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CM ORGANISATION AMINISTRATIVE 9/11

Thème 1 : Les principes fondamentaux de l'administration française

Section 1 :Les principes généraux de l'administration


L'administration fr présente un certain nb de particularité ;
L'orga de l'admi fr est définie pour parti par la Constitution ;
Le principe fondamentale de la Constitution est quelle ne dispose pas d'un pouvoir autonome.

1er §: Administration et Constitution

A. Les références constitutionnelles à l'administration

Cela ne vise pas seulement la Constitution mais ça enveloppe le bloc de constitutionnalité (préambule
de la Constitution de la 4e République, Chartre de l'environnement etc.
DDHC  on a l'Art. 6 qui pose le principe d'égalité devant la loi.
De ce principe dégage le principe d'égal admissibilité devant les emplois publiques.
Art. 13 & 14 : qui posent le principe de la nécessité de l'impôt.
Art. 15 : qui précise que toute soc à le droit de demander compte à tout agent de son administration.
Art. 16 : pose le principe de séparation des pouvoirs.
Ces diff Art sont des principes qui guident l'orga & le fonctionnement de l'administration.

Le préambule de la Constitution de 1946  certain nb de principe d’inspiration social, ce préambule


envisage l’administration sous l’angle des services publics que l’état doit rendre en charge (ex :
service public de l’enseignement).
1er Art de la Constitution : la fr est une république, indivisible, laïque, démocratique et social.
Fin de l'Art 1 de la Constitution : son orga est décentralisé.
Art 13 relative au PR, Art 20 & 21 sur le gouvernement et le rôle du 1er ministre, Art 72-75 qui
intéressent les collectivités territoriales.

B. La subordination de l'administration au Gouvernement

Art. 20 de la constitution  précise que le gouvernement dispose de l'administration.

1) Le principe de subordination

L'ADM est au service du politique  l'ADM a un rôle d'exécution = l'ADM va devoirs exécuter les
orientations politiques.
Cette subordination se matérialise par le lien hiérarchique qu'il y a entre le gouvernement et ses
subordonnés  toutes les ADM sont subordonnés aux ministres (prof & ministre de l'éducation par
ex).

2) L'influence de l'ADM sur le politique

Il y a un phénomène qui existe qui est l'influence de grp de pression d'intérêt sur le politique  cela se
retrouve au niv de la haute fonction public.
La haute fonction public = ceux qui ont les plus haut emplois au sein de l'ADM & ils ont un rôle
décisionnaires, peut intégrer cette haute fonction des grp de pressions = risque = ces hauts
fonctionnaires sont corrompus par les intérêts pv.
On a mit en place un contrôle déontologique avant l'entrée de la haute fonction publique d'une
personne ayant travaillé dans le pv.
Loi du 20 avril 2016 : relative à les déontologie des fonctionnaires.

3) La politisation de l'ADM
Risque réel de la politisation de l'ADM n'a pas tjrs été évité.
Jusqu'à la 3e Rép  il y avait un serment de fidélité des fonctionnaires au pouvoir politique.
Souvent l'ADM est accusée d'être partisane en raison des recrutement qui ont pu être effectué.
Il y a une maitrise des parties politiques sur l'ADM.
Mécanisme qui existe depuis longtemps  c'est un système qui est le spoilsysteme.
Le mécanisme est que lorsqu'on a un new président = il met à la porte tous les fonctionnaires qui ne
sont pas de son parti & les remplaces.
Ce mécanisme a été révélé officiellement par Macron.

2e § : L'ADM & les personnes publiques

Les institutions ADM sont diverses.


La 1er personne morale de droit public = Etat.

A. L'Etat : la personne public principale

L'état dispose de la compétence de sa compétence  l'état détermine les domaines d'intervention des
autres entités ADM mais détermine aussi ses propres domaines d'intervention.

B. Les collectivités territoriales : les personnes publiques secondaires

Les CT sont comme l'état dotés de la perso morales & elles traduisent la décentralisation territoriales.
Ex de CT : région, département, communes, métropoles, collectivités d'outre-mer) Art. 72 de la C.

C. Les personnes publiques spécialisées

L'établissement public traduit la décentralisation technique.


L'établissement public  c'est une institution qui intervient dans un domaine spécialisé en charge d'un
service public spécifique = créer pour gérer un service public (université, hôpital, lycée, collège)
Plusieurs catégories d'établissement publiques ceux ADM et ceux industriels & ceux commerciaux.
L'EP est soumis au principe de spécialité = ne peut intervenir que dans les domaines prévus par ses
statues, dispose d'un principe d'autonomie notamment budgétaire & sont soumis à un pouvoir de
tutelle. Ils sont rattachés soit à l'Etat soit a une CT.

Le groupement d'intérêt publique (GIP)  c'est une assoc de droit publique = but = exercer des
missions d'intérêt général dans un but non lucratif.
C'est le regroupement de plusieurs personnes morales de droit public & de droit pv.

A côté du GIP, on a un développement d'agence comme pole emploi, la MPE, l'agence national de
sécurité sanitaire.
Sui generis (seul dans son genre) : une catégorie de personne publique comme la Banque de France, de
l'académie FR.

SECTION 2 : LES PRINCIPES GENERAUX DE L'ORGA ADM


L'orga ADM d'un Etat  traduit la conception politique de l'Etat.
La FR a la caractéristique d'être un état unitaire à la diff d'être un Etat fédéral (ALL)  cela implique
d'avoir une orga qui soit efficace.
Pour permettre cette efficacité : on met en place 2 mécanismes :
 Mécanisme de déconcentration
 Processus de décentralisation (permet de répondre à des exigences de proximité)
1er § : La déconcentration : une réponse aux imperfections de la centralisation

1) Les imperfections de la centralisation

Centralisation  système d'orga ADM qui donne au pouvoir central la responsabilité de prendre
toutes les mesures permettant de satisfaire l'intérêt général.
Dans le cadre de la centralisation, il y a une concentration du pouvoir ADM entre les mains des
organes centraux.
Il y a une rigidité des principes  toutes émanes au niv centrale = il y a aucune prise en compte des
spécificités locales.
Il y a des retards & encombrement dans la prise de décision car tout est pris den haut.
Elle engendre une paralysie de l'ADM = ce sont les organes centraux qui vont tout décider "on peut
gouverner de loi mais on peut administrer bien que de près".

2) Les aménagements de la centralisation

1) La délocalisation

Transfert géographique de service, le + souvent c'est un transfert de la capital vers la province.


Ce transfert s'opère à l'intérieur de la mm ADM & se situe donc au mm niv d'ADM = transfert
purement géographique  mis en œuvre de manière massive en 1991 sous le Gouvernement d'Edith
Cresson. Ex : un certain nb du service du ministère des affaires étrangères ont été transférés à Nantes.
L'ENA a été transféré a Strasbourg On a eu un des services des armés transféré à Strasbourg.

La délocalisation est cosmétique, symbolique car on ne transfert pas le pouvoir mais seulement le
siège social = ça n'affecte en rien l'exercice du pouvoir législatif.

2) La déconcentration

La déconcentration c'est :
 un transfert de compétence du pouvoir centrale aux autorités locales, ce transfert se réalise
dans le cadre de circonscription administrative
 ce transfert de compétence se fait tjrs au sein de la mm personne moral

1ère vague :
 la FR connait un certain nb de vague de déconcentration, le 1er mouvement de
déconcentration = dates des décrets du 21 mars 1852 & 13 avril 1861
 dans le cadre de ces décrets  il y a un certain nb de compétences de chef de l'Etat qui ont été
transféré au préfet.

2eme vague :
 Décret-loi du 5 novembre 1926 : c’est l’équivalent de l’ordonnance sous la Vème république
 2 décrets du 13 novembre 1970 : qui continue la déconcentration donc cette vague.
Sous la Vème Rép = on a un élan important avec la Loi du 6 février 1892 = loi ATR =
administration territoriale de la république.
Cette loi inverse la loi de répartition de compétence entre les ADM centrales (compétence
d’attribution) & services déconcentrés = ils ont la compétence de droit commun.

La compétence de droit commun  par principe il n’y a pas besoin de texte = c'est l’autorité
déconcentré qui va intervenir.
Autorité central intervient que si un texte lui donne la compétence = s'il n’y a pas de texte c'est
l’organe de droit commun qui a la compétence.
Augmentation importante de transfert de compétence avec la loi du 4 février 1995.
Les services déconcentrés ont la compétence de droit commun & les ADM centrale ont une
compétence d'attribution.
Compétence de droit commun  c'est l'autorité déconcentré qui va intervenir pas de texte

Loi du 4 février 1995 implique une new vague de transfert de compétence.


Ensuite a été adopté la Chartre de la déconcentration par un décret du 7 mai 2015 car en 2013 la Cour
des comptes avait rendu un rapport important.

La déconcentration  l'idée de confier à des agents locaux plus proche des réalités locales le soin de
prendre des décisions qui intéressent directement les administrés & qui ne remettent pas en cause les
intérêts supérieurs de la nation = au sein d'une mm ADM le pouvoir de décision est transféré à des
autorités ADM moins élevés & cette autorité ADM est placé à la tête de circonscription territoriales.
La déconcentration = une redistribution du pouvoir.

Le préfet  c'est la figure de la déconcentration = il est à la tête du département.


Le préfet c'est l'autorité déconcentré du ministère de l'intérieur = il intervient sur les problématiques
locales.
2e § : La décentralisation

La décentralisation  consiste a confier des attributions de l'Etat à des instit territoriales


juridiquement distincte de lui & qui bénéficie d'une autonomie de gestion mais qui demeure soumise à
un certain contrôle de l'Etat.
But = apporter une + grande démocratie ; elle a une nature politique = satisfaire la pop locale de faire
vivre la démocratie locale = l'idée est de mieux administré le territoire.
Elle permet une légitimité politique.

A. Les caractères de la décentralisation

La décentralisation suppose la création de CT doté de la perso morale (région, département,


commune).
 Ces CT doivent d'abord disposer d'un territoire spécifique = le territoire présente une unité
historique, géographique, sociologique & économique.
 La CT doit être autonome = elle doit être autonome sur le plan organique cad qu'une CT doit
avoir son propre exécutif, son propre organe délibérant & sa propre ADM.
L'autonomie suppose que les organes des collectivités soient élus.
L'autonomie des CT suppose une autonomie financière = cad que les CT doivent bénéficier de
ressources de personnels & de bien propre.
L'état ne doit pas avoir à donner de l'argent au CT = principe de l'autonomie.
 La décentralisation ne signifie pas l'indépendance = l'Etat exerce un contrôle ADM sur les CT.
Ex : les communes passent un certains nb de contrat & sont soumis le préfet va contrôler si
l'acte ADM de la collectivité est légale ou non.

B. Les étapes de la décentralisation

Les CT ont été crée par la loi du 10 aout 1971 : départements.


La loi du 5 avril 1884 ont été crée les communes.

ACTE 1 : Le 1er mouvement réel des décentralisation & de transfert de compétences de l'Etat vers CT
date de 1882  met en place une vrai autonomie locale.
ACTE 2 : est intervenu avec la Constitution Constitutionnelle du 28 mars 2003 elle est venue
renforcer les compétences des CT.
ACTE 3 : en 2015 avec la loi NOTRe  new orga territorial de la rép.
En 2015  on est passé de 22 régions à 13 régions.
CM ORGANISATION ADMINISTRATION 16/11
SECTION 1: LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ET SES SERVICES

1§ : Les pouvoirs ADM du PR

Art. 8 de la C : la nomination du PM et des autres membres du gouvernement


Art. 9 : PR préside le conseil des ministres
Art. 13 : pouvoirs de nomination du PR

A. Le pouvoir de nomination
2 catégories : le volet gouvernement :
 PR nomme les ministres
 Nomination emploi civil et mil

A. La nomination des ministres
Art. 8 C : PR nomme le PM qui lui nomme les ministres sur proposition PM & met fin à leurs
fonctions.
Pour choisir PM : il doit être issue de la majorité.
Phénomène de cohabitation le PR à une couleur et le PM une autre.

B. La nomination aux emploies civil et militaire


Il y a 3 catégories de nomination prévue par l'Art. 13 de la C :
 La nomination qui ce fait au conseil de ministre
 Nomination faite seul par le PR
 La nomination après validation par l’AS et le Sénat

A. Les nomination au conseil de ministre

Art. 13 *3 C : il y a des conseiller d'état, des ambassadeurs, des préfet, des recteurs d'académie.
La particularité de ses emplois  ils sont dit comme étant a la discrétion du gouvernement = il s’agit
des emplois pour laquelle la décision relève entièrement du gouvernement & ce sont des emplois qui
sont révocable "ad nudun" : sur un coup de tête.
Ce sont des emplois qui font qu'il y a un rôle très important pour la personne = poste à haute
responsabilité car la personne est associé de manière étroite à la pol du gouvernement. C'est pour ca
qu’elles sont révocable = aucune procédure & motif à respecter.

B. Les emploies avec une nomination seul du PR

Il y a une liste importante : les magistrats de l’ordre judiciaire, les professeur d’université par décret
du PR, tous les emplois à l'issue de la formation de LENA, tout les ingénieurs issue de
l'école pol. technique.
Cette nomination ce fait par décret et le PM à un pouvoir discrétionnaire = le choix de nommer ou non
mais quand il s’agit de la nomination d'un poste issue d'un concours = pas le choix que s’appuyer sur
la liste proposée. Il peut refuser la nomination = conflit intérêt. Ces règles de conflit ont été renforcés
par la loi du 20 avril 2007.

C. Les emploies pour lequel la nomination doit être validée par le Sénat ou l’AN

C'est une nouveauté introduite par la révision de la C du 23 juillet 2008.


C'est la loi organique de 2010 qui indique la liste des emploies concerner par une nomination du PR
mais avant elle doit être validé par le Sénat et l’AN.
Loi organique : précise la C et apporte des élément par rapport à la C.
La loi ordinaire : qui intervient en application par le Sénat et l’AN.
Cette loi organique concerne 51 emplois qui n'est effectif qu'après validation par le S ou l’AN. Le
contrôleur général de privation de liberté choisit par le PR et est validé par le S et AN.
Le gouverneur de la banque de fr pareil.
Le PDG de météo FR est nomme par le PR mais validation par l’AN.
Il ya une validation principalement par AN car des postes qui ont un impact sur la liberté individuel.

B. Le PR dispose un pouvoir de direction

Pouvoir de direction : président a certain pouvoirs réglementaire qui sont limitée.


Il a un pouvoir important de direction général du pays.

1) Un pouvoir réglementaire limité

Le titulaire  le PM du pouvoir réglementaire de droit commun = si ya rien de précisé le PM a le


pouvoir de réglementer et le président intervient quand un texte lui donne la compétences d'intervenir.
C est un pouvoir administratif.
La manif du pouvoir est la signature des décret qui sont délibérés en conseil de ministre.
C'est le président et ces ministres qui signe principalement. C'est le PR qui signe les ordonnances
rédiger par le gouvernement.

A. Direction général du pays par le PR


Le PR doit payer à la continuité de l'état = soit c'est une période normal sans problème qui
est faite de manière quotidienne. Mais la C prévoit que hypothèse de la continuité de l'état est
rompu ou risque & dans ce cas la = PR dispose de prérogatives spécifique.
Elles sont prévues par la disposition de l'Art. 16 C : existe des pouvoirs exceptionnels d'après le
président.
En 202situation exceptionnels l'intégrité du territoire est menacé par une problématique sanitaire.
Le PR assure le fonctionnement régulier des pouvoirs publiques.
Rôle d’arbitre : en cas de discordance = PR qui veille au fonctionnement régulier des institutions.
PR dispose d'un pouvoir de direction = elle se matérialise par le fait que le PR préside le conseil des
ministres.
Tout les mercredis matin conseil des ministres = tout les ministres sont réunit avec le PR qui définit
l’ordre du jour du conseil. Quand tout ce passe bien ou si en période de cohabitation le PR peut refuser
d’inscrire des éléments à l’ordre de jour.
Le PR va présider d'autre conseil : conseil de la défenses national, conseil de défenses et de sécurité
national.
Mais jusqu’en 2008 présidait le conseil sup de la magistrature qui est l'instance de contrôle des
magistrats.

2 § : Les services du PR

IL a 2 casquettes :
- Chef de l'état
- Chef des armées

A. Les services du PR en sa qualité de chef de l'état

1) Le secrétariat général du PR
Secrétariat général de l'Elysée = un organisme/une personne qui va jouer un rôle politique de 1er plan
 c'est un rôle qu'on ne connait pas (rôle + important que le 1er ministre).
Organisé dans le cadre de pôle (régalien, diplomatique, d'éducation nationale…) il comporte chacun
pls conseillers.
Exemple :
 pole du sport : conseiller sport JO2024
 pole régalien : conseillère justice

2) Cabinet
Rôle technique que le secrétariat général : il gère son agenda, ses déplacements, les finances de
l'Elysée
Directeur du cabinet :

3) La coordination nationale du renseignement & de la lutte contre le terrorisme


Crée par Macron = idée = créer une instance spécifique de lutte contre le terrorisme (un organisme
anti-Daesh) 14 juin 2017
 avoir une mise en commun de tous les services qui sont spécialisés dans le renseignement & le
terrorisme.

B. Les services du PR en sa qualité de chef de l'état

PR va disposer d'un état major w un chef d'état major particulier.


Important = PR doit pouvoir disposer de cet état major qui va contrôler toute ses opérations militaires.
C'est le chef d'tat major qui va préparer les conseille de défenses.

SECTION 2 : Le 1ER MINISTRE& SES SERVICES


Art. 20 Constit : Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation. Il dispose de
l'administration et de la force armée.
Art. 21 Constit : Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement. Il est responsable de la Défense
nationale. Il assure l'exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l'article 13, il exerce le
pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.

1er § : Les pouvoirs ADM du 1er ministre

1er ministre dispose du pouvoir réglementaire & d'un pouvoir de nomination.

A. Le 1er ministre titulaire du pouvoir réglementaire de D commun

1) Le 1er ministre assure l'exécution des lois


Cette exigence découle de l'Art 21 de la Constit : la loi ne peut pas être appliqué directement = la loi
nécessite des mesures exécution = 1er ministre doit édicter les règlement d'application de la loi
(obligation).
Il a obligation de prendre ses mesures d'exécution dans u n délai raisonnable ≠ entraine la
responsabilité de l'état.
C'est le 1er ministre qui dispose de la compétence de police ADM au niv nationale.

2) Le 1er ministre impose la cohérence militaire


1er ministre = chef du gouv  c'est lui qui va imposer la ligue politique qui devra être suivi par son
équipe (centre des ministres).
Il établit des feuilles de route (circulaire, instruction…) = idée de ses feuilles de routes = qu'il n'y est
qu'une seule et mm parole  les ministres dans le cadre d'un gouv ne sont pas libres et sont tenues a la
ligue politique fixées par le 1er ministre & si les ministres ne sont pas d'accord avec la politique gouv
= ils démissionnes. "Un ministre ça ferme sa gueule. Si ça veut l'ouvrir, ça démissionne" Jean pierre
Chevènement.

Circulaire 26 juillet 2017 : qui met en place les mécanismes de cohérence gouv.

Le 1er ministre n'est pas le supérieur hiérarchique des ministres = il va avoir un rôle d'arbitre entre les
diff ministères = rôle important en matière d'arbitrage financier.
Un pouvoir résiduel de nomination aux emplois civiles é militaire

Ce pouvoir intervient en parallèle du pouvoir de nomination du pouvoir du PR


D'autant plus résiduel que le 1er ministre ne peut pas intervenir dans l'hypo d'une nomination par
décret = si un texte précise qu'il s'agit d'une nomination par décret = une nomination par décret du PR
& non du 1er ministre.

2e § : Services du 1er ministres

Rôle des services du 1er ministre = permettre au 1er ministre d'accomplir ses missions.

A. Cabinet du 1er ministre

Le cabinet du 1er ministre = équivalent du secrétariat général du PR.


Sa composition & orga est fixée par le 1er ministre = on aura pas la mm orga d'un cabinet ministériel a
un autre.
Les compositions du cabinet vont refléter ses priorités & les politiques publiques menées.
pôle ADM :
pôle justice : 6 conseillers
La nomination au sein du cabinet est parfaitement discrétionnaire, on retrouve 2 cas de figures :
proche du 1er ministre soit de personnalité qui ont une compétence parfaitement reconnue.

B. Secrétariat général de la défense & de la sécu nationale

Il intervient en matière de défense nationale = traite de toutes les questions stratégiques de défenses et
de sécu.
Structure importante : compte 200 agents + 200 qui travaille pour l'agence nationale de sécu + 200
militaires qui travaille pour le centre de transmission gouvernemental = rôle centrale en matière de
défense nationale.

C. Les autres services rattachés au 1er ministre

Service d'info du gouv : lance les sondages de l'opinion public & traite de l'action médiatique du gouv.
Autre service : La haut conseil de la famille & de l'enfance ; Comité interministérielle de la laïcité ;
Conseil nationale de l'industrie.

SECTION 3 : LE GOUV & SES SERVICES


1er § : Les services du gouv

Services à disposition de l'ensemble des ministres.

A. Le secrétariat général du gouv


Ce n'est pas une institution politique = c'est une instit purement ADM  Il n'est pas changé par les
PR.
Secrétaire général sont des hauts fonctionnaires issus du CE.
Ce secrétaire général organise le travail gouv = les réunions ministérielles, conseil juridiquement le
gouv lorsque l'état est attaqué (prépare la défense devant les juridictions), veille juridique permanente,
rôle de coordination.
Secrétaire général en FR n'a pas de compétence spécifique en matière de rédaction pour les textes
législatives.
B. Secrétariat général des affaires euro

Il s'agit de la structure qui est le pivot de la pol. euro de la FR.


Structure qui comporte 200 agents qui travaille au sein du secrétariat & une subdivision en diff secteur
opérationnel (la culture, l'industrie, le transport…)
Pôle majeur = Il élabore les positions FR au niv euro.

C. Le délégué interministériel à la transformation public

Certain nb de délégué interministériel.


Création du délégué par le décret du 20 nov 2017.
IL a en charge la réforme de l'état = lui qui va mettre en œuvre la transformation de l'ADM & la
transformation de la culture public.
L'obj = assurer la cohérence & l'efficacité de l'action public par une simplification des procédures et
une D.

2e § : Les ministres & leurs services

Il faut noter qu'il n'y a aucun texte qui vient encadrer les choix du PR & et du PM = la désignation des
membres du gouv est issus de longue discussion entre le PM et le PR.

1) La composition du gouv

Ni le nb du gouv & ni leur fonction sont prévues par les textes = PR & PM ont une marge de
manœuvre très importe dans la position du gouv.
La compo du gouv est prévu par décret relatif à la composition du gouv.
Dans quel ordre sont présentés les ministres ?
Par ordre protocolaire :
 Ministre d'état
 les ministres
 les ministres délégués
 les secrétaire d'état.
Tous la mm qualité  Ils sont ministres ;
en fonction de l'importance qu'on veut donner à tel ou tel personnalité mais aussi l'importance qu'on
veut donner à tel ou tel fonction.
= on aura jamais un gouv qui sera composé de la mm manière.
A la seule lecture du gouv, comprend quel est l'absent du pouvoir politique.

Il existe des ministres d'état  pas supérieur aux ordres mais est devant dans l'ordre protocolaire =
c'est lorsqu'on veut donner une importance particulière à un personnage politique pour/à une politique
public.
Ordre protocolaire du gouv (sous forme de classement) :
1. Castex est le ministre de l'Europe & des affaires étrangères = mis en avant à cause du COVID.
2. Le ministère de l'environnement
3. Ministère de l'éduc nationale de la jeunesse & des sports.

Le nb de membres du gouv = diffère selon les gouv  traduit surtout les ambitions ou les obligations
de certain membre du gouv = il doit refléter la majorité politique à l'AS.
En cas de grosse défaite pol. = constatation d'une réduction du nb de ministre.
Election 2014 : échec assez important pour la gauche & réduction PM tandis que la droite reprend le
dessus pol.
Mai 2020 : Suite aux élections  on rentre dans un gouv de combat = les communes étaient
majoritairement à droite. Le nb de ministre n'avait pas changé.
Les fonctions attribuées au membre du gouv vont refléter les enjeux pol. & les défis souhaitent
répondre le PR.
Emmanuel Valse : création d'un ministre du redressement productif = obj = favoriser le maintien dans
l'emploi, réindustrialisation du territoire, fin des délocalisations.
François Mitterrand : création d'un ministre de la ville.

2) La coordination indispensable des ministres

Elle est d'autant + importante que le nb de membre du gouv est important.


1) Les décrets d'attribution
Décret qui vont attribuer les diff missions à chacun des ministres  1 décret d'attribution p. ministre.
2 ministres délégué & 1 secrétaire d'état.
 Permet de délimiter les frontières entre les diff ministres
 Permet de répartir les champs d'intervention entre les ministres & les secrétaires d'état.
Décrets indispensable mais apparaissent parfois insuffisants = psq il y a nécessairement un
émiettement des fonctions = risque de superposition de compétence.

2) L'organisation de réunion interministériel


1500 réunions/ an = indispensable pour acquérir la cohérence gouv.
Elles ont vocations à réunir pls conseillers ministériels pour parvenir à un accord/position commun.
Il y a la mep d'un certain nb de comité interministériel qui permet d'intervenir sur un domaine
particulier & qui réunisse pls ministères (comité interministériel de modernisation de l'action public ou
de l'handicap).

3) Le rôle du secrétaire général du ministère


Personnage essentiel  occupe poste ADM le + élevé.
 Il assure une mission général de coordination des services ;
 Il est responsable de la bonne insertion des diff ministres dans le travail interministériel.
Au début de sa mission : il reçoit une lettre de mission de la part du PM qui précise quels sont les diff
obj qui lui sont assignés & on va lui indiquer quelle orga & quel fonctionnement il doit mettre en place
au sein du ministère.
Au sein de chaque ministère = présence d'un secrétaire général  poste stratégique = il s'occupe des
finances du ministère, de la politique immobilière, des RH (volet ADM).
Il gère aussi un volet pol.  mission de coordination sur les diff dossiers du ministère.
Rôle a la fois ADM & a la fois politique.
Le secrétaire général est un rouage essentiel du gouvernement par rapport à ses différents volets.

1) Services dédié aux ministres

1) Le cabinet ministériel
Chaque ministre dispose d'un cabinet ministériel.
On a :
 Directeur de cabinet : collaborateur direct du ministre = gère l'orga du travail de tous les
membres du cabinet.
 Conseillers : conseillers technique = mission + globale pour tous les pb du ministère soit des
chargés de missions = domaine spécifique.
 Chef de cabinet : il gère l'agenda du ministre & l'agenda de ses déplacements.
= Ils sont choisit discrétionnairement par le ministre.

On retrouve des fonctionnaires, des personnalités qui appartiennent à corps de l'état, personnalités
qualifiées.
Décret du PR du 18 mai 2017 : limite le nb de membres du cabinet d'un ministre à 10.
Pas + de 8 ministres délégués & pas + de 5 secrétaire d'état.
Nomination des membres du cabinet par arrêté ministériel + publication sur le journal officiel.
Interdit de travailler dans un cabinet ministériel si on ne figure pas sur l'arrêté.
On ne peut pas être nommé membre d'un cabinet ministériel si on ne jouit pas de ses droits civils &
politiques.
Les membres du cabinet ministériel doivent transmettre une déclaration de situation patrimoniale &
une déclaration d'intérêt à la haute autorité pour la transparence de la vie public.

2) L'orga de l'ADM ministériel


L'ADM d'un ministère se divise en 2 catégories :
 une ADM centrale
 une ADM déconcentrée.

L'ADM se subdivise en diff direction, en sous direction & en service.


Pour chaque ministère : on a un texte général d'orga qui va définir les attributions des diff directions.

CM ORGANISATION ADMINISTRATIVE 23/11


La particularité de ces instit c'est quelles sont marquées par le principe de transparence.

SECTION 1 : LE CONSEIL D'ETAT


Le CE est à la charge du contrôle de l'action ADM  c'est lui qui assure le contrôle de légalité ; met
en jeu la responsabilité de la puissance publique.
Il a aussi en parallèle une fonction consultative  il est conseil du gouv.
CE  c'est une structure atypique qui présente une singularité par rapport à la CCASS.

1§ : La création historique du CE

Née à la suite de la séparation des autorités ADM et judiciaire.


Avant la RF  aucune structure qui venait contrôler l'ADM.
C'est la raison pour laquelle a été adopté la loi des 16 & 24 aout 1790 ainsi que le décret du 16
fructidor en 3.
16 : date de signature  1er Art. du CC
24 : date d'entrée en vigueur
Ils ont distingués & séparés les fonctions judiciaires & les fonctions ADM.
Depuis, les juges judiciaires n'ont plus pu s'immiscer dans les affaires de l'ADM.
 Création du CE par l'Art. 52 de la loi du 22 frimaire en 8.

Dès 1799, le CE a une double mission = mission ADM & une mission contentieuse.
La structure actuelle du CE a été crée & fixée par la loi du 24 mai 1872.
Création des cour ADM d'appel  1987.

Le CE  composé de 231 membres & 400 agents.


Le vice président du CE = Bruno Lasserre  il va quitter la vice présidence du CE le 4 janvier 2022
au plus tard = il aura atteint la limite d'âge (68 ans).
C'est le président qui va choisir le new vice président.
Poste du vice président  c'est le haut poste des fonctionnaires (personnage central dans le cadre des
structures ADM)  il est juste en dessous des présidents de l'AS et du Sénat.

Il est à la tête de 5 sections consultatives :


 section de l'intérieur
 section des finances
 section sociale
 section de l'ADM (2008)
 section des travaux publiques
1 section contentieuse divisée en 10 chambres.
1 section du rapport & des études divisée en 3 délégations (rédige tous les rapports annuels du CE).

La structure du CE représente les missions du CE.


Les membres du CE sont recrutés par la voix de l'ENA.

2§: Les missions diversifiées du CE

CE a une mission contentieuse  il est juge de Cassation = il intervient en cass d'un arrêt de cour
ADM d'appel (jugement en premier & dernier ressort) soit en jugement de TA.
Plus rarement, le CE est juge d'appel (dans le cadre du contentieux électoral)
Le CE intervient parfois en premier & dernier ressort lorsque tous les actes ADM qui sont pris par
les autorités nationale ou lorsqu'il s'agit de mettre en cause la responsabilité de l'Etat.

Le CE a une mission de gestion  il va gérer les juridictions ADM = 8 cour ADM d'appel, 42
tribunaux ADM & la cour nationale du droit d'asile = ce qui représente 3800 magistrats et agents.
Ce système de gestion = mis en place = pour garantir l'indépendance des juridictions ADM.

Le CE a une mission de consultation  il est conseiller du gouv = la constitution prévoit les hypo
dans lesquelles le CE doit être obligatoirement consulté avant la publication d'un texte.
Art. 37 C  textes de forme législative pouvant être modifié par décret.
Ordonnance de l'Art. 38  prise conseil des ministres après avis du CE.
Art. 38 C  les projets de loi sont automatiquement soumis à l'avis du CE avant d'être déposé sur le
bureau de l'AS ou du Sénat.

Projet de loi  émane du gouv = obligatoirement une saisine du CE.


Proposition de loi  parlement, députés ou sénateurs qui a fait la proposition.
Depuis 2008  président de l'AS ou du Sénat peut soumettre pour avis au CE une proposition de loi.

Le CE est saisit pour donner son avis  le texte va être transmis à une des sections consultatives en
fonction du domaine d'intervention du texte.
Après étude du texte = étudié par l'assemblée générale.
Il faut que le CE dispose d'un temps suffisant pour analyser le texte.
Le texte qui est présenté au CE ne doit pas être substantiellement diff du texte qui sera finalement
publié.
S'il y a des modif entre l'avis du CE & le texte publié = devra avoir une new saisine du CE.
Ces avis du CE sur les projets de loi sont extrêmement important & sont publiés sur le site du CE lui
mm.
Ils sont publiés depuis 2015  François Hollande qui avait supprimé & a voulu mettre fin à cette
tradition du secret.
Le 1er avis du CE qui a été publié en 2015 concernant le projet de loi sur le renseignement.

Le CE fait un pré contrôle de constitutionnalité & il étudie le texte par rapport au droit positif.
Il confronte le texte au corpus de législatif & à la C. Il dit qu'elle est sa position sur le texte en
question.
L'avis du CE est obligatoire mais l'avis ne lie pas le gouvernement = le texte peut être adopté
contrairement aux préconisations du CE.

Le CE peut aussi être saisit pour donner son avis sur des questions du gouv
Le 1er ministre ou les ministres pourront donc saisir le CE en cas de difficulté en matière ADM.
Le CE a été saisit pour avis sur le port de signe religieux extérieur dans les écoles primaires

Le CE rend chaque année un rapport annuel rédigé p. la section rapport & étude composé de 2 parties :
 Activité du CE
 Une thématique particulière

Il y a eu 10034 affaires devant le CE avec en 2020  1208 décisions de référées du CE & 840 qui
concernait le COVID.
EN 2020  1167 textes examinés = avis sur des projets, textes de lois, ordonnance…

Résumé : missions du CE = conseiller, juger, gérer  dans l'idée d'une certaine indépendance. On
peut s'interroger sur cette indépendance quant il doit à la fois conseiller & juger le gouv 
condamnation de la CEDH.

Il y a eu des mesures mep : les magistrats qui siègent dans la formation de conseil ne peuvent pas
siégés dans la formation de jugement.

Tous les membres des juridictions ADM sont soumis à des obligations déontologiques.
Au sein des juridictions ADM  existence d'un collège de déontologie présidé par Daniel Labetoulle.
Adoption d'une charte de déontologie  vise à préciser les mécanismes d'indépendance &
d'impartialité, les règles sur la prévention des conflits d'intérêts avec tous les mécanismes
d'abstentions, règles sur le devoir des réserves, sur le secret professionnel & les règles sur l'interdiction
des activités accessoire.
Ces règles de déontologie ont été renforcé par la loi du 20 avril 2016.

SECTION 2 : LA COUR DES COMPTES

La Cour des comptes  est une instit ADM + connu du grand public car elle rend chaque année des
rapports qui remettent en cause l'orga de telle ou telle ADM.
Connus du grand public car ces rapports sont mis dans presse.

1§ : L'organisation de la Cour des comptes

Créée par la loi du 16 septembre 1807 & l'organisation de la cour des comptes a été précisée par le
décret impérial du 28 septembre 1807.
Art. 47-2 C  qui prévoit son orga & sa création = liste des missions de la cour des comptes.

La Cour des comptes = une juridiction avec un


 1er président : Pierre Moscovici
 Procureur général (2019) : Catherine Hirsch = rôle = veiller à l'application de la loi &
l'autorité des poursuite (est chargé des poursuites)
 7 chambres avec des présidents de chambre & des domaines spécifique
 Conseiller maitre
 Auditeurs
 Experts
 Avocats généraux = parquet

C'est une orga calquée sur les orga pénales.

Le recrutement des membres de la Cour des comptes se fait par la voix de l'ENA.
Les membres de la Cour des Comptes sont soumis à des règles déontologiques qui figurent dans le
Code des juridictions financière.
2§ : Les missions de la Cour des comptes

4 missions de la Cour des comptes :


 juger : mission la + ancienne  juge les comptes des comptables publiques (1 milliers de
comptes) ;
 dans chaque commune = il y a un comptable public ;
 tous les salaires qui sont versés au fonctionnaire = c'est le comptable public ;
 vérifie l'utilisation des comptes publiques & va juger en cas de mauvaise utilisation de
l'argent publique.
 Elle intervient tant que juridiction ADM & les décisions prises par la Cour de comptes
peuvent fr un objet d'un recours en cass devant le CE.

 contrôler : veille à la régularité & à l'efficacité de la gestion de l'argent publique  elle


contrôle l'état, les organismes de l'état & les E publiques ;
 elle va communiquer des observations aux organismes qui ont été contrôlés.

 certifier : elle certifie les comptes de l'état & les comptes de la sécu sociale  mep par la
loi organique relative aux lois de finance de 2001 = idée = garantir aux citoyens une info
financière qui soit claire, lisible & qui donne une image la + fidèle possible de la réalité
financière de l'état.

 évaluer : elle assiste le Parlement et le Gouv dans l'évaluation des polit. pub  elle
vérifie si les résultats d'une pol. pub = conformes aux obj visés & si les moyens
budgétaires utilisés l'ont été de manière efficace ;
 elle conflue un rapport.

SECTION 3 : LE CONSEIL ECONOMIQUE, SOCIAL &


ENVIRONNEMENTAL
A - L'organisation du CESE

Le CESE figure dans l'Art. 69 à 71 C.


Crée en 1925 & appelé Conseil National économique puis a été complètement réformé en 2008 puis
le 15 décembre 2020 qui va accroitre la place de la soc civile dans l'élaboration des pol. pub.
Ajd : CESE présidé par Thierry Beaudet élu président le 18 mai 2021.

B - L'activité du CESE

Objectif  représenter la soc & de mettre la soc civile au <3 de l'élaboration des pol. pub.
Le principe c'est que ce conseil va notamment jouer un rôle consultatif  psq il peut être saisi sur
pétition des citoyens.
 150 00 signatures de citoyens de + 16 ans = il va pouvoir donner son avis sur un texte ou sur une pb
particulière.
La 1er pétition qui a aboutit  projet de loi relatif au mariage pour tous.

Le CESE a été saisi par le Gouv sur la question de la participation démocratique des jeunes depuis
septembre 2021.
Le CESE a la faculté de s'auto saisir : ex : on attend le résultat de sa saisine sur les engagements en
faveur du droit des femmes & de l'égalité entre les hommes & les femmes.
Composé de 230 membres qui siège au CESE.

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