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MON PREMIER

CAHIER D’ÉCRITURE
Du graphisme à la lettre cursive
Albert ANGELINI, Christine GRAZIANO
Professeurs des écoles

GUIDE DU MAITRE

ÉCRITURE − GS − Utilisation autorisée pour Ludivine ALEXANDRE − Éditions Jocatop © − Diffusion interdite
ÉCRITURE − GS − Utilisation autorisée pour Ludivine ALEXANDRE − Éditions Jocatop © − Diffusion interdite
L’acquisition de l’écriture est le résultat d’un long apprentissage.
Comme le langage, il s’agit d’une activité individuelle fondamentale.

L’écriture cursive aide l’enfant à développer ses facultés cognitives. Elle active
le développement psychomoteur, renforce sa dextérité et sa motricité ine.
Elle favorise également la mémorisation et facilite l’accès à la lecture.

L’apprentissage de l’écriture cursive doit donc être réalisé de façon sérieuse et


rigoureuse. Il convient de lui accorder un temps conséquent mais nécessaire.

Une fois maitrisée et automatisée, l’écriture sera un instrument vecteur de la


communication, de l’expression de la pensée et de la transmission.

Sachant que les mauvaises habitudes sont dificiles à perdre, il est important
d’apprendre à bien écrire dès le début de l’apprentissage.

Nous allons nous y appliquer en vous proposant, dans ce cahier, une


méthodologie issue d’une longue mise en pratique en classe.

Albert ANGELINI, Christine GRAZIANO

Les reproductions d’extraits de cette publication sont soumises aux conditions du contrat signé
entre le ministère de l’Éducation nationale et le CFC (Centre Français d’exploitation du droit de Copie).
Dans ce cadre, il est important que vous déclariez au CFC les copies que vous réalisez,
lorsque votre école est sollicitée pour l’enquête sur les photocopies de publications.

La numérisation de cet ouvrage n’est pas autorisée. Pour toute information : contact@jocatop.fr
Au nom de nos auteurs et de notre maison, nous vous remercions d’avance.

© Éditions Jocatop - Morières-lès-Avignon


jocatop.fr
Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés pour tous pays.
Loi n° 49956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse.
Dépôt légal : avril 2017
Date révision Cahier : juin 2019 • Date révision Guide : juin 2019
Réimpression : avril 2021

– 19/04/2021 –

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Sommaire

     
  

Se situer dans le plan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 3 Révision des lettres capitales. . . . . . . . . . . p. 8

Les formes de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 4 Les formes de base. . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 9

Étude des graphies des lettres Les lettres cursives minuscules . . . . . . . . . p. 10 à 16


cursives minuscules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 5
Les chiffres. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 17-18
Pour bien utiliser ce cahier . . . . . . . . . . . . . . . p. 6
L’alphabet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 19
Codiication pour le tracé . . . . . . . . . . . . . . . p. 7

Documents à photocopier :
Les formes de bases . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 20-21

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Généralités – Se situer dans un plan

Malgré les apprentissages entrepris, certains élèves ne structurent pas encore complètement le plan (la feuille
de cahier en particulier) et l’espace.

1. La gauche et la droite - Le haut et le bas d’une feuille


Nous écrivons de la gauche vers la droite et du haut vers le bas.
L’enseignant vériiera que ces deux notions sont acquises (ou en cours d’acquisition).

2. Descendre et monter sur une feuille


On descend et on monte dans un espace à trois dimensions. Sur une feuille (ou sur l’ardoise), espace à deux
dimensions, descendre et monter sont des conventions du langage de l’adulte.
Par des exercices appropriés, l’enseignant devra montrer ce que signiie, dans la pratique, monter ou descendre
sur une feuille.

3. Verticales, horizontales et obliques


Pour les adultes, la pratique courante admet qu’une verticale est une ligne parallèle aux bords gauche et droit
d’une feuille ; et qu’une horizontale est parallèle aux bords haut et bas de la feuille. Ce qui est faux : la notion
de verticalité est déinie par le il à plomb (donc dans l’espace).

Nous parlerons de « trait debout » pour indiquer que ce trait


est parallèle aux bords gauche et droit d’une feuille de cahier.

En conséquence, un « trait couché » est parallèle aux bords


haut et bas d’une feuille de cahier.

Un « trait penché », ou « trait d’attaque », (du bas vers le haut)


est un trait non parallèle aux bords d’une feuille de cahier.

Ce vocabulaire (trait debout, trait penché, trait couché) est accessible et compréhensible par les élèves de grande
section.

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Généralités – Étude des formes de base

Les élèves vont apprendre quelques « dessins simples » qui sont communs à de nombreuses lettres. Leur maitrise
facilitera l’apprentissage de l’écriture scripte ou cursive.

L’étude de ces formes se fait d’abord sur l’ardoise (côté sans réglure) et/ou sur une petite feuille blanche avant de
faire les exercices sur le cahier d’écriture où d’autres contraintes apparaitront (hauteur des dessins en particulier).

Pour établir un vocabulaire commun, nous avons attribué un nom aux graphies de base. Les élèves s’approprient
très facilement ce vocabulaire. Nous utiliserons ces dénominations tout au long du guide. Si ces appellations
paraissent fantaisistes, l’enseignant pourra bien entendu utiliser d’autres expressions pour générer les mêmes
images.

le trait les hameçons les cannes la canne-hameçon le rond


debout

Remarques
• En principe, les traits debout descendent toujours.
• Les ronds entiers se tracent dans le sens indiqué. Les formes rondes non entières peuvent tourner différemment.
• Quand la graphie de la « canne-hameçon » sera bien assimilée, les élèves éviteront de tracer des « s » en miroir
pour écrire un « p », un « n » ou un « m » en cursive.

Exemple de procédure pour le trait debout


Dessiner sur le tableau un trait vertical.
– Comment est le trait que je viens de dessiner ? Droit - debout.
– À quel endroit ai-je commencé à dessiner ce trait ? En haut.
– Ce trait monte-t-il ou descend-il ? Il descend.
Il pourra y avoir des petits traits, des traits moyens et des grands traits.
Avec votre index, visez sur le tableau le haut du trait et suivez-le avec votre doigt et avec vos yeux pour le tracer
en l’air... en descendant. Toujours avec votre index, faites la même chose sur le bureau… maintenant sur l’ardoise,
sur la feuille.
L’enseignant observe si les élèves respectent la consigne. On passe à l’application écrite sur l’ardoise ou sur une
feuille.

Exemples utilisant le « vocabulaire » proposé


a, d .................. un rond et hameçon collé
n, m ................. canne(s) et canne-hameçon
p ...................... trait penché, trait debout, canne-hameçon

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Généralités – Étude des graphies
des lettres cursives minuscules
L’étude d’une nouvelle graphie se fait sur l’ardoise ou tout autre support adapté, parallèlement à la découverte
du phonème correspondant. Toutefois, les exercices d’application sur le cahier d’écriture peuvent être retardés.
Ce décalage sera bénéique pour certains élèves.

Les graphies des lettres sont regroupées par « similitudes de formes » allant des plus simples aux plus dificiles.
Toutefois, après avoir étudié les formes de base, l’enseignant pourra choisir une autre progression.

- L’enseignant, après avoir écrit une nouvelle lettre sur le tableau, sollicite les élèves pour qu’ils déterminent
« les formes de base » utilisées dans la graphie de la lettre.
- Il réécrit la lettre en énonçant les formes de base utilisées. Les élèves reproduisent le modèle sur leur support
d’écriture.

En écriture cursive, certaines lettres ont un trait d’attaque et un trait de sortie, quelques-unes n’ont pas de trait
d’attaque.

trait d’attaque trait de sortie

Parmi les graphies dificiles, on trouve les lettres avec les grandes boucles.

Pour éviter les mauvaises graphies, nous proposons l’écriture de certaines lettres (a, d, q, i, t, u, n…) en deux étapes :
1) En traçant les formes de base. Cela doit permettre de prendre de bonnes habitudes pour la graphie de chaque lettre
et rendre possible au plus grand nombre d’enfants d’accéder à une écriture correcte (ne pas oublier que certains ont
encore des problèmes de motricité).
Exemples de mauvaises graphies :

au lieu de au lieu de

2) Quand l’enseignant le jugera opportun, il pourra proposer aux élèves de tracer certaines lettres sans lever
le crayon pour obtenir une écriture plus luide.
Il appartiendra à l’enseignant de montrer aux élèves comment « attacher les lettres » pour éviter des « ligatures »
inappropriées.

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Généralités – Pour bien utiliser ce cahier

Nous conseillons d’utiliser un crayon gris à pointe ine et une gomme (en essayant de l’utiliser le moins possible).
Il faut éviter d’écrire avec un feutre car l’encre pourrait traverser la feuille.

Une iche cartonnée au dos de la page protègera des empreintes sur les pages suivantes. Un buvard (ou une feuille
de papier) sous la main évitera de salir la page sur laquelle on écrit.

L’enseignant veillera à la bonne tenue du crayon par les élèves. Il s’assurera aussi de leur bonne position sur
leur siège.

Si je suis droitier

©DR
Si je suis gaucher

©DR
La bonne position pour écrire

Gaucher Droitier

Les exercices qui consistent à repasser sur un modèle ne sont pas à négliger, ils sont une aide précieuse pour l’élève.

À l’intention des gauchers, les modèles d’écriture sont placés à droite de la page.

Une page peut prendre plusieurs « séances » de travail. L’enseignant décide du nombre de séquences
nécessaires. Il est indispensable de laisser aux élèves le temps de bien faire.

Il convient de bien faire observer le sens de la formation des dessins ou des lettres avant de les reproduire.
Des séances d’entrainement sur l’ardoise (côté sans réglure) ou sur des petites feuilles blanches précèdent
nécessairement les exercices proposés dans le cahier.

Dans le cahier, la ligne « 0 » désigne la ligne où se « posent » les dessins ou les lettres.
On appelle « chemins » les interlignes.
Dans un souci de clarté, nous avons représenté uniquement les interlignes nécessaires pour la mesure de la hauteur
des dessins ou des lettres.
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Généralités – Codification pour le tracé

Une codiication est adoptée ain de simpliier la donnée des consignes :

Rond vert ou « feu vert » : point de démarrage d’une forme, d’une lettre ou d’un chiffre.

Rond orange ou « feu orange » : un ralentissement pour un changement de direction ou


un arrêt provisoire pour redémarrer à un autre « feu vert ».

Rond rouge ou « feu rouge » : in du dessin, de la lettre ou du chiffre tracé.

Point noir : un croisement obligatoire avec une ligne d’écriture.

La réalisation de la lettre se fera en suivant l’ordre des nombres indiqué sur le modèle.

Exemples :

– On démarre au feu vert n° 1, on s’arrête au feu orange n° 2.


– On redémarre au feu vert n° 3 et on termine la lettre
au feu rouge n° 4.

– On démarre au feu vert n° 1 pour dessiner un trait penché [1 – 2].


– On ralentit au feu orange n° 2 pour tracer un grand hameçon
suivi d’une grande boucle [2 – 3].
– On s’arrête au feu orange n° 3. On termine la lettre mettant le point
au feu rouge n° 4.

Attention : il faut que la boucle coupe l’hameçon au point noir.

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Le cahier – Révision des lettres capitales

En arrivant en grande section de maternelle, l’élève connait et peut écrire en lettres capitales (plus ou moins bien
calligraphiées). Cet enseignement ne constitue qu’une étape, une solution transitoire qui permet une certaine
structuration de l’espace plan.

À ce niveau de l’apprentissage, l’élève devrait réussir à tracer des lignes verticales, horizontales et obliques
(par rapport au bord d’une feuille) ainsi que des ronds (souvent ovales) et des portions de rond.

Nous proposons, au début de ce cahier, une révision des lettres capitales (plus communément appelées majuscules
par les enfants).
Un ordre de réalisation est proposé ; ce n’est peut-être pas celui dont l’enseignant a l’habitude.
La hauteur des lettres est imposée. Un feu vert indique par où commencer le tracé de la lettre.

Cette première étape a pour objectif de mettre l’enfant en coniance, avant d’aborder l’apprentissage de l’écriture
cursive.

Révision Les lettres capitales Date : Révision Les lettres capitales Date :

1 Suis les lettres avec ton doigt, repasse sur les modèles et continue. 1 Suis les lettres avec ton doigt, repasse sur les modèles et continue.

4 5

Révision Les lettres capitales Date : Révision Les lettres capitales Date :

1 Suis les lettres avec ton doigt, repasse sur les modèles et continue. 1 Suis les lettres avec ton doigt, repasse sur les modèles et continue.

2 Écris ton prénom en lettres capitales.

6 7

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Le cahier – Les formes de base

Les formes de base sont réparties au il du cahier, avant de commencer l’écriture des lettres les utilisant.

Le trait debout (page 8 du cahier)

w Exemple d’une procédure :


Dessiner sur le tableau un trait vertical en commençant par le haut.
• Comment est le trait que je viens de dessiner ?
Nous dirons que ce trait est un trait debout (par analogie avec notre station debout).
• À quel endroit ai-je commencé à dessiner ce trait ? En haut (dessiner le feu vert).
• Ai-je dessiné ce trait en montant ou en descendant ? Il descend et s’arrête au feu rouge
(dessiner le feu rouge).

Il pourra y avoir des petits traits debout, des traits moyens et des grands traits.
Montrer que les traits debout ne coupent jamais les bords de chaque côté tableau.
Chercher dans la classe des « bords debout » (portes, fenêtres, angles des murs...).

4 Avec vos yeux et avec votre index, visez sur le tableau le feu vert et suivez-le trait avec votre doigt
en descendant vers le feu rouge.
L’enseignant observe si les élèves respectent la consigne.
Sur le cahier : l’élève suivra avec ses index les bords gauche et droit de la feuille de cahier.
• Question : Les doigts se sont-ils croisés ?

4 Les traits qui ont la même direction que les bords gauche et droit de la feuille seront appelés des traits debout.
On les trace en général du haut vers le bas.

Attention
Le rond (page 9 du cahier) au sens !

Les ronds entiers commencent au « feu vert » situé en haut à droite


du rond et se tracent dans le sens indiqué par les lèches.
Les formes rondes non entières pourront commencer et tourner différemment.

Remarque : un rond est dificile à dessiner… il sera souvent ovale.


Préférer la forme ovale 1 à la forme ovale 2. 1 2

Les hameçons (page 10 du cahier) La partie jaune Attention


de chaque hameçon au sens !
est un trait debout !

L’hameçon est un trait debout terminé


par un morceau de rond.
Faire observer qu’il y a deux types d’hameçons et
qu’il y a un trait debout (en jaune) au commencement.

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Le cahier – Les lettres cursives minuscules
Remarque importante – Les modèles proposés sont des graphies de base qui peuvent être légèrement modiiées
pour s’adapter aux nécessités des « ligatures ».

La lettre « o » (page 11 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un rond. Une fois le rond fermé, on dessine
un petit trait dirigé vers le haut. On fait bien attention à ne pas lever le crayon.
La lettre « o » mesure un chemin.

La lettre « a » (page 12 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un rond. On redémarre au feu vert n° 2


pour tracer un hameçon collé au rond [2 – 3].
Plus tard, lorsque leur écriture deviendra plus luide, les élèves se dispenseront de
relever le crayon pour accrocher l’hameçon. Cette transition se fait naturellement.
La lettre « a » mesure un chemin.

La lettre « d » (page 13 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un rond. On redémarre au feu vert n° 2


pour tracer un grand hameçon collé au rond [2 – 3].
Plus tard, lorsque leur écriture deviendra plus luide, les élèves se dispenseront de
relever le crayon pour accrocher l’hameçon. Cette transition se fait naturellement.
Le grand hameçon mesure 2 chemins.

La lettre « c » (page 14 du cahier)

On suit les feux [1 – 2] pour tracer un morceau de rond (dans le même sens que
le « o »).
4 Attention : les feux sont à l’intérieur du chemin.
La lettre « c » mesure un chemin.

La lettre « x » (page 15 du cahier)

On suit les feux [1 – 2] pour tracer un morceau de rond (dans le sens


inverse de celui du « o »). On redémarre au feu vert n° 3 et on suit les feux
[3 – 4] en traçant un morceau de rond (dans le même sens que celui de
« o ») collé au premier morceau de rond.
4 Attention : les feux sont à l’intérieur du chemin.
La lettre « x » mesure un chemin.

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La lettre « e » (page 16 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 (au milieu du chemin) pour tracer un petit trait
couché [1 – 2].
À partir du feu orange n° 2, on fait une promenade en tournant. On repasse au
feu vert n° 1 (début du trait à plat) et on rejoint le feu rouge n° 3.
La lettre « e » mesure un chemin.

La lettre « q » (page 17 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un rond. On redémarre au feu vert n° 2


pour tracer un grand trait debout collé au rond [2 – 3].
Plus tard, lorsque leur écriture deviendra plus luide, les élèves se dispenseront de relever
le crayon pour accrocher le trait debout. Cette transition se fait naturellement.
La lettre « q » mesure un chemin au-dessus de la ligne zéro et 2 chemins
en-dessous (interlignes en bleu). Faire remarquer aux élèves le rond qui se pose sur la
ligne zéro.

La lettre « i » (page 18 du cahier)


5
On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un trait penché (légèrement courbé)
[1 – 2]. On redémarre au feu vert n° 3 pour dessiner un hameçon [3 – 4].
On relève le crayon et on met un point au feu rouge n° 5.
Quand les élèves maitriseront cette manière (un peu raide) d’écrire les « i », on passera
à l’étape suivante.
Pour tracer un « i » sans lever le crayon, on démarre au feu vert n° 1 pour tracer un trait
penché (légèrement courbé) [1 – 2], on monte droit [2 – 3]. On s’arrête quand on touche
la ligne 1, on ne relève pas le crayon, on repasse sur le morceau droit pour faire l’hameçon
[3 – 4]. On met un point au feu rouge n° 5.
La lettre « i » mesure un chemin.

La lettre « t » (page 19 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 (au milieu du chemin, comme pour le « i » pour tracer
un trait penché (légèrement courbé) [1 – 2]. On redémarre au feu vert n° 3 pour dessiner
un grand hameçon qui mesure 2 chemins [3 – 4]. On relève le crayon et on trace un trait
5 6
à plat [5 – 6].
Quand les élèves maitriseront cette manière d’écrire les « t », on passera à l’étape suivante.
On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un trait penché (légèrement courbé) [1 – 2],
on monte droit [2 – 3]. On s’arrête quand on touche la ligne 2, on ne relève pas le crayon,
on repasse sur le morceau droit pour faire l’hameçon [3 – 4]. On relève le crayon et
on trace un trait à plat [5 – 6].
La lettre « t » mesure 2 chemins au-dessus de la ligne zéro.

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La lettre « u » (page 20 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un trait penché [1 – 2]. On redémarre 5


au feu vert n° 3 pour dessiner un hameçon [3 – 4]. On redémarre au feu vert n° 5
pour à nouveau dessiner un hameçon [5 – 6]. 6
Quand les élèves maitriseront cette manière d’écrire les « u », on passera à l’étape
suivante.
On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un trait penché (légèrement courbé) [1 – 2],
on monte droit [2 – 3]. On s’arrête quand on touche la ligne 1, on ne relève
pas le crayon, on repasse sur le morceau droit pour faire l’hameçon [3 – 4]. On
continue en montant droit pour arriver à la même hauteur [4 – 5] et on termine
par l’hameçon [5 – 6].
La lettre « u » mesure un chemin.

Les cannes (page 21 du cahier)

Il y a deux types de cannes. La partie jaune Attention


de chaque canne est au sens !
Elles commencent par un arc de cercle et se terminent par un trait debout !

un trait debout.
Faire observer qu’elles commencent à l’intérieur du chemin.

La canne-hameçon (page 22 du cahier)

En rapprochant une canne et un hameçon, on obtient la Attention :


la partie jaune
canne-hameçon. de la canne-hameçon
est un trait debout !

Faire remarquer le trait debout (en jaune) entre les deux


morceaux de rond.
Une canne-hameçon bien dessinée
évitera cette graphie :

La lettre « n » (page 23 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer une canne [1 – 2].


On redémarre au feu vert n° 3 pour dessiner une canne-hameçon [3 – 4].
Quand les élèves maitriseront cette manière d’écrire les « n », on passera à l’étape
suivante.
On démarre au feu vert n° 1 pour tracer une canne [1 – 2]. Lorsqu’on a ini
la canne, on remonte en repassant sur le trait droit de la canne [2 – 3] et on
accroche la canne-hameçon [3 – 4].
La lettre « n » mesure un chemin.

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La lettre « m » (page 24 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer une canne [1 – 2].


On redémarre au feu vert n° 3 pour dessiner une autre canne [3 – 4]. 5
On redémarre au feu vert n° 5 pour dessiner une canne-hameçon [5 – 6]. 6
Quand les élèves maitriseront cette manière d’écrire les « m », on passera
à l’étape suivante.
On démarre au feu vert n° 1 pour tracer une canne [1 – 2]. Lorsqu’on a
ini la canne, on remonte en repassant sur le trait droit de la canne [2 – 3]
et on accroche une autre canne [3 – 4]. On fait pareil pour accrocher la canne-
hameçon [5 – 6].
La lettre « m » mesure un chemin.

La lettre « r » (page 25 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1. On dessine un trait penché [1 – 2] et un trait à plat


[2 – 3]. Sans lever le crayon, on trace ensuite un hameçon [3 – 4].
Attention : le trait d’attaque doit légèrement sortir du chemin.
Ce dépassement de ligne permettra les graphies correctes de :
La lettre « r » mesure un chemin.

La lettre « s » (page 26 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1. On trace un trait penché [1 – 2] qui sort légèrement


du chemin. On recule sans lever le crayon sur le petit trait qui sort du chemin
[2 – 3] et on dessine le morceau de rond [3 – 4] qui ne colle pas au trait penché.
Ce petit bout de trait qui sort de l’interligne est nécessaire pour attacher un
« o » et un « s » par exemple.

La lettre « s » mesure un chemin.


Le trait penché sort légèrement du chemin.

La lettre « p » (page 27 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un trait penché (légèrement courbé)


[1 – 2]. Sans lever le crayon, on trace ensuite un grand trait debout [2 – 3].
On lève le crayon et on redémarre au feu vert n° 4 pour dessiner une
5
canne-hameçon [4 – 5].
La lettre « p » mesure un chemin au-dessus de la ligne zéro et 2 chemins
en-dessous (interlignes en bleu). Faire remarquer que la canne-hameçon se pose
sur la ligne zéro.

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La lettre « j » (page 28 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1. On trace un trait penché [1 – 2]. Sans lever


le crayon, on trace un grand hameçon, puis une grande boucle [2 – 3] en passant par le
point noir. On relève le crayon et on met un point au feu rouge n° 4.
4 Attention au point noir qui indique l’intersection particulière de la lettre avec une
ligne d’écriture (la ligne zéro).
La lettre « j » mesure un chemin au-dessus de la ligne zéro et 2 chemins
en-dessous.

La lettre « g » (page 29 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un rond. On redémarre au feu vert n° 2 pour
tracer un grand hameçon, puis une grande boucle [2 – 3] en passant par le point noir.
La lettre « g » mesure un chemin au-dessus de la ligne zéro et 2 chemins
en-dessous.

La lettre « y » (page 30 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer une canne-hameçon [1 – 2]. On lève le crayon
et on redémarre au feu vert n° 3. On dessine un grand hameçon suivi d’une grande
boucle [3 – 4] en passant par le point noir.
Plus tard, lorsque leur écriture deviendra plus luide, les élèves se dispenseront de relever
le crayon pour tracer la grande boucle. Cette transition se fait naturellement.
La lettre y mesure un chemin au-dessus de la ligne zéro et 2 chemin en-dessous.

La lettre « v » (page 31 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1. On suit les feux en commençant par une canne-hameçon
qui remonte pour toucher la ligne 1 [1 – 2]. On termine par un petit trait dirigé vers le
haut (comme le « o ») [2 – 3].
La lettre « v » mesure un chemin.

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La lettre « w » (page 32 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer une canne-hameçon [1 – 2]. On redémarre 5


au feu vert n° 3 pour suivre les feux [3 – 4], comme pour la lettre « v ».
On termine par un petit trait dirigé vers le haut (comme le « o » et le « v ») [4 – 5].
Quand les élèves maitriseront cette manière d’écrire les « w », on passera
à l’étape suivante.
On démarre au feu vert n° 1 pour tracer une canne-hameçon [1 – 2]. Sans
lever le crayon, on remonte droit jusqu’au feu n° 3, puis on redescend sur
le trait pour tracer un hameçon que l’on prolonge jusqu’à la ligne 1 [3 – 4].
On termine par un petit trait dirigé vers le haut (comme le « o » et le « v ») [4 – 5].
La lettre « w » mesure un chemin.

La lettre « l » (pages 33 – 34 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 et on trace une grande boucle [1 – 2] en passant


par le point noir. Sans lever le crayon, on trace un grand hameçon [2 – 3]
en passant par le point noir. 4 Attention au point noir !
La lettre « l » mesure 3 chemins au-dessus de la ligne zéro.

La lettre « b » (page 35 du cahier)

La lettre « b » est comme la lettre « l » mais elle se termine comme la lettre « v ».


On démarre au feu vert n° 1 et on trace une grande boucle [1 – 2] en passant
par le point noir. Sans lever le crayon, on trace un grand hameçon qui repasse par le point
noir et touche la ligne 1 [2 – 3]. On termine par un petit trait dirigé vers le haut (comme
le « o » et le « v ») [3 – 4].
La lettre « b » mesure 3 chemins au-dessus de la ligne zéro.
4

La lettre « h » (page 36 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 et on suit les feux [1 – 2 – 3] pour tracer une grande
boucle qui passe par le point noir. On lève le crayon et on redémarre au feu vert n° 4.
On dessine une canne-hameçon [4 – 5] qui mesure 1 chemin.
Quand les élèves maitriseront cette manière d’écrire les « h », on passera à l’étape suivante.
On démarre au feu vert n° 1 et on suit les feux [1 – 2 – 3] pour tracer une grande boucle
qui passe par le point noir. Lorsqu’on a ini la boucle, on remonte en repassant sur le
trait droit de la boucle [3 – 4] et on termine par une canne-hameçon [4 – 5] qui mesure
1 chemin. 5
Observe la position du feu n° 4 à l’intérieur du chemin.
La lettre « h » mesure 3 chemins au-dessus de la ligne zéro.

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La lettre « k » (page 37 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 et on suit les feux [1 – 2 – 3] pour tracer une


grande boucle qui passe par le point noir. On lève le crayon et on redémarre
au feu vert n° 4. On trace en suivant les feux [4 – 5 – 6].
Comme pour le « h », les élèves se dispenseront de relever le crayon pour aller
au feu n° 4 lorsque leur écriture deviendra plus luide.
Observe la position du feu orange n° 4 à l’intérieur du chemin.
La lettre « k » mesure 3 chemins au-dessus de la ligne zéro. 6
5

La lettre « f » (page 38 du cahier)

La lettre « f » est la plus grande des lettres et la plus dificile à écrire.


On démarre au feu vert n° 1 et on trace une grande boucle [1 – 2 – 3] qui passe
par le point noir. On descend et on dessine une grande boucle qui coupe le trait
debout au feu n° 3. On termine par un trait de sortie posé sur la ligne 0 [3 – 4].
Les deux boucles sont du même côté du grand trait debout (en jaune).
La lettre « f » mesure 3 chemins au-dessus de la ligne zéro et 2 chemins
en-dessous. 4

La lettre « z » (page 39 du cahier)

La lettre « z » est dificile à tracer.


La graphie du « z » commence comme celle du « r ». 5
On démarre au feu vert n° 1 à l’intérieur du chemin. On dessine un trait penché
[1 – 2] et un trait à plat [2 – 3].
Sans lever le crayon, on trace un trait penché [3 – 4].
On remonte légèrement sur ce trait pour former une sorte de « petit pont »
et on continue par une grande boucle qui passe par le point noir [4 – 5].
La lettre « z » mesure un chemin au-dessus de la ligne zéro et 2 chemins
en-dessous.

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Le cahier – Les chiffres

Tous les chiffres mesurent 2 chemins.

Le chiffre « 0 » (page 43 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour dessiner un « œuf » debout (ovale).


Remarque : le chiffre zéro (0) devrait être ovale pour le différencier de la lettre
« O » qui devrait être ronde.

Le chiffre « 1 » (page 43 du cahier)

On dessine le trait penché [1 – 2]. Sans lever le crayon, on trace le trait debout
[2 – 3].

Le chiffre « 2 » (page 44 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer en suivant les feux [1 – 2].


Sans lever le crayon, on dessine le trait couché [2 – 3].

Le chiffre « 3 » (page 44 du cahier)

Le chiffre « 3 » est formé de deux morceaux de rond.


On démarre au feu vert n° 1 pour suivre les feux [1 – 2 – 3] sans lever le crayon.

Le chiffre « 4 » (page 45 du cahier)

On trace un trait penché [1 – 2], puis un trait couché [2 – 3].


On lève le crayon et on trace le trait debout [4 – 5].

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Le chiffre « 5 » (page 45 du cahier)

On trace un trait debout [1 – 2], puis on dessine un morceau de rond [2 – 3]. 14


On lève le crayon pour tracer le trait couché [4 – 5]. 5

Le chiffre « 6 » (page 46 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 et on suit les feux [1 – 2] sans lever le crayon.

Le chiffre « 7 » (page 46 du cahier)

On trace le trait couché [1 – 2].


Sans lever le crayon, on trace le trait penché
[2 – 3]. On lève le crayon pour tracer le trait couché [4 – 5].
5

Le chiffre « 8 » (page 47 du cahier)

On commence au feu vert n° 1 pour dessiner un « S » en miroir.


On suit les lèches pour terminer le chiffre et revenir au feu n° 1.

On peut également commencer par un « S » et terminer le tracé.

Le chiffre « 9 » (page 47 du cahier)

On démarre au feu vert n° 1 pour tracer un rond [1 – 1].


On repasse sur une partie du rond pour tracer [1 – 2].

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L’alphabet (page 49 du cahier) aa bb cc dd ee

a b c d e f g h i j k

a b c d e f g h i j k l m

f g h i j k l m nn o
o pp q
q rr

n o p q r s t u v w x
f g h i j k l m

n o p q r s t u v w x y

s t u v w x y z
aa bb cc dd ee

a b c d e f g h i j k
s t u v w x y z

a b c d e f g h i j k l m

f g h i j k l m nn o
o pp q
q rr
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Le trait debout

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Le rond

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Le trait penché
(ou d’attaque)
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La canne-hameçon

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Les hameçons

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Les cannes

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