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Corrigé Exercice 1 : ASSEMBLAGE PAR FRETTAGE

(SURFACES DE FRICTION CYLINDRIQUES)

EFFORT AXIAL MAXIMAL TRANSMISSIBLE

v
Question 1 : Refaire en grand les 2 schémas ci-
contre : un dans le plan (y, z) et Tendance au dN21(Q' ' ) 2
glissement de
l’autre dans le plan (x, y), en 1/2 u
plaçant les actions élémentaires dT21(Q' ' ) y Q
normale et tangentielle de 2 sur 1
Q’’ dN21(Q)
en un point Q quelconque de la
surface de contact. dT21(Q)
x

Question 2 : Exprimer dF21(Q) .

Car on a toujours : dN12 (Q)  p(Q).ds
dF21(Q)  dN21(Q)  dT21(Q) Et on suppose que :
- le coefficient d’adhérence est égal à celui du
dF21(Q)   dN21(Q) .u  dT21(Q) .z frottement donc a lim ite  f   ,
dF21(Q)   p.ds.u  .p.ds.z - on se place à la limite du glissement donc
dT21(Q)  . dN21(Q) ,
- la pression est uniforme p(Q)  p .

Question 3 : Déterminer la résultante axiale maximale transmissible en fonction de p et des

caractéristiques géométriques du frettage.

R21   dF21(Q )
s
R21     p.ds.u  .p.ds.z 
s


R21  p. (cos .x  sin .y )  .z .ds 
s


R21  p.  cos .x  sin .y  .z .R.d .dl 
l ,


R21  p.R. dl .  cos .x  sin .y  .z .d  
l 
2.
R21  p.R. l 0 .  sin .x  cos .y  ..z 
L
0

R21  p.R.L..2..z

On aurait pu remarquer, avant de réaliser les calculs, que les composantes de dF21(Q) suivant u (les dN21(Q) ),
se compensaient par symétrie.
Ainsi les calculs auraient été plus simples : R21   .p.ds.z  .p.z. ds  .p.z.S  .p.z.2..R.L
s s

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COUPLE MAXIMAL TRANSMISSIBLE

v
dN21(Q' ' ) Tendance au
Question 4 : Refaire en grand les 2 schémas ci- 2 glissement de
contre : un dans le plan (y, z) et 1/2 u
l’autre dans le plan (x, y), en plaçant
y Q
les actions élémentaires normale et
Q’’ dT21(Q' ' ) dN21(Q)
tangentielle de 2 sur 1 en un point Q
quelconque de la surface de contact. x dT21(Q)

Question 5 : Exprimer dF21(Q) .

dF21(Q)  dN21(Q)  dT21(Q)

Car on a toujours : dN12 (Q)  p(Q).ds
dF21(Q)   dN21(Q) .u  dT21(Q) .v
Et on suppose que :
dF21(Q)   p.ds.u  .p.ds.v - le coefficient d’adhérence est égal à celui du
frottement donc a lim ite  f   ,
- on se place à la limite du glissement donc
dT21(Q)  . dN21(Q) ,
- la pression est uniforme p(Q)  p

Question 6 : Déterminer le couple maximal transmissible en fonction de p et des caractéristiques

géométriques du frettage.

MO,21   OQ  dF21(Q )
s
MO,21   R.u  ( p.ds.u  .p.ds.v )
s
MO,21   R..p.ds.z
s
MO,21  R..p.z. ds
s
MO,21  R..p.z.S
MO,21  R..p.z.2..R.L

MO,21  .p.2..R 2 .L.z

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Corrigé Exercice 2 : EMBRAYAGE À FRICTION MONODISQUE DE

VÉHICULES AUTOMOBILES
(SURFACES DE FRICTION PLANES)
Tendance au
2 v glissement de
Question 1 : Refaire en grand les 2 dT21(Q' ' ) 1/2
schémas ci-dessus : un 1 Q’’ dN21(Q' ' )
u
dans le plan (y, z) et
l’autre dans le plan (x, y), Q
en plaçant les actions Fa y dN21(Q)
élémentaires normale et
tangentielle de 2 sur 1 en x dT21(Q)
un point Q quelconque
de la surface de contact.

(disque 1 enlevé)
Question 2 : Exprimer dF21(Q) .
Car on a toujours : dN12 (Q)  p(Q).ds
dF21(Q)  dN21(Q)  dT21(Q)
Et on suppose que :
dF21(Q)  dN21(Q) .z  dT21(Q) .v - le coefficient d’adhérence est égal à celui du
frottement donc a lim ite  f   ,
dF21(Q)  p.ds.z  .p.ds.v - on se place à la limite du glissement donc
dT21(Q)  . dN21(Q) ,
- la pression est uniforme p(Q)  p

Question 3 : Déterminer le couple maximal transmissible en fonction de p et des caractéristiques

géométriques de l’embrayage.

MO,21   OQ  dF21(Q )
s
MO,21   r .u  ( p.ds.z  .p.ds.v )
s
MO,21   r .p.ds.v  r ..p.ds.z
s
MO,21    r .p.(cos .y  sin .x )  r ..p.z  .r .d .dr
r ,


MO,21  p. r 2 .dr .  cos .y  sin .x  .z .d  
r 
R
 r 3  max 2.
MO,21  p.   .   sin .y  cos .x  ..z 
 
 3 R 0
min

R 3
 Rmin3 
MO,21  p.  max  ..2..z
 
3

On aurait pu remarquer, avant de réaliser les calculs, que les composantes de dF21 suivant z (les dN21 ),
créaient des moments, mais qui se compensaient par symétrie.
Ainsi les calculs auraient été plus simples :
R
 r 3  max 2. R 3
 Rmin3 
MO,21   r .u  .p.ds.v   r ..p.ds.z  .p.z.  r .r .d .dr  .p.z.   . 0  .p.z..  max  .2.
s s r ,  3 R  3 
min

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Question 4 : Déterminer l’action axiale Fa (qui crée les dN ) en fonction de p et des caractéristiques
géométriques de l’embrayage.

Fa   dN21(Q )
s
Fa   p.ds.z
s
Fa  p.z. ds
s
Fa  p.z.S


Fa  p.z. .Rmax2  .Rmin2 

Question 5 : En déduire le couple maximal transmissible en fonction de Fa (et non en fonction de p) et des
caractéristiques géométriques de l’embrayage.

Fa
p
.(Rmax 2  Rmin2 )

 Fa   3 3
MO,21    .  Rmax  Rmin  ..2..z
 .(R 2 
max  Rmin )   
2 3

2 R 3
 Rmin3 
MO,21  .. Fa .  max  .z
 Rmax  Rmin 
3 2 2

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Corrigé Exercice 3 : EMBRAYAGE CONIQUE DES

SYNCHRONISEURS DE BOÎTE DE VITESSES
(SURFACES DE FRICTION CONIQUES)

Tendance au
Question 1 : Refaire en grand v glissement
dT21(Q' ' )
de 1/2
les 2 schémas ci-
dessus : un dans le Q’’ u
dN21(Q' ' )
plan (y, z) et l’autre
dans le plan (x, y), Q
Fa y
en plaçant les
actions x dT21(Q)
élémentaires
normale et
tangentielle de 2 1
sur 1 en un point Q 2
quelconque de la (cône 1 enlevé)
surface de contact. dN21(Q)
Attention, il est incliné
dans cette vue)

Question 2 : Exprimer dF21(Q) .

Car on a toujours : dN12 (Q)  p(Q).ds

dF21(Q)  dN21(Q)  dT21(Q)
Et on suppose que :
dF21(Q)  dN21(Q) .cos .u  dN21(Q) .sin .z  dT21(Q) .v
- le coefficient d’adhérence est égal à
celui du frottement donc
dF21(Q)  p.ds.cos .u  p.ds.sin .z  .p.ds.v
a lim ite  f   ,
- on se place à la limite du glissement

donc dT21(Q)  . dN21(Q) ,
- la pression est uniforme p(Q)  p
dN21(Q' ' )


Question 3 : Déterminer le couple maximal transmissible en fonction de p et des caractéristiques

géométriques de l’embrayage.

MO,21   OQ  dF21(Q )
s
MO,21   r .u  ( p.ds.cos .u  p.ds.sin .z  .p.ds.v )
s
MO,21   (r .p.ds.sin .v  r ..p.ds.z)
s


MO,21  p.  r .sin .(cos .y  sin .x )  r ..z .r .d .  dr
sin 
dl
dr
ds
r ,

MO,21 
p
sin  r

. r 2 .dr .  sin .cos .y  sin .sin .x  .z .d  

Rmax
p r 3  2.
MO,21  .  .   sin .sin .y  sin .cos .x  ..z 
sin   3   0 ds  r .d .dl
Rmin
Avec dr  dl .sin 
p  Rmax  Rmin 
3 3
dr
MO,21  .  ..2..z Donc ds  r .d .
sin   3  sin 


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On aurait pu remarquer, avant de réaliser les calculs, que les composantes de dF21 suivant z , créaient des
moments, mais qui se compensaient par symétrie.
Ainsi les calculs auraient été plus simples :
Rmax
dr .p r 3  2. .p R 3  R 3 
MO,21   r .u  ( p.ds.cos .u  .p.ds.v )   r ..p.ds.z  .p.z.  r .r .d .  .z.   . 0  .z..  max min
 .2.
s s r ,
sin  sin   3  sin   3 
Rmin

Question 4 : Déterminer l’action axiale Fa (qui crée les dN ) en fonction de p et des caractéristiques
géométriques de l’embrayage.

Fa   dN21(Q )
s
Fa   p.ds.cos .u  p.ds.sin .z
s


Fa  p.  cos .(cos .x  sin .y )  sin .z .r .d .  dr
sin 
r ,

Fa 
p
sin  r

. r .dr . cos .cos .x  cos .sin .y  sin .z .d  

Rmax
p r 2  2.
Fa  .  . cos .sin .x  cos .cos .y  sin ..z 
sin   2   0
Rmin

p  Rmax  Rmin 
2 2
Fa  .  .sin .2..z
sin   2 

Fa  p. Rmax2  Rmin2  ..z
 

On aurait pu remarquer, avant de réaliser les calculs, que les composantes de dN21 suivant u , se
compensaient par symétrie.
Ainsi les calculs auraient été plus simples :
R  Rmin   Rmax  Rmin 
Fa   p.ds.sin .z  p.sin .z. ds  p.sin .z.S  p.sin .z.2.Rmoy .l  p.sin .z.2.  max . 
2 2
  p.z...(Rmax  Rmin )
s s  2  sin  

Question 5 : En déduire le couple maximal transmissible en fonction de Fa (et non en fonction de p) et des
caractéristiques géométriques de l’embrayage.

Fa
p
.(Rmax 2  Rmin2 )

 Fa   3 3
MO,21    .  Rmax  Rmin  ..2..z
 .(R 
max  Rmin ).sin    
2 2 3

2  R 3
 Rmin3 
MO,21  . . Fa .  max  .z
3 sin   Rmax 2  Rmin2 

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Corrigé Exercice 4 : BARRAGE POIDS.

Question 1 : Exprimer dFeau barrage (Q) .

dFeau barrage (Q)  dNeau barrage (Q)  dTeau barrage (Q)

dFeau barrage (Q)  dNeaubarrage (Q) car adhérence/frottement négligé.

dFeau barrage (Q)  p(Q).ds.x

Question 2 : Déterminer en O le torseur des actions mécaniques exercées par l’eau sur le barrage.

Reau barrage   dFeau barrage (Q)

s
Reau barrage   .g.(h  z).dz.dy.x
y ,z

Reau barrage  .g. dy . (h  z ).dz.x

y z
l h
  (h  z )2 
Reau barrage  .g.  y  2
l
.  .x

2  2 0

h2
Reau barrage  .g.l . .x
2

MO,eau barrage   OQ  dFeau barrage (Q)

s
MO,eau barrage   ( y.y  z.z)  .g.(h  z).dz.dy.x
y ,z

MO,eau barrage  .g.  ( y.z  z.y ).(h  z ).dz.dy

y ,z
l

 y2  2
MO,eau barrage  .g. (  .z  y .z.y ).(h  z ) .dz
z    l
2
2
MO,eau barrage  .g. (l .z.y ).(h  z).dz Comme O milieu du barrage, il était
z évident que, par symétrie, il n’existait pas
h de moment suivant z .
 h.z2 z3 
MO,eau barrage  .g.l .    .y
 2 3 
0

h3
MO,eau barrage  .g.l . .y
6

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 h2 
 Reau barrage  .g.l . .x 
Donc Teau barrage   






MO,eau barrage 
 T eau barrage  
 

2 
h3 

O
.g.l . 6 .y 
O

Toujours vérifier que le résultat obtenu est homogène

pour la 1ère expression à une résultante (N),
pour la 2ème expression à un moment (N.m).

Question 3 : En déduire la position du centre de poussée A : point où l’action globale de l'eau sur le
barrage ne crée pas de moment (pour cela lire avant, les notions sur l’axe central et torseur
glisseur dans l’annexe 6 sur les torseurs).

On remarque que R  M  0 .
Donc l’action de l’eau sur le barrage est un torseur glisseur. Ainsi, il existe un point A où le moment est nul.
MA,eau barrage  0  MO,eau barrage  AO  Reau barrage

h3 h2 A est appelé centre de

0  .g.l . .y  ( y A .y  zA .z )  .g.l . .x poussée : point où l’action
6 2
globale de l'eau sur le barrage
h3 h2 h2 ne crée pas de moment.
0  (.g.l .  zA ..g.l . ).y  y A ..g.l . .z
6 2 2
h
 yA  0 et zA  L’axe central est une droite de direction R passant par A.
3

RAPPEL pour l'action de pesanteur :

On sait que l'action de la pesanteur se modélise par un torseur glisseur car il existe le point G où le moment est
nul. Ainsi, nous devrons toujours avoir pour cette action R  M  0 .
Son axe central sera la droite de direction R passant par G.

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