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CHANTIER Le Dôme de Vincennes

Générateur thermo d
modulation d’air neuf p

Cette piscine construite en partenariat public-privé


met l’accent sur un traitement de l’air ambiant et
un traitement des eaux particulièrement élaboré.
L’exploitant technique analyse en permanence les
résultats de fonctionnement pour améliorer les ren-
dements énergétiques et le confort des usagers.

Le Dôme de Vincennes présente trois bassins en enfilade : bassin de 25 m, patau-


geoire et bassin ludique. Cette construction HQE bénéficie en particulier d’un éclai-
rage naturel qui réduit les consommations d’électricité pour l’éclairage intérieur.

T
itulaire du contrat d’exploitation pour
une durée de 25 ans dans le cadre
d’un partenariat public-privé, l’entre- tion, Cofely est en mesure de donner des ciété EcoEnergie et fournisseur de l’équi-
prise Cofely tient à montrer la perti- détails sur les niveaux de consommation pement de chauffage, ventilation et dés-
nence des technologies mises en de cet équipement : la facture énergétique humidification du Dôme, «les besoins
œuvre au Dôme de Vincennes (Val-de- porte sur 800 000 kWh d’électricité et d’énergie pour le chauffage de l’eau des
Marne). Cette piscine municipale HQE li- 600 000 kWh de gaz ; la consommation bassins, des locaux et de la production
vrée en septembre 2011, construite dans d’eau est de l’ordre de 24-25 000 m3. Si la d’eau chaude sanitaire s’élèvent en
le cadre d’un partenariat public-privé, se consommation de gaz est inférieure de moyenne en France à environ 40 % de la
distingue par sa forme ovoïde au cœur de 20 % aux objectifs fixés avec la Ville de facture d’énergie. Le chauffage des halls
ce nouveau quartier résidentiel construit au Vincennes, en revanche, celle d’électricité de bassins et le renouvellement d’air lié à
bord des voies du RER. Dotée d’un bassin est de 30 à 40 % supérieure à ce qui était la déshumidification emportent la plus
de 25 m à 6 couloirs, d’un bassin ludique escompté. De même, la consommation grosse part des dépenses, avec 60 % des
et d’une pataugeoire, tous dans le même d’eau enregistre une dérive de 13 %. Des
alignement, elle est éclairée naturellement données brutes que l'exploitant veut ana-
par une orientation au sud et dispose d'un lyser. Il semble cependant que le choix par
hall d'une très grande hauteur sous pla- le constructeur d'une isolation intérieure
fond. inadaptée à une ambiance humide et aux
L’ouvrage confié au cabinet d’architecture nombreux ponts thermiques expliquerait
Boudry avait été réparti en deux lots : la en partie ces écarts. Le travail sur ces
partie gros œuvre à Urbaine de Travaux ; points se poursuit. Pour maîtriser les
les équipements techniques à Cofely, filiale consommations de ce type d’établisse-
de GDF Suez. ment, deux équipements font l’objet d’un
Située en centre-ville, dans un quartier soin particulier de préconisation et d’ins-
où réside une population jeune, cette pis- tallation, ainsi que d’un suivi de fonction-
cine est dimensionnée pour recevoir nement particulièrement pointu :
jusqu’à 240 000 sportifs. Outre le grand ● le traitement de l’air et de la déshumi-
public, elle accueille près de 50 groupes dification ;
scolaires, des groupes de plongée, des ● le traitement de l’eau.
activités d'aqua-fitness... La première
année s’est soldée par 173 000 entrées. Un gain de 40 % pour le chauffage Deux chaudières gaz à condensation et à brû-
Le chiffre des 200 000 entrées devrait leur modulant Atlantic Guillot de 980 kW produi-
et la déshumidification sent la chaleur pour la mise en température des
être atteint cette deuxième année. bassins et l’alimentation de la pompe à chaleur
Sur la base des premiers mois d’exploita- Pour Arnaud Volpilière, président de la so- à cycle à absorption.

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o dynamique et
f pour une piscine HQE
coûts énergétiques. Mon message est l’air et de la surface des plans
donc clair : lors de la conception, si l’on d’eau. La connaissance de ce
veut faire des économies d’énergie, c’est «talon» d’évaporation est im-
d’abord sur ce deuxième poste qu’il faut portante car elle permet de
travailler.» dimensionner le régime mini-
Alors que les équipements récents adop- mal du système de traitement
tent quasi unanimement un traitement d’air. Sur cette piscine, il a été
d’air avec modulation d’air neuf, l’instal- évalué à 114 kg/h.
lation du Dôme de Vincennes associe à À ce régime de base, il faut
cette solution de récupération d’énergie ajouter l’évaporation produite
une section thermodynamique. Son inté- lors de l’exploitation. À sa-
rêt : le gain énergétique est amélioré et le voir :
confort peut être maîtrisé en perma- ● l’évaporation du plan d’eau
nence. Explications. agité liée à la fréquentation :
le système de traitement d’air L’eau chaude en sortie du bouilleur de la Pac à absorption ali-
Une évaporation de 114 kg/h devra être dimensionné pour mente les trois échangeurs de réchauffage de l’eau des bassins.
à 373 kg/h traiter ces pics et éviter condensation ou chaleur à absorption, une machine Ya-
problèmes de qualité d’air ; zaki de 70 kW froid. Le choix de ce type
Les concepteurs de piscine distinguent ● l’évaporation liée aux jeux d’eau qui de générateur repose aussi sur la logique
plusieurs régimes d’évaporation des génèrent une surévaporation ; d'équipement des locaux techniques.
plans d’eau. En premier lieu, l’évapora- ● enfin, l’évaporation liée au taux de Pour fonctionner correctement, un tel
tion des plans d’eau dits tranquilles, au brassage de l'air et de la couverture des groupe à absorption à bain de bromure
repos. Constante, elle dépend de la tem- déperditions statiques du bâtiment en de lithium doit recevoir, à l'entrée de son
pérature des bassins, de l’hygrométrie de hiver. «bouilleur», un flux d'une température de
Tous ces cas de figure font monter cette 70 à 95 °C. Ici, la température d’entrée a
évaporation au maximum à 373 kg/h. Le été fixée à 88 °C.
système de traitement d’air est dimen- Cette énergie est fournie par deux chau-
sionné pour couvrir ce niveau maximal dières gaz à condensation Guillot de
de déshumidification. 980 kW chacune, dimensionnées pour
assurer en deux jours – délai réglemen-
Double flux thermodynamique taire – la remontée en température de
à 48 000 m3/h l'eau des bassins lors des renouvelle-
ments annuels. Pour que ces chaudières
Sur la base d’un taux de brassage de l’air puissent condenser dans les meilleures
du hall des bassins de 3,5 à 4 vol/h, le conditions, l'eau en sortie de la pompe à
bâtiment du hall est équipé d’une cen- chaleur à absorption, d'une température
trale de traitement d’air d’une capacité de 83 °C, est exploitée pour plusieurs au-
de 48 000 m3/h. Le flux repris chaud et tres usages. En particulier sur les batte-
humide est orienté vers deux sections : ries d'eau chaude de la seconde centrale
● La première est la section dite thermo- de traitement d'air, pour produire de l'eau
dynamique. D'une capacité de 8 700 m3/h, chaude sanitaire et pour alimenter les
cette centrale de traitement d'air est équi- échangeurs sur système de réchauffage
pée d'une série de batteries à eau glacée des bassins.
d'une puissance maximale de 70 kW sou- En fonctionnement permanent, la ma-
mises à une loi d’eau de 7 °C/12,5 °C. Sa- chine thermodynamique rejette aussi une
chant que 1 kW de froid permet de traiter eau à 35 °C pour une puissance de
environ 1 kg d'eau contenu dans l'air des 170 kW : ce gisement de calories est uti-
halls, ce premier étage couvre ainsi à lui lisé pour préchauffer l'eau chaude sani-
La pompe à chaleur Yazaki de 70 kW froid. Son seul 60 à 70 % du besoin de déshumidi- taire.
bouilleur reçoit une eau à 88 °C et produit par fication. L'exploitation thermodynamique de la
échange thermique une eau glacée à 7 °C et une Cette section est dite thermodynamique machine Yazaki se poursuit dans la cen-
eau chaude de rejet de 35 °C. Ces deux flux sont
exploités dans les centrales de traitement d’air de parce que le froid produit pour son fonc- trale de traitement d'air de déshumidifi-
déshumidification et chauffage du hall des bassins. tionnement est généré par une pompe à cation. Description du process.

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Les centrales de traitement d’air dédiées à la déshumidification de l’air du hall des bassins. La plus petite (à gauche), de 8 700 m3/h, assure plus de la moitié
de la déshumidification en condition de bassins dits tranquilles. Ses deux groupes de batteries froides – déshumidification et transfert – permettent de pré-
chauffer l’air avant passage dans une CTA plus classique (à gauche) à modulation d’air neuf. Sur le côté, on voit les boîtiers électroniques de variation de
vitesse des motoventilateurs en amont et en aval des batteries chaudes.

Déshumidification et chauffage : une partie thermodynamique, l’autre à modulation d’air neuf


Chauffage et déshumidification Chauffage et déshumidification,
thermodynamique par modulation du débit d’air neuf
Eau chauffage
90/70 °C
Eau rejétion/ récupération
31/35 °C DN 80
Eau glacée
7/12,5 °C
DN 50 DN 100

Air repris déshumidification Air rejeté


8 700 m3/h 0 à 39 300 m3/h
Air neuf
0 à 39 300 m3/h

CTA 02 CTA 01
Air repris total Air soufflé total
48 000 m3/h 48 000 m3/h

Déshumidification Transfert Centrale de traitement d’air pour la déshumidification


par modulation d’air neuf des bassins agités avec préchauffage
et réchauffage, rafraîchissement par free-cooling débit 39 300 m3/h
Centrale de traitement d’air pour
la déshumidification thermodynamique Air soufflé déshumidification
des bassins calmes débit 8 700 m3/h 8 700 m3/h

Une partie de l’air repris est prioritairement déshumidifiée par des batteries froides ; l’autre partie est traitée et réchauffée par des batteries chaudes sous
deux différentes lois d’eau. L’air est mélangé dans la gaine de soufflage.
En entrée de cette CTA, l'air repris dans ment de la machine à absorption, cette lette de moyens pour maîtriser les points
le hall des bassins de natation est d'une température est descendue à 12,5 °C à de consigne de confort.
température d’environ 27 °C et d'une hu- l’aide d’un bypass placé sur le départ à En premier lieu, les chaudières choisies
midité de 15 g/kg. Il traverse une unité 7 °C. possèdent des brûleurs capables de mo-
dite DU-Tr, pour «déshumidification- ● La seconde section de traitement d'air duler de 8 à 100 %. Exploitées en tan-
transfert», composée successivement de repose sur une technologie classique de dem, elles poussent leurs capacités
batteries froides et de batteries de pré- modulation entre le volume restant d'air jusqu’au taux de modulation théorique
chauffage à flux à contre-courant. repris – au maximum, 39 300 m3/h – et de 4 à 100 %, mais en temps normal,
La déshumidification est assurée par une d'air neuf. Cette CTA de déshumidification seule une chaudière est utilisée pour ali-
batterie d'une puissance de 100 kW ali- est dotée de deux types de batteries menter la machine à absorption Yazaki.
mentée en eau glacée à 7 °C. Elle porte chaudes pour assurer le réchauffage final En deuxième lieu, les batteries à eau
l'air à 9 °C et abat l'humidité à 7,4 g/kg, de l'air à environ 40 °C : la première ali- froide et à eau chaude des centrales de
soit l'élimination de près de 70 l/h, ainsi mentée en eau de rejet de la pompe à traitement d’air sont toutes munies de
que du chlore contenu dans l'air. chaleur (régime de 35 °C au départ, 31 °C vannes trois voies qui permettent de mo-
L'eau glacée sort de cette étape de trai- au retour), la seconde avec de l'eau issue duler les températures d’eau en entrée.
tement à environ 21 °C. Avant de la ren- des chaudières à condensation (régime Enfin, si sur la CTA thermodynamique le
voyer à l'évaporateur de la machine à de 90 °C au départ, 70 °C au retour). groupe motoventilateur travaille en per-
absorption, ce flux est à nouveau ex- manence à débit constant, en revanche,
ploité dans la batterie de transfert situé Moduler température sur la centrale de traitement d'air à mo-
en aval de celle de déshumidification. et débit d'air dulation d'air repris et d'air neuf, les
D'une puissance de 30 kW, elle remonte groupes sont équipés d'un module de
la température de l'air à 20 °C sans mo- Pour suivre en permanence les variations variation de vitesse. Cette électronique
difier son taux d'humidité. d'ambiance dans le hall des bassins en de pilotage des moteurs offre une grande
En sortie de batterie de transfert, la tem- fonction des conditions extérieures et de souplesse de fonctionnement. En fonc-
pérature de l'eau a été abattue à environ la fréquentation de la piscine, le gestion- tionnement normal, le régime est d’envi-
16 °C. Pour éviter de dégrader le rende- naire de l'équipement dispose d'une pa- ron 70 % du débit total nominal. La

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Le local technique dédié à l’alimentation des bassins de la piscine. Toutes les Le module de production d’ozone et les tours de contact avec les eaux du
pompes sont gérées par une électronique de pilotage à vitesse variable. grand bassin.

régulation par automate et par les ac- Traitement d’eau par ture, le pH, le chlore libre, le chlore actif
tions de l’exploitant permettent de mo- préozonation et le chlore total. Cofely souligne que ce
duler les débits pour tenir en perma- matériel est sensible à la floculation et
nence les objectifs d’humidité de l’air et Si le système de traitement d’air a aussi aux matières en suspension. En outre,
de température d’ambiance. pour avantage de traiter massivement les les huiles solaires couvrent les capteurs
Quel est l’intérêt d’une telle association polluants dérivés du chlore émis par les et peuvent mettre l’analyseur en défaut
de chaudières, pompe à chaleur et cen- plans d’eau, le système de traitement – les décalages de mesures peuvent être
trale de traitement d’air ? Pour Arnaud d’eau fait appel à un équipement qui as- d’une heure et demie. Le suivi métrolo-
Volpilière, le rajout d’un étage thermody- socie une préozonation et une finition de gique impose une surveillance d’étalon-
namique à une production de chaleur par l’eau des bassins au chlore. La charge en nage mensuelle sur l’ensemble des
chaudière à condensation permet d’op- désinfectant chloré, réputé agressif et sondes.
timiser la performance globale des géné- cancérigène, est ainsi très fortement ré- L’installateur et désormais exploitant
rateurs. Au rendement de la chaudière duite. confirme que la mise au point complète
gaz, le bureau d’études Garnier ajoute le Chaque bassin – bassin de natation de de la régulation du traitement d’eau de-
coefficient de performance de la Pac, es- 25 m, bassin d’apprentissage et de loi- mande concrètement six mois : un mois
timé à 1,35. Le gain global par rapport à sirs et pataugeoire – possède son instal- pour le calage des paramètres fixés par
une récupération d’énergie par simple lation propre de traitement d’eau. Et les constructeurs d’équipements, et cinq
modulation d’air neuf avec de l’air extrait chacun d’eux reprend le même concept. mois pour fixer les paramètres de traite-
est d’environ 15 %. À noter que les calo- En sortie des bacs tampon de récupéra- ment à l’ozone en fonction de la qualité
ries rejetées par la pompe à chaleur suf- tion des débordements, l’eau est mise en des eaux. Des évolutions seront par ail-
fisent parfois à maintenir la température circulation par des pompes à vitesse va- leurs prochainement apportées au sys-
de l’eau des bassins et de l’air, ce par riable calées sur le débit réglementaire. tème de traitement : l’actuelle injection
des températures extérieures jusqu’à Le flux est d’abord mis en contact avec d’eau de javel va être remplacée par une
5 °C. Le retour sur investissement d’une de l’air ozoné. La production d’ozone est production par électro-chloration. La
telle installation est ici estimé à 3-4 ans ; suivie par des capteurs d’oxydant placés technique maîtrisée depuis déjà plusieurs
la durée de vie de la Pac à absorption à la fois au niveau du générateur et dans années en industrie, aujourd’hui autorisée
est, elle, donnée pour 20 ans. Seule obli- le local technique. Ainsi : en piscines, devrait permettre de maîtriser
gation : effectuer un tirage au vide de la ● La régulation de l’ozone repose sur une encore plus finement l’injection de désin-
pompe à chaleur toutes les 2 000 à mesure du chlore combiné et non sur le fectant et de réduire la gêne des bai-
2 500 heures : un défaut de pression de chlore libre. Ce pour éviter de «surozo- gneurs et des personnels d’animation.
vide entraînerait une cristallisation de la ner» l’eau et de perturber le traitement
saumure qui rendrait cette machine inex- final au chlore. L’exercice de gestion
ploitable et irréparable. Au vu du prix de technique consiste à équilibrer les oxy- Les acteurs du chantier
la Pac Yazaki, l’exploitant sait qu’il doit dants et respecter l’action de chacun
impérativement programmer cette opé- d’eux. Par ailleurs, le local technique pré- Maîtrise d'ouvrage : Ville de Vincennes ;
ration. sente en plusieurs points des capteurs Maîtrise d’œuvre : Atelier
d’architecture Boudry ;
d’ozone destinés à protéger les opéra-
Travaux : Somifa IFD et Urbaine
Le site en chiffres teurs – et les baigneurs – des éventuelles
de travaux (groupe Fayat) ;
fuites.
Bureau d’études thermique :
Superficie couverte totale : 4 366 m2 ; ● L’eau est ensuite soumise à un traite-
BET Garnier ;
Bassin sportif : 375 m2 ; ment chloré dans une unité sous pres- Installations thermiques :
Bassin d’apprentissage : 250 m2 ; sion Cilit. L’intérêt de cette désinfection Cofely avec EcoEnergie ;
Pataugeoire : 62 m2 ; en aval de l’ozonation est de réduire de Exploitation : Cofely ;
Spa : 6 m2 ; pratiquement 50 % l’injection de chlore Gestion et management
Volume du hall : 12 464 m3 ; dans l’eau des bassins. de l’équipement (affermage
Taux de brassage aéraulique : 3,85. Pour chaque bassin, une chambre d’ana- pour 6 ans) : Espace Récréa.
lyse mesure en permanence la tempéra-

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