Cours Dev Web 7 (Evolution Web XML)

01/04/2021
m_bakalem@inptic.edu.dz
HyperText Markup Language HTML 5
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 HTML a vu de nombreuses mises à

jour au fil du temps, et
actuellement, la dernière version de
HTML est HTML5.
 HTML5 est bien sûr encore
principalement un langage de
balisage,
 mais il a ajouté une pléthore de
fonctionnalités au HTML original et
a éradiqué une partie de la rigueur
qui était présente dans le XHTML.
 Chaque jour, de nouvelles
fonctionnalités sont ajoutées à
HTML5.
 La principale différence entre HTML
et HTML5 est que l’audio et la vidéo
ne sont pas intégrées dans le HTML
alors que ceux-ci sont intégrés à
HTML5.
<article>
<aside>
<audio>
<canvas>
<datalist>
<figure>
<figcaption>
<footer>
<header>
<hgroup>
<mark>
<nav>
<progress>
<section>
<source>
<svg>
<time>
<video>
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X
e tensible Markup Language XML
Introduction : Historique
Histoire liée au développement de l’Interne et de l’échange de
fichiers
Richesse  Lourdeur Simplicité  limitation
SGML HTML
Compromis Le HTML étant une application SGML ,

 SGML : Standard Generalized Markup  Un langage adapté au Web mais dont les
Language applications sont limitées par une
 Un langage de balisage normalisé, bibliothèque de balises figée et réduite.
 Riche en sémantique mais relativement
lourd à mettre en œuvre.  Il ne peut pas répondre aux besoins
XML
 Inadapté au Web. spécifiques de tous les domaines
 Il permet de définir de nouveaux langages (mathématiques, chimie, musique,
de balisage spécifiques et complexes. astronomie...).
 HTML devait décrire le contenu du
document
Richesse + Simplicité  s'est orienté vers la présentation du contenu.
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 eXtensible Markup Language

 Réﬂexion entamée en 1996 par le W 3C.
 Spéciﬁcation publiée en 1998.
 Langage de description et d'échange de données semi-
structurés
 Méthode pour représenter les données.
 Les données sont écrites entre des balises ou sous
forme d'attributs,
 L'ensemble est écrit sous forme d'un arbre.
 Il permet de séparer la forme et le fond
 Indépendance contenu / Présentation

 Lisibilité
 Contrôle de validité
 Réutilisabilité
 Portabilité
 Accès à des sources d’information
hétérogènes
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XML _ Technologies
• CSS -> feuille de style pour XML (et HTML)
• XSL -> feuilles de style propre à XML
• Xlink -> liens hypertextes à un fichier XML
• Xpointer -> pointer sur des éléments de données d'un document
XML
• DOM -> manipuler des fichiers XML (et HTML) à partir d'un langage
de programmation
• Namespaces -> distinguer les noms utilisés dans les documents
XML
• Xschema -> méthodologie de description de document XML.
• Xform -> les formulaires.
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XML _ Applications
• AML, Astronomical Markup Language
• CDF, Channel Definition Format
• CML , Chemical Markup Language
• MathML, Mathematical Markup Language
• PGML, Precision Graphics Markup Language
• RDF, Resource Description Framework
• SMIL, Synchronized Multimedia Integration Language
• VML, Vector Markup Language
• WML, Wireless Markup Language,
• XHTML 12
-
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XML _ Outils et logiciels

• Parseurs;
• Moteurs Xlink;
• Processeurs de feuilles de style;
• Navigateurs;
• Editeurs XML: XML spy, XML Writer;
• Logiciels spécialisés:
• RealSystem pour SMIL
• Navigateur pour CML
• Applications MathML
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<? xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"? >

< biblio>

<livre >
< titre > Les Misérables < / titre >
< auteur >Victor Hugo </ auteur >
< nb_tomes >3 < /nb_tomes >
</ livre >

<livre >
< titre > L'Assomoir </ titre>
< auteur >Émile Zola < /auteur >
</ livre >
< / biblio >
 Un prologue,
 la déclaration XML ,
<? xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"
standalone="yes"? >
 la Déclaration de Type de Document (DTD )
 L’instruction de traitement
 Un élément racine
 Exemple : biblio
 Un arbre d’éléments
 Cet arbre est constitué d'éléments imbriqués les uns dans les
autres (ayant une relation parent-enfant) et d'éléments
adjacents.
 Les commentaires
 Exemple : 
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< biblio>
<livre >
< titre > Les Misérables < / titre >
< auteur >Victor Hugo </ auteur >
</ livre >
<livre >
< titre > L'Assomoir </ titre>
< auteur >Émile Zola < /auteur >
</ livre >
< / biblio >
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<BOOKS> BOOKS
<book id=“123” loc=“library”> book
<author>Hull</author> loc=“library” article
<title>California</title> ref
123 555
<year> 1995 </year>
</book>
<article id=“555” ref=“123”> author year author title
<author>Su</author>
title
<title> Purdue</title>
</article>
Hull Su
</BOOKS> 1995 Purdue
California
Une instruction de traitement est une

instruction interprétée par l'application
servant à traiter le document XML.
 la déclaration XML
 la déclaration de feuille de style
 Exemple :
<? xml-stylesheet type="text/xsl" href="biblio.xsl"? >
<?xml-stylesheet type="text/css“ href="monstyle.css" ?>
Cette instruction de traitement est notamment
utilisée par les navigateurs Internet pour la mise en
forme du document.
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Types de DTD
Déclaration des éléments
Déclaration des attributs
Déclaration des entités
 DTD permet de définir la structure du

document.
 Elle définit l'ensemble des éléments utilisables
dans le document,
 DTD peut contenir des déclarations :
 de notations,
 d’éléments,
 de listes d’attributs,
 d’entités générales,
 d’entités paramètres
 et des commentaires.
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 DTD Interne
<!DOCTYPE prog [
<!ELEMENT prog (Desig, Descrip?, Matiere*)>
<!ELEMENT Desig (#PCDATA)>
<!ELEMENT Descrip (#PCDATA)>
<!ELEMENT Matiere (#PCDATA)>
<!ATTLIST Matiere coef #REQUIRED>
]>
 DTD Externe
<!DOCTYPE programme SYSTEM
"formation.dtd">
<!DOCTYPE Racine PUBLIC "nom" "uri_DTD">
Dans le cas d'une DTD externe, nos documents

XML ne sont plus autonomes, en effet, ils font
référence à un autre fichier qui fournit la DTD.
Afin que le document contenant la DTD soit
bien pris en compte, nous devons l'indiquer en
passant simplement la valeur de
l'attributstandaloneà "no".
< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8"

standalone=“no"?>
<!DOCTYPE prog SYSTEM "programme.dtd">
< !-- Début Programme-->
<prog>
< Desig > TIC < /Desig >
< Descrip >Programme Master </ Descrip >
< Matiere coef="3">Web services</ Matiere >
< Matiere coef="2">Application Internet</ Matiere >
</prog>
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< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

< ?xml-stylesheet type="text/xsl" href="carnet.xsl" ?>
< !-- Début du carnet d’adresse -->
<carnet>
<adresse>
<nom>CRUSOE</nom>
<prenom>Robinson</prenom>
<telephone type="fixe">aucun</telephone>
<telephone type="mobile">aucun</telephone>
</adresse>
<adresse> …..</adresse>
</carnet>
<!DOCTYPE carnet[
<!ELEMENT carnet (address+)>
<!ELEMENT address(name, prenom, telephone+)>
<!ELEMENT name (#PCDATA)>
<!ELEMENT prenom (#PCDATA)>
<!ELEMENT telephone (#PCDATA)>
<!ATTLIST telephone type (fixe|mobile) #REQUIRED>
]>
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 Les espaces de noms ont été introduits en XML afin de

pouvoir mélanger plusieurs vocabulaires au sein d’un
même document.
 Le mélange de plusieurs vocabulaires au sein d’un
même document ne doit pas empêcher la validation
de celui-ci.
 Il devient indispensable d’identifier la provenance de
chaque élément et de chaque attribut afin de valider
correctement => les espace de noms jouent ce rôle.
 Chaque élément ou attribut appartient à un espace de
noms qui détermine le vocabulaire dont il est issu.
 Cette appartenance est marquée par la présence dans le
nom d’un préfixe associé à l’espace de noms.
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 Une technique permettant de répertorier les

identificateurs (noms d’élément et les attributs)
utilisées dans les documents XML.
 Résoudre les conflits de noms
 utiliser plusieurs DTD dans un document.
 Utiliser des noms garantis uniques
 lors de l'édition du document
 Un espace de noms s’applique:
 À l’élément XML où il est déclaré et à tous les
éléments contenus par cet élément.
 Aux attributs
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<uneBaliseDuDocumentCourant
xmlns:Préfixe="UrlDeDtdOuSchemaAImporter">
<Préfixe:NomDeBalise ...>.
</Préfixe:NomDeBalise ...>.
 Exemple :
<rapport xmlns:math="adresse de la dtd Mathml">

<math:fn>
…
</math:fn>
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 Espace de noms et attribut: Les attributs

peuvent également bénéficier des espaces de
noms
 Exemple: Soit: 140 Devient: 150
 XML => http://www.w3.org/XML/1998/namespace

 XInclude => http://www.w3.org/2001/XInclude
 XLink => http://www.w3.org/1999/xlink
 MathML => http://www.w3.org/1998/Math/MathML
 XHTML => http://www.w3.org/1999/xhtml
 SVG => http://www.w3.org/2000/svg
 Schémas => http://www.w3.org/2001/XMLSchema
 Instances de schémas =>
http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance
 Schematron => http://purl.oclc.org/dsdl/schematron
 XSLT => http://www.w3.org/1999/XSL/Transform
 XSL-FO => http://www.w3.org/1999/XSL/Format
 DocBook => http://docbook.org/ns/docbook
 Dublin Core => http://purl.org/dc/elements/1.1/
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 Les DTD ne sont pas au format XML.
 Les DTD ne supportent pas les «espaces

de nom».
 Le « typage » des données est

extrêmement limité.
 la possibilité de spécifier par exemple qu'un
attribut ne doit être qu'un nombre entier
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 Une recommandation du W3c de mai 2001

 Définir une méthodologie de description de
document XML.
 Une syntaxe de classe de documents XML.
 Il permet un typage très fort des données XML
 Il s'exprime dans une syntaxe XML bien formée.
 Le schéma XML comporte deux parties :
 Les structures.
 Les Datatypes.
<?xml version=“1.0“ ?>

<xsd:schema
xmlns:xsd="http://www.w3.org/2001/XMLSchema">

xsd:element
xsd:attribute.
xsd:simpleType
xsd:complexType.
…..
</xsd:schema>
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 Type simple
 Un élément ne contenant pas de sous-élément ni
d'attribut est considéré comme étant de type
simple.
 Type complexe
 Un élément contenant soit des sous-éléments,
soit des attributs, ou même les deux à la fois est
considéré de type complexe.
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 La définition d’un élément de type simple respect la syntaxe

suivante :
<xsd:element name="nom de l’élément" type="nom du type">
 Il existe plusieurs catégories de types simple
 string, booléen, décimal, intégrer, Date,
 La valeur d’élément peut être inchangeable ou définit par une
valeur par défaut
 <xsd:element name=“nom" type="xsd:string" default=“nom par
défaut"/>
 <xsd:element name=“nom" type="xsd:string" fixed=“nom fixe"/>
< ?xml version = ‘ 1.0 ‘ ?>

<xsd :schema
xmlns :xsd= http://www.w3.org/2001/XMLSchema>
<xsd :element name= “ nom” type= “ xsd :string“ />
<xsd :element name= “age” type=“ xsd :integer“ />
</xsd:schema>
<nom> Dupont </nom>

<age> 25 </age>
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 Les principales catégories de dérivation (création d’un

nouveau type à partir d’un type existant) sont :
 L’extension
▪ Ajoutant éventuellement des sous-éléments et/ou des attributs
 La restriction
▪ Limite les valeurs possibles d’un type donné
 L’union
▪ Incluant toutes les valeurs possible d’un certain nombre d’autres
types.
 Les listes
▪ Une valeur du nouveau type correspond à plusieurs valeurs du type
de base séparées par un espace.
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 Les contenus simples.

 le contenu d'un élément complexe qui n'est composé
que d'attributs et d'un texte de type simple.
 Les contenus complexe

 le contenu d'un élément complexe permet de déclarer
des sous-éléments et des attributs .
 Les contenus mixtes

 le contenu d'un élément complexe qui est composé
d'attributs, d'éléments et de texte.
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 Exemple
 Exemple
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 La définition d’un attribut est similaire à la

définition d’un élément de type simple.
<xsd:attribute name="nom de l’attribut" type="nom du type" />
Exemple :
EXEMPLE
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Il existe plusieurs catégories des indicateurs :

 Les indicateurs d’ordre : il s’agit de balises qui définissent
des sous-éléments
 All
 Choice
 Sequece
 Les indicateurs d’occurrence : ces indicateurs précisent le
nombre d’occurrences de chaque élément
 minOccur,
 maxOccur
 Les indicateurs de groupe : ce type d’indicateur permet de définir
des ensembles d’éléments qui seront par la suite réutilisés.
 Group
 attributeGroup
All : tous les sous-éléments décrits dans cet

indicateur sont obligatoires dans n’importe
quel ordre,
<xsd :element name="personne">
<xsd :complexType>
<xsd:all>
<xsd :element name="nom" type="xsd:string"/>
<xsd :element name="prenom“ type="xsd:string"/>
</xsd:all>
</xsd :complexType>
</xsd :element>
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Choice : un des éléments décrit dans cet

indicateur doit être utilisé,
<xsd :complexType>
<xsd:choice>
<xsd :element name="prenom" type="xsd:string"/>
</xsd:choice>
</xsd :complexType>
</xsd :element>
Sequence : définit une liste de sous-éléments où chaque sous-

élément est obligatoire et doit suivre l’ordre défini.

<xsd :complexType>
<xsd:sequence>
</xsd:sequence>
<xsd:attribute name="sexe" type="xsd:string" ></xsd:attribute>
</xsd :complexType>
</xsd :element>
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<xsd :complexType name="personneType">

<xsd:sequence>
</xsd:sequence>
</xsd :complexType>
<xsd:element name="personnes">
<xsd :complexType>
<xsd :element name="personne" type=" personneType
"
minOccur=”1” maxOccur=”unbounded”/>
</xsd :complexType>
</xsd:element>
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< ?xml-stylesheet type="text/xsl" href="personnel.xsl" ?>
<personnes>
<personne >
<nom>CRUSOE</nom>
</personne>
<personne >
<nom>DURAND</nom>
<prenom>Paul</prenom>
</personne>
<personne> …..</personne>
</personnes>
Group : spécifier un groupe de définitions d’éléments
<xsd:group name=”NomPrenom”>
<xsd:sequence>
<xsd :element name="prenom"
type="xsd:string"/>
</xsd:sequence>
</xsd:group>
<xsd :complexType>
<xsd: group ref=”NomPrenom”/>
</xsd :complexType>
</xsd :element>
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attributeGroup : spécifier un groupe de définitions d’attributs,
<personne nom= ”CRUSOE ” prenom=

prenom= ” Robinson ”/ >
<xsd:attributgroup name=”Liste”>
<xsd :attribute name="nom" type="xsd:string"
use=”required”/>
<xsd :attribute name="prenom" type="xsd:string"
use=”required”/>
</xsd: attributgroup >
<xsd :complexType>
<xsd: attributgroup ref=”Liste”/>
</xsd :complexType>
</xsd :element>
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 Exemple
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 Le document XML est considéré comme une instance du

schéma.
 Pour que le parseur puisse utiliser un schéma au cours de la
validation,
 Insérer dans le document XML des attributs
supplémentaires sur l’élément racine.
 Ces attributs devront appartenir à l’espace de noms
http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance.
 1: Le cas prenant en compte les espaces de noms du
document.
 Attribut : schemaLocation
 2: Le cas ignorant les espaces de noms du document.
 Attribut : noNamespaceSchemaLocation
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<ElementRacine
xmlns:xsi=http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance
xsi:schemaLocation="UnURISymbolisantLEspaceDeNomUnFichier.xsd">
...
</ElementRacine>
Cette forme est utilisée lorsque le schéma contient la mention explicite

d'un espace de nom à l'aide de l'attribut targetNamespace
<xsd:schema
xmlns:xsd="http://www.w3.org/2001/XMLSchema"
targetNamespace="UnURISymbolisantLEspaceDeNom">
...
</xsd:schema>
le schéma est accessible localement
<ElementRacine
xmlns:xsi="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"
xsi:noNamespaceSchemaLocation="UnFichier.xsd">
...
</ElementRacine>
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<personnes
Xmlns= "http://www. exemple.fr/schema"
xsi:schemaLocation="http://exemple.fr/schema/exemple.xsd">
…
</personnes >
 OU
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>
<personnes
xmlns= "http://www. exemple.fr/schema"
xsi:noNamespaceSchemaLocation="C:\exemples\exemple.xsd">
…
</personnes>

< ?xml-stylesheet type="text/xsl" href="personnel.xsl" ?>
<personnes
xsi:noNamespaceSchemaLocation=".\personnes.xsd">
<personne identifiant= "4567809">
<nom>CRUSOE</nom>
</personne>
<nom>DURAND</nom>
</personne>
</personnes>
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01/04/2021

<xsd:schema xmlns:xsd="http://www.w3.org/2001/XMLSchema">
<xsd:group name=” personneType”>
<xsd:sequence>
</xsd:sequence>
</xsd:group>
<xsd :complexType>
<xsd: group ref=” personneType”/>
<xsd :attribute name="identifiant" type="xsd:string" />
</xsd :complexType>
</xsd :element>
<xsd :complexType>
</xsd:sequence>
<xsd :element ref="personne" minOccur=”1” maxOccur=”unbounded”/>
</xsd:sequence>
</xsd :complexType>
</xsd:element>
</xsd:schema>

< ?xml-stylesheet type="text/xsl" href="personnes.xsl" ?>
<personnes
xsi:SchemaLocation=".\personnes.xsd">
<nom>CRUSOE</nom>
</personne>
<nom>DURAND</nom>
</personne>
</personnes>
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<xsd:schema xmlns:xsd=http://www.w3.org/2001/XMLSchema
targetNamespace="UnURISymbolisantLEspaceDeNom”>
<xsd:group name=” personneType”>
<xsd:sequence>
</xsd:sequence>
</xsd:group>
<xsd :complexType>
<xsd: group ref=” personneType”/>
<xsd :attribute name="identifiant" type="xsd:string" />
</xsd :complexType>
</xsd :element>
<xsd :complexType>
</xsd:sequence>
<xsd :element ref="personne" minOccur=”1” maxOccur=”unbounded”/>
</xsd:sequence>
</xsd :complexType>
</xsd:element>
</xsd:schema>
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 Indépendance contenu / Présentation

XML _ Outils et logiciels

Une instruction de traitement est une

 DTD permet de définir la structure du

Dans le cas d'une DTD externe, nos documents

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8"

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

 Les espaces de noms ont été introduits en XML afin de

 Une technique permettant de répertorier les

<rapport xmlns:math="adresse de la dtd Mathml">

 Espace de noms et attribut: Les attributs

 XML => http://www.w3.org/XML/1998/namespace

 Les DTD ne sont pas au format XML.

 Les DTD ne supportent pas les «espaces

 Le « typage » des données est

 Une recommandation du W3c de mai 2001

<?xml version=“1.0“ ?>

 La définition d’un élément de type simple respect la syntaxe

< ?xml version = ‘ 1.0 ‘ ?>

<nom> Dupont </nom>

 Les principales catégories de dérivation (création d’un

 Les contenus simples.

 Les contenus complexe

 Les contenus mixtes

 La définition d’un attribut est similaire à la

Il existe plusieurs catégories des indicateurs :

All : tous les sous-éléments décrits dans cet

Choice : un des éléments décrit dans cet

Sequence : définit une liste de sous-éléments où chaque sous-

<xsd :element name="personne">

<xsd :complexType name="personneType">

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

Group : spécifier un groupe de définitions d’éléments

attributeGroup : spécifier un groupe de définitions d’attributs,

<personne nom= ”CRUSOE ” prenom=

 Le document XML est considéré comme une instance du

Cette forme est utilisée lorsque le schéma contient la mention explicite

le schéma est accessible localement

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

< ?xml version="1.0" encoding="UTF-8" ?>

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