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UE1 

: Membrane plasmique Structure


 Feuillet interne et externe Osmiophile / feuillet moyen central et faible osmiophobe
hématie = pas de noyau

Constituant de la MP

-Glycérophospholipides
Constitués de glycérol, un grpement phosphate et 2 chaines d’acide
Squelette avec une tête hydrophile et une queue hydrophobe
Glycérol avec 3 carbones avec 3 fonctions alcool
Grpement phosphate noté X peut avoir une composition variable (enzymes qui peuvent modifier
le grp et changer les chaînes hydrocarbonées des acide)
Chaîne est la même mais extrémités changent
Exemple d’enzyme (acide phosphatidique, phosphatidylcholine, …) = peuvent être polaire,
apolaire, positif, négatif

Une molécule de phospholipides a 2 régions : tête apolaire hydrophile attaché a une queue hydrophobe
L’organisation se fait uniquement à partir de 10 carbones

Sphingolipides : 2ème type de lipide le plus répandu au niveau membranaire  issus d’une sphingosine lié
avec un acide gras par un groupement amine (on dit alors qu’on a un céramide

Cholestérol :
nécessaire aux membranes cellulaires
moins important (20% du liquide membranaire chez les animaux et pas présent chez les mitochondries)
joue sur la rigidité membranaire
s’intercale entre les phospholipides membranaires pour donner plus ou moins de rigidité à la membrane
molécule amphiphile
Groupement alcool forme la tête du cholestérol
corps avec un noyau stéroïde avec un groupement apolaire qui est considéré comme la partie de la
queue du lipide

Mouvements : (lipides)
Latéralité
Rotation (peuvent tourner)
Flip-flop (bascule) (=nécessite du travail de la membrane est est assez rare car thermodynamiquement
défavorisé) (+ rare)
phospholipides peuvent donc passer d’une couche à l’autre
Sont transportés par les floppases, les flippases et les scrambles

Bicouche lipidique est hétérogène


Membrane plasmique est asymétrique. Composition des deux feuillets est diff
Feuillet extérieur composé de phosphatidylcholine (chargé +) ou des sphingolipides
Feuillet interne composé de phosphatidyléthanolamine de phosphatydinolisol et phosphatidylsérine

Phénomène de mort cellulaire (apoptose) = quand un retournement cause l’exposition de la couche


interne face a l’environnement extérieur :
 on peut le remarquer quand on remarque des phosphatidylsérine exposé vers l’environnement
cellulaire
Lorsque la membrane se rompt, les phospholipides se rapprochent pour reconstruire la cellule

MITOSE :
1cellule mère = 2 cellules fille (les phospholipides vont permettent de fermer les 2 nouvelles entités)

Protéine transmembranaire avec des zone hydrophobes au sein de la protéine. Les zones qui dépassent
sont hydrophiles.
Les protéines qui dépassent vers l’extérieur sont exposé vers la matrice extracellulaire, et ceux qui
dépassent vers l’intérieur interagissent avec le cytosquelette.

Protéines extrinsèques (protéines périphériques) :


 au niveau extra ou intra cellulaire (en périphérie de la MP)

Protéines intrinsèques :
 les protéines transmembranaires (qui peuvent traverser la bicouche phospholipidique)

Glucides membranaires :
 Sont liés a des lipides ou des protéines pour donner glycolipide ou glycoprotéine
Cell coat (glycocalyx ou encore glycolemme) = résidu du coté extracellulaire

CELL COAT :
 Composé de filaments très fin plus ou moins serrés et ramifiés. Sont posé de façon perpendiculaire au
feuillet de la membrane plasmique. Il peut se délimiter en 2 parties
 Zone amorphe
Zone fibrilaire
 épaissuer change en fonction di type cellulaire ou de la région spécifique de la cellule. Pas forcément la
même épaisseur de cell coat dans une seule cellule

GLYCOLIPIDES :
Glycosphingolipides dans les cellules animales. (à partir d’une sphingosine)
Sucre en R1
La charge globale de la cellule est négative
Les glycoprotéines assurent une chargent globale de la cellule qui sera négative à l’intérieure. Les
glycoprotéines assurent aussi un rôle de protection ou de « coque » autour de la membrane pour la
préserver
Les glycoprot jouent aussi un rôle d’interaction. Elles peuvent communiquer entre elles. Elles ont aussi une
interaction entre la cellule et leur substrat.
Les glycoprot peuvent être utilisés comme marqueur. Elles peuvent apporter une « signature » à la cellule
à partir d’un anticorps = marqueur spécifique du phénotype cellulaire

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