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LES GRANDS PRINCIPES ÉCONOMIQUES

Ques que l’économie ? ( Partie 1)


Ethymologie = combinaison entre therme grec maison + loi

RESSOURCES ET BESOINS
Une ressourse= tous ce qui peut satisfaire un besoin
Ex : bien matériel (smartphone
Immatériel (le logiciel qui le fait fonctionner)
Marchant (acheté dans le commerce)
Non -marchant (acheté à un ami, un échange)
De production durable ou non durable
Des services
Pour un foyer :
- Certaines ressources rares (nourriture car nécessite un sacrifice pour être
produit)
- Certaines ressources libres (air car disponible en abondance)
DES BESOINS HUMAINS INFINIS
Besoin économique = un manque qui peut être satisfait par une l’acquisition ou la
consommation d’un bien ou service.
Ainsi on dégage deux problématiques :
- Des besoins absolus (question de survie) -> BESOIN PRIMAIRE, BESOIN
SOCIAUX
- Des besoins relatifs (pas une question de survie) -> BESOIN
ACCOMPLISEMENT DE SOI OU SOCIAUX
RÉSUMÉ
Ressources < Besoins
L’économie cherche comment à étudier comment les ressources peuvent satisfaire
les besoins = l’étude de l’allocation des ressources.
Citation pour définir l’économie :
« L’économie est la science qui étudie le comportement de l’humain en tant que
relation entre les fins et les moyens rare à usage alternatif » LIONEL ROBBINS

LA PRODUCTION ET L’ÉCHANGE
Satisfaire directement les besoins :
RESSOURCES -> SATISFACTION -> BESOINS
Satisfaction de plus de besoin par le détour de la production :
RESSOURCES-> ÉPARGNE -> INVESTISSEMENT -> PRODUCTION -> BESOINS

Facteur de production :
- La production
- Le travail
- Le facteur résiduel
- Le capital
- Le progrès technique
Qui est propriétaire des moyens de production ?
Capitalisme = le propriétaire est privé des moyens de production et du marché
Communisme = la propriétaire collective des moyens de production et la planification
TOUS LES SYSTÈMES ÉCO SONT UN MÉLANGE DES DEUX

Quel mécanisme pilote la production ?


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Le marché
La planification

Finalement il n’y a que des économies de types mixtes


Les marchés et l’intervention de l’état c’est-à-dire des modèles de capitalisme ou de
socialisme encadrés.

Le circuit économique :

DISTINGUER ÉCONOMIE NORMATIVE ET POSITIVE


Approche épistémologique de l’économie : comment les économistes fonctionnent
Positive = résonner sur l’économie telle qu’elle est posée et explique pourquoi les
choses et les comportements sont ce qu’ils sont. (Ex : il y a 10% de chômage)
Normative = explique l’économie telle qu’elle devrait être, elle cherche à définir
comment devraient être les choses et les comportements en se basant sur des
normes. (Ex : il faut supprimer les 35 h)
Le raisonnement économique : - science vs idéologie
- Hypothèses, loi et modèles
- Théories et leurs validités
- Individualisme méthodologique et holisme
- Microéconomie (étude de l’économie à l’échelle des agents économique) –
macroéconomie ( étude de l’économie à partir d’agrégat c’est-à-dire d’agents
économique pris dans leurs ensemble) -> CES DEUX APPROCHES
S’INFUENCENT MUTUELLEMENT
On part de l’hypothèse que tous les agents économiques sont rationnels c’est-à-dire
qu’ils font toujours des choix conformes à leurs intérêt cependant cette modélisation
est discutable.
D’autres consulat considère que l’économie est un tout et qu’il n’est pas utile de
chercher à analyser les comportements individuels. (Certains courants marxiste)

Quoi qu’on en pense il faut comprendre que l’économie étudie un environnement


complexe en perpétuel mouvement.

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QUI FAIT L’ÉCONOMIE ?
L’ÉCOLE CLASSIQUE

Adam Smith 1723- 1790 (souvent présenté comme le fondateur de l’économie


moderne)
Son œuvre la plus connue est « recherche sur la nature et les causes de la richesse
de la nation)
Cette ouvre traite de la division du travail, les avantages absolus et la main invisible
Jean- Batiste Say 1767- 1832 « traité d’économie politique » qui parle de la neutralité
de la monnaie et la loi des débouchés
David Ricardo 1772-1823 « principes de l’économie politique et des impôts » qui
traite des avantages comparatifs et du libre-échange, du prix naturel et des profits.
John Stuart Mill 1806-1873
 Finir cette partie

L’ÉCOLE NÉOCLASSIQUE
Léon Walras « la théorie de l’équilibre générale » ( il parle de l’origine des prix, de
um=p et du comportement du producteur)
David Marshall
Vilfredo Paretto
Augustin Cournot
Etienne Bono-de-Condillac remet en cause la notion de valeur.
Jules Dupuys décrit la notion d’utilité, l’utilité relative.
Jeremie Bentham établie lui un calcul du bonheur et des peines qui repose sur 7
facteurs :
- La durée
- L’intensité
- La certitude
- La proximité
- L’étendue
- La fécondité
- La pureté
La notion d’utilité :
Le prix d’un objet ne représente pas le temps nécessaire à sa fabrication mais par le
plaisir qu’il donne au consommateur et par son utilité.
Cette utilité est quantifiable.
Plus on a consommé un bien moins un retire de plaisir à la consommation d’une
unité supplémentaire de ce bien (utilité marginale aussi appelé um)
 Donc utilité marginale décroissante
Plaisir due à l’achat d’un bien = prix payé aussi appelé p
 Um > p = le consommateur achète le bien si um=p = consommateur arrête
d’acheter

Ainsi le rapport des unités marginales de deux bien est = au rapport de leurs prix
Graphique notion utilité :

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Comportement du producteur :
Pq = CA (chiffres d’affaires)
C(q) = Cout de production
Cm = p et le chiffre pie

Formules : pie = pq – cq
Cm = p
Équilibre général = système de prix (p) qui réalise l’équilibre de l’offre (Cm) et la
demande (Um)

le plan de l’équilibre de Marshall


 Il peut y avoir des :
- Cout fixe
- Cout variable
- Cout marginale

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- Cout total
- Cout moyen

LOI DE PARETO : « 20% des causes expliques 80% des effets »


 L’optimum de Pareto ( une situation dans laquelle il est impossible d’améliorer
la situation d’un agent sans détériorer la situation d’un autre agent »

LA RÉVOLUTION KEYNÉSIENNE
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Pourquoi avons-nous besoin de la finance ? (Partie 4)

Finance -> l’allocation de capital


Capital = objet de propriété privé autrement dit les agents économiques sont
propriétaire de capital, il est réparti par ces agents de manière inégal dans le
système économique.
 Certain en ont trop = agents à capacité de financement car ils peuvent offrir le
capital dont ils n’ont pas besoin
 D’autres n’en ont pas assez = agents à besoin de financement, ils demandent
du capital

Donc pour régler cela les agents à capacité de financement mettent à disposition
leurs capital et en échange de ça les agents à besoin de financement les
rémunèrent. = l’allocation de capital

Dans le système capitaliste seule la faillite permet une redistribution du capital car
elle rompt le lien de propriété entre les agents à capacité de financement et son
Capital.

Organigramme Les moyens de


Financement
des modalités de
financement

Financement Financement
Externe Interne

Financement Financement Auto-


direct indirect financement

Marché des Intermédiation


Marché
capitaux (actions bancaire ou
monétaire
et obligation) financière

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Les revenus ? (Partie 6)

RÉPARTITION ET
REDISTRIBUTION
ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE

CRÉATION DE RICHESSES (VA)

RÉPARTITION RÉPARTITION
PRIMAIRE DES SECONDAIRE DES
REVENUS REVENUS

SE TRADUIT CORRIGE
PAR

INÉGALITÉS

Répartition
première des
revenus

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LE MARCHÉ ? (PARTIE 7)

DEF : c’est un lieu théorique sur lequel un groupe de vendeurs et d’acheteurs qui
déterminent par leurs actions effectives ou potentielles le prix d’un bien ou d’un
ensemble de biens.

Détermination des marchés (qu’es qui détermine les marchés) : leurs étendues


géographique, leurs gammes de biens mais également la concurrence.
 Donc il existe une multitude de marché

Les types de marchés :


- Le marché de bien ou service (ils sont appelé marchand) ils représentent
l’ensemble de l’offre et de la demande à un moment donné.
- Le marché du travail = c’est le lieu de rencontre entre l’offre de travail
(demande d’emploi des ménages) et la demande de travail (offre d’emploi
proposé par les entreprises)
- Le marché des capitaux permet la rencontre entre les agents économiques
ayant un excédent de capitaux et ceux ayant un besoin de financement. Il se
composent généralement du marché monétaire et du marché financier à long
terme.

Le marché est un lieu de rencontre entre des acteurs : les acheteurs et les
vendeurs.
Les acheteurs= consommateurs de bien et de services puis les entreprises qui
achète du travail et des liens intermédiaires.
Les vendeurs = les travailleurs qui vendent leurs travails, les entreprises qui
vendent les biens et les services qu’ils ont produits puis les propriétaires de
ressources qui louent leurs biens fonciers et vendent leurs matières premières.
 Les acheteurs déterminent la demande pour un bien/service et les
vendeurs déterminent l’offre. Les différences de gouts et de ressources
conduisent les acteurs à arbitrer et à se rencontrer sur les marchés
(offre et demande).

LA CONCURRENCE PURE ET PARFAITE 1 ?

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Lorsque le prix évolue, l’évolution des quantités demandées et offertes se réalise le
long de chaque courbe.
La demande dépend du prix du bien consommé mais également du prix du bien des
autres (ex : les biens substituables ou les biens complémentaires)

Quand les prix de train La consommation de l’un


augmentent la demande entraine la consommation de
pour les billets d’avion va l’autre
augmenter (Ex : lampe et une ampoule)

 LE DEMANDE EST DÉTERMINÉE :


- Le revenu des consommateurs
- Les gouts et les préférences des consommateurs
- Le nombre de consommateurs
- Les anticipations

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LES PRIX

Les prix sont la première variable d’ajustement en situation de concurrence pures et


parfaites. Les prix s’expriment en unité monétaires (euro, dollar…)

- Moyen de circulation : des informations sur les caractéristiques des


biens et services (rareté, qualité,)
- Coordination des actions : efficientes/rationnelles des agents
économique (l’offre et la demande s’ajuste au prix).
- L’ajustement de l’offre est la demande sur les prix permet d’établir
l’équilibre du marché.

LE PRIX EST DÉTERMINÉ PAR LES ARBITRAGES DES AGENTS


ÉCONOMIQUES

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LA CONCURRENCE PURE ET PARFAITE 2 ?

Sous le point d’équilibre le prix est < au prix


d’équilibre et les consommateurs ne peuvent pas
acheter tout ce qu’ils souhaiteraient.
 Dans ce cas demande > à l’offre
Cette situation est une situation de pénurie.
Pour acheter plus les consommateurs vont devoir
proposer un prix supérieur.
Les producteurs ne peuvent pas vendre toute la
quantité produite et vont devoir accepter de
baisser leurs prix. On parle de situation
excédentaire.
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- L’intervention de l’état (ex : contrôle des prix) = limite la régulation par le
marché
- L’asymétrie de l’information (effet de sélection inverse) = producteur et
consommateur ne disposent pas de la même information (ex : concession
auto-vendeur plus d’info qu’acheteur donc peut en dissimuler)
- Les anticipations (comme dans la bourse on ne va peut-être pas acheter tout
de suite car on anticipe que le prix va surement encore baisser)
- Le mimétisme (effet Veblen) (pour faire comme tout le monde IPHONE)
- Les biens Giffen = bien pour lesquels une augmentation de prix ne modifie
pas la demande voir accroit la quantité consommée
- L’effet d’addiction (cigarettes, etc.)

LES LIMITES DE LA CONCURRENCE PURE ET PARFAITE ?

LES LIMITES DE LA CPP

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Si l’une des hypothèses de la CPP n’est pas vérifiée alors la situation est dites de
concurrence imparfaite.
- C’est le cas s’il existe une concentration des acteurs.
- Si l’information n’est pas complète
- Si les producteurs parviennent à différencier leurs produits
- S’il existe des barrières à l’entrée 
- S’il y a du protectionnisme
 La CPP (concurrence pure et parfaite) est un modèle théorique mais la
concurrence imparfaite est la réalité.

Meme si la CPP dit que le prix est au centre de tout, il existe des marchés sans
prix : les défaillances du marché

Les biens collectifs = est


Les externalités : effets un bien qui n’est pas
économiques sur des tiers non pris divisible et pour lequel il est
en compte par celui qui prend la impossible de d’exclure un
décision. consommateur (ex :
Une externalité peut être positive et éclairage public) => les
négative. consommateurs profitent
des biens sans en assurer
les couts.

LES 5 FORCES CONCURRENTES ?

Plusieurs facteurs conduisent à une concurrence imparfaite :

- Nb d’acteurs
- Nature des biens (s’il est homogène ou différencié)
- Cloisonnement (si la possibilité d’entré est aisée ou non)

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Le monopole est une configuration de marché dans laquelle un seul producteur fait
face fait face à une multitude d’acheteurs (monopole naturel, monopole légal,
monopole d’innovation).
DONC C’EST CETTE ENTREPRISE QUI FIXE LES PRIX DU MARCHÉ
 MONOPOLE NATUREL = le marché a vu son nombre d’offreur se réduire
progressivement du fait de couts fixe trop importants.
 MONOPOLE LÉGAL = Le marché est conféré à un seul opérateur par les
pouvoirs publics, il concerne essentiellement les domaines de la défense
(SNCF, AIRFRANCE) et ils disparaissent à cause de la règlementation
européenne.
 MONOPOLE D’INNOVATION = lorsque l’entreprise se retrouve seul sur le
marché suite au lancement d’un nouveau produit ou d’une nouvelle
technologie.

L’oligopole (def en commentaire page 13) (oligopole de guerre, oligopole de paix)

POUR MAINTENIR LEUR MONOPOLE OU OLIGOPOLE LES ENTREPRISES


DOIVENT ÉRIGER DES BARRIÈRES À L’ENTRÉE ET À LA SORTIE.

- LES ÉCONOMIES D’ÉCHELLE


- LES EFFETS DE RÉSEAU
- LA DIFFÉRENCIATION DE
PRODUIT/FIDÉLITÉ À UNE MARQUE

Une entreprise en situation de monopole peut développer une expérience spécifique


et bénéficier :
- D’effet d’expérience (permet de limiter l’entrée de nouveau concurrent car elle
limite ses couts et donc fixe un prix plus faible)
- Le contrôle des facteurs clés (lorsqu’une entreprise à acheter ou contacter
une exclusivité avec le fournisseur principal)
- La protection légale (utilisation de brevet, droit d’auteur…)
- La fusion et acquisition (menace de racheter les nouveaux entrants)
- Les stratégies agressives

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