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Université Ibn Tofail -Kénitra

FEG

Masters : CCA et IFF

Module: LA COMPTABILITE DES GOUPES

SUPPORT COURS pour ETUDIANTS


Prof. M. TORRA
Année: 2021/22
Objectifs du module

➢appréhender les obligations liées à


l’élaboration des comptes consolidés,
➢comprendre les principes, mécanismes et
méthodes d'établissement des comptes
consolidés,
➢maîtriser les techniques de base de la
consolidation
Du moment que les activités industrielles,
commerciales ou financières d’un groupe sont
exercées par différentes filiales, les comptes
individuels ne peuvent pas donner une
information financière satisfaisante sur
l’ensemble du groupe. D’où l’importance de la
comptabilité des groupes.
Plan du cours
Partie 1: Concepts, objectifs, et réglementation
Partie 2 : Opérations intra-groupes
Partie 3: Pourcentage d’intérêt et pourcentage de
contrôle
Partie 4:Processus et périmètre de consolidation des
comptes
Partie 5 : Traitement des opérations réciproques
Partie 6: Méthodes de la consolidation des comptes
Partie 1:
Concepts, objectifs et réglementation

I- Définitions des concepts


II- Objectifs de la comptabilité des groupes
III- Cadre réglementaire et légal
Partie 1:
Concepts, exemples, types de participations
objectifs et réglementation

1/ Groupe et filiale
En général, un GROUPE est un : Ensemble de sociétés juridiquement
distinctes et financièrement dépendantes.
Selon le paragraphe 6 de la norme IAS 27 :
➢ «Une filiale est une entreprise contrôlée par une autre entreprise
appelée société mère.
➢ Une société mère est une entreprise qui a une ou plusieurs filiales.
➢ Un groupe est formé d’une mère et de toutes ses filiales.
Un groupe est un ensemble d’entreprises liées entre elles par des
participations financières ou par des liens contractuels ou statutaires.
2/ Schéma du groupe
(Comptes en 1000 MAD)

Société mère M
(tête de groupe)

100% Société mère 25%


Actif Passif

filiale A filiale B

Filiale A Filiale B
Actif Passif Actif Passif
CAS Vivendi

SFR: Société Française de Radiotéléphone


CAS Lafarge
CAS Lafarge
CAS Lafarge Maroc
3/ les comptes consolidés et consolidation

Une société est souvent liée à d’autres firmes, appelées


filiales.
Il est facile pour cette entreprise de faire passer des
investissements, des bénéfices, des dépenses ou des
engagements d’une comptabilité à une autre.
D’autre part, que valent les comptes d’une compagnie,
si son activité ne concerne que des participations dans
d’autres.
D’où la notion de comptes pour un ensemble de
sociétés, appelé groupe.
La consolidation des comptes concerne les
établissements faisant partis d’un même groupe.
3.1. Les comptes consolidés (suite)

Le compte consolidé part des comptes d’une


firme, appelée société mère ou tête de groupe
qui incorpore d’une façon:
➢globale les filiales détenues de manière
majoritaire (souvent 51% au moins),
➢partielle les autres filiales.
Il élimine les comptes que l’un possède vis-à-vis
de l’autre dans le même groupe.
3.2. Définition de la consolidation

Établir les comptes consolidés d’un groupe


consiste à présenter son patrimoine, sa
situation financière et les résultats de
l’ensemble des entités le constituant comme
s’il s’agissait de ceux d’une seule et même
entreprise.
3.2. Définition de la consolidation (suite)
- La consolidation selon le CGNC

La consolidation est un ensemble des opérations conduisant à


l’établissement des états de synthèse consolidés et comportant
notamment :
➢ l’homogénéisation des comptes des entreprises concernées ;
➢ l’élimination des opérations réciproques;
➢ l’intégration globale des comptes des filiales ;
➢ l’intégration proportionnelle des entreprises sous contrôle
conjoint ;
➢ la mise en équivalence des entreprises associées.
4/ Types de participation
Les principaux types de participation sont:
➢Participations croisées
➢Participations circulaires
➢Actions spécifiques
❖ Participations croisées :
Une société A détient des actions d'une société B, qui
détient elle même des actions de la société A. Il est
interdit à B de détenir des actions de A si A détient une
participation supérieure à 10% dans le capital de B.
4/ Types de participation
❖ Participations circulaires :
Il y a autocontrôle si une société A détient une
fraction de son propre capital par une
participation circulaire. Les actions d'autocontrôle
sont privées de droit de vote.

❖ Actions spécifiques :
les droits de vote sont parfois différents de la
participation détenue. Ex: les actions sans droit de
vote ne doivent pas être prises en compte.
Cas pratique:
1/ Schéma des répartitions circulaires:
M
70 %

F1 18 %
85 %

F2 F3
65 %
Il s’agit d’une participation circulaire ne bouclant pas sur la société
mère.
Le droit de vote pouvant être utilisé par M lors de l’assemblée
générale de F1 est le pourcentage de contrôle,
5/ Méthodes de consolidation et Bilan consolidé

Pour établir le bilan consolider du groupe M,


il convient de neutraliser les effets sur les
états financiers du groupe des opérations
réaliser entre les 2 entreprises.
➢ Méthodes de consolidation et bilan consolidé

➢l’intégration globale des comptes des


filiales ;
➢l’intégration proportionnelle des
entreprises sous contrôle conjoint ;
➢la mise en équivalence des entreprises
associées.
7- L’importance de la consolidation des comptes

➢ les exigences légales et les besoins d’informations


comptables précises et récentes concernant la consolidation
comptable et financière deviennent omniprésentes.
➢ la préparation de comptes consolidés et leurs présentations
aux différents intervenants sur les marchés constituent un
processus auquel un nombre croissant de groupes est
confronté.
7- L’importance de la consolidation des comptes
(suite)

Les départements Comptable et Finance sont particulièrement


sollicités en cas de :
➢restructuration ;
➢développement ou une extension du groupe ;
➢appel à l’épargne publique ;
➢arrivée de nouveaux investisseurs ;
➢un changement législatif …
7- L’importance de la consolidation des comptes
(suite)

Ce sont autant d’éléments qui vont inciter voire obliger les


entreprises à communiquer une information financière qui
devra répondre à des critères de justesse, de précision, de
pertinence, de comparabilité, de transparence et de délai.
La consolidation des comptes est une démarche indispensable
en matière d’information externe et comme outil interne de
gestion et de prises de décisions.
Le cadre légal, la taille et le style du groupe, l’usage ou
l’objectif de l’information consolidée et la finesse de l’analyse
à effectuer sont des facteurs clés qui conditionneront le
processus de consolidation dans sa globalité, ainsi que la
sélection d’un outil informatique de traitement et de support
à ce processus.
Au Maroc, la comptabilité des groupes,
particulièrement la consolidation des comptes, est
une pratique libre de certains groupes de sociétés.
Cependant, le CDVM a imposé dès 2006 la
présentation et la publication des comptes consolidés
des groupes cotés à la bourse des valeurs de
Casablanca.

CDVM: Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières.


II- Objectifs de la comptabilité des groupes
La consolidation : pour qui et pour quoi ? de la consolidation
Objectifs

L’établissement des états, la consolidation permet de


donner une image fidèle de l'entreprise
SITUATION : Bilan GESTION : Compte de résultat

Pour permettre les


Pour informer
comparaisons avec les
➢ Actionnaires
entreprises
➢ Dirigeants
➢ du même secteur
➢ Personnel
➢ des autres secteurs
➢ Tiers

Elle constitue donc un moyen de mesure et de


comparaison économique et financière des groupes.
La consolidation : pour qui et pour quoi ?
Jugement éclairé sur
l'ensemble du Groupe
Actionnaires et Associés
Détermination du
dividende distribuable

Créanciers et autres tiers Rentabilité et


solvabilité du Groupe

Outil de contrôle de
Direction de la société mère
gestion et de mesure

Administration fiscale Calcul du résultat fiscal


et de l’impôt
Régime social et
Salariés du groupe intéressement
Calcul de la
participation
III- Obligation d’établir les comptes consolidés
Les textes relatifs à la consolidation peuvent être ventilés en
deux :

Réglementation de la
consolidation

Texte sur les entités à Textes sur les normes


consolider comptables à appliquer

1. Loi 38-05 : Entreprises et 1. CGNC


établissements publics 2.Méthodologie
2. Loi 52-01 : Bourse préconisée par le CNC
3. Loi 34-03 : Banques
1- Textes évoquant la consolidation au
Maroc
Plusieurs textes évoquent la notion de consolidation
au Maroc tels que:
➢Loi 52-01 modifiant et complétant le dahir portant
loi 1-93-211 du 21 septembre 1993 relatif à la
bourse des valeurs de Casablanca.
➢Loi 38-05 relative aux comptes consolidés des
établissements et entreprises publics publiée le 16
mars 2006.
➢Loi 17-95 sur les sociétés anonymes (articles 143
et 144) publiée en août 1996.
1-Les textes évoquant la consolidation au Maroc
(suite)
➢ Avis n° 1 du Conseil National de la Comptabilité relatif
au Code Général de normalisation comptable: CGNC
adopté par l’Assemblée plénière du 26 juillet 1993.

➢ Avis n° 5 du Conseil National de la Comptabilité relatif


aux normes applicables en matière de consolidation au
Maroc adopté par l’Assemblée plénière du 26 mai 2005

➢ Dahir n° 1-05-178 du 15 moharrem 1427 (14 février 2006)


portant promulgation de la loi n° 34-03 relative aux
établissements de crédit et organismes assimilés.
1-Les textes évoquant la consolidation au Maroc
(suite)

La loi 38-05 relative aux comptes consolidés publiée au


BO du 16 mars 2006:
Dans son article premier :
les établissements publics ainsi que les sociétés d’État,
filiales publiques et entreprises concessionnaires,
possédant ou contrôlant des filiales et des
participations au sens des articles 143 et 144 de la loi
17-95 relative aux sociétés anonymes doivent établir et
présenter des comptes consolidés selon la législation
en vigueur, ou à défaut, selon les normes
internationales en vigueur.
1- Les textes évoquant la consolidation au Maroc
(suite)

Les articles 143 et 144 de la loi 17-95 relative aux sociétés


anonymes stipulent :

Article 143 : Au sens de l'article qui précède, on entend


par :
- filiale, une société dans laquelle une autre société, dite
mère, possède plus de la moitié du capital ;
- participation, la détention dans une société par une
autre société d'une fraction du capital comprise entre
10 et 50 %.
1-Les textes évoquant la consolidation au Maroc
(suite)

Article 144 : Une société est considérée comme en


contrôlant une autre :
- lorsqu'elle détient directement ou indirectement
une fraction de capital lui conférant la majorité des
droits de vote dans les assemblées générales de
cette société ;
- lorsqu'elle dispose seule de la majorité des droits
de vote dans cette société en vertu d'un accord
conclu avec d'autres associés ou actionnaires qui
n'est pas contraire à l'intérêt de la société ;
Les textes évoquant la consolidation au
Maroc (suite)

L’avis n°1 du CNC relatif au Code Général de


Normalisation Comptable "CGNC" énonce les
principes de la consolidation :
Les états de synthèse consolidés ont pour but de
donner une image fidèle du patrimoine, de la
situation financière et des résultats du groupe, dans
le respect des principes comptables fondamentaux
et des dispositions du C.G.N.C, comme si ce groupe
ne formait qu'une seule entreprise.
Les textes évoquant la consolidation au Maroc
(suite)

Qu'elle soit optionnelle ou obligatoire, la


consolidation doit respecter les prescriptions de
la Norme Générale Comptable "N.G.C.“ au cas
exceptionnel de dérogation justifié par l'objectif
d'image fidèle et explicité dans l‘État des
Informations Complémentaires "E.T.I.C".
Le CGNC ne précise pas les entités qui doivent
établir des comptes consolidés.
Partie 2:
Processus et périmètre de consolidation des
comptes

I- Processus d’élaboration d’une consolidation


II- Contexte et périmètre de consolidation
I- Processus d’élaboration d’une consolidation
Étapes de consolidation
Définition du périmètre

Comptes
Comptes Comptes Comptes
individuels A
individuels B individuels C individuels D
en devises
Liasses de
Conversion des
comptes de B consolidation
remontées
Retraitements d’harmonisation (au moins)
des filiales
Comptes retraités Comptes retraités Comptes retraités Comptes retraités
A B C D

Cumul des comptes retraités

Eliminations des opérations intra-groupe


Retraitements
Ecritures de consolidation
de consolidation
centraux
Elimination des titres

COMPTES CONSOLIDES
II- Définition et utilité du périmètre de
consolidation
Lorsqu’un groupe est tenu d’établir, ou
souhaite établir une consolidation, la définition
d’un périmètre de consolidation est une étape
obligatoire.

A- Définition
B- Entités à consolider
II- Définition et utilité du périmètre de
consolidation
A- Définition
On appelle périmètre de consolidation l’ensemble
des entreprises à consolider. Il est décrit de façons
équivalentes dans les paragraphes 11 et 12 de la
norme IAS 27.
II- Définition et utilité du périmètre de
consolidation (suite)
B- Entités à consolider

Il est formé d’une société consolidante ou


société « mère », et des entreprises sur
lesquelles la société mère exerce un contrôle
(exclusif ou conjoint) ou une influence
notable.
II- Définition et utilité du périmètre de
consolidation (suite)

Il contient aussi bien des entreprises nationales


qu’étrangères, quelle que soit leur forme juridique ou
leur secteur d’activité.

C- Utilité :
Il permet:
❑ d’identifier l’ensemble des sociétés du groupe devant
être inclues dans les comptes consolidés élaborés et
présentés par la société mère.
❑de déterminer la méthode de consolidation à appliquer.
➢ Malgré cette définition commune les normes
IFRS et les textes sur la consolidation diffèrent
quelque peu pour la mise en œuvre, car les
notions de contrôle et, surtout, les possibilités
d’exclusions de certaines sociétés du périmètre
ne sont pas les mêmes.
➢ Selon les normes IFRS (IAS 27, 38 et 31), les cas
possibles d’exclusions du périmètre de
consolidation sont plus limités que dans les
textes.
Partie 3: Pourcentages d’intérêts et types de
contrôle

I - Le pourcentage d’intérêts
II – Le pourcentage et type du contrôle
Partie 3: Pourcentages d’intérêts et types de
contrôle
I - Le pourcentage d’intérêts

Le pourcentage d’intérêts de la société mère dans


une filiale exprime la fraction du capital de la filiale
qui appartient directement ou indirectement à la
société mère. Il représente l’intéressement
financier de la société mère dans ses filiales et
sous-filiales.
II - Le pourcentage et type du contrôle

Il exprime le pourcentage de droits de vote dont


dispose la société mère à chaque assemblée
générale.
Ce pourcentage représente le contrôle exercé par
une société mère dans ses filiales et sous-filiales.
- types de contrôles

On distinguera trois types de contrôles différents :


➢ Contrôle exclusif
➢ Contrôle conjoint
➢ Influence notable.
C- types de contrôles (suite)

➢ Contrôle exclusif
• de droit lorsque le pourcentage de contrôle est
supérieur (ou égal) à 50 % ;
• de fait lorsque le pourcentage de contrôle est
supérieur à 40 %, qu'aucun tiers ne possède plus et
que la société mère a procédé à la majorité des
désignations des membres des organes
d'administration, de direction ou de surveillance ;
• contractuel lorsque ce contrôle est contractualisé ou
présent dans les clauses statutaires, il peut donc
même exister dans l'hypothèse où la société mère
n'aurait aucune participation dans la filiale considéré
C- types de contrôles (suite)

➢ Contrôle conjoint:
Lorsque la société est détenue et exploitée par un
nombre limité d'associés et qu'un accord
contractuel prévoit l'exercice du contrôle conjoint.
➢ Influence notable:
Lorsque la société détient au moins 20 % des
droits de votes (pourcentage de contrôle de 20 %),
ce qui lui donne le pouvoir de participer à la
direction d'une entreprise sans en avoir pour
autant le contrôle.
Après avoir déterminé le périmètre de
consolidation et, une fois que les comptes
annuels des différentes sociétés du groupe ont
été arrêtés, il convient d’effectuer la
consolidation.
Partie 4:
Méthodes de la consolidation des comptes

Il existe trois méthodes de consolidation qui


dépendent de la nature du contrôle exercé par
la société consolidante sur ses sociétés
consolidées : l’intégration globale, l’intégration
proportionnelle et la mise en équivalence.
A- Méthodes de consolidation selon le type de contrôle
Conditions Type de contrôle Méthode
Contrôle exclusif de
> 50 % des droits de vote Intégration globale
droit
> 40 % des droits de vote et
désignation pendant 2 exercices de
Contrôle exclusif de
la majorité des organes Intégration globale
fait
d'administration, contrôle et
surveillance
Influence dominante en vertu Contrôle exclusif
Intégration globale
d'une convention ou d'une clause conventionnel

≥ 20 % et ≤ 50% des droits de votes Influence notable Mise en équivalence


Exploitation en commun d'une
filiale Intégration
Contrôle conjoint
proportionnelle
Existence d'un accord contractuel
hors périmètre de
< 20 % des droits de vote Aucune
consolidation
B- Pratiques de consolidation
Choix de la méthode de conso

Contrôle exclusif ? INTEGRATION GLOBALE

NON
INTEGRATION
PROPORTIONNELLE
ou
Contrôle conjoint ?
MISE EN
NON EQUIVALENCE

Influence notable MISE EN EQUIVALENCE

NON
Évaluation au coût
Titres non ou
selon IAS 39
consolidés
C- Principes de chaque méthode
1- Intégration globale
Elle consiste à :
- « intégrer dans les comptes de l’entreprise consolidante
les éléments des comptes (du bilan et du résultat) des
entreprises consolidées, après retraitements éventuels,
- répartir les capitaux propres et le résultat entre les
intérêts de l’entreprise consolidante et les intérêts des
autres associés ou autres actionnaires dits « intérêts
minoritaires »,
- éliminer les opérations et comptes les concernant
réciproquement »
2- Intégration proportionnelle

Elle consiste à :
- « intégrer dans les comptes de l’entreprise
consolidante la fraction représentative de ses
intérêts dans les comptes de l’entreprise
consolidée, après retraitements éventuels, aucun
intérêt minoritaire n’est donc constaté,
- éliminer les opérations et comptes entre l’entreprise
intégrée proportionnellement et les autres
entreprises consolidées ».
3- Mise en équivalence

Elle consiste à :
- « substituer à la valeur comptable des titres
détenus la quote-part des capitaux propres, y
compris le résultat de l’exercice déterminé
d’après les règles de consolidation,
-éliminer les opérations et comptes réciproques
entre l’entreprise mise en équivalence et les
autres entreprises consolidées »
En principe:

Lorsqu’il existe des sous-filiales, le pourcentage


d’intérêts n’est pas obligatoirement égal au
pourcentage de contrôle. Pour déterminer le type
de contrôle et la méthode de consolidation, on
retient le pourcentage de contrôle.
En revanche pour établir les comptes consolidés,
on retient le pourcentage d’intérêts.

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