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iD1 ic 1
On suppose la conduction continue dans « R ».
D1 et D2 constituent un commutateur Plus positif.
D1 vD1 D2 D3 et D4 constituent un commutateur plus négatif.
R
ie On en déduit les intervalles de conduction des diodes voir sous le
uc graphe de v e ( t ) ci-après.
ve
L 2
D3 D4 Connaissant les intervalles de conduction des diodes, on en
déduit u c ( t ) sur le graphe de ve(t) ).
2
uc et vD1
ve -ve
Vmax
0
T t
T/2
θ
π 2.π
- Vmax
D1 passante D2 passante D1 passante
3
La tension uc (t ) peut être approximée par l’expression
u c (t ) ≈ 0,637.Vmax − 0,424.Vmax . cos(2ω.t ) − 0,085.Vmax . cos(4ω.t ) .
En utilisant le théorème de superposition, on en déduit une approximation numérique du courant. :
icmoy
0,637.Vmax R
ic ic2
0,637.Vmax R = 150 Ω R
uc
− 0,424.Vmax . cos(2ω.t ) − 0,424.Vmax . cos(2ω.t )
L=1H L
− 0,085.Vmax . cos(4ω.t )
ic4
L
− 0,085.Vmax . cos(4ω.t )
0,637.Vmax 0,637.230. 2
I c moy = = = 1,38 A
R 150
Pour chaque sous-montage en régime alternatif sinusoïdal, on peut travailler avec les complexes (1):
A la tension − 0,424.Vmax . cos(2ω.t ) = − 138. cos(200.π .t ) , on associe le complexe V2 = − 138.e j 0
V2 − 138.e j 0 − 138.e j 0
⇒ IC2 = = = = − 0,214.e − j1,34
R + j.L.200.π 150 + 628 j 646.e j1, 34
(1) Mais on ne peut pas traiter simultanément les deux sous montages en alternatif sinusoïdal car les fréquences sont différentes !
PowerElecPro – Corrigé de Chap4_exercice 2 - 3 -
Voir ci-dessous le graphe de ic (t ) estimé dans ce cas (en négligeant le terme I c 4 max . cos(4ω.t − ϕ 4 ) ) en
pointillé, superposé au résultat de la simulation du montage( avec le régime transitoire de démarrage) en trait
plein.
2 300V uc
D1 D2 L1
1
200V
VOFF = 0 1
VAMPL = 325
FREQ = 50
100V
D4 R1
0 D3 150
0V
0s 50ms 100ms
1.5A
1.38-0.214*cos(628*t-1.34)
1.0A
ic
0.5A
0A
La conduction continue dans la charge RL est bien vérifiée
PowerElecPro – Corrigé de Chap4_exercice 2 - 4 -
4
On en déduit le graphe de ie ( t ) en considérant les intervalles de conduction des diodes ou en utilisant la
u (t ).ic (t )
conservation de la puissance instantanée dans un convertisseur à liaison directe : ie (t ) = c
ve (t )
Donc : u c (t ) = ve (t ) ⇔ ie (t ) = ic (t ) et u c (t ) = − ve (t ) ⇔ ie (t ) = − ic (t )
ie
1.0A
0A
-1.0A
0s 50ms 100ms
[I c moy ] + [Ic2eff ]
2
⎡ 0,214 ⎤
Donc I c eff = 2 2
= [1,39] 2
+⎢ 2
⎥ = 1,4 A ( )
⎣ 2 ⎦
Sachant que : u c (t ) = ve (t ) ⇔ ie (t ) = ic (t ) et u c (t ) = − ve (t ) ⇔ ie (t ) = − ic (t ) ,
on en déduit que ie (t ) 2 = ic (t ) 2 , donc I e eff = ie (t ) 2 = I c eff = ic (t ) 2 = 1,4 A
U c moy 2.Vmax
Si le courant ic (t ) était parfaitement lissé, on aurait ic (t ) = I c moy = constante Io = =
R π .R
2.V
2 R. max
P P R.I o R.I o π .R = 2. 2 = 0,9 .
⇒ PF = = = = =
S Veeff .I eeff Vmax Vmax Vmax π
.I o
2 2 2
d)
I c moy
1.5A I D1moy = = 0,69 A
2
1.0A
iD1
0.5A
0A
0s 50ms 100ms
0V
-100V vD1
-200V
-300V
I ceff 1,4
On en déduit : I D1eff = = = 0,99 A
2 2