du sexe désiré. Si seulement elles savaient que le facteur
de détermination est la nature du sperme masculin et non
pas l’ovule femelle ! Si elles devaient blâmer quiconque,
elles devraient blâmer leurs fils et non leurs belles-filles
puisque Le Coran et la Science soutiennent que c’est le
fluide masculin qui est responsable du sexe de l’enfant !

Le fœtus est protégé par trois voiles d’obscu-


rité

Il vous crée dans les ventres de vos mères,


création après création, dans trois ténèbres. [Le
Coran 39:6]
Selon le professeur Keith Moore, ces trois ténèbres
ou voiles d’obscurité dans Le Coran se rapportent à : (i)
mur abdominal antérieur de la mère (ii) le mur utérin (iii)
la membrane amniochorionique.

LES ÉTAPES EMBRYONNAIRES


Nous avons certes créé l’homme d’un extrait
d’argile puis Nous en fîmes une goutte de sperme
dans un reposoir solide. Ensuite, Nous avons fait
du sperme une adhérence; et de l’adhérence Nous
avons créé un embryon; puis, de cet embryon
Nous avons créé des os et Nous avons revêtu les
os de chair. Ensuite, Nous l’avons transformé en
une tout autre création. Gloire à Allah le Meilleur
des créateurs [Le Coran 23:12-14]
Dans ce verset Allah souligne que l’homme est créé
d’une petite quantité de liquide qui est placé dans un re-
posoir, fermement fixe (bien établi ou logé) pour lequel le
mot arabe de « qarârin makîn »est employé. L’utérus est
bien protégé de la partie postérieure par la colonne spi-
nale fermement soutenue par les muscles du dos. L’em-
bryon est encore protégé par le sac amniotique contenant
le fluide amniotique. Ainsi le foetus a un endroit de de-
meure bien protégé.
Cette petite quantité de fluide est transformée en
„alaqah‟, qui signifie quelque chose qui s’accroche. Ce
mot signifie également une substance de même sorte
qu‟une sangsue. Ces deux descriptions sont scientifique-
ment acceptables puisque dans les stades très primitifs,
le foetus s’accroche au mur utérin et semble également
ressembler en sa forme à une sangsue. Cette „alaqah‟ se
comporte également comme une sangsue et acquiert son
approvisionnement de sang de la mère par le placenta.
Le troisième sens du mot arabe „alaqah‟ est un cail-
lot de sang. Pendant ce stade d’alaqah, qui couvre la troi-
sième et quatrième semaine de grossesse, les caillots de
sang se coagulent dans les vaisseaux fermés. Par consé-
quent l’embryon acquiert l’apparence d’un caillot de sang
en plus de son apparence de sangsue.
En 1677, Hamm et Leeuwenhoek étaient les premiers
scientifiques qui ont pu observer les cellules humaines du
sperme (spermatozoïdes) à l’aide d’un microscope.
Ils croyaient qu’une cellule de sperme contenait un
être humain miniature qui se développait dans l’utérus
pour former un nouveau-né. Ceci été connu comme théorie
de perforation.
Quand les scientifiques ont découvert que l’ovule était
plus grand que le sperme, De Graf et d’autres croyaient le
que le foetus existait en une forme miniature dans l’ovule.
Plus tard, au 18ème siècle Maupertuis présenta sa théorie
de l‟hérédité biparentale.
L’alaqah est transformé en ‘Mudgha’ qui signifie
‘substance mâchée’ (ayant des marques de dents) ‘et éga-
lement une chose visqueuse et petite qui peut être mise
dans la bouche comme une gomme. Ces deux explications
sont scientifiquement correctes.
Le Professeur Keith Moore a pris un morceau de
gomme et l’a transformé en la taille et forme de l‟embryon
en ses premiers stades et l’a mâché entre les dents pour
le transformer en une ‘Mudgha’. Il a comparé ceci aux pho-
tos de l‟embryon en ses premiers stades. Les marques de
dents ressemblèrent aux ‘somites qui est la formation pri-
mitive de la colonne spinale.
Cette ‘Mudgha’est transformée en os (izâm). Les os
sont revêtus de chair ou de muscles (lahm). Puis Allah le
transforme en une toute autre création.
Le Professeur Marshall Johnson est l’un des prin-
cipaux scientifiques aux Etats Unis, et est le chef du dé-
partement de l’anatomie et directeur du Daniel Institute à
l’université de Thomas Jefferson en Philadelphie aux Etats
Unis.
Le Professeur Johnson a été invité à présenter ses ob-
servations sur les versets du Coran traitant sur l’embryo-
logie. Il a dit que les verset du Coran décrivant les étapes
embryologiques ne peuvent pas être une coïncidence.
Il a dit que probablement, Mohamed possédait un mi-
croscope puissant. En lui rappelant que Le Coran a été ré-
vélé il y a 1400 ans, et que les microscopes ont été inven-
tés des siècles après la période du prophète Mohamed, le
Professeur Johnson ria et admit que le premier microscope
inventé ne pouvait magnifier plus de 10 fois et ne pouvait
pas montrer une image claire.
Professeur Marshall Johnson est l’un des principaux
scientifiques aux Etats Unis, et est le chef du département
de l’anatomie et directeur du Daniel Institute à l’université
de Thomas Jefferson en Philadelphie aux Etats Unis.
Le Professeur Johnson a été invité à présenter ses ob-
servations sur les versets du Coran traitant sur l’embryo-
logie. Il a dit que les verset du Coran décrivant les étapes
embryologiques ne peuvent pas être une coïncidence. Il
a dit que probablement, Mohamed possédait un micros-
cope puissant. En lui rappelant que Le Coran a été révélé il
y a 1400 ans, et que les microscopes ont été inventés des
siècles après la période du prophète Mohamed, le Profes-
seur Johnson ria et admit que le premier microscope in-
venté ne pouvait magnifier plus de 10 fois et ne pouvait
pas montrer une image claire.
Des étapes embryologiques semblables a celles rela-
tives au développement humain ont été décrites dans les
versets suivants :
N’était-il pas une goutte de sperme éjaculé? Et
ensuite une adhérence Puis (Allah) l’a créée et
formée harmonieusement; puis en a fait alors les
deux éléments de couple: le mâle et la femelle?
[Le Coran 75:37-39]

Lui qui t’a créé, puis modelé et constitué


harmonieusement? Il t’a façonné dans la forme
qu’Il a voulue. [Le Coran 82:7-8]

L’EMBRYON FORME AUSSI BIEN QU’INFORME


À l’étape de « mudghah », si une incision est faite
dans l›embryon et l›organe interne est disséqué, on verra
que la plupart d›entre eux sont formés alors que les autres
ne sont pas encore complètement formés.
Selon Professeur Johnson, si nous décrivons l’em-
bryon comme création complète, alors nous décrivons
seulement cette partie qui est déjà créée.
Si nous le décrivons comme création incomplète,
alors nous décrivons seulement cette partie qui n’est pas
encore créée.
Donc, est-ce une création complète ou une création
incomplète? Il n’y a aucune meilleure description de cette
étape de l’embryogenèse que la description Coranique, «
partiellement formé et partiellement non formé», comme
mentionnée dans le verset suivant:
Nous qui vous avons créés de terre, puis d’une
goutte de sperme, puis d’une adhérence puis
d’un embryon (normalement) formé aussi
bien qu’informe pour vous montrer (Notre
Omnipotence) [Le Coran 22:5]
Scientifiquement nous savons qu’à cette première
partie du développement il y a quelques cellules qui sont
différenciées et il y a d‟autres cellules qui sont indifféren-
ciées - quelques organes sont formés mais d’autres non
formés.

Création d’embryon et ténèbres


Les savants disent que l’opération du développement
de l’embryon dans le ventre de sa mère passe par trois
ténèbres que sont : le mur du ventre, le mur de l’utérus,
le mur du placenta et ses membranes. Allah (Exalté soit-Il)
dit -ce qui peut être traduit comme:
« Il vous crée dans les ventres de vos mères,
création après création, dans trois ténèbres.»
(Az-Zoumar : 6).
Personne ne connaissait ces opérations cachées à
l’époque de la révélation du Coran ce qui est preuve de la
véracité du Prophète r.

L’utérus maternel, une protection


Allah le Tout-Puissant dit dans le Noble Coran (sens
des versets) :
«Ne vous avons-Nous pas créés d’une eau vile
que Nous avons placée dans un reposoir sûr pour
une durée connue ? Nous l’avons décrété ainsi et
Nous décrétons [tout] de façon parfaite. » (Coran
77 / 20-23).
Il dit aussi (sens des versets) : «
Nous avons certes créé l’homme d’un extrait
d’argile, puis Nous en fîmes une goutte de
sperme dans un reposoir solide. Ensuite, Nous
avons fait du sperme une adhérence ; et de
l’adhérence Nous avons créé un embryon ;
puis, de cet embryon Nous avons créé des os et
Nous avons revêtu les os de chair. Ensuite, Nous
l’avons transformé en une tout autre création.
Gloire à Allah le Meilleur des créateurs ! » (Coran
23 / 12-14).
Ces versets sur la création des êtres humains
contiennent des informations fondamentales du domaine
de l’embryologie. En qualifiant l’utérus de reposoir solide,
une caractéristique importante a été localisée avant les
percées de la science moderne. (Allah est certes le plus
Savant.) Ce processus qui commence par le zygote issu de
la fusion des cellules de l’œuf et du sperme et qui se pour-
suit jusqu’à la naissance d’un être humain complet, com-
posé de billions de cellules fonctionnant en harmonie, se
met en place dans l’utérus de la mère. Cet endroit permet
à l’embryon d’achever ses neufs mois de développement
et constitue certainement “un reposoir solide”.
Le terme makiynin traduit par “solide” signifie éga-
lement “inébranlable, sain, fixe, puissant, sûr”. Le mot
kararin signifie aussi “endroit, stabilité, permanence, éta-
blissement”. Ces mots décrivent de façon tout à fait ap-
propriée le ventre de la mère.
L’utérus de la mère isole le bébé des agents externes,
de la lumière, du bruit, des chocs et des pressions. Situé
dans la cavité pelvienne, l’utérus est protégé par des os
épais et solides qui cernent l’endomètre à l’intérieur, per-
mettant de supporter le poids de l’embryon jusqu’à la fin
de la grossesse. Cette structure composée de puissants
muscles est construite de sorte à permettre la croissance
et le développement idéal du bébé. Au cours de la gros-
sesse, les ligaments attachés aux os de la région s’épais-
sissent et s’allongent, rendant ainsi l’utérus plus solide et
plus stable
L’embryon dispose également d’une source de cha-
leur, d’eau, d’oxygène et de nutriments tout au long de
son développement. L’utérus de la mère subit de nom-
breux changements visant à le renforcer au cours de la
grossesse. Avec tous les muscles, les ligaments et les tis-
sus élastiques qu’il contient, le nombre de vaisseaux san-
guins et de nerfs augmentent. L’utérus est ainsi capable de
multiplier son poids par vingt et sa contenance par 1000
sans en souffrir. Les trompes de Fallope qui soutiennent
l’utérus, les ovaires et les autres tissus de liaison se ren-
forcent et deviennent plus élastiques. Les changements
constants dans l’utérus se poursuivent même quand l’em-
bryon est devenu un bébé sain bien plus gros qu’à son
stade initial. Maintenant l’utérus se transforme de sorte
à permettre l’expulsion sécurisée du bébé. Au cours de la
grossesse, un autre miracle a lieu. Le bébé est protégé de
toute menace interne. Quand un corps étranger pénètre
dans le corps, comme au cours d’une greffe d’organe, le
système de défense du receveur commence à réagir, ce
qui peut avoir des conséquences fatales. Or cela ne se
produit jamais avec le fœtus. Le système immunitaire de
la mère ne le considère pas comme un corps étranger. Il
est tout à fait extraordinaire que le corps de la mère to-
lère les gènes étrangers venant du père, parce que le bébé
est à 50% étranger. Marianne van den Heuvel, scientifique
de l’Université de Guelph, qualifie se processus de “fasci-
nant” et déclare : “Cela a toujours été une énigme de point
de vue de l’immunologie parce que le fœtus est en réalité
étranger. Il est en partie de la mère et en partie du père. Il
devrait donc être rejeté par le corps.”
Pourquoi le système de défense qui identifie et éli-
mine les virus et les tumeurs en tant que corps étrangers
ne déclare-t-il pas la guerre aux cellules du fœtus ? Par la
volonté d’Allah le bébé est en sécurité dans l’utérus de la
mère.
Les informations concernant l’embryologie fournies
par le Coran concordent avec ce que la médecine moderne
a réussi à identifier. Cela prouve clairement que le Coran
est la révélation de notre Seigneur, le Créateur de tout
l’univers. Le Coran indiquait déjà il y a plusieurs centaines
de siècles que :
« Et dans votre propre création, et dans ce qu’Il
dissémine comme animaux, il y a des signes pour
des gens qui croient avec certitude. » (Coran 45
/ 4).

« Il y a sur terre des preuves pour ceux qui


croient avec certitude; ainsi qu’en vous-mêmes.
N’observez-vous donc pas ? » (Coran 51/20-21)

« Nous leur montrerons Nos signes dans l’univers


et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne
évident que c’est cela (le Coran), la Vérité. Ne
suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de
toute-chose ? » (Coran 41/53)

LE SEXE D’UN BEBE


Jusqu’à très récemment, on pensait que le sexe du
bébé était déterminé par les cellules de la mère. Ou pen-
sait-on tout au moins que le sexe était déterminé conjoin-
tement par les cellules mâles et femelles. Mais le Coran
nous renseigne différemment : il affirme que la masculi-
nité ou la féminité est déterminée par «une goutte de se-
mence éjaculée».
Il a créé le couple, le mâle et la femelle, à partir
d’une goutte de semence éjaculée. (Coran, 53 :
45-46)

N’était-il pas une goutte de sperme éjaculé ? Puis


une adhérence que Dieu a créée et harmonisée,
et dont il a fait un couple mâle et femelle ? (Coran,
75 : 37-39)
Les progrès de la génétique et de la biologie molécu-
laire ont scientifiquement validé l’exactitude de l’informa-
tion donnée dans le Coran. On sait maintenant que le sexe
est déterminé par les cellules spermatiques de l’homme,
et que la femme ne joue aucun rôle dans ce processus.
Les chromosomes sont les principaux éléments im-
pliqués dans la détermination du sexe. Deux des 46 chro-
mosomes qui déterminent l’identité sexuelle d’un être
humain sont appelés chromosomes sexuels. Ces deux
chromosomes sont appelés «XY» chez l’homme et «XX»
chez la femme, parce que leur aspect fait penser à ces
lettres. Le chromosome Y est porteur des gènes codant
pour la masculinité, tandis que le chromosome X est por-
teur des gènes codant pour la féminité. La formation d’un
nouvel être commence par la combinaison croisée d’un
de ces chromosomes, qui existe par paires chez l’homme
et la femme. Chez la femme, les deux composants de la
cellule sexuelle, qui se divise en deux durant l’ovulation,
sont porteurs de chromosomes X. La cellule sexuelle mâle,
en revanche, produit deux sortes différentes de sperma-
tozoïde, l’une contenant un chromosome X et l’autre un
chromosome Y.
Lorsque la cellule sexuelle s’unit avec un sperma-
tozoïde contenant un chromosome X, alors le bébé sera
de sexe féminin. Si elle s’unit avec le spermatozoïde por-
tant un chromosome Y, le bébé sera de sexe masculin. Au-
trement dit, le sexe d’un bébé est déterminé par le type
de chromosome du mâle qui s’unit avec l’ovule. On igno-
rait tout cela jusqu’à la découverte des gènes au 20ème
siècle. Dans de nombreuses cultures, on pensait même
que le sexe du bébé était déterminé par la femelle.
C’est pourquoi les femmes étaient blâmées lors-
qu’elles donnaient naissance à des filles. 14 siècles avant
la découverte des gènes humains, le Coran a cependant
révélé une information qui dément cette superstition et fit
allusion au fait que le sexe du bébé était déterminé non
par la femme mais par l’homme
Miracle: deux cœurs dans le ventre

« Allah n’a pas placé à l’homme deux cœurs dans


sa poitrine (…)» 33: 4
Dans ce verset, une image est exposée : « Allah n’a
pas placé à l’homme [li-radjouline] deux cœurs [qalbayni]
dans sa poitrine [djaoufihi]».
D’après l’exégèse, ce verset est « descendu » pour
abolir une règle coutumière de l’époque, qui voulait qu’un
enfant adopté soit assimilé à un enfant biologique (vis-
à-vis de l’adoptant). L’idée exprimée ici est que l’enfant
adoptif ne peut pas avoir deux pères, tout comme l’homme
ne peut avoir deux cœurs.
Dans ce verset, le mot [djaoūfihi] utilisé ici ne dé-
signe pas seulement la poitrine : il évoque le ventre au
sens large.
Ce mot peut aussi être utilisé pour désigner le cœur,
au sens figuré : [radjouloun madjoūfoun] signifie « homme
sans cœur ».
C’est le mot [sadr] qui désigne la poitrine (buste) au
sens strict, et on le retrouve dans d’autres passages du
Coran (notamment dans la 114ème et dernière sourate
:[soudoūri], signifiant « (les) poitrines»).
Le mot [radjouline] désigne l’homme mâle unique-
ment, à l’exclusion des femmes. Le mot [nāss], qui signifie
« homme » dans son sens général (humains, gens), n’a pas
été utilisé ici. Ce mot [nāss] est d’ailleurs lui aussi inclus
dans la 114ème et dernière sourate ([soudouri-n-nāss],
soit « (les) poitrines des gens »).
L’homme ne peut avoir deux cœurs dans le même
ventre.
Ces détails, qui semblent anodins, ont en réalité leur
importance. En effet, lorsqu’une femme devient enceinte,
elle porte alors, dans son ventre, un être qui sera doté
d’un cœur. Deux cœurs cohabiteront donc dans un seul et
même ventre. Or, si le mot [nāss], incluant l’homme et la
femme, avait été utilisé à la place du mot [radjouline], il y
aurait eu une contradiction par rapport au sens littéral du
verset. En effet, d’un point de vue biologique, l’homme ne
peut développer deux cœurs en lui-même, mais la femme
peut abriter un deuxième cœur dans son ventre, lors-
qu’elle attend un bébé.
Cette précision linguistique illustre la précision du
récit coranique, exact dans le fond comme dans la forme.

MUSCLES QUI ENVELOPPENT LES OS


Un autre élément important contenu dans les versets
du Coran concerne les étapes du développement d’un être
humain dans l’utérus.
Les versets indiquent qu’on assiste d’abord au déve-
loppement des os de l’embryon, puis à la formation des
muscles qui enveloppent l’ossature.
Le sens du mot alaq en arabe est «quelque chose qui
s’accroche». Ce mot est utilisé littéralement pour décrire
les sangsues lorsqu’elles s’accrochent sur un corps pour
en sucer le sang. Ce n’est certainement pas un hasard
qu’un mot si approprié soit utilisé pour décrire le mode de
fixation de l’embryon dans l’utérus, à savoir la nidation.
Cela prouve une fois de plus que le Coran est une révéla-
tion de Dieu, le Seigneur des mondes.
Ensuite Nous en avons fait une goutte de semence
dans un réceptacle sûr, puis Nous avons créé de
la goutte de semence une adhérence, puis Nous
avons créé de l’adhérence un morceau mâché,
puis Nous avons créé du morceau mâché des os
puis Nous avons revêtu les os de chair ; ensuite
Nous en avons produit un autre être : béni soit
Dieu, le Meilleur des créateurs ! (Coran, 23 : 14)
L’embryologie est une discipline scientifique qui étu-
die le développement de l’embryon dans l’utérus. Jusqu’à
très récemment les embryologistes pensaient que le déve-
loppement des os et des muscles était concomitant. Mais
des recherches plus poussées réalisées grâce aux progrès
de la technologie ont établi que la révélation coranique re-
lative à ce sujet est juste dans ses moindres détails. Ces
examens au niveau microscopique ont montré que le dé-
veloppement à l’intérieur de l’utérus maternel se fait exac-
tement de la manière décrite dans ces versets. D’abord, le
tissu cartilagineux de l’embryon s’ossifie. Puis les cellules
musculaires sélectionnées à partir d’un tissu spécifique
s’assemblent et enveloppent les os.
Cet événement est décrit dans une publication scien-
tifique nommée Developing Human en ces termes : … La
forme du squelette détermine l’apparence générale de
l’embryon au cours de la 7ème semaine, Les muscles ne
se développent pas au même moment mais juste après.
Les cellules musculaires prennent position dans le milieu
environnant les os, sur tout le corps puis enveloppent les
os. Ainsi les muscles prennent les formes et les structures
bien connues. La phase d’enveloppement des os par les
muscles a lieu durant la 8ème semaine.Bref, les étapes du
développement humain décrites dans le Coran concordent
parfaitement avec les découvertes de l’embryologie.
Scientifiquement nous savons qu’à cette première
partie du développement il y a quelques cellules qui sont
différenciées et il y a d‟autres cellules qui sont indifféren-
ciées - quelques organes sont formés mais d’autres non
formés.

Ce que dit le Coran sur le cerveau


Dans le Coran, Dieu a dit, au sujet d’un des mécréants
malveillants qui interdisait au Prophète Mohammed r de
prier à la Kaaba:
«Mais non! S›il ne cesse pas, Nous le saisirons,
certes, par le naseyah (le toupet, le devant de la
tête), un naseyah menteur et pécheur!» (Coran,
96:15-16)
Pourquoi le Coran décrit-il le devant de la tête comme
menteur et pécheur? Pourquoi le Coran n’a-t-il pas simple-
ment dit que cet homme était un menteur et un pécheur?
Quelle relation y a-t-il entre le devant de la tête, le men-
songe et le péché?
Si nous observons l’intérieur du crâne, là où se trouve
le devant de la tête, nous trouverons la région préfrontale
du cerveau (voir illustration 12). Que nous dit la physiolo-
gie sur la fonction de cette région? Un livre intitulé Essen-
tials of Anatomy & Physiology [Éléments d’anatomie et de
physiologie] dit, à propos de cette région: «La motivation
et la faculté de prévoir la planification et la mise en action
des mouvements se trouvent dans la partie antérieure du
lobe frontal, c’est-à-dire la région préfrontale. C’est la ré-
gion du cortex associatif...»1 Dans ce livre, on dit aussi:
«À cause de son implication au niveau de la motivation,
la région préfrontale est également considérée comme le
centre fonctionnel de l’agressivité...».

Les régions fonctionnelles de l’hémisphère gauche du


cortex cérébral. La région préfrontale est située à l’avant
du cortex cérébral. (Essentials of Anatomy & Physiology
[Éléments d’anatomie et de physiologie], Seeley et al., p.
210.)
Donc, cette région du cerveau est responsable de la
planification, de la motivation et de la mise en action des
bonnes et des mauvaises actions, et elle est également
responsable du fait de dire des mensonges ou de dire
la vérité. Il est donc approprié de décrire le devant de la
tête comme «menteur» et «pécheur» lorsqu’une personne
ment ou commet un péché, comme le dit le Coran:
«... un naseyah (toupet, devant de la tête)
menteur et pécheur!»
Selon le professeur Keith L. Moore 3, ce n’est qu’au
cours des soixante dernières années que les scientifiques
ont découvert les fonctions de la région préfrontale.

LES SENS DE L’OUIE ET DE LA VUE

Le premier sens à se former chez un embryon humain


au cours de son développement est l’ouïe. Le foetus peut
entendre des sons après la 24ème semaine. Plus tard, le
sens de la vue est développé et par la 28ème semaine,
la rétine devient sensible à la lumière. Considérez les
versets suivants du Coran liés ont rapport aux sens dans
l’embryon :
Et Il vous a assigné l’ouïe,les yeux et le cœur. [Le
Coran 76:2]Et c’est Lui qui a créé pour vous l’ouïe,
les yeux et les cœurs .Mais vous êtes rarement
reconnaissants. [Le Coran 23:78]
Dans tous ces versets, le sens de l’ouie est mention-
né avant celui de la vue. Ainsi la description Coranique est
compatible avec les découvertes de l‟embryologie mo-
derne

LE MIRACLE DU COCCYX
Un scientifique allemand a prouvé un miracle de l’Is-
lam. Récit sur l’origine de l’Homme et la résurrection.

Hans Spemann Allemagne Université de Freiburg


im Breisgau Breisgau, Allemagne n. 1869 m.
1941. Prix Nobel de physiologie ou médecine
Les Hadiths de notre prophète Mohamed, paix et bé-
nédiction d’Allah sur lui, et le Coran contiennent de nom-
breux faits scientifiques du corps humain, de la nature,
etc... qui ne pouvaient normalement être prouvés et expli-
qués sans la technologie actuelle.
Le Sublime a dit:
« Nous leur montrerons nos signes dans l’univers
et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne
évident que c’est cela (le Coran) la Vérité. Ne
suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de
toute-chose? » 41:53

« Qui donc est plus injuste que celui qui invente


un mensonge contre Allah, ou qui traite de
mensonge ses versets ? Les injustes ne réussiront
pas.» 6: 21
Dans le texte suivant, vous trouverez des arguments
prouvant que Mohamed est l’envoyé d’Allah et que nous,
les être humains, ne devons pas ignorer Ses signes et de-
vons suivre Son chemin.

Le coccyx est le dernier os (l’os résiduel) de la co-


lonne vertébrale et la partie de l’être humain qui ne sera
jamais dissoute. Cette partie ne s’abîme jamais et reste en
état, même sous terre. Il est mentionné dans des nobles
Hadiths du prophète, paix et bénédiction d’Allah sur lui,
comme étant l’origine de l’Homme et la source par la-
quelle il sera recréé par Allah le jour de la Résurrection.
Les nobles Hadiths expliquent:
D’après Abu Hourayra, le prophète, paix et bénédic-
tion d’Allah sur lui, a dit: «Tout périra du Fils d’Adam, sauf
le coccyx, duquel il fut créé et duquel il sera recomposé.»
Al-Bukhârî, Abû Dâwud, al-Nasâ’î, Ibn Mâjah, Ahmad dans
le musnad et Mâlik dans al-muwatta’
D’après Abu Hourayra, le prophète, paix et bénédic-
tion d’Allah sur lui, a dit: «L’Homme possède un os qui ne
périra jamais par la terre et par lui il sera ressuscité au jour
de résurrection. » Ils ont dit: «Quel os?» Il répondit alors:
«Le coccyx». Al-Bukhârî, Abû Dâwud, al-Nasâ’î, Ibn Mâjah,
Ahmad dans le musnad et Mâlik dans al-muwatta’.
Les Hadiths précédents clarifient les vérités sui-
vantes:
— l’Homme est créé à partir du coccyx,
— le coccyx est un os qui ne disparaîtra jamais,
— par cet os, la résurrection se produira au jour du
jugement.
Voyons maintenant les faits scientifiques confirmant
cela:

1. Les étapes de la formation du fœtus


La formation de l’embryon commence avec le contact
de l’ovule et du spermatozoïde. L’ovule fertile commence
à se diviser. La cellule se divise en deux, puis en quatre,
etc jusqu’à sa formation en un disque embryonnaire formé
de deux couches.
1) La masse extérieure ou Epiblast: Elle contient le cy-
totrophoblast qui ancre l’embryon dans l’utérus afin que
l’embryon puisse prendre les substances nutritives du
sang de l’utérus.
2) La masse intérieure ou Hypoblast: De cette masse
est formé l’embryon, sous la supervision d’Allah le
Tout-Puissant. Durant le quinzième jour un cordon appa-
raît dans la partie postérieure de l’embryon, «Le cordon
primitif». Ce cordon a une extrémité appelée «le nœud pri-
mitif». Avec l’apparition de ce cordon, on remarque que
cette zone constitue la partie postérieure du disque em-
bryonnaire. Du cordon primitif et du nœud primitif se for-
ment tous les organes et les tissus embryonnaires:
— La couche ectoderme qui forme la peau et le sys-
tème nerveux.
— La couche mesoderme qui forme les muscles lisses
qui couvrent le système digestif, le cœur, le système cir-
culatoire, les os, l´appareil génital et urinaire, les tissus
sous la peau, le système lymphatique, la rate.
— La couche endoderme qui forme le tissu interne des
systèmes digestif et respiratoire, la glande draconienne et
le canal de l’ouie.
Il y a un rétrécissement du cordon primaire et du
nœud primaire vers l’arrière, qui se stabilise au niveau
de la dernière vertèbre, et qui forme le coccyx. Pour résu-
mer, le coccyx comprend le cordon primaire et le nœud pri-
maire. Ceux-ci sont à l´origine de la constitution des trois
couches desquelles l’embryon est formé: Les couches ec-
toderme, mesoderme et endoderme. Voici une preuve de
l’importance du cordon primaire dans le développement
de l’embryon : le comité britannique WARNEK (respon-
sable de la fécondation humaine et de la génétique) a in-
terdit aux chercheurs de continuer les expériences sur les
embryons artificiels ayant déjà
2. Les mutations de l´embryon : preuve que le
coccyx contient les cellules mères d’un être
humain
Après la formation et le développement de l’embryon
à partir du cordon primaire et le nœud primaire, le cordon
et le nœud conservent leurs caractéristiques. Si ceux-ci
seront mutants, une tumeur (teratoma) se développera
dans le même temps que l’embryon et pourrait former un
organe complet. Un chirurgien peut trouver, par exemple,
en inspectant l´interieur de la tumeur, un organe com-
plétement formé, comme une dent, une main, un pied,…
(il existe quantité de photographies illustrant ce phéno-
mène, que nous préferons ne pas publier ici). De ce fait on
sait que le coccyx contient les cellules mères.
3. Les expériences de Hans Spemann Certains scien-
tifiques ont découvert que la formation des cellules et l’or-
ganisation de l’embryon se fait à partir du cordon primaire
et du nœud primaire. Avant l’évolution de ces derniers, il
n’y a aucune différenciation des cellules. Hans Spemann,
scientifique allemand, est un des scientifiques ayant réus-
si à prouver cela. Ses expériences ont prouvé que le cordon
et le nœud primaire organisent la formation de l’embryon.
Il les a nommés «l’organisateur primaire» (Primary Orga-
nizer). Hans Spemann a commencé ses expériences sur
les amphibiens. Il a greffé cet organisateur primaire à un
deuxième embryon du même âge sous la couche épiblast
(dans la phase d’embryon de la troisième ou quatrième
semaine). Cela résulte de la formation d’un deuxième em-
bryon dans «l’environnement nouveau». Cette implanta-
tion influence les cellules ambiantes du «nouveau envi-
ronnement». Alors se forme un deuxième embryon dans le
corps du premier.

Schéma de l’évolution d’un deuxième embryon


par l’implantation de l’organisateur primaire.
Source: Keith L.Moor. The Developing Human

4. Les cellules du coccyx ne peuvent être trans-


formées ou mutilées
En 1931, Spemann remodelait cet organisateur pri-
maire et l’implantait de nouveau. Cela n’a pas eu d´in-
fluence sur l’expérience.
Un deuxième embryon se formait quand même. En
1933 Spemann et d’autres chercheurs répétaient la même
expérience, mais cette fois en faisant bouillir l’organisa-
teur primaire avant l’implantation. 7 Malgré cela, un deu-
xième embryon se formait.
Ils ont pu démontrer que ces cellules sont inchan-
geables et intransformables. En 1935 Spemann a obtenu
le prix Nobel pour la découverte de cet organisateur pri-
maire. En 2003, au mois de ramadan (année Hegirienne
1424), le docteur Othman Jilani a effectué, avec la contri-
bution de Cheikh Abdel Majid Ezzedani, dans la maison de
ce dernier à Sanaa (Yemen), une expérience sur le coccyx.
Ils ont brulé, au pistolet à gaz, des os du coccyx.
Cela durant dix minutes, jusqu’à ce qu’ils deviennent
rouges puis noirs. Ils les ont ensuite transmis au labora-
toire El Awlaki à Sanaa. Le docteur Saleh al Olaki, profes-
seur d´histologie et de pathologie à l’université de Sanaa,
a constaté que les cellules des tissus osseux du coccyx
sont inchangeables et encore vivantes. L’incinération n’ a
tranformé que les muscles, les tissus lipoïdes et la moelle
épinière. Les cellules du coccyx sont restées
Le prix Nobel de la physiologie ou la médecine 1935 a
été décerné au Dr Spemann pour sa découverte de l’effet
de l’organisateur primaire pour le développement de l’em-
bryon.

Le miracle
1. Les Hadiths du prophète, paix et bénédiction d’Al-
lah sur lui, à propos du coccyx, rapportent un des miracles
scientifiques. L’embryologie prouve que toutes les parties
du corps et les organes de l’homme proviennent du coc-
cyx, qui est connu comme «organisateur primaire».
Cet organisateur primaire stimule les cellules à se
multiplier et les tissus à se différencier pour former la
forme primaire du système nerveux.
De cette partiel´homme est créé et de cette partie, il
sera résucité dans l’au-delà.
2. «L’organisateur primaire» remodelé et de nouveau
implanté n’a pas eu d’influence sur le développement de
l´embryon. Un deuxième embryon se formait malgré tout.
Même après incinération, les cellules des tissus de l’os du
coccyx ne sont pas influencées et sont encore vivantes.
Cela est une nouvelle preuve de la véracité des Hadiths
disant que le coccyx est un os qui ne périra jamais.
MIRACLE DU NOMBRE D’OR
Un monde formidable et des faits et secrets agréables
à découvrir qui ne laissent aucun doute: Allah est notre
Créateur et le Prophète Muhammad r est le dernier Mes-
sager de Dieu.
Le nombre d’or (1.618...) est la valeur d’un rapport de
deux grandeurs homogènes, il est déterminé par une pro-
portion.
Il existe un nombre d’or, nommé Phi, qui se trouve
présent dans toute chose... Véritable clef, cachée au cœur
même de l’Univers, il demeure un merveilleux témoignage
d’harmonie, de beauté, et de Vie...
Les proportions des plantes, des êtres humains,
des animaux obéissent tous à la loi de Phi. Et à leur tour,
les hommes s’en inspirèrent pour réaliser leurs propres
œuvres que ce soit en peinture, sculpture, ou architecture
comme les pyramides en Egypte ...
PHI = (1+√5) ÷ 2 ≈ 1,6180339887...
Le résultat positif de l’équation «X²=X+1» donne PHI

Le corps humain
Leonard De Vinci fut le premier à déclarer que le corps
humain était composé de multiples parties, ayant pour
dénominateur commun Phi.
Mesurez par exemple la distance entre le sol et le
sommet de votre tête, diviser la par la distance séparant
le sol de votre nombril et vous obtiendrez... Phi. Calculez
encore le rapport entre deux phalanges consécutives et
vous trouverez Phi. Par ailleurs, nombres de ses tableaux
comme La Joconde, Léda et son cygne, ou encore Saint Jé-
rôme respectent eux aussi la divine proportion.
On l’observe dans la spirale de l’oreille :

Dans la portion des mains :

Même pour les dents et les lèvres:


Et pour les doigts

Ainsi que pour les os:


Et pour les animaux:

Et pour les plantes:


même l’ADN

Plusieurs autres présentations dans la nature, mais


ce qui est plus étonnant que ce chiffre d’or est bien appli-
qué pour l’emplacement de la Mecque:
la proportion de la distance entre la Mecque et le pôle
nord et la distance entre la Mecque et le pôle sud est exac-
tement 1.618
la Mecque--->pôle nord : 07631.68 km
la Mecque--->pôle sud : 12348.32 km
12348.32/7631.68 = 1.618
D’ailleurs la proportion de la distance entre le pôle sud et
la Mecque, a la distance entre les deux pôles est encore 1.618
le miracle n’est pas tout a fait fini,selon la carte de la lati-
tude et de la longitude qui est la référence déterminante
commune a l’humanité; le point d’or du monde est dans la
ville du Mecque.
la proportion de la distance orientale a la distance
occidentale de la ligne parallèle de la Mecque est encore
1.618
D’ailleurs, suivant les indications de la figure, la pro-
portion de la distance de la Mecque a la ligne parallèle de
coté w est et le périmètre du monde a cette latitude est
également étonnamment égale au rapport 1.618
Le nombre d’or du monde est toujours dans la fron-
tière de la ville de la Mecque ,dans la région sainte qui
inclue la kaaba selon tout les systèmes de la cartographie
avec des variations kilométriques mineurs.
Il y a un seul verset dans le Coran qui mentionne la
Mecque. Ce verset nous présente des évidents et une
preuve pour la foi de l’humanité. La relation entre la ville
de Mecque et le nombre d’or est clairement citer dans le
verset 96 de la sourat»al imran»:
«la première maison qui ait été édifiée pour les
gens, c’est bien celle de bakka(la Mecque) bénie
et une bonne direction pour l’univers»
Le nombre de lettres de ce verset est 47, calculant le rap-
port d’or du lettres totales 47/1.618=29, qui est équivalent a
29 lettres du commencement du verset jusqu’au mot makka.
si un seulement ou un simple lettre était absente, ce rap-
port ne serait jamais constitués.

LES EMPREINTES DIGITALES


Le Coran attire l’attention sur les empreintes digitales
tout en précisant qu’il est facile pour Dieu de ressusciter
l’homme après la mort :
Mais si ! Nous sommes capables de remettre à
leur place les extrémités de ses doigts. (Coran,
75 : 4)
Cette mise en relief des extrémités des doigts a une
signification très spéciale car l’aspect et les détails figu-
rant sur cette partie des membres sont absolument spéci-
fiques à chaque individu. Toute personne vivante ou ayant
vécu sur terre a des empreintes digitales uniques.
De plus, même les vrais jumeaux, qui ont la même sé-
quence d’ADN, ont chacun leurs propres empreintes digi-
tales.109 Les empreintes digitales atteignent leur forme
finale avant la naissance et gardent cette même caracté-
ristique toute la vie durant à moins qu’une blessure n’en
altère l’aspect. C’est pourquoi l’empreinte digitale, est re-
connue comme étant une sorte de «carte d’identité» très
importante, spécifique à chaque individu. La science des
empreintes digitales est considérée comme une méthode
incomparable pour déterminer l’identité d’une personne.
Ce qu’il faut retenir, c’est que cette caractéristique
des empreintes digitales n’a été découverte que vers la
fin du 19ème siècle. Avant cela, les gens considéraient les
empreintes digitales comme des formes onduleuses sans
importance ou signification spécifique.
Cependant à travers le Coran, Dieu met l’accent sur
les extrémités des doigts, alors que leur importance n’a
été soulignée que de nos jours.
La validité de cette technique pour établir l’identi-
té au moyen des empreintes digitales (AFIS-Système au-
tomatique d’identification des empreintes digitales) a
été confirmée par différentes organisations policières au
cours de ces 25 dernières années et constitue une mé-
thode approuvée par la loi. De nos jours, aucune vérifi-
cation d’identité ne donne de résultats aussi efficaces
que celle des empreintes digitales. L’utilisation des em-
preintes digitales pour établir une identité a été utilisée
dans des procédures légales durant les 100 dernières an-
nées et a été acceptée partout dans le monde.
Dans son livre Fingerprint Techniques, Andre A.
Moenssens analyse le mécanisme par lequel chaque in-
dividu dispose d’un ensemble d’empreintes digitales
unique. «… On n’a jamais trouvé deux empreintes digi-
tales provenant de différents doigts complètement super-
posables.» (Andre A. Moenssens, «Is Fingerprint Identifi-
cation a ‘Science’?»,)
Chaque individu, y compris les vrais jumeaux, a une
empreinte digitale unique. En d’autres mots, les identités
des gens sont codées dans les extrémités de leurs doigts.
Ce système de codage peut aussi être comparé au dispo-
sitif code barre utilisé de nos jours.
CAPTEURS DE DOULEUR DANS LA
PEAU

On pensait que les sens du toucher et de la douleur


dépendaient seulement du cerveau. Les découvertes ré-
centes démontrent qu’il existe des récepteurs de douleur
dans la peau sans lesquels une personne ne pourrait pas
sentir la douleur.
Quand un docteur examine un patient souffrant des
brûlures, il vérifie le degré de brûlures par une piqûre
d’épingle. Si le patient sent la douleur, le docteur est heu-
reux, car cela indique que les brûlures sont superficielles
et les récepteurs de la douleur sont intacts. D’autre part,
si le patient ne sent aucune douleur, cela indique que c’est
une brûlure profonde et que les récepteurs de la douleur
ont été détruits.
Le Coran donne une indication de l’existence des ré-
cepteurs de la douleur dans le verset suivant :
Certes, ceux qui ne croient pas à Nos Versets,
(le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le
Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été
consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux
en échange afin qu’ils goûtent au châtiment.
Allah est certes, Puissant et Sage! [Le Coran 4:56]
Le Professeur Tagatat Tejasen, Président du départe-
ment de l’anatomie à l’université de Chiang Mai en Thaï-
lande, a consacré beaucoup de temps sur la recherche des
récepteurs de douleur. Au commencement, il ne pouvait
pas croire que Le Coran a mentionné ce fait scientifique
il y a 1400 ans. Plus tard, il a vérifié la traduction de ce
verset du Coran particulièrement. Le Professeur Tejasen
était si impressionné par l’exactitude scientifique de ce
verset du Coran, que durant la 8ème conférence médicale
saoudienne tenue à Riyadh se rapportant sur les signes
scientifiques du Coran et de la Sunnah, il a publiquement
proclamé: «il n’y a de Dieu qu’Allah et Mohamed est son
messager»

Conclusion
Attribuer la présence des faits scientifiques dans Le
Coran à la coïncidence, serait contre le sens commun. Le
Coran invite tous les humains à réfléchir sur la création de
cet univers dans le verset :
En vérité, dans la création des cieux, et de la
terre, et dans l’alternance de la nuit et du jour, il y
a certes des signes pour les doués d’intelligence
[Le Coran 3:190]
Les évidences scientifiques du Coran prouvent clai-
rement son origine divine. Aucune personne ne pourrait
avoir produit un livre, il y a mille quatre cent ans, qui
contiendrait des faits scientifiques profonds, qui furent
découverts des siècles plus tard par des êtres humains.
Le Coran, cependant, n’est pas un livre Scientifique
mais plutôt un livre de «signes». Ces signes invitent
l’homme à réaliser le but de son existence sur la terre, et
à vivre en harmonie avec la nature. Le Coran est vraiment
un message d’Allah, du Créateur de l’univers. Il contient le
même message de l’unicité de Dieu, qui a été prêché par
tous les prophètes, depuis Adam, Moïse, Jésus jusqu‟à
Mohammad (que la paix soit sur eux).
Plusieurs tomes détaillés ont été écrits sur le sujet du
Coran et la science moderne, et d‟autres recherches sont
en cours dans ce domaine. Inshallah, cette recherche ai-
dera l’humanité à venir plus près du Mot du ToutPuissant.
Ce livret contient seulement quelques uns des faits scien-
tifiques contenus dans Le Coran. Je ne prétends pas non
plus avoir rendu une totale justice à une entreprise aussi
vaste.
Le Professeur Tejasen a accepté l’Islam en vertu d‟un
seul ‘signe’ scientifique mentionné dans Le Coran. Certains
peuvent avoir besoin de dix signes tandis que certains
peuvent avoir besoin de cent signes pour être convaincu
de l’origine divine du Coran. Certains ne seraient pas dis-
posés à accepter la Vérité même après leur avoir montré
mille signes. Le Coran condamne une mentalité si fermée
dans le verset :
Sourds, muets, aveugles, ils ne peuvent donc
pas revenir (de leur égarement). [Le Coran 2:18]
Le Coran contient un code de vie complet pour l‟indi-
vidu et pour la société. Alhhamdu Lillah ( Louange à Allah ),
la façon de vivre Coranique est très supérieure aux « Isms
» que l‟homme moderne a inventé par son ignorance. Qui
pourrait guider mieux que le Créateur Lui Même.
Des atomes qui prennent vie

Les atomes sont les éléments constitutifs, à la fois des


organismes animés et des objets inanimés. Étant donné
que les atomes sont des particules inanimées, que ceux-ci
soient les éléments constitutifs des êtres vivants suscite
un étonnement extrême. Il s’agit d’un problème que les
évolutionnistes ne pourront jamais expliquer.
Tout comme il est impossible d’imaginer que des
morceaux de pierre se réunissent pour former des orga-
nismes vivants, il est impossible d’imaginer des atomes
inanimés qui se réunissent, par eux-mêmes, pour former
des organismes vivants. Pensez à un morceau de roche et
à un papillon : l’un est inanimé, tandis que l’autre est vi-
vant. Pourtant, lorsque nous examinons leur nature, nous
voyons que les deux sont composés des mêmes particules
subatomiques.
L’exemple suivant peut élucider, d’une meilleure ma-
nière, l’impossibilité que de la matière inanimée se trans-
forme, par elle-même, en de la matière animée : est-ce
que l’aluminium peut voler ? Non. Si l’on mélange de l’alu-
minium avec du plastique et de l’essence, peut-il voler ?
Bien sûr qu’il ne le peut toujours pas. Ces matériaux ne
pourront voler que si nous les assemblons de manière à
former un avion. Donc, qu’est-ce qui fait voler un avion ?
Est-ce que ce sont les ailes, le moteur ou le pilote ? Rien
de cela ne peut voler par lui-même. En fait, un avion est fa-
briqué par l’assemblage de différentes pièces, organisées
selon un agencement spécial, dont chacune ne possède
pas la capacité de voler. La capacité de voler n’est ni dé-
rivée de l’aluminium, ni du plastique, ni de l’essence. Les
caractéristiques spécifiques de ces substances sont im-
portantes, mais la capacité de voler ne peut être obtenue
qu’en assemblant ces substances selon un agencement
très particulier.
Les organismes vivants ne sont pas différents. Une
cellule vivante est formée par l’organisation d’atomes ina-
nimés, selon une configuration très particulière. Les ca-
pacités des cellules vivantes, telles que la croissance, la
reproduction et d’autres, sont les résultats d’une concep-
tion parfaite, plutôt que les propriétés des molécules.
L’organisation que nous trouvons, à ce stade, est unique-
ment la Création d’Allah qui crée le vivant à partir de ce qui
est inerte.
Allah dit (selon la traduction du sens du verset) :
« C’est Allah qui fait se fendre la graine et le
noyau. Du mort, il fait sortir le vivant, et du vivant,
il fait sortir le mort. Tel est Allah. Comment donc
vous laissez-vous détourner ? » (Coran 6/95)
Lorsque la théorie de l’évolution a été proposée, au
milieu du 19e siècle de notre ère, la recherche scienti-
fique, menée avec des microscopes primitifs, avait créé
l’impression que la cellule était juste un simple morceau
de matière. Cependant, au cours du 20e siècle, l’obser-
vation et la recherche, faites au moyen d’instruments de
pointe et des microscopes électroniques, ont révélé que
la cellule possède une structure extrêmement complexe
n’ayant pu avoir été formée qu’à la suite d’un plan par-
fait. Plus important encore, la recherche a démontré qu’il
est absolument impossible que la vie surgisse, sponta-
nément, de la matière inanimée. La source de la vie est
la vie uniquement. Il s’agit aussi d’un fait prouvé, expéri-
mentalement. Voici un problème que les évolutionnistes
ne pourront jamais résoudre.
C’est pour cette raison que les scientifiques, évolu-
tionnistes de renom, se trouvent dans une impasse ma-
jeure, mais au lieu de présenter des preuves scientifiques
solides, ils ont recours à des ‘fables’ hypothétiques qui
ne sont rien que de la poudre aux yeux. Ils proposent des
affirmations, tout à fait illogiques et non scientifiques,
supposant que la matière possède une conscience, une
capacité et une volonté qui lui est propre. Cependant, ils
ne croient pas à ces fables absurdes, et ils sont finalement
contraints d’avouer que les questions fondamentales, à
propos desquelles des réponses doivent être fournies, ne
peuvent être élucidées par la science.
« Actuellement, le mystère, non résolu, de l’évolution
est : comment la matière a-t-elle vu le jour et a-t-elle évo-
lué ? Pourquoi est-ce qu’elle a pris sa forme actuelle, dans
l’Univers et sur la Terre ? Et pourquoi est-elle capable de
se former, elle-même, en des ensembles de molécules de
vie complexes ? »[CD Darlington, Evolution for Naturalists,
(NY, John Wiley, 1980) p. 15]
Comme le scientifique évolutionniste, cité ci-dessus,
l’avoue, l’objectif fondamental de la théorie de l’évolution
est de nier qu’Allah (Dieu) a créé les êtres vivants. Ceci est le
scénario, mis de l’avant par les évolutionnistes, décrivant
la transformation des atomes inanimés et inconscients en
organismes animés, et plus particulièrement, en des êtres
humains ayant de hauts niveaux de conscience et d’intel-
ligence :
« Après le Big Bang (le Grand Fracas), les atomes,
contenant des forces équilibrées, avec précision, se sont
fait venir à l’existence, d’une certaine façon, par elles-
mêmes […]. Ces atomes se sont d’abord transformés en
cellules possédant des structures très complexes, puis ils
ont produit des copies des cellules qu’ils formaient, en se
divisant en deux. Par la suite, ils ont commencé à parler et
à entendre. Subséquemment, ces atomes se sont trans-
formés en professeurs d’université se voyant, eux-mêmes,
grâce au microscope électronique et prétendant être ve-
nus à la vie, par hasard […]. »
Il est possible de prolonger cette histoire, mais ar-
rêtons-nous ici, et voyons si des atomes inconscients
peuvent se former spontanément en molécule d’ADN, la
pierre angulaire de la vie et des protéines.
L’ADN (acide désoxyribonucléique), situé dans le
noyau d’une cellule, contient les codes porteurs de l’in-
formation en contrôle de la formation de tous les organes
et de l’ensemble des caractéristiques du corps. Ce code
est tellement complexe que les scientifiques n’ont été ca-
pables de le traduire (dans une mesure très limitée) qu’à
la fin des années 40. Les protéines sont les éléments
constitutifs des êtres vivants et jouent un rôle clé dans de
nombreuses fonctions vitales de l’organisme.
L’ADN est une série de nucléotides disposés selon une
séquence particulière. Une protéine est une série d’acides
aminés disposés, aussi, selon une séquence particulière.
Tout d’abord, il est mathématiquement impossible, à la
fois pour des molécules d’ADN ou des molécules de proté-
ines, qui se présentent en des milliers de types différents,
de se disposer selon les séquences appropriées, néces-
saires à la vie, et ce, par hasard. Des calculs probabilistes
montrent que la probabilité que même les plus simples
molécules de protéines se disposent selon la bonne sé-
quence, par hasard, est égale à zéro. En plus de cette im-
possibilité mathématique, il y a aussi un important obsta-
cle chimique à la formation, par pure coïncidence, de ces
molécules. Si la relation entre l’ADN et la protéine était le
résultat du temps, du hasard et d’un processus naturel, il
y aurait, alors, une sorte d’affinité chimique de l’ADN et
de la protéine à réagir, étant donné que les acides et les
bases ont une forte tendance à réagir. Dans ce cas, si le
hasard avait vraiment joué un rôle, une foule d’autres ré-
actions chimiques naturelles se seraient produites entre
des fragments aléatoires d’ADN et de protéine, de sorte
que les êtres vivants que nous voyons aujourd’hui ne se
seraient pas formés.
Tout comme l’Univers entier a été créé à partir de rien,
les êtres vivants ont, également, été créés à partir de rien.
Tout comme rien ne peut venir à l’existence, à partir de
rien, par hasard, la matière inanimée ne peut pas s’organi-
ser, par hasard, pour former des êtres vivants. Seul Allah,
le Possesseur d’une Puissance Infinie, d’une Sagesse In-
finie et d’un Savoir Infini, dispose du pouvoir de faire tout
cela.
Allah dit (selon la traduction du sens du verset) :
« Votre Seigneur, c’est Allah, Celui qui a créé les
cieux et la Terre en ix jours, puis qui S’est établi
(Istawâ) sur le Trône. Il couvre le jour de la nuit qui
poursuit celui-ci sans arrêt. (Il a créé) le Soleil, la
Lune et les étoiles, soumis à Son commandement.
La Création et le commandement n’appartiennent
qu’à Lui. Toute gloire à Allah, le Seigneur de
l’Univers ! » (Coran 07/54)
BARRIÈRE ENTRE LES EAUX DOUCES
ET LES EAUX SALÉES

Considérez les versets Coranique suivants :


Il a donné libre cours aux deux mers pour se
rencontrer; il y a entre elles une barrière qu’elles
ne dépassent pas. [Le Coran 55:19 -20]
Dans le texte arabe le mot ‘barzakh ‘signifie une bar-
rière ou une cloison. Cette barrière n’est pas une cloison
physique. Le mot arabe ‘Maraja‟ ‘signifie littéralement que
les deux se réunissent et se mélangent l‟un dans l’autre.
Les premiers commentateurs du Coran ne pouvaient pas
expliquer les deux significations opposées pour les deux
genres eaux, c‟est-à-dire qu‟ils se réunissent et se mé-
langent, et en même temps, il y a une barrière entre eux. La
science moderne a découvert que dans les places où deux
mers se rencontrent, une barrière existe entre elles. Cette
barrière divise les deux mers pour que chacune d‟entre
eux ait sa propre température, salinité et densité
Les océanologues sont maintenant en meilleure po-
sition pour expliquer ce verset. Il y a un barrage d’eau in-
visible incliné entre les deux mers a travers duquel l’eau
d’une mer passe à l’autre homogénéisée avec l’autre.
D’une manière, cette barrière sert comme secteur d’homo-
généisation transitoire pour les deux eaux.
Ce phénomène scientifique mentionné dans Le Coran
a été également confirmé par Professeur William Hay, un
savant marin bien connu et professeur de sciences géolo-
giques a l‟université de Colorado, les Etats Unis..
Le Coran mentionne ce phénomène dans le verset
suivant :
et Lui a établi une séparation entre les deux mers
[Le Coran 27:61]
Ce phénomène se produit dans plusieurs endroits
comprenant les diviseurs entre la mer méditerrané et
l’Océan Atlantique à Gibraltar.
Mais quand Le Coran parle du sujet du diviseur entre
l’eau salée et l’eau douce, il mentionne l’existence «d’un
barrage infranchissable « dans la barrière.
Et c’est Lui qui donne libre cours aux deux mers:
l’une douce, rafraîchissante, l’autre salée, amère.
Et Il assigne entre les deux une zone intermédiaire
(barrière) et un barrage infranchissable. [Le
Coran 25:53]
La science moderne a découvert que dans les es-
tuaires, où se rencontrent les eaux fraîches (douces) et sa-
lées, la situation est peu différente de celle trouvée dans
les endroits où deux mers se rencontrent. Il a été décou-
vert que ce qui distingue l’eau douce de l’eau salée dans
les estuaires est une « zone de pycnocline avec une dis-
continuité marquée au niveau de la densité, qui sépare les
deux couches ».’Ce barrage (ou zone de séparation) a une
salinité différente de celle de l’eau douce et de celle de
l’eau salée
Ce phénomène se produit dans plusieurs endroits, y
compris l’Egypte, où le fleuve, le Nil, coule dans la mer mé-
diterranée.
OBSCURITÉ DANS LES
PROFONDEURS DE L’OCÉAN

Le Professeur Durga Rao est un expert dans le do-


maine de la géologie marine et était un professeur à l’uni-
versité du roi Abdul Aziz de Jeddah. Il a été invité à présen-
ter ses commentaires sur le verset suivant :
(Les actions des mécréants) sont encore
semblables à des ténèbres sur une mer Profonde
(océan profond): des vagues la recouvrent,
(vagues) au dessus desquelles s’élèvent
(d’autres) vagues, sur lesquelles il y a (d’épais)
nuages Ténèbres (entassées) les unes au-dessus
des autres Quand quelqu’un étend la main, il ne
la distingue presque pas Celui qu’Allah prive de
lumière n’a aucune lumière. [Le Coran 24:40]
Le Professeur Rao a affirmé que les savants ont seu-
lement, très récemment pu confirmer, à l’aide des équi-
pements modernes, qu’il y a de l’obscurité dans les pro-
fondeurs de l’océan. Les humains ne peuvent pas plonger
sans aide sous l’eau plus de 20 à 30 mètres, et ne peuvent
pas survivre dans les régions océaniques profondes à une
profondeur de plus de 200 mètres. Ce verset ne se rap-
porte pas à toutes les mers car pas toutes les mers peuvent
être décrites comme ayant l’accumulation ou entassement
d’obscurité les unes audessus des autres. Ce verset se ré-
fère particulièrement à une mer profonde ou à un océan
profond, car Le Coran indique, « ténèbres dans un vaste
océan profond.» Cette obscurité entassée dans un océan
profond est le résultat de deux causes :
Un rayon léger est composé de sept couleurs. Ces sept
couleurs sont : violet, indigo, bleu, vert, jaune, orange et
rouge (VIBGYOR). Un rayon lumineux subit la réfraction en
touchant l’eau. Les 10 à 15 mètres supérieurs de l’eau ab-
sorbent la couleur rouge. Par conséquent, si un plongeur
est 25 mètres sous l’eau et se blesse, il ne pourra pas voir
la couleur rouge de son sang, car la couleur rouge n’at-
teint pas cette profondeur. De même, les rayons oranges
sont absorbés de 30 à 50 mètres, les rayons jaunes de
50 à 100 mètres, les rayons verts de 100 à 200 mètres, et
enfin les rayons bleus, violets et indigos au delà de 200
mètres. En raison de la disparition successive des cou-
leurs, une couche après l‟autre, l’océan devient progres-
sivement plus obscur, c‟est-à-dire l’obscurité a lieu dans
les couches de lumière. Au- delà d’une profondeur de 1000
mètres il y a une obscurité complète.
Les rayons du soleil sont absorbés par les nuages qui
à leurs tour dispersent les rayons lumineux causant par
cela une couche d’obscurité sous les nuages. Celle-ci est la
première couche d’obscurité. Quand les rayons lumineux
atteignent la surface de l’océan, ils sont reflétés par la
surface des vagues donnant une apparence brillante. Par
conséquent c’est les vagues qui réfléchissent la lumière
et causent l’obscurité. La lumière irréfléchie pénètre dans
les profondeurs de l’océan. Par conséquent l’océan a deux
parties.
La surface caractérisée par la lumière et la chaleur et
la profondeur caractérisée par l‟obscurité. La surface est
encore séparée de la partie profonde de l’océan par les
vagues.
Les vagues internes couvrent les eaux profondes des
mers et des océans car ces eaux profondes ont une densi-
té plus élevée que celle des eaux au-dessus d’elles.
L’obscurité commence au-dessous des vagues in-
ternes. Même les poissons dans les profondeurs de
l’océan ne peuvent pas voir; leurs seule source de lumière
provient de leurs propres corps.
Le Coran mentionne correctement:
(Les actions des mécréants) sont encore
semblables à des ténèbres sur une mer Profonde
(océan profond): des vagues la recouvrent,
(vagues) au dessus desquelles s’élèvent
(d’autres) vagues, …
En d’autres termes, au-dessus de ces vagues il y a
d‟autres types de vagues, c‟est-à-dire ceux trouvées sur
la surface de l’océan. Le verset Coranique continue :….,
sur lesquelles il y a (d’épais) nuages Ténèbres
(entassées) les unes au-dessus des autres
Ces nuages, comme expliqué, sont des barrières les
unes au-dessus des autres, ce qui cause davantage d’obs-
curité par l’absorption des couleurs aux différents niveaux.
Le Professeur Durga Rao a conclu en disant : « il y a
1400 ans, un être humain normal ne pouvait pas expliquer
ces phénomènes avec tant de précision, de détails. C‟est
pour cela, on peut légitimement supposer que ces phéno-
mènes furent dictés par un ordre supérieur, surnaturel.»
LE MYSTÈRE DU FER

Le fer est un des éléments évoqués dans le Coran.


Dans la sourate al-Hadîd, c’est-à-dire «le fer», nous appre-
nons ce qui suit:
Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel se
trouvent une force redoutable et des avantages
pour les hommes… (Sourate al-Hadîd, 25)
On pourrait comprendre l’emploi du mot «fait des-
cendre» à propos du fer, dans un sens métaphorique: le
fer a été mis au service des hommes. Mais si nous pre-
nons en compte le sens littéral du mot, celui de «faire des-
cendre physiquement du ciel», nous nous apercevons que
ce verset implique un miracle scientifique très significatif.
Les découvertes astronomiques modernes ont en ef-
fet révélé que le fer qui se trouve sur Terre provient des
étoiles géantes des confins de l’Espace
Les métaux lourds de l’Univers sont produits par le
noyau des grandes étoiles. Notre système solaire, lui, n’a
pas la structure nécessaire pour produire le fer à lui tout
seul. Ce métal ne peut être produit que dans des étoiles
beaucoup plus grandes que le Soleil, où la température
atteint plusieurs centaines de millions de degrés. Quand
la quantité de fer dans une étoile dépasse un certain ni-
veau, l’étoile ne peut plus le supporter et finit par explo-
ser en ce qu’on appelle une «nova» ou une «supernova».
À la suite de cette explosion, des météores contenant du
fer sont éparpillés dans l’Univers et se déplacent dans le
vide, jusqu’à ce qu’ils soient attirés par la force gravita-
tionnelle d’un corps céleste.
Tout cela montre que le métal ferreux ne s’est pas
formé sur la Terre mais a été transporté dans l’Espace par
des météores depuis des étoiles en explosion, et est ain-
si «descendu sur la Terre» exactement comme l’affirme
le verset. Il est clair que cela n’aurait pas pu être connu
scientifiquement au 7ème siècle, à l’époque de la révéla-
tion du Coran.
LA VIE PARTOUT

Les analyses que les chercheurs ont effectuées sur


les météorites qui tombent sur la terre démontrent que
celles ci sont chargées de matières organiques qui sont la
base de la vie.
Chaque jour il tombe plus de 300 kg de ces matières
sur la terre. C’est pour cela qu’ils confirment que la vie est
dispersée dans chacune des parties de l’univers. Cela a
été cité par le coran depuis 14 siècles :
« Parmi Ses Preuves est la création des cieux et de
la terre et des êtres vivants qu›Il y a disséminés.
Il a en outre le pouvoir de les réunir quand Il
voudra. » 42: 29.
Ce verset est l’un des plus évidents parmi les versets
du miracle scientifique du coran car il y est fait allusion au
fait que Dieu mis la vie dans les cieux. Réfléchissez avec
moi à ces termes « des êtres vivants qu’Il y a disséminés »
c’est-à-dire dans les cieux et la terre. Les scientifiques ont
découverts au cours du 21ième siècle des preuves solides
qui indiquent l’existence d’une vie primaire régulière dans
ce vaste univers. C’est ce que le verset a indiqué depuis 14
siècles, alors gloire à Allah !
LA FORMATION DE LA PLUIE

Pendant longtemps, la formation de la pluie consti-


tuait un grand mystère pour les hommes. Ce n’est seule-
ment qu’après l’invention de radars météorologiques qu’il
a été possible de comprendre son mécanisme.
D’après cette découverte, on compte trois étapes :
tout d’abord, «la matière première» de la pluie monte vers
le ciel ; puis, des nuages se forment; enfin les gouttes de
pluie apparaissent. Ces étapes sont clairement définies
dans le Coran depuis des siècles :
Dieu, c’est Lui qui envoie les vents qui soulèvent
des nuages, puis Il les étend dans le ciel comme
Il veut ; et Il les met en morceaux. Tu vois alors la
pluie sortir de leurs profondeurs. Puis, lorsqu’Il
atteint avec elle qui Il veut parmi Ses serviteurs,
les voilà qui se réjouissent. (Coran, 30 : 48)
Examinons maintenant les trois étapes mentionnées
dans ce verset :
Première étape : «Dieu, c’est Lui qui envoie les
vents...»
Les innombrables bulles d’air qui se forment à la sur-
face des océans sont soulevées vers le ciel. Ces particules,
riches en sel, sont alors emportées par les vents et se re-
joignent dans l’atmosphère où elles flottent.
On les appelle aérosols. Elles forment alors des
nuages sous forme de gouttelettes infimes constitués de
toute la vapeur d’eau émanant des mers, par un méca-
nisme appelé «piège à eau».
Deuxième étape : «… qui soulèvent des nuages ; puis
Il les étend dans le ciel comme Il veut ; et Il les met en mor-
ceaux.»
Les nuages sont donc formés à partir de la vapeur
d’eau qui s’est condensée autour des cristaux de sel ou
autour des particules de poussière de l’air.
Comme les gouttes d’eau piégées à l’intérieur des
particules sont très petites (leur diamètre est compris
entre 0,01 et 0,02 mm), les nuages restent suspendus
dans l’air et s’y étalent. C’est ainsi que le ciel se couvre de
nuages.
Troisième étape : «Tu vois alors la pluie sortir de leurs
profondeurs.»
Dans cette étape, les particules d’eau qui entourent
les cristaux de sel et les particules de poussière prennent
petit à petit du volume.
L’illustration ci-dessus montre des gouttelettes d’eau
libérées dans l’air. C’est la première phase dans la forma-
tion de la pluie. Après cela, les gouttes d’eau situées au
sein des nuages nouvellement formés, resteront suspen-
dues dans l’air puis se condenseront pour former la pluie.
Toutes ces étapes sont rapportées par le Coran.
Comme nous l’avons vu, chaque étape de la forma-
tion de la pluie est annoncée dans les versets du Coran.
En outre, ces étapes sont expliquées dans l’ordre où elles
ont réellement lieu.
Comme pour beaucoup d’autres phénomènes natu-
rels, c’est encore le Coran qui en fournit la description la
plus exacte et le fit savoir des siècles avant sa découverte.
Dans un autre verset, on trouve d’autres indications
sur la formation de la pluie :
N’as-tu pas vu que Dieu pousse les nuages ?
Ensuite Il les réunit et Il en fait un amas, et tu vois
la pluie sortir de son sein. Et Il fait descendre
du ciel, de la grêle (provenant) des nuages
(comparables) à des montagnes. Il en frappe qui
Il veut et l’écarte de qui Il veut. Peu s’en faut que
l’éclat de son éclair ne ravisse la vue. (Coran, 24
: 43)
Les scientifiques qui étudient les catégories de
nuages ont découvert des résultats étonnants à propos de
la formation des nuages de pluie. Ces derniers sont for-
més selon des processus et des étapes bien définis. Les
étapes de la formation des cumulo-­nimbus, type de nuage
porteur de pluie, sont les suivantes :
Première étape : ils sont poussés. Les nuages sont
entraînés, c’est-à-dire poussés par le vent.
Deuxième étape : ils se rejoignent. Ensuite, les petits
nuages (les cumulus) entraînés par le vent se réunissent,
pour former une plus grande masse nuageuse.
Troisième étape : ils forment un amas. Quand les
petits nuages s’assemblent, les courants dans le grand
nuage augmentent. Les courants situés près du centre
sont plus forts que ceux près des bords. Cescourants ac-
croissent le corps du nuage dans le sens vertical ; ainsi le
nuage forme un amas. Cette croissance verticale pousse
le nuage à s’étendre vers des régions plus froides de l’at-
mosphère, où des gouttes d’eau et de grêle se forment et
deviennent de plus en plus importantes.
Quand ces gouttes d’eau et de grêle deviennent trop
lourdes pour être soutenues par les courants, elles com-
mencent à s’échapper des nuages sous forme de pluie,
grêle etc. Nous devons nous rappeler que les météorolo-
gues n’ont que tout récemment eu connaissance détaillée
sur la formation, la structure et la fonction des nuages,
en utilisant des équipements développés tels des avions,
des satellites, des ordinateurs, etc. Il est évident que Dieu
a donné une information qui ne pouvait être connue il y a
1.400 ans.
(A) De petites parties isolées de nuages (nuages cu-
mulonimbus)
(B) Lorsque les petits nuages s’assemblent, l’inten-
sité des courants ascendants situés à l’intérieur du gros
nuage augmente. Il en résulte un empilement de nuages.
Les courants ascendants façonnent le nuage dans le sens
vertical et en font un amas de nuages. Ce développement
vertical provoque un étirement du corps nuageux vers
des régions plus froides de l’atmosphère, où les gouttes
d’eau et la grêle se forment et accroissent leur dimension.
Lorsque ces gouttes d’eau et de grêle deviennent trop
lourdes pour le courant ascendant, incapable de soute-
nir leur masse, elles commencent à s’échapper du nuage
sous forme de pluie, de grêle, etc. Ce fait scientifique fut
annoncé par Dieu dans la sourate an-Nur, verset 43, il y a
14 siècles de cela, en ces termes :
«… Ensuite Il les réunit et Il en fait un amas, et tu
vois la pluie sortir de son sein…
La formation de la grêle, du
tonnerre et des éclairs

Et Il fait descendre du ciel, de la grêle [provenant]


des nuages [comparables] à des montagnes. Il
en frappe qui Il veut et l’écarte de qui Il veut. Peu
s’en faut que l’éclat de son éclair ne ravisse la
vue. (Coran, 24 : 43)
Le verset ci-dessus se réfère à la grêle et aux éclairs.
Lorsqu’on examine la formation de la grêle et des éclairs,
on peut voir qu’une importante vérité météorologique
est indiquée dans ce verset. Au sujet de la formation des
éclairs et de la grêle, le livre Meteorology Today (La mé-
téorologie aujourd’hui) dit que le nuage devient électrifié
tandis que la foudre s’abat à travers une zone de nuage
formée de gouttelettes très froides et de cristaux de glace.
Les gouttelettes gèlent et libèrent une chaleur latente alors
qu’elles entrent en collision avec un grêlon. Ceci maintient
la surface du grêlon plus chaude que celle des cristaux de
glace qui l’entourent.
Un phénomène important a lieu lorsque le grêlon
entre en contact avec un cristal de glace : les électrons se
déplacent de l’objet froid vers celui qui est chaud. Ainsi, le
grêlon est chargé négativement. Cet effet se produit aus-
si lorsque des gouttelettes très froides entrent en contact
avec un grêlon et de petits morceaux de glace rompus char-
gés positivement. Ces particules, qui sont plus légères et
qui sont chargées positivement, sont transportées vers
la partie supérieure du nuage par des courants d’air. La
grêle a une charge négative maintenant, et tombe vers le
fond du nuage, ainsi la partie basse du nuage est chargée
négativement. Ces charges négatives sont ensuite déchar-
gées sous forme d’éclairs. On peut donc en conclure que la
grêle est le facteur principal dans la formation d’éclairs.61
Dans le verset suivant, cependant, notre attention est at-
tirée vers le lien qui existe entre les nuages de pluie et les
éclairs, et à l’ordre dans leur formation, des informations
parallèles à celles découvertes par la science.
Ou comme une averse tombant du ciel,
accompagnée de ténèbres, de tonnerre et
d’éclairs. Ils se mettent les doigts dans les
oreilles, à cause de la terreur de la foudre et par
crainte de la mort… (Coran, 2 : 19)
La charge électrique à l’intérieur du nuage se forme
suite à la division des gouttes de pluie. Quand les gouttes
se divisent, les charges positives montent dans la couche
supérieure du nuage alors que les charges négatives
restent en bas. Dans ce cas, la surface terrestre sera char-
gée positivement et des éclairs se produiront.
Les nuages de pluie sont d’énormes masses couvrant
une surface de 20 à 260 km2 et atteignant des hauteurs
de 9.000 à 12.000 m. En raison de ces extraordinaires di-
mensions, la partie inférieure de ces nuages est sombre.
Il est impossible aux rayons du Soleil de passer à travers,
à cause de la grande quantité d’eau et de particules de
glace qu’ils contiennent. Par conséquent très peu d’éner-
gie solaire atteint la Terre à travers les nuages, ce qui ex-
plique pourquoi les nuages paraissent noirs à ceux qui les
regardent d’en bas.
Les étapes dans la formation du tonnerre et de la
foudre après cette obscurité, mentionnée dans le verset
est comme suit : une charge électrique se forme à l’in-
térieur du nuage de pluie. Ceci se produit à la suite de
processus tels le gel, la division de gouttes de pluie et la
formation de charge durant un contact. L’accumulation
de telles charges électriques, lorsque l’air est incapable
de les isoler, suscite de grandes étincelles, une décharge
entre les champs positifs et négatifs. Le voltage entre deux
zones de charges opposées peut atteindre un milliard de
volts. L’étincelle peut se former aussi au sein du nuage,
peut traverser deux nuages, depuis une zone chargée po-
sitivement à une zone chargée négativement, ou bien être
déchargée du nuage vers le sol. Ces étincelles peuvent for-
mer des éclairs éblouissants. Cette soudaine augmenta-
tion de la charge électrique le long de la ligne de la foudre
provoque une chaleur intense (10.000° C).
Résultat de cela, il y a une soudaine expansion de
l’air, qui en retour provoque ce grand bruit qui accom-
pagne le tonnerre. Comme nous l’avons vu, des couches
sombres, suivies par des étincelles chargées électrique-
ment, connues sous le nom d’éclairs, et ensuite ce grand
bruit appelé tonnerre, se forment à l’intérieur du nuage de
pluie.
Tout ce qu’a établi la science moderne au sujet des
nuages, et concernant les causes du tonnerre et des
éclairs, est en parfait accord avec les descriptions qu’en
fait le Coran.
Dieu dit :
« C’est lui qui vous fait voir l’éclair (qui vous
inspire) crainte et espoir ; et Il crée les nuages
lourds.* Le tonnerre le glorifie par sa louange,
et aussi les anges, sous l’effet de sa crainte.
Et Il lance les foudres dont Il atteint qui Il veut.
Or ils disputent au sujet d’Allah alors qu’Il est
redoutable en sa force» 13: 12.

« Et parmi ces signes Il vous montre l’éclaire avec


crainte (de la foudre) et espoir (de la pluie), et
fait descendre du ciel une eau avec laquelle il
redonne la vie à la terre, après sa mort. Il ya en
cela des preuves pour des gens qui résonnent. »
30: 24.
Explication des versets: Dieu parle au sujet du phé-
nomène de l’éclaire dans ces versets .L’éclaire est une
arme à deux frontières, Il est missionnaire de la pluie et
de bonnes choses du ciel, en même temps, il pourrait être
destructeur de Possession, et un assassin d’âmes. Mais
les commentateurs ont dit que les foudres sont toujours
dévastatrices et effrayantes, parce qu’elles viennent sou-
dainement et frappent tout ce qu’elles rencontrent sur
leurs routes immédiatement.

La vérité scientifique
Les savants ont étudié l’éclair et ont constaté que
le nuage est toujours chargé électriquement, et qu’il est
chargé négativement en bas, et positivement en haut.
Mais la terre, est souvent chargée positivement. Et
lorsque le faisceau de l’éclaire chargé négativement, part
du bas du nuage vers la terre chargée positivement, les
charges opposées se rencontrent, et se produit une Col-
lision, le faisceau de l’éclaire commence la marche d’une
vitesse allant jusqu’à plus de cent mille kilomètres par se-
conde.
L’éclair ne se produit que dans le cas de nuages
lourds, c’est-à-dire qu’Il ya une relation entre les nuages
lourds et l’éclaire, et pour cela le Bon Dieu a dit « Et il crée
les nuages lourds ».

Le miracle
Allah dit: «c’est lui qui vous fait voir l’éclair (qui vous
inspire) crainte et espoir ; et Il crée les nuages lourds ».
A partir ce verset, on trouve que le saint Coran a parlé de
l’éclair et a lié ce phénomène avec la chute de la pluie
abondante , et a lié également entre l’éclair et les hautes
nuages lourds « et fait descendre du ciel une eau avec la-
quelle Il redonne la vie à la terre après sa mort» , et c’est
ce que les savants ont prouvés récemment.
DES NUÉES ÉCLATANT EN PLUIE

Le Saint Coran nous a décrit minutieusement ce qui se


passe à l’intérieur des cumulonimbus. Ces vérités scienti-
fiques n’ont été découvertes que récemment ; ce qui met
en évidence le côté miraculeux du Saint Coran.
Pourquoi Allah, exalté soit-Il, a-t-il dit :
« Ou comme au moment où des nuées éclatent
en pluies, chargées de ténèbres, de tonnerre et
éclairs »? 2: 19
Y a-t-il dans les nuages des ténèbres, des tonnerres
et des éclairs ? Ce verset coranique le dit bien, mais qu’en
pense la science?
Les scientifiques ont trouvé que l’atmosphère com-
prend des nuages dits « cumulonimbus » dont la hauteur
est à quelques 10km. Le centre de ces cumulonimbus est
envahi par les ténèbres même en pleine journée !! « Natio-
nal Geographic»
Quand les charges électriques accumulées à l’inté-
rieur de ces nuages deviennent trop importantes, et sur-
tout lorsqu’il y a opposition directe entre ces charges, il y
a décharge électrique ; un éclair se déclenche et un ton-
nerre se fait entendre.
C’est exactement ce que le Saint Coran affirme : té-
nèbres, tonnerres et éclairs, tandis que les scientifiques
ne l’ont découvert qu’à la fin du XXe siècle. Gloire a Allah !
LES VENTS FÉCONDANTS

Un verset du Coran mentionne la fonction féconda-


trice des vents et la formation de la pluie qui en résulte.
Et Nous envoyons les vents fécondants, puis
Nous faisons descendre du ciel une eau dont
Nous vous abreuvons… 15 : 22
Ce verset souligne que le premier stade de la for-
mation de la pluie est le vent. Jusqu’au début du 20ème
siècle, la seule relation que l’on connaissait entre le vent
et la pluie était que le vent poussait les nuages. Mais les
découvertes de la météorologie moderne ont démontré le
rôle «fécondant» des vents dans la formation de la pluie.
Cette fonction fécondatrice du vent se produit de la
manière suivante : A la surface des océans et des mers,
d’innombrables bulles d’air sont formées par l’écume. Au
moment où ces bulles jaillissent en des milliers de minus-
cules particules, d’un centième de millimètre de diamètre,
elles sont projetées dans l’air. Ces particules, qu’on ap-
pelle aérosols, se mélangent à la poussière apportée
par les vents, et sont transportées jusqu’aux couches
supérieures de l’atmosphère par les vents. A ce niveau,
elles entrent en contact avec la vapeur d’eau, laquelle
se condense autour des particules et se transforme en
gouttelettes d’eau. Ces gouttelettes d’eau s’assemblent
d’abord pour former des nuages, puis tombent sur la Terre
sous forme de pluie.
Comme on l’a vu, les vents «fécondent» la vapeur
d’eau flottant dans l’air avec les particules qu’ils trans-
portent depuis la mer, et finalement contribuent à la for-
mation des nuages de pluie. Si les vents ne possédaient
pas cette propriété, les gouttelettes d’eau ne se forme-
raient jamais dans la haute atmosphère et la pluie n’exis-
terait pas. Le point le plus important à retenir ici, c’est le
rôle crucial des vents dans la formation de la pluie, affirmé
il y a des siècles dans le Coran, à une époque où les gens
ne savaient que très peu de choses des phénomènes natu-
rels… Des informations complémentaires sont contenues
dans le verset au sujet de la propriété fécondante du vent,
à savoir son rôle dans la pollinisation des fleurs.
De nombreuses plantes sur Terre dispersent leur
pollen grâce au vent afin d’assurer la survie de leur espèce.
Plusieurs plantes à graines ouvertes (gymnospermes), des
pins, des palmiers et des arbres du même genre, plantes
à graine qui produisent des fleurs (angiospermes), et des
plantes graminiformes sont entièrement fécondées par
le vent. Le vent transporte le pollen d’une plante à une
autre, facilitant ainsi le processus de fécondation. Jusque
très récemment, on ignorait que le vent pouvait féconder
les plantes. Cependant, lorsqu’on réalisa que les plantes
étaient composées d’individus mâles et femelles, on dé-
couvrit aussi le rôle fécondant du vent. Cette vérité était
déjà indiquée dans le Coran :
«C’est Lui qui vous a assigné la terre comme
berceau et vous y a tracé des chemins ; et qui du
ciel a fait descendre de l’eau avec laquelle Nous
faisons germer des couples de plantes de toutes
sortes.» 20 : 53
Les vagues sont formées par le souffle du vent au-des-
sus de la surface de l’eau. Avec le vent, les particules d’eau
commencent à effectuer un mouvement circulaire.
Ce mouvement formera rapidement des vagues, les
unes après les autres, et les bulles formées par les nuages
se propagent dans l’air. C’est la première étape dans la
formation de la pluie. Ce processus est indiqué ainsi dans
le verset :
«Et Nous envoyons les vents fécondants, puis
Nous faisons descendre du ciel une eau dont
Nous vous abreuvons… « (Coran, 15 : 22)
Le poids des nuages

Le poids des nuages peut atteindre des proportions


surprenantes. Par exemple, un cumulo-nimbus, commu-
nément appelé le nuage générateur de tonnerre, peut
contenir jusqu’à 300.000 tonnes d’eau.
Le fait qu’une masse de 300.000 tonnes d’eau peut
rester en l’air est vraiment étonnant. L’attention est atti-
rée sur le poids des nuages, dans des versets du Coran.
C’est Lui qui envoie les vents comme une annonce
de Sa miséricorde. Puis lorsqu’ils transportent
une nuée lourde, Nous la dirigeons vers un
pays mort [de sécheresse], puis Nous en faisons
descendre l’eau, ensuite Nous en faisons sortir
toutes espèces de fruits. (Coran, 7 : 57)

C’est Lui qui vous fait voir l’éclair (qui vous


inspire) crainte et espoir ; et Il créé les nuages
lourds. (Coran, 13 : 12)
Bien entendu, à l’époque où le Coran a été révélé,
il était tout à fait impossible d’avoir une quelconque in-
formation sur le poids des nuages. Cette donnée, révélée
dans le Coran, mais découverte seulement récemment, est
encore une autre preuve que c’est la parole de Dieu
DE LA PLUIE EN QUANTITÉ
DÉTERMINÉE

Une autre information que nous fournit le Coran à


propos de la pluie, est le fait qu’elle est envoyée sur Terre
«avec mesure». Ceci est mentionné dans la