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SOMIiIATRE
EI{TEI{DU p. e4
âIÈrâ;
A bon entendewt,
Selan LtT"B.A.Â/., "ÇQÀ cs.t do aeonbu.t. e-t de (a)Lence. en ptwtLinu e.t en ca"L-
e.iJnn, d'anûswLe, de taws-a.UnLnta.ti.on e,t mô.ne- de mont. pan d:ul+qdtæ.A,LLon ont.
A6jâ. ut6. censtatët lontque tz nlegine Le pLut Mnirt. avo,tt -e,tê. tuivL",'
de eompLé,telt t
?eswre.ttez-nûuÂ
t.., L9peqe.te n:egine'Le.pf-uji !'4et avwi.t ê."tê. auivL, AIORS QUE CELA N'EIAIT
PAS NECESSAiRE.
Lû4ÂL, en Li,tant wûne L.el Li4net tu eprLAL Le,s lignot, an pert {ae-ilenenL
d,ileutnen Le.t Êend,sneu auh jectiuea d'urc ongani.dme. inpotrfuvtt pu'i.tqu''t.l-
pnëiend in{onnen *uh Le- ptl* vi*fuI du aujutt : L'ailmen"ta,il.an,
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Nt pat pine aveugLe que- ce,LwL q* ne veuL voin ?
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Pelwelltz-nCIua s,nclrLe de- panaplutateh AûL Le 1nîne ton que eel atû,ipLe :
' Le^ hôpi,tnux coywtituent. uyl v-ëni.tabLe dange,z ytoun La popuko,Lbn, pu,r..aque
Le taux de manta,U-tû- g ut .Le ysltu "ete-vâ..
- 7L eÂt dangenwtx de ae nouxnin cowne tau.t te mondz, eo,st tau.te.t Lu pu.ton-
nat a.tÂ.eirLtu de ma.ladiu: incwabLe ,Le- naulLtLiÂtent ainti,
- tlâ"dinn"t-n0u^ de's nê-deefus, ealL ij..s meune.nl. *ouvent de La ma.lnd,Le dant i.b
ôo nL ayt"ecial.il tets .
Sggona aë]tiwx, e-t aouha,i.t(tnL aux në.dactewu de ee.tle bnochune. de n'ôine
ianat's naLa"de* au po,int d'd,tne ob!-Qës d' avoin ,Leeaut6 à" natne lulaenabinïLque
bien$ai.tantu, cax .<l"l n-Âquutaiel1l de- ,sa La,i*auL mawuin de {a.in, ce qùt te-
nai,t um comble drma nçLtte tociû.t6- où Lo" p.tupatut. du gerrt'"matnent de gnaves
malad"Lu dues aux excZ".a de- tûhLe,
Lo; mott watps d.isent ee qu'on vots,t bLe-n toun (a,ine dino, à notu d'entendne
ee qut 0n we vetâ paa nau,t {a.inLe. enfteytdne,
:."::::::":::::::. ":
de Georges 0HSAT,,|A
LA F]RME DU VISAGE
Sensêi : lvant 25 ang, c,est facile, après ce nrest plus auSsi aisêr,mais avec
1a Macru;i otique j'a'i-grandi de 3 cm dans ma 28è annêer
'
Plus petite, plus serrée la surface formée dans un visage par ]e triangle
yeux-iiez-bouche, plus Yang la constitution. Les yeûx doivent être peti!f'
iès tèvres mincàs'et le néz ni trop ïong, ni trop gros, proportionnê à l'en-
sembl e.
Cette surface peut occuper 20 â 90 % du visage. Plus grande cette surface,
plus Yin la constitution; plus pet'ite, plus ramassÉe au centre, plus Yang'
LEs DENTS
i!
La forme deb dents donne de très bons renseignements. VoûÈ savez qu'elïes
se prêparent pendant la période embryologique, elles existent en germe.dans
la gencive:,lgrsque 1e bêbé naît.. L'al imentation embryolog'ique a donc ûne
grande importance, Ces neuf mois sont essentieis, Ïe destin de I'enfant va
dépendre âe la sagesse, de la comprêhension, de Ia volonté de la nère.'r
La mère qui sait, qui connait, Qui vit ia constjtution-conception de I'uni-
vers, est grande, et heureux sont ses enfants"
.j.. i
Les derits, petites et bien plantêes, n'avançant pas, sont Yangi les, grandes
dents Sont, Yin (animaux vêgétariens). Certa'lnes personnes ont des'dènts
petitesi serrêei et tournêes vers liintérieur, et surtout des caninds très
pointues : c'est trop Yang, leur mère et elles-mêmes ont consormnê'tnôp de
viande dans leur enfànce, Les 6 à 7 prenlières années de l'enfancê sont dê-
clsives, déterminantes, pensez-y si vous vûus occupez d'enfantg, Toutê forme
du visage, du corps, est en rapport avec 1'alimentationI avec I'assimi'lation.
Nous verrons aussi que toute forme de 1'esprit est également 1iée à'T'alimen*
tation, Rien n'est sêparén tout se tient.
Toutes les formes que nous venons de voir sont statiques. Elles nous indi-
quent le passé (alimentation embryologique et post-natale, Ta vie:tout entière
y est condensêe). L'avenir n'est qu'ùne conséqurence nécessaire ddipassé.
Mais le présent joue un rôle crêateur. si nous savons Ie vouïo'ir;'vo.ici Ia
physiognomonie dynamique. Ayant appris ces secrets physiologiquesr'ibiologi-
quesr nrorphologiques, on peut changer tout son destin. 0n peut êtqe créateur
du Karma. Tout change d'un instant à I'autre. Rien n'est définjtif, rien
n'est mort. La vie est bonne et belle et amusante. (Autrement Dieu doit
être grondé ! )
LES ONÊLES
:"
CONFERTNCE A BALATRE !E 27 'OCTOBRI I 979 :
ln:qftisgns,e:tgs_plojêJngs*alTlale3 i
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li:'l j
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Quant au Docteur Parodi, i1''ddtlare : Les protêines végétales sont suff..isan-
tes' les acides aminês des cêrêales et des'légumin.usui
chiches, azukisr par exempru..frulî,1t, cqmptemen[ài"àil;-- ii.nitii.i,-;oi;-t'
\'-"-'' .-
Depuis :que.ie me su.is intêrd$€rg:l.a Aietetique, j'ai,,toqjours voulu obser_
'mo.Èmême
vei^- par t'às:nomu;"'jtb+$dà;r;;;ï;o'n"ioi,-Ëdil{;:'",tiiranite ac-
tuellemenV à la campagne, e{'tqô!'.*r*-àui-onl uàrtrcînÉ à norre'IIrn.aI*u
Ldil{æis-onE pu volr'que mon',[âl"d!!,est entouré d'un prê où ]es
vaches broutent
.
tj,ut' la journée. rFlon vois{{n o{ëtre des'veaux àu piil
aàs o;; i;;;;-dè;;;-;;"
'fly:lollul!' 9olilllremehr rq.,prupar-r,,des neucsi Ë.ànnànt'piis'"-aË-ii.-il
latE, et se nourrissent '$,
excTLsirii'ement dlrherb,e. tÀ un an, un veau mâle gros-
sit de 400 kiTosr. pricipalement constitués àÀ-proteines animales é'laborÉes
I parttr de I'herbe, donc d,une nourriture I ''r'-
--J-
véqbtale.
Sommes-nous infêrieurs aux fèaux'
-':' '.' oi,d
-'-,-: ?
lllgf*lr,.p.l1,l,Ê.!re passé i$t tous les stades du règne animal est devenu ce
qy'll est giâcé â la decouvet'te du feun du sel, et Ën sÀ nou..iiruni'àà-.À:
réales ddi'is.tesqueltes, i:t peùrJitrouvei'tous i.i èt'cm;ri; ;;;i';;ï;d; ;'
ueEû1n:p'iiur rester en bonnà iah,te,'
ll y a bientôt v'ingt ans que Georges OHSA1,iA nous avait dêjà expliquê ce pro-
cessus lors d'une de ses confêrences. i
D'autre part, le Professeur japonais Morishita accuse la viande d'être un
des principaux responsables de la.plupart des cancers ainsi que des malad'ies
cardiaques.
Corme-ie ]'ai dit tout à l'heure, l'homrne a traversê tous les stades du règne
animaÏr il a etê entre autres, herbivore corune la vache, carnivore cosune lè
loup et fruitarien comme le singe. Quand i'l se nou.:ruissait coruôe 1a vache,
i1 a développé son mécanisme de fabrication de protêines animales qu'i1 a
perfectionnê en se nourrissant de fruits comme le singe' pour finalement
arriver â fabriquer son sang â partir des céréales.
Si nous nous nourrissons de produits animaux, non seuTenent nous atrophions
ce mécanisme, mais de plus, nous fatiguons nos reins qui sont mis à rude é-
preuve pour êliminer les toxines contenues dans l'alirnentation carnée.
!e- 1 g i j gt_sgs_dlrjvgs.
Une des superstitions les plus ancrées dans '|'gâprit de la plupart des gens,
c'est qu'il-faut consommer du lait et du fromage pour apporter à notre ôrga-
nisme le calcium dont iI a besoin; surtout poui les enfants dont I fossifiia-
tion est en plein dêveloppement. 0rr.le Profagseur Kervran, dans ses nornbreux
ouvragesr explique que le calciumo aussi bieî ninéral qu'organique, est rejeté
conrne un véritable dêchet, Les exemples ne manquent pas, je vais vous en c'i-
ter quelques uns.
- La tétanie est une maladie répandue parmi lçs veaux; ils meurent rapidement
dans des spasmes rêpetés. Certains bébésr $urtout entre trois et quatre mois
sont atteints de tétanie et neurent étouff[s par cette maladie QUi se manifes-
te toujours sur des sujets qui sont carencés en calcium. ûrr f injection de
calcium, aussi bien minêral qu'organ'iQUê, tt'apporte aucune amélioration.
Par contre, une nourriture renforcée en magnésl.um (qu'on trouve dans les
cêrêales, surtout dans l'avoine et dans le-sel rrrarin) supprime les symptôaes
de cette maladie. Kervran nous propose : magnésium plus oxygène se transmu-
tent en calcium.
- Une expêrience a eté faite sur des rats auxquels on avait brisé une patte.
Ces rats ont êté nourris de manières diffêrentes" Les premiers furent mis
au régime habituel, 'les seconds reçurent une nourriture renforcêe en, calcium
et les troisièmes en silicium. Les premiers rats qui rêussirent à néduire
leur fracture furent ceux qui avaient reçu du silicium;les secondEo ceux
dont lralimentation n'avait reçu aucune ajoute; enfin, les troisiànes firrent
ceux qui avaient reçu du calcium. Ici Kervran nous propose : silicium piu"
carbone se transmutent en caTcium.
- comme vous avez pu le lire dans le nurnêro un de notre revue, les pou-
Enfinr
les peuvent produire le calcium nêcessaire à 1a fabrication de Teurs coquil-
les â partir du potassiumi et dans ce Gas-là* Kervran nous proFose : potas-
sium plus hydrogène se transmutent en è0lcium.
Selon Ie chimiste l{even Henaf qui s'est Ionguement penchê sur la question Ce
t0
:
A cecir les médecins répondent "Les tsquimaux mangent du poisson et de la
viande crus, qui contiennent encore assez de vit" C pour leur êviter le
scorbut. rr
Si cette rêponse était correcte, les Esqu'imaux devraient, en tout cas, avoir
assez peu de vitamines C dans leur organisme. 0r, iln'en est rien.Parmi
tous les honrnes qui ont pu être examinés, les Esquimaux sont au contraire
ceux dont le sang contient, et de beaucoup, Ies plus hautes doses de vit.C.
Cette énigme ne peut être rêsolue par ies mêdecins, car de nombreux cas de
scorbut trouvês chez les anciens marins ont traurnatisê les esprits scienti-
fiques au point qu'ils sont persuadês que Ia carence de vit. C est non seu-
!çme!t responsable du scorbut, mais enicre gue Ilabsorpiiwr de vit. C en est
l'unique remëde,
Ecoutez rpn second exemple, iI jetterait Ia plus grande perplexitê dans les
milieux mêdicaux.
b) Il y a une quinzaine d'annÉes, J'ai étê amenê à m'occuper de l'Éducation
d'un três jeune enfant. Je ne connaissais ta I'lacrobiotique que depuis deux
ans, et colrdne nous n'avions pas les possibilitës d'informations actuelles,
nous devions tout apprendre par nous-mêmes. J'ai donc nouri cet enfant
pratiquernent exclusivement de céréales pendant trois annêes. De plus, 1'en-
fant refusait catêgoriquement tout 1êgume vert et, même camouflésrdansT..**s
cêrêaïes, ils êtaient rejetés par vomissement. Un Jour, Ia mêre et moi,
nous nous sorffies disputês et pour marquer son mêcontenterentr cofltne cela ar-
rive parfois, elle dëcida de nourrir l'enfant conme tout Te monde. Elle lui
donna du fromage blanc, du sucre, et surtout des fruits, oranges, bananesretc.
ll
tous très riches en vit. C. Après une huitaine de jours, selon un ami qui
avait eu le scorbut, l'enfant présenta les sXmrptômes de cette maladie.
Très inquiète, Ia mère redonna des plats macrobiotiques â I'enfant, et très
vite, les symptômes disparurent.
Cette histoire confirmerait que nous pouvons produire nous-mànes la vit. C
et que le scorbut atteint ïes personnes qui, d'une part, par une trop gran-
de consormation de cette vitamine ont perdu cette capacitê et qul r d'autrê "
part, se trouvent dans une situation où ils ne peuvent pas en absorber.
La cause du scorbut serait donc une incapacité de fabriquer la vit. t *l
non une alimentation carencêe. ,,..,
Oans I texemple de l'enfant nourri aux cêréales, crest 'le contraire dûi s'est
produit. Il avait I'habitude, depuis son tout jeune âge, de fabriquer lui-
même la vit. C 3 lorsqu'on lui en a donné, il arcebsê dren produire et co[me
son organisme ne connaissait pas encore la vit. C utoute faite", il ne lras-
similait pas.
,le voudra'is terminer en vous signalant que les céréales complètes contiennent
pratiquement toutes les vitaminés : A, ti, C (sous forme de Fro-vitamine corll
ùre nods Itavons vu), B et K, en quantitéi ptus ou moins suffisantes, et que
les.peuples quÏ s'en noum'issent n'ont jamais.,souffert de carences d'aucune:
sorte,
Enfin, sachez que 1a fameuse vitamine B qui est contenue dans l'enveloppe des-
cérêales complètes est, aprës extraction, utilisêe pour la fabrication de
mêdicaments destinés à ceux qui souffrent de maux provoquês par une allmen-
tation càrencêe, constituêe tie cërêales "blanchiesi' connie le'riz blanc, Ia
farine blanche, le pain blanc, etc.
Mors cRoIsEs
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. A BOIRT ËT A |\,IANGER O
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LE MTLLET, CE I,{ECoNNU
Mntu que Le,t cênê.ohu complë,tu ts],t-e q*a niz, (ttowe-nt. el. mâme tasr*.a6in'
tottL de pLnt en pfuu c.onsommê.et pm Lu ana.teilhÀ dQ- d,L2l&ique, Le nille.t
,LeÀte., a enble- t-.i,L, pltu mêco ytnu,
LI" clt ôvi.dument ban de vdcut Lu ytLo** à- bate de edst'ea.te.a; ce,to" âvi-te
de ae Loaaett, e,t dz pfurÂ, celn puwel. de b"en6.{Le-Lut de tou-tu Le:na vonluÂ.
Celj.u fu mi,tLe,t ne. aant. paa Lu moindneÂ,
CIutte apl vur.tu.t pnatëiwQuet qwL tont gtænd.u wt paitrL qu'il- 'Qf.ei"t conti-
dêtë" conune rubati.tu.t. du pnodwi,tt awinutx dilnant f"aa pê,r.indu tay:u vi,ande
,inpaaê.et pan Lu nel;ainw, Le mi.{le.t aÂt tulehe en a.ii.d,Q. ta,!-Le-ttae lpeau,
chevenx, ongle; e.t der*l , en ma4n6t,iusn, an {est e.t erL L6-c,i.thine- (eenveaui,
Lo, vi.fu,nuLvre A ut êga.t-enent. cctvttenue dayw ee.tte cêhlza,t-e qui {avan be aJ$-
ai fn" nê"9ên'etoâ.i-on de,t cells.û.eÂ.
SOUPE RUSSE
MILLiT A L'0IGN0N
I'IILLET AU GRATIN
GATIAU L II4A
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cAS DE GUERIS0N pAR LA MACROBIoTIQUE o
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Oep*il ln uâ-û,Lon de. nctttte tLqvue, nou avona toujawu tle,Îsâd. dot eat de
guiwtsan eanee.ttnant dzt mutx esdeittiaLLwenl ytttgtinLogiqueÂ,
Ce,tte {o*t-ei, ,tou vaur'r p,LaTJo^on^ L'{,ti.tÉoino, extnaa+C"Lnaine poJL 40"
pI-LeLt6", dt un jwne. lzavune ,ytoun clwL .Lu pantes de L'a.aihe ê,ta,Lenl dê-!d.^iJn-
enlne.ouvelLtès e.t qui, corrwe pûL enehantenent, â'e.tt" eamp.LëÂenznL n1trbW
ptJL .NLe. ptto-LLque lud.Lcietue de ln" &lacnobittLtrauet &ceompagnte dtvn "tiui-
ftementtt itupt4A d'une comp,L1henÂtnn L,tës ainpl-e du Paixciyte Uni<4ue, ': '
.L li.'
: r ir,
DI F.
LE CAS*:-
F. me fut prêsenté par mon ami G. dont nous avons dêjâ narré I'histoire lûrs
d'une prêcëdente edition.
Je fus tout de suite frappé par sa grànde taille et sa forte corpulence par
rapport â son jeune âge.
Il s'exprimait très facilement et trouyait toujours une justification â ses
emeurs, gu'elles soient d'ordre pratigue ou d'ordre intellectuel ,
Conme il me le dit plus tardn il était fort inquiet avant notre rencontre,
srattendant à voir apparaTtre une espèce de "guru" â longue barbe, en longuc
robe noire, venant tout droit d'un quelconque pays lointain.
Heureusementr i1 fut quand même impressionné par notre première entrevue,
non pas par mon accoutrèment, mais par les possibiljtés de comprêhension
qu'il entrevoyait à travers mes expiications sur la Macrobiotique et 1e
Principe Unique.
De mon côtê, je retins surtout qu'il êtait grand consommateur de coca-cola
et je m'efforçais de mon mieux de le d'issuader de continuer â s'empoisonner
avec cette boisson dont les ravages sont peut-être plus importants que ceux
produits par 1'a'lcooï étant donné que ce sont surtout les jeunes qui en
sont 1es innocentes victimes.
Je revis souvent F. et nos discussio$s me .faisaient croire que sa compréhen-
sion du,Principe Unique s'était améliorée et surtout qu'il etait devenu apte
à se dêfendre contre les vicissitudes de'la vie.
l,la'is il y a toujours la face et le dos...
F. avait toujours êté fort gâté par la vie, et il etait parvenu à subsister
sans aucun effort et sans aucune activitê ni tnavail.
9q qgrdis de vue, i1 se maria et décida enfin d'assurer ses responsabi-
!. d'adulte
litês en ouvrant un commerce.
l5
I._cgMgE_Fguj
chaque fois que'Je rencontrais mori ami G., je ne manquais jamais de m'en-
quérir des activitês et de la santé de F.
Son conmerce florissait, il avait eu une petite fille et tout sembtait se
dérou]ercofiIne.danslemeilleurdesmondei',..
Un jour û. me télêphone pour m'entretenir de divers sujets cormre nous en
avions l'habitude, et lorsque je tui par'le de F., il mà dêclare :
- Il est devenu fou ! ! : : ..:,
Je-me dis qu'il a sans doute pris des risques dans le domaine profession-
nel et que la remarque de mon ami n'est qri'une boutade.
.1
Il insiste : :
- Pratique-t-il la Macrobiotique ?
- Non, .il garde'cela p6ur" quarid il est maladé,
- 0ui, mais c'est le Ca's, alors ? . '
F. COMT4E FOLIT.
!N_F!qlqr_qqu_F0u _F0 u r
L'angoisse atteint surtout les personnes fort dilatées, el-1e donne une sen-
sation de t'esserrement.' Si le malade se resserre par ion alimentation,
I'angoi.sse disparalt,. C'est miraculeux de sinrpl icitC I '
JEUNIR ET PRITR
- C'est très grave, cela montre que dans ce sas-ci, le changement de nour-
riture seul nrest fas suffisant pour obtenir une guérison ràpide.
,Jésus a dit : pour guérir, il faut jeûner et prier.
Georges 0HSA'y{A'nous a expiiqué que jeûner, c'est se nourrir selon 1'ordre
de 1'Univers et que prier, c'est nréditer à 1'aide de Yin et Yang sur l'ori-
gine de la maladie et sur les moyens de guérir. Dans le cas de F., on peut
le faire jeûner, mais cornnent le faire "prier" ? Il est incapâble de se'
concentrer sur quoi que ce soit.
- Nous avions beaucoup d'espoir, maintenant 1a dêception nous envahit peu
à peu.
- Je vais venir le chercher, il passera deux jours chez nous, nous devoits'"
absolument trouver la solution pour montrer la valeur du Principe Unique
â tgu:
.9eux
cui qonsidèrent F, comme perdu
' . .1
LA GUERISON
0rthocel se.
19
ooooooooooooo00()00qcoooooocooooooooo
o O
UNE AUTRT VISION DE LA SCIENCË
O6
oôtoooooooooooooOooooôooôooooooooooo
(suite)
DU NOUVEAU SUR LE NOYAU
, ,' ''1.,
l'1. KERVRANT 1ui, a rassemblé une foule de faits qui, pris sêparément, ne
pourraient sans doute suffire à troubler les phydiciehs nuctbaires. Devant
ll-I.!! uninexpliqué,-il est sage en effet de pânier que i'explication sera
trouvée jour ou I'autre dans le cadre des"théories actueiles, plutôt que
de tout remettre en cause.
Seulement, dans le cas prësentr ces faits sont convergents. Ils ne consti-
tuqlt pas une preuve sans doute - et ['4. KIRVRAN le reéonnaît - mais ils font
réfléchir - 9u'ils soi,ent susceptibles d'une interprétation unique - addi:.
tton et soustraction des noyaux d'oxygène et d'hydrogène, sommation de de,ux
noyaux - incite presque irrésistiblemént à penser qui.il v a là une vbie,
une porte ouverte à la découverte de nouvelles lois et dâ nouveaux faiti.
Et dès qqq I'on commence à y penser, les faits concordants accourent d'eux-
mêmes. C'est le goêmonr ltllise deiuis des siècles comne engràis sur 1es
côtes. Dans le gôêmonr-il y a de là soude; dans 1es plintéi-récottcesr-ir"-
tout de la potassei et les sols, ma'lgrê I'antiquite dà cette pratique, ne
sont pas sodiques.
0ù va le sodium ? D'où vient le potassium ?
M. Kervran rêpond ,:,
t{a+0-.*K
(sodium) (oxygène) (potassium)
- C'9t! l'engrais au n'itraterutilisé pour enrichir les tiges des céréales
en silice. Par quel mécanisme ?
20
M. Kervran répond : .. t
tl2 Si
-----r(sil icium) i,:
(azote) ,
et l{a + 0 ----'d K
(sodiurn) {o4ygene} {potassium}
- Ce sont les cas de guérisons inexptiquées iet discutêes) de la silicose
par des aérosols d'aluminium. 0r,
Atsi-H
(aluminium} (sil icium) (hydrogène)
- Ce sont les engrais_imaginés par Henri Spindler â partir de l'hypothèse
du mêtabolisme nuclêairer-et qui produiseni. rêellemeirt l'effet prÉvu, en
99pit des théories.
Alors ?
LrobJection la plus sérieuse est celle des bilans énergêtiques. Un tel mé-
tabolisme, se traduisant par des fissions et des fusions, devrait mettre
en jeu de fantastiques ênerg'ies. La moindre galade équivaudrait â une peti-
te pile atomique dans le cas d',une libêration d'énergie. Et dans le cas
d'une absqrpti.on (rêaction endothennique) où l'être vivant puiserait-il l'ê-
nergie nêcessaire ?
M. Kervran pense que la rêactiqn :
Na+O-fKi
(sodium) (oxygêne) (potassium)
' '. .:
observée, selon lui, dans les cas de sudation intense serait endothermiquet
ce qui expliquerait que les travailleurs sahariens supportent sans malr et
sans boire trop des températures excessives,
(f in)
LouiS KERVRAN
- I'Astrologie
- lafHomêopathie
Radiesthêsie
-I
- êt ,.. nous attendons vos suggestions.
2?
ooôooooooooooooooooooooooôoooocooooooooooooo
Ô VOUS NOUS TTLEPHONEZ... NOUS VOUS ECOUTONS O
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0. de C.
Yt:h.neu6 i.o.uy qu9 !9 ne mange, .pûL neplÂ, QUL L,-eqwivatent d.e lô0 sn de
T. ,Y, .euÀr d'aw tnoi.t vot.umel d'eau e.t ce, uni4uuneÉ. îe mil"î. at L-e 60iJt.
-b?i que L ou 3 rsttu d"e th-e de btai,t'ayq àn bnnnchp; aua tsule une
J.e ne
jounnte, . Man 2'tat, g"en'enor a'est arn'et"ignê., mais
lz n) êlonne qu*'^û*;;,i;;'
totrft lot4iautut t,aë,t l,[nines e.t me ro*.es 'd"e coulLu *iîi7*u',, '
S. de 0.
Jt.aL neg.r du rnenact'l à" pùxe dêg&i€.Q d.e L'in|inniëhe de t''ecoL-e patlce ELz
it ai nedu*ë que me,6 en{untt avhiÂaey* Ia' uti-nêalfuLan, Swi"r-!e ob'{,iaë. pàn
Ia. Loi de Lo-Uaeh pnahi4uen ce, genhc. de dâpi;taAe. quu lz ntprcuve e-t ai ct ett
Le- e.ot, q*e me- eoy'*ui.tÂ.ez-vau ?
Malheureugement, ia 1oi impose ce mode de dêpistage sur les élèves qui fré-
quentent les écoles gardiennes, primairesn normales et techniques.
A la suite d'une carnpagne pour la Iibertê-d'acceptetr ou non cette agresgion .
" Les.parents sont sensës adhérer au choix de Itêquipe fait par le pouvoir
gpanisateur, sauf opposition dans les quinze jours âe la notification prévue."
ll notls est-appqfu que dans de nornbreuses êcoles, cette notification êtait:fai:
te bien.qprqs f inscription ou même pas du tout. Nous estimons en conséque;tce
ne pas.devoit'nous soumettre aux exigences d'une êquipe mêdicale désignée par
un êtablissement scolaii^e qui n.ta pai respectë ses 'obiïgations 'lëgaïei,
A Ia.t.'imite, en noyant ainsi le poisson (bn pourrait diFe .le poisôn) dans une'
procêduro administrative qui corrne nous Îe sàvons demande "un-certain temps",
nous-n'avons plus qu'à esférer qu'en attendant "Infor Vie Saine" parviennb a-
ses fins dans la lutte pour nos libertês.
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LU ET EHTgllDU...
: :
oooocoooooooooooôoooo
SUMLIMENTATION ...
nociver-slls compter que la qualité de la nourriture, fournie en quantité
i*:rlll.1k:_::t 9. ptyl.en'plus conresrêà icoiorants chimiqurr,-Ëiô...i,
I9!:-d::.1:qgl:9t énergë iques beaucoup.plus-faibles que cetïes aes génèi'i-
tIons précédentes, la ration calo+ique'dixneure chez nous excessive.
Prenons quelques exemples, Le diabdte est la troisiame càusÀ-ùe mortalitê
aux U.5.4. L'ulcère de Iresûomac est bien une maladie àe ioiieiè. La carie
dentaire est sans doute liêe â l'alinrentatiôn; àtti atrÀciâ-is-1' des adultes
et 80 % des enfants dans les-pays industrialiiês" Les soins centiires
sentent 6 ï des dêpenses de liassurance maladie. Ënfin, selôn un rapport '
"epré-
amêricainr la moitié des cancers férninins et 30 % des ianceis mascùiins,