Vous êtes sur la page 1sur 24

E

/r^\^ ^.f4!+ -<


Revue uensuelle 1'lo 6 - Têre annêe - novenbre 1979 .<f
paratt 1O fole par ea
abotrneoeat annuel 50O f3
le oruÉro 50 FB
Cr€dlt cm. O88-O728160-73
ré1. 06g/55114159 :-

€dltêe prr le Ceatre llacroblotlque de Belglque êrsrb,lr, ru€ Cbup l{r-Drn; 89


7830 Slllyr fondË pour le dlffuoloa du Prlnclpe Ûnlque et de le llacroblotlque
!êlon ltensel,gnemeat de Georgee OESA!ùÀr

SOMIiIATRE

A BOI{ EIITEI{OEUR P.3


TEXTTS Cilorsrs de Ê. 0HSAI{A p. 4
REFLEI(IOff SUR ... cOHFERENCE Jacques Skalka p. 7
A BOIRE ET Â I{ATGER Edith Da$q p. 12
cfrs DE ÊuERI50N pÂR LA r.tACRoBIffirquE ûrthocelse p. 14
VISIO}I DE LA SCIENCE L. KSRVRÀII p. l9
ltous TELEpHot{Ez, t{0us vous REpoN0oNs P, 22

EI{TEI{DU p. e4

Edr r€3?r i Er Dame & Jr Skalhe

âIÈrâ;
A bon entendewt,

Le tttùt aû'u.exx tl ) Iwti.t*t BeÂ-ge de L'l,Linents.tion e.t, de La Nt*taiLinn


{I,B.A.I.J. I a âd,i,tê" unz bn-ochwte daw* Lo-quo(Le on peu.t !-itte une nabti$ue qwL,
.t"e t),tne rtQ*o pznten d.e .l-a lrfautabiltiqao)', natu me-t en ga,trle eonilte Le*
gnand,s dangesus qua- tLulrtlëÂewte eel.te a.tinenLa.tion,
^ou.6

Selan LtT"B.A.Â/., "ÇQÀ cs.t do aeonbu.t. e-t de (a)Lence. en ptwtLinu e.t en ca"L-
e.iJnn, d'anûswLe, de taws-a.UnLnta.ti.on e,t mô.ne- de mont. pan d:ul+qdtæ.A,LLon ont.
A6jâ. ut6. censtatët lontque tz nlegine Le pLut Mnirt. avo,tt -e,tê. tuivL",'

C'e;t fnë,t inpne.tti.onn-ax.t ti an Lil ce,t ex.tha,U en d,i-agona,te- e.t auntou.t ti


l"' on n' a.tlsche pat :aud{i,tanwevut d' irnpanlnnce à, ehaque m.ot, 0e plus, ee
*ex.te.ett inearnpLat ytaun ænvin honnî.,twanl ail bul que QÂt ptlopoâ2,4'T.B.A.N.
c' e*t-â.-d,ixe :in$annez Lu gtwt en ma.tiàste de na.tsr,i.t Lon ^t
e.t, de dië,têl-ique.

de eompLé,telt t
?eswre.ttez-nûuÂ
t.., L9peqe.te n:egine'Le.pf-uji !'4et avwi.t ê."tê. auivL, AIORS QUE CELA N'EIAIT
PAS NECESSAiRE.

?uneLtez-ntu^ ê.gal"enent de yto*e.n La quuLi-on : eanmerut ce tL\gine tz pfu's


MnLeL a-t-il 'eië- tuivi ?

Lû4ÂL, en Li,tant wûne L.el Li4net tu eprLAL Le,s lignot, an pert {ae-ilenenL
d,ileutnen Le.t Êend,sneu auh jectiuea d'urc ongani.dme. inpotrfuvtt pu'i.tqu''t.l-
pnëiend in{onnen *uh Le- ptl* vi*fuI du aujutt : L'ailmen"ta,il.an,
^L
Nt pat pine aveugLe que- ce,LwL q* ne veuL voin ?
.e,tt-iJ.
Pelwelltz-nCIua s,nclrLe de- panaplutateh AûL Le 1nîne ton que eel atû,ipLe :

' Le^ hôpi,tnux coywtituent. uyl v-ëni.tabLe dange,z ytoun La popuko,Lbn, pu,r..aque
Le taux de manta,U-tû- g ut .Le ysltu "ete-vâ..
- 7L eÂt dangenwtx de ae nouxnin cowne tau.t te mondz, eo,st tau.te.t Lu pu.ton-
nat a.tÂ.eirLtu de ma.ladiu: incwabLe ,Le- naulLtLiÂtent ainti,
- tlâ"dinn"t-n0u^ de's nê-deefus, ealL ij..s meune.nl. *ouvent de La ma.lnd,Le dant i.b
ôo nL ayt"ecial.il tets .
Sggona aë]tiwx, e-t aouha,i.t(tnL aux në.dactewu de ee.tle bnochune. de n'ôine
ianat's naLa"de* au po,int d'd,tne ob!-Qës d' avoin ,Leeaut6 à" natne lulaenabinïLque
bien$ai.tantu, cax .<l"l n-Âquutaiel1l de- ,sa La,i*auL mawuin de {a.in, ce qùt te-
nai,t um comble drma nçLtte tociû.t6- où Lo" p.tupatut. du gerrt'"matnent de gnaves
malad"Lu dues aux excZ".a de- tûhLe,

Lo; mott watps d.isent ee qu'on vots,t bLe-n toun (a,ine dino, à notu d'entendne
ee qut 0n we vetâ paa nau,t {a.inLe. enfteytdne,
:."::::::":::::::. ":
de Georges 0HSAT,,|A

ENTRETIEN AVEC LES N0UVEAUX : YIr'l ET YANû : LA FORl4t

Sensêi : Aujourd'hui, nous êtudierons Yin et Yang dans les fornes.


Une ligne de même longueur ne produ'it pas la même"inrpression, selon qu'elle
est tracée horizontalement ou venticalement. Pourquoi ?
Réunies en forme de croix, elles forment un symbôTe sacrê universel que i'on
retrouVe dans toutes les traditions
[n Extrême-0rient, la croix est Ie signe le plus précieux, c'est le Principe
Unique de I'Univers. La lettre idêographique chinoise qui sign'ifie le monden
notre monde la terre, est une croix. Samourai s'êcrit aussi en japonais avec
une croix au-dessus de l.a ligne horizontale, qui signifie le monde. La croix
placée sur le monde, le samouraî, c'est une croix vivante qui êclaire et domi-
ne la terre, c'est l'exemple vivant du Principe Unique. Si ia Iigne horizon-
tale est plus ïongue que la bare de la croix, ceia signifie la terre, la
scène où l'ordre de l'univers (Yin/Yang) joue tout son rôle.
En partant de ces deux lignesr vous aTlez appnendre les formes Yin et Yang,
vous allez élargir vos possibii'itês de comprêhension. Par exemple : prenez
un tissu rayé, habiilez-en dans le sens de la largeur, horizontalernent, une
personne grosse, petite, vous serez choqué. Le même tissu utiiisê en hauteur
dans le sens des rayures, ne produira pas le même effet, Pourquoi ?

Regardez deux rectangles de même surface, Ï'un dessinê en hauteur, l''autre


en largeurr lequel est Y'inr lequel est Yang ? 0ù domine la force centrifuge,
où la force centripète ? Par quelle forrne êtes-vous attiré? Celui qui est
attiré par la forme haute est Yang, celui qu'i est attirê par la forme basse
est Yin. Voilà la loi de lrtsthétique d'Extrême-0rient.
La construction des gratte-ciel aux ttats-Unis, expliquêe en partie par la
nécessitê d'utiliser au maxir*um Ta place réduiten est bien surtout la mani-
festation d'un état, d'une vie trop Yang qui, ob'ligatoirement, aboutit â Yin.
tJn ne peut pat ë.chapysen â- ee,tte LaL : Vang pttodu,i.t Vi.yL,
Vous voyez aussi la forme des êgTjses autrefois, voyez conunent on les cons-
truit maintenant. Quelle explication trouvez-vour ?
Au Japon, dans les villes et les villages de la campagne * comme autrefois
Sans doute dans vos vil'lages - les maisons de construction traditionneTle
ntont qu'un êtage ou même seulement un !"ez-de-chaussée. La vie est ptutôt
Yin dans les campagnes, calme, équilibréeo â la mesure de 1'honrne te'l qu'i1
doit être. Maintenant, surtout dans les vilTes, tout est "dêmesurêt'1 sânS
proportions justes, sans êquilibne, De même I'homme moderne.
0bservez les plantesn les arbres. Par exempTe le peupiier, très haut, êlancê,
est Yin de for'nre; ie pin japona'is, au contraire, surtout au bord de la mer,
est très Yang. tn Europe aussi n le pin maritime est Yang, voyez sa forme, ses
racines. Remarquez la forme des feuilles du p'issenlit, de 1a carotte, voyez
ses racines. Remarquez la forme des feuilles du pissenlit, de 1a carotte'r.'
vo3€z ia rac'iner cotnparez-la avec Ia ponnne de terye.
Tetrzz r'tmytta de" YLn'at Vang an dU*tw cla ,tal, e.t de VLn .e.t. .Vanp dy* La t'e^tte'
La !-i4r,:e'l,tanLzontsle ett. Vâng m'dLE^ttE de Lâ tWte, mai't .(evl9r3t.'Le cowtna"G
ii, iL-a*ra iL iàt, pour Yin, c'est la même chose-: la direction'verticale
est Yin au dessus du sol, eÎle est Yang sous terne.

LA F]RME DU VISAGE

D,après la forme du visager vous pouvez mieux-comprendre la nature d'une per-


sonlre et connaître son câràctèrer ses activités' son comportement et par.con-
séqur.nt, spn destin, Vous avez ies visages ronds, carrés, ova'leSf en trian-
gle',',nq ou en triangTe Yin. Ce qutil eit essentieT de savoîr observer, c'est
ia foil6 pre-nataleo"embryotogique, et 1a forme post-natal9, acquise, En vous
nàurri ';aht-avàc cài piôalits-yin,"en buvant troi, vous dilatez vos tlssus,
ii;' ;; iËïà.iËni,-iicpuiii'isient,'des dépôts aqubux, grai'sseux vousvosdëforment.
Vous i'rs respûniab'le' de ia forme de votre nez, de vos-joues, de VêuXr
de vo . p.au. Vous êtes créateur de votre physionomonie.

Avec volontê, tout peut se rnodifielr_s'arranger" Tout peut être dêformét


il
ânime r votre' i gnorance et votre fai lil esse' T4i s tout.. Pgu! elF " refÛrmé" ,..
p:r
ameiioiie par votré connaissance de la philosôphie dite 'Dialectique Pratique"
et de le lvrcrobiotique pratiquêe correctement*

L*1, ,X : Pr:,t-on aussi grandir lorsqu'on est adulte ?

Sensêi : lvant 25 ang, c,est facile, après ce nrest plus auSsi aisêr,mais avec
1a Macru;i otique j'a'i-grandi de 3 cm dans ma 28è annêer

La forme actuelle du visage, post-natale, peut donc être volontaire, créée


par notrl propre volontér"où involonta'iràr' soumise aux consêquences de iros
déséquil bres.
La forme des ore'illes est iiêe à 1'alimentat'ion de ia période embryologique,
elle est très à mod'ifier,'impossible pour ceux qui n'ont pas une
difficile
volo.nté de fer pour pratiquer la macrobiotique pendant des annéesr aveô'une
persévërance acharnêe, L'oreille doit avoir un lobe long et_détachê, elle-.
doit être collée'tre pius possible à la tête et avoirun dêveloppement êquili-
bré. Trop déveToppeb en hauteur, elle révèle une alimentation trop végétal.e
ou trop Yin, Le âbveloppement du lobe indique une'alimentation Yang.- 0n dit
diins là physiognomon'ie d'[xtrême-ûrient, plusieurs fois millênairer'!l.a f{rme
des oreiiiês ne change pas après la naissânce. 0n peut donc_'lire le destin
dans la forme des orèilies". Mais j'ai trouvé et constaté plusieurs fois
qu'on peut changer la forme par 1'alimentation, à la Ïongue. '

'

CONSTITUTION YANG ET CONSTITUTION YIN

Plus petite, plus serrée la surface formée dans un visage par ]e triangle
yeux-iiez-bouche, plus Yang la constitution. Les yeûx doivent être peti!f'
iès tèvres mincàs'et le néz ni trop ïong, ni trop gros, proportionnê à l'en-
sembl e.
Cette surface peut occuper 20 â 90 % du visage. Plus grande cette surface,
plus Yin la constitution; plus pet'ite, plus ramassÉe au centre, plus Yang'
LEs DENTS
i!

La forme deb dents donne de très bons renseignements. VoûÈ savez qu'elïes
se prêparent pendant la période embryologique, elles existent en germe.dans
la gencive:,lgrsque 1e bêbé naît.. L'al imentation embryolog'ique a donc ûne
grande importance, Ces neuf mois sont essentieis, Ïe destin de I'enfant va
dépendre âe la sagesse, de la comprêhension, de Ia volonté de la nère.'r
La mère qui sait, qui connait, Qui vit ia constjtution-conception de I'uni-
vers, est grande, et heureux sont ses enfants"
.j.. i
Les derits, petites et bien plantêes, n'avançant pas, sont Yangi les, grandes
dents Sont, Yin (animaux vêgétariens). Certa'lnes personnes ont des'dènts
petitesi serrêei et tournêes vers liintérieur, et surtout des caninds très
pointues : c'est trop Yang, leur mère et elles-mêmes ont consormnê'tnôp de
viande dans leur enfànce, Les 6 à 7 prenlières années de l'enfancê sont dê-
clsives, déterminantes, pensez-y si vous vûus occupez d'enfantg, Toutê forme
du visage, du corps, est en rapport avec 1'alimentationI avec I'assimi'lation.
Nous verrons aussi que toute forme de 1'esprit est également 1iée à'T'alimen*
tation, Rien n'est sêparén tout se tient.
Toutes les formes que nous venons de voir sont statiques. Elles nous indi-
quent le passé (alimentation embryologique et post-natale, Ta vie:tout entière
y est condensêe). L'avenir n'est qu'ùne conséqurence nécessaire ddipassé.
Mais le présent joue un rôle crêateur. si nous savons Ie vouïo'ir;'vo.ici Ia
physiognomonie dynamique. Ayant appris ces secrets physiologiquesr'ibiologi-
quesr nrorphologiques, on peut changer tout son destin. 0n peut êtqe créateur
du Karma. Tout change d'un instant à I'autre. Rien n'est définjtif, rien
n'est mort. La vie est bonne et belle et amusante. (Autrement Dieu doit
être grondé ! )

LES ONÊLES

M. R. : Draprès le Dr Cartonr la forme des lunules des ongles est en rapport


avecla vi.taiité. Partagez-vous ce po'int de vue ?
Sensêi : La forme des ongles et des lunules a une signification très irnportan-
te. l4ais il ,faut que vous compreniez ia cause physiolog'ique,'le mécanisme,
autrement, vous êtes des phonographes aveugTes, des esclavesr
La lunule doit être ronde, les ongles roses, ni trop bombêsn ni trop plats,
non striêsr sans taches blanches. La lunule trop haute et pointue est Yin,
les tuberculeux ont souvent des iunuJes de ceite forme. Le ûr Carton est un
grand diétêticien, il a compris beaucoup de choses, mais il lui a manquê la
base essentielle. Vous devez complêter ses théorjes, 1es dêvelopper en te-
.les
nant compte de Yin et Yang, réêquilibrer. IT n'y a qu'un Dr tarton en
0ccidentl en ûrient, ils existent en nornbre considénable.
Soyez pratiquesr ce que vous Étudiez aujourd'hui doit être mis en pratique
demain. Vous fert'ez des erreurs, tant pis, constatez-les et recommencez pour
faire mieux, c'est Ia seule façoÀ d'apprendre. lle vous contentez pas d'ih-
formations qui dormiront en vousl elles seraient nuisibles" Expérinrentez,-les
le pius audacieusement, et elles deviendront connaissance utile.
(a suivre)'
o oo o oo oo ô o o o ôo o o oo o o oo o
o RE!"LEXI0NS SUR...'o
Oo
oooo( ôooooooooooooooooôô

:"
CONFERTNCE A BALATRE !E 27 'OCTOBRI I 979 :

LA SUPERSTITION DTS CARENCES ALIMENTAIRES


, .ri, -i' :!'r:: . -,.
- -,
ir 'rii 'l-:t'
.j:.'
:''
:

ln:qftisgns,e:tgs_plojêJngs*alTlale3 i

(dans son livre Jack et Mittie en 0ccident) écrit cecii':'*,i


9:!.{.:,0HSAWA pour.'!g
_)t!i:].q'est ptai:il, manger de ta viande est une supeqçtition,
sl cg.genre de nutrition edt basé sur lq fgi que la v.iande est'r'iche en
protéines, calories e! yi!a[!nes, donc tnaispeniabie'a-ià-sinie.,
$omureux
sont ceux qui se passént d.-l{iande et'sont bien portants et memè trgi neu-
Y'gg1:,rr: '. : ''' iYall '... ;

'
li:'l j
'
"r
Quant au Docteur Parodi, i1''ddtlare : Les protêines végétales sont suff..isan-
tes' les acides aminês des cêrêales et des'légumin.usui
chiches, azukisr par exempru..frulî,1t, cqmptemen[ài"àil;-- ii.nitii.i,-;oi;-t'
\'-"-'' .-
Depuis :que.ie me su.is intêrd$€rg:l.a Aietetique, j'ai,,toqjours voulu obser_
'mo.Èmême
vei^- par t'às:nomu;"'jtb+$dà;r;;;ï;o'n"ioi,-Ëdil{;:'",tiiranite ac-
tuellemenV à la campagne, e{'tqô!'.*r*-àui-onl uàrtrcînÉ à norre'IIrn.aI*u
Ldil{æis-onE pu volr'que mon',[âl"d!!,est entouré d'un prê où ]es
vaches broutent
.
tj,ut' la journée. rFlon vois{{n o{ëtre des'veaux àu piil
aàs o;; i;;;;-dè;;;-;;"
'fly:lollul!' 9olilllremehr rq.,prupar-r,,des neucsi Ë.ànnànt'piis'"-aË-ii.-il
latE, et se nourrissent '$,
excTLsirii'ement dlrherb,e. tÀ un an, un veau mâle gros-
sit de 400 kiTosr. pricipalement constitués àÀ-proteines animales é'laborÉes
I parttr de I'herbe, donc d,une nourriture I ''r'-
--J-
véqbtale.
Sommes-nous infêrieurs aux fèaux'
-':' '.' oi,d
-'-,-: ?
lllgf*lr,.p.l1,l,Ê.!re passé i$t tous les stades du règne animal est devenu ce
qy'll est giâcé â la decouvet'te du feun du sel, et Ën sÀ nou..iiruni'àà-.À:
réales ddi'is.tesqueltes, i:t peùrJitrouvei'tous i.i èt'cm;ri; ;;;i';;ï;d; ;'
ueEû1n:p'iiur rester en bonnà iah,te,'

.lt.v une quinzaine de jours, a été inaugurêe à 1,hôpital de l,u.c.L.


I
hloluwê, un.ê "section Tuméurs"i à cette ocËàsiàn, r. ni Muirii,'riis'cù à
iglc-
brè cancÉrotooue dêcédê dans un accident de voiirrÀ en Ë;p;;il;'avait invitÉ
1e Président àe ta
5o1qa!iq; Èôgr .iâ. *'itË-aài'Ëtats-unis. ce dernier a dé-
qla"Ê que si on voulait évitei'te cajlcer, raiiàil ài*iÀuur"t;;';iir.itl"
d'origine animale et augmenter 1a c'ôtrsonrnation des cérêales. IT -a*i;;;;Ë
it
sur^l::^.:::ii1:-.gTp]l!9s car, djg:ir r ra vitamine Bi il#nu.'oun, i;envei*p-
des céréa'les complètes pèrmg
ru) LËr'edres rarrlneesr.comlne le paln blanc, l.e riz blanc, etcn.", dépourvues
de vitamines B.l favorisent le stùtkage des irâisses dont ia-.ÀiioÀsauttite
dans l'évolution du cancer des organés <tigeitifi est de pTus àn'prùi-r..oÀn,r*.
I

ll y a bientôt v'ingt ans que Georges OHSA1,iA nous avait dêjà expliquê ce pro-
cessus lors d'une de ses confêrences. i
D'autre part, le Professeur japonais Morishita accuse la viande d'être un
des principaux responsables de la.plupart des cancers ainsi que des malad'ies
cardiaques.

Corme-ie ]'ai dit tout à l'heure, l'homrne a traversê tous les stades du règne
animaÏr il a etê entre autres, herbivore corune la vache, carnivore cosune lè
loup et fruitarien comme le singe. Quand i'l se nou.:ruissait coruôe 1a vache,
i1 a développé son mécanisme de fabrication de protêines animales qu'i1 a
perfectionnê en se nourrissant de fruits comme le singe' pour finalement
arriver â fabriquer son sang â partir des céréales.
Si nous nous nourrissons de produits animaux, non seuTenent nous atrophions
ce mécanisme, mais de plus, nous fatiguons nos reins qui sont mis à rude é-
preuve pour êliminer les toxines contenues dans l'alirnentation carnée.

!e- 1 g i j gt_sgs_dlrjvgs.
Une des superstitions les plus ancrées dans '|'gâprit de la plupart des gens,
c'est qu'il-faut consommer du lait et du fromage pour apporter à notre ôrga-
nisme le calcium dont iI a besoin; surtout poui les enfants dont I fossifiia-
tion est en plein dêveloppement. 0rr.le Profagseur Kervran, dans ses nornbreux
ouvragesr explique que le calciumo aussi bieî ninéral qu'organique, est rejeté
conrne un véritable dêchet, Les exemples ne manquent pas, je vais vous en c'i-
ter quelques uns.

- La tétanie est une maladie répandue parmi lçs veaux; ils meurent rapidement
dans des spasmes rêpetés. Certains bébésr $urtout entre trois et quatre mois
sont atteints de tétanie et neurent étouff[s par cette maladie QUi se manifes-
te toujours sur des sujets qui sont carencés en calcium. ûrr f injection de
calcium, aussi bien minêral qu'organ'iQUê, tt'apporte aucune amélioration.
Par contre, une nourriture renforcée en magnésl.um (qu'on trouve dans les
cêrêales, surtout dans l'avoine et dans le-sel rrrarin) supprime les symptôaes
de cette maladie. Kervran nous propose : magnésium plus oxygène se transmu-
tent en calcium.
- Une expêrience a eté faite sur des rats auxquels on avait brisé une patte.
Ces rats ont êté nourris de manières diffêrentes" Les premiers furent mis
au régime habituel, 'les seconds reçurent une nourriture renforcêe en, calcium
et les troisièmes en silicium. Les premiers rats qui rêussirent à néduire
leur fracture furent ceux qui avaient reçu du silicium;les secondEo ceux
dont lralimentation n'avait reçu aucune ajoute; enfin, les troisiànes firrent
ceux qui avaient reçu du calcium. Ici Kervran nous propose : silicium piu"
carbone se transmutent en caTcium.
- comme vous avez pu le lire dans le nurnêro un de notre revue, les pou-
Enfinr
les peuvent produire le calcium nêcessaire à 1a fabrication de Teurs coquil-
les â partir du potassiumi et dans ce Gas-là* Kervran nous proFose : potas-
sium plus hydrogène se transmutent en è0lcium.

Je pense que si on a obtenu des recalcif{cations avec Te lait, c'est qu'i1


contient en plus du calcium, les êlêments qui ont pernlis â la vache d'êla-
borer ce calcium, et si la vache peut 1e fairer pourquoi Pas nous ?
Une dernière remarque à propos du ca'lcium: le ûr Horwitz, de 1'Institut des
I
Recherches Ag:lrnomiqueg-de VolÇani, a constatê (I965) que si la calca,ire mi-
nêral est en part'ie.uti'lisÉ p-our la fonnation dè ta.âo{uiIle dà iioÀùi
icË
qui reste à prouver), i1 se fixe surtout dans 1es tissds et nôianïnent dàns
llltp:lgi::_9:: poules. !'qqpendlce joue un rôte-important â.ri ra proJui-
f,]on des anttcorps, sa calcification rend les poules beaucoup plus sËnsibles
aux maladies, cà ôat.uii" paràiit. freine.ùsii"i;;.;;;;-il; il*ones de
qroissance. Ce.qui se passe chez l? poule poumait égaiement sà proàriie
chez I'homme, et on arriverait ainsi â conslater que ie taii, uu iieu de
nous donner des enfants vigoureux, les rendra'it au contraire nejucoup,piut
vulnérables aux maladies. -
Enqorgunefoisonaboutitaucontrairedubutrecherché.
JnguJflsgnge_dg . ;lagigeg !
De toutes les'viti rinêsl-la vitam.ine C est probablement ce.ll,e qui
1a plus.grande foi. voita encore une superit"it'lon bien éiabiij-oont a engendré
gine est certainement en partie d,ordre bionomiqu.. I'ori-
En effetr-Tes fruits richbs en vit. C sont très'abondants, et 1e meilleur.
moy?l de-les écouter est de convaincre res geni quiïi;;àÀt-Ëoni pou.
iau1"
:al!e. 9., vu sous ]langle du principe ûniquà,'ïi vii.-é p.ui"Ëtr. rn véri-
table poison quand elle ést consonmée'en exiCs.
Selon Georges 0HSAl,lAr.elle est à l'origine de nombreuses rnaladies, telles
que les maladies cardiaques, surtout linypertension, liàsinmËr'iu
la constitution allergi{ue, etc.., Et ii'prciiie que 1ès trùits; cataracten
;;;i;;;""'
ceux riches en vit. C, detorment l'utérus àt provo{uent des menstrues irré-
g:lji.::i-g!_?lus part.icut ièrement ta tiguÀ cânsommee journeilemeni par^ un*
lemme encelnte peut provoquer l'accouchernent prêmaturê ou l'avortemei,a,., -

En 1970, i.'ai donnê une confêrence


le livre du docteur amêricain Li.nussur la vit. C dans laquelle j,ai conmentê
carl paulin!, qui é#it'àse"a r'àûô;;--
de 69 ans; il était professeur de bioiogie; ae
Ërrvstque àt-aÀ'pntrorobiei,-
docteur en lg disc'ipiines diffêrentes et oéux rôii prtx ùouei,".Dunr ron
1iyl9'q9 l9 fois dbcteur et deux fois prix Nonàl, lonseiii;c,uuiô"uË""
1.000 milligrammes de vitamine C par pour combattre le rhume, a'!ors
gue pour une femme qui allaite et quiSoirr
doit'consofimer le pius de vit. c, le-
besoirt_journatier est cre r50 minisjrum*Às; ;;ï;-â0-roii froins qu. ià qù.
consei]l* te docteur.Pauling. rl i ÀxpËiïménic iu. iui-*èmà, Ënsuite,'it
général'isê. Il avait certainement une très forte conitiiùiiôn, ei aÀ'plus,a
l].=uYljt-69 ans?.3ge auquel les cellules se resseruent natureliement,
quï expliqqç-qu'!l a pu supporter tant de vitam'ines C dont l'effet eitceex-
trèmement di Iatatoi re.

Conrne pour îa v'iande, examinons l'êvolution de l'homme à travers les djffe-


rents types de nourritures :

vache - herbe;1oup - viande; singe - fru.its; hornme - cÉrêales.


0n peutllvoil sur ce.tableau qu'à une certaine époque, l'homme se nourrissait
principalentent de viande conilte Ïe loup. Pendanl ietie pêrioder Sô nourriiu-
re eta'lt donc pratiquement exempte de vitamines C et 1'honrne pérfectionna
à ce moment-là un mêcanisme de fabrication des vitamines C inâispensables
ê sa santé, Ensuite* poursuivant son évolution, lihonrnè i,uii nburrl princi-
palement de fruits ei à aonc absorbê des vitaminei C-àr-t"ei-g";;J;'qu;;iï;Ë.

Selon Ie chimiste l{even Henaf qui s'est Ionguement penchê sur la question Ce
t0

Ia:Vitamine C en se basant sur le Principe Unique, elle'est'''1,,


vraisemblable-
ment responsable des phénomènes suivants : .

l) Redressement de'la colonne vertébrale d'une position horizontale â une,


position verticalen qui s'observe plus ou moins.chez toutes Ies espèces'
aptes à développer Ie scorbut.
2) têvetoppement simultané des aptitudes prêhensibles des !'mains" chez les
primatesr'les êcureuils, cobayes, souris, rats, etc.
3) Dêveloppement des aptitudes à Ia vie *sociale"u aptitudes très marquéês
chez les singes, les homnes et beaucoup de rongeuns (rats, castors, etc.).

4) Dêvetoppement des aptitudes "intellectuelles" très remarquables parmi


toutes les catêgories d'animaux rnentionnés,
Conme on peut s'en rendre compte, la vitamine C a Jouê ùn r6le très important
dans le cours de notre êvolution. Mais I'horme a continuê le cours de son
ëvolution et lorsqu'il a choisi Tes cëréales coïme nourriture de base, tl
dut rêtablir sa capacitë de produire la prêcieuse vitamine C. Il se fait
que des travaux japonais et anglais ont montré I'exfstence dans le son des
céréales d'une rPro-vitamine" rêsistant â plus de I50 " et à partir de la-
quelle I'organisme peut faire Ia synthèse de la vitarnine C.
Voici dsux exemples qui tendent â démontrer qu'effectivement nous possêdons
cette capacité :

a) Les Esquimaux, peuple essentiellement carnivoref n'ont â leur disposition


aucuns des aliments riches en
jamais été signalë panni eux.
vit. C et cependant, aucun cas de scorbut nra

:
A cecir les médecins répondent "Les tsquimaux mangent du poisson et de la
viande crus, qui contiennent encore assez de vit" C pour leur êviter le
scorbut. rr
Si cette rêponse était correcte, les Esqu'imaux devraient, en tout cas, avoir
assez peu de vitamines C dans leur organisme. 0r, iln'en est rien.Parmi
tous les honrnes qui ont pu être examinés, les Esquimaux sont au contraire
ceux dont le sang contient, et de beaucoup, Ies plus hautes doses de vit.C.
Cette énigme ne peut être rêsolue par ies mêdecins, car de nombreux cas de
scorbut trouvês chez les anciens marins ont traurnatisê les esprits scienti-
fiques au point qu'ils sont persuadês que Ia carence de vit. C est non seu-
!çme!t responsable du scorbut, mais enicre gue Ilabsorpiiwr de vit. C en est
l'unique remëde,
Ecoutez rpn second exemple, iI jetterait Ia plus grande perplexitê dans les
milieux mêdicaux.
b) Il y a une quinzaine d'annÉes, J'ai étê amenê à m'occuper de l'Éducation
d'un três jeune enfant. Je ne connaissais ta I'lacrobiotique que depuis deux
ans, et colrdne nous n'avions pas les possibilitës d'informations actuelles,
nous devions tout apprendre par nous-mêmes. J'ai donc nouri cet enfant
pratiquernent exclusivement de céréales pendant trois annêes. De plus, 1'en-
fant refusait catêgoriquement tout 1êgume vert et, même camouflésrdansT..**s
cêrêaïes, ils êtaient rejetés par vomissement. Un Jour, Ia mêre et moi,
nous nous sorffies disputês et pour marquer son mêcontenterentr cofltne cela ar-
rive parfois, elle dëcida de nourrir l'enfant conme tout Te monde. Elle lui
donna du fromage blanc, du sucre, et surtout des fruits, oranges, bananesretc.
ll

tous très riches en vit. C. Après une huitaine de jours, selon un ami qui
avait eu le scorbut, l'enfant présenta les sXmrptômes de cette maladie.
Très inquiète, Ia mère redonna des plats macrobiotiques â I'enfant, et très
vite, les symptômes disparurent.
Cette histoire confirmerait que nous pouvons produire nous-mànes la vit. C
et que le scorbut atteint ïes personnes qui, d'une part, par une trop gran-
de consormation de cette vitamine ont perdu cette capacitê et qul r d'autrê "
part, se trouvent dans une situation où ils ne peuvent pas en absorber.
La cause du scorbut serait donc une incapacité de fabriquer la vit. t *l
non une alimentation carencêe. ,,..,

Oans I texemple de l'enfant nourri aux cêréales, crest 'le contraire dûi s'est
produit. Il avait I'habitude, depuis son tout jeune âge, de fabriquer lui-
même la vit. C 3 lorsqu'on lui en a donné, il arcebsê dren produire et co[me
son organisme ne connaissait pas encore la vit. C utoute faite", il ne lras-
similait pas.
,le voudra'is terminer en vous signalant que les céréales complètes contiennent
pratiquement toutes les vitaminés : A, ti, C (sous forme de Fro-vitamine corll
ùre nods Itavons vu), B et K, en quantitéi ptus ou moins suffisantes, et que
les.peuples quÏ s'en noum'issent n'ont jamais.,souffert de carences d'aucune:
sorte,
Enfin, sachez que 1a fameuse vitamine B qui est contenue dans l'enveloppe des-
cérêales complètes est, aprës extraction, utilisêe pour la fabrication de
mêdicaments destinés à ceux qui souffrent de maux provoquês par une allmen-
tation càrencêe, constituêe tie cërêales "blanchiesi' connie le'riz blanc, Ia
farine blanche, le pain blanc, etc.

Merci. Jacques SKALKA.

ACTTVTTES ' '.,:i::


ooooooooc :

E*lnf, donnë, Lu diddiail..të de dêplscenerLt.'prwvoquâet poa Lu ia.tanpêilat


Ivbi.tuQ,Ue* da** nolne pa7â t noua fte pauvon envi-tagut avec celLti.fttde
L'oxgawî"tail,on dt artLvi,têt du;unt, ta. p-wi,ade l;LveÀndhe.
Nout townel nënwtofuu auvsjât il, tou.t*. auggettinn ênatuttL de pçltLLatUpt*
ou de grLoupeÂ.
Notu neltnr* êv,i-durwent A. volze d,i,tpoti.ti"an pe-ndoxf. eelte pûÂ,odz pou
tout contaef, fttêp*towQue ou ail,ttLe.' :

Mors cRoIsEs
OOACOOOOOOOO .: :, 1 " ":

Vu Lt ahadanee de In ma.tlëttu, k rubni4ue n/'/rotl utaitëdn ett ne4otr.tëe ut


ptwehain ru$nëJt-t.
12

ooooooooooooooooooooooooo
. A BOIRT ËT A |\,IANGER O
oo
ooooooooooooooôoooooooooo

LE MTLLET, CE I,{ECoNNU

Mntu que Le,t cênê.ohu complë,tu ts],t-e q*a niz, (ttowe-nt. el. mâme tasr*.a6in'
tottL de pLnt en pfuu c.onsommê.et pm Lu ana.teilhÀ dQ- d,L2l&ique, Le nille.t
,LeÀte., a enble- t-.i,L, pltu mêco ytnu,

LI" clt ôvi.dument ban de vdcut Lu ytLo** à- bate de edst'ea.te.a; ce,to" âvi-te
de ae Loaaett, e,t dz pfurÂ, celn puwel. de b"en6.{Le-Lut de tou-tu Le:na vonluÂ.
Celj.u fu mi,tLe,t ne. aant. paa Lu moindneÂ,

CIutte apl vur.tu.t pnatëiwQuet qwL tont gtænd.u wt paitrL qu'il- 'Qf.ei"t conti-
dêtë" conune rubati.tu.t. du pnodwi,tt awinutx dilnant f"aa pê,r.indu tay:u vi,ande
,inpaaê.et pan Lu nel;ainw, Le mi.{le.t aÂt tulehe en a.ii.d,Q. ta,!-Le-ttae lpeau,
chevenx, ongle; e.t der*l , en ma4n6t,iusn, an {est e.t erL L6-c,i.thine- (eenveaui,
Lo, vi.fu,nuLvre A ut êga.t-enent. cctvttenue dayw ee.tte cêhlza,t-e qui {avan be aJ$-
ai fn" nê"9ên'etoâ.i-on de,t cells.û.eÂ.

SOUPE RUSSE

Ingrédients : 2 grandes cuillers de milTetr 2 oignons moyens, 1 navetn


I cuiller d'hui1e.
Couper Tes oignons verticalement en 5 morceaux, puis en tranches minces en
biais. Faire chauffer I'hui1e, mettre les morceaux d'oignons dedans et fa'i-
re revenir jusqu'au blond; ajouter le navet coupé en morceaux et faire re-
venir 1e_tout_pendant 5 minutes; ajouter 1'eau iT litre)" A ébulition,
ajouter le millet et 1 petite cuiller de sel. Lorsque ie millet est cu'it,
mettre I cuiller et demie de sel, passen la soupe ifacultatif).

SOUPE AUX BOULTTTES DE MILLTT

Ingrédients : 'l tasse de farine de milTet, 'l oignon, I carotte, quelques


haricots, B tasses de boui'lton de kombu, sel, tàmari, huile.
Pêtrir la farine de millet avec un peu d'eau tiède et en faire des boulettes.
Faire revenir i'oignon êmincé, ensuite le poireau finement haché et la
carotte'coupêe en perles. Ajôuter .le bou'iilon de kombu et laisser cuire.
Ajouter les haricots cuits prêalablement dans le 1'eau salée, Tes boulettes
de millet et assaisonner avec du sel et du tamari.
l3

MILLiT A L'0IGN0N

Ingrédients: l oignon, huile de sésame, mi11et, eau sel.


Faire revenir un oignon coupé très finement dans I cuiller à café d'huile de
sésame. Ajouter 4 tasses d'eau et saler" Porter à ébulition.
Ajouter 2 tasses de millet. Laisser cuire environ 4Û minutes. Pour serviro
mettre ie millet dans une petite tasse que 1'0n renverse sur l'assiette,
0n obtient ainsi des petits pâtés de millet très esthétiques.

I'IILLET AU GRATIN

Ingrédients : mi11et, aromates, légumes cuits avec une sauce béchamel


(chou-fleur, saisifis, cê1éri, ou etc... au choix)r chapelure.
Cuire le millet dans deux volumes d'eau, saler et aromatiser. Après cuisson,
êtaler, dans un pTat, une couche de millet, une couche de légumes, et-ainsi
de suite. tlappei le tout de sauce bêchamel {matière grasse, farinen jus.de
cuisssn du iégumen sel). Saupoudrer de chapelure et aiouter quelques noi-
settes de margarine végétale. t'{ettre au four.

Ingrédients: I oignonr l poireau, millet, hui'lerchapelurer l oeuf (faculta-


tif). .)
llacher finement I oignon et I poireau" Faire yanguiser dans un peu d'huiiet
oignon et vert'Ce poireau et ensuite le blanc de poireau. Ajouter un litre
d'eau, saler et cuire l0 ninutes. Jeter dans ce bouillon 250 gr de millet
et laisser cuj're sans remuer penciant 40 minutes. Laisser refroidir dans ja
casserole et dêmouler ensu'ite conme un gâteau. D'iviser en parts et rouler
chaque part dans de 'I'oeuf bat,tu et de'la chapelure avant de les faire frire
dans de lrhuile,bien chaude. (A la place de I'oeuf, on peut utiliser une
pâte à beignets - farine, Êau et sel - et passer ensuite dans 1a chapelure.)

GATIAU L II4A

Ingrédients : 2 tasses de farine de froment, 1 tasse de farine de mi11et,


1 tasse de poÏenta, I cuiller à café de.se1 , I cu'iller d'huile, 'l poignée
de noix, 1 poignée de raisins secsr'l dem'i cuiller â cafê de cannel'le,
1 cuiller de nojsettes et des amandes piiées.
Mélanger tous les ingrédients, exceptê les emandes pi1ées, dêlayer avec
de 1'eau pour obtenjr '.une pâte assez humide. Rernpl'ir des petits moules,
parsemer d'amandes pilêes et fa'ire cuire au four assez chaud.
t4

ooôoooooooooooôoooooooooooôoooooooooooooôo
'
oo
cAS DE GUERIS0N pAR LA MACROBIoTIQUE o
ooooooooooooooooooooooooooôoooooooooooôooo

..rli, '.
Oep*il ln uâ-û,Lon de. nctttte tLqvue, nou avona toujawu tle,Îsâd. dot eat de
guiwtsan eanee.ttnant dzt mutx esdeittiaLLwenl ytttgtinLogiqueÂ,
Ce,tte {o*t-ei, ,tou vaur'r p,LaTJo^on^ L'{,ti.tÉoino, extnaa+C"Lnaine poJL 40"
pI-LeLt6", dt un jwne. lzavune ,ytoun clwL .Lu pantes de L'a.aihe ê,ta,Lenl dê-!d.^iJn-
enlne.ouvelLtès e.t qui, corrwe pûL enehantenent, â'e.tt" eamp.LëÂenznL n1trbW
ptJL .NLe. ptto-LLque lud.Lcietue de ln" &lacnobittLtrauet &ceompagnte dtvn "tiui-
ftementtt itupt4A d'une comp,L1henÂtnn L,tës ainpl-e du Paixciyte Uni<4ue, ': '

.L li.'

: r ir,

DI F.
LE CAS*:-

F. me fut prêsenté par mon ami G. dont nous avons dêjâ narré I'histoire lûrs
d'une prêcëdente edition.
Je fus tout de suite frappé par sa grànde taille et sa forte corpulence par
rapport â son jeune âge.
Il s'exprimait très facilement et trouyait toujours une justification â ses
emeurs, gu'elles soient d'ordre pratigue ou d'ordre intellectuel ,
Conme il me le dit plus tardn il était fort inquiet avant notre rencontre,
srattendant à voir apparaTtre une espèce de "guru" â longue barbe, en longuc
robe noire, venant tout droit d'un quelconque pays lointain.
Heureusementr i1 fut quand même impressionné par notre première entrevue,
non pas par mon accoutrèment, mais par les possibiljtés de comprêhension
qu'il entrevoyait à travers mes expiications sur la Macrobiotique et 1e
Principe Unique.
De mon côtê, je retins surtout qu'il êtait grand consommateur de coca-cola
et je m'efforçais de mon mieux de le d'issuader de continuer â s'empoisonner
avec cette boisson dont les ravages sont peut-être plus importants que ceux
produits par 1'a'lcooï étant donné que ce sont surtout les jeunes qui en
sont 1es innocentes victimes.
Je revis souvent F. et nos discussio$s me .faisaient croire que sa compréhen-
sion du,Principe Unique s'était améliorée et surtout qu'il etait devenu apte
à se dêfendre contre les vicissitudes de'la vie.
l,la'is il y a toujours la face et le dos...
F. avait toujours êté fort gâté par la vie, et il etait parvenu à subsister
sans aucun effort et sans aucune activitê ni tnavail.
9q qgrdis de vue, i1 se maria et décida enfin d'assurer ses responsabi-
!. d'adulte
litês en ouvrant un commerce.
l5

I._cgMgE_Fguj

chaque fois que'Je rencontrais mori ami G., je ne manquais jamais de m'en-
quérir des activitês et de la santé de F.
Son conmerce florissait, il avait eu une petite fille et tout sembtait se
dérou]ercofiIne.danslemeilleurdesmondei',..
Un jour û. me télêphone pour m'entretenir de divers sujets cormre nous en
avions l'habitude, et lorsque je tui par'le de F., il mà dêclare :
- Il est devenu fou ! ! : : ..:,
Je-me dis qu'il a sans doute pris des risques dans le domaine profession-
nel et que la remarque de mon ami n'est qri'une boutade.
.1

Il insiste : :

- Nonr non, il est dans un état êpouvantable, il est incâpable"d'encôre .

trauaillel, ll mène une vie imposs{ble â sa fennæ, et si cela'contïnue,


c'est la faillite !
i ':
,,: ': . ;

Je me rappeile les'paroles de Georges OHSA}IA : "Drih3 ce monde, toute ten-


tative qui v'iole les lois de 1 '0rdre de l'Univers, aboutit toujours à son
contraire !"
J'interroge : .

- Pratique-t-il la Macrobiotique ?
- Non, .il garde'cela p6ur" quarid il est maladé,
- 0ui, mais c'est le Ca's, alors ? . '

- Jg T sa.is pas, ie te donnerai'plùs'dti,rqrtSeignqhents bientôt;

F. COMT4E FOLIT.

Quelques, jou,rs plus tardr'G. me têléphone : ' - ':


- VgiIà ce.qui se_passer âu fi.rr et â'mesure.que son comrnerce'florissait,
sentait qu'il n'allait pas être à la hauteur'de ses responsabilitês, sui-' F,
tout que jusqu'alors, ii avait vécu dans l'oisivêtê ta blus complêté., '''
Co{une Un iapprentisorcier, il se voyait dépassê"par ce qir'il avait entre-
pris. De plus en plus 'inquietr. it s'ëtait lais-ie infldencer par^ sofl ên-
tourage et-sous les conseils d'un neurologue, il avait pris qlelques cal-
mants qu'il espérait salvateurs.
Loit de -Bç:'calmer, it-devint de plus en plus angoissé, il augmenta les
$gses;',tl,r.diversifia les
nremèdeb,,, rien'
II ne pouvaTt.plqs rester en place, avai'tn,y fi[; au éontraiie.
lâ somieil difficilei et plus
grave' 'i1-êtait devenu incapable de penser.
Quand sa ferme, exaspérêe par la sitiration, lui demandait de l,aide, sa
réponse venaït comme un leitmotiv : MAIS JË suIS MALADE, TU SAIS !
; r ."-i ': :.-,r ', : .

Corment exptiquêr qu'une personne ayant connaissance de la Macrobiotique-.


puisse en arriver '
Iâ ?
F.-avait.pratiquë quglques fois la Macrobiotique pendant des périodes assgz
brêves''il avait également étudiê un peu, très peir te principà unique.
Le peu de difficu'ltés qu'il avait renfontrê dan! sa vie ne tiri a pas montré
t6

la nécessité de pousser plus. loin ses investigations.


Lorsquril se rendit compte qu'il êtait dêpassé,'il pensa qu'une petite pil-
]ylg ne pourrait pas faire de tort, surtoilt quiau AèUutn l.'amêlibration'
êta'it certaine. l4ais l'ôn ne viole pas impunément les iois de la vie, et
bientôt ce fut 1e gouffre,
- Pourquoi.ne prend-i] pas contact avec moi ? Il sait bien que par mes
conseils j'ai dêjà aide d'autres personnes en difficulté.
- Il n'ty a pas pensé ! Je vais le lui suggérer.

!N_F!qlqr_qqu_F0u _F0 u r

Un peu plus tard, la fenme de F. me télêphone :


- Peux-tu quelque chose ? Ici, c'est le drame, toute notre vie est
faire
contrariéèr nous ailons devoir liquiéer notre corrumerèe pour lequel nous
avons consâcrê toutes nos forces et tout notre ayoir,

- Personnellement, je ne peux rien faire, mais nous tous ensemble, nous


pouvons unir nos efforts pourle sortir àe lâ et sauver votre exiitence.
La fermre de F. est affolée, et pour caus€r.r, son premier mari avait lui
aussi eu des problèmes de cet ordre, et aujourd'hui encore, i1 est en trai-
tement cormne malade "incurable,,.

Je me rends chez F. et je suis.l20


stupêfait en le voyant si changê; il est
tout gonflêr il pêse au moins kiios et la dilàtation a déiormê ses traits
au point que je ne'le recorinais pas inmêdiatement.
Il est dans un état d'exitation pennanent, i1 s'exprime difficilement et je
retire de notre entretien qu'il est camplètement dêsemparê et prêt à tout
Four sren sort'ir. Je lui donne des directives préparatoires dà ûeorges
0HSAIJA en insistant pour qu'il supprirne absolumènt'tout mêdicament.

L'angoisse atteint surtout les personnes fort dilatées, el-1e donne une sen-
sation de t'esserrement.' Si le malade se resserre par ion alimentation,
I'angoi.sse disparalt,. C'est miraculeux de sinrpl icitC I '

Les médicaments habituellement préconisês neuti^alisent la partie de notre


système nerveux qui resserre (parasympathique - yang) alori qu,i1 est dëjà
entravé dans sa bonne marche puisque le sujet est deja ditaté.
C'est meurtrier !
Il faut supprimer de l'alimentation tous les éléments trop dilatateurs (yin)
et boire juste le-nécessaire; bientôt, le corps se resserre et l,angoisie
ne peut plus preduire de resserrement et perd ainsi sa raison d,être-:
c'est .la guêrison I
Les asiles d'aTiênês s.ont remplis de'lnalades mentaux" fabriquês par la mê-
decine symptômatique dans la plus complète ignorance du mêcanismb subtil de
nos systêmes ortosympathique (Yin) et parasympathtque (yang) qui sont Tes
reprêsentantsde]aToiuniverse1ledansnotrecorps..
La médeci.ne officiell,e s'enorgueil'1it dravoir fait disparaître de notre ; !

monde des maladies telles que variole, diphtérie, polibmyélii,e, etc.,.


t/

grâce aux vaccins et autres techn'iques empiriques, mais combien de cancé-


reux, de handicapés à vie et de malades mentaux n'a-t-el le pas sur la cons-
cience !!!, et certains pensent, non sans raisons, qu'il y a une relation
de cause à effet.

JEUNIR ET PRITR

Un mois pius tard.


- Allo, F.i ii n'y a pratiquement pas d'amêl ioration.
ici l'êpouse de
It a simplement perdu une dizaine de kilos, mais pour ie reste, rien de
changê.

- C'est très grave, cela montre que dans ce sas-ci, le changement de nour-
riture seul nrest fas suffisant pour obtenir une guérison ràpide.
,Jésus a dit : pour guérir, il faut jeûner et prier.
Georges 0HSA'y{A'nous a expiiqué que jeûner, c'est se nourrir selon 1'ordre
de 1'Univers et que prier, c'est nréditer à 1'aide de Yin et Yang sur l'ori-
gine de la maladie et sur les moyens de guérir. Dans le cas de F., on peut
le faire jeûner, mais cornnent le faire "prier" ? Il est incapâble de se'
concentrer sur quoi que ce soit.
- Nous avions beaucoup d'espoir, maintenant 1a dêception nous envahit peu
à peu.

- Je vais venir le chercher, il passera deux jours chez nous, nous devoits'"
absolument trouver la solution pour montrer la valeur du Principe Unique
â tgu:
.9eux
cui qonsidèrent F, comme perdu
' . .1

LA GUERISON

J'avais'proposê de ven'ir cherchen'F. car i1 refusa'it obstinêment de se


Jaisser conduire en voiture. Les dernières fois, i1 fut toujours victime
de crises d'angoisse qui se manifestaient par une paralysie momentanée avec
de fortes contractions au niveau des mains.
''
Je me rendis chez F. accompagné d'un ami qui est sur le point de termjner
ses études en mêdecine'et nous embarquânres F. pour le conduire chez nous.
La crise se produisit et mon ami, inqu'iet, me dit que cela ressemblait à
une crise de tétanie et qu'en milieu hospitalier, on administrait des for-
tes doses de calcium pour "sauver" le malade qui lors de son rêveil se sen-
tait toujours très nal.
Arrivés devant chez nous, F. êta'it toujours dans un état second, et c'est
avec d'ifficultês que. nous parvînmes à l'installer sur une chaise en attendant
ta fin de la crise. Au gr'and étqnnemeht de mon ami, non seulement F. se
réveilla bientôt, mais de p1us, 'i'1 paraissait senein.' conme si'1a crise
agissait conme càlmant.
Le premier jour, j'eus quelques entretiens avec F. et 1'observai attentive-
ment dans sès fâiis et gestes, cherchant j'élêment qui nre permettrait de Ïe
TB

sauver. Ûans'l'aprês-midi du second jour, je me décidai â expérimenter le


résultat de mes cogitations. Puisque Ta nourriture ne pouvaii pas 1e resser-
rer assez rapidement, et comme 1es 'angoisses étaient du'domaine'psychique,
lç pensai que c'était au niveau psychique qu'il faltait agir.
J'invitai F. à s'asseoir sur une chaise que j*avais mise dans un coin, et
ie m'installai en face de lui. Nous eûmes un entretien au cours duquel F.
essaya A p'lusieurs reprises d'êchapper par quelconque subterfugen mais cha-
q{g.Iqis' je 1'obligeai â voir les choses en face, sans ïui laisser la pos-
sibilitê d'exploiter son habileté à dêtourner les difficuités.
Je le voyais faiblir, ie sentais que quelque chose aitait se produirer com-
me si un abcès allait bientôt crever,
11 se défendait de plus en plus faiblernent, mais i,l avait des ressources,
depuis qu'il pensaito il était habitué à se mentir à lui-même.
ne savai! pas qu'ii avait bâti un château de cartes pour se protÉger et
ilIl ne voulait pas 1'admettre.
Quelle amogance !

Je me mis à éTever le ton, je criais corrne quand on gronde un enfant, à


chacune de ses réactions, je criais davantage, bientôt, je hurlais.

Alors, le miracle s'accomplit, on vit F. avec son mètre quatre-vingt-cinq


et ses I'10 kilos fondre en larmes comme un petit garçon.
Ij !. mit à,parler très calmement, i.l m'expiiqua én âCtait la part de vrai
et Ja part de "cinêrna" dans son comportemeht dt me promit de clranger entiè-
rement sa façon d'envisager les choses de la v'ie.
Il avait retrouvê sa facultê de prier, la guêrison était acquise.
F. se remit au travail, il rattrapa tout le temps perdu, et bientôt, .les com-
mandes affluèrent caril fut bien'vite considêrb dàns si branche comme un
des pTus sérieux et des plus méticuleux.
Je suis très content d*avoir pu aider F. à se soigner d'une telle rnaladie
mentall qu'i risquait de ruiner tous les espoirs dé son jeune mênage, et
surtout de sa fernme si courageuse.
Mais au pÏus grande la joier-au plus grande la tristesse I

Je suis pratiquement sans nouvelles de F. depuis très longtemps; j,ai appris


p1r.9. qu'il a tant fait d'affaires qu'iÎ esl allé s'instlltei- àu Canada
où il a étê noncné directeur d'une grosse boîte de publicité.
Il ne connaîx-pgs la reconnaissance, i'l ne sait pas que si I'oh donne un
grain de riz à Ia terre, elle nous àn remet 10.0b0.
II n'est pas.complètement guÇri, sa guérison n'est qu,un nouveau château
de cartes qui risque de vaciller à Tà moindre bise.
Mais il est tranquille, il n'a pascomplètement perdu la mêmoire, et si
c'était le cas, t'l a càrtainemeirt soigheusement hotê dans un carnet ...
mon numêro de télêphone !

0rthocel se.
19

ooooooooooooo00()00qcoooooocooooooooo
o O
UNE AUTRT VISION DE LA SCIENCË
O6
oôtoooooooooooooOooooôooôooooooooooo

(suite)
DU NOUVEAU SUR LE NOYAU

, ,' ''1.,

Les travaux de ful. KERVRAN procèdent d'un esprii totalement différent de


çel!l qul a inspiré le professeur Baranger (chef du iaboratoire de chimie
9..1'Ecole Polytechniqub). Le Pr Baranler i'est volontairemént astreïnt
in:qginer et rêal'iser dés expériences iimitees, mais d'une rigueur très
iêtudiêe pour rêpondre à la quâstion : "txiste-t-il des cas proivês, ou mê-
me un seul casn de mêtabolisme nucléaire ?"
Le Pr Baranger a entreprjs des expêriences en utiTisant d'autres méthodes
gt aygg_des précautions encore plris raffinées,
Parallèlement, plusieurs cherchburs étrangers, en Russie, au Japon, en Inde,-
ont entrepris des contrôles qui demanderont sàns doute un certain iemps.
Mais on est désormais assurê que la curiosité des mil jeux scientifiques est
êveillêet. Bequçoyp !ç physiciens - Heisenberg, pôf exemple - pensent qu'i1
pourrait y avoir 1à I'iireice d'un nouvel accèé'air mystèrb au nôyau. Cet
accès au fivstère du noyau serait l'expêrimentation -biologique. -

l'1. KERVRANT 1ui, a rassemblé une foule de faits qui, pris sêparément, ne
pourraient sans doute suffire à troubler les phydiciehs nuctbaires. Devant
ll-I.!! uninexpliqué,-il est sage en effet de pânier que i'explication sera
trouvée jour ou I'autre dans le cadre des"théories actueiles, plutôt que
de tout remettre en cause.
Seulement, dans le cas prësentr ces faits sont convergents. Ils ne consti-
tuqlt pas une preuve sans doute - et ['4. KIRVRAN le reéonnaît - mais ils font
réfléchir - 9u'ils soi,ent susceptibles d'une interprétation unique - addi:.
tton et soustraction des noyaux d'oxygène et d'hydrogène, sommation de de,ux
noyaux - incite presque irrésistiblemént à penser qui.il v a là une vbie,
une porte ouverte à la découverte de nouvelles lois et dâ nouveaux faiti.

Et dès qqq I'on commence à y penser, les faits concordants accourent d'eux-
mêmes. C'est le goêmonr ltllise deiuis des siècles comne engràis sur 1es
côtes. Dans le gôêmonr-il y a de là soude; dans 1es plintéi-récottcesr-ir"-
tout de la potassei et les sols, ma'lgrê I'antiquite dà cette pratique, ne
sont pas sodiques.
0ù va le sodium ? D'où vient le potassium ?
M. Kervran rêpond ,:,

t{a+0-.*K
(sodium) (oxygène) (potassium)
- C'9t! l'engrais au n'itraterutilisé pour enrichir les tiges des céréales
en silice. Par quel mécanisme ?
20

M. Kervran répond : .. t

tl2 Si
-----r(sil icium) i,:
(azote) ,

- t'est le lait 9ç Ja vache,qui contient du calcium, nrême dans tes pâturages


sans calcaire, D'où vient-iI ?
Rappetez-vous, dit,,M. Kervran, I'aviditê-
des-raches pour le sel et Ie salpêtià, qu'ellei tècffênt sur lei murs de l'é-
tabl e.
Et justerent :
,i:\.
:K+H-rCa'iil:
(potassium) {frydrogène} (càîciun} '
;.'
ti:
'

et l{a + 0 ----'d K
(sodiurn) {o4ygene} {potassium}
- Ce sont les cas de guérisons inexptiquées iet discutêes) de la silicose
par des aérosols d'aluminium. 0r,
Atsi-H
(aluminium} (sil icium) (hydrogène)
- Ce sont les engrais_imaginés par Henri Spindler â partir de l'hypothèse
du mêtabolisme nuclêairer-et qui produiseni. rêellemeirt l'effet prÉvu, en
99pit des théories.
Alors ?

Il semble-que tout cela conduise à une évidence de plus en plus pressante :


le métabolisme nucléaire est une hypothèse digne d'irne étudà appi"ofondie.
I] faut multiplier les expériànces.' CertaineË oe-cËl-eiùèiienlËs ne sem-
blent pas requêrir des rnoyens excessifs. En voici deux iarticulièrement
simples :

lo Le potassium du salpêtre proviendrait, sous l'action de certaines bacté-


ries, du calcium du calcaire-par soustrraètion d'un noyau d'hydrogènei et l€
magnésium par soustraction d,irn noyau d'bxygène.
Pounquoi ne pas tenter "in vitro" une cuttirie de ces bactëries sur du cal-
caire de composition rigoureusement connue
2" L'otlycarbonisme des o4ycoupeurs proviendrait d'une transmutation
mêtabô-
lique' par l'organisme du-malâde, dè ta rplêcule d'azote aclivèe Ën il à6-
me de carbone et un atome dto4ygène. r,
Pourquoi.ng.pag tenter d'ëtudiËi l'Àttetr sur les animaux, d,un air rigou-
reusemeat titré dont l,azote aurait êté activê ?
0n peut-imaginer de nombreuses autres expêriences. Il ne suffit pas, pour
!îéglçf la questionr {'en,cond{mner le principe sans exanen sous pi.etéxle
"gu'-il serait insensé d'imaginer un rélultat'positifu. L'idée qire Ia natu:
re devrait se conformer e nôtre bon sens appai.aTt de plus en plds conme un
enfantillage ennemi de Ia recherche. "
Quant â 1'autre objection selon laquelle Ie nrêtabotisme nucléaire serait
en contradiction avec ce que I'on sait du noyau, corment lui accorderait-on
21

le moindre crêdit, sachant précisênent que le noyau, c'est, coflme nous le


disait Charles Noël Martin, Ia "bouteiÏle a encre" ? Et, drailleurs, les
effets moléculaires décciuverts par les phys'iciens canadiens montrent déjà
gue, sous certaines conditions, deux noyaux peuvent s'agrêger I'un l'autre
pendant un temps très court.

LrobJection la plus sérieuse est celle des bilans énergêtiques. Un tel mé-
tabolisme, se traduisant par des fissions et des fusions, devrait mettre
en jeu de fantastiques ênerg'ies. La moindre galade équivaudrait â une peti-
te pile atomique dans le cas d',une libêration d'énergie. Et dans le cas
d'une absqrpti.on (rêaction endothennique) où l'être vivant puiserait-il l'ê-
nergie nêcessaire ?
M. Kervran pense que la rêactiqn :
Na+O-fKi
(sodium) (oxygêne) (potassium)
' '. .:

observée, selon lui, dans les cas de sudation intense serait endothermiquet
ce qui expliquerait que les travailleurs sahariens supportent sans malr et
sans boire trop des températures excessives,

De tgute façon, l'objection des bilans ênergêtiques suppose exclue (corme


"insensée", sans doute), i'hypothèse d'un ëquilibre thermique maintenu grâ-
ce â des transforrnations constantes matière-énergie et inversêment.
C'est 1à bien str une hypothèse audacieuse. Maii ptus on avance dans la
connaissance du noyau, et plus on se heurte au bizarre et â I'incroyable.

Et.d'ailleurs, voici, en guise de conclusion, I'expérience que le chimi,ste


allemand Hauschka affirme avoir rêalisée : il
a pris des graines â genner,'
il les a mises dans un flacon avec de I'eau, de itair, et-tout..ce qu'il
iI
faut â une graine pour se dêvelopper. Et a scellê te flacon. Et d'a-
près Hauschka, ce flacon scellê s'est mis à prendre du poids â mesure que
la plante poussait ! i

Voilà, semble-t-iï, une expêrience facile à reprendre. N'y êura-t-il pêr-


sonne pour rla tenter, ?

(f in)
LouiS KERVRAN

Sous cette rubriquer en prêparation :

- I'Astrologie
- lafHomêopathie
Radiesthêsie
-I
- êt ,.. nous attendons vos suggestions.
2?

ooôooooooooooooooooooooooôoooocooooooooooooo
Ô VOUS NOUS TTLEPHONEZ... NOUS VOUS ECOUTONS O
o
o
oooooooocooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo

0. de C.
Yt:h.neu6 i.o.uy qu9 !9 ne mange, .pûL neplÂ, QUL L,-eqwivatent d.e lô0 sn de
T. ,Y, .euÀr d'aw tnoi.t vot.umel d'eau e.t ce, uni4uuneÉ. îe mil"î. at L-e 60iJt.
-b?i que L ou 3 rsttu d"e th-e de btai,t'ayq àn bnnnchp; aua tsule une
J.e ne
jounnte, . Man 2'tat, g"en'enor a'est arn'et"ignê., mais
lz n) êlonne qu*'^û*;;,i;;'
totrft lot4iautut t,aë,t l,[nines e.t me ro*.es 'd"e coulLu *iîi7*u',, '

nonma.L ? to.it-je eont[nuen à me nowuu(n de ee,uà


pa.t;-nt;;fuu.
uainu e.t rne-t te(tu ae nonnal-isatt ? ta+ii-i,uq;;,;-A'q"î'àai" ,'
Je dou atati be-oarcnuyt : de g à, tt ltema pilL nwi.t.
Les urines colorêes, c'est-à-dire_jaunes et limpides, sont le signe d,une
êl imination nonnale. Une urine clàire dénote ui,e diiut'ion des t6xines pai
y1,gxcès.dq.liquide. .D'1utre part, des selles claires et môiies rcsultânt
egatement d'un excès de liquider
Apres neuf jours.de riz, les cellules se resserrent et I'eau êliminêe retar-
de la normalisation de vos urines et de vos selles, -En cànicqu*nc.r si vous
voul ez un résul tat rapi de , vous pouvez encore aiminre""t ï;;;;;'lià-i q,iià.--
i
en cuisant votre. riz.
dans deux vôlumes d'eau-ei mênre uvec-lhà iois et demie
!:ul!glt"si
9]3:: sl vous Te cuisez.a la pies;io;i. D* piui, uôu, àoruur, tou-
Jours vous êtes pressé d'améliorer votre santê, silpprimer la'Uàiisôn pÀn-
!111 euutques jours. Evidermnent, à la moindrà aiériÀi'ti uàri-tuffira de
Dolre.un peu.pour que vos ma'laises. disparaissent.
doit Quànt à votre sonneit, .il
pas dépasser-quatre à six heuràs pai nuii,;;;;a
19
pouf prri-qi,. suffisant
Yl organisme-qui ne doit pas lutter lontne lés agresiions-nabituellement
produites par l,al imentation ciassique.
Cinq jours plus tard.
J'aL **ivi vot eonsai'Lt à" ta LeLtul1,. ,ie du.it tutè4 ur.b6ai.t dil n-e.au,llat., mu
ae]'tu e-t me.a un"illu âoF.ean6a;Jtekr-t iàn^u,iré.ea, âi-io*re vcu.6 ttaviez
.t9 maLùue,"er
pttâvu, itaL eu un^ytel.i,t it-ry;"
t'out nenLrte dan !..'ottd,\e. Je mL contznte iitUU-àîLrîiu*Ti"'in" poun que
6a,t;ïeme* ù, ii"-àu"i^no;trnu
caue le c0vL6omme eho'que
^iourL, !?
me ,s.e.n aeiracnuyt p.Lua
L'eget e.t m1nà-poa'ào^e*
eupltani4ue, !,le's t,tàub4e ;rr.-p;r.t
-piqrJ"aug,7q"eÂ
tww Ttlut maÎ'tsæ de moi-mdnei 4uene.nt ilapugt e.t le me
le.âoËi-wt ià":,rr*r-aix-heunQ^'paL nwLt, natt
xfrffi#w'#m.w: ji' ffifrj\ im M:,* iii''tt** a
Vous êtes arrivé â
Yt.rêtat de purification qui vous permet certainement de
varier votre alimentation. consne vous vous en êtes certainement rendu compte,
au pJus ie choix des aliments est restr.ini,-uu-piùs
synthêtise et bientôt vous êtes compietÀmâni ràplie sur u'ïjïàn oe la vie se
"oi.é
vous-même. C,est la
variété des aliments. qui produit la'vàiiétê-dài-pensêes. C,est pourquoi
Ia
à tant de domaines, iàul' atimentatiÀ' e[i'i"ii'piut
ffliË: :1tfiil::.touchait
Maintenant que vous avez pu vërifier sur vous-même que vous pouvez
vivre en
'1

bonne santê en mangeant.ti"ès.peu de cêrêalÀJ-et-en


buvant deirx â
tasses FôF jour. vôus êtes libre.aÀ mangË"-àt-à. noire-toui-iâ qu* trois petites
vous voulez.
si vous faites ùes erreurs, c'eit qu. v6i"e-jutément n,eii pai Ëncore suffj-
23

dêvoilé, et votre cûrps, en réagissant aux agressions, vous rensei-


sônffinent
gnera mieux que quiconque â ce sujet. Âinsi, en élaigissant votre nouriture
pgtit â petitr vCIus pourrez bientôt déterminer 1'effet spêcifique de chaque
aliment sur votre organisme et si vous allez trop lcin, vous savez maintenant
cow*ent vous'soigner, Je vaus conseilie de consnencer iar varier les céréales
en ajoutant un peu de carattes et d'azukis à vos rnenul quotidiens et de con-
tinuer à bo'ire le strict nécessaire. .:.

N'oubliez pas que 1a pratique sans la théorie est danEereuse


i ,

S. de 0.
Jt.aL neg.r du rnenact'l à" pùxe dêg&i€.Q d.e L'in|inniëhe de t''ecoL-e patlce ELz
it ai nedu*ë que me,6 en{untt avhiÂaey* Ia' uti-nêalfuLan, Swi"r-!e ob'{,iaë. pàn
Ia. Loi de Lo-Uaeh pnahi4uen ce, genhc. de dâpi;taAe. quu lz ntprcuve e-t ai ct ett
Le- e.ot, q*e me- eoy'*ui.tÂ.ez-vau ?

Malheureugement, ia 1oi impose ce mode de dêpistage sur les élèves qui fré-
quentent les écoles gardiennes, primairesn normales et techniques.
A la suite d'une carnpagne pour la Iibertê-d'acceptetr ou non cette agresgion .

sur I'*rganisme de nos enfants, plusieurs parents nous ont tétêphoné.


A notre avis, il s'agit pour Te moment d'adopter une attitude individuelle
en at'Lendant:irne action groupêe. Nous conseillons vivement à toutes les
per$onflës''concernées de se mettre en rappCIrt avec "Infor Vie Sainer'1 tout€
de l'larchovelette 16 a s0z0 champion, têi. oet / ?10 sl3, dont 1'êquiie s'ef-
forcê.drobten'ir 1a libertê dans.te domaine du dêpistagé et de Ia'prôphylaxie.
Ûe notre côtê, nous avons deux enfants soumis â cette obligation et nous nous
:ofmes'gppqsTq f,onmellement par êcrit â'ce que nos enfants subissent le test
â la'tubercu'line. Pour f instant, nous n'avrns pas encore erlregistré de ré-
action. Quo'iqu'i) en soit, il n'est certes pas ïndiqué de refuier la visite
rnëdicale scolaire, ma'is uniquement'les mesuÈbs de prophylaxie (cuti, radio,
qtc,..) que nous réprouvûns parce gue nous estimons que pour nds enfants, le '
danger dépasse 1e risque.
A toutes fins'utiles, rsachez que si nous, parents d'êJèves, sotTffies soumis â
la loi sur 'l tinspect'ion'lam€dicaTe scolaire {'loi du 2I mars 1964r M.B. du t5
avril 1S64È p. 4û61), directian de.IeI'écci]e a êgatement aes ôUl igations
à respecter, et souvent ce n'est pas cas,
!| effgt' dans son article 5, la ioi dit'ceci ! "Le pouvoir organisateur de
1rétablissement scoTaire est tenu de faire connaltre aux parenls, lors de
]j!Æg|lEglg[, 1'êquipe d'inspection srêdicale scolaire à
Eo*ri'fi€ pection irAaicat e' de son é,tabl issenent.,, iaquellé Trcn-Tând
'

" Les.parents sont sensës adhérer au choix de Itêquipe fait par le pouvoir
gpanisateur, sauf opposition dans les quinze jours âe la notification prévue."
ll notls est-appqfu que dans de nornbreuses êcoles, cette notification êtait:fai:
te bien.qprqs f inscription ou même pas du tout. Nous estimons en conséque;tce
ne pas.devoit'nous soumettre aux exigences d'une êquipe mêdicale désignée par
un êtablissement scolaii^e qui n.ta pai respectë ses 'obiïgations 'lëgaïei,
A Ia.t.'imite, en noyant ainsi le poisson (bn pourrait diFe .le poisôn) dans une'
procêduro administrative qui corrne nous Îe sàvons demande "un-certain temps",
nous-n'avons plus qu'à esférer qu'en attendant "Infor Vie Saine" parviennb a-
ses fins dans la lutte pour nos libertês.

0
24

ooooooooooooooooeooôoo
LU ET EHTgllDU...
: :
oooocoooooooooooôoooo

LA lot'r,tE D-E TERRE DËVINAIT IiTQUIETANTç

Bonl ; Le.petit,.pfeuet reçu par-le Mini3tre ouest-aTlenand de l,Agriculture


ne faisai! pas- itiç-!qc"r-mais T,a tout de même inquiétà. -
lçlonsieur Josef Ertl 1'a ilonc remis aux services de'sécurite du Ministère
quir prudglts, I'ont transmis à Ia police. Des artific"lers ont ouvert Iné-
trange.colis pour y dÉcouvriF,.. urtê énorme porme de terre.
Un jardinier de Rast,ibonne (Bavière) avait imaginê ce moyê; peu protocolaire
pour faire savoir au Ministre que lâ culture biologique âvail àei resuitits...
êcl atants.

"La Dernière Heure" du 31 juillet 1979.

DES t'{0itTAcNEs DE p0!,|l4Ës JEIEES

Yl :*.!rlister. M. vandevrvaeren a reconnu que I'an dernier, pas moins de


'+u.uuu tonnes de pomes ônt êtê jetêes
et détruites parce qul.etles'n,ont pas
trouvé amateur dans les criêes â-des prix dépassant i s;p;i;-a;interùàntiôn-.
It s'agit de 35.000 tonnes de Gotden-belicioirs et de s.00b tonnes ae fiàsioàp -
rouges.
Nren a-t-on pas donné aux ëcoles - ce qui est évidemnent une bonne publicité
en faveur de la consorrnation des pormei - ou â des organiiitiàni caritatives ?
Réponse assez embarrassée*'du spécialiste I
;:llt.tglygil sarantir les chiffres, je crois bien qu'on a donnê quelgues
r.buu tonnes de pottmes dans les écoles.
Et il ajouta ausiitôt i
; Mais gratuitementr-cela
nous ne pouvons continuer dans cette voie, parce que distribuer des
ne rêsoud pas ie problémb ae I tindustrie iruiiiére.
Pryet
Et cela crêe un conflit avec le conrnerce traditionneT,
"Le Peuple" du 13 octobre 1979.

De la soif à la faim, du verre â l'assiette, il y a ,'un so.liae coup de


chetteu qui entralne-chez beaucoup de nos c6ntemlorains une four-

SUMLIMENTATION ...
nociver-slls compter que la qualité de la nourriture, fournie en quantité
i*:rlll.1k:_::t 9. ptyl.en'plus conresrêà icoiorants chimiqurr,-Ëiô...i,
I9!:-d::.1:qgl:9t énergë iques beaucoup.plus-faibles que cetïes aes génèi'i-
tIons précédentes, la ration calo+ique'dixneure chez nous excessive.
Prenons quelques exemples, Le diabdte est la troisiame càusÀ-ùe mortalitê
aux U.5.4. L'ulcère de Iresûomac est bien une maladie àe ioiieiè. La carie
dentaire est sans doute liêe â l'alinrentatiôn; àtti atrÀciâ-is-1' des adultes
et 80 % des enfants dans les-pays industrialiiês" Les soins centiires
sentent 6 ï des dêpenses de liassurance maladie. Ënfin, selôn un rapport '
"epré-
amêricainr la moitié des cancers férninins et 30 % des ianceis mascùiins,

Vous aimerez peut-être aussi